18. Comment aborder les relations familiales et charnelles
Paroles de Dieu Tout-Puissant des derniers jours
Les influences pernicieuses que des milliers d’années de « l’esprit noble du nationalisme » ont laissé profondément dans le cœur humain, ainsi que la pensée féodale par laquelle les hommes sont liés et enchaînés, sans un iota de liberté, sans volonté d’aspirer ou de persévérer, sans désir de progresser, restant au contraire négatifs et régressifs, ancrés dans une mentalité d’esclave, et ainsi de suite : ces facteurs objectifs ont transmis une tendance indélébilement souillée et laide aux perspectives idéologiques, aux idéaux, à la morale et au tempérament de l’humanité. Les êtres humains, semblerait-il, vivent dans un monde ténébreux de terrorisme qu’aucun d’entre eux ne cherche à transcender, et aucun d’entre eux ne pense à passer à un monde idéal ; ils se contentent plutôt de leur sort dans la vie, à passer leurs journées à donner naissance à leurs enfants et à les élever, à lutter, à transpirer, à vaquer à leurs activités, à rêver d’une famille confortable et heureuse, et à rêver d’affection conjugale, de liens de filialité, de joie au crépuscule de leur vie en vivant paisiblement leur vie… Pendant des dizaines, des milliers, des dizaines de milliers d’années jusqu’à maintenant, les gens ont gaspillé leur temps de cette façon sans que personne ne crée une vie parfaite, tous avec la seule intention de s’entre-tuer dans ce monde obscur, de courir après la renommée et la fortune, et de comploter les uns contre les autres. Qui a déjà cherché les intentions de Dieu ? Quelqu’un a-t-il jamais tenu compte de l’œuvre de Dieu ? Toutes les parties de l’humanité occupées par l’influence des ténèbres sont depuis longtemps devenues la nature humaine, et donc il est assez difficile de réaliser l’œuvre de Dieu, et les gens ont encore moins le cœur à prêter attention à ce que Dieu leur a confié aujourd’hui.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (3)
Les gens qui vivent dans cette société réelle ont été profondément corrompus par Satan. Qu’ils aient fait ou non des études, une grande partie de la culture traditionnelle est ancrée dans les pensées et les opinions des gens. Les femmes, en particulier, sont tenues de s’occuper de leur mari et d’élever leurs enfants, d’être de bonnes épouses et des mères aimantes, de consacrer toute leur vie à leur mari et à leurs enfants et de vivre pour eux, de veiller à ce que la famille ait trois bons repas par jour et de bien faire la lessive, le ménage et toutes les autres tâches ménagères. C’est la norme communément admise pour définir une bonne épouse et une mère aimante. Chaque femme pense également qu’il doit en être ainsi et que s’il en est autrement, c’est qu’elle a échoué à être une femme exemplaire et a dérogé à sa conscience et aux normes morales. La violation de ces normes morales pèsera lourdement sur la conscience de certaines personnes : elles auront le sentiment d’avoir déçu leur mari et leurs enfants et de ne pas être des femmes exemplaires. Or, une fois que tu crois en Dieu, que tu as lu beaucoup de Ses paroles, compris certaines vérités et percé à jour certaines questions, tu te diras : « Je suis un être créé. Je dois accomplir mon devoir en tant que tel et me dépenser pour Dieu. » À ce moment-là, y a-t-il un conflit entre le fait d’être une bonne épouse et une mère aimante et le fait de faire ton devoir en tant qu’être créé ? Si tu veux être une bonne épouse et une mère aimante, tu ne peux pas faire ton devoir à plein temps. À l’inverse, si tu veux faire ton devoir à plein temps, tu ne peux pas être une bonne épouse et une mère aimante. Que faire alors ? Si tu choisis de bien faire ton devoir et d’être responsable du travail de l’Église, loyale envers Dieu, alors tu dois renoncer à être une bonne épouse et une mère aimante. Que penserais-tu alors ? Quelle sorte de discorde naîtrait dans ton esprit ? Aurais-tu l’impression d’avoir déçu tes enfants, ton mari ? D’où vient ce sentiment de culpabilité et de malaise ? Quand tu ne mènes pas à bien ton devoir d’être créé, as-tu l’impression d’avoir déçu Dieu ? Tu n’éprouves aucun sentiment de culpabilité ou de faute parce que, dans ton cœur et dans ton esprit, il n’y a pas la moindre trace de vérité. Alors, que comprends-tu ? La culture traditionnelle et le fait d’être une bonne épouse et une mère aimante. Ainsi, la notion suivante naîtra dans ton esprit : « Si je ne suis pas une bonne épouse et une mère aimante, alors je ne suis pas une femme exemplaire ou décente. » Dès lors, tu seras liée et entravée par cette notion, et ce genre de notions te maintiendra ainsi même si tu crois en Dieu et si tu fais ton devoir. S’il y a un conflit entre faire ton devoir et être une bonne épouse et une mère aimante, tu auras beau choisir à contrecœur de faire ton devoir, en ayant peut-être un peu de loyauté envers Dieu, il y aura toujours un sentiment de malaise et de faute dans ton cœur. Par conséquent, lorsque, en faisant ton devoir, tu trouveras du temps libre, tu seras à l’affût de la moindre occasion de t’occuper de tes enfants et de ton mari, cherchant d’autant plus à te faire pardonner auprès d’eux, et tu te diras que, même si tu dois souffrir davantage, ce n’est pas grave, du moment que tu as l’esprit tranquille. Cela ne découle-t-il pas de l’influence des idées et des théories de la culture traditionnelle sur la façon d’être une bonne épouse et une mère aimante ? Te voilà à ménager la chèvre et le chou, désireuse de bien remplir ton devoir, mais aussi d’être une bonne épouse et une mère aimante. Or devant Dieu, nous n’avons qu’une seule responsabilité et une seule obligation, qu’une seule mission : accomplir correctement le devoir d’un être créé. Ce devoir, l’as-tu bien accompli ? Pourquoi t’es-tu encore égarée ? N’y a-t-il vraiment aucun sentiment de faute ou de culpabilité dans ton cœur ? Comme la vérité n’a pas encore posé de fondements dans ton cœur et qu’elle ne règne pas encore sur lui, il est possible que tu t’égares en faisant ton devoir. Bien qu’à présent tu sois en mesure de faire ton devoir, en réalité, tu es encore bien loin des normes de la vérité et des exigences de Dieu. Ce fait, le constates-tu clairement maintenant ? Que veut dire Dieu quand Il déclare que « Dieu est la source de la vie de l’homme » ? Cela vise à ce que chacun prenne conscience de ceci : notre vie et notre âme viennent toutes de Dieu et ont été créées par Lui. Elles ne viennent pas de nos parents, et certainement pas de la nature, mais elles nous ont été données par Dieu. Seule notre chair est née de nos parents, de même que nos enfants naissent de nous, seulement, leur destin est entièrement entre les mains de Dieu. Que nous puissions croire en Dieu est une occasion qui nous est donnée par Lui. C’est ordonné par Lui et c’est une grâce de Sa part. Il ne t’est donc pas nécessaire de remplir ton obligation ou ta responsabilité envers quiconque ; tu dois simplement accomplir ton devoir envers Dieu en tant qu’être créé. C’est ce que les gens doivent faire avant tout le reste, la chose principale à accomplir, l’affaire primordiale à mener dans sa vie. Si tu n’accomplis pas bien ton devoir, tu n’es pas un être créé qui remplit les conditions requises. Aux yeux des autres, tu as beau être une bonne épouse et une mère aimante, une excellente maîtresse de maison, une enfant digne de ses parents et un membre modèle de la société, devant Dieu, tu es quelqu’un qui se rebelle contre Lui, quelqu’un qui n’a pas du tout rempli ses obligations ou son devoir, quelqu’un qui a accepté, mais n’a pas accompli le mandat de Dieu, quelqu’un qui a baissé les bras à mi-parcours. Pareil individu peut-il obtenir l’approbation de Dieu ? Ces gens-là ne valent rien.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en reconnaissant ses opinions erronées que l’on peut vraiment changer
