53. Mon parcours semé d’embûches pour répandre l’Évangile

Par Anna, Myanmar

Je viens du Myanmar. J’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours en 2019. En lisant les paroles de Dieu, j’ai appris que Dieu accomplit Son œuvre du jugement dans les derniers jours pour sauver pleinement l’homme de l’influence de Satan, nous emmenant vers une merveilleuse destination. Je suis vraiment reconnaissante à Dieu pour Son salut. Depuis, je prêche l’Évangile dans l’Église. Lors d’une réunion, nous avons lu ce passage des paroles de Dieu : « Mon œuvre finale n’est pas seulement accomplie pour punir l’homme, mais aussi pour préparer sa destination. Surtout, elle est réalisée pour recevoir la reconnaissance de tous, pour tout ce que J’ai fait. Je veux que chaque homme voie que tout ce que J’ai fait est juste et une expression de Mon tempérament. Ce n’est pas l’homme, et encore moins la nature, qui a créé l’humanité. C’est Moi qui nourris tout être vivant dans la création. Sans Mon existence, l’humanité ne peut que périr et souffrir du fléau des catastrophes. Aucun être humain ne verra plus jamais ni le beau soleil, ni la belle lune, ni le monde verdoyant. L’humanité ne connaîtra que la nuit glaciale et l’inexorable vallée de l’ombre de la mort. Je suis le seul salut de l’humanité. Je suis son seul espoir et, surtout, Je suis Celui sur qui repose toute son existence. Sans Moi, l’humanité arriverait immédiatement à une impasse. Sans Moi, l’humanité subirait les catastrophes et serait piétinée par tout genre de fantômes, bien que personne ne prête attention à Moi. J’ai fait une œuvre qui ne peut être faite par personne d’autre. Mon seul espoir, c’est que l’homme puisse Me rembourser par de bonnes actions. Bien qu’ils aient été peu nombreux à pouvoir Me rembourser, J’achèverai néanmoins Mon voyage dans le monde humain et Je commencerai la prochaine étape de Mon œuvre qui progresse, car galoper ici et là parmi les hommes durant ces nombreuses années a été fructueux et J’en suis très heureux. Peu M’importe le nombre d’hommes, Je tiens plutôt compte de leurs bonnes actions. Dans tous les cas, J’espère que vous préparez suffisamment de bonnes actions pour votre propre destination. C’est alors que Je serai satisfait. Sinon, aucun d’entre vous n’échappera à la catastrophe qui s’abattra sur vous. C’est Moi qui provoque la catastrophe et, bien sûr, qui l’orchestre. Si vous ne pouvez pas paraître bons à Mes yeux, alors vous n’échapperez pas à la catastrophe » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). Lire ces paroles de Dieu m’a beaucoup encouragée. Comme les désastres augmentent de plus en plus, et que beaucoup de gens, qui désirent ardemment l’apparition de Dieu, n’ont pas entendu Sa voix ou accepté Son salut des derniers jours, j’étais angoissée et éprouvais un sentiment d’urgence. Alors, j’ai prié, en demandant à Dieu de me guider pour que je puisse prêcher Son Évangile des derniers jours à davantage de gens.

Au début du mois de juillet 2022, je suis allée répandre l’Évangile dans un village avec quelques frères et sœurs. Un frère avait été dénoncé et arrêté parce qu’il prêchait là-bas, et le chef du village disait aux habitants qu’ils n’avaient pas le droit d’être croyants chaque fois qu’il revenait d’une réunion du gouvernement du comté. Si des croyants étaient découverts, ils écoperaient de lourdes amendes ou seraient même arrêtés. Personne n’osait donc écouter ce que nous prêchions. Les gens voulaient que nous parlions d’abord au chef du village avant d’oser examiner notre prédication. J’étais une étrangère. Ceux qui répandaient l’Évangile avec moi venaient tous de villages voisins et nous ne connaissions pas le chef du village. Les gens du coin refusaient également de nous emmener le voir. Je ne savais pas comment résoudre ces difficultés et nous courions le risque d’être dénoncés et arrêtés à tout moment. Alors j’ai dit une prière, en demandant à Dieu de nous montrer le chemin. Lors d’une réunion, nous avons lu ce passage des paroles de Dieu : « Tu dois croire que tout est entre les mains de Dieu et que les gens ne font que coopérer. Si tu es sincère, Dieu le verra et Il t’ouvrira une voie dans chaque situation. Aucune difficulté n’est insurmontable ; tu dois avoir cette foi. Par conséquent, quand vous accomplissez vos devoirs, il est inutile d’avoir des doutes, quels qu’ils soient. Tant que tu fais le maximum, avec tout ton cœur, Dieu ne te créera pas de problèmes, ni ne te donnera plus que tu ne peux gérer » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Quand on croit en Dieu, le plus important est de pratiquer Ses paroles et d’en faire l’expérience). Ces paroles de Dieu m’ont donné foi et force. Que je puisse rencontrer le chef du village ou que je sois dénoncée et arrêtée, tout cela était entre les mains de Dieu. Propager l’Évangile est la directive de Dieu, quelque chose qu’Il veut voir accompli. Le gouvernement réprimait l’expansion de l’Évangile du Règne de Dieu et le chef de village l’entravait, mais ils ne pouvaient pas l’arrêter. Ils ne pouvaient pas empêcher les brebis de Dieu de retourner à Lui. Tant que nous nous donnions à fond dans notre travail, je savais que Dieu nous montrerait la voie et qu’Il nous ouvrirait un chemin. Quand nous avons compris la volonté de Dieu, nous avons tous eu l’assurance nécessaire pour aller partager l’Évangile. Il s’est avéré qu’un frère d’un village voisin était apparenté au chef du village. Il nous a dit qu’il nous emmènerait le voir le lendemain. Ce soir-là, nous sommes retournés au village et avons prêché des gens du coin qui avaient une bonne humanité. Tandis que nous échangions, le chef adjoint du village, le chef de section et le trésorier sont arrivés à l’improviste, puis ils sont partis après nous avoir écoutés un court moment. Un habitant a dit : « Ils sont venus voir si vous prêchiez l’Évangile. Nous ne devrions plus écouter. Allez d’abord parler au chef du village. S’il est d’accord, nous écouterons davantage. » Nous n’avions d’autre choix que de partir. De retour chez moi, je me suis sentie assez démoralisée. Le chef adjoint savait que nous partagions l’Évangile. S’il nous faisait obstacle, les villageois n’examineraient certainement pas le vrai chemin. En outre, quand ce frère avait été arrêté précédemment, c’était parce qu’il avait été dénoncé par le trésorier. M’inquiétant d’être arrêtée, moi aussi, je ne voulais pas aller parler au chef du village. Le superviseur a appris mon état et il a échangé avec moi : « Face à ce genre de situation, nous ne pouvons pas reculer. Nous devons saisir cette occasion de parler au chef du village et de partager l’Évangile avec les villageois. Tant que nous assumons nos responsabilités, qu’ils acceptent ou non l’Évangile, nous aurons la conscience tranquille. » À cet instant, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu que j’avais lu auparavant : « En prêchant l’Évangile, les gens doivent assumer leurs responsabilités et traiter sérieusement tous les destinataires potentiels de l’Évangile. Dieu sauve l’homme dans toute la mesure du possible, et les gens doivent être conscients de la volonté de Dieu, ils ne doivent pas négliger quiconque cherche et explore le vrai chemin. […] Tant que les gens sont disposés à explorer le vrai chemin et capables de rechercher la vérité, vous devez faire tout votre possible pour leur lire davantage de paroles de Dieu et leur communiquer davantage la vérité, et pour témoigner de l’œuvre de Dieu et résoudre leurs notions et leurs questions, afin que vous puissiez les rallier et les amener devant Dieu. C’est conforme aux principes de la diffusion de l’Évangile. Alors, comment peut-on les rallier ? Si, dans le processus d’engagement avec eux, tu t’assures