Comment identifier la nature-essence de Paul

Vous avez échangé pendant assez longtemps sur la partie des paroles de Dieu intitulée « Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte ». De quelles questions traite-t-elle et de quelles vérités s’agit-il ? (Elle parle du chemin que l’homme emprunte en tant que croyant.) Le sujet tourne principalement autour des chemins empruntés par Pierre et Paul, n’est-ce pas ? Après avoir échangé dessus pendant aussi longtemps, Je suis sûr que vous en avez tiré quelque chose, probablement de nombreuses choses. Vous devez résumer l’essentiel des sermons que vous avez écoutés pendant cette période, puis en tirer les principales trames et aller vivre une expérience conforme à cette façon de penser, conforme aux choses et aux trames importantes que vous avez résumées. Cela vous aidera à savoir comment faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, comment accomplir correctement votre devoir et bien témoigner dans la vie réelle. J’espère qu’après avoir terminé ce résumé, votre entrée dans la vie et votre stature spirituelle feront un grand pas en avant. Donc quand vous ferez le résumé des vérités-réalités que vous étiez censé comprendre à partir de ce chapitre, allez-vous commencer par l’expérience de Paul ou celle de Pierre ? (Celle de Paul.) Pourquoi ? (Si nous nous examinons nous-mêmes en nous basant sur les raisons pour lesquelles Paul a échoué, nous saurons si nous sommes ou non sur le chemin de Paul. Ensuite, nous regarderons quel genre de chemin suivait Pierre, afin d’avoir un objectif et une direction à suivre.) C’est effectivement ainsi que cela devrait se passer. Tire des leçons de tout ce que Paul a vécu et de la route qu’il a suivie et résumes-en les expériences. Comprends sur quelle route il était, pourquoi Dieu exige des croyants qu’ils suivent le bon chemin et quel est le bon chemin. Si tu peux suivre le chemin qui consiste à poursuivre la vérité, tu pourras éviter de faire fausse route dans des situations de vie réelle, ainsi que lorsque tu expérimentes l’œuvre de Dieu en accomplissant ton devoir. Tu seras également en mesure d’éviter de perturber l’œuvre de Dieu, de te retrouver par erreur sur le mauvais chemin ou de finir par provoquer ta propre punition, comme l’a fait Paul.

À la lumière des expériences de Paul, résumons les caractéristiques du chemin qu’il a emprunté, la manière dont il a cru en Dieu, les objectifs et l’orientation qu’il a poursuivis. Nous examinerons d’abord sous ces angles la qualité de l’humanité de Paul ainsi que son tempérament. À en juger par la vie de Paul et par les récits de ce qui lui est arrivé, son tempérament se compose de quelques aspects : l’arrogance, la suffisance, la tromperie, la haine de la vérité, la malveillance et la férocité. Quel que soit le nombre d’aspects principaux du tempérament de Paul que les gens sont capables de voir ou de résumer, si on ne parle que de ces aspects de son tempérament, tu auras probablement l’impression que c’est plutôt creux, n’est-ce pas ? Lorsque tu mentionnes ces aspects de son tempérament, sont-ils liés à ce qu’il poursuit, à la direction de sa vie et au chemin qu’il a suivi en tant que croyant ? Lorsque tu parles de son arrogance, as-tu des faits sur lesquels t’appuyer pour l’étayer ? Qu’est-ce qui fait que tu le considères comme arrogant ? Qu’est-ce qui te le fait voir comme malhonnête ? Qu’est-ce qui te le fait voir comme quelqu’un qui hait la vérité ? Si tu ne fais que résumer l’essence de ces aspects de son tempérament sans parler de ce qu’il poursuit, de la direction de sa vie et du chemin qu’il a suivi en tant que croyant, alors ce sont des mots creux, qui n’auront aucun usage positif ou bénéfique pour les gens aujourd’hui. Il est préférable de parler depuis la perspective de ce que Paul poursuit et de son chemin. Ce n’est pas simple de comprendre l’essence d’une personne. On ne peut pas déduire la nature-essence d’une personne lorsqu’elle ne fait rien, ou lorsqu’elle ne fait que des choses sans importance. Tu dois examiner la façon dont cette personne se révèle régulièrement, ainsi que l’intention et la motivation derrière ses actions ; c’est-à-dire examiner ce qu’elle poursuit, ses désirs et le chemin qu’elle suit. Un aspect encore plus important consiste à regarder comment elle se comporte lorsqu’elle est confrontée à une situation que Dieu a conçue pour elle ou lorsque Dieu lui fait quelque chose personnellement, comme l’éprouver, l’épurer et l’émonder, ou encore lorsque Dieu l’éclaire et la guide personnellement. Dieu s’intéresse principalement à ces aspects. À quoi ces aspects font-ils référence ? Ils font référence aux principes selon lesquels une personne agit, vit, se conduit et interagit avec le monde, ainsi qu’aux objectifs et à la direction qu’elle poursuit, au chemin qu’elle suit, à la manière dont elle vit, ce qui la fait vivre et au fondement de son existence. C’est à cela qu’ils font référence. C’est pourquoi Je dis que si nous omettons toutes ces choses et que nous nous contentons de parler de la nature-essence de Paul, peu importe ce que nous disons ou à quel point nous sommes exhaustifs, ce ne sont que des mots creux. Si nous voulons examiner l’essence de Paul sous tous les aspects de ce qu’il est et aider les gens aujourd’hui ou leur donner un miroir dans lequel se voir, nous devons d’abord résumer le chemin que Paul a suivi, les objectifs qu’il a poursuivis, le fondement de son existence et son attitude à l’égard de Dieu. Si nous disséquons chaque aspect de son tempérament en l’abordant sous ces angles, ne disposons-nous pas d’une base ? Le fait d’échanger et de résumer de cette manière, c’est en partie pour que vous puissiez percevoir Paul plus clairement, mais c’est surtout pour que lorsque les gens d’aujourd’hui sont face au salut et à la souveraineté de Dieu, ils sachent comment les aborder et comment ils doivent poursuivre la vérité, afin d’éviter de suivre les traces de Paul et d’éviter de finir par être punis comme lui. C’est la méthode la plus efficace.

Lorsque tu regardes toutes les façons dont Paul s’est présenté, tu devrais être en mesure de discerner sa nature-essence et être pleinement capable de conclure que la direction, les objectifs, la source et la motivation de ses recherches étaient erronés, et que ces choses étaient une forme de rébellion et de résistance à Dieu, qu’elles Lui déplaisaient et qu’Il les détestait. Quelle est la façon première et principale dont Paul se présentait ? (Il faisait des efforts et travaillait en échange d’une couronne.) Où l’avez-vous vu se présenter de cette manière ou vu qu’il était dans cet état ? (À travers ses paroles.) À travers ses fameux dictons. En règle générale, les dictons célèbres sont positifs et bénéfiques pour ceux qui font preuve de résolution, d’espérance et d’aspiration. Ils peuvent encourager et motiver de telles personnes, mais quelle était la fonction des célèbres dictons de Paul ? Il en avait beaucoup. Pouvez-vous citer l’un de ses plus célèbres dictons ? (« J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m’est réservée » [2 Timothée 4:7-8].) Quel aspect de sa nature-essence ces mots représentent-ils ? Comment pouvons-nous la définir en nous basant sur la vérité ? (Paul est arrogant, imbu de lui-même et il conclut un marché avec Dieu.) C’est sa nature arrogante qui l’a incité à parler ainsi : il n’avait pas l’intention de courir la course, de travailler ou même de croire en Dieu s’il n’y avait pas de couronne au bout. Après avoir écouté tant de sermons, les gens devraient maintenant être en mesure de reconnaître cette manifestation et cet état que Paul a révélé, mais êtes-vous capables de le définir ? Lorsque nous parlons de « résumer », nous entendons par là définir quelque chose ; les mots que vous utilisez pour définir quelque chose montre une véritable compréhension. Lorsque tu peux définir quelque chose avec précision, cela prouve que tu le comprends clairement ; lorsque tu ne peux pas définir quelque chose et que tu ne fais que répéter les définitions des autres, cela prouve que tu ne le comprends pas vraiment. Quel état d’esprit ou quel état a incité Paul à prononcer ces paroles à ce moment-là ? Quelle intention l’a poussé à le faire ? Quelle est l’essence de ce qu’il poursuit, révélée par ces mots ? (Obtenir des bénédictions.) Il a couru, s’est dépensé et a donné tellement de lui-même parce que son intention était d’obtenir des bénédictions. C’était sa nature-essence et ce qui résidait au plus profond de son cœur. Tout à l’heure, alors que vous étiez en train de disséquer la question, vous avez dit que Paul concluait un marché avec Dieu. Quelle attitude de Paul cela représente-t-il ? En ce moment, nous essayons de résumer l’attitude la plus vraie de Paul envers une couronne, le fait d’obtenir des bénédictions et de croire en Dieu ; nous n’essayons pas de savoir si Paul concluait un marché avec Dieu et s’il était un véritable croyant. Dites-le-Moi encore une fois. (Il n’aimait pas la vérité et était dédaigneux.) Ce n’est pas une attitude ; cela fait partie de son tempérament. Pour le moment, nous parlons de son attitude. (Il était cupide.) C’est un aspect de sa nature-essence, tout comme son intention d’obtenir des bénédictions et son désir. Qu’est-ce qu’une attitude ? Par exemple, si Je dis que manger de la nourriture épicée tout le temps est mauvais pour l’estomac, et que quelqu’un répond : « Je sais que manger de la nourriture épicée est mauvais, mais j’aime manger épicé ! Que pourrais-je manger si je ne mange pas de nourriture épicée ? » Je réponds : « Pour protéger ta santé, tant que tu ne manges rien d’épicé, je te donnerai cinq dollars par repas pour acheter autre chose à manger. » La personne est alors très heureuse et dit : « D’accord, alors, je m’abstiendrai de manger de la nourriture épicée ! » Un accord a été conclu et elle s’y tient. Mais pourquoi est-elle capable de ne plus manger de nourriture épicée ? C’est en fait à cause de l’argent. Si Je ne lui donnais pas d’argent, elle serait incapable de se contrôler ; elle continuerait à manger de la nourriture épicée comme avant. Elle a cessé de manger épicée uniquement parce qu’elle a quelque chose à y gagner : de l’argent. C’est son attitude. C’est ce qui est caché au plus profond de son cœur. Cette personne a-t-elle cessé de manger de la nourriture épicée parce qu’elle pratique la vérité, parce qu’elle fait ce qu’on lui a dit ou pour plaire à Dieu ? (Non.) Non, ce n’est pour aucune de ces raisons. Elle ne s’est pas abstenue de manger de la nourriture épicée parce qu’elle pratique la vérité ou parce qu’elle se préoccupe de sa santé ; son attitude est superficielle et n’est qu’une façade ; elle voit cela comme une transaction et le fait pour se faire bien voir. Si elle n’atteint pas son objectif et ne reçoit pas l’argent, elle recommencera à manger ce qu’elle veut et peut-être en mangera-t-elle même plus qu’avant. Ce n’est peut-être pas l’exemple le plus approprié, mais quelles similitudes y a-t-il lorsque nous le comparons à Paul ? (C’est similaire à la façon dont Paul était motivé par l’obtention de bénédictions et a conclu un marché avec Dieu.) Paul considérait le fait de combattre le bon combat, courir la course, travailler, se dépenser et même abreuver l’Église, comme des jetons qu’il pourrait échanger contre la couronne de justice et comme des chemins pour s’en approcher. Donc, peu importe qu’il ait souffert, qu’il se soit dépensé ou qu’il ait couru la course, peu importe combien il a souffert, le seul but dans son esprit était d’obtenir la couronne de justice. Il considérait la poursuite de la couronne de justice et des bénédictions comme l’objectif approprié de sa croyance en Dieu et ses souffrances, se dépenser, son travail et la course, comme des chemins dans cette direction. Tout son bon comportement de façade n’était que pour donner le change ; en définitive, il faisait tout cela pour obtenir des bénédictions. C’est le premier des péchés majeurs de Paul.

De tout ce que Paul disait et faisait, ce qu’il révélait, des intentions et des objectifs de son travail et de la course qu’il courrait, ainsi que de son attitude envers l’un et l’autre, y a-t-il quoi que ce soit parmi ces choses qui soit conforme à la vérité ? (Non, il n’y a rien.) Il n’y a rien en lui qui soit conforme à la vérité et rien de ce qu’il faisait n’était conforme à ce que le Seigneur Jésus indiquait aux gens de faire, mais a-t-il réfléchi à cela ? (Non, il ne l’a pas fait.) Il n’y a absolument jamais réfléchi, et il ne l’a pas non plus cherché, alors sur quoi se basait-il pour supposer que sa pensée était la bonne ? (Ses notions et son imagination.) Cela pose un problème ; comment pourrait-il faire de quelque chose qu’il a imaginé le but qu’il allait poursuivre toute sa vie ? Est-ce qu’il y a un jour réfléchi ou s’est demandé : « Ce que je pense est-il correct ? Les autres ne pensent pas de cette façon, je suis le seul. Cela pose-t-il un problème ? » Non seulement il n’était pas touché par ces doutes, mais il écrivait ses pensées dans des lettres et les envoyait à toutes les églises, afin que tout le monde puisse les lire. Quelle est la nature de ce comportement ? Cela pose un problème ; pourquoi ne s’est-il jamais demandé si sa pensée était conforme à la vérité, pourquoi n’a-t-il pas cherché la vérité ou comparé sa pensée à ce que le Seigneur Jésus disait ? Au lieu de cela, il a traité le fruit de son imagination et ce qu’il pensait être juste dans ses notions comme les objectifs qu’il devait poursuivre. Quel est le problème dans ce cas ? Il traitait ce qu’il imaginait et ce qu’il pensait être juste comme la vérité, et comme un but à poursuivre. N’est-ce pas excessivement arrogant et présomptueux ? Dieu avait-Il encore une place dans son cœur ? Était-il toujours capable de traiter les paroles de Dieu comme la vérité ? S’il était incapable de traiter les paroles de Dieu comme la vérité, alors quelle était son attitude envers Dieu ? Voulait-il aussi être Dieu ? Si ce n’était pas le cas, il n’aurait pas traité ce qu’il imaginait dans ses propres pensées et notions comme des objectifs à poursuivre, et il n’aurait pas non plus poursuivi ses notions ou ce qu’il imaginait comme s’il s’agissait de la vérité. Il croyait que ce qu’il pensait était la vérité et que c’était conforme à la vérité et aux intentions de Dieu. Il a également partagé ce qu’il croyait être correct avec les frères et sœurs dans les églises, et le leur a inculqué, faisant en sorte que tout le monde respecte les choses ridicules qu’il disait ; il a remplacé les paroles du Seigneur Jésus par les siennes, et s’est servi de ces paroles ridicules pour témoigner que pour lui vivre, c’est être le Christ. N’est-ce pas le deuxième péché majeur de Paul ? Il s’agit là d’un problème très grave !

Il y a eu beaucoup de gens à travers les époques qui ressemblaient à Paul, alors pourquoi utilisons-nous souvent Paul comme un exemple typique ? Parce qu’on parle de lui dans la Bible et les hérésies et paroles fallacieuses qu’il a dites, ainsi que sa personne même, ont un impact considérable sur tous les chrétiens. On pourrait dire que le mal qu’il a causé est trop grand. Il a induit en erreur et empoisonné tant de gens. Non seulement il a empoisonné de nombreuses générations, mais le poison s’est infiltré en profondeur. À quel point ? (Tous les chrétiens le voient comme un modèle et l’imitent ; ils pratiquent ses paroles comme si c’étaient celles de Dieu.) Si tu échanges sur les paroles de Christ et les paroles de Dieu, personne n’en fait grand cas. Mais quand tu échanges sur les paroles de Paul, les gens s’assoient immédiatement et écoutent. Qu’est-ce que cela signifie ? (Qu’ils traitent Paul comme Christ.) Lorsque les gens traitent Paul comme Christ, il prend la place du Seigneur Jésus-Christ dans leur cœur. N’est-ce pas un péché aux proportions extrêmes ? (Si.) Paul est le plus grand antéchrist de l’histoire ! L’intention derrière ses paroles est extrêmement claire ; ses objectifs et son aspect insidieux sont clairement exposés ; son essence est extrêmement insidieuse et toxique. La nature de tout cela est vraiment problématique ! C’est pourquoi il fallait que Je l’évoque et que Je le dissèque. Si Je ne le faisais pas, les gens continueraient à se fourvoyer à cause de lui. Cependant, tant qu’à disséquer les problèmes de Paul, Je me devais de donner à cette démarche un meilleur but pour les gens d’aujourd’hui, comme un exemple de ce qu’il ne faut pas faire. Nous venons de résumer deux des péchés de Paul. Quel était le premier ? (Paul traitait le travail et la course qu’il courrait comme des jetons qu’il pouvait échanger contre une couronne. Il considérait l’obtention de bénédictions et d’une couronne comme un objectif approprié qu’il devait poursuivre.) C’est exact. Le plus gros problème de Paul était qu’il traitait ces choses comme des objectifs qu’il devait poursuivre. Dès le départ, c’était une transaction qui portait en elle de la rébellion et une nature malveillante, mais Paul l’a traitée comme un but approprié à poursuivre. C’est le problème le plus grave. Quel était le deuxième péché ? (Paul traitait les choses qu’il imaginait et qu’il pensait être justes dans ses notions comme étant la vérité. Il ne réfléchissait jamais à ce sujet ni ne faisait de recherches à ce propos. Au lieu de cela, il induisait les gens en erreur et a poussé les frères et sœurs à adhérer à ses paroles et à ses théories absurdes, ce qui fait que les gens le traitaient comme Christ.) C’est un problème particulièrement sérieux. Prenez des notes précises concernant ces problèmes ; une fois que nous aurons terminé de les résumer, vous devrez vous examiner à leur lumière. Lorsque nous discutons d’un sujet, nous devons d’abord parler de cet aspect particulier de la vérité, puis faire des comparaisons. Disséquer la manière dont Paul se présentait sert d’avertissement à tout le monde, en plus de montrer aux gens qu’ils devraient choisir le bon chemin, puis trouver un chemin de pratique exact et éviter de suivre les traces de Paul. Ensuite, vous serez complètement efficace.

Paul a commis un autre péché grave : il a effectué son travail en se basant entièrement sur son calibre mental, ses connaissances théoriques, ses connaissances et sa théorie théologiques. C’est quelque chose qui est en lien avec sa nature-essence. Vous devriez résumer cela, puis examiner son attitude à l’égard de ces choses. C’est un péché particulièrement crucial et important que les gens doivent comprendre. Réfléchissez un instant : quelles manifestations de Paul ce péché implique ; regardez quelle est sa nature-essence à travers ces manifestations, et obtenez une image claire de ce à quoi il accordait de l’importance au fond de lui-même, quels étaient ses objectifs. Son intention et ses objectifs sont à la racine de ce qui l’a poussé à s’engager sur la mauvaise voie. Ce sont les choses les plus importantes que vous devez clairement comprendre. Quels dons Paul avait-il ? (Paul avait une bonne compréhension de nombreuses connaissances bibliques de l’ère de la Loi.) Seul l’Ancien Testament existait à cette époque. Paul connaissait ces Écritures et il en était très bien informé, comme les enseignants en théologie, les pasteurs, les prédicateurs et les pères d’aujourd’hui. Ses connaissances théologiques étaient peut-être même plus vastes que les leurs, mais il les a apprises après sa naissance dans le monde. Que possédait Paul depuis sa naissance ? (Ses capacités innées.) Paul était naturellement intelligent, bon orateur, il s’exprimait bien et ne souffrait pas du trac. Concentrons-nous maintenant sur ses capacités innées, ses dons, son intelligence, ses capacités, ainsi que les connaissances qu’il a acquises tout au long de sa vie. Que signifie le fait qu’il était doué pour parler ? De quelle manière s’est-il révélé et présenté ? Il aimait divaguer au sujet de grandes théories ; il parlait constamment de doctrine spirituelle profonde, des théories et des connaissances, et de ses textes et dictons célèbres que les gens mentionnent souvent. Avec quel mot peut-on résumer les paroles de Paul ? (Vides.) Les paroles vides sont-elles constructives pour les gens ? Quand ils entendent ces paroles, ils se sentent enhardis, mais au bout d’un moment, leur enthousiasme s’estompe. Les choses dont Paul a parlé étaient vagues et illusoires, des choses que tu ne peux pas vraiment démontrer en termes concrets. Dans les théories dont il a parlé, tu ne peux pas trouver de chemin à pratiquer ou de direction dans laquelle pratiquer ; tu ne peux rien trouver que tu puisses appliquer avec précision à la vie réelle, que ce soient les théories ou les fondations, aucune n’est applicable à la vie réelle. C’est la raison pour laquelle Je dis que les théories religieuses et la doctrine spirituelle dont il parlait étaient des paroles vides et peu concrètes. Quel était l’objectif de Paul en parlant de ces choses ? Certains disent : « Il parlait toujours de ces choses parce qu’il voulait attirer plus de gens, il voulait que ces gens le révèrent et l’admirent. Il voulait prendre la place du Seigneur Jésus et convaincre plus de monde, afin d’être béni. » Est-ce le sujet dont nous voulons parler aujourd’hui ? (Non.) Il est extrêmement normal qu’une personne qui n’a pas été émondée, qui n’a pas été jugée ou châtiée, qui n’a pas subi d’épreuves ou d’épurement, qui a des dons comme les siens et qui a l’essence d’un antéchrist se mette ainsi en avant et manifeste le comportement que Paul a manifesté, nous n’approfondirons donc pas sur cette question. Qu’allons-nous approfondir ? L’essence de son problème, la cause profonde et la motivation qui le poussent à faire ces choses, et ce qui l’a incité à agir de cette façon. Peu importe si les gens d’aujourd’hui considéreraient toutes les choses dont il parlait comme de la doctrine, des théories, des connaissances théologiques, des dons innés ou sa propre interprétation des choses, de manière générale, le plus gros problème de Paul était qu’il traitait des choses issues de la volonté humaine comme étant la vérité. C’est pourquoi il a eu le cran d’utiliser ces théories théologiques de manière résolue, audacieuse et sans dissimulation à tous pour attirer les gens et leur enseigner ces choses. C’est là l’essence du problème. Est-ce un problème grave ? (Oui.) Que traitait-il comme étant la vérité ? Les dons avec lesquels il était né, ainsi que les connaissances et les théories théologiques qu’il avait acquises tout au long de sa vie. Il avait appris les théories théologiques par des enseignants, par la lecture des Écritures, et certaines étaient également générées à partir de ce qu’il comprenait et imaginait. Il traitait les notions et ce qu’il imaginait à partir de sa compréhension humaine comme la vérité, mais ce n’était pas le problème le plus grave, il y en avait un encore plus grand. Il traitait ces choses comme la vérité, mais pensait-il à l’époque que ces choses étaient la vérité ? Avait-il une idée de ce qu’était la vérité ? (Non.) Alors, comment traitait-il ces choses ? (Comme la vie.) Il traitait toutes ces choses comme la vie. Il pensait que plus il pouvait prêcher de sermons et plus ceux-ci étaient d’un niveau élevé, plus sa vie serait grande. Il traitait ces choses comme la vie. Est-ce un problème grave ? (Oui, c’est grave.) Quel impact cela a-t-il eu ? (Cela a eu un impact sur le chemin qu’il a suivi.) C’est un aspect de la question. Quoi d’autre ? (Il pensait qu’en obtenant ces choses cela lui apporterait le salut et lui donnerait le droit d’entrer dans le royaume des cieux.) Cela avait encore à voir avec l’obtention de bénédictions ; il pensait que plus sa vie était grande, plus il avait de chances d’entrer dans le royaume des cieux et de monter au ciel. De quelle autre façon peut-on dire « monter au ciel » ? (Régner et exercer le pouvoir aux côtés de Dieu.) Son objectif en entrant dans le royaume des cieux était de régner et d’exercer le pouvoir aux côtés de Dieu, mais ce n’était pas son but ultime, il en avait un autre. Il en a parlé. Comment l’a-t-il exprimé ? (« Pour moi, vivre c’était le Christ, et la mort m’est un gain » [Philippiens 1:21].) Il a dit que pour lui, vivre, c’est le Christ et mourir est un gain. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’il se transformera en Dieu après sa mort ? Son ambition ne connaît aucune limite ! Son problème est vraiment très grave ! Alors, est-ce mal de notre part de disséquer le cas de Paul ? Pas du tout. Il n’aurait jamais dû traiter ses dons et les connaissances qu’il a acquises comme la vie. C’est son troisième péché majeur. Vous pouvez voir la nature-essence de Paul dans n’importe lequel de ces trois péchés. Les caractéristiques de sa nature-essence sont exposées dans chacun des péchés ; rien n’est caché ou omis. Sa nature-essence est représentée dans chacun d’eux.

