Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (20)

Point 12 : Identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal des Églises ; les stopper et les restreindre, et inverser la situation ; de plus, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et qu’il en tire des leçons (Partie VIII)

Nous avons terminé l’échange sur la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers lors de la dernière réunion. Vous êtes-vous comparés à ce qui a été dit dans cet échange ? Avez-vous réfléchi à cet échange ? Une fois qu’ils ont entendu Mon échange, ceux qui aiment la vérité et ceux qui ont le sens de la justice et une certaine humanité peuvent pratiquer certaines vérités après les avoir comprises. Tout d’abord, ils peuvent mettre en rapport les vérités qu’ils comprennent avec leur situation, s’examiner eux-mêmes à l’aune de la vérité, identifier leurs problèmes, puis mobiliser certaines questions et certains environnements dans la vie réelle et dans l’accomplissement de leurs devoirs pour résoudre ces problèmes. Peu à peu, en lien avec les vérités qu’ils comprennent, ils saisissent les principes que les gens devraient pratiquer et auxquels ils devraient adhérer. D’une part, ils gagnent une compréhension et une connaissance plus approfondies d’eux-mêmes et, d’autre part, ils comprennent de manière plus pratique et plus précise ce que la vérité dit et contient réellement. Cependant, pour ce qui est de ceux qui n’aiment pas la vérité et ont pour elle de l’aversion, ils ont beau écouter autant de vérités que possible, ils n’en prennent pas conscience et ne changent pas. Leur état, leur attitude dans l’exécution de leur devoir, les objectifs qu’ils poursuivent, leur mode de vie et les principes liés à leur façon d’être ne changent en rien. Ils continuent d’agir à leur guise et de vivre comme bon leur semble ; ces vérités n’ont aucun effet sur eux et ne les amènent pas non plus à réfléchir sur eux-mêmes et à se connaître au point de se haïr. S’ils ne parviennent pas à se haïr, alors, ils ne peuvent certainement pas non plus atteindre un véritable repentir. Sans repentir véritable, il n’y a pas d’entrée réelle ; et sans entrée réelle, il n’y a certainement pas de changement de tempérament. Par conséquent, de nombreuses personnes qui croient en Dieu depuis de nombreuses années, bien qu’elles se réunissent, qu’elles fassent des devoirs, qu’elles écoutent des sermons depuis de nombreuses années et interagissent régulièrement avec les frères et sœurs, n’ont aucune compréhension d’elles-mêmes, ne montrent aucun changement, et leur foi en Dieu ne se renforce absolument pas. Elles suivent Dieu avec leurs notions et leur imagination initiales et avec l’intention et le désir de gagner des bénédictions. Quel que soit le nombre d’années depuis lequel elles croient en Dieu, leurs points de vue sur la croyance en Dieu, leurs points de vue sur les choses, leurs méthodes de poursuite et les buts qu’elles poursuivent, ainsi que leurs attitudes dans l’exécution de leurs devoirs, n’ont changé en rien. Leurs révélations actuelles et les manifestations qu’elles vivent sont le résultat du fait qu’elles ne poursuivent pas la vérité. Nous avons échangé sur douze des responsabilités des dirigeants et des ouvriers, mais le comportement de certains dirigeants et ouvriers n’a absolument pas changé pour autant. Leurs attitudes dans l’exécution de leurs devoirs et à l’égard des exigences de Dieu n’ont pas changé du tout. Le contenu de l’échange a servi de rappel, de recadrage et de stimulant à ceux qui poursuivent plus ou moins la vérité, et à ceux qui ont un peu d’humanité et dont la conscience est un peu éveillée. Cependant, cela n’a eu aucun effet sur ceux qui sont plus intransigeants, plus sournois et qui n’acceptent pas du tout la vérité. Pourquoi cela ? Parce que l’attitude de ces personnes à l’égard de la vérité est une attitude de résistance et de dégoût. On a beau échanger sur la vérité, leur attitude reste la même : « Quoi qu’il en soit, je fais mon devoir et je suis un disciple de Dieu ; je me dépense sincèrement pour Dieu. Quelle que soit ma conduite, tant que je persiste jusqu’au bout, je peux gagner des bénédictions ! » Cette façon de penser obéit-elle à la moindre raison ? Ils sont résolument incorrigibles et sans vergogne, n’est-ce pas ? N’est-ce pas là se montrer têtu et refuser de se repentir en toutes circonstances ? (Si.)

La douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers est la suivante : « Identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal des Églises ; les stopper et les restreindre, et inverser la situation ; de plus, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et qu’il en tire des leçons. » Précédemment, nous avons divisé notre échange sur cette responsabilité en douze questions. Le contenu de ces douze questions porte principalement sur la façon dont les dirigeants et les ouvriers doivent traiter et gérer ces problèmes lorsque toutes sortes de personnes, d’évènements et de choses qui causent des interruptions et des perturbations se présentent dans l’Église, et ce, afin de produire l’effet de la sauvegarde du travail de la maison de Dieu et de l’ordre normal de l’Église, et donc dans le respect des fonctions que les dirigeants et les ouvriers doivent remplir et des responsabilités qu’ils doivent assumer. Nous avons échangé en détail sur chacune des douze questions relatives à la responsabilité des dirigeants et des ouvriers, nous avons échangé sur certaines manifestations bien particulières de chacune d’entre elles et nous en avons donné des exemples précis. Pour ce qui est des principes, la teneur de l’échange était tout à fait pratique. Bien que les exemples donnés ne puissent pas tout aborder, les questions essentielles concernant diverses personnes, divers évènements et diverses choses ont fait l’objet d’un échange clair. C’est surtout à vous, dirigeants et ouvriers, de comprendre cet aspect de la vérité afin de résoudre les divers problèmes qui se posent dans l’Église. Tout d’abord, vous devez trouver les mots qui dissèquent l’essence des problèmes à partir du contenu de l’échange et les mettre en corrélation avec les problèmes. En comprenant l’essence des problèmes, il est plus facile de trouver les solutions correspondantes et de résoudre les problèmes dans le respect des vérités-principes. Il est essentiel de comprendre l’essence d’un problème avant de le résoudre. Une fois que tu as compris l’essence du problème, tu dois également comprendre et saisir les principes de traitement du problème. Ce sont là deux aspects indispensables : l’essence du problème d’un côté, les principes de résolution des problèmes de l’autre. Les dirigeants et les ouvriers doivent bien comprendre ces choses. Ce n’est qu’en saisissant ces deux principes que l’on peut résoudre avec précision tous les problèmes et traiter correctement les gens, les évènements et les choses impliqués dans les différentes questions, plutôt que d’appliquer des règlements et de monter les problèmes en épingles de façon disproportionnée. Actuellement, lorsque certains dirigeants et ouvriers traitent certaines questions, d’une part ils se contentent de suivre les règlements, et d’autre part ils ne parviennent pas à saisir l’essence des questions, faisant facilement du tort aux gens et se livrant à des dérives. Cela nécessite une compréhension claire des détails, des spécificités et du contexte des questions. En outre, il est important d’observer le comportement habituel d’une personne pour déterminer la catégorie à laquelle elle appartient. Ce n’est qu’en maîtrisant ces aspects que les questions peuvent être traitées conformément aux principes. Dans leur travail, certains dirigeants et ouvriers se contentent de s’attacher aux problèmes, d’appliquer les règlements et de monter les problèmes en épingles, alors qu’ils ne parviennent pas à déterminer l’essence réelle des personnes concernées, à déterminer s’il s’agit de gens de bien ou non, si leur comportement est habituel ou s’il s’agit d’une simple transgression occasionnelle. Incapables de discerner ces aspects, ils sont particulièrement susceptibles de commettre des erreurs. Dans de tels cas, si l’Église peut voter, elle peut effectivement éviter certaines erreurs. L’existence de ces dérives et de ces erreurs dans le travail des dirigeants et des ouvriers peut révéler très clairement s’ils ont du discernement et s’ils traitent les problèmes selon les principes. Elle révèle également si les dirigeants et les ouvriers possèdent la vérité-réalité. Si un dirigeant ou un ouvrier qui croit en Dieu depuis de nombreuses années ne peut pas gérer ces problèmes concrets, cela suffit à prouver que ce dirigeant ou cet ouvrier n’est pas quelqu’un qui poursuit la vérité.

Après avoir compris les responsabilités que les dirigeants et les ouvriers doivent assumer, les principes qu’ils doivent suivre et l’étendue de leur travail, nous devons revenir au thème de cette étape de l’échange : l’exposition des faux dirigeants. Tel est notre sujet principal. Dans le cadre de la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers, le sujet sur lequel nous allons échanger aujourd’hui est celui des domaines dans lesquels les faux dirigeants manquent à leur devoir, et des façons dont cette absence de travail concret se manifeste. Tout d’abord, lisons la description de la douzième responsabilité. (Numéro douze : Identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal des Églises ; les stopper et les restreindre, et inverser la situation ; de plus, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et qu’il en tire des leçons.) La douzième responsabilité mentionne clairement trois aspects du travail que les dirigeants et les ouvriers doivent comprendre. Quel est le lien avec l’exposition des faux dirigeants ? (Tout d’abord, nous devons comprendre les différentes responsabilités des dirigeants et des ouvriers dans ce travail. Ensuite, nous comparons pour voir si les faux dirigeants ont rempli ces responsabilités, et de quelles façons se manifestent les faux dirigeants ; évaluer ces dernières à l’aune de cette norme est relativement exact.) C’est juste. Discerner si une personne est ou non un faux dirigeant ne se fait pas en utilisant ses yeux pour regarder son visage et voir si ses traits sont bons ou mauvais ni en regardant combien elle semble avoir souffert extérieurement, ou combien elle s’est démenée. Il faut plutôt regarder si elle remplit les responsabilités propres aux dirigeants et aux ouvriers et si elle peut utiliser la vérité pour résoudre des problèmes concrets. C’est le seul critère précis qui permette de les évaluer. Voilà le principe pour disséquer, discerner et déterminer si une personne est un faux dirigeant. Ce n’est que de cette manière que l’évaluation peut être juste, alignée sur les principes, conforme à la vérité et équitable pour tout le monde. La caractérisation d’une personne comme faux dirigeant ou faux ouvrier doit reposer sur des faits suffisants. Elle ne doit pas être fondée sur un ou deux incidents ou transgressions, et encore moins sur une révélation temporaire de corruption. Les seuls critères précis permettant de caractériser quelqu’un consistent à savoir s’il est capable de faire un réel travail et d’utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, ainsi que s’il est une personne correcte, s’il est quelqu’un qui aime la vérité et peut se soumettre à Dieu et s’il possède l’œuvre et l’illumination du Saint-Esprit. On ne peut caractériser correctement quelqu’un comme un faux dirigeant ou un faux ouvrier qu’en fonction de ces facteurs. Ces facteurs sont les critères et les principes pour évaluer et déterminer si quelqu’un est un faux dirigeant ou un faux ouvrier.