Si nous envisageons les choses du point de vue des enfants, leur vie et leur corps viennent de leurs parents, qui ont également la bonté de les élever et de les éduquer, de sorte que les enfants devraient obéir à leurs moindres paroles, remplir leurs obligations filiales et ne pas critiquer leurs parents. La portée cachée de ces paroles est que tu ne dois pas discerner tes parents pour qui ils sont vraiment. Si nous analysons les choses de ce point de vue, cette opinion est-elle correcte ? (Non, elle est erronée.) Comment devrions-nous traiter cette question conformément à la vérité ? Quelle serait la façon correcte de le formuler ? Le corps et la vie des enfants leur sont-ils donnés par leurs parents ? (Non.) Le corps charnel d’une personne naît de ses parents, mais d’où vient la capacité des parents à avoir des enfants ? (Cette capacité est donnée par Dieu et vient de Dieu.) Qu’en est-il de l’âme d’une personne ? D’où vient-elle ? Elle vient également de Dieu. Donc, à la racine, les gens sont créés par Dieu, et tout cela a été prédéterminé par Lui. C’est Dieu qui a prédéterminé que tu naisses dans cette famille. Dieu a envoyé une âme à cette famille, et puis tu es né de cette famille, et tu as cette relation prédestinée avec tes parents, cela a été prédéterminé par Dieu. En raison de la souveraineté de Dieu et de la prédétermination par Dieu, tes parents ont pu t’avoir et tu es né dans cette famille. C’est là examiner les choses à la racine. Mais que se serait-il passé si Dieu n’avait pas prédéterminé les choses de cette façon ? Alors tes parents ne t’auraient jamais eu et tu n’aurais jamais eu cette relation parents-enfant avec eux. Il n’y aurait eu aucun lien du sang, aucune affection familiale et pas le moindre rapport entre vous. Par conséquent, il est faux de dire que la vie d’une personne lui est donnée par ses parents. Un autre aspect de la question est que, lorsqu’on examine les choses du point de vue de l’enfant, ses parents appartiennent à la génération précédente. Mais si on considère l’intégralité des êtres humains, les parents sont comme tout le monde, en ceci qu’ils font tous partie du genre humain corrompu, et que tous ont les tempéraments corrompus de Satan. Ils ne sont pas différents des autres et pas différents de toi. Même s’ils t’ont physiquement donné naissance, et, qu’en ce qui concerne vos liens de chair et de sang, ils sont de la génération précédente, néanmoins, en termes de tempérament-essence humain, vous vivez tous sous l’emprise de Satan, vous avez tous été corrompus par Satan et possédez des tempéraments corrompus et sataniques. Vu que les gens ont tous des tempéraments corrompus et sataniques, les gens ont tous la même essence. Quelles que soient les différences en termes d’ancienneté ou d’âge, ou la façon dont on est venu au monde, que ce soit précocement ou tardivement, les gens ont fondamentalement le même tempérament-essence corrompu, ce sont tous des êtres humains qui ont été corrompus par Satan, et ils ne sont pas différents, à cet égard. Que leur humanité soit bonne ou malfaisante, parce qu’ils ont des tempéraments corrompus, ils adoptent les mêmes perspectives et points de vue quand il s’agit de considérer les gens et les questions, et d’aborder la vérité. En ce sens, il n’y a pas de différence entre eux. De plus, tous ceux qui vivent au sein de ce genre humain malfaisant acceptent les diverses idées et opinions qui abondent dans ce monde malfaisant, que ce soit en termes de paroles ou de pensées, que ce soit en termes de forme ou d’idéologie, et ils acceptent toutes sortes d’idées issues de Satan, que ce soit par le biais de l’enseignement public ou du conditionnement par les mœurs sociales. Ces choses ne sont pas du tout conformes à la vérité. Il n’y a aucune vérité en elles et les gens ne comprennent certainement pas ce qu’est la vérité. De ce point de vue, les parents et leurs enfants sont égaux et ont les mêmes idées et opinions. Simplement, tes parents ont accepté ces idées et ces opinions vingt ou trente ans plus tôt, alors que tu les as acceptées un peu plus tard. Autrement dit, avec les mêmes origines sociales, tant que tu es une personne normale, tes parents et toi avez accepté la même corruption issue de Satan, le conditionnement par les mœurs sociales et les mêmes idées et opinions qui découlent des diverses tendances malfaisantes de la société. De ce point de vue, les enfants sont du même type que leurs parents. Du point de vue de Dieu, en ne tenant pas compte du postulat qu’Il prédétermine, prédestine et choisit, aux yeux de Dieu, les parents comme leurs enfants sont semblables, en cela qu’ils sont des êtres créés, et qu’ils soient ou non des êtres créés qui adorent Dieu, ils sont tous connus collectivement comme des êtres créés, et ils acceptent tous la souveraineté, les orchestrations et les arrangements de Dieu. De ce point de vue, les parents et leurs enfants ont en réalité un statut égal aux yeux de Dieu, et ils acceptent tous la souveraineté et les arrangements de Dieu de manière semblable et égale. C’est là un fait objectif. S’ils sont tous choisis par Dieu, ils ont tous des chances égales de poursuivre la vérité. Bien entendu, ils ont également des chances égales d’accepter le châtiment et le jugement de Dieu, et des chances égales d’être sauvés. Les similitudes évoquées ci-dessus mises à part, il y a une seule différence entre les parents et leurs enfants, c’est que le rang des parents au sein de la soi-disant hiérarchie familiale est plus élevé que celui de leurs enfants. Que signifie leur rang dans la hiérarchie familiale ? Il signifie qu’ils sont seulement plus âgés d’une génération, de vingt ou trente ans, ce n’est rien de plus qu’une grande différence d’âge. Et en raison du statut spécial des parents, les enfants doivent faire preuve d’amour filial et remplir leurs obligations vis-à-vis de leurs parents. Voilà la seule responsabilité qu’une personne a vis-à-vis de ses parents. Mais comme les enfants et les parents font tous partie du même genre humain corrompu, les parents ne sont pas des modèles moraux pour leurs enfants, pas plus qu’ils ne sont des références ou des exemples pour ce qui est de la poursuite de la vérité de leurs enfants, et ils ne sont pas non plus des modèles pour leurs enfants en termes d’adoration de Dieu et de soumission à Dieu. Bien sûr, les parents ne sont pas l’incarnation de la vérité. Les gens n’ont pas l’obligation ou la responsabilité de considérer leurs parents comme des modèles moraux et des figures auxquelles il faut obéir de manière inconditionnelle. Les enfants ne devraient pas avoir peur de discerner la conduite, les actes et le tempérament-essence de leurs parents. Autrement dit, quand il s’agit de faire face à leurs propres parents, les gens ne devraient pas respecter des idées et des opinions telles que « les parents ont toujours raison ». Cette opinion est basée sur le fait que les parents ont un statut spécial, en cela qu’ils t’ont donné naissance sous la prédétermination de Dieu, et qu’ils ont vingt, trente, ou même quarante ou cinquante ans de plus que toi. C’est seulement du point de vue de cette relation de chair et de sang, en termes de statut et de rang dans la hiérarchie familiale, qu’ils sont différents de leurs enfants. Mais à cause de cette différence, les gens considèrent que leurs parents n’ont pas le moindre défaut. Est-ce exact ? C’est faux, irrationnel, et ce n’est pas conforme à la vérité. Certains individus se demandent comment on doit traiter ses parents, étant donné que parents et enfants ont cette relation de chair et de sang. Si les parents croient en Dieu, ils doivent être traités en conséquence, en tant que croyants. S’ils ne croient pas en Dieu, ils doivent être traités en conséquence, en tant que non-croyants. Quel que soit le genre de personnes qu’ils sont, les parents devraient être traités conformément aux vérités-principes correspondantes. Si ce sont des démons, tu dois dire qu’ils sont des démons. S’ils n’ont aucune humanité, tu dois dire qu’ils n’ont aucune humanité. Si les idées et les opinions qu’ils t’enseignent ne sont pas conformes à la vérité, tu n’as pas à écouter ces choses ou à les accepter, et tu peux même les discerner pour ce qu’elles sont et les exposer. Si tes parents disent : « Je le fais pour ton bien », qu’ils piquent une colère et en font toute une histoire, t’en soucieras-tu ? (Non, je ne m’en soucierai pas.) Si tes parents ne croient pas, contente-toi de les ignorer, et restes-en là. S’ils font toute une histoire, tu verras qu’ils sont des démons, et rien de moins. Ces vérités concernant la foi en Dieu sont les idées et les opinions que les gens ont le plus besoin d’accepter. Ils ne peuvent pas les accepter ou s’y faire, alors quel genre de choses sont-ils donc, exactement ? Ils ne comprennent pas les paroles de Dieu, ils sont donc non-humains, n’est-ce pas ?