Nous allons maintenant examiner les problèmes les plus cruciaux et les plus graves de Paul, qui sont les plus représentatifs de ce qu’il est. Dans les lettres que Paul a écrites, quels mots utilisait-il souvent ? Allez voir ce que dit le texte original de la Bible, et nous allons l’analyser et le disséquer, voir ce qui était réellement dans son esprit, et pourquoi Dieu le détestait et le haïssait. Pourquoi quelqu’un d’aussi célèbre et essentiel que Paul dans le travail des premières Églises a-t-il fini par être puni ? Comment Dieu a-t-Il évalué Paul dans Son esprit ? Comment Dieu l’a-t-Il vu ? Pourquoi Dieu l’a-t-Il évalué de cette manière et a-t-Il rendu le verdict qu’Il a rendu ? Sur quelle base Dieu a-t-Il finalement défini Paul et déterminé sa fin ? Énumérez toutes ces choses afin que les gens puissent voir les faits concernant la façon dont il a résisté à Dieu, afin qu’ils ne pensent pas qu’il a été condamné à tort. Lorsque les gens ne comprennent pas la vérité, ils sont plus enclins à définir les gens en fonction des apparences. Sur quoi se basent les gens pour définir les autres en fonction de leur apparence ? Ils se basent en partie sur la culture traditionnelle et les enseignements de la société. C’est aussi en partie lié à l’éducation à la maison, les idées et concepts « noir ou blanc », et les idées et concepts de bien et de mal. Et il y a aussi l’éducation dans les écoles. Ensemble, ces éléments constituent un système d’éducation complètement satanique. La conséquence du fait que Satan instille ces choses chez les gens est que ceux-ci définissent les choses comme bonnes ou mauvaises, comme justes ou injustes selon leurs propres notions et préférences. Sur quoi se basent toutes ces définitions des gens ? En réalité, elles sont basées sur des théories et des philosophies sataniques ; ces bases qu’ont les gens ne viennent absolument pas de Dieu ou de la vérité. C’est la raison pour laquelle les humains corrompus ont tort, peu importe comment ils définissent une personne ou un événement, cela n’a aucun lien avec la vérité et n’est pas conforme aux intentions de Dieu ; cela n’a rien à voir avec Dieu ou Ses paroles. Dieu prononce des verdicts concernant les gens et les événements en fonction de Son tempérament et de Son essence. Quels sont le tempérament et l’essence de Dieu ? C’est la vérité. La vérité est l’expression de toutes choses positives et la réalité de toutes choses positives. Dieu prononce des verdicts sur tout ce qui existe et sur tous les gens, les événements et les choses avec lesquelles les gens entrent en contact, en accord avec la vérité. Dieu fonde ses verdicts concernant les hommes sur leur nature-essence, ce qui motive leurs actions, le chemin qu’ils empruntent et leur attitude envers les choses positives et la vérité. C’est la base des conclusions de Dieu. Les verdicts de Dieu sur toutes choses sont en accord avec la vérité. Sur quoi se base-t-il Satan pour définir toutes choses ? (Sa propre logique.) La philosophie et la logique sataniques, qui sont exactement contraires à la vérité. Toute l’humanité est corrompue par Satan. Les humains n’ont pas la vérité ; ils représentent Satan et l’incarnent. Ils définissent toutes choses conformément aux philosophies et à la logique sataniques. Par conséquent, quelles conclusions tirent-ils lorsqu’ils définissent les choses ? Des conclusions qui sont exactement contraires, et en opposition, à la vérité. Avez-vous trouvé les mots que Paul utilisait souvent dans ses lettres ? Lisez-les à haute voix. (« Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu » [1 Corinthiens 1:1].) Voyez ? C’est ainsi que Paul classe Dieu et Christ : « Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu. » Où se situe Paul dans ce classement ? (En troisième.) Dans l’esprit de Paul, qui est le numéro un ? (Dieu.) Et le numéro deux ? (Le Seigneur Jésus.) Jésus-Christ. Qui est le troisième ? (Paul lui-même.) C’est lui-même. « Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ par la volonté de Dieu. » Paul usait souvent de cette phrase, et c’est une phrase lourde de sens. Pour commencer, nous savons que Paul est un apôtre du Seigneur Jésus-Christ. Donc, du point de vue de Paul, qui est le Seigneur Jésus-Christ ? Il est le Fils de l’homme et le second de Dieu dans les cieux. Peu importe qu’il ait appelé le Seigneur Jésus-Christ Maître ou qu’il L’ait appelé Seigneur, du point de vue de Paul, le Christ sur terre n’était pas Dieu, mais plutôt un homme qui pouvait enseigner aux gens et les amener à Le suivre. Quelle était la fonction de Paul en tant qu’apôtre d’un homme comme celui-ci ? Partager l’Évangile, visiter les Églises, prêcher des sermons et écrire des lettres. Il croyait faire ces choses au nom du Seigneur Jésus-Christ. Dans son cœur, il pensait : « Je vais T’aider en allant là où Tu ne peux pas aller et je vais jeter un coup d’œil en Ton nom aux endroits où Tu ne veux pas aller. » C’était le concept que Paul se faisait d’un apôtre. Le classement qu’il faisait dans son esprit était que le Seigneur Jésus et lui étaient des gens ordinaires. Il se voyait lui-même et le Seigneur Jésus-Christ comme des égaux, comme des êtres humains. Dans son esprit, il n’y avait au fond aucune différence entre leurs positions ni aucune différence au niveau de leurs identités, sans parler de leurs ministères. Seuls leurs noms, âges, circonstances familiales et antécédents étaient différents, et ils avaient des dons et des connaissances externes différents. Dans l’esprit de Paul, il était identique au Seigneur Jésus-Christ dans tous les autres domaines et il aurait pu être appelé le Fils de l’homme, lui aussi. La seule raison pour laquelle il était second derrière le Seigneur Jésus-Christ était qu’il était l’apôtre du Seigneur Jésus ; il exerçait le pouvoir du Seigneur Jésus-Christ et était envoyé pour visiter les Églises et faire le travail de l’Église par le Seigneur Jésus-Christ. Voilà ce que Paul croyait être sa position et son identité en tant qu’apôtre – c’est ainsi qu’il l’interprétait. En outre, le deuxième mot au début de la phrase, « Paul, appelé à être apôtre de Jésus-Christ » est « appelé ». À travers ce mot, nous pouvons voir l’état d’esprit de Paul. Pourquoi a-t-il utilisé les six mots « appelé […] par la volonté de Dieu » ? Il ne pensait pas avoir été appelé par le Seigneur Jésus-Christ à être son apôtre ; il pensait : « Le Seigneur Jésus-Christ n’a pas le pouvoir de m’ordonner de faire quoi que ce soit. Je ne fais pas ce qu’Il m’a ordonné ; je ne fais rien pour Lui. Je fais plutôt ces choses par la volonté de Dieu dans les cieux. Je suis le même que le Seigneur Jésus-Christ. » Cela indique autre chose : Paul pensait qu’il était un Fils de l’homme, tout comme le Seigneur Jésus-Christ. Les six mots « appelé […] par la volonté de Dieu » révèlent à quel point Paul niait et doutait de l’identité du Seigneur Jésus au plus profond de son cœur. Paul a dit qu’il était un apôtre du Seigneur Jésus-Christ par la volonté de Dieu, que Dieu le lui avait dit, qu’il avait été ordonné et établi par Dieu et qu’il était devenu un apôtre du Seigneur Jésus-Christ parce que Dieu l’avait appelé et l’avait voulu. Dans l’esprit de Paul, c’est ainsi qu’était la relation entre lui et le Seigneur Jésus-Christ. Cependant, ce n’est même pas le pire. Quel est le pire ? C’est que Paul pensait qu’il était l’apôtre du Seigneur Jésus-Christ par la volonté de Dieu et non celle du Seigneur Jésus-Christ, que ce n’était pas le Seigneur Jésus qui l’avait appelé, mais Dieu au ciel qui lui faisait faire cela. Il pensait que personne n’avait le pouvoir ou les qualifications requises pour faire de lui un apôtre du Seigneur Jésus-Christ, que seul Dieu dans les cieux avait ce pouvoir et qu’il était guidé directement par Dieu dans les cieux. Qu’est-ce que cela nous indique ? Au plus profond du cœur de Paul, il croyait que Dieu dans le ciel était le numéro un et que lui-même était le numéro deux. Alors, où mettait-il le Seigneur Jésus ? (Au même niveau que lui.) C’est un problème. De ses lèvres, il proclamait que le Seigneur Jésus était le Christ, mais il ne reconnaissait pas que l’essence du Christ était celle de Dieu ; il ne comprenait pas la relation entre le Christ et Dieu. C’est ce manque de compréhension qui est à l’origine de ce grave problème. En quoi était-ce grave ? (Il n’a pas admis que le Seigneur Jésus était Dieu incarné. Il a renié le Seigneur Jésus.) Oui, c’est vraiment très grave. Il a nié que le Seigneur Jésus-Christ était Dieu fait chair, que le Seigneur Jésus-Christ était la chair de Dieu quand Il est descendu du ciel sur la terre, et que le Seigneur Jésus était la chair incarnée de Dieu. Cela n’implique-t-il pas que Paul niait l’existence de Dieu sur terre ? (Si.) S’il niait l’existence du Dieu sur terre, pouvait-il alors reconnaître les paroles du Seigneur Jésus ? (Non, il ne pouvait pas.) S’il ne reconnaissait pas Ses paroles, pouvait-il les accepter ? (Non.) Il n’a pas accepté les paroles, les enseignements ou l’identité du Seigneur Jésus-Christ, alors pouvait-il accepter l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ ? (Non, il ne pouvait pas.) Il n’a pas accepté l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ ni le fait que le Seigneur Jésus-Christ était Dieu, mais ce n’était pas le pire. Qu’est-ce qui était pire que cela ? Il y a deux mille ans, le Seigneur Jésus est venu sur terre pour accomplir la plus grande de toutes les œuvres – l’œuvre de la rédemption à l’ère de la Grâce, où Il s’est incarné et s’est fait à la ressemblance de la chair pécheresse, puis Il a été cloué sur la croix comme offrande pour le péché pour toute l’humanité. Était-ce une œuvre importante ? (Oui.) C’était l’œuvre de la rédemption de toute l’humanité et cela a été fait par Dieu Lui-même, mais Paul l’a obstinément nié. Il a nié que l’œuvre de rédemption accomplie par le Seigneur Jésus ait été faite par Dieu Lui-même, ce qui revenait à nier le fait que Dieu avait déjà accompli l’œuvre de rédemption. Est-ce là un problème grave ? C’est extrêmement grave. Non seulement Paul n’a pas cherché à comprendre le fait que constitue la crucifixion du Seigneur Jésus-Christ, mais il ne l’a pas admis, et ne pas l’admettre, c’est le nier. Il n’a pas admis que c’était Dieu qui avait été crucifié et avait racheté toute l’humanité, pas plus qu’il n’a admis que Dieu avait servi d’offrande pour le péché de toute l’humanité. Cela implique qu’il n’a pas admis que toute l’humanité a été rachetée après que Dieu a eu fait Son œuvre ou que leurs péchés ont été pardonnés. De la même manière, il pensait que ses péchés n’avaient pas été pardonnés. Il n’a pas admis le fait que le Seigneur Jésus a racheté l’humanité. De son point de vue, tout cela avait été effacé. C’est le problème le plus grave. Tout à l’heure, j’ai mentionné que Paul était le plus grand antéchrist des deux mille dernières années ; c’est un fait qui a déjà été révélé. Si ces faits n’avaient pas été consignés dans la Bible et si Dieu avait dit que Paul avait défié Dieu et était un antéchrist, les gens le croiraient-ils ? Absolument pas. Heureusement, la Bible a conservé des exemplaires des lettres de Paul et il y a des preuves factuelles ici même dans ces lettres ; autrement, il n’y aurait rien pour étayer ce que Je dis, et vous ne pourriez peut-être pas l’accepter. Donc, quand nous prenons les paroles de Paul et que nous les lisons, comment Paul a-t-il vu toutes les choses que le Seigneur Jésus a dites ? Il pensait que les choses que le Seigneur Jésus avait dites n’étaient même pas égales à l’une de ses propres doctrines religieuses. Ainsi, après que le Seigneur Jésus eut quitté ce monde, bien que Paul ait répandu l’Évangile, travaillé, prêché et dirigé des Églises, il n’a jamais prêché les paroles du Seigneur Jésus et il les a encore moins pratiquées ou expérimentées. Au lieu de cela, il prêchait sa propre compréhension de l’Ancien Testament, qui était obsolète et vide de sens. Depuis deux mille ans, ceux qui croient au Seigneur le font conformément à la Bible, et tout ce qu’ils acceptent, ce sont les théories creuses de Paul. Par conséquent, les gens sont dans le noir depuis deux mille ans. Si tu dis à un groupe de personnes religieuses aujourd’hui que Paul avait tort, ils protesteront et ne l’accepteront pas, parce qu’ils admirent tous Paul. Paul est leur idole et leur père fondateur, et ils sont les fils et descendants filiaux de Paul. À quel point ont-ils été induits en erreur ? Ils se tiennent déjà du même côté que Paul en opposition à Dieu ; ils ont les mêmes points de vue que Paul, la même nature-essence et la même méthode de poursuite. Ils ont été profondément assimilés par Paul. C’est le quatrième péché majeur de Paul. Paul a nié l’identité du Seigneur Jésus-Christ et il a nié l’œuvre que Dieu a faite à l’ère de la Grâce, après l’ère de la Loi. C’est la chose la plus grave. Une autre chose grave est qu’il s’est mis au même niveau que le Seigneur Jésus-Christ. À l’époque où Paul vivait, il a rencontré le Seigneur Jésus-Christ, mais ne le voyait pas comme Dieu ; au lieu de cela, il traitait le Seigneur Jésus-Christ comme une personne ordinaire, comme s’il n’était qu’un autre membre de l’espèce humaine ; un homme qui avait la même nature-essence que les humains corrompus. En aucun cas, Paul n’a traité le Seigneur Jésus comme le Christ, et encore moins comme Dieu. Cela est très grave. Alors pourquoi Paul ferait-il cela ? (Il ne reconnaissait pas que le Dieu incarné possédait l’essence de Dieu, alors il ne traitait pas le Seigneur Jésus-Christ comme Dieu.) (Il ne voyait pas les paroles du Seigneur Jésus comme la vérité et il ne voyait pas non plus que le Seigneur Jésus-Christ était l’incarnation de la vérité.) (En surface, Paul professait croire au Seigneur Jésus, mais ce en quoi il croyait en réalité était un vague dieu dans les cieux.) (Il ne cherchait pas la vérité, il était donc incapable de se rendre compte que le Christ était la vérité et la vie.) Continuez ainsi. (Paul a dit que pour lui, vivre, c’était Christ. Il voulait devenir Dieu et remplacer le Seigneur Jésus.) Tout ce que vous avez dit correspond aux faits. Chacune des façons dont Paul s’est manifesté, et chacun de ses péchés étaient plus graves que ceux qui l’ont précédé.