Les trois tâches que les dirigeants et les ouvriers doivent accomplir dans le cadre de la douzième responsabilité

I. Identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui causent des interruptions et des perturbations

La douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers comprend trois tâches, ou trois étapes. En suivant ces trois étapes pour mener à bien le travail, les principes du travail sont respectés et les responsabilités du travail sont remplies. Quelles sont ces trois tâches ? (D’abord, identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal des Églises. Ensuite, les stopper et les restreindre, et inverser la situation. Enfin, échanger sur la vérité pour que le peuple élu de Dieu acquière un discernement par le biais de telles choses et qu’il en tire des leçons.) Ces trois tâches sont les exigences que doivent satisfaire les dirigeants et les ouvriers dans le cadre de la douzième responsabilité. Pour commencer, la première exigence pour les dirigeants et les ouvriers est d’identifier rapidement et avec précision les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et la vie d’Église. Il s’agit d’identifier rapidement et avec précision, et non de réagir avec lenteur et insensibilité, ni de porter des jugements aveugles et imprudents – les jugements inconsidérés ne sont pas acceptables. Certains dirigeants et ouvriers, du fait de leur faible calibre et de leur confusion, émondent et font la leçon aux gens de manière irréfléchie sur des questions insignifiantes, en leur attribuant des étiquettes arbitraires et en les jugeant aveuglément au mépris des principes. Cette façon de travailler viole les vérités-principes. C’est pourquoi les dirigeants et les ouvriers de la maison de Dieu doivent au moins être capables de discerner les divers personnes, évènements et choses. Ce n’est qu’avec du discernement qu’ils pourront identifier rapidement et avec précision les divers problèmes qui se présentent dans l’Église. Pour parvenir à la capacité de discerner les divers personnes, évènements et choses, quelle est la première condition à remplir ? Tout d’abord, il est nécessaire de comprendre les exigences de Dieu pour les différents types de personnes, ainsi que la façon dont Dieu définit les différentes personnes et les différents états qu’elles développent. En outre, il est important de disséquer la façon dont les différents états négatifs apparaissent et leurs racines. Mais encore, il faut comprendre l’impact des divers personnes, évènements et choses sur l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de l’Église. Sur quoi se fondent ces conditions ? Quel travail les dirigeants et les ouvriers doivent-ils entreprendre en premier lieu ? Si les dirigeants et les ouvriers sont toujours hautains et distants, qu’ils se comportent comme des bureaucrates et refusent de fréquenter les frères et sœurs, qu’ils ne saisissent pas les différents états des frères et sœurs, qu’ils n’ont pas de contact étroit avec les différents types de personnes, et qu’ils manquent d’observations détaillées et de compréhension approfondie de ces dernières, est-ce acceptable ? Ce n’est certainement pas acceptable. Certains dirigeants et ouvriers se cachent régulièrement dans leur chambre, au prétexte de faire leurs dévotions spirituelles et de rédiger des articles de témoignages d’expérience, pour mieux ignorer le travail de l’Église et ne pas s’en saisir. En apparence, on croirait qu’ils travaillent sur les affaires de l’Église en s’isolant dans leur chambre, mais en réalité, ils se sont déjà mis en retrait du travail de l’Église et du peuple élu de Dieu. Cette façon de travailler peut-elle résoudre les problèmes qui existent dans les différents domaines du travail de l’Église ? Peut-elle aider le peuple élu de Dieu à bien faire ses devoirs ? Lorsqu’ils se cachent dans leur chambre pour écrire des articles de témoignage, font-ils l’expérience de l’œuvre de Dieu ? Cette approche est donc inappropriée. Dans la douzième responsabilité, la première tâche des dirigeants et des ouvriers est d’identifier rapidement les divers personnes, évènements et choses qui perturbent et interrompent le travail de l’Église à partir des paroles de Dieu et des vérités-principes. Certains demanderont : « Les dirigeants et les ouvriers doivent-ils s’impliquer profondément dans la vie de l’Église uniquement dans le but d’identifier rapidement et avec précision les personnes, les évènements et les choses qui causent des perturbations et des interruptions ? » Cette compréhension est-elle correcte ? (Non.) Il s’agit d’une compréhension déformée. Les dirigeants et les ouvriers doivent avoir une attitude et une approche correctes de leur travail et établir un contact étroit avec le terrain. Ce n’est qu’ainsi qu’ils pourront identifier et résoudre les problèmes rapidement et avec précision. S’ils ne plongent pas en immersion dans le terrain et ne vivent pas avec le peuple élu de Dieu, il leur sera très difficile d’identifier tous les problèmes dans le travail de l’Église. S’ils ne peuvent résoudre que quelques problèmes une fois que les gens ont fait des rapports et cherché des solutions, l’effet de leur travail ne sera que très limité. La méthode de travail la plus erronée pour les dirigeants et les ouvriers est de s’enfermer pour travailler derrière des portes closes, comme les érudits d’antan qui se consacraient exclusivement à l’étude des livres des sages sans prêter aucune attention au monde extérieur. Cette attitude et ce mode de vie sont inacceptables pour des dirigeants et des ouvriers. Tu restes seul dans ta chambre, à écouter des sermons, à lire les paroles de Dieu, à rédiger des notes de dévotion spirituelle, à écrire des sermons, mais est-ce que cette acquisition de certaines doctrines et formules signifie que tu comprends la vérité ? Cela signifie-t-il que tu comprends les situations réelles et les états véritables des personnes exposées par la vérité ? (Non.) Par conséquent, bien qu’il soit essentiel au travail des dirigeants et des ouvriers de mener une vie de dévotion spirituelle, la chose la plus importante est d’avoir les méthodes de travail et le mode de vie adaptés.

II. Stopper et restreindre rapidement les personnes malveillantes

La deuxième exigence pour les dirigeants et les ouvriers, énoncée dans la douzième responsabilité, est de se montrer capables de porter des jugements rapides et précis lorsqu’ils identifient divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église. Ils doivent discerner clairement la nature des diverses personnes et des divers évènements, et comprendre leur influence sur la vie de l’Église, comprendre s’ils menacent, perturbent ou sabotent les états, l’entrée dans la vie et l’accomplissement du devoir du peuple élu de Dieu, et s’ils affectent les résultats de l’accomplissement du devoir des gens – les dirigeants et les ouvriers doivent juger et évaluer ces choses-là promptement et avec précision. Telle est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers. S’ils n’ont pas l’intelligence nécessaire pour cela et qu’ils n’ont pas le bon calibre, ils seront incapables de faire le travail de l’Église. En outre, les dirigeants et les ouvriers doivent avoir une réaction et un discernement aiguisés à l’égard des diverses personnes, des divers évènements et des diverses choses. Par exemple, lorsque des disputes surviennent dans l’Église et que diverses interruptions et perturbations se produisent, tu ne peux pas identifier le problème et estimer qu’il est insignifiant, ce qui résulte dans le fait que les gens en sont affectés et ne font pas bien leurs devoirs. Un tel dirigeant ou un tel ouvrier n’est-il pas insensible et aveugle ? (Si.) C’est là un problème qui se pose aux dirigeants et aux ouvriers. Que dois-tu faire lorsque tu découvres que quelqu’un interrompt et perturbe le travail de l’Église ? Tout d’abord, tu dois déterminer la gravité du problème et évaluer et juger l’essence de ces personnes, ainsi que l’impact et les conséquences de ces choses sur le travail et la vie d’Église. Sur quoi doit se fonder ce jugement ? Il doit se fonder sur les paroles de Dieu et sur la vérité. Certains diront : « Comment le fonder sur les paroles de Dieu ? Je trouve que ce sont là des mots creux. » En fait, ce ne sont pas des mots creux. Pourquoi dis-Je cela ? Lorsque tu te retrouves face à de telles choses, que tu les voies ou que tu en entendes parler, il te suffit de les comparer aux questions exposées dans les paroles de Dieu. Regarde comment les paroles de Dieu exposent et dissèquent ces personnes et ces sujets, et comment Dieu caractérise ces questions, comme la façon dont Il expose les faux dirigeants et les antéchrists, ou la façon dont Il expose les tempéraments corrompus de toutes sortes de personnes, et ainsi de suite. Ensuite, compare et dissèque ces questions à l’aune de ces paroles, et à travers l’échange avec les frères et sœurs et tes propres observations, tu pourras finalement faire une évaluation et une caractérisation précises des gens, des évènements et des choses que tu vois, et formuler les solutions correspondantes. Comment doit-on aborder ces personnes dont on sait qu’elles font partie de ceux qui interrompent et perturbent ? Il faut non seulement les exposer et les disséquer pour aider les gens à les discerner, mais aussi les stopper et les restreindre, et celles qui restent incorrigibles malgré les admonestations répétées doivent être exclues. Quelles sont les méthodes et les approches spécifiques pour les stopper et les restreindre ? (Les émonder et les mettre en garde.) L’émondage est-il une bonne méthode ? (Oui.) Exposer leurs agissements, pointer leurs problèmes les plus flagrants, disséquer leur essence, et les mettre en garde ; ces méthodes ne sont-elles pas toutes envisageables ? Bien sûr, la chose la plus importante est de leur lire les paroles de Dieu et de se fonder sur les paroles de Dieu pour les persuader et les disséquer. Si elles n’acceptent pas la vérité et refusent catégoriquement d’admettre leurs erreurs, alors des mesures plus sévères s’imposent. Il faut d’abord leur donner un avertissement, puis recourir aux décrets administratifs de l’Église pour les maîtriser, en leur interdisant de commettre des méfaits de manière inconsidérée et de perturber les frères et les sœurs. Il faut aussi les émonder puis les superviser. Ces méthodes sont nécessaires pour que le travail de l’Église soit bien fait et pour sauver les gens en les orientant vers le bon chemin. Le recours à ces méthodes ne manquera pas de donner de bons résultats. D’abord, mobiliser la vérité que les gens comprennent pour les persuader et les exposer, en disséquant leur tempérament et leur essence, en exposant la nature de leurs agissements et les graves conséquences qu’ils entraînent – c’est le minimum que les gens puissent faire. L’étape suivante consiste à les disséquer et à les discerner à partir des paroles de Dieu, et à les caractériser en conséquence. S’ils tiennent compte du conseil, qu’ils l’acceptent et se repentent, ce n’est que mieux. Mais s’ils ne l’acceptent pas et continuent à perturber le travail de l’Église, que faut-il faire ? Dans ce cas, il n’y a pas lieu de prendre des gants. La maison de Dieu dispose de décrets administratifs, et à ce stade, la personne doit être arrêtée et restreinte conformément aux décrets administratifs de la maison de Dieu. Si la personne est un nouveau croyant de petite stature qui ne comprend pas la vérité, elle peut être aidée avec amour ; tu peux échanger sur la vérité avec elle pour l’aider à se connaître. Pour celles qui peuvent accepter la vérité et se repentir, il n’est pas nécessaire de les arrêter, de les restreindre ou de les émonder. Si elles n’acceptent pas la vérité, ce n’est pas parce qu’elles ont des fondations fragiles ou une petite stature qui les empêchent de comprendre la vérité ; c’est un problème d’humanité. Ces personnes-là doivent être arrêtées et maîtrisées par le biais de la gestion administrative et de la punition administrative. L’effet final ainsi obtenu est le maintien du travail de l’Église et de l’ordre normal de la vie d’Église, afin que la vie d’Église se déroule de façon ordonnée. C’est ce qu’on appelle inverser la situation, et c’est l’effet que doivent produire les dirigeants et les ouvriers dans leur travail. Ce n’est qu’en arrivant à produire cet effet qu’ils s’acquitteront de leur responsabilité. Si les dirigeants et les ouvriers ignorent les problèmes qui se présentent, qu’ils se contentent d’y répondre superficiellement par quelques formules et doctrines, ou de réprimander et d’émonder simplement ceux qui interrompent et perturbent le travail de l’Église avec quelques paroles seulement, cela peut-il résoudre le problème ? Non seulement cela ne résout pas le problème, mais cela finit par plonger l’Église dans un grand chaos : la plupart des gens perdent la volonté de faire leurs devoirs et sont perturbés à des degrés divers, ce qui a un impact sur l’accomplissement de leur devoir. Ces dirigeants et ces ouvriers assument-ils leur responsabilité ? (Non.) Cela montre que ces dirigeants et ces ouvriers ne sont pas compétents dans leur travail.