qu’ils sont de bon calibre et de bonne humanité, tu dois faire tout ton possible pour assumer tes responsabilités. Tu dois payer un certain prix et utiliser certaines voies et certains moyens, et les voies et les moyens que tu utiliseras n’importent pas, tant que c’est pour les rallier. En somme, pour les rallier, tu dois assumer tes responsabilités, utiliser l’amour et faire tout ce qui est en ton pouvoir. Tu dois échanger sur toutes les vérités que tu comprends et faire toutes les choses que tu es censé faire. Même si la personne ne s’est pas ralliée, tu auras la conscience tranquille. Tu auras fait tout ce qui était en ton pouvoir » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Évangéliser est le devoir auquel sont tenus par honneur tous les croyants). Les paroles de Dieu nous disent que lorsque nous prêchons, nous devons assumer nos responsabilités pour avoir la conscience tranquille. Tant que la personne que nous prêchons est en accord avec les principes, nous devons partager l’Évangile avec elle de toutes les manières possibles. Les villageois souhaitaient investiguer le vrai chemin. C’était uniquement à cause de l’oppression du gouvernement qu’ils avaient peur d’être condamnés à une amende ou arrêtés, et qu’ils refusaient de nous écouter. Je devais assumer mes responsabilités, échanger davantage sur les paroles de Dieu et résoudre les problèmes et difficultés des villageois. Si le chef du village était une bonne personne, qui était prête à écouter les paroles de Dieu, je devais tout essayer pour lui prêcher l’Évangile. Ce serait vraiment assumer mes responsabilités. Mais si je ne partageais pas l’Évangile par peur d’être dénoncée et arrêtée, alors je serais redevable à Dieu. Quand j’ai compris la volonté de Dieu, j’ai eu l’assurance nécessaire pour parler au chef du village et prêcher les villageois.

Le lendemain, ce frère nous a emmenés chez le chef du village. Le chef adjoint et le trésorier étaient là également. Nous avons échangé sur la façon dont Dieu accomplit les trois étapes de Son œuvre pour sauver l’humanité et nous leur avons dit que nous sommes maintenant dans les derniers jours et que Dieu Tout-Puissant est la venue du Sauveur. Il exprime des vérités et fait l’œuvre du jugement pour purifier et sauver l’homme. Nous devons accepter Son jugement et Sa purification pour être protégés par Dieu à travers les désastres et entrer dans Son royaume. Le chef du village était intrigué et il a voulu investiguer. Par contre, le chef adjoint et le trésorier ont eu une attitude négative. Ils ont dit : « Nous écoutons le gouvernement. Il n’autorise pas les croyances religieuses, donc nous ne pouvons pas croire. Sinon, nous serons arrêtés. » Voyant qu’ils campaient sur leur position, j’ai prié, les confiant à Dieu et Lui demandant de les guider. Puis je leur ai lu ce passage des paroles de Dieu Tout-Puissant : « Peut-être ton pays prospère-t-il actuellement, mais si tu permets à ton peuple de s’éloigner de Dieu, alors il se trouvera de plus en plus privé des bénédictions de Dieu. La civilisation de ton pays sera de plus en plus piétinée et, bientôt, le peuple se lèvera contre Dieu et maudira le ciel. Et ainsi, à l’insu de l’homme, le destin d’un pays sera ruiné. Dieu élèvera des pays puissants pour contrer ces pays qui ont été maudits par Lui, et Il peut même les rayer de la surface de la terre. La montée et la chute d’un pays ou d’une nation sont fondées sur le fait que ses dirigeants adorent Dieu ou pas, et qu’ils conduisent ou pas leur peuple à être plus près de Dieu et l’amènent à L’adorer » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité). Ensuite, j’ai échangé : « Le gouvernement n’autorise pas la foi, à l’heure actuelle, et il s’oppose même à Dieu. Vous l’écoutez et n’osez pas croire. Qui peut vraiment sauver les gens ? Dieu ou le gouvernement ? La pandémie s’aggrave de jour en jour, ces derniers temps. Qu’ils soient riches ou pauvres, qu’ils occupent des postes élevés ou inférieurs, les êtres humains sont insignifiants face au désastre. Personne ne peut nous sauver du pouvoir de Satan ou nous protéger à travers les désastres. Seul Dieu peut nous sauver ! Dieu est devenu chair dans les derniers jours, exprimant des vérités et œuvrant pour sauver l’homme. C’est une occasion unique. Vous êtes tous responsables de ce village. Si vous n’amenez pas les villageois à vénérer Dieu et qu’au contraire, vous les conduisez à s’opposer à Lui, ces gens auront été anéantis par vous tous. » Le chef du village a alors dit : « Je crois que le destin des gens est entre les mains de Dieu et je veux amener les villageois à croire en Dieu. » Le trésorier a dit : « Je sais qu’avoir la foi est une bonne chose, mais le gouvernement nous fera arrêter si nous ne nous soumettons pas à sa volonté. Nous avons les mains liées. » Alors je leur ai lu cet autre passage des paroles de Dieu : « Nous croyons qu’aucun pays ou pouvoir ne pourra se dresser sur le chemin de ce que Dieu souhaite accomplir. Ceux qui entravent Son œuvre, résistent à Sa parole et perturbent et altèrent Son plan seront finalement punis par Lui. Celui qui défie l’œuvre de Dieu sera envoyé en enfer ; tout pays qui défie l’œuvre de Dieu sera détruit ; toute nation qui s’élève pour s’opposer à l’œuvre de Dieu sera exterminée de cette terre et cessera d’exister. J’exhorte les peuples de toutes les nations, de tous les pays et même de tous les secteurs à écouter la voix de Dieu, à voir Son œuvre et à prêter attention au destin de l’humanité, afin de faire de Dieu le plus saint, le plus honorable, le plus élevé et le seul objet d’adoration parmi l’humanité et pour permettre à l’humanité tout entière de vivre sous Sa bénédiction, tout comme les descendants d’Abraham ont vécu sous la promesse de l’Éternel, et tout comme Adam et Ève, que Dieu a créés en premier, ont vécu dans le jardin d’Éden » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité). Puis j’ai échangé : « Le tempérament de Dieu ne tolère aucune offense humaine. Il punira tous ceux qui s’opposent à Son œuvre. Voilà le tempérament juste de Dieu et personne ne peut y échapper. Les désastres continuent de croître. C’est le rappel et l’avertissement de Dieu à l’humanité, ainsi qu’un châtiment. Prenez, par exemple, le gouvernement dans le sud de l’état Wa, au Myanmar, qui arrête souvent des croyants et ne permet pas aux gens d’accepter l’œuvre de Dieu Tout-Puissant. Il s’agit d’une résistance à l’encontre de Dieu qui est grave. En juin de cette année, il y a eu des inondations dans cette région et de nombreuses maisons ont été emportées. Offenser les autres n’aura aucune importance, mais les conséquences pour avoir résisté à Dieu seront graves. Nous avons tous fait des choses contre Dieu, auparavant, mais tant que nous nous repentons devant Lui, et que nous aidons les villageois à investiguer le vrai chemin et à se tourner vers Dieu, Il aura pitié de nous et nous pardonnera. » Après mon échange, le trésorier a semblé avoir une attitude moins inflexible. Le chef du village et les autres ont tous accepté de nous laisser partager l’Évangile avec les villageois. Le lendemain matin, nous avons rassemblé les villageois et leur avons rendu témoignage de l’œuvre de Dieu des derniers jours. Après plus de dix jours d’échange, plus de 40 personnes du village, dont le chef et le chef adjoint, avaient accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant. Ils désiraient ardemment les paroles de Dieu, participaient avec enthousiasme aux réunions et prenaient l’initiative d’amener d’autres gens pour qu’ils écoutent des sermons. Plus tard, des frères et sœurs ont uni leurs efforts et travaillé dur, et les habitants de nombreux villages ont accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant.