Analysons cette phrase prononcée par Paul : « La couronne de justice m’est réservée. » Ce sont des mots impressionnants. Regardez les mots qu’il a choisis : « la couronne de justice ». En général, il est plutôt audacieux d’employer le mot « couronne » en lui-même, mais qui oserait utiliser le terme « justice » en tant qu’attribut de la couronne pour la définir ? Seul Paul oserait employer ce mot. Pourquoi l’a-t-il utilisé ? Ce mot a une origine et il a été choisi avec soin ; il y a de profondes connotations derrière ses mots ! Quelles connotations ? (Il essayait de forcer la main de Dieu avec ce terme.) Vouloir forcer la main de Dieu en est l’un des aspects. Son intention était clairement de faire une transaction, et on voit entre autres qu’il essaie de fixer des conditions avec Dieu aussi. Au-delà de cela, y avait-il un but pour expliquer pourquoi il prêchait toujours à propos de cette couronne de justice ? (Il voulait égarer les gens et leur faire croire que s’il n’obtenait pas de couronne, Dieu n’était pas juste.) Il y a quelque chose d’incitatif et de trompeur de la part de Paul à prêcher à ce sujet, et cela est lié aux désirs et aux ambitions de Paul. Afin de finalement matérialiser et réaliser son désir d’obtenir une couronne de justice, il a utilisé cette tactique : prêcher à ce sujet partout. En prêchant ces paroles, son objectif était en partie d’attirer les gens et de les induire en erreur ; il voulait instiller une idée particulière dans l’esprit de ceux qui écoutaient, à savoir : « Quelqu’un comme moi qui se dépense, qui voyage tant et qui poursuit comme je le fais sera à même de recevoir une couronne de justice. » Après avoir entendu cela, les gens se sont naturellement dit que Dieu n’était juste que si une personne comme Paul recevait une couronne. Ils avaient aussi le sentiment qu’ils devaient poursuivre, voyager et se dépenser comme Paul l’avait fait, qu’ils ne pouvaient pas écouter le Seigneur Jésus et que Paul était la référence, qu’il était le Seigneur et qu’il était la direction et l’objectif vers lesquels les gens devaient se diriger. Ils pensaient également que si les gens faisaient les choses comme Paul, ils recevraient la même couronne, le même résultat et la même destination que lui. D’un côté Paul attirait les gens et les induisait en erreur. D’un autre côté, il avait un but des plus sinistres. Au fond de son cœur, il pensait : « Si par des circonstances improbables je n’obtiens pas de couronne, s’il s’avère que c’était juste le fruit de mon imagination, un vœu pieux de ma part, cela signifiera que tous ceux qui croient en Christ, y compris moi-même, ont été égarés dans leur foi. Cela signifiera qu’aucun Dieu n’existe sur terre, et je nierai aussi Ton existence au ciel, Dieu, et Tu ne seras pas en mesure de faire quoi que ce soit à ce sujet ! » Ce qu’il insinuait, c’était : « Si je n’obtiens pas cette couronne, non seulement les frères et sœurs Te renieront, mais je T’empêcherai de gagner tous les gens que j’ai attirés et qui connaissent ces paroles. Je les empêcherai également de t’approcher et en même temps, je nierai Ton existence en tant que Dieu dans les cieux. Tu n’es pas juste. Si moi, Paul, je ne peux pas obtenir une couronne, personne ne devrait en avoir ! » C’était le côté malfaisant de Paul. N’est-ce pas là le comportement d’un antéchrist ? C’est le comportement d’un démon antéchrist : attirer, égarer et tenter les gens, ainsi qu’ouvertement vociférer contre Dieu et s’opposer à Lui. Au fond de son cœur, Paul pensait : « Si je ne reçois pas de couronne, Dieu n’est pas juste. Si j’obtiens une couronne, ce n’est qu’à ce moment-là que ce sera une couronne de justice, et alors seulement la justice de Dieu sera vraiment juste. » C’est l’origine de sa « couronne de justice ». Qu’est-ce qu’il faisait à travers cela ? Il attirait ouvertement ceux qui suivaient Dieu et les induisait en erreur. En même temps, il utilisait ces méthodes pour s’élever ouvertement contre Dieu et s’opposer à Lui. En d’autres termes, son comportement était un comportement de révolte. Quelle était sa nature ? En surface, les paroles qu’utilisait Paul paraissaient distinguées et convenables et cela donnait l’impression qu’il n’y avait pas de problèmes – qui ne croirait pas en Dieu afin de recevoir une couronne de justice et d’être béni ? Même les gens sans calibre croient à tout le moins en Dieu pour aller au ciel. Ils seraient heureux même si on leur demandait de balayer les rues ou d’y garder une porte. Avoir une telle intention et un tel objectif dans sa croyance en Dieu peut être considéré comme approprié et compréhensible. Cependant, ce n’était pas le seul objectif de Paul. Il faisait beaucoup d’efforts, dépensait beaucoup d’énergie et faisait beaucoup d’histoires quand il prêchait sa couronne de justice. Les choses que disait Paul mettaient en lumière sa nature malintentionnée ainsi que des choses sombres et cachées tout au fond de lui. À l’époque, Paul s’est fait un grand nom et il y avait beaucoup de gens qui l’idolâtraient. Il se promenait partout en prêchant ces théories et ces idées prétentieuses, ses notions et ce qu’il imaginait, ainsi que les choses qu’il avait apprises au cours de ses études et ce qu’il avait déduit en utilisant son esprit. Quand Paul prêchait ces choses partout, quel impact important cela a-t-il dû avoir sur les gens de l’époque, et à quel point cela a-t-il dû leur nuire et les empoisonner au plus profond de leur cœur ? Aussi, quel impact important cela a-t-il eu sur les personnes des générations suivantes qui ont appris ces choses en lisant ses lettres ? Les gens qui ont lu ses paroles ne peuvent pas se débarrasser de ces choses, peu importe pendant combien de temps ils essaient – ils ont été empoisonnés trop profondément ! À quel point ? Un phénomène est apparu, appelé « l’effet Paul ». Qu’est-ce que l’effet Paul ? Il y a un phénomène dans la religion où l’on voit que les gens sont influencés par les pensées, les points de vue, les arguments de Paul et les tempéraments corrompus qu’il a révélés. Cela touche particulièrement les personnes dont les familles croient en Dieu depuis plusieurs générations – des familles qui suivent le Christ depuis de nombreuses décennies. Ils disent : « Notre famille croit dans le Seigneur depuis des générations et ne suit pas les tendances du monde. Nous nous sommes éloignés du monde séculier et avons abandonné nos familles et nos carrières pour nous dépenser pour Dieu. Nous faisons tout comme Paul. Si nous ne recevons pas de couronne ou n’allons pas au ciel, nous aurons un compte à régler avec Dieu quand Il viendra. » Les gens n’utilisent-ils pas cet argument ? (Si.) Et cette tendance est plutôt significative. D’où vient-elle ? (De ce que Paul a prêché.) C’est le résultat malin de la tumeur que Paul a plantée. Si Paul n’avait pas attiré les gens comme il l’a fait et qu’il ne disait pas tout le temps : « La couronne de justice m’est réservée » et « Pour moi, vivre c’était le Christ », sans la toile de fond de cette époque de l’histoire, les gens d’aujourd’hui n’auraient aucune connaissance de ces choses. Même s’ils avaient cette façon de penser, ils n’auraient pas le culot de Paul. Tout cela était dû aux encouragements et aux incitations de Paul. S’il arrive un jour où ils ne sont pas bénis, ces gens auront l’audace de défier ouvertement le Seigneur Jésus et voudront même se précipiter jusqu’au troisième ciel et débattre de cette question avec le Seigneur. N’est-ce pas là le monde religieux qui se révolte contre le Seigneur Jésus ? Il est clair que le monde religieux a été durement impacté par Paul ! Maintenant que J’ai parlé jusqu’à présent, vous pouvez en conclure le cinquième péché de Paul, n’est-ce pas ? Quand il s’agit de résumer les origines de la « couronne de justice » dont parlait Paul, il faut se concentrer sur le mot « justice ». Pourquoi a-t-il parlé de « justice » ? Sur terre, c’était parce qu’il voulait attirer et égarer le peuple élu de Dieu pour qu’il pense comme lui. Au ciel, il voulait forcer la main de Dieu avec cette parole et vociférer contre Lui. C’était l’objectif de Paul. Bien qu’il ne l’ait jamais exprimé à voix haute, le mot « justice » trahissait déjà complètement son but et sa tendance à vociférer contre Dieu. C’était déjà visible au grand jour ; ce ne sont que des faits. Sur la base de ces faits, la nature-essence de Paul peut-elle être résumée comme étant arrogante, présomptueuse, fourbe et n’aimant pas la vérité ? (Non.) Ces termes ne peuvent pas la résumer. En M’écoutant évoquer ces faits, les disséquer, les analyser et les définir, vous devriez être en mesure de voir la nature-essence de Paul plus clairement et plus en profondeur. C’est l’effet que l’on obtient quand on analyse une essence en se basant sur les faits. Lorsque Paul a vociféré contre Dieu, il n’était pas en train de traverser un petit moment où il était dépassé par ses émotions, d’avoir un tempérament un peu rebelle ou une incapacité à se soumettre, en privé. Il ne s’agissait pas d’un problème sans importance de révélation d’un tempérament corrompu ; cela avait plutôt glissé vers l’utilisation flagrante de toutes sortes de méthodes pour attirer et égarer les gens par des lettres et dans des lieux publics, de sorte que tout le monde se levait ensemble avec colère pour s’opposer à et vociférer contre Dieu. Non seulement Paul vociférait-il contre Dieu, mais il incitait tous les autres à venir vociférer contre Dieu aussi. Il n’était pas seulement arrogant, c’était un démon. Ce péché est plus grave que le précédent. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose que nous parlions de péchés de plus en plus graves ? (C’est une bonne chose.) En quoi est-ce une bonne chose ? (Parce que nous gagnons en discernement au sujet de Paul.) Lorsque tu as plus de discernement, tu es capable de sortir entièrement de l’ombre et de voir clairement les diverses manifestations et révélations de corruption chez Paul, ainsi que son véritable visage. En faisant cela, aurez-vous atteint notre objectif ? (Non, nous ne l’aurons pas atteint.) Tu dois prendre toutes les manifestations de Paul que nous avons résumées, ainsi que leur contenu principal, leurs thèmes et leur essence, et les mettre en lien avec toi-même et avec ceux qui t’entourent. Quand tu as clairement vu la grandeur exacte de la différence qui existe entre le chemin que tu suis et ta propre essence, comparés à ceux de Paul, tu auras entièrement atteint le résultat et tu auras atteint le but que nous poursuivons en disséquant les faits concernant Paul. Certains disent : « Il n’y a aucune manifestation de la poursuite d’une couronne de justice par Paul en moi. » Tes manifestations et ton essence ne sont peut-être pas aussi graves que celles de Paul, mais il y a certains croisements entre ton essence et la sienne. Il avait des manifestations comme celle-ci, et tu as des états comme celui-là. On peut dire que les manifestations de Paul étaient un 10 ou un 12 sur une échelle, alors qu’en est-il pour toi ? (Je suis à un sept ou un huit.) Paul révélait constamment ces choses et il était rempli de ces choses en permanence. Bien que tu ne révèles peut-être pas ces choses tout le temps, tu les révèles tout de même souvent. Tu passes probablement la moitié de ta vie à faire ces choses et à vivre dans ces états. Surtout lorsque Dieu te donne des épreuves, lorsque Dieu ne correspond pas à tes notions, lorsqu’Il t’émonde et lorsque les environnements qu’Il orchestre pour toi ne correspondent pas à tes attentes, cela peut faire naître ce genre d’état chez toi. Tu te mettras peut-être à vociférer contre Dieu et à t’opposer à Lui. Dans ce genre de moment, notre analyse de la manière dont Paul a attiré les gens et les a induit en erreur pourra t’être utile. Pourquoi ? Parce que maintenant ton esprit est conscient de la gravité de la nature des manifestations de Paul ; il ne s’agissait pas de simples révélations de tempéraments corrompus, mais plutôt d’une nature-essence diabolique qui s’opposait à Dieu. Lorsque de tels états surviennent en toi, tu sauras à quel point ce problème est grave. À partir de là, tu dois faire demi-tour, te repentir et abandonner cet état incorrect. Tu dois t’en éloigner, chercher la vérité et chercher un chemin de soumission à Dieu. C’est le vrai chemin que les humains devraient suivre et la loi à laquelle les êtres créés devraient se tenir. Cet échange est une aide pour les gens.

Paul a une autre expression célèbre – laquelle ? (« Pour moi, vivre c’était le Christ, et la mort m’est un gain » [Philippiens 1:21].) Il ne reconnaissait pas l’identité du Seigneur Jésus-Christ ni le fait que le Seigneur Jésus-Christ était le Dieu incarné vivant sur terre ou le fait que le Seigneur Jésus-Christ était l’incarnation de Dieu. En revanche, Paul se considérait comme le Christ. N’est-ce pas révoltant ? (Si.) C’est révoltant et l’essence de ce problème est très grave. Dans l’esprit de Paul, qui était exactement le Christ ? Quelle était Son identité ? Comment Paul pouvait-il être si obsédé par le fait d’être le Christ ? Si, dans l’esprit de Paul, le Christ était une personne ordinaire avec des tempéraments corrompus, ou une personne insignifiante qui jouait un rôle banal, qui n’avait aucun pouvoir, aucune noblesse dans son identité, et aucune capacité ou compétence qui surpassaient celles des gens ordinaires, Paul aurait-il tout de même voulu être le Christ ? (Non.) Certainement pas. Il se considérait comme bien éduqué et ne voulait pas être une personne ordinaire, il voulait être un surhumain, un grand homme, il voulait surpasser les autres – comment aurait-il pu souhaiter être un Christ que d’autres considéraient comme humble et insignifiant ? Compte tenu de cela, quels étaient le statut et le rôle de Christ dans le cœur de Paul ? Quelle identité et quel statut doit avoir quelqu’un, et quelle autorité, quel pouvoir et quelle conduite doit-il afficher pour être le Christ ? Cela expose ce que Paul imaginait que le Christ était et ce qu’il savait du Christ, c’est-à-dire la manière dont il définissait le Christ. C’est pourquoi Paul avait l’ambition et le désir d’être Christ. Il y a une raison particulière pour laquelle Paul voulait être Christ et cela est en partie révélé dans ses lettres. Analysons plusieurs questions. Lorsque le Seigneur Jésus accomplissait Son œuvre, Il a fait certaines choses qui représentaient Son identité en tant que Christ. Ces choses sont des symboles et des concepts qui, selon Paul, appartenaient à l’identité de Christ. De quoi s’agissait-il ? (Accomplir des signes et des prodiges.) Exactement. Il s’agissait du fait que Christ guérissait les malades, chassait les démons et accomplissait des signes, des prodiges et des miracles. Même si Paul a admis que le Seigneur Jésus était Christ, ce n’était qu’à cause des signes et des prodiges qu’Il avait accomplis. Par conséquent, lorsque Paul répandait l’Évangile du Seigneur Jésus, il ne parlait jamais des paroles que le Seigneur Jésus avait prononcées ni de ce qu’Il avait prêché. Aux yeux de Paul, un incrédule, le fait que Christ soit capable de dire tant de choses, de prêcher autant, de travailler autant et d’amener autant de gens à Le suivre conférait un certain honneur à l’identité et au statut du Seigneur Jésus ; Il jouissait d’une gloire et d’une noblesse illimitées, ce qui rendait le statut du Seigneur Jésus parmi les hommes particulièrement important et éminent. Voilà ce que Paul voyait. D’après ce que le Seigneur Jésus-Christ a manifesté et révélé en accomplissant Son œuvre, ainsi que Son identité et Son essence, ce que Paul voyait n’était pas l’essence, la vérité, le chemin ou la vie de Dieu ni la beauté ou la sagesse de Dieu. Que voyait-il ? Pour utiliser une tournure de phrase moderne, ce qu’il voyait c’étaient les paillettes de la célébrité et il voulait être un fan du Seigneur Jésus. Lorsque le Seigneur Jésus parlait ou accomplissait Son œuvre, tant de gens L’écoutaient – cela devait être particulièrement glorieux ! C’était quelque chose que Paul attendait depuis longtemps, il convoitait l’arrivée de ce moment. Il aspirait à ce jour où il pourrait prêcher sans fin comme le Seigneur Jésus que tant de gens regardaient, attentifs et captivés, admiratifs et pleins d’envie dans les yeux, voulant Le suivre. Paul a été stupéfait par l’impressionnante conduite du Seigneur Jésus. En réalité, il n’était pas vraiment stupéfait par cela ; il enviait plutôt cette identité et cette allure que les gens admiraient, idolâtraient et estimaient et à laquelle ils prêtaient attention. C’est ce qu’il enviait. Alors, comment pouvait-il obtenir cela ? Il ne croyait pas que le Seigneur Jésus-Christ accomplissait ces choses à travers Son essence et Son identité, mais il croyait que c’était grâce à Son titre. Par conséquent, Paul aspirait à être une personnalité importante et à avoir un rôle qui lui donnerait la possibilité de porter le nom du Christ. Paul a fourni beaucoup d’efforts pour obtenir un tel rôle, n’est-ce pas ? (Oui.) Quels efforts a-t-il déployés ? Il prêchait partout et accomplissait même des miracles. En fin de compte, il a utilisé une expression pour se définir qui satisfaisait ses désirs et ses ambitions intérieurs. Quelle expression a-t-il utilisée pour se définir ? (« Pour moi, vivre c’était le Christ, et la mort m’est un gain. ») Vivre, c’est Christ. C’est la principale chose qu’il voulait accomplir ; son désir principal était d’être Christ. Quel lien existe-t-il entre ce désir et ses poursuites personnelles et le chemin qu’il a emprunté ? (Il vénérait le pouvoir et recherchait l’admiration des gens.) Ceci est une théorie ; vous devriez parler de faits. Paul a manifesté son désir d’être le Christ de manière concrète ; la définition que Je donne de lui n’est pas uniquement basée sur une seule phrase qu’il a prononcée. D’après le style, les méthodes et les principes sur lesquels ses actions se basent, nous pouvons voir que tout ce qu’il faisait, tournait autour de son objectif de devenir Christ. C’est la racine et l’essence de la raison pour laquelle Paul a dit et fait tant de choses. Paul voulait être le Christ et cela a influencé ses poursuites, son chemin dans la vie et sa croyance. De quelle manière cette influence s’est-elle manifestée ? (Paul s’est mis en avant et a témoigné de lui-même dans tout son travail et ses prédications.) C’est l’une des manières ; Paul se mettait en valeur à chaque occasion. Il expliquait clairement aux gens combien il avait souffert, toutes les choses qu’il avait faites et quelles étaient ses intentions, de sorte que lorsque les gens entendaient cela, ils se disaient qu’il ressemblait à Christ trait pour trait et ils voulaient vraiment l’appeler Christ. C’était le but de Paul. Si les gens l’avaient vraiment appelé Christ, l’aurait-il refusé ? Aurait-il rejeté cette appellation ? (Non.) Il ne l’aurait certainement pas fait – il aurait sûrement été ravi. C’est l’une des manières dont l’influence de ces choses sur ses poursuites s’est manifestée. Par quels autres moyens cela passait-il ? (Il a écrit des lettres.) Oui, il a écrit des lettres pour qu’elles soient transmises à travers les époques. Dans ses lettres, son travail et à travers sa direction des Églises, il n’a jamais mentionné le nom du Seigneur Jésus-Christ, ni fait des choses au nom du Seigneur Jésus-Christ, ni exalté le nom du Seigneur Jésus-Christ. Quel effet négatif cela a-t-il eu qu’il travaille et parle toujours de cette façon ? En quoi cela a-t-il influencé ceux qui suivaient le Seigneur Jésus ? Cela a poussé les gens à renier le Seigneur Jésus-Christ et Paul a pris Sa place. Il désirait ardemment que les gens demandent : « Qui est le Seigneur Jésus-Christ ? Je n’ai jamais entendu parler de Lui. Nous croyons en Paul le Christ. » Ainsi, il serait heureux. C’était son but, et l’une des choses qu’il recherchait. Une façon dont cette influence se manifestait, c’était la façon dont il travaillait ; il divaguait sur des idées creuses et parlait sans cesse de théories vides pour faire comprendre aux gens à quel point il était doué et convaincant dans son travail, à quel point il aidait les gens et le fait qu’il avait une certaine allure, comme si le Seigneur Jésus-Christ était réapparu. Une autre façon dont cette influence s’est manifestée était qu’il n’exaltait jamais le Seigneur Jésus-Christ et il n’exaltait certainement pas Son nom ni ne témoignait des paroles et de l’œuvre du Seigneur Jésus-Christ ou de la façon dont les gens en bénéficiaient. Paul a-t-il prêché des sermons sur la façon dont les gens devaient se repentir ? Certainement pas. Paul n’a jamais prêché concernant l’œuvre accomplie par le Seigneur Jésus, les paroles qu’Il a prononcées ou toutes les vérités qu’Il a enseignées aux gens – Paul niait ces choses dans son cœur. Non seulement Paul niait les paroles du Seigneur Jésus-Christ et les vérités qu’Il enseignait aux gens, mais il traitait ses propres paroles, son travail et ses enseignements comme la vérité. Il les a utilisés pour remplacer les paroles du Seigneur Jésus et a fait en sorte que les gens pratiquent ses paroles et y adhèrent comme si elles étaient la vérité. Qu’est-ce qui a motivé ces manifestations et ces révélations ? (Son souhait d’être le Christ.) Elles étaient motivées par son intention, son désir et son ambition d’être Christ. Cela était étroitement lié à sa pratique et à ses poursuites. C’est le sixième péché de Paul. Est-ce grave ? (Oui.) En réalité, tous ses péchés sont graves. Ils sont tous synonymes de mort.