III. Exposer les actes malfaisants des personnes malfaisantes, afin que le peuple élu de Dieu développe son discernement et en tire des leçons

La troisième exigence de la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers est que, lorsqu’ils gèrent des interruptions et des perturbations causées par des personnes malfaisantes, les dirigeants et les ouvriers doivent manger et boire les paroles de Dieu avec le peuple élu de Dieu pour réfléchir et se connaître eux-mêmes, et se reprendre véritablement en main. Ils doivent être en mesure d’amener le peuple élu de Dieu à entrer dans la vérité-réalité, à se débarrasser de ses tempéraments corrompus et de le guider afin qu’il parvienne à suivre Dieu, à se soumettre à Dieu et à témoigner de Dieu. Seul ce type de travail est conforme aux intentions de Dieu. D’une part, les dirigeants et les ouvriers qui travaillent de cette manière sont capables de résoudre les problèmes et de s’équiper de la vérité tout en travaillant. D’autre part, en échangeant sur la vérité pour résoudre les problèmes, ils aident les frères et sœurs à comprendre la vérité, à savoir réfléchir sur eux-mêmes et se connaître, à se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, à bien faire leurs devoirs, à savoir comment discerner et traiter les gens, à parvenir à suivre Dieu et à se soumettre à Dieu, à ne pas être contraints par les autres et à être capables de rester fermes dans leur témoignage. C’est là la façon dont les dirigeants et les ouvriers mènent à bien leurs devoirs ; c’est le principe que les dirigeants et les ouvriers doivent pratiquer pour résoudre les problèmes tout en effectuant le travail de l’Église. Quels que soient les problèmes qui se posent dans l’Église, les dirigeants et les ouvriers doivent avant tout chercher la vérité, saisir les intentions de Dieu et chercher ensemble la direction de Dieu. Ils doivent ensuite rechercher des paroles de Dieu pertinentes pour résoudre les divers problèmes existants. Au cours du processus de résolution des problèmes, les dirigeants et les ouvriers doivent échanger davantage autour des paroles pertinentes de Dieu avec les frères et sœurs, et comprendre l’essence des problèmes à partir des paroles de Dieu. Ils doivent également faire échanger le peuple élu de Dieu sur sa propre compréhension pour discerner ces questions. Une fois que la majorité est capable d’avoir la même compréhension et de parvenir à un consensus, les problèmes deviennent plus faciles à résoudre. Pour résoudre les problèmes, il ne faut pas sans cesse refaire le récit des évènements, ni poursuivre les détails mineurs, ni blâmer les personnes impliquées dans les problèmes. Au début, ne te concentre pas sur des questions mineures ; échange plutôt clairement la vérité, car cela révélera la nature des problèmes. Seule cette approche permet au peuple élu de Dieu d’apprendre à discerner les problèmes à partir des paroles de Dieu, à gagner du discernement sur les personnes, les évènements et les choses qui surviennent, et à en tirer des leçons pratiques. Elle leur permet également de comparer les formules et les doctrines qu’ils comprennent habituellement à l’aune de la vie réelle, ce qui leur donne accès à la véritable compréhension de la vérité. N’est-ce pas là ce que les dirigeants et les ouvriers devraient faire ? Amener le peuple élu de Dieu à entrer dans la vérité-réalité suppose essentiellement d’utiliser la vérité pour résoudre les notions et les produits de l’imagination du peuple élu de Dieu, ainsi que ses tempéraments corrompus. C’est cette approche qui donne les meilleurs résultats. Plus les dirigeants et les ouvriers sont capables d’utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, plus le peuple élu de Dieu peut comprendre facilement la vérité. Ainsi, il saura pratiquer et appliquer la parole de Dieu dans la vie réelle. Si les dirigeants et les ouvriers conduisent régulièrement le peuple élu de Dieu à résoudre des problèmes concrets, ils seront en mesure d’amener le peuple élu de Dieu dans la vérité-réalité et aussi d’intégrer la parole de Dieu dans leur propre vie quotidienne. Certaines personnes diront : « Cette exigence pour les dirigeants et les ouvriers n’est-elle pas trop contraignante ? Comment pouvons-nous avoir autant de compréhension ? » Peut-être ne l’avais-tu pas auparavant, mais ne peux-tu pas apprendre et pratiquer pour atteindre ce résultat ? C’est ainsi que l’œuvre de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers, ainsi que le peuple élu de Dieu, à entrer dans la vérité-réalité. Si tu ne sais pas comment faire, tu peux apprendre et pratiquer. Quels que soient les problèmes qui se posent, tu dois apprendre à réfléchir sur toi-même et à te connaître à partir des paroles de Dieu ; tel est le processus de la pratique. Après avoir pratiqué quelques fois et obtenu des résultats, tu auras un chemin et tu sauras comment pratiquer la vérité. Lorsque Dieu vient œuvrer, c’est ainsi qu’Il amène les gens à apprendre à entrer dans la vérité-réalité. Les dirigeants et les ouvriers doivent communiquer régulièrement avec les frères et sœurs, affronter les problèmes ensemble, les résoudre ensemble et bien faire le travail de l’Église. Comment les dirigeants d’Église doivent-ils guider le peuple élu de Dieu ? Le principal moyen est d’amener le peuple élu de Dieu à identifier et à résoudre les problèmes de la vie réelle, à pratiquer et à faire l’expérience de la parole de Dieu dans la vie réelle, afin que le peuple élu de Dieu soit non seulement capable de pratiquer la vérité, mais aussi de discerner les choses et les personnes négatives – les faux dirigeants, les faux ouvriers, les personnes malfaisantes, les incrédules et les antéchrists. Le but du discernement des différentes personnes est de résoudre les problèmes. Ce n’est qu’en résolvant complètement les perturbations causées par les personnes malfaisantes et les antéchrists que le travail de l’Église peut progresser sans heurts et que la volonté de Dieu peut être accomplie dans l’Église. Dans le même temps, s’occuper des personnes malfaisantes sert également d’avertissement pour se garder de commettre des erreurs ou de faire le mal, ce qui permet de parvenir à craindre Dieu et à s’éloigner du mal. Ce faisant, non seulement tu mènes à bien ton devoir et gagnes l’entrée dans la vie, mais tu comprends également la vérité et entres dans la vérité-réalité. N’est-ce pas là faire d’une pierre deux coups ? Lorsque tu comprends la vérité et que tu peux résoudre des problèmes, cela prouve que tu possèdes le calibre d’un dirigeant ou d’un ouvrier et que tu satisfais les critères pour être cultivé dans la maison de Dieu ; ainsi, tu dois prendre les choses en main et guider les frères et sœurs dans leur apprentissage à discerner toutes sortes de personnes, d’évènements et de choses dans la vie réelle ; atteindre la compréhension de la vérité ; savoir comment traiter les différentes personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église ; savoir comment pratiquer la vérité, traiter les diverses personnes selon les principes, et échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes. Telle est ta responsabilité. En pratiquant de cette manière, tu entres dans la réalité des paroles de Dieu. Tu en tireras des leçons, tu gagneras en discernement et tu comprendras les intentions de Dieu dans chaque affaire qui se présente à toi dans la vie réelle, en ayant des principes de pratique dans ta façon de gérer les affaires, de traiter les gens et de faire tes devoirs. De cette façon, tu seras en mesure de pratiquer la vérité. Tels sont les résultats que Dieu exige que les gens obtiennent. Par conséquent, quelles que soient les questions qui se présentent, tu dois toujours en tirer des leçons et développer ton discernement. Tu ne peux pas laisser ces questions disparaître et tu ne peux pas non plus rater la moindre occasion d’en tirer des leçons et de développer ton discernement. Puisqu’il s’avère que quelque chose s’est produit, nous ne devons pas l’aborder avec une attitude négative et culpabilisatrice. Au lieu de cela, nous devons y faire face avec une attitude positive. Comment fait-on cela ? En cherchant la vérité pour résoudre le problème. Les gens ont tous des tempéraments corrompus et leur humanité peut être bonne ou mauvaise, alors comment des problèmes ne pourraient-ils pas survenir lorsque les gens se rassemblent ? Quelle doit être ton attitude, sachant que Dieu a aménagé cet environnement pour toi, qu’Il t’a montré les personnes, les évènements et les choses qui se produisent autour de toi ? Remercie Dieu d’avoir exposé ces divers problèmes devant toi. Il te donne la chance de pratiquer et de tirer des leçons, et d’entrer dans la vérité-réalité. En tant que dirigeant ou ouvrier, tu devrais également remercier Dieu de te donner une telle chance. Quels que soient les problèmes que tu rencontres, tu dois amener les frères et sœurs à apprendre à discerner, à tirer des leçons et des enseignements avec toi. En outre, tu dois les amener avec toi à réfléchir sur, et à comprendre, les notions et les produits de l’imagination que les gens nourrissent vis-à-vis du problème, les points de vue déformés en présence, les leçons qui ont été tirées du problème rencontré, les notions et points de vue erronés qui ont été résolus et les vérités qui ont finalement été comprises. C’est ainsi que l’on doit faire l’expérience de l’œuvre de Dieu, sans passer à côté d’une seule question. Si tu as fait l’expérience de l’œuvre de Dieu pendant plusieurs années et que tu as résolu de nombreux problèmes, tu verras que les paroles de Dieu sont toutes la vérité, et qu’elles peuvent parfaitement purifier les gens et les sauver de l’influence de Satan. Lorsque les gens comprendront et gagneront la vérité, ils verront que les paroles de Dieu sont complètement accomplies et réalisées. Lorsque le peuple élu de Dieu pourra pratiquer et faire l’expérience des paroles de Dieu, il sera alors capable d’intégrer les paroles de Dieu dans sa vie réelle, d’utiliser correctement la parole de Dieu pour voir les gens et les choses, et d’évaluer les gens et tout ce qu’ils font à l’aune de la parole de Dieu, au lieu de se fier à ce qu’il voit ou à ses sentiments, et encore moins à des notions et à l’imagination. Une fois qu’il aura tiré ces leçons, il lui sera plus facile de fonder sa vie sur les paroles de Dieu, et il pourra vivre régulièrement en présence de Dieu. Ce faisant, les dirigeants et les ouvriers sont parfaitement qualifiés dans leur travail et ils s’acquittent de leurs responsabilités. Ce n’est que lorsque les dirigeants et les ouvriers font pleinement leur travail que le peuple élu de Dieu peut gagner ces choses-là. Si, dans de nombreuses situations que tu rencontres, tu ne sais pas comment amener les frères et sœurs à tirer des leçons et que tu ne peux pas discerner les divers personnes, évènements et choses, alors tu es quelqu’un d’aveugle, un imbécile insensible et confus. Face à de telles situations, non seulement tu seras dépassé, tu ne sauras pas comment les gérer et tu seras incompétent pour ce travail, mais cela affectera également l’expérience que les frères et sœurs font de ces personnes, de ces évènements et de ces choses. Si tu gères mal les choses, que tu ne fais aucun travail, que tu ne dis rien afin d’échanger sur la vérité comme tu le devrais, et que tu ne peux rien dire de bénéfique ou d’édifiant aux autres, alors, lorsque beaucoup de gens feront face à ces personnes, évènements et choses qui causent des interruptions et des perturbations, non seulement ils ne parviendront pas à accepter ces questions comme venant de Dieu, à les traiter positivement et activement, et à en tirer des leçons, mais leurs notions et leurs réserves envers Dieu deviendront aussi de plus en plus graves, tout comme leur méfiance et leur suspicion à Son égard. N’est-ce pas là la conséquence de dirigeants et d’ouvriers dépourvus de la vérité-réalité et incapables d’utiliser la vérité pour résoudre les problèmes ? N’est-ce pas là un signe que les dirigeants et les ouvriers ne peuvent pas faire de réel travail ? Tu n’as pas fait le travail de l’Église correctement, tu n’as pas rempli le mandat que Dieu t’a donné, tu ne t’es pas acquitté des responsabilités des dirigeants et des ouvriers, et tu n’as pas soustrait les frères et les sœurs à l’emprise de Satan. Ils vivent encore dans des tempéraments corrompus et dans les tentations de Satan. N’es-tu pas en train de retarder l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu ? Tu fais gravement tort aux gens ! En tant que dirigeant ou ouvrier, tu dois accepter le mandat de Dieu, conduire les frères et sœurs devant Dieu, faire en sorte que le peuple élu de Dieu mange et boive les paroles de Dieu pour parvenir à la compréhension de la vérité et faire ses devoirs avec des principes, et renforcer ainsi sa foi en Dieu. Non seulement tu as échoué à pratiquer de cette manière, mais tu n’as pas non plus limité ou résolu les perturbations causées par les personnes malfaisantes, causant du tort à l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Au terme de nombreuses années de croyance en Dieu, non seulement il n’a pas progressé et n’a pas compris la vérité ou gagné la connaissance de Dieu, mais il a aussi développé de nombreuses notions et incompréhensions à propos de Dieu, sans aucune soumission réelle. Tout ce que tu as fait n’est-il pas alors en fait en train d’interrompre et de perturber l’œuvre de Dieu ? Non seulement tu n’as pas conduit le peuple élu de Dieu dans la vérité-réalité, et tu ne l’as pas protégé, mais tu as permis qu’il soit perturbé par des personnes malfaisantes, et qu’il soit fourvoyé par des antéchrists et placé sous leur contrôle. N’as-tu pas fait des choses qui ont nui à tes proches et qui ont plu à tes ennemis ? N’es-tu pas complice du mal ? Tu as travaillé pendant si longtemps ; pourtant, non seulement tu as échoué à obtenir des résultats positifs, mais tu as même rendu la distance entre les frères et sœurs et Dieu de plus en plus grande, et fait que le peuple élu de Dieu a cru en Dieu pendant des années sans comprendre la vérité ou savoir comment discerner les interruptions et les perturbations des personnes malfaisantes, ce qui a gravement nui à son entrée dans la vie. Quel est le problème ici ? N’est-ce pas là faire beaucoup de mal ? Quel que soit le travail que font les dirigeants et les ouvriers, s’ils ne peuvent pas agir conformément aux exigences de Dieu et traiter les questions et résoudre les problèmes conformément aux vérités-principes, les conséquences iront au-delà d’eux-mêmes, et ne concerneront pas seulement quelques personnes ; cela aura un impact sur le travail de l’Église, sur l’entrée dans la vie de l’ensemble du peuple élu de Dieu dans l’Église, sur les résultats des devoirs faits par le peuple élu de Dieu, sur les résultats de la diffusion de l’Évangile du Règne, et même sur le fait que le peuple élu de Dieu puisse être sauvé et conduit dans le royaume de Dieu ou non – voilà tous les domaines susceptibles d’en être affectés. Certaines personnes croient en Dieu, mais suivent de faux dirigeants et des antéchrists, et courent ainsi à leur perte. Tout comme les gens dans les cercles religieux qui se laissent fourvoyer et contrôlés par les pasteurs et les anciens, avec comme conséquence qu’ils échouent à accueillir Dieu à Son retour et qu’ils sombrent dans le malheur. Tout cela est manifestement vrai. Par conséquent, la capacité à discerner les faux dirigeants et les antéchrists est extrêmement bénéfique pour l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu !

La douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers exige d’eux qu’ils accomplissent trois tâches cruciales : premièrement, ils doivent identifier les personnes, les évènements et les choses qui causent des interruptions et des perturbations dans le travail de l’Église. Deuxièmement, après les avoir discernés et caractérisés, ils doivent rapidement arrêter et restreindre les personnes malfaisantes ; c’est la deuxième étape. Troisièmement, tout en arrêtant et en restreignant les personnes malfaisantes et en rétablissant la situation, ils doivent régulièrement échanger sur les paroles de Dieu avec les frères et sœurs pour exposer les actes malfaisants des personnes malfaisantes, et surveiller de près les réactions et les compréhensions ainsi suscitées chez les frères et sœurs, et corriger sans attendre toute opinion erronée qu’ils pourraient avoir. Bien sûr, si certains frères et sœurs qui poursuivent la vérité arrivent à des idées perspicaces, ils doivent être encouragés à poursuivre l’échange. En outre, les dirigeants et les ouvriers doivent également aider ceux qui sont faibles ou de petite stature, et les encourager à parler davantage. Le résultat escompté est d’aider les frères et sœurs à gagner en discernement et à tirer des leçons des évènements qui se produisent, en apprenant à discerner les personnes et les choses. Le but du discernement des personnes et des choses est de leur permettre de comprendre avec précision les différents types de personnes et, conformément aux vérités-principes, de les traiter avec les bonnes méthodes, tandis qu’ils en tirent eux-mêmes des leçons. Quelles leçons devraient-ils en tirer ? Ils doivent observer l’attitude de Dieu envers ces personnes lorsqu’Il dissèque et expose leurs états – connaître l’attitude de Dieu envers ces personnes permet de voir plus clairement le type de personne que l’on doit être et le type de chemin à prendre, n’est-ce pas ? (Oui.) Bref, le résultat ultime à atteindre est que le peuple élu de Dieu comprenne la vérité et entre dans la réalité dans les environnements de la vie réelle, qu’il soit capable de faire ses devoirs normalement, et de se soumettre aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, si bien que l’exécution du travail de l’Église par les dirigeants et les ouvriers soit conforme aux intentions de Dieu. À en juger par les trois étapes de l’accomplissement de ce travail, est-il difficile pour les dirigeants et les ouvriers de bien faire cette tâche ? (Non.) Si l’on se fie à la bonté et au calibre humains, il peut être quelque peu difficile de bien faire ce travail, parce que tu n’atteindras pas le résultat exigé par Dieu et tu ne rempliras pas les vraies responsabilités des dirigeants et des ouvriers. Peux-tu bien faire ce travail en t’appuyant sur les tempéraments corrompus de l’homme ? (Non.) Plus exactement, s’appuyer sur des tempéraments corrompus pour faire ce travail revient à agir selon ses propres idées. Quel résultat cela produira-t-il ? (Cela provoquera le chaos dans l’Église.) C’est l’une des conséquences : plus tu travailles, plus les choses deviennent chaotiques. Qu’est-ce que le chaos ? Quels sont les états spécifiques du chaos ? C’est lorsque, pendant les réunions, les gens ne peuvent pas manger et boire les paroles de Dieu ou échanger sur la vérité normalement. Il y a toujours des personnes malfaisantes et des incrédules pour causer des perturbations, ou alors, il y a constamment des disputes, et l’on voit les uns et les autres camper sur leurs positions et former des factions et des cliques ; les frères et sœurs manquent de discernement et sont perdus, même ceux qui ont une compréhension spirituelle et qui aiment la vérité sont perturbés, et leur vie n’évolue pas. Dans une telle Église, ce sont les personnes malfaisantes et les incrédules qui détiennent le pouvoir et le Saint-Esprit n’œuvre pas. Dans une telle Église, quoi qu’il arrive, les gens parlent tous en même temps pour exprimer toutes sortes de points de vue, sans que pratiquement aucun ne soit correct. Alors, l’Église se divise rapidement en plusieurs factions, il n’y a pas d’unité entre les gens et il n’y a aucun signe de l’œuvre ou de la direction du Saint-Esprit. Les gens se méfient les uns des autres et se regardent avec suspicion ; deux ou trois groupes se disputent le pouvoir et le profit ; chacun cherche ses propres soutiens, attaque et exclut les dissidents ; et toutes sortes d’actes malfaisants peuvent être commis. C’est là le théâtre du chaos. D’où vient cette situation ? N’est-ce pas du fait que les dirigeants et les ouvriers sont incapables de faire leur travail ? (Si.) Ce sont les dirigeants et les ouvriers qui travaillent selon leurs propres idées qui produisent ces conséquences. Que signifie travailler selon ses propres idées ? Cela signifie ne pas comprendre la vérité, manquer de principes et agir aveuglément selon des tempéraments corrompus, des notions et l’imagination humaines, ce qui met l’Église dans un état encore plus chaotique. Certaines personnes diront peut-être : « Comment se fait-il que des personnes malfaisantes causent des perturbations dans l’Église ? Je ne sais pas qui a raison et qui a tort, ni de quel côté me ranger. » D’autres diront peut-être : « L’Église est divisée en plusieurs factions. Comment sommes-nous censés vivre la vie de l’Église ? Toutes les réunions sont infructueuses et nous font perdre du temps. Continuer à croire de la sorte ne donnera aucun résultat. » Lorsqu’une Église devient si chaotique que le peuple élu de Dieu est incapable de vivre la vie d’Église, celle-ci est résolument détestée et abandonnée par Dieu. Cela montre clairement que tant que les personnes malfaisantes et les incrédules détiendront le pouvoir, ils conduiront l’Église à sa perte. L’Église ne peut pas fonctionner si elle est dénuée de gens de bien et de dirigeants et d’ouvriers qui pratiquent la vérité – sans eux, il est impossible de garder le contrôle sur les choses ! Si les personnes malfaisantes et les incrédules ne sont pas restreints, il n’y aura pas de vie d’Église, et l’ordre normal de l’Église sera complètement perdu, il cédera la place au désordre. Voilà ce qui se produit lorsque les dirigeants et les ouvriers n’exécutent pas bien leurs tâches. Si les dirigeants et les ouvriers ne peuvent pas accepter la vérité, faire preuve de considération envers les intentions de Dieu ou s’en remettre à Dieu, ils ne pourront pas bien faire le travail de l’Église. Ils seront incapables de résoudre le moindre problème qui se pose dans l’Église ou de résoudre la moindre difficulté à laquelle est confronté le peuple élu de Dieu. De tels dirigeants et ouvriers peuvent-ils produire de bons résultats s’ils détiennent le pouvoir ? Ils ne peuvent qu’apporter le chaos dans l’Église – au bout du compte, c’est ce genre de situation qui se produit. L’Église en question se retrouve dévastée, elle n’est plus qu’un lieu où Satan détient le pouvoir ; elle se dégrade en quelque chose d’autre. Dieu ne reconnaîtra pas cette Église et le Saint-Esprit n’y œuvrera pas. Une telle Église n’a d’Église que le nom et doit être fermée.