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (13)
Peu importe combien tes parents ont pris soin de toi tandis qu’ils t’élevaient et combien ils ont assumé leurs responsabilités vis-à-vis de toi, ils faisaient par instinct seulement ce qu’ils étaient censés faire dans les limites des capacités d’un être humain créé. Il suffit d’observer les oiseaux : pendant plus d’un mois avant la saison des amours, ils recherchent constamment un endroit sûr pour y faire leur nid. Les mâles et les femelles se relaient pour transporter toutes sortes de plantes, de plumes ou de brindilles, afin de commencer à faire leur nid dans des arbres relativement touffus. Ces petits nids construits par diverses espèces d’oiseaux sont tous incroyablement robustes et complexes. Dans l’intérêt de leurs petits, les oiseaux font tous ces efforts pour bâtir des nids et des abris. Quand ils ont terminé leur nid et que le moment de couver est venu, il y a constamment un oiseau dans chaque nid. Les mâles et les femelles se relaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et ils sont incroyablement attentifs : quand l’un des deux revient, l’autre s’envole peu après. Bientôt, les oisillons éclosent et émergent de leur coquille, et tu peux les entendre qui se mettent à gazouiller dans leurs arbres. Les oiseaux adultes font des allers-retours, revenant désormais pour nourrir leurs oisillons avec des vers, puis revenant de nouveau pour les nourrir d’autre chose, faisant preuve d’une incroyable attention. Après un ou deux mois, certains des oisillons ont un peu grandi, ils peuvent se tenir debout au bord du nid et battre des ailes. Leurs parents font des allers-retours, en se relayant pour nourrir et protéger leurs oisillons. […] Toutes sortes de créatures vivantes et d’animaux possèdent cet instinct et suivent et respectent parfaitement ces lois, et ils les mettent en œuvre à la perfection. C’est quelque chose que personne ne peut détruire. On trouve également certains animaux particuliers, comme les tigres et les lions. Quand ces animaux atteignent l’âge adulte, ils quittent leurs parents, et certains mâles deviennent même des rivaux, ils se mordent, s’affrontent et se battent, si nécessaire. C’est normal, il s’agit d’une loi. Ils ne sont pas très affectueux, et ils ne vivent pas selon leurs sentiments comme les hommes qui disent : « Je dois rendre leur bonté à mes parents, je dois les dédommager, je dois leur obéir. Si je ne fais pas preuve de piété filiale, les autres vont me condamner, me réprimander et me critiquer à mon insu. Je ne pourrais pas le supporter ! » On ne parle pas de ces choses dans le monde animal. Pourquoi les hommes disent-ils de telles choses ? Pourquoi les hommes disent-ils de telles choses ? Parce qu’il existe, au sein de la société, au sein des groupes de personnes, divers consensus et idées incorrects. Quand les gens ont été influencés, rongés et pourris par ces choses, différentes manières d’interpréter et de gérer la relation parents-enfants apparaissent en eux et ils finissent par traiter leurs parents comme s’il s’agissait de créanciers, des créanciers qu’ils ne pourront jamais dédommager de toute leur vie. Il y a même des personnes qui se sentent coupables toute leur vie, après la mort de leurs parents, et qui pensent qu’ils sont indignes de la bonté de leurs parents, parce qu’ils ont fait quelque chose qui n’a pas rendu leurs parents heureux ou qui n’a pas tourné comme leurs parents l’auraient voulu. Vous ne pensez pas que c’est excessif ? Les gens vivent selon leurs sentiments, de sorte qu’ils ne peuvent qu’être envahis et perturbés par diverses idées qui en découlent. Les gens vivent dans un environnement faussé par l’idéologie de l’humanité corrompue, de sorte qu’ils sont envahis et perturbés par diverses idées fallacieuses, ce qui rend leur vie épuisante et moins simple que celle des autres créatures vivantes. Cependant, parce qu’à l’heure actuelle Dieu œuvre et exprime la vérité pour indiquer aux gens la véritable nature de tous ces faits et leur permettre de comprendre la vérité, quand tu parviendras à comprendre la vérité, ces idées et opinions fallacieuses ne seront plus un fardeau pour toi et elles ne te guideront plus dans ta relation avec tes parents. À ce stade, ta vie deviendra plus sereine. Vivre sereinement ne veut pas dire que tu ne sauras pas quelles sont tes responsabilités et tes obligations, tu continueras à le savoir. Cela dépend seulement du point de vue et des méthodes que tu choisis pour aborder tes responsabilités et tes obligations. Un premier chemin consiste à suivre la voie des sentiments et à faire face à ces choses en se basant sur des moyens émotionnels, et sur les méthodes, idées et opinions vers lesquelles Satan guide l’homme. L’autre chemin consiste à faire face à ces choses en se basant sur les paroles que Dieu a enseignées à l’homme. Quand les gens font face à ces questions en fonction des idées et des opinions fallacieuses de Satan, ils ne peuvent que vivre dans l’imbroglio de leurs sentiments sans jamais distinguer le bien du mal. Dans ces circonstances, ils n’ont pas d’autres choix que de vivre dans un piège, sans cesse empêtrés dans des idées telles que : « Tu as raison, j’ai tort. Tu m’as donné davantage, je t’ai donné moins. Tu es ingrat. Tu dépasses les bornes. » Par conséquent, à aucun moment ces gens ne parlent clairement. Cependant, quand ils comprennent la vérité et échappent à leurs idées et leurs opinions fallacieuses et à la toile de leurs sentiments, ces questions deviennent simples à leurs yeux. Si tu respectes une vérité-principe, une idée ou une opinion qui sont correctes et viennent de Dieu, ta vie deviendra tout à fait sereine. Ni l’opinion publique, ni ce que ta conscience prend en compte, ni le fardeau de tes sentiments n’entraveront plus ta façon de faire face à la relation que tu as avec tes parents. En revanche, ces choses te permettront de faire face à cette relation d’une manière correcte et rationnelle. […] Je n’échange pas sur ce sujet pour t’amener à trahir tes parents et Je ne le fais certainement pas pour t’amener à définir des limites entre toi et tes parents. Nous ne lançons pas un mouvement, nul besoin de définir des limites. J’échange sur ce sujet simplement pour te transmettre une compréhension correcte de ces questions et pour t’aider à accepter une idée et une opinion correctes. De plus, J’échange sur ce sujet pour que, lorsqu’il t’arrive des choses, tu n’en sois pas troublé, pour que tu ne sois pas pieds et poings liés du fait de ces choses, et surtout pour que, lorsque tu fais face à ces choses, elles n’affectent pas ton accomplissement du devoir d’un être créé. Ainsi, Mon échange atteindra son objectif.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (17)
Montrer de la piété filiale envers ses parents, est-ce la vérité ? (Non.) Être filial envers ses parents est une chose correcte et positive, mais pourquoi disons-nous que ce n’est pas la vérité ? (Parce que les gens n’ont pas de principes dans leur piété filiale, et ils ne sont pas capables de discerner le genre de personnes que leurs parents sont réellement.) La façon dont une personne devrait traiter ses parents relève de la vérité. Si tes parents croient en Dieu et te traitent bien, devrais-tu être filial ? (Oui.) En quoi es-tu filial ? Tu les traites différemment des frères et sœurs. Tu fais tout ce qu’ils disent, et s’ils sont âgés, tu dois rester à leurs côtés pour t’occuper d’eux, ce qui t’empêche d’aller faire ton devoir. Est-il juste de faire cela ? (Non.) Que dois-tu faire dans ces moments-là ? Cela dépend des circonstances. Si tu parviens à continuer de t’occuper d’eux tout en faisant ton devoir près de chez toi et que tes parents ne s’élèvent pas contre ta foi en Dieu, alors tu dois assumer ta responsabilité en tant que fils ou fille et aider tes parents en travaillant. S’ils sont malades, prends soin d’eux ; si quelque chose les inquiète, réconforte-les ; si ta situation financière le permet, achète-leur les compléments alimentaires en fonction de ton budget. Cependant, que devrais-tu décider de faire si tu es pris par ton devoir, qu’il n’y a personne pour s’occuper de tes parents, et qu’ils croient en Dieu eux aussi ? Quelle vérité dois-tu pratiquer ? Étant donné que la dévotion filiale n’est pas la vérité, mais seulement une responsabilité et une obligation humaines, que dois-tu faire si ton obligation entre en conflit avec ton devoir ? (Donner la priorité à mon devoir : faire passer le devoir en premier.) Une obligation n’est pas nécessairement un devoir. Choisir d’accomplir son devoir, c’est pratiquer la vérité, alors que remplir une obligation ne l’est pas. Si tu as cette condition, tu peux t’acquitter de cette responsabilité ou de cette obligation, mais si l’environnement actuel ne le permet pas, que dois-tu faire ? Tu dois te dire : « Je dois faire mon devoir, c’est-à-dire pratiquer la vérité. Être dévoué envers ses parents, c’est vivre selon ma conscience, mais cela n’est pas à la hauteur de la pratique de la vérité. » Ainsi, tu dois donner la priorité à ton devoir et le respecter. Si tu n’as pas de devoir maintenant, que tu ne travailles pas loin de chez toi et que tu vis près de chez tes parents, trouve des moyens de prendre soin d’eux. Fais de ton mieux pour les aider à vivre un peu mieux et diminuer leur souffrance. Mais cela dépend aussi du genre de personnes que sont tes parents. Que dois-tu faire si tes parents sont d’une humanité médiocre, s’ils t’empêchent constamment de croire en Dieu, et s’ils continuent à t’éloigner de la croyance en Dieu et de l’accomplissement de ton devoir ? Quelle est la vérité que tu dois pratiquer ? (Le rejet.) À ce moment-là, tu dois les rejeter. Tu as rempli ton obligation. Tes parents ne croient pas en Dieu, tu n’as donc aucune obligation de leur montrer un respect filial. S’ils croient en Dieu, alors ils sont ta famille, tes parents. S’ils n’y croient pas, alors vous suivez des chemins différents : ils croient en Satan et adorent le roi des démons, et ils suivent le chemin de Satan. Ce sont des personnes qui suivent des chemins différents de ceux qui croient en Dieu. Vous n’êtes plus une famille. Ils considèrent les croyants comme leurs adversaires et leurs ennemis, tu n’as donc plus l’obligation de prendre soin d’eux et tu dois te couper d’eux complètement. Quelle est la vérité : être dévoué envers ses parents ou accomplir son devoir ? Bien sûr, accomplir son devoir est la vérité. Accomplir son devoir dans la maison de Dieu ne consiste pas simplement à remplir ses obligations et à faire ce que l’on est censé faire. Il s’agit d’accomplir le devoir d’un être créé. Telle est la commission de Dieu : c’est ton obligation, ta responsabilité. Il s’agit d’une véritable responsabilité, qui consiste à t’acquitter de ta responsabilité et de ton obligation devant le Créateur. C’est l’exigence du Créateur vis-à-vis des gens, et c’est la grande question de la vie. Mais montrer du respect filial pour ses parents n’est que la responsabilité et l’obligation d’un fils ou d’une fille. Ce n’est certainement pas mandaté par Dieu, et c’est encore moins en accord avec l’exigence de Dieu. Donc, entre faire preuve de respect filial pour ses parents et faire son devoir, il ne fait aucun doute que faire son devoir, et cela seul, c’est pratiquer la vérité. Accomplir son devoir en tant qu’être créé est la vérité, et c’est un devoir impérieux. Montrer du respect filial pour ses parents, c’est être dévoué envers les gens. Cela ne veut pas dire qu’on accomplit son devoir ni qu’on pratique la vérité.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quelle est la vérité-réalité ?