Maintenant, je vais échanger sur le septième péché de Paul. Celui-ci est encore plus grave. Avant que Paul ne soit appelé par le Seigneur, il croyait au judaïsme. Le judaïsme est la croyance en l’Éternel Dieu. Quelle vision ceux qui croient en L’Éternel Dieu ont-ils de Dieu ? Elle se rattache à ce que leurs ancêtres ont vécu lorsque l’Éternel Dieu les a conduits hors d’Égypte vers le bon pays de Canaan : la manière dont l’Éternel Dieu est apparu à Moïse, la manière dont Il a envoyé dix plaies sur l’Égypte, la manière dont Il a utilisé des colonnes de nuée et de feu pour conduire les Israélites, la manière dont Il leur a donné Ses lois, et ainsi de suite. Ceux qui croyaient au judaïsme à cette époque pensaient-ils que toutes ces choses n’étaient que des contes de fées, des notions et des légendes, ou pensaient-ils qu’il s’agissait de faits ? À l’époque, le peuple élu de Dieu et ceux qui étaient de vrais disciples croyaient et reconnaissaient que Dieu dans le ciel existait et était réel. Ils se disaient : « Le fait que Dieu a créé l’humanité est vrai. Peu importe depuis combien de temps cela est arrivé, ce fait reste vrai. Non seulement nous devons y croire, mais nous devons en être persuadés et partager ce fait. C’est notre responsabilité et notre obligation. » Cependant, un autre groupe de gens incrédules estimait que ces choses n’étaient probablement que des légendes. Aucun d’entre eux n’a essayé de vérifier les histoires ou de faire des recherches pour savoir si elles étaient réelles ou fictives, ils se contentaient de ne les croire qu’à moitié. Quand ils avaient besoin de Dieu, ils espéraient qu’Il était réel et qu’Il pouvait leur accorder ce qu’ils souhaitaient, ce pour quoi ils priaient et ce qu’ils désiraient ardemment ; lorsqu’ils priaient Dieu en espérant obtenir quelque chose, ils espéraient que ce Dieu existe. Ce faisant, ils traitaient simplement Dieu comme une béquille psychologique. Ils ne voyaient pas le fait que Dieu sauve l’homme et ils n’acceptaient pas non plus les vérités exprimées par Dieu. Ce n’était pas une vraie croyance en Dieu ; ils étaient déjà incrédules. Comment le type de personne le plus inférieur se manifestait-il ? Tout ce que faisaient ces gens, c’était servir Dieu à l’Église, Lui faire des offrandes, suivre tous les rituels et même croire à toutes sortes de légendes. Cependant, Dieu n’était pas dans leur cœur et le Dieu issu de leurs notions et de leur imagination était vague et creux. En quoi de telles personnes croyaient-elles ? Le matérialisme. Elles ne croyaient qu’aux choses qu’elles pouvaient voir. À leurs yeux, les légendes, les choses vagues et tout ce qu’ils ne pouvaient pas toucher de leurs mains dans le domaine spirituel, voir avec leurs yeux ou entendre avec leurs oreilles n’existaient pas. Certains disent : « Alors, croient-ils en l’existence de choses qu’ils ne peuvent pas voir, comme les micro-organismes ? » Ils croient fermement en ces choses. Ils croient fermement en la science, les électrons, la microbiologie et la chimie. Les incrédules croient que ces choses sont plus vraies que tout. Ce sont de vrais matérialistes. Nous parlons de cela afin d’analyser ces trois types de personnes : les vrais croyants, ceux qui croient à moitié, et les matérialistes qui ne croient pas du tout en l’existence de Dieu. Certains disent : « Y a-t-il vraiment un Dieu ? Où est-Il ? À quoi ressemble-t-Il ? J’ai entendu dire que Dieu est dans le troisième ciel. Alors, à quelle hauteur se trouve le troisième ciel ? À quelle distance se trouve-t-il et quelle est sa taille ? Les gens disent aussi qu’il existe un paradis, qu’il est pavé de briques d’or et de carreaux de jade, et que les murs sont aussi en or. Comment pourrait-il y avoir un endroit aussi merveilleux ? C’est absurde ! J’ai entendu dire qu’à l’ère de la Loi, Dieu a transmis Ses lois à Son peuple élu et que les Tables de la loi existent toujours. Ce n’est probablement qu’une légende, quelque chose que la classe dirigeante utilise pour contrôler les masses. » Ce groupe de personnes croit-il vraiment en Dieu ? (Non.) Ils ne croient pas que Dieu existe vraiment ou dans le fait qu’Il a créé les humains et a dirigé l’humanité jusqu’à nos jours. Alors, pourquoi servent-ils encore au sein de l’Église ? (Parce qu’ils traitent le service à Dieu comme un travail et un ticket-repas.) C’est ça. Ils y voient un travail et un ticket-repas. Alors, quel type de personne était Paul ? (Le troisième type.) Cela est lié à sa nature-essence. Paul aimait ressasser des théories vides. Il aimait les choses vides, les choses vagues et les choses fantaisistes. Il aimait les choses profondes et difficiles à saisir, et qui ne peuvent pas être présentées en termes concrets. Il aimait analyser les choses à outrance, il était partial et têtu, et il en avait une compréhension déformée. Les gens comme ça ne sont pas humains. C’est le genre de personne qu’il était. En examinant le tempérament et la nature-essence de Paul, ainsi que ses préférences, ses espoirs, ses poursuites et ses aspirations, bien qu’il ait servi dans l’Église et ait été l’élève d’un célèbre professeur, les connaissances qu’il a apprises n’étaient qu’un outil pour lui permettre de satisfaire ses propres désirs, ses ambitions et sa vanité, et de se procurer un ticket-repas, un statut et une position dans la société. En regardant la nature-essence et les poursuites de Paul, quel était son niveau de foi en l’Éternel ? Sa foi n’était pas une promesse, juste des paroles vides. C’était un incrédule, un athée et un matérialiste. Certains demandent : « Si Paul était un incrédule, pourquoi est-il devenu l’apôtre du Seigneur Jésus-Christ et a-t-il répandu l’Évangile de l’ère de la Grâce ? » Dites-Moi, comment a-t-il pu suivre ce chemin ? Qu’est-ce qui l’y a incité ? Quel a été le point de bascule qui l’a poussé à endosser ce rôle et qui a rendu un incrédule comme lui capable de marcher sur un chemin comme celui-ci et d’effectuer un revirement ? À quoi Je fais référence quand je parle d’un « revirement » ? C’est le moment où Paul a été frappé sur la route de Damas – cela a été le tournant de sa vie. Il a connu deux sortes de revirements : d’une part, il est passé du fait de ne pas croire en Dieu à celui de croire que Dieu existe clairement puisque le Seigneur Jésus qu’il avait jusque-là persécuté lui est apparu sur la route de Damas. Paul s’est exclamé : « Qui es-Tu, Seigneur ? » En fait, au fond de lui, Paul ne croyait pas que ce Seigneur et Dieu existait, mais il n’a pas pu s’empêcher de crier : « Qui es-Tu, Seigneur ? » Qu’a dit le Seigneur Jésus ? (« Je suis Jésus que tu persécutes » [Actes 9:5].) Dès l’instant où le Seigneur Jésus a dit cela, Paul a été convaincu d’un fait : un Seigneur était apparu qu’il n’avait jamais vu auparavant, était incapable d’imaginer, et qui était plus puissant qu’il ne pouvait l’imaginer. Comment a-t-il été convaincu que le Seigneur était plus puissant qu’il ne pouvait l’imaginer ? Parce qu’au moment où Paul s’y attendait le moins, ce Jésus qu’il ne croyait absolument pas être Dieu est apparu juste devant lui. Quelle est la puissance du Seigneur Jésus ? Paul a été convaincu de l’ampleur de sa puissance lorsque ses yeux ont été aveuglés par Sa lumière. Alors, pouvait-il être convaincu que le Seigneur Jésus était Dieu ? (Non.) Pourquoi pas ? (Parce que Paul ne croyait pas que Dieu existait de toute façon.) C’est vrai, c’est parce qu’il ne croyait pas du tout en l’existence de Dieu. En ce moment, vous avez tous la foi et un fondement dans votre cœur, donc si Dieu t’apparaissait, même si tu ne percevais que Sa voix ou Son dos, et s’Il te parlait ou t’appelait, tu serais convaincu d’un fait : « C’est le Dieu en qui je crois. Je L’ai vu et je L’ai entendu. Dieu s’est approché de moi. » Tu en serais convaincu parce que tu as la foi dans ton cœur, tu as rêvé de ce moment et tu n’aurais pas peur. Mais est-ce ce que Paul pensait ? (Non.) Il n’a jamais eu de foi dans son cœur. Quelle a été sa première pensée ? (De la peur.) Il avait peur, car cette entité était capable de le frapper et de le tuer ! Cela l’a plus effrayé et terrifié que l’enfer, qu’il ne pouvait pas voir. Il avait une peur bleue. Son cœur n’avait aucune foi en Dieu – on peut dire qu’il n’avait aucun concept de Dieu. Par conséquent, lorsque le Seigneur Jésus faisait Son œuvre, qu’il s’agisse d’accomplir des signes et des prodiges ou de prêcher des sermons, peu importe le nombre de personnes qui Le suivaient, à quel point Il était impressionnant ou à quel point la scène était frappante, dans l’esprit de Paul, le Seigneur Jésus n’était rien de plus qu’une personne ordinaire. Il méprisait le Seigneur Jésus et n’avait pas la moindre considération pour Lui. Mais désormais, cet ordinaire Fils de l’homme qu’il regardait de haut se tenait devant lui, non plus dans le corps d’une personne ordinaire et non plus avec seulement une voix, mais sous la forme d’une colonne de lumière ! Pour lui, ce fut un moment qu’il n’oublierait jamais. La lumière était aveuglante ! Comment Dieu a-t-il frappé Paul ? Lorsque Dieu s’est approché de Paul, Paul a été aveuglé en un instant et il est tombé par terre. Que s’est-il passé ? Est-il tombé de lui-même et par sa propre volonté, ou était-il déjà préparé à cela ? (Non, il n’a tout simplement pas pu le supporter.) Le corps de l’homme n’est que chair ; il ne peut pas le supporter. Lorsque Dieu S’approche vraiment de toi, Il ne le fait pas dans le corps physique ordinaire dans lequel tu as vu le Seigneur Jésus – un corps si agréable et accessible, si humble et ordinaire, fait de chair et de sang, quelqu’un qui te semble banal et auquel tu ne prêtes pas attention. Lorsque Dieu s’approchera vraiment de toi, même s’Il ne te frappe pas, tu ne pourras pas le supporter ! La première chose que Paul a ressentie au fond de son cœur, c’est : « J’ai été approché par le Seigneur Jésus que j’avais l’habitude de persécuter et de mépriser. Cette lumière est si puissante ! » Dieu lui a-t-Il dit de se prosterner ? A-t-Il dit : « Tu dois te prosterner » ? (Non.) Alors pourquoi Paul était-il face contre terre ? (Il avait peur.) Non. Les êtres humains ont été créés par Dieu et ils sont si petits et si faibles que lorsque la lumière de Dieu touche leur chair, ils ne peuvent s’empêcher de tomber à terre. Dieu est trop grand et trop fort ; Il dépasse leurs capacités et ce que leurs nerfs peuvent supporter. Paul ne reconnaissait pas le Seigneur Jésus comme Dieu ou comme Seigneur, alors pourquoi se prosternerait-il de son propre chef ? Il est tombé à plat ventre ; il était complètement immobilisé et paralysé. Sa fierté, son arrogance, sa présomption et sa suffisance initiales ont disparu à cet instant. Dieu n’est même pas apparu à Paul sous la forme de Sa personne réelle ; ce n’est que Sa lumière qui a brillé sur lui, et quand Paul l’a vue, c’est ce qu’il s’est passé ; c’est la force de l’impact que cela a eu sur lui. C’était le tournant dans la vie de Paul. S’il n’y avait pas de contexte unique derrière ce revirement, ou si ce n’était pas un cas particulier, alors pour une personne ordinaire avec de l’humanité et une conscience, qui poursuit des choses positives et qui poursuit la vérité, ce serait une bonne chose, parce que quand une personne voit Dieu, cela influence la poursuite de sa vie entière. À en juger par ce qui est écrit dans la Bible, au cours des siècles, il était rare qu’une personne entende Dieu parler. Job a entendu Dieu lui parler depuis une tempête après l’avoir éprouvé. Job a passé toute sa vie à chercher à se soumettre aux arrangements de Dieu et à comprendre la souveraineté de Dieu, mais il n’a pas vu Dieu avant l’âge de soixante-dix ans ; il avait seulement fait l’expérience de sa souveraineté, pourtant Job avait la foi qu’il avait. Quand il a entendu Dieu lui parler de ses propres oreilles, n’était-ce pas un énorme revirement dans sa foi ? (Si.) Ce revirement correspondait à une élévation, un moment où sa foi s’est accrue encore davantage. Cela lui a confirmé encore plus que toute l’œuvre que faisait le Dieu auquel il croyait et se soumettait dans les gens était juste et bonne, et que les gens devaient se soumettre à Lui. Ce n’était pas un petit revirement ressemblant à l’expérience d’une personne quelconque qui passe progressivement d’une foi pleine de doutes à une vraie foi exempte de doute. C’était plutôt une élévation à travers laquelle sa foi atteignait un niveau supérieur. En ce qui concerne Paul, quel tournant aurait dû représenter l’apparition de Dieu qui l’a frappé ? Certainement pas l’élévation, puisqu’il n’avait jamais cru en Dieu avant cela, donc ça ne pouvait pas être considéré comme de l’élévation. Alors, quel impact cela a-t-il eu sur lui ? Cela est encore une fois lié à ses poursuites. Dites-Moi. (Afin de préserver sa vie, Paul voulait rendre service en partageant l’Évangile pour expier ses péchés.) C’est tout à fait cela. Il craignait aussi la mort aussi et était très rusé. Quand il a découvert que le Jésus qu’il avait persécuté était en fait Dieu, il a eu très peur et s’est dit : « Que dois-je faire ? Tout ce que je peux faire, c’est écouter les ordres du Seigneur, sinon je mourrai ! » À partir de ce moment, il a accepté le mandat de Dieu et a commencé à répandre l’Évangile et à rendre service afin d’expier ses péchés. Il se disait : « Si je réussis effectivement à répandre l’Évangile et que le Seigneur Jésus est satisfait, il se peut même que j’obtienne une couronne et une récompense ! » Tels étaient les calculs qu’il faisait au plus profond de son cœur. Il pensait avoir enfin trouvé une meilleure occasion d’obtenir des bénédictions. Paul a accepté le mandat du Seigneur afin d’expier ses péchés et de sauver sa vie ; c’était l’intention et l’objectif qui se cachaient derrière sa décision de croire au Seigneur et de L’accepter. Depuis l’instant où il a rencontré le Seigneur Jésus sur le chemin de Damas et qu’il a été frappé, il a effectué un tournant qui a marqué un nouveau départ pour ses poursuites et sa croyance en Dieu. Ce nouveau départ était-il positif ou négatif ? (Il était négatif.) Il n’a pas reconnu la justice de Dieu, et il a accepté le mandat du Seigneur Jésus en passant par une méthode de transaction encore plus rusée, indicible et sournoise simplement parce qu’il craignait la majesté de Dieu et qu’il avait été frappé. C’est encore plus dégoûtant. Cependant, ce n’est pas le but de Mon échange aujourd’hui. À partir du revirement de Paul après avoir vu la grande lumière de Dieu et des différentes façons dont il s’est manifesté, nous pouvons clairement voir sur quel chemin Paul se trouvait et quel genre de personne montrait sa nature-essence. Ces choses sont tout à fait claires.

Depuis qu’il avait été frappé, Paul croyait que le Seigneur Jésus-Christ existait et que le Seigneur Jésus-Christ était Dieu. Le Dieu auquel il croyait était instantanément passé de Dieu dans le ciel au Seigneur Jésus-Christ – il était devenu Dieu sur la terre. À partir de ce moment, il ne pouvait plus refuser le mandat du Seigneur Jésus et a commencé à rendre service pour le Dieu incarné – le Seigneur Jésus – corps et âme. Bien sûr, le but de son service était en partie de s’absoudre de ses péchés, mais c’était aussi pour satisfaire son désir d’être béni et d’obtenir la destination qu’il voulait. Quand Paul a dit « par la volonté de Dieu », « Dieu » se référait-il à l’Éternel ou à Jésus ? Il est devenu un peu confus et a pensé : « Je crois en l’Éternel, alors pourquoi ai-je été frappé par Jésus ? Pourquoi l’Éternel n’a-t-Il pas arrêté Jésus quand Il m’a frappé ? Lequel d’entre Eux est vraiment Dieu ? » Il était incapable de comprendre. Quoi qu’il en soit, il ne considérerait jamais le Seigneur Jésus comme son Dieu. Même s’il Le reconnaissait en paroles, il avait toujours un doute dans le cœur. Avec le temps, il a petit à petit recommencé à croire que « seul l’Éternel est Dieu », donc dans toutes les lettres de Paul qui ont suivi, lorsqu’il écrit « par la volonté de Dieu », « Dieu » fait probablement principalement référence à l’Éternel. Parce que Paul n’a jamais clairement déclaré que le Seigneur Jésus était l’Éternel, qu’il a toujours vu le Seigneur Jésus comme le Fils de Dieu, s’est référé à Lui comme le Fils et n’a jamais dit quelque chose du genre « le Fils et le Père sont un ». Cela prouve que Paul n’a jamais reconnu le Seigneur Jésus comme le seul vrai Dieu ; il en doutait et ne le croyait qu’à moitié. En considérant ce point de vue qu’il avait sur Dieu et sa méthode de poursuite, Paul n’était pas quelqu’un qui poursuivait la vérité. Il n’a jamais compris le mystère de l’incarnation et n’a jamais reconnu le Seigneur Jésus comme le seul vrai Dieu. À partir de là, il n’est pas difficile de dire que Paul était quelqu’un qui adorait le pouvoir et qui était rusé et fourbe. Que nous montre le fait que Paul adorait la malveillance, le pouvoir et le statut concernant sa croyance ? Avait-il une vraie croyance ? (Non.) Il n’avait pas de vraie croyance, alors le Dieu qu’il définissait dans son cœur existait-il réellement ? (Non.) Alors pourquoi a-t-il continué à voyager, à se dépenser et à travailler pour le Seigneur Jésus-Christ ? (Il était contrôlé par son intention d’être béni.) (Il avait peur d’être puni.) Nous en revenons à ce point. C’était parce qu’il craignait d’être puni, et parce qu’il avait une épine dans la chair qu’il ne pouvait pas enlever. Il devait donc voyager et travailler sans cesse, de peur que l’épine dans sa chair ne lui fasse plus mal qu’il ne pouvait le supporter. À partir de ses manifestations, de ses paroles, sa réaction à ce qui s’est passé sur le chemin de Damas et de l’effet que cela lui a fait après coup d’être frappé sur le chemin de Damas, nous pouvons voir qu’il n’avait aucune croyance dans le cœur ; on peut plus ou moins être sûr que Paul était un incrédule et un athée. Son point de vue était : « Quiconque a le pouvoir, c’est en lui que je croirai. Quiconque a le pouvoir et peut me soumettre, pour lui je ferai des corvées et je donnerai le meilleur de moi-même. Celui qui peut me donner une destination, une couronne, et satisfaire mon désir d’être béni, c’est celui que je suivrai. Je le suivrai jusqu’au bout. » Qui était le Dieu dans son cœur ? N’importe qui pouvait être son Dieu, tant qu’il était plus puissant que lui et pouvait le soumettre. N’était-ce pas la nature-essence de Paul ? (Si.) Alors, qui était l’entité en qui il a fini par croire, capable de le frapper sur le chemin de Damas ? (Le Seigneur Jésus-Christ.) « Le Seigneur Jésus-Christ » était le nom qu’il utilisait, mais l’entité en laquelle il croyait vraiment était le Dieu dans son cœur. Où est son Dieu ? Si vous lui aviez demandé : « Où est ton Dieu ? Est-Il dans les cieux ? Est-Il parmi toutes les choses créées ? Est-Il Celui qui est souverain sur toute l’humanité ? » Il aurait dit : « Non, mon Dieu est sur le chemin de Damas. » Voilà qui était vraiment son Dieu. Est-ce que la raison pour laquelle Paul a pu cesser de persécuter le Seigneur Jésus-Christ et commencer à travailler, se dépenser et même sacrifier sa vie pour le Seigneur Jésus-Christ – la raison pour laquelle il a pu faire un si grand revirement – est-ce parce qu’il y a eu un changement au niveau de sa croyance ? Est-ce parce que sa conscience s’était réveillée ? (Non.) Alors à quoi cela est-il dû ? Qu’est-ce qui a changé ? Son soutien psychologique a changé. Avant, son soutien psychologique était dans les cieux ; c’était quelque chose de vide et de vague. Si cela était remplacé par Jésus-Christ, Paul aurait pensé qu’Il était trop insignifiant – Jésus n’était qu’une personne ordinaire, Il ne pouvait pas un soutien psychologique – et Paul avait encore moins de respect pour les personnalités religieuses connues. Paul voulait juste trouver quelqu’un sur qui il pouvait compter, qui était capable de le soumettre et de le bénir. Il pensait que l’entité qu’il avait rencontrée sur la route de Damas était la plus puissante et que c’était celle en laquelle il devait croire. Son soutien psychologique a changé en même temps que sa croyance. En nous basant sur cela, Paul croyait-il vraiment en Dieu ou non ? (Non.) Résumons maintenant en une phrase ce qui a influencé les poursuites de Paul et la route sur laquelle il se trouvait. (Son soutien psychologique.) Alors, comment devrions-nous définir le septième péché de Paul ? À tous les égards, la croyance de Paul était un soutien psychologique ; elle était vide et vague. C’était un incrédule et un athée de bout en bout. Pourquoi un athée et un incrédule comme lui ne quittait-il pas le monde religieux ? D’une part, dans sa vague imagination, il y avait la question de la destination. D’autre part, il y avait la question d’obtenir un ticket-repas dans la vie. La renommée, le profit, le statut et un ticket-repas étaient ce qu’il poursuivait dans cette vie et l’idée d’avoir une destination dans le monde à venir était réconfortante pour lui. Ces choses constituent chaque racine et soutien qui se cachent derrière ce que les gens comme lui poursuivent et révèlent, et derrière le chemin qu’ils empruntent. De ce point de vue, qu’était Paul ? (Un incrédule. Il croyait en un dieu vague.) (Un athée.) Il est exact de dire que c’était un athée et qu’il était un incrédule et un opportuniste qui se cachait dans le christianisme. Si tu le traites simplement de pharisien, n’est-ce pas un euphémisme ? Si tu regardes les lettres écrites par Paul et que tu vois qu’en surface il écrit : « par la volonté de Dieu » tu te diras peut-être que Paul considérait le Dieu du ciel comme le plus élevé et que ce n’est qu’à cause des notions des gens ou parce qu’ils étaient ignorants et ne comprenaient pas Dieu, qu’ils divisaient Dieu en trois niveaux : le Père, le Fils, le Saint-Esprit, que cela n’est que la folie d’un homme et que ce n’est pas un problème très grave, parce que tout le monde religieux pense aussi ainsi. Cependant, maintenant, après analyse, est-ce le cas ? (Non.) Paul n’a même pas reconnu l’existence de Dieu. C’est un athée et un incrédule, et il devrait être placé dans le même panier que les athées et les non-croyants.