Disséquer les manifestations des faux dirigeants en lien avec la douzième responsabilité

I. Les faux dirigeants ont un calibre médiocre et ne sont pas capables d’identifier les problèmes d’interruptions et de perturbations

Ce sont là les tâches que les dirigeants et les ouvriers doivent accomplir, telles qu’elles sont décrites dans la douzième responsabilité ; il n’est pas nécessaire d’échanger plus avant autour d’exemples spécifiques pour l’instant. L’objet de l’échange d’aujourd’hui est d’exposer les manifestations spécifiques des faux dirigeants lorsqu’ils accomplissent ces tâches, et d’identifier les comportements qui reflètent l’essence des faux dirigeants et qui peuvent être classés comme tels. Tel est le thème principal de l’échange d’aujourd’hui. Premièrement, l’exigence pour les dirigeants et les ouvriers dans ce travail est d’identifier rapidement les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de l’Église. L’identification rapide est une norme requise pour les dirigeants et les ouvriers. Dès que quelque chose se produit, au moindre symptôme de quelque chose d’anormal, s’il y a des signes que des personnes malfaisantes commencent à manœuvrer, ou s’il y a des indicateurs qui laissent penser que quelqu’un cause des troubles, les dirigeants et les ouvriers doivent le sentir et se mettre en alerte. S’ils sont insensibles et lents d’esprit, c’est problématique. En particulier dans les situations où des personnes malfaisantes causent des perturbations, dès que le problème commence à émerger et que l’on ne sait pas exactement ce que ces personnes ont l’intention de faire ou comment la situation va évoluer – c’est-à-dire lorsque les dirigeants et les ouvriers ne peuvent pas encore voir clair dans cette affaire – ils ne doivent pas agir aveuglément ou mettre ces personnes en alerte prématurément, afin d’éviter les erreurs d’appréciation. Cela ne signifie pas pour autant qu’il ne faut pas remarquer la situation ou ne pas en prendre conscience. Au contraire, il s’agit d’attendre et d’observer pour voir comment les choses évoluent et ce que sont les intentions, les objectifs et les motivations de ces personnes. C’est là le travail que doivent faire les dirigeants et les ouvriers. Lorsque la situation évolue jusqu’au point où ces personnes commencent à déverser leur négativité et à répandre des idées fausses, et donc à perturber le peuple élu de Dieu, les dirigeants et les ouvriers doivent s’empresser d’agir. Ils doivent se dresser sans hésitation pour exposer, disséquer et restreindre les actes malfaisants de ces individus, afin d’aider les autres à en tirer des leçons, à discerner et à percer à jour les personnes malfaisantes. Tel est le processus d’identification rapide et précise des divers personnes, évènements et choses qui provoquent des interruptions et des perturbations – voilà ce que signifie pour les dirigeants et les ouvriers faire ce travail. Le principal objectif de ce travail est d’identifier les divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église, et ensuite de résoudre le problème rapidement. C’est là ce que les dirigeants et les ouvriers peuvent accomplir. Quelles sont donc les manifestations des faux dirigeants dans ce travail ? Comment pouvons-nous disséquer et discerner les faux dirigeants ? Il est clair que les faux dirigeants ne peuvent pas identifier rapidement et avec précision les perturbations causées par des personnes malveillantes dans le travail de l’Église. C’est le problème le plus évident de l’exécution du travail de l’Église par les faux dirigeants – ils n’ont aucun discernement vis-à-vis des perturbations causées par les personnes malfaisantes dans le travail de l’Église. Pourquoi dire que les faux dirigeants ne peuvent pas identifier les problèmes ou percer à jour l’essence des problèmes ? Les actes de certaines personnes sont clairement des interruptions et des perturbations du travail de l’Église, mais les faux dirigeants ne peuvent pas discerner ou percevoir les problèmes ; ils sont aveugles. Certaines personnes répandent la négativité, induisent en erreur et perturbent les autres dans l’Église. D’autres forment des cliques, s’engagent secrètement dans des affaires louches et jugent régulièrement certaines personnes dans leur dos. D’autres encore se séduisent les uns les autres et flirtent inconsidérément. Les faux dirigeants font mine de ne pas voir ces choses ; ils ne sont absolument pas conscients de la gravité de ces problèmes et à quel point la poursuite de la vérité et l’accomplissement du devoir de beaucoup de personnes en seront affectés si ces problèmes ne sont pas résolus, ainsi que des conséquences qu’ils entraîneront, si bien qu’ils les ignorent. Lorsque certaines personnes remarquent des problèmes et les signalent à un faux dirigeant, celui-ci peut dire : « Ce sont tous des frères et des sœurs – qui ne révèle pas une certaine corruption ? Qui n’a pas d’émotions et de désirs ? Ne jugez pas et ne condamnez pas les autres à la légère ! » Aussi absurde, malveillante ou contraire à la vérité que puisse être quelque chose dans l’Église, le faux dirigeant ne le voit tout simplement pas. Certaines personnes, pendant les réunions, parlent systématiquement de manière négative, en disant des choses comme : « Ils n’arrêtent pas de dire que le jour de Dieu est proche – quand est-ce qu’il arrivera réellement ? » Certains frères et sœurs sont affectés par cela sans le savoir, mais quelle est la réponse du faux dirigeant ? Il considère que c’est une faiblesse normale et ne voit pas qu’il s’agit d’évacuer une négative qui fourvoie et perturbe les autres. Certains frères et sœurs sont clairement affectés dans l’exécution de leurs devoirs. Ils ne veulent plus prêcher l’Évangile et ne se joignent plus de manière positive ou proactive aux réunions. À chaque nouvelle réunion, il faut les appeler pour qu’ils y assistent. Pourtant, le faux dirigeant ne voit pas cela comme un problème. Il ne remarque pas les changements qui se produisent chez tous les membres de l’Église lorsque ce problème survient. Il se contente d’organiser mécaniquement des réunions par souci des conventions, sans se rendre compte de ce qui se passe en coulisses, des changements d’état des gens, des problèmes qu’ils rencontrent et de ceux qui en sont la cause, des principaux coupables, de ceux qui sont à l’origine des problèmes et des questions à résoudre – il ne perçoit rien de tout cela. Est-ce parce que sa vue est défaillante qu’il ne peut pas percevoir ces choses ? (Non.) Si sa vue n’est pas défaillante, comment se fait-il que lorsque des interruptions et des perturbations aussi graves, ainsi que des idées fausses aussi évidentes, apparaissent au sein de l’Église, il ne les voie pas ou ne les identifie pas ? De toute évidence, ce dirigeant est aveugle et manque de compréhension spirituelle. Certains diront : « S’il est vrai qu’il ne sait pas identifier ces problèmes, il sait lire les paroles de Dieu aux gens pendant les réunions. Indépendamment de la compréhension que tirent les gens de leur lecture, ou du fait qu’elle donne des résultats ou non, il persévère à lire les paroles de Dieu. Pour cette seule raison, il peut être considéré comme un bon dirigeant. » Il ne se concentre que sur la lecture des paroles de Dieu – si cela n’aboutit à aucun résultat, ne s’agit-il pas là que d’une simple routine ? S’ils ne peuvent pas résoudre de problèmes, quels sont les avantages que les gens peuvent gagner dans les réunions ? Donc, ce dirigeant est-il un faux dirigeant ? (Oui.) L’une des manifestations du faux dirigeant lorsqu’il accomplit ce travail est l’aveuglement. Il est aveugle – même si le problème est évident, devant lui ou autour de lui, il ne peut pas le voir ni l’identifier. En apparence, il peut sembler chérir les paroles de Dieu plus que la moyenne des gens, mais il ne comprend pas de quoi parlent les paroles de Dieu, les personnes auxquelles elles se réfèrent, ou les situations qu’elles abordent – il est incapable de mettre en rapport les paroles de Dieu avec la vie réelle. Par conséquent, autour de quelle compréhension échange-t-il ? Est-ce que cette dernière s’aligne sur la vérité ? Peut-elle résoudre des problèmes réels ? (Non.) Lorsqu’il prêche, il ne fait que débiter une rhétorique creuse, comme s’il avait une grande compréhension de la vérité, alors qu’il est incapable d’identifier les perturbations évidentes causées par des personnes malfaisantes dans l’Église, et qu’il se comporte plutôt comme si de rien n’était. Cela prouve-t-il qu’il comprenne la vérité et qu’il ait du discernement ? A-t-il une véritable compréhension des paroles de Dieu ? (Non.) S’il peut lire les paroles de Dieu normalement, pourquoi est-il incapable de les utiliser pour voir et résoudre les problèmes ? Pourquoi son esprit ne s’ouvre-t-il jamais lorsqu’il lit les paroles de Dieu ? Pourquoi ne lit-il pas les paroles de Dieu d’un cœur perspicace ? Quelle est la racine de ce problème ? Pourquoi est-il aveugle ? Quelle est la cause de son aveuglement ? (C’est parce qu’il n’a pas la capacité de saisir la parole de Dieu et qu’il est d’un calibre extrêmement faible.) C’est exact. Ce ne sont pas ses yeux qui sont aveugles, c’est son cœur qui est aveugle. Que signifie avoir un cœur aveugle ? Cela signifie être d’un calibre extrêmement faible et ne pas avoir la capacité de saisir les paroles de Dieu. Il a beau lire les paroles de Dieu, il ne les comprend que de façon superficielle. Il est incapable de les mettre en rapport avec les divers personnes, évènements, choses et situations qui se présentent dans l’Église, et il est incapable également de traiter, de gérer et de résoudre les différents problèmes conformément aux vérités-principes. Telle est la racine de son aveuglement – il est d’un faible calibre et il n’est pas capable de faire ce travail. Par conséquent, même s’il étudie avec diligence et s’entraîne avec rigueur, et même s’il travaille dur pour compenser la capacité qui lui fait défaut, peut-il remplir les responsabilités des dirigeants et des ouvriers ? Non. Ces gens-là sont tout à fait pitoyables. Ils ont beau s’armer de formules et de doctrines, ils sont incapables d’assumer les responsabilités des dirigeants et des ouvriers ni de mener à bien ce travail.