Tandis que de plus en plus de gens acceptaient l’Évangile de Dieu des derniers jours, la répression du gouvernement est devenue intense. J’avais été dénoncée plusieurs fois parce que je répandais l’Évangile. La plupart de gens, dans ma ville natale, savaient que je croyais en Dieu Tout-Puissant, et la police me cherchait partout. Comme je n’étais pas chez moi, des policiers sont allés chez mes parents et ils ont arrêté et enfermé ma mère, pourtant incroyante. J’étais furieuse. Ma foi était juste et correcte, et partager l’Évangile était également la bonne chose à faire. Les agents du gouvernement me pourchassaient partout à cause de ma foi et de mon évangélisation, et ils disaient qu’ils ne libéreraient pas ma mère tant qu’ils ne m’auraient pas arrêtée. C’est incroyablement malfaisant ! Les membres de ma famille ne me comprenaient pas et disaient que c’était à cause de ma foi que ma mère avait été arrêtée. Ils m’ont appelée et accusée de ne pas avoir de cœur. Mon frère et ma sœur m’ont même dit que je devrais me rendre. J’étais malheureuse et vraiment inquiète que ma mère souffre. J’ai continué à partager l’Évangile, mais pas de façon aussi active qu’avant. Dans ma douleur, j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, ma stature est trop faible. Ma mère a été arrêtée et ma famille ne me comprend pas, je suis vraiment malheureuse. S’il Te plaît, donne-moi la foi pour que je puisse rester forte. » Après avoir prié, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Parmi vous, il n’y a pas une seule personne qui reçoive la protection de la loi ; au contraire, vous êtes sanctionnés par la loi. Et, plus problématique encore, les gens ne vous comprennent pas : que ce soit votre famille, vos parents, vos amis ou vos collègues, aucun d’entre eux ne vous comprend. Lorsque Dieu vous “abandonne”, il est impossible pour vous de continuer à vivre sur la terre. Cependant, même ainsi, les gens ne peuvent pas supporter d’être éloignés de Dieu ; voilà la signification de la conquête des hommes par Dieu, voilà ce qu’est la gloire de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu est-elle aussi simple que l’homme l’imagine ?). Ces paroles de Dieu m’ont profondément touchée. En tant que croyants, partager l’Évangile et prendre le bon chemin dans la vie est la chose la plus juste à faire en ce monde. Non seulement les croyants ne bénéficient d’aucune protection juridique dans les pays qui s’opposent à Dieu, mais ils sont arrêtés et condamnés, et même les membres de leur famille se trouvent impliqués. Les représentants du gouvernement disent que les trafiquants de drogue et les meurtriers peuvent être pardonnés, et que seuls les croyants n’ont pas droit au pardon. De plus, quand un croyant est arrêté, il reçoit une amende, est mis en prison ou remis à un fonctionnaire en tant que travailleur manuel. Les croyants ne sont pas du tout traités comme des êtres humains. Ce pays est vraiment sombre et malfaisant. C’est la Sodome des temps modernes, opposée à Dieu. Aujourd’hui, être croyant et suivre Dieu signifie être persécuté, mais grâce aux paroles de Dieu, je voyais Sa volonté. Dieu utilisait ces difficultés pour parfaire notre foi, tout en nous permettant de gagner en discernement au sujet de l’essence malfaisante du gouvernement qui s’oppose à Dieu, pour que je puisse rejeter Satan, l’abandonner et me tourner sincèrement vers Dieu. Quand j’ai compris la volonté de Dieu, je ne me suis plus sentie aussi mal. Je me suis sentie prête à me fier à Dieu et à continuer à partager l’Évangile.