J’ai fini de résumer les sept péchés de Paul. Donnez-M’en un bref résumé. (Le premier péché est que Paul traitait la poursuite d’une couronne de justice et la poursuite de bénédictions comme étant des objectifs appropriés ; le deuxième est que Paul traitait ce qu’il imaginait et ce qu’il pensait vrai dans ses propres notions comme étant la vérité et il les prêchait partout, ce qui induisait les gens en erreur ; le troisième est que Paul traitait ses dons et ses connaissances comme étant la vie ; le quatrième est que Paul niait l’identité et l’essence du Seigneur Jésus-Christ et il niait l’œuvre de rédemption du Seigneur Jésus ; le cinquième est que Paul prêchait : « La couronne de justice m’est réservée, » et attirait et égarait ouvertement les gens en les poussant à essayer de forcer la main de Dieu, à vociférer contre Lui et à s’opposer à Lui ; le sixième est que Paul croyait que pour lui, vivre était le Christ. Il a nié les vérités exprimées par le Seigneur Jésus, a remplacé les paroles du Seigneur Jésus par les siennes, et a incité les gens à les pratiquer et à y adhérer. Le septième péché de Paul est qu’il a traité la croyance en Dieu comme un soutien psychologique et qu’il était athée et incrédule de bout en bout.) Notre analyse des problèmes de Paul est si détaillée qu’elle peut permettre à tous ceux qui adorent Paul de revenir à la raison. Cela a beaucoup de sens. Parmi ces tempéraments et ces essences que Paul a révélés et manifestés, et parmi ses méthodes personnelles de poursuite, lesquelles possèdent des corrélations évidentes avec vous ? (Toutes.) Le premier péché est de traiter la poursuite d’une couronne de justice et la poursuite de bénédictions comme des objectifs appropriés. Pourquoi est-ce que Je dis que c’est mal et que les gens devraient réfléchir et changer cela ? Lorsque Paul poursuivait une couronne de justice, des bénédictions et cherchait à entrer dans le royaume des cieux, il considérait la poursuite de ces avantages comme étant appropriée. Alors, quelles révélations et manifestations avez-vous dans la vie réelle qui correspondent à cet état ? (Parfois, je cherche à faire un travail important et à apporter des contributions à la maison de Dieu. Je pense qu’en poursuivant ces choses, Dieu finira par me perfectionner. Je traite le travail que je fais et les devoirs que j’accomplis comme une liste de réussites.) Cela en fait partie. Traiter les devoirs que tu as accomplis comme une liste de réussites est la même chose que de poursuivre une couronne de justice ; c’est le même genre de chose ; c’est le même état. C’est pour cela que tu travailles et que tu souffres. C’est ce qui dirige la source de ta souffrance et ce qui motive ta souffrance. Si ces choses ne te dirigeaient pas, tu n’aurais aucune énergie ; tu serais complètement épuisé. Quelqu’un a-t-il autre chose ? (Traiter les moments passés où j’ai abandonné des choses, où je me suis dépensé, où j’ai souffert, les moments où j’ai été arrêté et où j’ai passé du temps en prison, et des choses de ce genre comme étant un capital personnel, et comme un fondement et une raison pour être béni.) Ce n’est qu’une description. Quel est l’état sous-jacent présent ici ? Quel genre de situation te fait tomber dans cet état ? Tu ne penserais pas de cette façon sans raison. Il est impossible que tu penses toujours ainsi lorsque tu manges, que tu dors ou que tu fais des choses du quotidien. Il faut que tu saches quels antécédents et quelles situations te mettent dans cet état. Dis-Moi. (Quand je suis un peu efficace dans mes fonctions, je pense que j’ai voyagé pour Dieu, que je me suis dépensé pour Lui, que j’ai fourni des efforts et fait beaucoup pour Lui. Tout comme Paul, je pense avoir combattu le bon combat pour Dieu et apporté une contribution. C’est à ce moment-là que mes ambitions et mes désirs pointent le bout de leur nez.) En réalité tu n’étais pas sans ambitions ni désirs à l’origine ; ils étaient cachés dans ton cœur dès le début et maintenant ils remontent à la surface et se révèlent. Lorsque cela se produit, tu n’es plus humble, tes mots ne sont pas indirects et tu deviens arrogant. Les points de vue incorrects de Paul étaient à la base de tout ce qu’il faisait. Parce que les points de vue sous-jacents à sa croyance en Dieu étaient faux, cela garantissait que la racine de ses actions était fausse. Cependant, il ne s’en rendait pas compte et pensait même que cela était approprié, alors il continuait à poursuivre dans une mauvaise direction. De ce fait, le résultat de ses poursuites était à l’opposé de ce qu’il voulait ; elles n’ont pas eu de bons résultats et il n’a pas acquis la vérité. Les gens d’aujourd’hui sont pareils. Si les points de vue et la direction qui guident ta poursuite sont toujours erronés, mais que tu les traites quand même comme des méthodes de poursuite correctes, alors que vas-tu finalement y gagner ? Cela te décevra probablement ou cela fera enfler ta nature. Par exemple, si Dieu te bénit d’une manière spéciale ou t’accorde quelque chose juste à toi, tu te diras : « Regardez, Dieu fait preuve de grâce envers moi. Cela prouve que Dieu approuve tout ce que j’ai fait. Dieu l’a accepté. Mes sacrifices et mes efforts n’ont pas été vains. Dieu ne traite pas les gens injustement. » C’est ainsi que tu comprends le fait que Dieu ne traite pas les gens injustement, Ses bénédictions et Son acceptation, mais cette compréhension est fausse et déformée. La clé, maintenant, est de transformer ces intentions, points de vue et poursuites erronés et déformés en points de vue et pensées corrects et purs. Ne faire les choses que selon des pensées et des points de vue corrects constitue la pratique de la vérité et c’est le seul moyen pour toi d’obtenir la vérité. C’est la clé.

En écoutant fréquemment des sermons, les gens commencent maintenant à réfléchir sur eux-mêmes et à s’évaluer à la lumière des paroles de Dieu. Ils commencent à reconnaître les problèmes qu’ils ont dans l’accomplissement de leurs devoirs et ils sont capables de détecter les états anormaux, les désirs extravagants et les révélations de corruptions en eux. Ils ne sont pas complètement incapables de percevoir les choses. Le seul problème c’est que lorsqu’ils se rendent compte qu’ils ne sont pas dans le bon état, ils n’ont pas la capacité de maîtriser leur état et ne cherchent pas la vérité pour le résoudre. Parfois, ils vivent selon des philosophies sataniques, sans offenser personne, et pensent qu’ils sont suffisamment bons. Cependant, ils n’ont pas réellement changé ; ils ont perdu leur temps, empêtrés dans la confusion, par conséquent, ils n’ont pas de véritable témoignage d’expérience à partager, même après avoir cru en Dieu pendant dix ans, et ils ont honte. Le principal problème qui doit être résolu maintenant est de savoir comment changer la direction incorrecte de vos poursuites. Tu sais clairement que la voie de la poursuite de la vérité est correcte, pourtant tu insistes pour rechercher célébrité, profit et statut. Comment peut-on résoudre ce problème afin que tu puisses t’engager sur la voie de la poursuite de la vérité ? C’est un vrai problème que les croyants doivent résoudre. Vous devriez échanger souvent sur la façon dont vous expérimentez l’œuvre de Dieu et voir qui a un témoignage d’expérience de poursuite de la vérité et qui a un bon témoignage d’expérience, puis l’accepter et suivre cet exemple, afin que tu en bénéficies et que tu brises les chaines des contraintes liées à ton tempérament corrompu. Il n’est pas facile de suivre le chemin de la poursuite de la vérité – tu dois te connaître, et pas seulement connaître tes transgressions ; la chose la plus importante est de connaître ton tempérament corrompu, ce qui ne va pas au niveau de tes préférences et poursuites, et quelles conséquences pourraient en résulter. C’est ce qu’il y a de plus crucial. La majorité des gens poursuivent la célébrité, le profit et le statut. Chaque jour, ils pensent à la façon de devenir un dirigeant, de faire en sorte que les autres les admirent, de se mettre en avant et de vivre une vie digne. Si les gens sont incapables d’avoir une réflexion concernant ces choses, qu’ils ne peuvent pas voir l’essence de ce genre de vie clairement et qu’ils continuent à tergiverser jusqu’au jour où ils percutent un mur de briques, trébuchent et reviennent enfin à la raison des années plus tard, cela ne retardera-t-il pas la question importante de leur croissance de vie ? Ce n’est qu’en examinant clairement leur propre tempérament corrompu et le chemin qu’ils ont choisi que les gens peuvent s’engager sur la voie de la poursuite de la vérité. Si c’est l’effet qu’ils veulent obtenir, n’est-il pas crucial qu’ils se connaissent ? Certaines personnes ne se connaissent pas le moins du monde, mais ont une vision très claire des problèmes des autres dans le moindre détail et se montrent particulièrement perspicaces. Alors, quand ils discernent les problèmes des autres, pourquoi ne s’en servent-ils pas comme d’un miroir pour s’examiner eux-mêmes ? Si tu dis toujours que les autres sont arrogants, présomptueux, fourbes et qu’ils ne se soumettent pas à la vérité, mais que tu ne vois pas que tu es pareil, alors tu as un problème. Si tu ne distingues jamais tes propres problèmes, et cela, quel que soit le nombre de sermons sur la vérité que tu entends, même si tu comprends ce que tu entends, tu ne t’évalues pas par rapport à cela, tu n’es pas prêt à examiner ton état et tu es incapable de gérer et de résoudre sérieusement tes propres problèmes, donc tu n’auras aucune entrée dans la vie. Si les gens sont toujours incapables d’entrer dans les vérités-réalités, n’auront-ils pas un sentiment de vide dans leur cœur ? Ils ne sentiront pas le travail que Dieu a fait en eux, comme s’ils n’avaient aucune perception. Ils seront toujours dans un état embrumé et leurs poursuites ne seront pas dirigées vers un objectif ou une direction corrects. Ils poursuivront simplement en fonction de leurs propres préférences et suivront leur propre chemin. C’est exactement comme Paul, qui ne donne de l’importance qu’à la poursuite de récompenses et d’une couronne, et qui n’accepte ni ne pratique pas du tout la vérité. Si ton esprit est toujours dans un état vague et que tu n’as pas un chemin de poursuite correct, alors tu n’as obtenu aucun résultat après avoir écouté des sermons pendant plusieurs années et le vrai chemin n’a jamais pris racine dans ton cœur. Bien que tu saches peut-être comment parler de nombreuses doctrines, cela ne te sert à rien pour résoudre ton état négatif ou ton tempérament corrompu. Lorsque tu rencontres une quelconque difficulté, la doctrine que tu comprends ne t’aidera pas à la surmonter ou à la traverser efficacement ; elle ne t’aidera pas à changer ou à corriger ton état, à te laisser vivre avec un sentiment de conscience, à te donner la liberté et la libération ou à t’empêcher d’être contraint par quoi que ce soit. Tu n’as jamais été dans un tel état auparavant, cela prouve donc que tu n’es fondamentalement pas entré dans les vérités-réalités. Si tu veux entrer dans les vérités-réalités, comprendre les paroles de Dieu, atteindre la vraie foi en Dieu, connaître Dieu et être sûr que Dieu existe vraiment, alors tu dois évaluer ton état à la lumière des paroles de Dieu, puis trouver un chemin pour pratiquer les paroles de Dieu et entrer dedans. Certaines personnes lisent les paroles de Dieu et veulent s’examiner à travers elles, mais peu importe combien elles essaient, elles en sont incapables. Par exemple, lorsque Dieu expose le fait que le tempérament de cet homme est trop arrogant, celui-ci pense : « Je suis très humble et je ne me mets pas en avant. Je ne suis pas arrogant. » Quelle est cette arrogance dont Dieu parle ? C’est une sorte de tempérament, pas la manifestation d’une personnalité hautaine, ou le fait de parler à voix haute ou d’une manière particulièrement prétentieuse. Cela se réfère plutôt à quelque chose dans ton tempérament – c’est un tempérament à cause duquel tu ne cèdes à rien, tu es dédaigneux, méprisant et ne te soucies de rien. Tu es arrogant, vaniteux, présomptueux, tu penses toujours que tu es doué et tu n’écoutes personne. Même si tu entends des paroles de vérité, tu ne t’en soucies absolument pas et tu considères que la vérité est sans importance. Tu ne penses pas que ce soit un problème lorsque tu révèles un tempérament corrompu et tu penses même que personne ne peut t’égaler, estimant toujours que tu es meilleur que tout le monde, et exigeant que les autres t’écoutent. C’est là une personne arrogante et présomptueuse. Les gens comme ça n’ont pas d’entrée dans la vie et aucune vérité-réalité.

Comment peut-on évaluer si une personne a les vérités-réalités ? Bien sûr, une évaluation précise doit être faite selon les paroles de Dieu. Tout d’abord, vérifie si tu te connais vraiment et si tu comprends vraiment ton tempérament corrompu. Par exemple, ton tempérament est-il arrogant ? Révèles-tu un tempérament arrogant quand tu fais des choses ? Si tu ne le sais pas, alors tu es quelqu’un qui ne se connaît pas. Si une personne ne peut pas voir clairement son état, n’a pas la moindre compréhension de la corruption qu’elle révèle, ne base pas ses paroles et ses actes sur la vérité, ne fait pas preuve de discernement face aux situations qu’elle rencontre et applique de manière aveugle les règlements lorsqu’elle se penche sur n’importe quelle question, mais ne sait pas si cela est bon ou mauvais, alors c’est une personne qui ne comprend absolument pas la vérité. Si tu comprends la vérité, tu seras en mesure de te connaitre, de savoir que tu as un tempérament arrogant, de discerner ton véritable état, de te repentir et de changer vraiment, et de savoir comment pratiquer la vérité. Cependant, si tu ne poursuis pas la vérité, que tu ne comprends pas l’aspect concret de la vérité des paroles de Dieu, que tu ne réfléchis pas aux essences corrompues des gens que Dieu expose ou si tu ne t’examines pas selon ces choses, alors tu seras toujours une personne à l’esprit confus. Seule la vérité peut te rendre perspicace et capable de faire la différence entre le bien et le mal, et le noir et le blanc ; seule la vérité peut te rendre intelligent et rationnel, te donner la sagesse et la capacité de distinguer clairement ce que sont les choses positives et ce que sont les choses négatives. Si tu ne peux pas distinguer clairement ces choses, tu seras une personne à l’esprit confus pour toujours ; tu seras toujours dans un état de confusion, d’ignorance et tu mélangeras tout. Les gens comme ça n’ont aucun moyen de comprendre la vérité, et peu importe combien d’années ils passent à croire en Dieu, ils sont toujours incapables d’entrer dans les vérités-réalités. Si leur service n’est pas à la hauteur, alors la seule chose qui reste pour eux, c’est d’être éliminés. Par exemple, une personne très réputée fait quelque chose, et la plupart des gens voient cela comme une bonne chose, mais si quelqu’un qui comprend la vérité regarde cet acte, il aura du discernement et pourra découvrir les mauvaises intentions cachées derrière ses actions – il verra que c’est de la fausse bonté, de la tromperie et de la malhonnêteté, et que seuls une personne mauvaise ou un roi démon pourrait faire quelque chose comme ça. Sur quoi se base-t-il pour dire cela ? L’essence de cette « bonne chose » a été déterminée en fonction de la vérité. Peu importe ce que les autres disent, ce n’est qu’en utilisant la vérité pour l’évaluer que tu peux voir clairement son essence : si c’est bon, alors c’est bon ; si c’est mauvais, alors c’est mauvais. Évaluer cet acte selon les paroles de Dieu donnera un résultat absolument exact. Cependant, si tu ne comprends pas la vérité, des notions surgiront en toi et tu diras : « Pourquoi cette personne est-elle exposée et condamnée pour avoir fait quelque chose de bien ? Elle n’est pas traitée équitablement ! » C’est ainsi que tu l’évalueras. Tu ne te bases pas sur la vérité pour évaluer cette question, mais plutôt sur des choses imaginées par ton esprit. Si tu examines toujours les choses en te basant sur des notions humaines et des choses imaginaires, tu ne pourras jamais voir clairement l’essence des problèmes ; tu seras simplement induit en erreur par les apparences extérieures. Lorsque tu n’as pas la vérité, peu importe ce que tu regardes, ton approche sera toujours confuse, embrumée, obscure et peu claire, mais ça ne t’empêche pas de penser que tu es perspicace et que ta pensée est profonde. C’est un manque de connaissance de soi. Par exemple, si Dieu dit qu’une personne est malfaisante et devrait être punie, mais que tu dis que c’est une bonne personne qui a fait de bonnes choses, tes paroles ne sont-elles pas en opposition exacte et contraires aux paroles de Dieu ? C’est ce qui arrive quand les gens ne comprennent pas la vérité et ne font pas preuve de discernement. Certaines personnes croient en Dieu depuis de nombreuses années, mais ne comprennent pas la vérité. Elles ne sont méticuleuses en rien et il y a beaucoup de choses qu’elles ne peuvent pas voir clairement. Elles sont aisément induites en erreur par de faux dirigeants et des antéchrists ; peu importe la situation qui se présente, pour peu qu’il y ait une personne malfaisante qui apporte des perturbations, leurs pensées deviennent confuses et elles parlent comme le ferait cette personne malfaisante sans même s’en rendre compte. Ce n’est que lorsque la personne malfaisante est exposée et révélée qu’elles reprennent leurs esprits. Les gens comme ça vivent souvent dans un état d’esprit ignorant et leur essence est celle d’une personne confuse. Les gens comme ça n’ont pas le moindre calibre ; non seulement ils ne comprennent pas la vérité, mais ils peuvent être induits en erreur à tout moment, ils n’ont donc aucun moyen d’entrer dans les vérités-réalités. Chaque Église a des gens comme ça – quand un faux dirigeant accomplit un travail, ils le suivent ; quand un antéchrist induit les gens en erreur, ils les suivent. En bref, ils suivront le dirigeant qui que soit cette personne ; ils sont comme une femme qui suit son mari dans tout ce qu’il fait. Si le dirigeant est une bonne personne, alors ils suivent une bonne personne ; si le dirigeant est une mauvaise personne, alors ils suivent une mauvaise personne. Ils n’ont pas d’opinions ou de points de vue propres. Par conséquent, ne vous attendez pas à ce que ce genre de personne soit capable de comprendre la vérité ou d’entrer dans la réalité. C’est déjà bien s’ils peuvent rendre quelques petits services. Le Saint-Esprit agit dans les personnes qui aiment la vérité. Les personnes qui aiment la vérité sont toutes des personnes de calibre qui sont au moins capables de comprendre les paroles de Dieu et de comprendre les sermons et les échanges de la maison de Dieu. Peu importe le nombre d’hérésies et de faussetés qui sont diffusées et répandues par le monde religieux, et peu importe la façon dont la force malveillante des antéchrists diffame, condamne et persécute l’Église, les gens qui aiment la vérité restent convaincus que les paroles de Dieu sont la vérité, et ils croient que les sermons, les échanges et le témoignage d’expérience de la maison de Dieu sont en accord avec la vérité et sont de vrais témoignages. C’est ce que signifie avoir une capacité de compréhension. Si tu te rends compte que toutes les paroles que Dieu prononce sont la vérité et les réalités de la vie que les gens devraient posséder, cette réalisation prouve que tu comprends déjà une partie de la vérité. Si tu comprends que toutes les vérités exprimées par Dieu sont des choses positives et des vérités-réalités, que tu es certain que c’est le cas et que tu reconnais à cent pour cent que c’est le cas, alors tu comprends l’œuvre de Dieu. Il n’est pas facile de comprendre la vérité ; seules les personnes éclairées par le Saint-Esprit peuvent y parvenir. Ceux qui comprennent vraiment la vérité reconnaissent déjà au fond de leur cœur que tout ce que Dieu a fait est positif, que c’est toute la vérité et que tout cela est si précieux pour l’humanité. Les personnes qui comprennent vraiment la vérité peuvent clairement voir que tout ce qui vient du monde des non-croyants est négatif et va à l’encontre de la vérité. Aussi bonnes que semblent être leurs théories, elles induisent les gens en erreur et leur causent du tort. Tout ce que Dieu fait est positif, c’est la vérité, et c’est le salut pour les gens. Tout ce que Satan et les démons font est négatif, erroné et absurde, cela induit les gens en erreur et leur fait du tort ; c’est exactement le contraire de ce que Dieu fait. Si ce point est parfaitement clair pour toi, alors tu as du discernement. Si tu es également capable de rechercher la vérité, d’accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, de te connaitre à travers les paroles de Dieu et de t’évaluer selon elles, de voir ta corruption telle qu’elle est vraiment, de résoudre les tempéraments corrompus que tu révèles dans chaque circonstance que Dieu crée pour toi, et que tu es finalement capable non seulement de te connaitre toi-même, mais aussi de faire preuve de discernement en ce qui concerne les autres, et de savoir qui croit vraiment en Dieu, qui est un incrédule, qui est un faux dirigeant, qui est un antéchrist et qui induit les gens en erreur – si tu es capable d’évaluer et de discerner ces choses avec précision, cela signifie que tu comprends la vérité et que tu as une certaine réalité. Disons, par exemple, que tes proches ou tes parents croient en Dieu, mais que, en raison de mauvaises actions, de perturbations, ou de refus de la vérité, ils sont exclus. Toutefois, tu n’as pas de discernement à leur égard, tu ne sais pas pourquoi ils ont été exclus, tu en es extrêmement affecté et tu te plains sans cesse que la maison de Dieu est dépourvue d’amour et qu’elle est injuste envers les gens. Tu devrais prier Dieu et chercher la vérité, puis simplement évaluer le genre de personnes que sont ces proches en te basant sur les paroles de Dieu. Si tu comprends vraiment la vérité, tu seras capable de les définir précisément, et tu verras que tout ce que Dieu fait est juste, et qu’Il est un Dieu juste. Ainsi, tu ne te plaindras pas, tu seras en mesure de te soumettre aux arrangements de Dieu, et tu n’essaieras pas de défendre tes proches ou tes parents. Il ne s’agit pas ici de rompre vos liens de parenté, mais simplement de définir quel genre de personnes ils sont et de faire en sorte que tu aies du discernement à leur égard et que tu saches pourquoi ils ont été éliminés. Si ces choses sont vraiment claires pour toi dans ton cœur et que ta perception est correcte et conforme à la vérité, alors tu seras en mesure de te tenir du même côté que Dieu et ta perception des choses sera parfaitement compatible avec les paroles de Dieu. Si tu es incapable d’accepter la vérité ou de considérer les gens selon les paroles de Dieu et que tu te tiens toujours du côté des relations et des perspectives de la chair lorsque tu considères les gens, alors tu ne pourras jamais chasser cette relation charnelle et tu considéreras toujours ces personnes comme tes parents – plus proches de toi encore que les frères et sœurs de l’Église, auquel cas, il y aura une contradiction entre les paroles de Dieu et la perception que tu as de ta famille par rapport à ces choses-là, un conflit, même, et dans de telles circonstances, il te sera impossible de te tenir du côté de Dieu, et tu auras des notions et des incompréhensions à propos de Dieu. De ce fait, si les gens souhaitent être compatibles avec Dieu, tout d’abord, leurs perceptions doivent être conformes aux paroles de Dieu, ils doivent être capables de considérer les gens et les choses en se basant sur les paroles de Dieu, d’accepter les paroles de Dieu comme étant la vérité, et de mettre de côté les notions traditionnelles humaines. Quels que soient les choses ou les gens auxquels tu es confronté, tu dois être capable de conserver les mêmes perspectives et perceptions que Dieu, et tes perspectives et perceptions doivent être en harmonie avec la vérité. De cette manière, tes perceptions et ta façon d’aborder les gens ne seront pas hostiles à Dieu, et tu seras en mesure de te soumettre à Dieu et d’être compatible avec Dieu. De telles personnes ne pourront probablement jamais Lui résister ; c’est le type même de personne que Dieu désire gagner.