Nous venons d’échanger sur une manifestation de ces faux dirigeants, à savoir qu’ils ne peuvent pas voir que les agissements des personnes malfaisantes et des antéchrists causent des perturbations dans l’Église, ni percer à jour l’essence des personnes malfaisantes et des antéchrists. Lorsqu’ils sont confrontés à des situations dans lesquelles des personnes malfaisantes causent des interruptions et des perturbations, ils peuvent parfois remarquer un petit indice ou, que ce soit par leur expérience, leurs sentiments ou leur intuition, simplement sentir que quelque chose ne va pas, que l’expression de cette personne, son regard et ses paroles sont quelque peu anormaux. Ils peuvent avoir un certain sentiment, mais ils ne peuvent pas voir clair dans beaucoup de choses, et ils ne parviennent pas à identifier la plupart des problèmes. Quelle est la raison pour laquelle ils ne percent pas à jour l’essence des problèmes ? Il s’agit là d’une autre question. Ils sont tellement appliqués, en restant dans leur chambre toute la journée à écrire des sermons, à prendre des notes sur leurs dévotions spirituelles, à coucher sur le papier leur compréhension et les expériences qu’ils font des paroles de Dieu, à apprendre des hymnes, à se fixer un nombre de prières à faire, une quantité de paroles de Dieu à lire, et un nombre de sermons à écouter chaque jour, et le temps qu’ils doivent consacrer à écrire un article de témoignage d’expérience – ils mènent à terme toutes ces tâches, alors comment se fait-il qu’ils ne puissent toujours pas percer à jour les choses lorsqu’elles se produisent ? Ils ne comprennent pas la vérité. Ils ne savent que se gargariser de formules et de doctrines et sont incapables de résoudre les problèmes concrets. Certaines personnes ne cessent d’énoncer des formules et des doctrines pour induire les autres en erreur, et les faux dirigeants ne peuvent pas le voir. Bien qu’ils sentent parfois que quelque chose ne va pas, qu’il pourrait y avoir un problème, vu que ces personnes ne semblent pas malfaisantes, ils laissent quand même passer le problème d’une manière confuse. Ils ne sont pas capables de chercher les vérités-principes pour discerner de tels problèmes, et même s’ils ont lu les paroles de Dieu qui exposent les états et l’essence de ces personnes, ils ne savent pas comment les relier à ces situations. Leur esprit est flou et ils ne savent pas percer à jour ces choses. Lorsqu’ils veulent chercher, ils ne savent pas comment s’y prendre. Ils parlent longuement sans expliquer l’essence du problème et sans décrire clairement à quoi ressemblent l’ensemble des manifestations de ces personnes, à quoi ressemblent leur humanité, leur poursuite, l’accomplissement de leurs devoirs et leurs aspirations à se dépenser pour Dieu, ni à quoi ressemble leur attitude envers la vérité ni si ce sont des personnes qui acceptent la vérité. Ces faux dirigeants ne peuvent pas percer à jour ces questions ni les expliquer clairement. Même s’ils sentent qu’il y a un problème, ils bafouillent, disent tout un tas de choses, sans clarifier leur point de vue. Leur auditoire doit être capable de discerner, d’extraire les points clés et d’analyser leurs paroles afin de connaître les questions qu’ils posent, l’état général de la personne qu’ils décrivent, et finalement de déterminer l’essence de cette personne – si elle est malfaisante ou bien intentionnée, s’il s’agit de quelqu’un qui poursuit la vérité ou qui n’est qu’un simple exécutant. Lorsque tu demandes à un faux dirigeant de décrire un problème ou de soulever une question, il ne pourra jamais décrire clairement la racine et l’essence du problème ni son enjeu central. Bref, les faux dirigeants n’ont pas d’attitude particulière vis-à-vis des problèmes qu’ils ne peuvent pas percer à jour, et dans les situations où ils peuvent remarquer quelques indices, ils ne peuvent toujours pas percer à jour l’essence de ces problèmes. Même lorsque certaines personnes répandent de la négativité et propagent des notions, avec un impact négatif sur la vie d’Église, ils ne peuvent pas percer cela à jour. Ils ne peuvent pas percer à jour ou déterminer l’essence d’un problème ni en surface ni à son stade embryonnaire. Bien entendu, percer à jour l’essence d’un problème n’est pas une mince affaire. La chose la plus importante dans le travail de l’Église est de percer à jour l’essence des différentes personnes à partir des paroles de Dieu. Ceux qui comprennent la vérité peuvent y parvenir, mais ce n’est pas le cas des faux dirigeants et des faux ouvriers. Lorsqu’ils voient des antéchrists perturber le travail de l’Église, ils ne peuvent pas percer à jour l’essence du problème et vont même jusqu’à défendre les antéchrists en disant : « Ils révèlent simplement quelques tempéraments corrompus, et se montrent un peu arrogants, entêtés et arbitraires. Ils n’en sont pas moins capables d’endurer des souffrances en faisant leurs devoirs. Nous ne devrions donc pas les juger et les condamner ; nous ne devrions pas en faire toute une histoire. » D’autres demandent : « S’ils sont capables d’endurer des souffrances en faisant leurs devoirs, sont-ils des personnes qui poursuivent la vérité ? En coulisses, ont-ils incité, fourvoyé ou attiré d’autres personnes ? Se sont-ils exaltés eux-mêmes et ont-ils témoigné d’eux-mêmes ? » Les faux dirigeants ne peuvent pas voir clair dans ces questions. Il y a même des gens qui, sous couvert de témoigner de Dieu, salissent et blasphèment intentionnellement Dieu et répandent délibérément des rumeurs tout en disséquant et en parlant de connaître leurs propres notions à Son sujet. Après les avoir entendus faire cela, les faux dirigeants peuvent penser que ce qu’ils ont dit semble un peu étrange, mais ils ne peuvent pas voir clairement la gravité de la question, et encore moins l’impact négatif et les graves conséquences que ces paroles entraînent. Si bien que diverses interruptions et perturbations qui se produisent juste sous le nez des faux dirigeants passent complètement inaperçues, ou s’ils les remarquent, ils ne savent pas comment les caractériser ou comment établir des liens entre les paroles de Dieu et ces situations. Ces questions évidentes deviennent pour eux un désordre confus. Les faux dirigeants sont des imbéciles. Dans l’Église, ils ne peuvent pas discerner qui sont les gens qui poursuivent la vérité, et qui sont les vrais croyants capables d’accepter la vérité. Ils ne peuvent pas discerner les personnes qui ne poursuivent pas la vérité, mais qui sont encore capables de rendre service, et pour la plupart, prêtes à payer de leur personne et à agir selon les principes, qui sont relativement obéissantes et soumises, bien qu’elles prononcent parfois des paroles négatives. Ils ne peuvent pas non plus discerner les personnes qui jouent exclusivement des rôles négatifs, qui répandent la négativité, qui jugent les autres, et qui ont en permanence des notions sur tous les arrangements de travail de la maison de Dieu et sur les règles et les exigences liées à toutes les dimensions du travail dans la maison de Dieu, en adoptant une attitude de résistance plutôt que d’acceptation, et en étant particulièrement irrévérencieuses envers ces choses-là, au point même de les juger. En somme, les faux dirigeants ne peuvent percer à jour aucun type de personnes. Pire encore, dans l’Église, il y a des gens qui propagent régulièrement des notions, qui répandent de la négativité, et qui ne lisent même pas les paroles de Dieu pendant les réunions. Ils forment sans cesse des cliques et vivent dans la jalousie et les querelles. Il y a des gens qui veulent toujours être dirigeants, qui veulent toujours profiter de l’Église et qui veulent toujours s’emparer des biens de la maison de Dieu. Il y a aussi des gens qui semblent avoir un bon comportement en apparence, mais qui ne jouent aucun rôle positif dans leurs devoirs. Les faux dirigeants ne peuvent pas percer à jour ces personnalités négatives et ne peuvent pas les catégoriser. Ils ne peuvent pas voir clairement le chemin emprunté par ces personnes, quelle est leur essence et s’il s’agit de personnes qui acceptent la vérité. N’est-ce pas là un problème lié au calibre des faux dirigeants ? Ces faux dirigeants sont d’un calibre extrêmement faible. Tout ce qu’ils font est un véritable gâchis, et tout ce qu’ils entreprennent se termine dans la confusion la plus complète.