Si, en fonction de ton milieu de vie et du contexte dans lequel tu te trouves, honorer tes parents n’entre pas en conflit avec le fait que tu remplisses la commission de Dieu et que tu accomplisses ton devoir – ou, en d’autres termes, si le fait d’honorer tes parents n’a pas d’impact sur l’accomplissement loyal de ton devoir – alors tu peux pratiquer les deux en même temps. Tu n’as pas besoin de te séparer en apparence de tes parents, et tu n’as pas besoin de renoncer ni de les rejeter en apparence. Dans quelle situation cela s’applique-t-il ? (Quand honorer ses parents n’entre pas en conflit avec l’accomplissement de son devoir.) C’est cela. En d’autres termes, si tes parents n’essaient pas d’entraver ta croyance en Dieu, qu’ils sont croyants aussi et qu’ils te soutiennent et t’encouragent vraiment à accomplir ton devoir fidèlement et à accomplir la commission de Dieu, alors ta relation avec tes parents n’est pas une relation charnelle entre proches, au sens ordinaire du terme, mais une relation entre frères et sœurs de l’Église. Dans ce cas, en plus d’interagir avec eux comme des frères et des sœurs de l’Église, tu dois également remplir certaines de tes responsabilités filiales envers eux. Tu dois te montrer un peu plus soucieux d’eux. Tant que cela n’affecte pas l’accomplissement de ton devoir, c’est-à-dire tant que ton cœur n’y est pas contraint, tu peux appeler tes parents pour leur demander comment ils vont et leur montrer un peu que tu te soucies d’eux, tu peux les aider à résoudre quelques difficultés et à gérer certains de leurs problèmes de vie, et tu peux même les aider à résoudre certaines de leurs difficultés en matière d’entrée dans la vie ; tu peux faire toutes ces choses. En d’autres termes, si tes parents n’entravent pas ta croyance en Dieu, tu dois maintenir cette relation avec eux et tu dois assumer tes responsabilités envers eux. Et pourquoi dois-tu te soucier d’eux, prendre soin d’eux et leur demander comment ils vont ? Parce que tu es leur enfant et que tu as cette relation avec eux, tu as une autre responsabilité et en raison de cette responsabilité, tu dois un peu plus prendre de leurs nouvelles et leur fournir une aide plus substantielle. Tant que cela n’affecte pas l’accomplissement de ton devoir et tant que tes parents n’entravent ni ne perturbent ta foi en Dieu et l’accomplissement de ton devoir, et qu’ils ne te freinent pas non plus, alors il est naturel et approprié que tu t’acquittes de tes responsabilités envers eux, et tu dois le faire dans la mesure où ta conscience ne te le reproche pas ; c’est la norme minimale que tu dois respecter. Si tu ne peux pas honorer tes parents à la maison en raison de l’impact et des obstacles de ta situation, tu n’as pas à respecter cette règle. Tu dois te mettre à la merci des orchestrations de Dieu et te soumettre à Ses arrangements, et tu n’as pas besoin de persister à honorer tes parents. Dieu condamne-t-Il cela ? Dieu ne le condamne pas : Il ne force pas les gens à le faire. […] Si tes parents ne croient pas en Dieu, qu’ils ne partagent pas une langue commune ou des poursuites et des objectifs communs avec toi, qu’ils ne suivent pas le même chemin que toi et qu’ils entravent et persécutent même ta croyance en Dieu, alors tu peux les discerner, voir jusqu’à leur essence et les rejeter. Bien sûr, s’ils insultent Dieu ou te maudissent, tu peux les maudire intérieurement. Alors, à quoi Dieu fait-il référence quand Il parle d’« honorer ses parents » ? Comment dois-tu pratiquer cela ? Autrement dit, si tu peux assumer tes responsabilités, alors assume-les un peu, et si tu n’as pas cette chance, ou si la friction dans tes interactions avec eux est déjà devenue trop grande, qu’il y a un conflit entre vous et que vous avez déjà atteint le point où vous ne pouvez plus vous voir, alors tu dois t’empresser de te séparer d’eux. Lorsque Dieu parle d’honorer ce genre de parents, Il veut dire que tu dois remplir tes responsabilités filiales du point de vue de ta position de fils ou de fille et faire les choses qu’un fils ou une fille doit faire. Tu ne dois pas maltraiter tes parents ni te disputer avec eux, tu ne dois pas les frapper ni leur crier dessus, tu ne dois pas les malmener et tu dois assumer tes responsabilités envers eux au mieux de tes capacités. Ce sont des choses qui doivent être réalisées dans le cadre de l’humanité. Tels sont les principes que l’on doit pratiquer pour « honorer ses parents ». Ne sont-ils pas faciles à mettre en œuvre ? Tu n’as pas besoin de traiter tes parents avec impétuosité, en disant : « Démons et incrédules que vous êtes, Dieu vous maudit jusqu’à l’étang de feu et de soufre et jusqu’à l’abîme, Il vous enverra au dix-huitième niveau de l’enfer ! » Ce n’est pas nécessaire, tu n’as pas besoin d’aller jusqu’à cet extrême. Si les circonstances le permettent et si la situation l’exige, tu peux assumer tes responsabilités filiales envers tes parents. Si ce n’est pas nécessaire ou si les circonstances ne le permettent pas et que ce n’est pas possible, tu peux te dispenser de cette obligation. Tout ce que tu as à faire est de remplir tes responsabilités filiales lorsque tu rencontres tes parents et que tu interagis avec eux. Une fois que tu as fait cela, tu as terminé ta tâche. Que penses-tu de ce principe ? (C’est bien.) Il doit y avoir des principes sur la façon dont tu traites tout le monde, y compris tes parents. Tu ne peux pas agir avec impétuosité et tu ne peux pas agresser verbalement tes parents simplement parce qu’ils persécutent ta croyance en Dieu. Il y a tellement de gens dans le monde qui ne croient pas en Dieu, il y a tellement de non-croyants et il y a tellement de gens qui insultent Dieu : vas-tu les maudire et leur crier après ? Si ce n’est pas le cas, tu ne dois pas non plus crier sur tes parents. Si tu cries sur tes parents, mais pas sur ces autres personnes, alors tu vis dans l’impétuosité et Dieu n’aime pas cela. Ne pense pas que Dieu sera satisfait de toi si tu agresses verbalement et maudis tes parents sans motif valable, en disant qu’ils sont des démons, des Satans vivant et les laquais de Satan, et en les vouant à l’enfer : ce n’est tout simplement pas le cas. Devant cette fausse démonstration de proactivité, Dieu ne te trouvera pas acceptable et ne dira pas que tu as de l’humanité. Au contraire, Dieu dira que tes actes sont pétris d’émotions et d’impétuosité. Dieu n’aimera pas que tu agisses de cette manière, c’est extrême et cela ne s’accorde pas avec Ses intentions. Il doit y avoir des principes sur la façon dont tu traites tout le monde, y compris tes parents : qu’ils croient en Dieu ou non et qu’ils soient ou non des personnes malfaisantes, tu dois les traiter avec des principes. Dieu a dit à l’homme ce principe : il s’agit de traiter les autres équitablement, les gens ont tout simplement un degré supplémentaire de responsabilité envers leurs parents. Tout ce que tu as à faire est d’assumer cette responsabilité. Que tes parents soient croyants ou non, qu’ils poursuivent leur croyance ou non, que leur vision de la vie et leur humanité s’alignent ou non avec la tienne, il faut juste que tu assumes ta responsabilité vis-à-vis d’eux. Tu n’as pas besoin de les éviter : laisse simplement tout suivre son cours naturel, selon les orchestrations et les arrangements de Dieu. S’ils entravent ta croyance en Dieu, alors tu dois quand même remplir tes responsabilités filiales au mieux de tes capacités, afin qu’au moins ta conscience ne se sente pas redevable envers eux. S’ils ne t’entravent pas et qu’ils soutiennent ta croyance en Dieu, alors tu dois également pratiquer selon les principes, en les traitant bien quand il convient de le faire. En somme, quoi qu’il arrive, les exigences de Dieu envers l’homme ne changent pas, et les vérités-principes que les gens doivent pratiquer ne sauraient changer non plus. Dans ces domaines, tu dois simplement respecter les principes et assumer les responsabilités dont tu es capable.