Plus tard, j’ai rassemblé les nouveaux croyants et j’ai échangé avec eux sur les paroles de Dieu, pour les aider à connaître l’œuvre de Dieu et à comprendre Sa volonté. Nous avons écouté cet hymne des paroles de Dieu ensemble : « Le temps perdu ne reviendra jamais. » « Réveillez-vous, frères ! Réveillez-vous, sœurs ! Mon jour ne tardera pas. Le temps, c’est la vie, et ressaisir le temps, c’est sauver la vie ! Le temps est proche ! Si vous ratez l’examen d’entrée à l’université, vous pouvez étudier et le repasser autant de fois qu’il vous plaira. Cependant, Mon jour ne souffrira aucun retard supplémentaire. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Je vous exhorte par ces bonnes paroles. La fin du monde se déroule devant vos yeux et de grandes catastrophes approchent rapidement. Qu’est-ce qui est le plus important, votre vie, ou votre sommeil, ce que vous mangez et buvez et vos vêtements ? Le temps d’évaluer ces choses est venu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 30). Après avoir écouté cet hymne, j’ai échangé : « Certains disent qu’ils croiront quand les forces de Satan chuteront et qu’il n’y aura plus d’oppression, mais à ce moment-là, l’œuvre de Dieu pour sauver l’humanité sera achevée et nous aurons complètement perdu notre chance d’être sauvés par Dieu. Si nous sommes freinés par le gouvernement et que nous n’osons pas avoir la foi quand celui-ci nous dit de ne pas l’avoir, alors le gouvernement pourra-t-il nous sauver, à la place ? Bien sûr que non. Seul Dieu peut nous sauver. Si nous écoutons le gouvernement et ne croyons pas, alors nous perdrons le salut de Dieu dans les derniers jours. Quand l’œuvre de Dieu prendra fin, nous serons détruits, avec Satan. Nous avons subi la répression et les arrestations du gouvernement à cause de notre foi, mais cette souffrance a de la valeur. Nous devons payer un prix si nous voulons recevoir le salut de Dieu. Et comme Dieu règne sur toutes choses, que nous soyons arrêtés ou non est entièrement entre Ses mains. Si nous sommes arrêtés, c’est avec la permission de Dieu. Nous devons nous soumettre à Lui et tirer des leçons de la situation. » Puis, j’ai lu davantage de paroles de Dieu Tout-Puissant : « Ceux à qui Dieu Se réfère en tant que “vainqueurs” sont ceux qui sont encore capables de témoigner, de maintenir leur confiance et leur dévouement envers Dieu même lorsqu’ils subissent l’influence de Satan et lorsque Satan les assiège, c’est-à-dire lorsqu’ils se retrouvent au milieu des forces des ténèbres. Si tu es toujours en mesure de garder un cœur pur devant Dieu et de maintenir ton véritable amour pour Dieu, quoi qu’il en soit, tu es témoin devant Dieu, et c’est ce que Dieu appelle être un “vainqueur” » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Tu devrais maintenir ta dévotion à Dieu). « Tu dois voir maintenant que la raison pour laquelle Dieu ne détruit pas Satan au temps de Son salut pour l’homme est qu’il faut que les humains voient clairement comment Satan les a corrompus et dans quelle mesure il les a corrompus, et comment Dieu les purifie et les sauve. En fin de compte, quand les hommes auront compris la vérité, vu clairement le visage odieux de Satan et contemplé le péché monstrueux de leur corruption par Satan, Dieu détruira Satan, leur montrant Sa justice » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Troisième partie). J’ai échangé : « Dieu autorise l’oppression et les arrestations du gouvernement. C’est un test pour voir si nous croyons vraiment en Lui, si nous avons la foi ou non. Si nous pouvons conserver notre foi en traversant ce genre d’oppression et d’épreuve, que nous ne nous replions pas dans la négativité, et que nous ne trahissons pas Dieu, mais que nous continuons au contraire à suivre Dieu, à nous réunir et à partager l’Évangile, alors c’est là avoir un témoignage, et Satan sera couvert de honte et vaincu. Cette souffrance a de la valeur. Pourquoi Dieu ne détruit-Il pas simplement Satan tout de suite ? C’est pour Se servir de Satan afin de perfectionner un groupe de vainqueurs, tout en nous permettant d’apprendre à discerner le bien du mal. Nous voyons comment Dieu œuvre pour sauver les gens et comment Satan corrompt les gens et leur nuit. Puis, un jour, quand Dieu détruira Satan, nous verrons à quel point Dieu est juste. Si Dieu se contentait d’anéantir directement Satan, nous n’aurions aucun discernement concernant Satan, nous ne le détesterions pas et ne l’abandonnerions pas. Il en va de même de ces régimes sataniques qui s’opposent à Dieu et de ces démons qui dirigent le gouvernement : ils sont vraiment doués pour se déguiser et tromper. Quand ils semblent faire de bonnes choses, c’est simplement pour que les gens les adorent. Dieu Tout-Puissant est apparu et Il œuvre dans les derniers jours pour sauver l’humanité. Il a exposé l’essence démoniaque d’opposition à Dieu de ces régimes. Ils renient et condamnent Dieu Tout-Puissant, ils arrêtent Ses croyants, leur donnent des amendes, les jugent et les emprisonnent. Ils sont exactement comme le diable Satan, qui amène les gens à le vénérer et ne leur permet pas de croire en Dieu et de Le suivre. En fin de compte, ils descendront tous en enfer et seront punis avec Satan. » Après cet échange, les nouveaux arrivants ont eu discernement et foi, et ils se sont tous activement impliqués dans la réunion. J’en ai été vraiment ravie.

Après ça, ces nouveaux croyants ont amené certains de leurs proches pour qu’ils écoutent des sermons. Au bout de quelques jours, plus de 80 personnes de ce village avaient accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. J’ai vu la sagesse de Dieu s’exercer en se basant sur les ruses de Satan. Satan nous avait joué toutes sortes de tours pour stopper le travail d’évangélisation, pour nous rendre frustrés et déprimés, mais les paroles de Dieu nous avaient donné foi et force. Nous avons pu mettre tout ce que nous avions dans le partage de l’Évangile et voir la direction de Dieu. J’ai été vraiment reconnaissante à Dieu. J’ai vu qu’aucun être humain ne pouvait empêcher ce que Dieu voulait achever, et j’ai gagné encore plus de foi pour partager l’Évangile.