Certains dépensent les offrandes sans principes en achetant des objets pour la maison de Dieu, en faisant des achats arbitraires sans en demander la permission. Les faux dirigeants, voyant cela, disent même : « Bien qu’ils aient dépensé un peu plus d’argent, leurs intentions étaient bonnes. Lorsque nous achetons des choses pour la maison de Dieu, nous devons acheter ce qu’il y a de mieux ; ce n’est pas là gaspiller l’argent. N’est-ce pas ainsi qu’il faut utiliser les offrandes ? » Ces paroles sont-elles fondées sur des principes ? (Non.) Alors, de quel genre de paroles s’agit-il ? Ne sont-elles pas confuses ? Les paroles dénuées de principes sont des paroles confuses, et les paroles sans fondement sont elles aussi des paroles confuses. Certaines personnes énoncent fréquemment des formules et des doctrines au cours de la vie d’Église ; elles sont particulièrement éloquentes et parlent d’une manière structurée qui semble tout à fait organisée, et elles possèdent d’excellentes compétences oratoires. Que disent les faux dirigeants à propos de ces personnes ? « Notre vie d’Église repose entièrement sur Untel. C’est lui qui s’exprime le mieux et qui comprend le mieux les paroles de Dieu. Sans lui, la vie de notre Église serait incroyablement terne et inintéressante. » Ils sont loin de se douter que ces personnes ne font qu’énoncer des formules et des doctrines. Les gens ont beau les écouter, ils n’en gagnent aucune édification, ils ne comprennent pas la vérité, ni ne savent la relier à eux-mêmes pour comprendre leur état et résoudre leurs problèmes. Sous la flatterie et l’incitation des faux dirigeants, les gens qui énoncent des formules et des doctrines, les gens qui aiment être sous les feux de la rampe, et même les gens qui se perdent souvent en digressions dans leurs discours, qui divaguent à chaque réunion sur des sujets extravagants, absurdes et trop vastes, ont tous l’occasion de faire leur numéro. Les faux dirigeants sont incapables de les discerner et ils les considèrent même comme des personnes talentueuses, ils les flattent en leur disant : « Vous parlez si bien ; pourquoi n’écrivez-vous pas des articles de témoignage d’expérience ? Quel dommage ! » Dans l’Église, ces étudiants d’université, ces professeurs et ces intellectuels sont considérés comme des trésors par les faux dirigeants. Ils disent : « Ces intellectuels et ces professeurs sont des personnes talentueuses. Ils ont une grande expérience et une grande renommée dans la société. S’ils deviennent dirigeants ou ouvriers dans l’Église, nous pourrons faire plus de travail, et le peuple élu de Dieu pourra bénéficier de plus d’avantages et de gains. À l’avenir, le travail de l’Église reposera entièrement sur eux. Avec ces intellectuels à notre tête, notre foi en Dieu ne manquera pas de nous apporter des bénédictions. » Par conséquent, dans les Églises où de faux dirigeants sont présents, ceux qui ont un statut dans la société, ceux qui sont instruits, ceux qui sont éloquents, ceux qui parlent de manière creuse de formules et de doctrines, ceux qui ont un certain prestige, et ainsi de suite – toutes ces personnes qui n’ont aucune vérité-réalité – elles occupent des positions dominantes dans l’Église et sont traitées par les faux dirigeants comme les forces principales et même les soi-disant piliers de l’Église. Lorsque quelque chose se passe dans l’Église, les faux dirigeants disent : « Allez demander à Untel ; il a été PDG d’une entreprise », ou « Allez demander à Unetelle ; elle était professeure à telle université », ou « Allez demander à Untel ; il était à la tête d’un cabinet d’avocats ». Les faux dirigeants traitent ces personnes comme les piliers et les forces principales de l’Église. La vie d’Église peut-elle être bonne dans de telles circonstances ? (Non.) Alors, quel est le résultat ? Ces soi-disant forces principales et piliers se disputent secrètement ou même ouvertement pour leur statut, ils forment des cliques et répandent des notions et font courir des rumeurs régulièrement. Les frères et sœurs de l’Église qui sont de vrais croyants, qui aiment la vérité, qui peuvent accepter la vérité et qui ont une compréhension pure de la vérité sont souvent exclus et réduits au silence par eux. Ces soi-disant personnalités publiques distinguées, que ce soit lorsqu’elles font leurs devoirs ou lorsqu’elles entreprennent le moindre travail, n’ont aucune loyauté et n’agissent jamais conformément aux vérités-principes – elles suivent exclusivement les chemins de la société séculière. Si bien que dans une telle Église, ceux qui poursuivent vraiment la vérité, ceux qui ont une compréhension pure, et ceux qui possèdent une certaine humanité et le sens de la justice, n’ont pas d’espace pour parler, ils n’ont pas le droit de parler, et encore moins le droit de prendre des décisions. Quoi qu’il arrive dans l’Église, ceux qui prennent les décisions finales font toujours partie de ce groupe de soi-disant membres clés. Les faux dirigeants idolâtrent et croient aveuglément en ces personnes, de sorte qu’ils s’en remettent finalement à elles pour trouver des solutions chaque fois que quelque chose se produit. Si ces personnes poursuivaient la vérité et agissaient conformément aux vérités-principes, ce serait une bonne chose. Cependant, la plupart de ces gens-là ne poursuivent pas la vérité. Ils possèdent un certain savoir et un certain niveau d’études, ils ont un statut social, et qui plus est, une humanité sournoise et insidieuse, ce sont de beaux parleurs doués pour induire les autres en erreur. C’est là précisément la nature-essence des antéchrists. Quelle est la conséquence du fait que les faux dirigeants s’appuient sur ces personnes ? Ils désorganisent totalement le travail de l’Église et l’ordre de la vie d’Église, et ils anéantissent l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, si bien que l’Église en perd complètement son témoignage. Certains faux dirigeants aspirent à avoir une sommité dans l’Église qui comprenne la politique et l’actualité, en se disant : « S’il y avait une telle personne pour développer l’Église, renforcer son influence et améliorer sa réputation, le travail de diffusion de l’Évangile serait plein de promesses. Ce serait vraiment une raison de se réjouir ! » Dans les Églises contrôlées par de faux dirigeants, pendant la vie d’Église, certains parlent abondamment de la politique, de l’actualité, de la situation internationale et des affaires intérieures ; ils discutent de la vie privée des personnalités politiques de haut rang et analysent même les conspirations et les complots manifestes de ces personnalités politiques d’une manière claire et logique. Les faux dirigeants, bavant d’envie, disent : « Enfin, notre Église a une sommité pour nous aider à sauver les apparences ! Je me sentais constamment découragé, frustré, et je n’arrivais pas à garder la tête haute, parce que notre Église n’avait pas ce genre de sommité. Mais maintenant, nous avons une telle personne dans notre Église. Nous devrions donc laisser cette personne faire ce qu’elle veut et dire ce qu’elle veut, et lui donner la liberté. La maison de Dieu ne pratique-t-elle pas la liberté et les droits de l’homme ? L’ère du Règne ne met-elle pas l’accent sur les droits de l’homme ? » Les faux dirigeants considèrent comme de précieux trésors ceux qui aiment parler de politique et faire des commentaires sur les célébrités, ceux qui rabâchent régulièrement de belles idées creuses parmi les gens, pour les cultiver et en faire les piliers et les fondations de l’Église. Ainsi, ils les encouragent et les encensent régulièrement, de peur que cela n’affecte le travail de l’Église s’ils devenaient négatifs. Bref, ces faux dirigeants sont engourdis et aveugles. Ils ne peuvent pas identifier rapidement les différentes personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église. Même lorsqu’ils les identifient, ils ne peuvent pas percer à jour l’essence des personnes malfaisantes. Ils ne peuvent même pas percer à jour les personnes manifestement malfaisantes qui relèvent de la catégorie des antéchrists, telles que celles qui forment des cliques et établissent des royaumes indépendants. Lorsqu’ils voient des antéchrists former des cliques, se pavaner et faire tout ce qu’ils veulent de l’immense pouvoir qu’ils détiennent, comment les faux dirigeants les considèrent-ils ? « Cette personne est extraordinaire, elle est vraiment remarquable ! Je n’avais pas remarqué ce talent auparavant ; elle est bien meilleure que moi, elle me fait vraiment honte. Regardez ses capacités, elle est capable de prendre les choses en main comme de les laisser aller, elle parle de façon distinguée, et elle tient parole. Moi, en revanche, je ne suis pas bon, je suis comme une petite fille timide. » Ils admirent beaucoup les antéchrists, ils se prosternent devant eux et deviennent volontiers leurs disciples. L’une des caractéristiques de cette manifestation des faux dirigeants est l’aveuglement, et une autre est l’engourdissement. Dans l’ensemble, l’essence de ce problème avec les faux dirigeants, c’est leur calibre médiocre.

Les gens ont des yeux pour voir les choses. Après qu’une personne a vu quelque chose, son esprit réagit et émet des jugements, et après avoir forgé un jugement, elle développe un point de vue et gagne un chemin de pratique. Cela prouve qu’elle n’est pas aveugle – quoi qu’elle voie, elle a une réaction normale et sait comment faire face et le gérer. Il s’agit d’une personne dotée d’une pensée normale. Les gens suivent un processus de réaction à ce qu’ils voient ; ils méditent dessus et y réfléchissent plus ou moins. Au fur et à mesure que leurs pensées se développent, une image de la chose en question se forme progressivement dans leur esprit, et ils développent leurs propres points de vue, attitudes et approches. Mais alors, quelle est donc la condition préalable à la production de ces choses ? Les yeux d’une personne doivent être capables de voir les choses, puis de transférer les informations recueillies au cerveau et à l’esprit afin de les contempler. Dès lors qu’une personne peut voir les choses avec ses yeux, c’est qu’elle n’est pas aveugle, et qu’elle peut donc penser et réfléchir, avoir une conscience, des attitudes et des points de vue, et finalement tirer les bonnes conclusions. Bien sûr, il faut du temps pour arriver à ces conclusions. Que signifie avoir une conscience, des points de vue et des attitudes avant d’arriver à ces conclusions ? Cela signifie que l’esprit d’une personne est actif et non engourdi, prouvant par là que cette personne est vivante et non morte. Les faux dirigeants sont d’un calibre médiocre. En quoi sont-ils médiocres ? Les faux dirigeants n’ont aucune de ces deux qualités. Leurs yeux sont ouverts, mais ils ne voient pas les choses se produire ou se dérouler, et c’est là de l’aveuglement. De plus, lorsqu’ils voient les choses, leur esprit ne réagit pas, ils ne forgent aucun point de vue ni aucune pensée, et ils n’ont pas les moyens ou les bonnes façons de juger et donc tirer des conclusions. C’est ce qu’on appelle l’engourdissement de l’esprit. Les personnes engourdies d’esprit ne peuvent rien discerner, elles sont dépourvues d’évaluations correctes ou de jugements précis, et finalement, elles ne peuvent pas tirer les bonnes conclusions et ne savent pas comment aborder, traiter ou résoudre les questions qui se posent. C’est ce qu’on appelle l’engourdissement et l’abêtissement. Lorsqu’une personne est engourdie et abêtie dans son esprit au point de ne pas réagir du tout lorsque quelque chose se produit, c’est qu’elle est morte, telle est la description exacte de la situation. Laissons de côté pour l’instant la question de savoir si les faux dirigeants sont effectivement morts, et disons simplement qu’ils sont d’un calibre médiocre. À quel point est-il médiocre ? Quelle que soit l’importance d’un évènement, ils sont incapables de le voir, et même lorsqu’ils le voient, ils ne peuvent pas le percer à jour. Par exemple, quel que soit le temps de travail qu’ils y consacrent, les faux dirigeants ne parviennent pas à tirer de conclusions sur l’essence d’une question, sur la manière de la catégoriser, de la définir ou sur le fondement de sa définition ; ils ne savent pas comment évaluer ces choses et n’ont pas de normes ou de principes pour les évaluer. Ce sont des gens confus qui manquent de compréhension spirituelle. Telle est la principale manifestation des faux dirigeants dans la première tâche. Ils sont aveugles, stupides, idiots et engourdis, et n’en veulent pas moins toujours être dirigeants. Cela ne retarde-t-il pas les choses ? N’est-ce pas tout à fait problématique ? Lorsque quelqu’un qui n’a jusqu’alors jamais servi comme dirigeant rencontre quelque chose pour la première fois, et que l’affaire en question n’est pas mentionnée dans les paroles de Dieu et qu’elle est inconnue des gens – c’est-à-dire, s’ils n’ont aucune expérience ou connaissance en la matière –, dans de telles circonstances, il faudra du temps pour que cette personne développe des idées, des attitudes et des points de vue corrects. Mais pourquoi dit-on que les faux dirigeants sont engourdis et aveugles ? C’est parce qu’en dépit des innombrables paroles que J’ai prononcées, de toutes les choses que J’expose et dissèque, ou de tous les exemples que Je donne, les faux dirigeants ne se font une idée que sur ces questions elles-mêmes, une fois qu’ils ont entendu Mes paroles, et sans comprendre les vérités-principes qui en découlent. En outre, plus Je parle, plus ils deviennent confus. Ils disent : « Avec toutes ces questions, toutes ces paroles, tous ces récits, qui peut se souvenir de tout cela et faire le lien avec la vie réelle ? N’en dites pas trop, j’ai un peu de mal à tout assimiler et à comprendre. Dites-moi simplement comment traiter cette personne : faut-il l’expulser ou la garder ? » N’est-ce pas là de l’engourdissement ? C’est de l’engourdissement à l’extrême ! En fait, dire qu’elle est engourdie, c’est encore faire preuve d’une certaine souplesse à son égard, au motif que cette personne est peut-être jeune, ou peut-être peu instruite, ou peut-être très âgée et un peu confuse – le dire ainsi, c’est sauver son honneur. Mais en réalité, il s’agit d’un calibre médiocre et d’une incapacité à comprendre la vérité. Cette explication éclaircit les choses.