– La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (4)
Par quel principe les paroles de Dieu demandent-elles que les gens traitent les autres ? Aimer ce que Dieu aime et haïr ce que Dieu hait : c’est là le principe auquel il faut adhérer. Dieu aime ceux qui poursuivent la vérité et sont capables de suivre Sa volonté ; ce sont aussi les gens que nous devrions aimer. Ceux qui ne sont pas capables de suivre la volonté de Dieu, qui Le haïssent et se rebellent contre Dieu, sont des gens détestés par Dieu, et nous devrions les détester, nous aussi. C’est ce que Dieu demande à l’homme. Si tes parents ne croient pas en Dieu, s’ils savent très bien que la foi en Dieu est le bon chemin et qu’elle peut conduire au salut, mais qu’ils restent néanmoins peu réceptifs, alors il ne fait aucun doute que ce sont des gens qui ont une aversion pour la vérité, qui la haïssent, et que ce sont des gens qui résistent à Dieu et Le haïssent – et Dieu, naturellement, les abhorre et les hait. Pourrais-tu abhorrer de tels parents ? Ils s’opposent à Dieu et L’injurient, auquel cas, ce sont sûrement des démons et des Satans. Pourrais-tu les haïr et les maudire ? Ce sont là autant de vraies questions. Si tes parents t’empêchent de croire en Dieu, comment dois-tu les traiter ? Comme le demandent les paroles de Dieu, tu dois aimer ce que Dieu aime et haïr ce que Dieu hait. Pendant l’ère de la Grâce, le Seigneur Jésus a dit : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? » « Car, quiconque suit la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère ». Ces paroles existaient déjà à l’ère de la Grâce et, à présent, les paroles de Dieu sont encore plus claires : « Aime ce que Dieu aime, et hais ce que Dieu hait. » Ces paroles vont droit au but, pourtant, les gens sont souvent incapables d’en saisir le sens véritable. Si une personne renie ou s’oppose à Dieu, si elle est maudite par Dieu, mais que cette personne est l’un de tes parents ou de tes proches, elle ne paraît pas être une personne malfaisante pour autant que tu puisses en juger, et qu’elle te traite bien, alors il te sera sans doute impossible de haïr cette personne, et tu continueras peut-être même à entretenir d’étroites relations avec elle, vos rapports resteront inchangés. En apprenant que Dieu hait les gens qui se comportent ainsi, tu seras troublé, mais tu seras incapable de prendre parti pour Dieu et de rejeter impitoyablement cette personne. Tu resteras contraint par tes sentiments et ne parviendras pas à l’abandonner pleinement. Pour quelle raison ? Parce que tes sentiments sont trop fortes et qu’elles t’empêchent de pratiquer la vérité. Cette personne se comporte bien avec toi, tu ne peux donc te résoudre à la haïr. Tu ne peux la haïr que si elle te blesse. Cette haine est-elle conforme aux vérités-principes ? De plus, tu es contrôlé par les notions traditionnelles selon lesquelles, si tu hais cette personne en sachant qu’elle est un parent ou un proche, tu seras méprisé par la société, vilipendé par l’opinion publique, et condamné comme étant indigne, dépourvu de conscience, et pas même humain. Tu penses que tu subirais la condamnation et le châtiment divins si tu te comportais ainsi. Même si tu veux haïr cette personne, tu n’auras pas la conscience tranquille. Pourquoi ta conscience fonctionne-t-elle de cette manière ? C’est parce qu’une façon de penser a été semée en toi depuis ton enfance, à travers l’héritage de ta famille, l’éducation que tes parents t’ont donnée et l’endoctrinement de la culture traditionnelle. Cette façon de penser est profondément enracinée dans ton cœur et te fait croire, à tort, que la piété filiale est parfaitement naturelle et justifiée, et que tout ce qui a été hérité de tes ancêtres est systématiquement bon. Tu l’as apprise au début et elle reste dominante, entravant et perturbant abondamment ta foi et ton acceptation de la vérité, te rendant incapable de mettre en pratique les paroles de Dieu, d’aimer ce que Dieu aime, et de haïr ce que Dieu hait. Dans ton cœur, tu sais que ta vie vient de Dieu, pas de tes parents, et tu sais aussi que tes parents non seulement ne croient pas en Dieu, mais Lui résistent, que Dieu les hait et que tu dois te soumettre à Dieu, prendre Son parti, mais tu ne peux te résoudre simplement à les haïr, même si tu le veux. Tu ne parviens pas à tourner cette page, à endurcir ton cœur, et à pratiquer la vérité. Quelle en est la cause profonde ? Satan utilise ce type de culture traditionnelle et de notions morales pour lier tes pensées, ton esprit et ton cœur, te rendant incapable d’accepter les paroles de Dieu ; tu as été possédé par ces choses de Satan qui t’ont rendu incapable d’accepter les paroles de Dieu. Quand tu veux pratiquer les paroles de Dieu, ces choses provoquent de la perturbation en toi, tu t’opposes alors à la vérité et aux exigences de Dieu, et tu n’as pas la force de te débarrasser du joug de la culture traditionnelle. Après avoir lutté pendant un moment, tu trouves un compromis : tu préfères croire que les notions morales traditionnelles sont correctes et conformes à la vérité, et donc, tu rejettes les paroles de Dieu ou tu y renonces. Tu n’acceptes pas les paroles de Dieu comme étant la vérité et tu n’accordes pas d’importance au salut, et tu te dis que tu vis toujours dans ce monde et que tu ne peux survivre qu’en te fiant à ces gens. Incapable d’endurer les récriminations de la société, tu préfères abandonner la vérité et les paroles de Dieu, te livrant aux notions morales traditionnelles et à l’influence de Satan, tu préfères offenser Dieu et ne pas pratiquer la vérité. Dites-Moi, l’homme n’est-il pas pitoyable ? N’a-t-il pas besoin du salut de Dieu ? Certains croient en Dieu depuis de nombreuses années, mais n’ont toujours aucune idée de la question de la piété filiale. Ils ne comprennent vraiment pas la vérité. Ils n’arrivent jamais franchir cette barrière des relations mondaines ; ils n’en ont pas le courage et manquent d’assurance, sans parler de la détermination. Ils ne peuvent donc pas aimer Dieu et Lui obéir. Certains sont capables de voir au-delà de cela, et il ne leur est certes pas facile de dire : « Mes parents ne croient pas en Dieu et m’empêchent de croire. Ce sont des démons. » Pas un seul non-croyant n’a la foi en l’existence d’un Dieu, ni ne croit qu’Il a créé les cieux et la terre et toute chose, ni que l’homme a été créé par Dieu. Il y en a même qui disent : « La vie a été donnée à l’homme par ses parents, il doit donc les honorer. » D’où vient une telle pensée ou un tel point de vue ? Proviennent-ils de Satan ? Ce sont des millénaires de culture traditionnelle qui ont éduqué et induit l’homme en erreur de cette manière, provoquant son déni de la création et de la souveraineté de Dieu. Sans le fourvoiement et le contrôle des gens par Satan, l’humanité étudierait l’œuvre de Dieu et lirait Ses paroles, et elle saurait qu’elle a été créée par Dieu, que sa vie a été donnée par Dieu ; elle saurait que tout ce qu’elle possède a été donné par Dieu, et que c’est Dieu qu’elle devrait remercier. Si quelqu’un fait une bonne action à notre égard, nous devons l’accepter de Dieu, en particulier de nos parents, qui nous ont donné naissance et nous ont élevés. Tout cela est arrangé par Dieu. Dieu détient la souveraineté sur tout ; l’homme est juste un outil dont Il Se sert. Si quelqu’un est capable de mettre de côté ses parents, ou son mari (ou sa femme) et ses enfants, afin de se dépenser pour Dieu, alors cette personne sera plus forte et aura un plus grand sens de la justice devant Lui.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en reconnaissant ses opinions erronées que l’on peut vraiment changer
Un jour, quand tu comprendras une partie de la vérité, tu ne penseras plus que ta mère est la meilleure personne ni que tes parents sont les meilleures personnes. Tu te rendras compte qu’ils sont aussi des membres de la race humaine corrompue et que leurs tempéraments corrompus sont tous les mêmes. La seule chose qui les distingue est le lien du sang physique qu’ils ont avec toi. S’ils ne croient pas en Dieu, alors ils sont semblables aux non-croyants. Tu ne les considéreras plus du point de vue de la parenté ou du point de vue de vos relations charnelles, mais du point de vue de la vérité. Quels sont les principaux aspects que tu devrais considérer ? Tu devrais considérer leurs points de vue sur la croyance en Dieu, leurs points de vue sur le monde, leurs points de vue sur la gestion des affaires et, plus important encore, leurs attitudes envers Dieu. Si tu évalues ces aspects avec précision, tu seras en mesure de voir clairement s’il s’agit de bonnes ou de mauvaises personnes. Un jour, tu pourras peut-être voir clairement qu’ils sont des personnes avec des tempéraments corrompus, tout comme toi. Il sera peut-être encore plus clair qu’ils ne sont pas les personnes au bon cœur qui ont un véritable amour pour toi que tu as imaginé, et qu’ils ne sont absolument pas capables de te conduire à la vérité ou sur le bon chemin dans la vie. Tu verras peut-être clairement que ce qu’ils ont fait pour toi ne t’est pas très profitable et que cela ne t’est d’aucune utilité pour prendre le bon chemin dans la vie. Tu trouveras peut-être également que nombre de leurs pratiques et opinions sont contraires à la vérité, qu’elles sont charnelles et que cela t’amène à les mépriser et à ressentir de la répulsion et de l’aversion. Si tu parviens à voir ces choses, alors tu seras en mesure de traiter correctement tes parents dans ton cœur et ils ne te manqueront plus, tu ne te soucieras plus d’eux et tu ne seras plus incapable de vivre séparément d’eux. Ils ont déjà accompli leur mission en tant que parents, tu ne les considéreras donc plus comme les personnes les plus proches de toi et tu ne les idolâtreras plus. Au lieu de cela, tu les traiteras comme des gens ordinaires et à ce moment-là, tu échapperas complètement à la servitude des sentiments et tu émergeras réellement de tes sentiments et de ton attachement familial. Une fois que tu auras fait cela, tu te rendras compte que ces choses ne valent pas la peine d’être chéries. À ce moment-là, tu verras les parents, la famille et les relations charnelles comme des blocs t’empêchant de comprendre la vérité et de te libérer des sentiments. C’est parce que tu as cette