La première étape pour entrer dans les vérités-réalités est de réfléchir sur toi-même en te basant sur les paroles de Dieu et d’évaluer tous tes différents états à la lumière de Ses paroles. Si tu veux entrer plus en profondeur, tu dois disséquer et comprendre ton tempérament corrompu plus profondément. Que devrais-tu faire après l’avoir compris ? Tu devrais trouver un moyen de pratiquer et d’entrer, et réfléchir à la façon de pratiquer la vérité et de te débarrasser de ton tempérament corrompu ; c’est le bon chemin. Certaines personnes deviennent négatives après avoir acquis une compréhension d’elles-mêmes ; elles pleurent et se lamentent qu’elles ont été éliminées et sont des exécutantes et des faire-valoir, et elles ne veulent même pas faire leur devoir. Quel est ce genre de personne ? Ce sont des personnes qui se comportent de manière absurde et en font des tonnes. Alors, quelle est la meilleure façon d’arranger les choses ? À tout le moins, elles ne devraient pas pleurer ou faire autant d’histoires, et elles ne devraient pas non plus baisser les bras ou se plaindre de Dieu. Le plus important à faire est de chercher la vérité et de finir par comprendre ce qu’est réellement l’intention de Dieu, quel plan d’action est le plus sensé et quel chemin choisir. Ce sont les choses les plus importantes. Il est très facile pour les gens de perdre leur sens de la raison lorsqu’elles sont constamment contrôlées par leur intention d’être bénies. Les gens qui manquent de raison sont les plus pitoyables, mais les gens qui, en toutes choses, choisissent de se soumettre à Dieu et cherchent seulement à Le satisfaire, sont ceux qui ont le plus de raison et qui ont la conscience la plus grande. Lorsqu’une personne est exposée par Dieu, comment doit-elle le gérer et quel choix doit-elle faire ? Elle doit chercher la vérité et ne devrait, en aucune circonstance, devenir confuse. Il est bon pour toi de faire l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu, et de voir ta corruption telle qu’elle est vraiment, alors pourquoi es-tu négatif ? Dieu t’expose afin que tu acquières une compréhension de toi-même et afin de te sauver. En réalité, le tempérament corrompu que tu révèles vient de ta nature. Ce n’est pas que Dieu veuille t’exposer, mais s’Il ne t’expose pas, ne révèleras-tu pas tout de même ces choses ? Avant que tu ne croies en Dieu, Il ne t’avait pas encore exposé, alors tout ce que tu vivais n’était-il pas en lien avec un tempérament corrompu satanique ? Tu es quelqu’un qui vit selon un tempérament satanique. Ces choses ne devraient pas te surprendre. Lorsque tu révèles un peu de corruption, cela provoque une peur bleue chez toi, tu penses que c’est fini pour toi, que Dieu ne veut pas de toi et que tout ce que tu as fait n’a servi à rien. Ne réagis pas de manière excessive. Ce sont des humains corrompus que Dieu sauve, pas des robots. Qu’est-ce que j’entends par humains corrompus ? Je veux dire les gens qui révèlent un tempérament satanique corrompu, qui sont arrogants et présomptueux, qui n’acceptent pas la vérité, sont capables de résister et de se rebeller contre Dieu, d’être hostiles à Son égard et qui sont capables de marcher dans les pas de Paul. C’est le genre d’humains que Dieu sauve. Si tu veux accepter le salut de Dieu et accéder au salut, tu dois affronter le tempérament corrompu qui existe dans ton cœur, affronter le tempérament corrompu que tu révèles chaque jour, et chaque jour, tu dois chercher la vérité et réfléchir sur toi-même, t’évaluer à la lumière des paroles de Dieu, pratiquer le discernement et la dissection du tempérament corrompu que tu révèles et lutter contre lui. Certaines personnes se battent avec lui plusieurs fois, mais ils échouent et disent : « Pourquoi est-ce que je révèle toujours de l’arrogance ? Pourquoi n’est-ce pas le cas d’autres personnes ? » En réalité, tout le monde révèle de l’arrogance. Quand d’autres personnes en révèlent, tu ne le sais pas, mais elles le savent. Il se peut aussi qu’elles-mêmes ne le sachent pas quand elles révèlent de l’arrogance, mais Dieu le sait. En outre, il y a un autre problème que les gens doivent se rappeler : Dieu répare les tempéraments corrompus des gens ; Il ne répare pas leur façon de faire les choses. Dieu ne déteste pas l’intention momentanée que tu as en faisant quelque chose, ou une façon particulière de faire les choses, ou si tu es occasionnellement paresseux ou ne payes pas de prix ; ce ne sont pas les choses que Dieu déteste. Ce que Dieu déteste, c’est ton tempérament corrompu. Chaque fois que tu sens que tu révèles un tempérament corrompu, tu devrais en prendre conscience par toi-même avant que Dieu ne te discipline. Tu ne devrais pas deviner si Dieu te hait ou t’a éliminé ; tu devrais prendre conscience de ton problème, puis chercher comment te repentir et de quelle façon pratiquer la vérité pour apporter un changement. C’est une manifestation de la raison normale. Ce dont tu devrais prendre conscience en premier, c’est : « Ces paroles que je prononce ne sont pas raisonnables et elles révèlent de l’arrogance. Je ne suis pas capable de faire cette tâche, mais je me mets en avant et j’affirme que je peux le faire, alors n’est-ce pas me vanter ? Lorsque je me vante et que je fais des promesses en l’air cela montre que j’ai un tempérament arrogant. » Dieu ne te condamne pas parce que tu parles trop, mais cela signifie-t-il que tu peux laisser tomber ? Non, tu ne peux laisser tomber. Tu dois disséquer ce comportement et dire : « Pourquoi suis-je si doué pour me vanter et faire des promesses en l’air ? Pourquoi est-ce que je me vante de choses que je ne peux pas faire ou de choses dont je ne sais même pas si je peux les faire ? Pourquoi ai-je cette manie ? » Ce n’est pas une manie. Une manie est une mauvaise habitude en surface. Faire des promesses en l’air est un type de révélation de tempérament arrogant ; c’est ton tempérament satanique qui te conduit à vivre dans un tel état – tu es entièrement dirigé par ton tempérament. Si tu peux le réprimer et ne pas révéler un tempérament arrogant, cela signifie-t-il que tu n’as plus de tempérament arrogant ? Cela signifie-t-il qu’il a été corrigé ? Ce n’est absolument pas aussi simple. Ce n’est pas seulement en changeant la façon dont tu fais quelque chose, en te montrant respectueux des règles et en te comportant bien, en n’étant pas prétentieux et en ayant de bonnes manières en apparence que tu deviendras quelqu’un qui n’est pas arrogant. Ce ne sont que des masques, et cela ajoute de nouveaux problèmes en plus d’être arrogant. Le résultat est encore plus problématique. Si tu veux corriger ton arrogance et corriger toute sorte de tempéraments corrompus, tu dois rechercher la vérité pour te corriger lorsque tu accomplis tes devoirs. C’est la bonne façon de faire. Par exemple, supposons que le dirigeant organise un certain devoir pour que tu l’accomplisses et qu’après avoir écouté, tu répondes de manière cavalière : « J’ai déjà fait des tâches comme celle-ci. Ce sera vraiment un jeu d’enfant ! » Mais juste après, tu te rends compte que tu as révélé de l’arrogance et que cette façon de penser était fausse, et tu pries rapidement et réajustes ta pensée, en disant : « Oh, Dieu ! J’ai encore révélé de l’arrogance. Émonde-moi, s’il te plait ; je veux accomplir mon devoir correctement. » C’est la première chose que tu devrais faire. Alors, comment devrais-tu traiter ton devoir ? Tu te dis : « Je fais cela pour Dieu, et je le fais en Sa présence, je dois donc l’effectuer avec soin. Je ne peux pas tout gâcher. Si je gâche tout, ce sera tellement gênant ! » Ensuite, tu continues à réfléchir et tu penses : « Non, ce n’est pas correct. Pourquoi devrais-je avoir peur de me mettre dans l’embarras ? » Cet état n’est pas correct non plus ; tu as commencé à t’écarter du chemin. Comment peux-tu le corriger ? Quelle est la bonne direction à prendre ? Encore une fois, cela a à voir avec la pratique de la vérité pour résoudre les problèmes. Tu devrais penser : « Je n’ai pas peur de me mettre dans l’embarras. La clé est que je ne nuise pas au travail de l’Église », et ton état ne sera plus le même. Mais si tu penses alors : « Et si je nuis au travail de l’Église et que je suis émondé ? Je perdrai ma fierté », ton état sera à nouveau incorrect. Comment cela peut-il être corrigé ? Dans ton cœur, tu dois penser : « Je n’accorde jamais d’importance à mon devoir, je fais preuve de paresse quand il s’agit de le faire et je suis tellement arrogant. Je mérite d’être émondé. Je dois prier Dieu et Le laisser œuvrer. Je suis un dur à cuire, mais Dieu est tout-puissant et rien n’est impossible pour Lui, alors je m’appuierai sur Dieu. » Cela est juste ; c’est la bonne façon de pratiquer. Dieu t’a accordé certains talents et t’a permis d’acquérir certaines connaissances, mais l’acquisition de ces connaissances ne signifie pas nécessairement que tu puisses bien accomplir ton devoir. N’est-ce pas un fait ? (Si.) Comment une personne parvient-elle à cette conclusion ? (Par l’expérience.) Cette expérience t’a appris une leçon et t’a donné de la perspicacité. À savoir, que ce que Dieu donne aux gens n’est pas quelque chose qu’ils possèdent intrinsèquement, ni leur capital ; Dieu peut leur enlever ce qu’Il leur a donné à tout moment. Lorsque Dieu veut t’exposer, peu importe combien tu es doué dans un domaine, tu l’oublieras et tu seras incapable de l’utiliser – tu ne seras rien. Si, à ce moment-là, tu pries : « Dieu, je ne suis rien. Je n’ai cette capacité que parce que Tu me l’as donnée. Je te supplie de me donner de la force ! Je Te prie de me bénir et de me guider, afin que je ne nuise pas à Ton œuvre. » Est-ce ainsi qu’il faut prier ? (Non.) Quels changements devrais-tu effectuer à ce stade ? Tu dis : « Oh, Dieu ! Je suis prêt à me soumettre à Tes arrangements. Je ne peux pas toujours penser que j’ai raison. Bien que j’aie quelques connaissances dans ce domaine de travail et que je le maîtrise un peu, cela ne signifie pas nécessairement que je puisse bien m’acquitter de la tâche. Parce que mon tempérament corrompu est une perturbation, il m’arrive de faire les choses de manière superficielle et bâclée, et de ne pas prendre mon devoir au sérieux. Je suis incapable de me contrôler et de me reprendre en main. Je Te supplie de me protéger et de me guider. Je suis prêt à me soumettre à Toi, à faire de mon mieux et à Te donner la gloire. » Si tu fais bien ton devoir et donnes quatre-vingts pour cent du crédit à Dieu et vingt pour cent à toi-même, est-ce approprié ? (Non.) Il n’est pas raisonnable de diviser les choses de cette façon. Si Dieu n’était pas à l’œuvre, pourrais-tu bien faire ton devoir ? Absolument pas, car non seulement tu n’as pas la vérité, mais tu as également un tempérament corrompu. Quel que soit le type d’état corrompu qui existe dans le cœur des gens, ils doivent toujours réfléchir sur eux-mêmes et chercher la vérité pour y remédier. Une fois que leur tempérament corrompu aura été purifié, leur état sera normal.

Parfois, une mauvaise pensée ou idée apparaît dans le cœur d’une personne et cela perturbe son cœur. Elle se retrouve coincée dans cet état et est incapable d’en sortir pendant un jour ou deux. Que devrait-elle faire dans un tel moment ? Tu devrais chercher la vérité pour corriger la situation. Tout d’abord, tu dois comprendre comment la mauvaise pensée ou idée est née, comment elle a pris le dessus sur toi, t’a rendu négatif et déprimé, et t’a poussé à révéler toutes sortes de rébellion et de manières de faire exécrables. Puis, quand tu te rends compte que ces choses proviennent de ton tempérament corrompu et que Dieu déteste cela, tu devrais te calmer devant Dieu et prier : « Dieu, discipline-moi et fais que j’apprenne les leçons que je dois apprendre. Je n’ai pas peur d’être révélé, ni d’être gêné ou de perdre la face. Tout ce que je crains, c’est que mes actions violent Tes décrets administratifs et Te déplaisent. » C’est le bon chemin, mais as-tu la stature pour le suivre ? (Non.) Si tu n’as pas la stature, cela signifie-t-il que tu ne peux pas prier dans cette direction ? Puisque c’est le bon chemin, tu devrais prier dans cette direction. Pour le moment, la stature des gens est petite, ils doivent fréquemment se présenter devant Dieu, s’appuyer sur Dieu, et laisser Dieu les protéger davantage et les discipliner davantage. Quand leur stature se sera développée et qu’ils pourront porter un fardeau et faire plus de tâches, Dieu n’aura pas besoin de s’inquiéter autant, et Il n’aura pas besoin de les protéger constamment, de les discipliner, de leur envoyer des épreuves ou de les surveiller. C’est une question de cœur, et Dieu regarde le cœur des gens. Dieu ne se soucie pas de ta bonne conduite ou de ton obéissance apparente ; Il regarde ton attitude. Peut-être que tu ne dis rien de la journée, mais quelle attitude as-tu dans le cœur ? « On m’a confié ce devoir, j’ai donc la responsabilité de bien le faire, mais j’ai l’habitude d’être indiscipliné et je fais toujours ce qui me plaît. Je sais que j’ai ce problème, mais je ne peux pas me maîtriser. Je suis prêt à ce que Dieu orchestre mon environnement et retire les gens, les évènements et les choses qui m’entourent pouvant me perturber, influencer l’accomplissement de mon devoir ou ma pratique de la vérité, pour que je ne tombe pas dans la tentation, que je puisse accepter les épreuves de Dieu et Sa discipline. » Tu dois avoir un cœur de soumission volontaire. Lorsque ces pensées sont dans ton cœur, comment Dieu peut-Il ne pas les voir ? Comment peut-Il ne pas y prêter attention ? Donc, Dieu agit. Parfois, lorsque tu pries ainsi une ou deux fois, Dieu n’y prête pas attention. Lorsqu’Il teste le travail et la sincérité d’une personne, Il ne dit rien, mais cela ne signifie pas que ce que tu as fait était mal. Tu ne dois en aucun cas tenter Dieu. Si tu tentes toujours Dieu et dis : « Ai-je raison de faire cela ? Est-ce que Tu l’as vu, Dieu ? » Tu as un problème. Il s’agit d’un état incorrect. Concentre-toi simplement sur le fait d’agir. Peu importe que Dieu te discipline, te dirige, te teste ou te guide, n’y prête pas attention. Concentre-toi simplement sur le fait de faire des efforts dans la vérité que tu comprends et d’agir conformément aux intentions de Dieu. Cela est suffisant. En ce qui concerne le résultat, la plupart du temps, ce n’est pas ta responsabilité. Quelles responsabilités devrais-tu assumer ? Accomplir le devoir que tu dois accomplir, y consacrer le temps nécessaire et en payer le prix. Cela est suffisant. Il faut examiner tout ce qui concerne la vérité et déployer des efforts pour la comprendre. L’essentiel est que les gens suivent le chemin qu’ils devraient suivre. Cela suffit. C’est ce que les gens devraient faire. En ce qui concerne le niveau de stature que tu as, les épreuves que tu devrais traverser, la discipline dont tu devrais faire l’expérience, les situations que tu devrais vivre et la façon dont Dieu maintient Sa souveraineté, tu n’as pas besoin de prêter attention à ces choses. Dieu le fera. Tu dis : « Je suis de faible stature. Ne me fais pas subir d’épreuves, Dieu, j’ai peur ! » Dieu ferait-Il cela ? (Non, Il ne le ferait pas.) Tu n’as pas besoin de t’inquiéter. Tu dis : « J’ai une si grande stature et une grande foi. Dieu, pourquoi ne me fais-Tu pas subir quelques épreuves ? Teste-moi comme Tu l’as fait avec Job et détruit tout ce que j’ai ! » Dieu ne le fera pas. Tu ne connais pas ta propre stature, mais Dieu la connait bien et il est très clair ; Il peut voir le cœur de chacun. Les gens peuvent-ils voir le cœur de Dieu ? (Non.) Les gens ne peuvent pas voir le cœur de Dieu, alors comment comprennent-ils Dieu et coopèrent-ils avec Lui ? (À travers Ses paroles.) En comprenant Ses paroles, en accomplissant bien leur devoir et en restant à leur place en tant que personnes. Quel est le devoir des gens ? C’est le travail que les gens devraient faire et sont capables de faire. Ce sont les tâches que Dieu t’a confiées. Quelles sont les tâches qui t’ont été confiées ? Le domaine de travail que tu connais bien, les tâches que l’Église te confie, les tâches que tu devrais faire et les tâches qui sont à ta portée. Cela en fait partie. Une autre partie concerne la question de l’entrée dans la vie. Tu dois être capable de pratiquer la vérité et de te soumettre à Dieu. Concentre-toi simplement sur le fait de pratiquer et d’entrer dans la vérité. N’accorde pas d’attention à l’évaluation que les autres font de toi ou de la façon dont Dieu te voit. Tu n’as pas besoin de faire attention à ces choses, et il n’est pas nécessaire que tu prêtes attention à ces choses – ce ne sont pas les choses dont tu dois te soucier. Les gens n’ont pas leur mot à dire en ce qui concerne leur bonne fortune, leur malheur, leur longévité, toutes les choses qu’ils vivent dans leur vie, leur chance ou leur vie ; personne ne peut changer ces choses. Tu dois savoir cela clairement. Dieu est souverain sur ces choses. Les gens doivent absolument le reconnaître et le comprendre clairement dans leur cœur. Ne te préoccupe de rien de la part de Dieu ; n’essaye pas de décider de ce que Dieu veut faire. Concentre-toi simplement sur la gestion efficace de ce que tu as à faire, de ce dans quoi tu dois entrer et du chemin que tu dois suivre. Cela est suffisant. En ce qui concerne ta future destination, as-tu ton mot à dire ? (Non.) Alors, comment peux-tu résoudre ce problème ? En partie en faisant bien tout ce que tu dois faire chaque jour et en accomplissant ton devoir en tant que personne. C’est le mandat que Dieu donne à tout le monde. Tu es venu dans ce monde et Dieu t’a guidé tout ce temps, peu importe s’Il t’a donné toutes sortes de dons ou s’Il t’a nourri et t’a donné un talent ou une capacité, cela montre que Dieu t’a confié des mandats. Le mandat que Dieu t’a donné est tout-à-fait évident, et il n’est pas nécessaire que Dieu te le dise directement. Par exemple, si tu sais parler l’anglais, Dieu a de toute évidence des exigences pour toi dans ce domaine. C’est ton devoir. Il n’est pas nécessaire que Dieu fasse retentir Sa voix du ciel et te dise directement : « Ton devoir est la traduction et si tu ne le fais pas, je te punirai. » Il n’est pas nécessaire qu’Il dise cela. C’est déjà très clair pour toi parce que Dieu t’a donné une rationalité, des processus de pensée et de réflexion normaux, ainsi que la capacité de comprendre cette langue. Cela est suffisant. Ce que Dieu t’a donné c’est ce qu’Il te dit de faire, et c’est très clair pour toi dans ton cœur. Pendant le processus d’accomplissement de tes devoirs et pendant le processus d’acceptation du mandat de Dieu, tu dois accepter tout ce que Dieu t’a fait, y compris les conseils, l’abreuvement et la provision positifs qu’Il t’a donnés. Par exemple en mangeant et buvant fréquemment les paroles de Dieu, en écoutant des sermons, en vivant la vie d’Église, en échangeant sur la vérité et en coopérant harmonieusement avec les autres tout en accomplissant ton devoir. Un autre aspect concerne l’entrée individuelle dans la vie – c’est le plus important. Certaines personnes veulent toujours savoir si elles ont la vie et si elles sont efficaces. Il est bien de réfléchir à ces choses momentanément, mais ne te concentre pas dessus. C’est comme planter des cultures chaque année – aucun agriculteur n’affirme combien de rendement il doit y avoir cette année-là, et que s’ils n’atteignent pas ce résultat, ils mourront. Ils ne sont pas aussi stupides. Ils sèment tous des graines quand c’est la saison, puis les arrosent, les fertilisent et s’en occupent normalement. Ensuite, lorsque la saison est bonne, ils ont la garantie d’une récolte. Tu dois avoir une foi comme celle-ci ; c’est une vraie foi en Dieu. Ne sois pas si calculateur avec Dieu en disant : « J’ai fait des efforts ces derniers temps, Dieu me récompensera-t-Il ? » Il n’est pas acceptable de toujours demander des récompenses, comme un employé de bureau qui demande son salaire à la fin du mois. Il n’est pas acceptable de toujours réclamer un salaire. La foi des gens est trop faible et ils n’ont pas une vraie foi en Dieu. Une fois que tu vois clairement que le chemin qui consiste à suivre Dieu est le chemin du salut et que c’est la vraie vie, que c’est le bon chemin que les gens devraient suivre, et la vie que les êtres créés devraient avoir, concentre-toi simplement sur la poursuite de la vérité et cherche à entrer dans la réalité en écoutant les paroles de Dieu et en marchant et en agissant dans la direction que Dieu t’indique. Cela est très bien. Ne demande pas toujours à Dieu : « Dieu, combien de temps reste-t-il avant que je t’aie suivi jusqu’au bout de la route ? Quand serai-je sauvé ? Quand serai-je récompensé et recevrai-je une couronne ? Quand le jour de Dieu arrivera-t-il ? » Ce sont tous des états que les gens traversent, mais est-ce pour autant que cela est correct ? (Non.) Certains disent : « La loi ne peut pas être appliquée lorsque tout le monde est un délinquant », mais cette expression est erronée, elle ne tient pas la route et n’est pas en accord avec la vérité. Le fait que tout le monde traverse ces états prouve que tout le monde a un tempérament corrompu, ils doivent donc tous remédier à ce problème et surmonter cet obstacle. Tu dois toujours t’examiner dans ton cœur, ne pas te concentrer sur la façon dont les autres se comportent et pendant que tu t’examines, tu dois corriger tous les états corrompus que tu as. L’esprit des gens est dynamique et pense toujours activement – à un moment ils se penchent à gauche, puis l’autre à droite ; leur façon de penser est toujours un peu décalée. Ils ne marchent pas sur le bon chemin. Ils insistent pour suivre les autres, pour suivre les tendances malveillantes du monde et pour marcher sur le mauvais chemin. C’est la nature-essence des gens et ils ne pourraient pas la contrôler même s’ils le voulaient. Si tu ne peux pas la contrôler, alors ne la contrôle pas. Lorsqu’une intention ou un point de vue incorrects fait surface, corrige-le. De cette façon, la corruption que tu révèles diminuera progressivement. Donc, comment remédier à ce problème ? En priant, en acquérant constamment de la compréhension et en changeant les choses. Parfois, peu importe la façon dont tu essayes de changer les choses, elles refont surface, alors ne leur prête pas attention et fais simplement ce que tu es censé faire. C’est la méthode la plus simple. Alors qu’est-ce que les gens sont censés faire ? Bien accomplir leur devoir et s’y tenir. Tu ne peux pas rejeter le mandat que Dieu t’a donné ; tu dois bien le remplir. En dehors de cela, en termes d’entrée individuelle dans la vie, tu dois faire de ton mieux pour rechercher la vérité tout en faisant ton devoir et travailler dur pour atteindre le niveau d’entrée que tu peux. La question de savoir si tu es à la hauteur sera finalement décidée par Dieu. Les sentiments et verdicts personnels des gens ne servent à rien. Les gens ne peuvent pas décider de leur propre destin et ils sont incapables d’évaluer leur comportement ou de déterminer ce que sera le résultat final pour eux. Seul Dieu peut évaluer et déterminer ces choses. Tu dois avoir confiance dans le fait que Dieu est juste. Pour emprunter les mots des non-croyants, tu dois oser agir, oser être responsable de tes actes, oser faire face aux faits et être capable d’assumer tes responsabilités. Les gens qui ont une conscience et une raison devraient accomplir leur devoir et prendre leurs responsabilités.