En septembre 2022, une nouvelle croyante nous a emmenés prêcher l’Évangile dans le village de ses parents où plus de 40 personnes s’intéressaient au vrai chemin. Vraiment ravie, j’ai commencé à partager un témoignage de l’œuvre de Dieu des derniers jours avec eux. Puis j’ai appris que les représentants de l’administration régionale avaient montré ma photo lors d’une réunion, en disant que j’étais recherchée, et dit au gens de me signaler s’ils me voyaient prêcher l’Évangile. La police arrêtait également les voitures à l’aide de barrages routiers pour essayer de me trouver. Les policiers me cherchant partout, je me disais que s’ils me trouvaient effectivement un jour, ils me tueraient probablement. Devais-je continuer à partager l’Évangile ? Si j’arrêtais, qu’allaient devenir les villageois qui avaient commencé à investiguer l’œuvre de Dieu ? Ils ne pourraient pas entendre la voix de Dieu ni accepter Sa nouvelle œuvre. Ce ne serait pas assumer mes responsabilités. Les frères et sœurs, se souciant de ma sécurité, voulaient que je parte. Comme j’avais peur, je les ai écoutés et je suis partie. Ensuite, je me suis sentie plutôt coupable. J’avais envie d’y retourner et de continuer à prêcher l’Évangile à ces villageois. Alors j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, la police me cherche partout et j’ai peur. Mais je sais que le fait d’être arrêtée ou non est entièrement entre Tes mains. Je veux tout Te confier. S’il Te plaît, guide-moi pour que j’aie la foi et que je continue à prêcher et à Te rendre témoignage. » Plus tard, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Es-tu conscient du fardeau sur tes épaules, de ta commission et de ta responsabilité ? Où est ton sens de la mission historique ? Comment serviras-tu adéquatement en maître à la prochaine ère ? As-tu un sens élevé de maîtrise ? Comment expliquerais-tu le maître de toutes choses ? Est-ce réellement le maître de toutes les créatures vivantes et de toutes les choses physiques dans le monde ? Quels plans as-tu pour la progression de la prochaine étape de l’œuvre ? Combien de gens attendent que tu sois leur berger ? Ta tâche est-elle lourde ? Ils sont malheureux, pitoyables, aveugles, et désorientés, gémissant dans les ténèbres. Où est le chemin ? Combien ils aspirent à ce que la lumière, comme une étoile filante, descende soudainement et dissipe les forces des ténèbres qui ont accablé les hommes depuis tant d’années. Qui peut savoir exactement dans quelle mesure ils l’espèrent anxieusement et comment ils languissent jour et nuit après cela ? Ces hommes qui souffrent profondément restent emprisonnés dans un cachot obscur, sans espoir d’être libérés, même un jour où la lumière illumine. Quand cesseront-ils de pleurer ? Le malheur de ces esprits fragiles, à qui l’on n’a jamais accordé le repos, est terrible, et ils ont longtemps été gardés attachés dans cet état par d’impitoyables liens et par l’histoire figée. Qui a entendu les cris de leurs gémissements ? Qui a observé leur état misérable ? T’est-il jamais venu à l’esprit à quel point le cœur de Dieu est chagriné et anxieux ? Comment peut-Il supporter de voir l’humanité innocente, créée de Ses propres mains, endurer un tel tourment ? Après tout, les êtres humains sont les victimes qui ont été empoisonnées. Bien que l’homme ait survécu jusqu’à ce jour, qui aurait su que l’humanité a depuis longtemps été empoisonnée par le malin ? As-tu oublié que tu es l’une des victimes ? Dans ton amour pour Dieu, n’es-tu pas prêt à t’efforcer de sauver ces survivants ? N’es-tu pas prêt à consacrer toute ton énergie à rendre la pareille à Dieu qui aime l’humanité comme Sa propre chair et Son propre sang ? Tout compte fait, comment interprètes-tu ton utilisation par Dieu pour vivre ta vie extraordinaire ? As-tu réellement la détermination et la confiance pour vivre la vie riche de sens d’une personne pieuse qui sert Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Comment devrais-tu entreprendre ta future mission ?). Ces paroles de Dieu étaient vraiment inspirantes, mais elles m’ont aussi culpabilisée. Il y a encore tant de gens qui n’ont pas accepté le salut de Dieu des derniers jours et qui vivent sous le pouvoir de Satan. Ils sont impuissants et souffrent. Dieu a de la peine pour eux et Il éprouve un sentiment d’urgence à leur égard. Certains d’entre eux travaillent dur pour gagner de l’argent, ils ont des vies difficiles et épuisantes, et certains se sentent encore vides et malheureux intérieurement, même quand ils arrivent à gagner un peu d’argent. Ils ne connaissent pas la valeur de la vie humaine et ne trouvent aucune direction. Certains veulent chercher le vrai chemin, mais ils ont trop peur, à cause de l’oppression et des arrestations du gouvernement. Cela signifie que nous devons échanger sur les paroles de Dieu avec eux, témoigner de l’œuvre de Dieu, et nous servir des paroles de Dieu pour résoudre leurs problèmes, afin qu’ils puissent voir la vérité, la lumière et l’espoir dans les paroles de Dieu, et accepter le salut de Dieu. De plus, les désastres empirent ces derniers temps, et nombreux sont ceux qui n’ont toujours pas entendu la voix de Dieu. Ils n’ont rien vers quoi se tourner dans le désastre. Partager l’Évangile avec ces gens était ma responsabilité. Dieu ne veut pas que tous ceux qu’Il souhaite sauver succombent aux désastres. Si je cessais de répandre l’Évangile par souci de ma propre sécurité, ce ne serait pas faire mon devoir. J’aurais alors une dette énorme envers Dieu et je ne mériterais pas qu’on dise que je faisais partie de Sa famille. J’ai songé que j’étais exactement comme ces villageois, autrefois, que je vivais sous le contrôle de Satan, sans avoir aucun but ni espoir. Dieu avait inspiré des frères et sœurs pour qu’ils partagent l’Évangile avec moi, encore et encore, jusqu’à ce que j’entende finalement la voix de Dieu et que je reçoive Son salut des derniers jours. C’était l’amour et la miséricorde de Dieu à mon égard. Je devais tenir compte de la volonté de Dieu et faire tout ce qui était en mon pouvoir pour porter témoignage de l’œuvre de Dieu et Lui rendre Son amour. Le lendemain, je suis retournée dans ce village pour continuer à partager l’Évangile. Mais à peine quelques jours plus tard, la nouvelle arrivante qui nous y avait emmenés est partie pour régler des affaires urgentes. Je me suis un peu inquiétée. Allais-je finir par me faire arrêter, sans bénéficier de la protection de quelqu’un du coin ? Mais si je cessais de partager l’Évangile, ceux qui investiguaient le vrai chemin verraient leur acceptation de l’œuvre de Dieu Tout-Puissant retardée. Ces derniers jours, ils s’étaient faufilés dans les collines pour nous écouter prêcher, s’efforçant de chercher et d’investiguer. Ils désiraient si ardemment cela. Si je m’enfuyais par peur d’être arrêtée, si je rechignais à prêcher, je leur serais redevable et je blesserais Dieu. Alors j’ai rencontré un par un ceux qui investiguaient le vrai chemin, et je leur ai lu des paroles de Dieu Tout-Puissant. Finalement, chacun d’entre eux a accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant. Ensuite, ils ont amené d’autres personnes, pour qu’elles écoutent nos sermons. De plus en plus de gens ont accepté la nouvelle œuvre de Dieu après avoir entendu les paroles de Dieu Tout-Puissant. Voyant la direction de Dieu, je me suis sentie incroyablement reconnaissante à Son égard. La milice du village patrouillait souvent le soir, ce qui limitait nos réunions. Alors j’échangeais sur les paroles de Dieu avec les nouveaux croyants pour les aider à ne pas se laisser abuser par les ruses de Satan et à apprendre à se réunir en secret. Sachant cela, ils n’ont plus été affectés par le gouvernement. Ils se glissaient tous dans les collines ou dans les champs cultivés pour se réunir la nuit. Voir ça m’a donné encore plus d’énergie pour prêcher.