relation familiale avec eux – cette relation charnelle qui te paralyse, t’égare et te fait croire qu’ils sont ceux qui te traitent le mieux, qui sont les plus proches de toi, qui s’occupent de toi mieux que quiconque et qui t’aiment le plus – c’est tout cela qui te rend incapable de discerner clairement s’ils sont de bonnes ou de mauvaises personnes. Une fois que tu te seras vraiment éloigné de ces sentiments, même si tu penses encore à eux de temps en temps, te manqueront-ils encore de tout ton cœur, t’attarderas-tu sur eux et te languiras-tu d’eux comme tu le fais maintenant ? Non. Tu ne diras pas : « La personne dont je ne peux vraiment pas me passer est ma mère. C’est elle qui m’aime, prend soin de moi et s’occupe le plus de moi. » Quand tu auras ce niveau de perception, pleureras-tu encore en pensant à eux ? Non. Ce problème sera résolu. Ainsi, en ce qui concerne les problèmes ou les choses qui te causent des difficultés, si tu n’as pas acquis cet aspect de la vérité et si tu n’es pas entré dans cet aspect de la vérité-réalité, tu seras piégé dans de telles difficultés ou de tels états, et tu ne pourras jamais en sortir. Si tu traites ces types de difficultés et de problèmes comme les problèmes clés de l’entrée dans la vie et que tu cherches ensuite la vérité pour les résoudre, tu seras alors capable d’entrer dans cet aspect de la vérité-réalité. Involontairement, tu tireras une leçon de ces difficultés et de ces problèmes. Quand les problèmes seront résolus, tu sentiras que tu n’es pas aussi proche de tes parents et des membres de ta famille, tu verras plus clairement leur nature-essence, et tu verras quel genre de personnes ils sont vraiment. Quand tu verras clairement tes proches, tu diras : « Ma mère n’accepte pas du tout la vérité. Elle a en fait de l’aversion pour la vérité, et la déteste. Dans son essence, c’est une personne malfaisante, un démon. Mon père est quelqu’un de complaisant qui se tient aux côtés de ma mère. Il n’accepte pas du tout la vérité et ne la pratique du tout. Il n’est pas quelqu’un qui poursuit la vérité. D’après leurs comportements, ma mère et mon père sont tous les deux des incrédules. Ce sont tous les deux des démons. Je dois me rebeller complètement contre eux et définir des limites claires avec eux. » De cette façon, tu te tiendras du côté de la vérité et tu seras capable de renoncer à eux. Quand tu seras capable de discerner qui ils sont, quel genre de personnes ils sont, auras-tu encore des sentiments pour eux ? Auras-tu encore de l’affection pour eux ? Auras-tu encore une relation charnelle avec eux ? Non. Auras-tu encore besoin de restreindre tes sentiments ? (Non.) Sur quoi comptes-tu donc, en fait, pour résoudre ces difficultés ? Tu comptes sur le fait de comprendre la vérité, de dépendre de Dieu et de L’admirer. Si ces choses sont claires dans ton cœur, as-tu encore besoin de te restreindre ? Te sens-tu encore lésé ? As-tu encore besoin d’endurer une si grande douleur ? As-tu encore besoin que d’autres personnes échangent avec toi et fassent un travail idéologique ? Tu n’en as pas besoin, car tu as déjà réglé les choses toi-même. C’est un jeu d’enfant. Revenons en arrière : comment devrais-tu résoudre ce problème de ne pas penser à eux ou qu’ils te manquent ? (Chercher la vérité pour le résoudre.) Voilà de grands mots qui ont l’air très officiels, mais parle de manière un peu plus concrète. (Appliquer les paroles de Dieu pour percer à jour leur essence, c’est-à-dire les discerner sur la base de leur essence. Alors, nous pourrons mettre de côté notre affection et notre relation charnelle.) C’est juste. Tu dois fonder ton discernement de la nature-essence des gens sur les paroles de Dieu. Sans l’exposition de la parole de Dieu, personne ne peut percer à jour la nature-essence des autres. Ce n’est qu’en se fondant sur les paroles de Dieu et sur la vérité que l’on peut percer à jour la nature-essence des gens. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut résoudre à la source le problème des sentiments humains. Commence par laisser derrière toi tes affections et tes relations charnelles. Celui pour qui tes sentiments sont les plus forts est celui que tu devrais disséquer et discerner en premier. Que penses-tu de cette solution ? (Elle est bonne.) Certains disent : « Discerner et disséquer les personnes pour lesquelles mes sentiments sont les plus forts, c’est tellement cruel ! » Le but de te faire les discerner n’est pas que tu rompes tes relations avec eux, ni que tu coupes tes relations parents-enfants, ni que tu les abandonnes totalement, que tu n’interagisses plus jamais avec eux. Tu devrais assumer tes responsabilités envers tes proches, mais tu ne peux pas être contraint ou empêtré par eux, parce que tu es un disciple de Dieu. Tu dois posséder ce principe. Si tu risques encore de devenir contraint ou empêtré par eux, tu ne peux pas bien accomplir ton devoir, ni garantir que tu peux suivre Dieu jusqu’au bout de la route. Si tu n’étais pas un disciple de Dieu ou un amoureux de la vérité, alors personne n’exigerait cela de toi.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seule la résolution de son tempérament corrompu peut apporter une véritable transformation
Comment Job traitait-il ses enfants ? Il assumait simplement sa responsabilité de père, leur prêchant l’Évangile et échangeant avec eux sur la vérité. Cependant, qu’ils l’écoutent ou non, qu’ils obéissent ou non, Job ne les forçait pas à croire en Dieu : il ne les harcelait pas à grand renfort de coups de pied et de cris et ne s’immisçait pas dans leur vie. Leurs idées et leurs opinions étant différentes des siennes, il n’interférait pas avec ce qu’ils faisaient, ni avec le type de chemin qu’ils suivaient. Job parlait-il rarement à ses enfants de la croyance en Dieu ? Il aurait certainement eu matière à discuter avec eux à ce sujet, mais ils refusaient d’écouter et n’acceptaient pas ses paroles. Quelle était l’attitude de Job à cet égard ? « J’ai assumé ma responsabilité ; quant au type de chemin qu’ils suivent, cela dépend de ce qu’ils choisissent, et cela dépend des orchestrations et des arrangements de Dieu. Si Dieu n’œuvre pas sur eux, ou ne les touche pas, je ne chercherai pas à les forcer. » Par conséquent, Job n’a pas prié pour eux devant Dieu, ni versé des larmes d’angoisse sur eux, ni jeûné pour eux, ni souffert de quelque manière que ce soit. Il n’a pas fait ces choses. Pourquoi Job n’a-t-il fait aucune de ces choses ? Parce que rien de tout cela n’était une façon de se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu : tout cela provenait d’idées humaines et permettait de forcer activement les choses. Lorsque les enfants de Job ont refusé d’emprunter le même chemin que lui, voilà comment a été son attitude. Donc, quand ses enfants sont morts, quelle a été son attitude ? A-t-il pleuré ou pas ? S’est-il épanché sur ses sentiments ? S’est-il senti blessé ? La Bible ne fait aucune mention de ces choses-là. Quand Job a vu ses enfants mourir, a-t-il eu le cœur brisé ou a-t-il éprouvé du chagrin ? (Oui.) Si l’on considère l’affection qu’il avait pour ses enfants, on peut affirmer qu’il a certainement éprouvé un peu de chagrin, mais malgré cela, il s’est soumis à Dieu. Comment sa soumission s’est-elle exprimée ? Il a dit : « Ces enfants m’ont été donnés par Dieu. Qu’ils aient cru en Dieu ou non, leurs vies sont entre Ses mains. S’ils avaient cru en Dieu, et que Dieu avait voulu les reprendre, Il l’aurait quand même fait. S’ils n’avaient pas cru en Dieu, ils auraient, malgré tout, été repris si Dieu avait dit qu’ils devaient être repris. Tout ceci est aux mains de Dieu, autrement, qui pourrait reprendre la vie des gens ? » En résumé, qu’est-ce que cela signifie ? « L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! » (Job 1:21). Il a maintenu cette attitude dans sa façon de traiter ses enfants. Qu’ils soient vivants ou morts, Job a continué d’avoir cette attitude. Sa méthode de pratique était correcte : dans toutes les manières qu’il pratiquait, dans le point de vue, l’attitude et l’état avec lesquels il traitait tout, il était toujours dans une attitude et un état de soumission, d’attente, de recherche, parvenant ainsi à la connaissance. Cette attitude est très importante. Si les gens n’ont jamais ce genre d’attitude dans tout ce qu’ils font et qu’ils ont des idées personnelles particulièrement fortes et placent les objectifs et les profits personnels avant tout, se soumettent-ils vraiment ? (Non.) Chez de telles personnes, une véritable soumission ne peut être observée : ils sont incapables de parvenir à une véritable soumission.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Les principes de la pratique de la soumission à Dieu
Un autre aspect de l’humanité de Job est démontré dans cet échange entre lui et sa femme : « Sa femme lui dit : Tu demeures ferme dans ton intégrité ! Maudis Dieu, et meurs ! Mais Job lui répondit : Tu parles comme une femme insensée. Quoi ! nous recevons de Dieu le bien, et nous ne recevrions pas aussi le mal ! » (Job 2:9-10). Voyant le tourment qu’il subissait, la femme de Job essaya de le conseiller pour l’aider à échapper à son tourment. Pourtant, ses « bonnes intentions » ne gagnèrent pas l’approbation de Job. Au contraire, elles suscitèrent sa colère, car elle niait sa foi en l’Éternel Dieu, sa soumission envers Lui et l’existence même de l’Éternel. C’était intolérable pour Job, alors qu’il ne s’était jamais permis de faire quoi que ce soit qui s’opposât ou fît du tort à Dieu. Comment pouvait-il rester indifférent quand il entendait les autres blasphémer et insulter Dieu ? Ainsi, il appela sa femme « insensée ». Envers elle, Job avait une attitude coléreuse et haineuse, ainsi que de reproche et de réprimande. Telle était l’expression naturelle de son humanité, qui différenciait l’amour et la haine. C’était une représentation fidèle de son humanité droite. Job possédait un sens de la justice, qui lui faisait haïr les tendances et inclinations de la malfaisance, ainsi que détester, condamner et rejeter l’hérésie absurde, les arguments ridicules et les affirmations insensées. Ce sens de la justice lui permettait de rester fidèle à ses principes et ses points de vue, qui étaient corrects, alors qu’il avait été rejeté par les masses et abandonné par ses proches.