Il est essentiel que les gens s’examinent fréquemment et qu’ils acceptent l’examen de Dieu. Il est également essentiel que les gens recherchent la vérité, changent leurs états et leurs points de vue et en sortent lorsqu’ils s’examinent et découvrent qu’ils ont des états ou des points de vue incorrects. De cette manière, sans t’en rendre compte, tu expérimenteras de moins en moins d’états incorrects, et tu les distingueras de plus en plus facilement. Une fois que tu auras inversé tes états incorrects, les choses positives en toi augmenteront et tu accompliras ton devoir avec une pureté de plus en plus grande. Même si, en apparence, ta façon de parler et ta personnalité seront les mêmes qu’auparavant, ton tempérament de vie aura changé. De quelle manière cela se manifestera-t-il ? Tu seras capable d’agir et d’accomplir ton devoir en suivant les vérités-principes et tu seras capable d’en assumer la responsabilité ; quand tu verras les autres faire les choses de manière superficielle, cela te mettra en colère, et quand tu verras des phénomènes maléfiques, ainsi que des pratiques passives, négatives, inconvenantes et malveillantes qui révèlent des tempéraments corrompus, tu les détesteras. Plus tu regarderas ces choses, plus tu éprouveras du dégoût, et tu les distingueras de plus en plus facilement. Lorsque tu verras des personnes qui croient en Dieu depuis très longtemps et qui parlent très clairement des paroles et des doctrines, mais qui ne font pas de vrai travail et manquent de principes, tu te mettras en colère et tu les détesteras. En particulier, lorsque tu verras des dirigeants et des ouvriers qui n’accomplissent pas de vrai travail, qui parlent uniquement de formules et de doctrines, et qui croient en Dieu depuis des années, mais n’ont pas changé, tu auras du discernement à leur égard, tu pourras les exposer et les dénoncer, et tu auras un sens de la justice. Non seulement tu te détesteras, mais tu détesteras aussi lorsque ces choses malveillant et injustes se produisent. Cela prouvera qu’il y a eu un changement en toi. Tu seras capable de regarder les problèmes et de traiter les gens, les événements et les choses autour de toi du point de vue de la vérité, du point de vue de Dieu et du point de vue des choses positives – cela prouvera qu’il y a eu un changement en toi. Alors, auras-tu encore besoin que Dieu t’évalue ? Non, tu pourras sentir ces choses toi-même. Par exemple, avant, si tu voyais quelqu’un faire les choses de manière superficielle, tu pensais : « C’est normal. Je suis comme ça. S’il ne faisait pas les choses de cette manière, cela donnerait l’impression que je fais les choses de manière superficielle. » Tout le monde faisait les choses de manière superficielle, donc tu avais l’impression de t’en sortir plutôt bien. À présent, tu ne penseras plus ainsi. Tu penseras : « Faire les choses de manière superficielle est inacceptable. Le travail de la maison de Dieu est important. C’était déjà un signe de rébellion assez clair de ma part de faire les choses de manière superficielle – pourquoi vous comportez-vous comme je me comportais et faites-vous aussi les choses de cette manière ? » Tu penseras que tu étais tellement ignorant et immature avant, que ta façon de voir les choses était si méprisable et honteuse, que tu ne peux absolument pas en rendre compte à Dieu, et que ta conscience n’arrivera pas à s’en remettre. Le fait que tu sois capable d’avoir de telles pensées et de tels sentiments prouve que la vérité et les paroles de Dieu ont déjà pris racine et germé en toi. La perspective à travers laquelle tu vois les choses et les normes selon lesquelles tu les évalues auront changé. Tu seras déjà une personne complètement différente d’avant, lorsque tu vivais selon tes tempéraments corrompus. Tu auras déjà changé d’une manière réelle. Avez-vous changé un peu, maintenant ? (Un peu.) Maintenant, tu as un peu changé, et de temps en temps, quand tu vois les gens faire les choses de manière superficielle, en ne voulant pas pratiquer la vérité, et en se complaisant en permanence dans le confort physique, tu ne penses pas que c’est une bonne chose. Cependant, si on te demandait d’aller les aider et de les soutenir, tu serais encore contraint par les philosophies sataniques. Bien que tu découvres ce problème chez les gens, tu n’oses rien dire de peur de les offenser, et tu penses même : « Personne ne m’a élu comme chef de groupe, je n’ai donc pas à mettre mon nez dans les affaires des autres. » Lorsque tu te retrouves face à ces choses injustes et négatives, tu es incapable de te tenir du côté de la vérité dans ton discours et tes actions ni de prendre tes responsabilités ; tu fermes simplement les yeux et tu penses que c’est une excellente façon de te comporter, en te tenant à distance de la contestation. Tu te dis : « Si quelque chose tourne mal, je n’y serai pour rien. J’évite les ennuis. » Si tu as toujours ce genre de points de vue, pourras-tu pratiquer la vérité ? Pourras-tu entrer dans la vie ? Avec de tels points de vue dans ton cœur, tu es un incrédule et tu ne peux pas accepter la vérité. C’est pourquoi de tels points de vue doivent absolument être corrigés. Si tu veux entrer dans la vie, d’une part, tu dois être capable de te surveiller toi-même, d’autre part, tu dois avant tout accepter que Dieu t’examine. Si tu remarques un sentiment de reproche dans ton cœur, tu devrais réfléchir sur toi-même et trouver d’où vient ce sentiment. Si tu sens que Dieu scrute et que tu crois que Dieu scrute, alors tu dois accepter qu’Il le fasse. Ce n’est qu’en éprouvant fréquemment des remords, en ayant le cœur troublé et en te sentant redevable envers Dieu du fait de ces états que tu auras la motivation de pratiquer la vérité et d’entrer dans la vérité. Il existe des normes et des manifestations pratiques en ce qui concerne l’entrée dans les vérités-réalités. Dans quelle mesure y êtes-vous entrés au moment où nous parlons ? (Lorsqu’une situation se présente, je peux voir de nombreux défauts en moi, mais je passe beaucoup de temps coincé dans cet état. Je ne sais pas comment adopter la perspective de la vérité pour disséquer ou comprendre les problèmes que j’ai ; je n’ai pas un bon sens du discernement me concernant ; je ne me vois pas clairement et souvent je ne peux pas non plus voir l’état des autres clairement.) Si tu ne peux pas te voir clairement, tu ne peux pas voir les autres clairement. Cette affirmation est correcte. Lorsque d’autres personnes ont un problème, tu te dis que cela ne te concerne pas, mais en fait, vos états sont cohérents et identiques. Si tu ne vois pas clairement ton propre état, tu ne pourras pas résoudre tes problèmes, et encore moins ceux des autres. Une fois que tu auras résolu tes problèmes, tu seras en mesure de voir très clairement ceux des autres et de les corriger immédiatement. Si tu veux entrer dans la vie, tu dois respecter les deux points suivants : d’une part, tu dois bien accomplir ton devoir, et d’autre part, pendant que tu accomplis ton devoir, tu dois fréquemment t’examiner, rechercher la vérité pour changer tes différents points de vue, pensées, positions, intentions et états incorrects, et te sortir de toutes sortes d’états incorrects. Si tu as la force d’en sortir, tu vaincras Satan et tu te débarrasseras de tes tempéraments corrompus. Tu auras alors réussi à changer. Tu auras émergé de tes états passifs et négatifs et tu ne seras plus contraint ou contrôlé par ces états. Cela est en soi un pas en avant. Vous devez d’abord résoudre ce problème. Quels sont vos états négatifs ou passifs ? Certains pensent : « Je suis comme ça. Il n’y a rien que je puisse faire pour corriger mon tempérament arrogant. De toute façon, Dieu le sait et je pense qu’Il m’a déjà mis dans une case. J’ai essayé de changer tant de fois, mais je suis toujours le même. Je suis comme ça, c’est tout. » Tu as une mauvaise opinion de toi-même, mais il s’agit-là d’un état négatif ; c’est un peu comme si tu te laissais aller au désespoir. Tu n’as pas cherché la vérité pour résoudre ce problème, alors pourquoi penses-tu que tu es désespéré ? Les gens vivent souvent dans ce genre d’état ; la moindre révélation momentanée de corruption et ils pensent qu’ils ont été rangés dans une case et que c’est le type de personne qu’ils sont. Il s’agit d’un état négatif ; il doit être changé et tu dois en sortir. Quels autres états négatifs ou passifs avez-vous ? (Je vis souvent dans un état où je fais les choses en fonction de mes dons et de mon calibre, et où je n’entre pas dans la vie. Cet état est très grave.) Lorsque les gens font les choses en fonction de leurs dons et de leur calibre, ils ont toujours envie d’entrer en compétition avec les autres et pensent : « Comment se fait-il que toi tu puisses accomplir cette tâche, alors que moi je ne le peux pas ? Je dois travailler dur et m’investir dans cette tâche, pour essayer de la faire mieux que toi ! » C’est ainsi que ta nature diabolique se manifeste. Que faut-il faire à ce sujet ? Si, lorsque tu fais des choses, tu as ce genre de motivation ou ce point de départ, n’en tiens pas compte. Il s’agit d’une révélation momentanée ou d’une pensée ignorante passagère. N’agis pas en fonction de cela, et tout ira bien pour toi. Tu dois faire les choses de manière terre à terre et de la manière dont elles doivent être faites. Si tu fais face à une difficulté, prends l’initiative de regarder comment d’autres personnes l’ont gérée. S’ils l’ont bien fait, discutes-en avec eux et apprends d’eux. Ainsi, tu inverseras tes états incorrects. Si tu as ces pensées et que tu révèles de la corruption en toi, mais que tu n’agis pas de la sorte, alors tes tempéraments corrompus seront contrecarrés. Cependant, si tu as ces pensées, que tu agis de cette manière et que tes actions sont encore plus graves que tes pensées, alors cela promet des problèmes et cela va faire un gâchis. Les tempéraments corrompus des gens sont ce que Dieu déteste le plus.

L’approche de Dieu à l’égard de tes tempéraments corrompus n’est pas de te pousser à les cacher, les camoufler ou les masquer. Au contraire, Il te permet de les révéler, en t’exposant et en t’apportant une connaissance de ces choses. Une fois que tu en as pris connaissance, est-ce la fin ? Non. Une fois que tu en as pris connaissance et que tu sais qu’il est mal de faire les choses selon tes tempéraments corrompus, et que c’est une voie sans issue, tu dois te présenter devant Dieu, le prier et chercher la vérité pour résoudre tes tempéraments corrompus. Dieu t’éclairera et t’indiquera le bon chemin de pratique. Les paroles de Dieu disent ce que les gens devraient faire, mais les gens ont des tempéraments corrompus, et parfois ils ne veulent pas faire ce que Dieu dit ; ils veulent faire les choses à leur manière. Alors, que fait Dieu ? Il te donne la liberté et te permet d’agir ainsi pour le moment. Après avoir agi ainsi pendant un moment, tu heurteras un mur et tu auras le sentiment d’avoir fait une erreur. Alors, tu retourneras vers Dieu et chercheras ce que tu dois faire. Dieu dira : « Dans ton cœur, tu comprends Mes exigences. Alors, pourquoi n’écoutes-tu pas ? » Et toi, tu diras : « Alors, Dieu, discipline-moi. » Dieu te disciplinera et cela te fera mal, alors tu penseras : « Dieu ne m’aime pas. Comment peut-Il être aussi cruel envers moi ? Il n’a pas de cœur. » Dieu dira : « D’accord, Je ne ferai plus cela. Continue à faire les choses comme tu l’entends, » et tu te retrouveras sur le même chemin qu’avant. Tu feras des choses, tu te heurteras à nouveau à un mur et tu te diras : « Il y a quelque chose qui ne va pas dans ce que je fais. Je dois revenir en arrière et confesser mes péchés. Je suis redevable à Dieu. » Tu reviendras devant Dieu, tu prieras et chercheras, tu comprendras que ce que Dieu dit est juste et tu feras ce qu’Il dit. Mais en le faisant, tu te diras : « Faire cela va blesser mon orgueil. Je vais peut-être d’abord m’occuper de mon orgueil. » Tu seras alors de nouveau en difficulté et de nouveau tu ne seras pas à la hauteur. Au fil du temps, tu feras encore et encore ce genre d’aller-retour. Si les gens peuvent réfléchir sur eux-mêmes, toujours reconnaître les dérives en eux-mêmes, réfléchir et comprendre leurs tempéraments corrompus et ensuite chercher la vérité pour les résoudre, alors au cours de cette expérience, leur stature sera également en croissance permanente. Pour les personnes qui ont du cœur, qui sont disposées à pratiquer la vérité et à aimer les choses positives, elles connaîtront progressivement moins de revers et d’échecs, les parties d’elles qui sont soumises à Dieu deviendront plus nombreuses, de même que les parties d’elles qui aiment la vérité. C’est pourquoi Dieu permet que tu échoues et que tu te rebelles pendant que tu expérimentes et pratiques la vérité ; Il ne regarde pas ces choses. Ce n’est pas comme si Dieu ne voulait plus de toi, qu’Il t’enverra en enfer ou te condamnera à mort pour ne pas L’avoir écouté une fois. Dieu ne fait pas cela. Pourquoi dit-on que l’amour de Dieu est extrêmement vaste lorsqu’Il sauve les gens ? C’est là que l’amour de Dieu se manifeste. Il se manifeste à travers sa tolérance et Sa patience envers les gens. Il te tolère constamment, sans pour autant être indulgent. La tolérance de Dieu consiste à connaître la stature des gens, à connaître leur capacité innée, à savoir ce que les gens révèlent dans certaines circonstances et ce qu’ils peuvent atteindre en fonction de leur stature, et à te permettre de révéler ces choses, à te donner un peu d’espace et à t’accepter lorsque tu reviens à Lui et que tu te repens sincèrement, tout en reconnaissant également la sincérité de ta repentance. Par conséquent, lorsque tu reviens et demandes à Dieu s’il est juste d’agir de la sorte, Dieu continuera à te le dire et à te donner une réponse. Dieu te dira patiemment qu’il est juste d’agir ainsi, et validera ta manière d’agir. Mais lorsque tu changeras à nouveau d’avis et que tu diras : « Dieu, je ne veux pas faire cela. Ça ne m’apporte aucun bénéfice, et cela me rend malheureux et mal à l’aise – je pense toujours que je devrais faire les choses à ma façon, comme ça, je ne perdrai pas la face, je serai lisse et sans accrocs, et je pourrai me satisfaire à tous égards – je commencerai par satisfaire mes propres désirs, » Dieu dira : « Tu peux ne pas être à la hauteur, mais en faisant cela, c’est toi qui seras perdant à la fin, pas Moi. » Lorsque Dieu te sauve, Il te permet parfois d’être ainsi capricieux ; c’est le signe de Sa tolérance et c’est la miséricorde qu’Il accorde aux gens. Cependant, les gens ne peuvent pas faire preuve de complaisance lorsqu’ils voient Sa miséricorde, et traiter Sa patience et Sa tolérance comme une sorte de faiblesse, ou la considérer comme une excuse pour se rebeller contre Lui et ne pas tenir compte de Ses paroles. C’est de la rébellion et de la malveillance de la part des gens. Les gens doivent comprendre cela clairement. La tolérance et la patience dont Dieu fait preuve à ton égard sont illimitées. Si tu arrives à percevoir les intentions sincères de Dieu, c’est une bonne chose. Ce n’est pas que Dieu soit incapable d’utiliser des mesures extrêmes pour te sauver – tu dois comprendre qu’il y a des principes derrière les actions de Dieu. Il fait les choses de différentes manières, mais Il n’utilise pas de mesures extrêmes. Pourquoi ? Dieu te permet de traverser toutes sortes de hauts et de bas, de frustrations, de tribulations, ainsi que de nombreux échecs et revers. En fin de compte, en te permettant de faire l’expérience de ces choses, Dieu te fera réaliser que tout ce qu’Il a dit est correct et la vérité. En même temps, Il te fera réaliser que ce que tu penses et imagines, ainsi que tes notions, tes connaissances, théories philosophiques, philosophies et les choses que tu as apprises dans le monde et que tes parents t’ont enseignées sont toutes fausses, que ces choses ne peuvent pas te guider sur le bon chemin dans la vie et qu’elles ne peuvent pas t’amener à comprendre la vérité ni à te présenter devant Dieu. Si tu vis encore selon ces choses, alors tu suis le chemin de l’échec, ainsi que le chemin de la résistance à Dieu et de la trahison de Dieu. En fin de compte, Dieu te fera voir cela clairement. Ce processus est quelque chose que tu dois expérimenter, et ce n’est que de cette manière que des résultats peuvent être obtenus, mais c’est aussi une chose douloureuse à voir pour Dieu. Les gens sont rebelles et ont des tempéraments corrompus, ils doivent donc souffrir un peu, et faire l’expérience de ces revers. Sans souffrance, ils n’auraient aucun moyen d’être purifiés. Si une personne a un cœur qui aime sincèrement la vérité et est véritablement disposée à accepter les différents types de salut de Dieu et à en payer le prix, alors elle n’a pas besoin de souffrir autant. En réalité, Dieu ne veut pas que les gens souffrent autant et Il ne veut pas qu’ils traversent tant de revers et d’échecs. Cependant, les gens sont trop rebelles, ils ne veulent pas faire ce qu’on leur dit, ni se soumettre, ils sont incapables de suivre le bon chemin ni de prendre des raccourcis : ils ne font que suivre leur propre chemin, se rebeller contre Dieu et Lui résister. Les gens sont des choses corrompues. Tout ce que Dieu peut faire est de livrer les gens à Satan et de les placer dans des situations diverses pour les tempérer constamment, leur permettant ainsi d’en tirer toutes sortes d’expériences et de leçons et de prendre conscience de l’essence de toutes sortes de choses mauvaises. Après cela, quand les gens font marche arrière et regardent à nouveau, ils découvrent que les paroles de Dieu sont la vérité et admettent que les paroles de Dieu sont la vérité, que Dieu est la réalité de toutes les choses positives et que Dieu est Celui qui aime vraiment, qui Se soucie des hommes et qui peut les sauver. Dieu ne veut pas que les gens souffrent autant, mais les humains sont trop rebelles, ils veulent prendre le mauvais chemin et ils veulent subir cette souffrance. Dieu n’a d’autre choix que de placer les gens dans divers environnements pour les tempérer constamment. Jusqu’où va cette tempérance des gens en fin de compte ? Jusqu’au point où tu dis : « J’ai vécu toutes sortes de situations, et maintenant je comprends finalement qu’en dehors de Dieu, personne, aucun évènement ni autre chose ne sauraient me faire comprendre la vérité, ne sauraient me faire jouir de la vérité, ni ne sauraient me faire entrer dans la vérité-réalité. Si je peux pratiquer avec obéissance selon les paroles de Dieu, rester avec obéissance à la place de l’homme, me conformer au statut et au devoir d’un être créé, accepter avec obéissance la souveraineté et les arrangements de Dieu, ne plus me plaindre ni avoir des désirs extravagants à l’égard de Dieu et me soumettre vraiment au Créateur, alors seulement je serai quelqu’un qui se soumet vraiment à Dieu. » Une fois arrivés à ce stade, les gens s’inclinent réellement devant Dieu, et Dieu n’a plus besoin de concevoir d’autres environnements auxquels les exposer. Alors, quel chemin souhaitez-vous emprunter ? Personne, dans ses désirs subjectifs, ne souhaite avoir à souffrir, et personne ne veut connaître de revers, d’échecs, de difficultés, de frustrations ou d’adversité. Mais c’est inévitable. Les gens ont des natures sataniques, ils sont trop rebelles, leurs pensées et leurs perspectives sont trop compliquées. Chaque jour, ton cœur est en conflit constant, en lutte constante, se tourne et se retourne. Tu comprends peu la vérité, ton entrée dans la vie est superficielle et le pouvoir de surmonter tes notions, ton imagination et les tempéraments corrompus de la chair te manque. Tu ne peux que suivre le cours habituel des choses : vivre en permanence dans l’échec et la frustration et tomber sans cesse, être secoué par les difficultés, patauger dans la boue jusqu’au jour où tu dis : « Je suis fatigué, j’en ai assez, je ne veux pas vivre comme cela. Je ne veux pas subir ces échecs, je veux me présenter devant le Créateur avec obéissance. J’écouterai les paroles de Dieu, je ferai ce qu’Il dit. Voilà le seul droit chemin dans la vie. » Ce n’est que le jour où tu seras entièrement convaincu et admettras pleinement ta défaite, que tu te présenteras devant Dieu. Tout cela t’apprend-il quelque chose sur le tempérament de Dieu ? Quelle est l’attitude de Dieu envers l’homme ? Peu importe ce que Dieu fait, Il souhaite le meilleur pour l’homme. Quel que soit la situation qu’Il met en œuvre ou ce qu’Il te demande de faire, Il aspire toujours à voir le meilleur résultat possible. Disons que tu es dans une mauvaise passe faite de revers et d’échecs. Dieu ne veut pas te voir te décourager quand tu échoues et penser que tu es perdu, que tu as été enlevé par Satan et que tu t’es abandonné pour ne plus te relever, et que tu as plongé dans l’abattement – ce n’est pas le résultat que Dieu souhaite voir. Qu’est-ce que Dieu souhaite voir ? Tu peux bien avoir échoué dans cette affaire, tu n’en es pas moins capable de chercher la vérité et de réfléchir sur toi-même pour trouver la raison de ton échec ; tu acceptes la leçon que cet échec t’a appris, tu t’en souviens à l’avenir, tu sais que ta façon d’agir est erronée, et que seul pratiquer selon les paroles de Dieu est juste, et tu réalises : « Je suis une mauvaise personne et j’ai des tempéraments sataniques. Il y a de la rébellion en moi, je suis loin des justes dont parle Dieu, et mon cœur ne craint pas Dieu. » Tu as vu ce fait clairement, tu as appris la vérité sur cette affaire et, à travers ce revers, cet échec, tu es devenu sensé et tu as mûri. C’est ce que Dieu veut voir. Que représente la maturité ? Cela signifie que Dieu peut te gagner, que tu peux être sauvé, que tu peux entrer dans la vérité-réalité et que tu t’es engagé sur le chemin de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal. Dieu espère voir les gens prendre le bon chemin. Dieu fait les choses avec des intentions minutieuses et tout cela est Son amour caché, mais les gens ne s’en rendent souvent pas compte. Les gens sont étroits d’esprit et extrêmement mesquins. Dès qu’ils ne peuvent pas profiter de la grâce et des bénédictions de Dieu, ils se plaignent de Dieu, deviennent négatifs et agissent avec colère. Mais Dieu ne leur en tient pas rigueur, Il les traite simplement comme des enfants ignorants et n’est pas sérieux avec eux. Il met en place des circonstances qui font savoir à l’homme comment s’obtiennent la grâce et les bénédictions et lui fait comprendre ce que signifie la grâce pour l’homme et ce que l’homme peut en tirer. Imaginons que tu aimes manger quelque chose de bon qui, aux dires de Dieu, est mauvais pour la santé si l’on en mange trop. Tu n’écoutes pas, mais insistes pour en manger, et Dieu te permet de faire ce choix librement. Par conséquent, tu te rends malade. Après avoir fait l’expérience de cela plusieurs fois, tu en viens à comprendre que ce sont les paroles de Dieu qui sont justes, que tout ce qu’Il dit est vrai et que tu dois pratiquer selon Ses paroles. Voilà le chemin qui est correct. Et donc, que deviennent ces revers, ces échecs et ces souffrances que traversent les gens ? D’une part, tu ressens l’intention bienveillante de Dieu, d’autre part, cela te permet de croire et d’être sûr que les paroles de Dieu sont justes et qu’elles sont concrètes ; ta foi en Dieu grandit. Mais ce n’est pas tout : en traversant cette période d’échec, tu prends conscience de la véracité et de l’exactitude des paroles de Dieu, tu vois que les paroles de Dieu sont la vérité et tu comprends le principe de la pratique de la vérité. Et donc, il est bon que les gens connaissent l’échec, même si c’est aussi quelque chose de douloureux, quelque chose qui les tempère. Mais si le fait d’être ainsi tempéré te ramène finalement vers Dieu, te fait comprendre Ses paroles et les accepter dans ton cœur comme la vérité, de telle sorte que tu en arrives à connaître Dieu, alors cette modération, ces revers et ces échecs n’auront pas été vécus en vain. Voilà le résultat que Dieu souhaite voir. Cependant, certains disent : « Puisque Dieu est si tolérant envers les gens, je vais me laisser aller, faire les choses comme je l’entends et vivre comme je l’entends. » Est-ce acceptable ? (Non.) Ce que devraient faire les êtres créés, c’est pratiquer selon le chemin correct que Dieu leur a indiqué et ne pas en dévier. S’ils sont incapables d’être pleinement en accord avec les intentions de Dieu, tant qu’ils ne contreviennent pas à la vérité et qu’ils peuvent accepter l’examen de Dieu, ce n’est pas trop grave. C’est la norme de base. Si tu t’éloignes de la vérité, que tu ne pries pas et ne cherches pas, alors tu t’es trop éloigné de Dieu et tu as déjà mis un pied sur un terrain très glissant. Lorsque tu es trop loin de Dieu, que tu n’accomplis pas ton devoir dans l’Église et que tu as déjà quitté l’espace où Dieu travaille pour sauver les gens, le Saint-Esprit cesse d’agir en toi et tu n’as plus aucune chance, et aucun salut à proprement parler. Pour toi, l’amour de Dieu n’est qu’un vain mot.