Je me souviens qu’un jour, une sœur m’a dit que quelques personnes que j’avais prêchées avaient été arrêtées par le gouvernement pour avoir écouté nos sermons. Leurs familles, composées d’incroyants, sont venues chez moi. Elles me cherchaient en disant qu’elles allaient me tuer. Cette sœur m’a dit de faire attention. J’étais effrayée. Si je m’étais trouvée chez moi à ce moment-là, qui sait ce que ces gens m’auraient fait. Si je continuais à répandre l’Évangile dans ce village et qu’ils mettaient la main sur moi, ils ne me laisseraient certainement pas m’en tirer facilement. J’ai eu envie de quitter cet endroit et de ne plus y partager l’Évangile. Mais l’idée de partir me contrariait vraiment. Puis je me suis souvenue de ces paroles de Dieu : « Tu sais que toutes les choses dans l’environnement autour de toi sont là avec Ma permission ; Je les planifie toutes. Vois clairement et satisfais Mon cœur dans l’environnement que Je t’ai donné. Ne crains rien, le Dieu Tout-Puissant des armées sera sûrement avec toi ; Il vous soutient et Il est votre bouclier » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 26). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que j’étais confrontée à cette situation avec la permission de Dieu. Comme je partageais l’Évangile et que je témoignais de l’œuvre de Dieu, Satan n’allait certainement reculer devant rien pour me faire obstacle, pour perturber mon état d’esprit, afin que j’aie trop peur pour continuer de répandre l’Évangile. Telle était l’intention malfaisante de Satan. Si je cessais de répandre l’Évangile par peur, m’accrochant à ma vie de crainte qu’elle soit en péril, ne serait-ce pas me laisser abuser par les ruses de Satan ? Que je sois arrêtée ou non, que je meure ou non, tout était entre les mains de Dieu. Job avait subi bien des choses quand Satan l’avait mis à l’épreuve. Il avait perdu tous ses enfants, toute sa richesse, et son corps s’était couvert de furoncles. Mais Dieu n’avait pas permis à Satan de prendre la vie de Job. Satan n’avait pas osé s’opposer à ce que Dieu avait dit, il n’avait pas osé nuire à la vie de Job. Donc, si Dieu ne permettait pas à ces gens de me nuire, ils ne pourraient rien me faire. Ma vie était entre les mains de Dieu, ce n’était pas à eux de décider si j’allais vivre ou mourir. Si j’étais arrêtée, la bonne volonté de Dieu se cacherait derrière mon arrestation et je devrais donc me soumettre. Je me suis dit que, puisque les choses tournaient mal dans ce village, je pouvais aller prêcher ailleurs. Tout irait bien si je faisais preuve de sagesse et surveillais mes arrières. Comme le Seigneur Jésus l’a dit : « Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre » (Matthieu 10:23). Puis j’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Dieu a un plan pour chacun de Ses disciples. Chacun d’entre eux a un environnement, fourni à l’homme par Dieu, dans lequel accomplir son devoir, et a la grâce et la faveur de Dieu dont l’homme doit jouir. Il connaît aussi des circonstances spéciales, que Dieu a prévues pour l’homme, et il doit endurer beaucoup de souffrances : cela ne se passe absolument pas sans heurt, comme l’homme se l’imagine. Au-delà de ça, si tu reconnais que tu es un être créé, tu dois te préparer à souffrir et à payer un prix pour assumer ta responsabilité, qui est de répandre l’Évangile, et pour faire ton devoir correctement. Le prix peut consister à souffrir d’une maladie physique, d’une épreuve, ou à subir les persécutions du grand dragon rouge ou les incompréhensions des gens du monde, ainsi que les tribulations que l’on subit en répandant l’Évangile : être dénoncé, être battu et réprimandé, être condamné et même, être assailli et mis en danger de mort. Au cours de la diffusion de l’Évangile, il est possible que tu meures avant que l’œuvre de Dieu ne soit terminée et que tu ne vives pas pour voir le jour de la gloire de Dieu. Vous devez être prêt à cela. Il n’est pas ici question de vous faire peur ; c’est un fait. […] Comment ces disciples du Seigneur Jésus sont-ils morts ? Parmi les disciples, certains ont été lapidés, traînés derrière un cheval, crucifiés la tête en bas, démembrés par cinq chevaux ; ils sont morts de toutes sortes de manières. Quelle a été la raison de leur mort ? Ont-ils été légalement exécutés pour leurs crimes ? Non. Ils ont été condamnés, battus, injuriés et mis à mort parce qu’ils répandaient l’Évangile du Seigneur, et ils ont été rejetés par les gens du monde ; c’est ainsi qu’ils ont été martyrisés. […] Quels qu’ont pu être les moyens de leur mort et de leur départ ou la façon dont cela s’est passé, ce n’est pas ainsi que Dieu a défini la fin de ces vies, de ces êtres créés. Tu dois voir cela clairement. Au contraire, ce sont les moyens dont ils se sont servis pour condamner ce monde et témoigner des actions de Dieu. Ces êtres créés se sont servis de leur si précieuse vie, ils ont utilisé le dernier moment de leur vie pour témoigner des actions de Dieu, pour témoigner de la grande puissance de Dieu et pour déclarer à Satan et au monde que les actions de Dieu sont justes, que le Seigneur Jésus est Dieu, qu’Il est le Seigneur, et la chair incarnée de Dieu. Même jusqu’au dernier moment de leur vie, ils n’ont jamais renié le nom du Seigneur Jésus. N’était-ce pas une forme de jugement sur ce monde ? Ils ont donné leur vie pour proclamer au monde, pour confirmer aux êtres humains que le Seigneur Jésus est le Seigneur, que le Seigneur Jésus est Christ, qu’Il est la chair incarnée de Dieu, que l’œuvre de rédemption qu’Il a faite pour toute l’humanité permet à l’humanité de continuer de vivre. Ce fait est à jamais immuable. Ceux qui ont été martyrisés pour avoir répandu l’Évangile du Seigneur Jésus, dans quelle mesure ont-ils accompli leur devoir ? Jusqu’à l’ultime mesure ? Comment l’ultime mesure a-t-elle été manifestée ? (Ils ont offert leur vie.) C’est juste, ils ont payé le prix de leur vie. La famille, la richesse et les possessions matérielles de cette vie sont toutes des choses externes ; la seule chose liée à l’être est la vie. Pour chaque personne vivante, la vie est la chose la plus digne d’être chérie, la chose la plus précieuse, et il se trouve que ces gens ont pu offrir ce qu’ils avaient de plus précieux, la vie, comme une confirmation et un témoignage de l’amour de Dieu pour l’humanité. Jusqu’au jour de leur mort, ils n’ont pas renié le nom de Dieu ni Son œuvre, et ils ont utilisé les derniers instants de leur vie pour témoigner de l’existence de ce fait. N’est-ce pas la plus haute forme de témoignage ? C’est la meilleure façon de faire son devoir ; c’est ce que signifie assumer sa responsabilité. Quand Satan les a menacés et terrorisés, et, à la fin, même quand il leur a fait payer le prix de leur vie, ils n’ont pas abandonné leurs responsabilités. C’est ce que signifie accomplir son devoir dans la plus grande mesure possible. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? Est-ce que Je veux que vous témoigniez de Dieu et répandiez Son Évangile de la même façon ? Tu n’as pas forcément à faire cela, mais tu dois comprendre que c’est ta responsabilité, que si Dieu a besoin que tu le fasses, tu dois l’accepter comme quelque chose que tu es tenu par l’honneur de faire » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Évangéliser est le devoir auquel sont tenus par honneur tous les croyants). Ces paroles de Dieu m’ont aidée à prendre conscience que les disciples du Seigneur Jésus avaient été condamnés, emprisonnés et qu’ils avaient subi toutes sortes de persécutions pour pouvoir répandre l’Évangile. Nombre d’entre eux avaient été martyrisés. Mais quelle que soit la fin qu’ils avaient rencontrée, ils avaient été capables de renoncer à leur précieuse vie, sans jamais renier Dieu, même devant la mort. Ils avaient témoigné de Dieu et L’avaient glorifié avec leurs propres vies. C’était le plus noble des témoignages et la meilleure façon de faire un devoir. Mais quant à moi, pourchassée par le gouvernement et menacée par des gens malfaisants, je m’accrochais avec avidité à la vie et je voulais fuir le village, au lieu de continuer de prêcher et d’abreuver les nouveaux arrivants. Où était mon témoignage ? J’ai réfléchi : pourquoi étais-je devenue craintive chaque fois que j’avais fait face à une situation où il était question de vie ou de mort ? C’était parce que je chérissais trop la vie, que je ne comprenais pas la vie et la mort. Le fait est que Dieu a déjà déterminé notre vie et notre mort. Être martyrisé pour Dieu, même si la chair meurt, n’est pas réellement la mort. Cela ne signifie pas qu’on n’aura pas une bonne fin et une bonne destination. Le Seigneur Jésus a dit : « Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera » (Matthieu 16:25). Si je ne faisais pas mon devoir et que je trahissais Dieu parce que je m’accrochais à la vie, ma chair ne souffrirait peut-être pas, mais Dieu serait dégoûté et me bannirait, et mon âme serait châtiée. Si je pouvais sacrifier ma vie pour porter témoignage à Dieu et que je préférais mourir plutôt que de Le trahir, cela ferait honte à Satan et ce serait significatif. Comprenant cela, je n’ai plus craint pour ma vie et j’ai pris cette décision : tant que je ne serais pas en garde à vue, tant que je respirerais encore, je continuerais à répandre l’Évangile et à porter témoignage à Dieu pour faire honte à Satan. Après ça, j’ai continué de prêcher l’Évangile. Rapidement, la plupart des villageois ont accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant.

Ensuite, je suis allée dans un autre village pour répandre l’Évangile. Au départ, plus d’une douzaine de personnes nous ont rejoint, mais ensuite, le gouvernement du canton nous a découvert alors que nous prêchions à un couple. Le chef du canton, le chef adjoint, le trésorier et des membres de la milice, soit plus d’une douzaine de personnes en tout, ont fait irruption dans la pièce et dit que nous devions les suivre. Je me suis alors sentie assez nerveuse. Allaient-ils m’arrêter et m’envoyer en prison ? Le gouvernement me cherchait. Ils avaient donné mon nom dans toutes les maisons, en disant qu’il fallait me signaler si on me prenait à prêcher l’Évangile. Si j’étais reconnue, ils ne me laisseraient pas m’en sortir facilement. Et ces nouveaux croyants s’en trouveraient affectés. Que se passerait-il, alors ? J’ai prié sans discontinuer, en demandant à Dieu de me donner la foi pour que je puisse rester forte dans mon témoignage. Assez vite, un frère et une sœur qui s’étaient rendus dans ce village pour prêcher l’Évangile avec nous ont été arrêtés, eux aussi. Nous avons tous été emmenés au gouvernement du canton et on nous a pris nos téléphones. Puis le chef du canton a commencé à nous interroger : « Qui êtes-vous ? Êtes-vous venu ici pour prêcher l’Évangile ? » Nous n’avons pas répondu. Alors ils nous ont enfermé dans une pièce obscure et nous ont fait surveiller par cinq ou six membres de la milice. J’avais peur qu’ils me reconnaissent. Si on m’envoyait dans ma ville natale, il était certain que je serais jetée en prison pour y être torturée et humiliée. Le chef du gouvernement régional avait dit que lorsqu’ils me trouveraient, ils me couperaient les cheveux, m’accrocheraient une pancarte autour du cou et me feraient défiler un peu partout. À ce moment-là, je n’ai pas cessé de prier Dieu : « Ô Dieu, je suis prête à me soumettre à une arrestation, mais ma stature est faible. S’il Te plaît, donne-moi la foi et veille sur moi pour que je puisse rester ferme. » Après avoir prié, j’ai pensé à une vidéo de témoignage que j’avais vue précédemment. Des frères et sœurs qui avaient été battus à mort en prison par la police chinoise n’avaient pas renié ni trahi Dieu, même confrontés à la mort. De nombreux autres avaient été sauvagement torturés, condamnés et emprisonnés, mais en priant et en se fiant à Dieu, ils avaient acquis une vraie foi grâce aux paroles de Dieu. Ils avaient juré jusqu’au bout de ne pas trahir Dieu, même si on les emprisonnait à vie. Ils avaient porté des témoignages retentissants et fermes. Cela m’a vraiment inspirée. Je me suis souvenue de ces paroles de Dieu : « À cette étape de l’œuvre, nous avons besoin d’une très grande foi et d’un très grand amour. Nous pouvons trébucher à la moindre négligence, car cette étape de l’œuvre est différente de toutes les précédentes : ce que Dieu parfait, c’est la foi de l’humanité, qui est aussi bien invisible qu’intangible. Ce que Dieu fait, c’est de convertir les paroles en foi, en amour et en vie. Les gens doivent atteindre un point où ils ont enduré des centaines d’épurements et possèdent une foi supérieure à celle de Job. Ils doivent supporter des souffrances incroyables et toutes sortes de tortures sans jamais s’éloigner de Dieu. Quand ils sont obéissants jusqu’à la mort et ont une grande foi en Dieu, alors cette étape de l’œuvre de Dieu est complète » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le chemin… (8)). Ces paroles de Dieu m’ont montré que Son œuvre dans les derniers jours consiste à utiliser des paroles pour perfectionner notre foi et notre amour, pour que nous puissions pratiquer et faire l’expérience de Ses paroles à travers l’oppression et les épreuves, de sorte que Ses paroles deviennent notre vie. J’ai repensé au moment où j’avais été opprimée et poursuivie par le gouvernement. Quand je m’étais montrée timorée et craintive, c’était entièrement les paroles de Dieu qui m’avaient guidée, me donnant la foi nécessaire pour continuer de prêcher. Maintenant qu’on m’avait appréhendée, je devais avoir la foi nécessaire pour rester ferme. Même si je devais faire de la prison et être humiliée, ou même mourir, j’étais prête à me soumettre. Puis cet hymne d’Église intitulé « Le témoignage de la vie » m’est venu à l’esprit : « Un jour, j’encours le risque d’être capturé et persécuté pour ma foi en Dieu, cette souffrance est au nom de la justice, je le sais dans mon cœur. Si ma vie n’est qu’une étincelle qui passe en un clin d’œil, je reste fier de pouvoir croire en Christ et Lui rendre témoignage. Si je ne peux voir le grand évènement de l’expansion de l’Évangile du Règne, j’offrirai tout de même mes plus beaux souhaits. Si je ne peux voir le jour de l’avènement du royaume, mais que je peux faire honte à Satan aujourd’hui, alors mon cœur sera empli de joie et de paix. […] Les paroles de Dieu se répandent à travers le monde, la lumière est apparue parmi les hommes. Le royaume de Christ s’élève et s’établit au cœur de l’adversité. L’obscurité bientôt prendra fin, une aube de justice est arrivée. Le temps et la réalité rendent témoignage à Dieu » (Suivre l’Agneau et chanter des cantiques nouveaux). Cet hymne m’a vraiment inspirée. J’ai compris que si j’étais arrêtée parce que je répandais l’Évangile, ce serait être persécutée pour avoir fait preuve de justice. Maintenant qu’on m’avait arrêtée, j’allais probablement aller en prison et ne pourrais plus prêcher. Mais même si on m’arrêtait et qu’on me persécutait, j’avais la chance de rendre un merveilleux témoignage à Dieu et de faire honte à Satan. J’en ai vraiment éprouvé de la fierté. Cette pensée m’a donné la foi. Au lever du jour, ils nous ont de nouveau interrogés. Voyant qu’ils ne tiraient rien de nous, ils nous ont donné des amendes de 3 000 kyats et nous ont laissés partir. Ils nous ont également avertis que nous ne devions pas continuer de prêcher et ils ont dit des tas de choses qui blasphémaient Dieu. J’ai encore plus détesté ces démons.