– La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II
Chaque personne a sa propre destinée et tout cela est prédestiné par Dieu ; personne ne peut prendre en charge le destin de quelqu’un d’autre. Tu dois arrêter de t’angoisser pour ta famille et apprendre à lâcher prise et à renoncer à tout. Comment ? Une façon de faire est de prier Dieu. Tu dois aussi considérer comment tes proches qui ne croient pas en Dieu sont en quête de choses terrestres, de richesse et de confort matériel. Ils appartiennent à Satan, et à une catégorie de personnes différentes de toi. Tu vivras une vie de souffrances si tu n’accomplis pas ton devoir et que tu vis parmi eux. Puisque tu vois les questions différemment d’eux, vous ne vous entendrez pas bien, et tu seras même tourmenté. Il n’y aura que des souffrances, et pas de bonheur. L’affection peut-elle t’apporter la paix et la joie ? Satisfaire la chair ne t’apportera rien, sinon de la souffrance, du vide et une vie de regrets. Il faut que tu comprennes bien cela. Ainsi, si ta famille te manque, c’est unilatéral ; c’est être exagérément sentimental ! Tu avances sur un chemin différent du sien. Ta vision de la vie, du monde, ton chemin de vie et tes objectifs sont tous différents. En ce moment, tu n’es pas avec ta famille, mais à cause des liens du sang, tu te sens toujours proche d’elle, et tu sens que vous êtes une famille. Cependant, quand tu vis effectivement avec les gens de ta famille, après seulement quelques jours à traiter avec eux, tu es complètement agacé. Ils ne font que mentir ; ce qu’ils disent est faux, enjôleur et mensonger. Leur comportement et leur rapport au monde sont tous basés sur la philosophie et des maximes de vie sataniques. Leurs pensées et points de vue sont tous faux et absurdes, et ils sont simplement insupportables à entendre. Alors, tu te diras : « Avant, je les avais tout le temps en tête, et j’avais peur en permanence qu’ils vivent mal. Mais vivre avec ces gens à présent m’est vraiment insupportable ! » Ils te paraîtront repoussants. Tu n’as pas encore compris le genre de personnes qu’ils sont, donc tu penses encore que les liens familiaux sont plus importants et plus réels que tout le reste. Tu es encore contraint par l’affection. Essaie d’abandonner ces choses de l’affection par tous les moyens. Si tu n’en es pas capable, alors fais de ton devoir ta priorité. Le mandat de Dieu et ta mission sont plus importants. Accomplir ton devoir est plus important que tout le reste et, pour l’instant, ne t’occupe pas de ces histoires de proches dans la chair. Quand ton mandat et ta mission seront bien accomplis, la vérité t’apparaîtra de plus en plus claire, ta relation avec Dieu deviendra de plus en plus normale, tu auras de plus en plus un cœur de soumission à Dieu, et tu auras de plus en plus, et de manière plus évidente, un cœur qui craint Dieu, et alors ton état intérieur changera. Une fois que ton état aura changé, tes points de vue et tes liens d’affection terrestres s’effaceront, tu ne chercheras plus ces choses, et ton cœur voudra seulement chercher comment aimer Dieu, comment Le satisfaire, comment vivre d’une manière qui Le satisfait, et comment vivre avec la vérité. Une fois que ton cœur avancera dans cette direction, ce qui a à voir avec les liens d’affection de la chair va lentement s’effacer, et cela ne pourra plus te lier ou te contrôler.
– La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie
Ceux qui traînent leurs enfants et leurs proches absolument non-croyants à l’Église sont tous extrêmement égoïstes et ne font qu’exhiber la bonté. Ces gens ne font que s’efforcer d’aimer, peu importe qu’ils croient ou non ou que ce soit les intentions de Dieu ou non. Certains amènent leur femme devant Dieu ou traînent leurs parents devant Dieu, et que le Saint-Esprit soit d’accord ou non, qu’Il œuvre en eux ou non, aveuglément, ils continuent d’« adopter des gens de talent » pour Dieu. Un avantage peut-il éventuellement être acquis en étant bon envers ces non-croyants ? Même si ces incroyants en qui le Saint-Esprit n’est pas présent luttent pour suivre Dieu, ils ne peuvent quand même pas être sauvés, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Ceux qui reçoivent le salut ne sont pas réellement si faciles à acquérir. Les gens qui n’ont pas fait l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit ni n’ont subi Ses épreuves, et qui n’ont pas été perfectionnés par le Dieu incarné ne peuvent pas du tout être rendus complets. Par conséquent, dès le moment où il commence à suivre Dieu uniquement pour la forme, ces gens manquent de la présence du Saint-Esprit. À la lumière de leurs conditions et de leurs états réels, ils ne peuvent tout simplement pas être rendus complets. De ce fait, le Saint-Esprit décide de ne pas leur dévouer beaucoup d’énergie et Il ne leur procure aucun éclairage ni ne les guide d’aucune manière non plus. Il leur permet simplement de suivre et finalement révélera leur fin ; cela suffit. L’enthousiasme et les intentions de l’humanité viennent de Satan, et d’aucune manière ne peut-elle compléter l’œuvre du Saint-Esprit. Peu importe qui sont les gens, l’œuvre du Saint-Esprit est requise. Des humains peuvent-ils rendre des humains complets ? Pourquoi un mari aime-t-il sa femme ? Pourquoi une femme aime-t-elle son mari ? Pourquoi les enfants sont-ils respectueux de leurs parents ? Et pourquoi les parents adorent-ils leurs enfants ? Quelles sortes d’intentions les gens entretiennent-ils réellement ? Leur intention n’est-elle pas de poursuivre leurs propres plans et leurs propres désirs égoïstes ? Veulent-ils vraiment agir dans l’intérêt du plan de gestion de Dieu ? Agissent-ils vraiment dans l’intérêt de l’œuvre de Dieu ? Leur intention est-elle d’accomplir le devoir d’un être créé ? Ceux qui n’ont pas pu s’attirer la présence du Saint-Esprit depuis le moment où ils ont commencé à croire en Dieu ne peuvent jamais être l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit ; ces gens sont résolument des objets à détruire. L’amour que l’on a pour eux importe peu ; il ne peut pas remplacer l’œuvre du Saint-Esprit. L’enthousiasme et l’amour des gens représentent les intentions humaines, mais ne peuvent pas représenter les intentions de Dieu ni ne peuvent servir de substitut à l’œuvre de Dieu. Même si l’on démontre le plus grand amour ou la plus grande miséricorde possibles envers ces gens qui croient en Dieu pour la forme seulement et font semblant de Le suivre sans savoir ce que signifie vraiment croire en Dieu, ils n’obtiendront pas la sympathie de Dieu ni ne feront l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit. Même si les gens qui suivent sincèrement Dieu sont de pauvre calibre et ne peuvent pas comprendre un grand nombre de vérités, ils peuvent encore occasionnellement faire l’objet de l’œuvre du Saint-Esprit ; cependant, ceux qui sont d’un calibre considérablement bon, mais ne croient pas sincèrement ne peuvent tout simplement pas s’attirer la présence du Saint-Esprit. Absolument aucune possibilité de salut n’existe pour de telles gens. Même s’ils lisent les paroles de Dieu ou écoutent occasionnellement des sermons, ou même chantent des louanges à Dieu, en fin de compte ils ne pourront pas survivre jusqu’au temps du repos.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble
Ces mots du passé : « Si quelqu’un croit dans le Seigneur, la fortune sourit à toute sa famille », sont appropriés à l’ère de la Grâce, mais ne sont pas liés à la destination de l’humanité. Ils étaient seulement appropriés pour une étape de l’ère de la Grâce. La connotation de ces mots touchait à la paix et aux bénédictions matérielles dont les gens jouissaient ; ils ne signifiaient pas que toute la famille de celui qui croit au Seigneur serait sauvée ni ne signifiaient que la famille de celui qui reçoit des bénédictions entrerait dans le repos. Recevoir des bénédictions ou souffrir un malheur est déterminé en fonction de l’essence de chacun, non en fonction de l’essence commune que l’on partagerait possiblement avec les autres. Ce genre de dicton ou de règle n’a tout simplement pas de place dans le royaume. Si finalement quelqu’un est en mesure de survivre, c’est parce qu’il a satisfait aux exigences de Dieu, et si quelqu’un est finalement incapable de rester jusqu’au moment du repos, c’est parce qu’il s’est rebellé contre Dieu et n’a pas satisfait aux exigences de Dieu. Toute personne a une destination appropriée. Cette destination est déterminée en fonction de l’essence de chaque individu et n’a absolument rien à voir avec les autres. La mauvaise conduite d’un enfant ne peut pas être transférée à ses parents, non plus la droiture d’un enfant partagée avec ses parents. La mauvaise conduite des parents ne peut pas être transférée à leurs enfants, non plus la droiture des parents partagée avec leurs enfants. Chaque personne est responsable de ses propres péchés et chaque personne profite de ses propres bénédictions. Toute substitution est impossible. C’est la justice. Selon la perspective de l’homme, si les parents reçoivent des bénédictions, les enfants devraient aussi le recevoir, et si les enfants commettent le mal, leurs parents doivent expier ces péchés. C’est une perspective humaine, une manière humaine de faire les choses. Ce n’est pas la perspective de Dieu. La fin de chacun est déterminée en fonction de l’essence qui provient de sa conduite et elle est toujours déterminée de manière appropriée. Personne ne peut porter les péchés d’un autre ; plus encore, personne ne peut recevoir la punition à la place d’un autre. C’est absolu. L’attention affectueuse des parents pour leurs enfants ne démontre pas qu’ils peuvent accomplir des actions justes à la place de leurs enfants, et l’affection dévouée des enfants pour leurs parents ne signifie pas non plus qu’ils peuvent accomplir des actions justes à la place de leurs parents. C’est le vrai sens des mots : « Alors, de deux hommes qui seront dans un champ, l’un sera pris et l’autre laissé ; de deux femmes qui moudront à la meule, l’une sera prise et l’autre laissée. » Les gens ne peuvent pas amener leurs enfants malfaiteurs dans le repos sur la base de leur amour profond pour eux, et un mari ne peut pas amener sa femme, ou une femme son mari, dans le repos sur la base de sa propre conduite juste. C’est une règle administrative ; aucune exception n’est possible pour qui que ce soit. À la fin, les justes sont justes et les méchants sont méchants. Les justes seront finalement en mesure de survivre tandis que les méchants seront détruits. Les saints sont saints ; ils ne sont pas souillés. Les souillés sont souillés et aucune partie d’eux n’est sainte. Tous les mauvais seront détruits et tous les justes survivront, même si les enfants des mauvais accomplissent de bonnes actions et les parents des justes commettent de mauvaises actions. Il n’y a pas de relation entre un mari croyant et une femme non-croyante, et il n’y a pas de relation entre des enfants croyants et des parents non-croyants. Ces deux types de gens sont tout à fait incompatibles. Avant l’entrée dans le repos, la famille selon le sang existe, mais après l’entrée dans le repos, la famille selon le sang n’existe plus. Ceux qui font leur devoir sont les ennemis de ceux qui ne le font pas ; ceux qui aiment Dieu et ceux qui haïssent Dieu sont opposés les uns aux autres. Ceux qui entreront dans le repos et ceux qui auront été détruits sont deux types d’êtres créés incompatibles. Les êtres créés qui accomplissent leur devoir pourront survivre tandis que ceux qui n’accomplissent pas leur devoir seront l’objet de la destruction ; qui plus est, cela durera pendant toute l’éternité. Est-ce que tu aimes ton mari afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Est-ce que tu aimes ta femme afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Es-tu respectueux envers tes parents non-croyants afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Le point de vue humain sur la foi en Dieu est-il bon ou mauvais ? Pourquoi crois-tu en Dieu ? Que cherches-tu à obtenir ? Comment aimes-tu Dieu ? Ceux qui ne peuvent pas accomplir leur devoir en tant qu’êtres créés et ne peuvent pas faire un effort absolu deviendront l’objet de la destruction. Aujourd’hui les gens ont des relations physiques entre eux, ainsi que des associations par le sang, mais dans l’avenir, tout cela sera anéanti. Les croyants et les non-croyants ne sont pas compatibles, mais plutôt opposés les uns aux autres. Ceux qui sont en repos croiront qu’il y a un Dieu et se soumettront à Dieu tandis que ceux qui sont rebelles à Dieu auront tous été détruits. Les familles n’existeront plus sur la terre ; comment pourrait-il y avoir des parents ou des enfants ou des relations matrimoniales ? La simple incompatibilité entre la croyance et l’incroyance aura absolument rompu ces relations physiques !
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble
Une fois que l’humanité sera entrée dans le repos, les malfaiteurs auront été détruits et toute l’humanité sera sur la bonne voie ; tous les types de gens se retrouveront avec leur propre espèce conformément aux fonctions qu’ils doivent effectuer. Cela seul sera le jour du repos de l’humanité, ce sera l’orientation inévitable du développement de l’humanité, et lorsque l’humanité entrera dans le repos, alors seulement la grande œuvre de Dieu sera achevée, ce sera la dernière partie de Son œuvre. Cette œuvre terminera la vie décadente et charnelle de toute l’humanité, ainsi que la vie de l’humanité corrompue. Dès lors les humains entreront dans un nouveau domaine. Même si tous les humains vivront dans la chair, il y aura des différences significatives entre l’essence de cette vie et la vie de l’humanité corrompue. La signification de cette existence et celle de l’existence de l’humanité corrompue diffèrent également. Même si ce ne sera pas la vie d’un nouveau type de personnes, on peut dire que c’est la vie d’une humanité qui a reçu le salut, ainsi qu’une vie qui a retrouvé l’humanité et la raison. Ces gens sont ceux qui jadis se rebellaient contre Dieu, et Dieu les a conquis et les a sauvés ; ces gens sont ceux qui ont déshonoré Dieu et plus tard Lui ont rendu témoignage. Lorsqu’ils auront subi Son test et y auront survécu, leur existence sera l’existence la plus signifiante ; ces gens ont porté témoignage à Dieu devant Satan et sont des humains dignes de vivre. Ceux qui seront détruits sont ceux qui ne peuvent pas rendre témoignage à Dieu et ne sont pas dignes de continuer à vivre. Leur destruction sera due à leur mauvaise conduite et une telle annihilation est la meilleure destination pour eux. Quand l’humanité entrera plus tard dans le beau domaine, il n’y aura aucune relation entre mari et femme, entre père et fille ou entre mère et fils contrairement à ce que les gens imaginent. À ce moment-là, chaque humain suivra sa propre espèce et les familles auront déjà été brisées. Après avoir complètement échoué, Satan ne perturbera plus jamais l’humanité et les humains n’auront plus de tempérament satanique corrompu. Ces gens rebelles auront déjà été détruits et seuls les gens qui se soumettent survivront. De ce fait, très peu de familles vont survivre intactes. Comment les relations physiques peuvent-elles continuer à exister ? La vie charnelle que vivait l’humanité sera complètement bannie. Comment les relations physiques peuvent-elles alors exister entre les gens ? Sans tempérament satanique corrompu, la vie humaine ne sera plus l’ancienne vie du passé, mais plutôt une nouvelle vie. Les parents perdront les enfants et les enfants perdront les parents. Les maris perdront les femmes et les femmes perdront les maris. Les relations physiques existent actuellement entre les gens, mais elles n’existeront plus lorsque tous seront entrés dans le repos. Seul ce genre d’humanité sera juste et sainte, seul ce genre d’humanité peut adorer Dieu.
– La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble
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