Lorsque tu crois en Dieu, tu dois d’abord comprendre Dieu, comprendre Ses intentions et Son attitude envers l’homme. En faisant cela, tu sauras quelle vérité Dieu veut te faire comprendre et dans laquelle Il veut te faire entrer, et tu comprendras quel chemin tu dois suivre. Après avoir pris connaissance de ces choses, tu dois faire tout ton possible pour coopérer avec Dieu dans ce qu’Il veut faire et ce qu’Il veut accomplir en toi. Si tu ne peux vraiment pas coopérer et que ton énergie et tes forces sont épuisées, alors c’est comme ça ; Dieu ne forcera pas les gens. Cela dit, les gens d’aujourd’hui ne mettent pas toutes leurs forces dans ces choses. Si tu ne mets pas toute ta force dans la pratique de la vérité, mais que tu mets toute ta force à obtenir des bénédictions et une couronne de justice, alors tu t’es écarté du droit chemin. Tu dois t’efforcer de pratiquer la vérité et de coopérer aux missions et aux devoirs que Dieu te confie ; tu dois donner de toi-même et te dépenser pour ces choses de tout ton cœur. Tu te conformeras alors aux intentions de Dieu. Dieu n’accorde pas d’attention aux personnes qui ne s’acquittent pas correctement de leurs devoirs, mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de principes derrière Ses actions. Lorsque Dieu ne prête pas attention à quelqu’un, cela montre qu’Il est tolérant, ouvert et patient. Il sait ce que les gens doivent traverser dans leur vie, ce que ces êtres créés sont capables d’accomplir et ce qu’ils ne sont pas capables d’accomplir, ce que certains types de personnes peuvent accomplir à certains âges et ce qu’elles ne peuvent pas accomplir. C’est Dieu qui connait le plus clairement ces questions, bien plus que les personnes elles-mêmes. Cependant, ce n’est pas parce que Dieu connait clairement ce sujet que tu peux dire : « D’accord, alors, fais ce que Tu veux, Dieu. Je n’ai pas besoin de réfléchir à quoi que ce soit. Je peux rester assis toute la journée et attendre que la manne tombe du ciel. C’est très bien que Dieu s’occupe de tout. » Les gens doivent faire tout leur possible pour coopérer quand ils assument leurs responsabilités, et quand ils font les choses qui leur incombent, les choses qu’ils doivent entreprendre, les choses qu’ils doivent pratiquer et les choses qu’ils peuvent accomplir grâce à leur capacité innée. Que signifie faire tout son possible pour coopérer ? Cela signifie que tu dois consacrer du temps et de l’énergie à ton devoir, souffrir et en payer le prix. Parfois, ton orgueil, ta vanité et ton intérêt personnel doivent en pâtir, et tu dois abandonner complètement ton désir concernant une destination et ton désir d’être béni. Ces choses doivent être abandonnées, alors tu dois les abandonner. Par exemple, Dieu dit : « Ne convoite pas les conforts de la chair, car ils ne servent pas à l’épanouissement de ta vie. » Tu n’arrives pas à te soumettre à Lui et après plusieurs échecs, tu te dis : « Dieu a raison. Pourquoi ne puis-je pas mettre cela en pratique et me rebeller contre la chair ? Suis-je incapable de changer ? Est-ce ainsi que Dieu me voit aussi ? Ne me sauvera-t-Il pas ? Je suis une cause perdue, alors je me contenterai d’être un exécutant et de rendre service jusqu’à la fin. » Est-ce acceptable ? (Non.) Les gens sont souvent dans cet état. Soit, ils ne recherchent que les bénédictions et la couronne, soit, après avoir connu quelques échecs, ils pensent qu’ils ne sont pas à la hauteur et que Dieu a également prononcé un verdict à leur égard. C’est une erreur. Si tu peux faire machine arrière à temps, si tu peux changer ton cœur et ton esprit, renoncer au mal commis par tes mains, revenir devant Dieu, te confesser et te repentir devant Lui, reconnaître que tes actions ne sont pas les bonnes et que le chemin que tu suis n’est pas le bon, et admettre tes propres échecs et ensuite pratiquer selon le chemin qui t’est indiqué par Dieu, sans abandonner la poursuite de la vérité, peu importe à quel point tu es entaché, alors tu fais ce qu’il faut. En faisant l’expérience de changements dans leur tempérament et en étant sauvés, les gens rencontreront nécessairement de nombreuses difficultés. Par exemple, en étant incapables de se soumettre aux situations prévues par Dieu, leurs diverses pensées, leurs divers points de vue, leur imagination, leurs tempéraments corrompus, leurs connaissances et dons, ou bien leurs problèmes ou défauts personnels. Tu dois affronter toutes sortes de difficultés. Une fois que tu auras surmonté ces myriades de difficultés et d’états, lorsque la bataille dans ton cœur sera terminée, tu posséderas la réalité-vérité, tu seras délivré de tes entraves, et ainsi tu auras été délivré et libéré. Un problème que les gens rencontrent souvent au cours de ce processus est qu’avant d’avoir identifié des problèmes en eux-mêmes, ils pensent qu’ils sont meilleurs que tout le monde et seront bénis même si personne d’autre ne l’est, tout comme Paul. Lorsqu’ils découvrent leurs difficultés, ils pensent qu’ils ne sont rien et ils se disent que c’est fini pour eux. Il y a toujours deux extrêmes. Il faut que tu surmontes ces deux extrêmes afin de ne pas dévier d’un côté ou de l’autre. Lorsque tu rencontres une difficulté, même si tu t’es déjà rendu compte que le problème est tout à fait insoluble et qu’il sera extrêmement difficile à résoudre, tu devrais l’affronter correctement, en le rongeant petit à petit comme des fourmis mangeant un os, tu te présenteras devant Dieu et tu Lui demanderas de t’aider à le résoudre, et tu renverseras cet état. Tu dois te repentir devant Dieu. Ton repentir est la preuve que tu as un cœur qui accepte la vérité et une attitude de soumission, ce qui signifie qu’il y a de l’espoir que tu acquiers la vérité. Et si, au milieu de cela, davantage de difficultés apparaissent, n’aie pas peur. Dépêche-toi de te présenter devant Dieu pour prier : Dieu te regarde et t’attend secrètement, et tant que tu ne t’éloignes pas du cadre, du courant et de la portée de Son œuvre de gestion, il y a de l’espoir pour toi, tu ne dois absolument pas abandonner. Si tout ce que tu révèles est un tempérament corrompu, alors, tant que tu es capable de le comprendre et d’accepter la vérité, et de pratiquer la vérité, un jour viendra où ces problèmes seront résolus. Il faut que tu aies foi en cela. Dieu est la vérité. Pourquoi as-tu besoin de craindre que ton petit problème ne puisse pas être résolu ? Tout cela peut être résolu, alors pourquoi être négatif ? Dieu ne t’a pas abandonné, alors pourquoi renoncer à toi-même ? Tu ne devrais pas abandonner ni être négatif. Tu devrais affronter le problème comme il se doit. Tu dois connaître les lois normales d’entrée dans la vie et être capable de voir la révélation et la manifestation d’un tempérament corrompu, ainsi que la négativité, la faiblesse et la confusion occasionnelles, comme des choses normales. Le processus pour changer de tempérament est long et répétitif. Lorsque tu seras au clair sur ce point, tu seras en mesure d’affronter les problèmes correctement. Parfois, ton tempérament corrompu se révèle de façon sérieuse, cela dégoûte quiconque le voit et tu te hais. Ou bien, parfois, tu es trop laxiste et tu te fais discipliner par Dieu. Il n’y a pas lieu d’avoir peur. Tant que Dieu te corrige, tant qu’Il te protège encore, qu’Il travaille en toi et qu’Il est toujours avec toi, cela prouve qu’Il ne t’a pas abandonné. Même lorsqu’il y a des moments où tu as le sentiment que Dieu t’a quitté et que tu as été plongé dans les ténèbres, n’aie pas peur : tant que tu es toujours en vie, et non en enfer, tu as toujours une chance. Toutefois, si tu es comme Paul, qui a obstinément suivi le chemin d’un antéchrist, et finalement témoigné que, pour lui, vivre c’est le Christ, c’est fini pour toi. Si tu peux revenir à la raison, tu as encore une chance. Quelle chance as-tu ? La chance de pouvoir venir devant Dieu, et de pouvoir toujours Le prier et chercher, en disant : « Ô Dieu ! Éclaire-moi pour que je comprenne cet aspect de la vérité, et cet aspect du chemin de la pratique. » Tant que tu fais partie des disciples de Dieu, tu as l’espoir du salut et tu pourras aller jusqu’au bout. Ces paroles sont-elles assez claires ? Es-tu toujours susceptible d’être négatif ? (Non.) Quand les gens comprennent les intentions de Dieu, leur chemin est large. S’ils ne comprennent pas Ses intentions, il est étroit, il y a des ténèbres dans leur cœur et ils n’ont aucun chemin à parcourir. Voici comment sont ceux qui ne comprennent pas la vérité : ils ont l’esprit étroit, ils coupent toujours les cheveux en quatre, ils se plaignent toujours de Dieu et Le comprennent mal. En conséquence, plus ils avancent, plus leur chemin disparaît. En fait, les gens ne comprennent pas Dieu. Si Dieu traitait les gens comme ils l’imaginaient, l’espèce humaine aurait été détruite depuis longtemps.

Les sept péchés de Paul représentent des révélations typiques de l’humanité corrompue, mais Paul n’était que le cas le plus grave. Sa nature-essence était déjà déterminée, c’était la personne qu’il était. Cependant, ces tempéraments corrompus sont communs à tous les humains corrompus ; chaque personne les possède à un degré différent. Ces états découlent tous d’un tempérament corrompu. Bien que tu ne sois pas le même type de personne que Paul, tu possèdes également ces tempéraments corrompus, mais tu ne les manifestes pas de manière aussi grave que lui. À l’heure actuelle, les états de ce genre que la majorité d’entre vous possède, sont considérés par Dieu comme des révélations de tempéraments corrompus. Cependant, Paul n’a pas seulement révélé un tempérament corrompu ; il s’est engagé sur une voie de résistance à Dieu et a obstinément refusé de se repentir. Il a été condamné et reconnu coupable. Il avait une nature démoniaque et cette nature démoniaque qui haïssait la vérité était irrécupérable. Après cela, vous devriez échanger sur ce discours et vous évaluer à partir de cela. Le but est de reconnaître la gravité des erreurs commises par Paul, puis de découvrir tous les états corrompus que vous avez qui sont similaires à ceux de Paul, et de les corriger étape par étape. Si l’on cherche à corriger ces tempéraments corrompus, c’est pour rendre les gens capables de vivre avec une ressemblance humaine de plus en plus grande et une compatibilité avec Dieu de plus en plus grande. Ce n’est qu’en corrigeant ces tempéraments corrompus que les gens peuvent vraiment se présenter devant Dieu, être compatibles avec Lui, être de véritables êtres créés, et faire en sorte que Dieu les regarde avec satisfaction. Vous arrive-t-il de faire des comparaisons avec vous-mêmes ? (C’est quelque chose qui nous manque un peu.) Ce qui vous manque le plus, c’est la vérité. C’est dans la vérité que vous devriez entrer. Il y a beaucoup de choses en vous en ce moment, mais la plupart d’entre elles sont corrompues et mauvaises. Vous avez des connaissances absurdes, vous êtes trop mesquins, vous ne pensez qu’à faire des transactions et des échanges, vous avez une surabondance de choses négatives, et vous devenez négatifs quand vous n’effectuez pas bien une tâche ou que vous percevez une difficulté. Lorsque tu vois que l’œuvre de Dieu n’est pas conforme à tes souhaits, des émotions négatives émergent en toi, tu t’opposes à Son œuvre et tu la combats. Lorsque tu obtiens le moindre résultat dans ton travail, cela te monte à la tête et tu ne te tiens plus. Tu deviens arrogant et ne reconnais pas ta place dans l’univers, tu penses que tu es au-dessus de tout le monde et tu veux que Dieu te donne une couronne et une récompense en échange ; tu oses aussi faire preuve de manque de retenue en public. En résumé, ces états sont cohérents avec ceux de Paul : ce sont les mêmes, et Dieu les déteste.

Nous avons résumé et défini les sept principaux péchés de Paul. En fin de compte, Paul a fait l’objet d’une punition. Lorsque Dieu a décidé de la fin pour Paul, s’est-il basé sur seulement un de ses péchés ? (Non.) Globalement, c’est bien la fin qu’il aurait dû avoir ; c’est la façon dont il aurait dû finir. Les faits sont devant toi, tu ne peux pas les nier. Si certains d’entre vous parcourent de bout en bout un chemin comme celui de Paul, manifestent les sept péchés de Paul, et sont incapables de chercher la vérité pour les résoudre, quel sera le résultat final pour vous ? (Le même que celui de Paul.) Vous deviendrez un démon antéchrist comme Paul et vous devrez être punis. Lorsque tu seras puni, n’accuse pas Dieu d’être injuste. Au contraire, tu devrais louer la justice de Dieu et dire : « Dieu est juste ! Dieu a exposé les sept péchés de Paul et Ses paroles les ont expliqués. C’est moi qui ne suis pas entré dans Ses paroles ! » Aujourd’hui, les choses sont différentes de ce qu’elles étaient il y a deux mille ans ; Dieu parle aux gens de chaque vérité de manière claire et transparente, et c’est écrit pour toi, afin que tu l’entendes et le comprennes, et que tu voies que c’est ainsi que Dieu œuvre et accomplit les choses dans la vie réelle, aussi. Si tu n’arrives toujours pas à entrer dans la vérité et que tu ne peux pas corriger ton tempérament corrompu selon les paroles de Dieu, ne blâme pas Dieu de te punir selon Son juste tempérament. Dans le Livre de l’Apocalypse, Dieu dit, « Ma récompense pour traiter chacun conformément à son œuvre » (Apocalypse 22:12). Dieu rétribue les gens en fonction de ce qu’ils font. Telle est le juste tempérament de Dieu. Ceux qui croient en Dieu devraient réfléchir sur eux-mêmes, se connaître à la lumière des paroles de Dieu et des sept péchés de Paul que Dieu a exposés, et parvenir à une véritable repentance. C’est ce que Dieu approuve.

Le 14 juin 2018

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