Après avoir été libérée, j’ai continué à répandre l’Évangile. Un jour, un frère m’a appelée et il m’a dit : « Les fonctionnaires du canton savent que tu es une étrangère qui est venue prêcher l’Évangile. Ils m’ont arrêté, avec deux nouveaux croyants, pour nous amener à te trahir. Mais personne n’a parlé, alors ils nous ont donné une amende et ils nous ont laissés partir. Ils ont également dit que s’ils te prenaient à prêcher de nouveau, ils te violeraient sur le champ. Ils te cherchent partout, dépêche-toi de fuir… » Quand ce frère m’a dit ça, j’ai eu du mal à en croire mes oreilles. Quand j’ai entendu qu’ils avaient dit qu’ils me violeraient s’ils me prenaient à prêcher, ça m’a rendue furieuse. Ces gens étaient vraiment des démons, sans aucune humanité ! Je n’étais qu’une croyante qui partageait l’Évangile, mais ils étaient si pleins de haine. Ils ne voulaient pas nous laisser avoir la foi, ils voulaient nous arrêter, nous persécuter et nous donner des amendes, et ils voulaient même me violer et me souiller. C’étaient vraiment des démons opposés à Dieu. Plus ils m’opprimaient, plus j’avais envie de prêcher et de porter témoignage.

Puis, en octobre, nous sommes allés dans un autre village pour répandre l’Évangile. Des frères et sœurs y avaient déjà prêché, mais leur pasteur avait répandu des rumeurs pour empêcher les croyants d’investiguer le vrai chemin, et le gouvernement avait commencé à arrêter les croyants. Les villageois, induits en erreur par ces rumeurs et craignant d’être arrêtés, n’osaient pas investiguer le vrai chemin. Nous allions avoir du mal à répandre l’Évangile. J’ai prié, demandant à Dieu Sa direction. Puis j’ai cherché quatre personnes possédant une assez bonne compréhension de la vérité et j’ai échangé avec elles sur ce qu’était le vrai chemin, ce qu’étaient les faux chemins, et sur la façon dont Dieu Se servait de l’oppression et des perturbations de Satan dans les derniers jours pour révéler et perfectionner les gens, pour séparer le bon grain de l’ivraie, les vierges sages des vierges folles. Les vierges folles n’écoutent que les êtres humains, que Satan. Elles ne cherchent pas et n’investiguent pas quand elles apprennent la nouvelle que le Seigneur est venu et qu’Il a prononcé des paroles, de sortes qu’elles ne peuvent pas accueillir l’époux. Seuls celles qui essaient d’écouter la voix de Dieu, qui restent fermes dans leur foi pour suivre Dieu sont les vierges sages. Elles seules peuvent assister au festin de noce avec le Seigneur. Après cet échange, ces quatre personnes ont toutes voulu continuer à investiguer. Les jours suivants, j’ai organisé des réunions pour elles, échangeant sur les paroles de Dieu. L’une d’entre elles a dit : « Avant, j’écoutais le pasteur et le chef du village. Ils disaient de ne pas écouter les paroles de Dieu Tout-Puissant, alors je ne le faisais pas. J’ai failli rater ma chance d’accueillir la venue du Seigneur. Je n’écoute plus les gens, maintenant. J’écoute Dieu. » Une autre a dit : « Lire les paroles de Dieu Tout-Puissant m’a convaincue qu’Il est le Seigneur Jésus revenu. Même si d’autres se mettent en travers de mon chemin, j’accepte Dieu Tout-Puissant. » J’ai été vraiment ravie de les entendre dire des choses comme ça. Ensuite, elles ont amené certains de leurs parents pour qu’ils écoutent des sermons, et en un rien de temps, plus de 20 personnes ont accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. Que ces nouveaux croyants puissent chercher le vrai chemin et rester fermes malgré les rumeurs m’a vraiment émue. Tout cela était dû à la direction des paroles de Dieu. Ma mère a finalement été relâchée en décembre. Elle avait fait des travaux forcés chaque jour pendant les mois de son incarcération. Les employés du gouvernement disaient qu’ils finiraient certainement par m’arrêter et me mettre en prison. J’ai pensé à la période qui avait précédé la libération de ma mère. Des policiers armés de pistolets et de matraques étaient souvent venus chez moi pour m’arrêter, en disant qu’ils ne libéreraient pas ma mère tant que je ne serais pas rentrée. Mais désormais, ils avaient relâché ma mère sans m’avoir capturée. J’ai vraiment fait l’expérience que Dieu régnait sur toutes choses, et que le fait que je sois arrêtée ou non était entièrement entre Ses mains. Je ne suis pas contrainte : j’ai continué de prêcher et de témoigner de Dieu.

En prêchant l’Évangile, j’ai rencontré de nombreuses difficultés, notamment en me sentant déprimée et faible. Mais à chaque fois, les paroles de Dieu m’ont guidée, me permettant de rester forte malgré la dépression et la faiblesse, me donnant la foi nécessaire pour continuer de prêcher et témoigner de Dieu. J’ai vraiment fait l’expérience que Dieu Se servait de ces difficultés pour perfectionner ma foi. Je rends grâce à Dieu. J’assumerai mes responsabilités, je partagerai l’Évangile des derniers jours avec davantage de gens et je rendrai Son amour à Dieu.

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