Si des interruptions et des perturbations graves se produisent dans l’Église et que les faux dirigeants ne peuvent pas percer à jour l’essence de ces problèmes, sont-ils aptes pour le travail de dirigeant ? Les frères et sœurs peuvent-ils être protégés sous leur direction ? Le travail de l’Église, l’environnement dans lequel les frères et sœurs font leurs devoirs et l’ordre normal de la vie d’Église peuvent-ils être protégés et maintenus ? Telles sont les choses les plus fondamentales que les dirigeants et les ouvriers doivent atteindre. Les faux dirigeants peuvent-ils atteindre ces choses ? Non. S’ils ne peuvent même pas identifier ou percer à jour les personnes, les évènements et les choses qui causent des interruptions et des perturbations, comment pourraient-ils passer aux étapes suivantes de leur travail ? Ils ne savent même pas discerner les choses les plus élémentaires, telles que quelqu’un de bien, quelqu’un de mauvais, quelqu’un de malhonnête ou un hypocrite – comment pourraient-ils s’occuper du travail de l’Église ? Ils en sont incapables. Ce n’est pas qu’ils ne fassent pas délibérément de réel travail, ou qu’ils soient paresseux et se complaisent dans les avantages du statut ; c’est simplement qu’ils sont d’un calibre médiocre et incapables de faire leur travail. Voilà l’essence du problème. Les personnes de très faible calibre ne savent que se gargariser de formules et de doctrines, et adhérer à des règlements ; pendant les réunions, elles ne savent qu’amadouer et exhorter les autres, en disant des choses telles que : « Croyez en Dieu comme il se doit ! Comment pouvez-vous vous laisser aller au confort charnel dans un moment pareil ? Comment pouvez-vous encore convoiter l’argent et les choses mondaines ? Dieu doit en avoir le cœur brisé ! » Elles ne savent que faire des sermons de ce genre. Lorsque divers actes malfaisants tels que des interruptions et des perturbations ou le fait de répandre la négativité se produisent, elles ne les voient pas et ne les identifient pas. Les frères et sœurs veulent vivre une vie d’Église normale, mais n’y parviennent pas, et ils veulent disposer d’un environnement approprié pour faire leurs devoirs, mais n’y parviennent pas non plus. Les faux dirigeants ne peuvent pas résoudre ces problèmes, alors à quoi servent-ils ? Les frères et sœurs veulent vivre la vie d’Église, comprendre la vérité et résoudre leurs difficultés et leurs états négatifs. Ils espèrent ardemment que les dirigeants et les ouvriers puissent échanger sur la vérité de manière claire et approfondie afin de résoudre ces problèmes concrets. S’il s’agit d’une Église où de faux dirigeants détiennent le pouvoir, ces problèmes concrets peuvent-ils être résolus ? Les faux dirigeants ne comprennent pas le cœur du peuple élu de Dieu, et ils ne sont pas non plus capables de voir ses difficultés. Au lieu de cela, ils continuent à énoncer des formules et des doctrines et à rabâcher de belles idées creuses, et plongent ainsi le peuple élu de Dieu dans une grande déception. Qui voudrait encore assister régulièrement aux réunions ? Les faux dirigeants peuvent-ils faire preuve de considération envers les intentions de Dieu, et renvoyer ces personnes malfaisantes, ces incrédules, ces opportunistes, et ces personnes malveillantes aux mœurs légères qui aiment les choses mondaines, et les renvoyer de l’Église conformément aux paroles et aux exigences de Dieu, pour mieux les empêcher d’interférer avec le peuple élu de Dieu et de le perturber, et permettre au peuple élu de Dieu de vivre une vie d’Église normale ? Les faux dirigeants peuvent-ils parvenir à faire cela ? Ils ne le peuvent pas. Lorsque quelqu’un fait une telle demande, que répondent les faux dirigeants ? « Que tu es exigeant ! Penses-tu que tu es le seul à aimer Dieu et à vouloir être loyal en faisant un devoir ? Qui ne le veut pas ? Eux aussi croient en Dieu et ont été choisis par Lui. Même s’ils ont des problèmes, nous devons les traiter correctement. Cesse de toujours chercher la faute chez les autres. Saisis-toi de cette occasion pour réfléchir et pour te connaître davantage ; tu dois apprendre à être tolérant et patient. » Les faux dirigeants sont confus et aveugles, ils n’ont pas de principes dans la manière dont ils traitent les différents types de personnes. Ils ne peuvent pas percer à jour ceux qui devraient être restreints ou exclus, et au contraire, ils tolèrent que ces personnes agissent à leur guise et se comportent comme des tyrans dans l’Église, ils leur font beaucoup de place pour agir, et cela crée le désordre dans l’Église, à tel point que dans certaines Églises la diversité atteint un niveau qui ne peut être qualifié que d’une seule manière : on y trouve à boire et à manger. Les personnes malfaisantes, les incrédules, les personnes aux mœurs légères, les petits tyrans, et même ceux qui vendraient l’Église et les frères et sœurs devant le moindre danger, tous sont mélangés dans ces Églises. Les faux dirigeants ne peuvent pas percer à jour ces gens-là, et ils ne les gèrent pas, ils ne s’occupent pas d’eux. Par conséquent, placé sous la direction de ces faux dirigeants aveugles et engourdis, le peuple élu de Dieu ne peut pas être protégé, et le travail de l’Église et l’ordre normal de la vie d’Église ne peuvent en aucun cas être maintenus. Comment ceux qui aiment la vérité et qui sont prêts à l’accepter peuvent-ils comprendre et gagner la vérité dans une vie d’Église aussi disparate ? Ces personnes-là ne ressentiraient-elles pas de la douleur dans leur cœur ? Lorsqu’un dirigeant d’Église est incapable de maintenir correctement le travail de l’Église, l’ordre normal de la vie d’Église, ou les environnements dans lesquels les frères et sœurs font leurs devoirs, ou qu’il est incapable d’assurer la sécurité de ces choses-là, c’est que ce dirigeant est sans aucun doute un faux dirigeant. Pourquoi lui donne-t-on le titre de faux dirigeant ? C’est parce que ces gens-là sont aveugles et engourdis, et que cela fait que des personnes malfaisantes interrompent et perturbent le travail de l’Église de façons répétées ; en outre, même lorsque cela a déjà eu des conséquences, ils restent incapables de gérer et de résoudre les problèmes rapidement et avec précision, et de maintenir correctement le travail de l’Église et la vie d’Église des frères et sœurs. Pour le dire gentiment, ces dirigeants ne sont pas compétents dans leur travail ; pour dire les choses de façon précise, ils manquent gravement à leurs devoirs. Bien qu’ils occupent des postes de dirigeant, ils protègent les intérêts des personnes malfaisantes et des laquais de Satan, tout en négligeant le travail de l’Église et l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu. Ils défendent et cautionnent les personnes malfaisantes qui interrompent et perturbent la vie d’Église, au détriment des frères et sœurs. Bien qu’à en juger par leur calibre et leurs manifestations, ils soient simplement médiocres de calibre et incompétents dans leur travail, et qu’on ne saurait les qualifier d’antéchrists, les conséquences de leurs agissements sur le travail de l’Église n’en sont pas moins graves. Leurs actes sont de même nature que ceux des antéchrists qui établissent des royaumes indépendants et oppriment les frères et sœurs. Les uns comme les autres protègent et cautionnent les personnes malfaisantes, et tolèrent que les laquais de Satan agissent à leur guise dans l’Église. C’est juste que les faux dirigeants ne font pas ouvertement et effrontément le mal et ne perturbent pas le travail de l’Église comme le font les antéchrists. Ils n’attirent pas intentionnellement les gens à eux et ne les poussent pas à leur obéir, mais au bout du compte, le résultat est le même que celui des antéchrists qui établissent des royaumes indépendants. Dans les deux cas, les frères et sœurs qui aiment la vérité et font sincèrement leurs devoirs sont blessés et dévastés, et se retrouvent sans aucun moyen de vivre. Dans un tel environnement et une telle vie d’Église, il est très difficile pour les frères et sœurs qui font sincèrement leurs devoirs de progresser dans la vie, et il est très difficile pour eux de faire leurs devoirs normalement. Naturellement, le travail de diffusion de l’Évangile et les diverses dimensions du travail de l’Église sont également grandement entravés et ne peuvent pas se poursuivre normalement. Telle est la première manifestation des faux dirigeants que nous disséquons dans le cadre de la douzième responsabilité : ne pas remarquer et ne pas être capable de percer à jour les personnes, les évènements et les choses qui se présentent autour d’eux. Cette manifestation suffit à définir ces personnes comme de faux dirigeants.

II. Les faux dirigeants ne s’occupent pas des personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église conformément aux principes

Pour ce qui est de la deuxième tâche décrite dans la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers, nous allons exposer et disséquer les manifestations des faux dirigeants. La deuxième tâche des dirigeants et des ouvriers consiste à recourir aux vérités-principes pour résoudre rapidement les problèmes une fois qu’ils sont identifiés. Cependant, les faux dirigeants sont également incompétents dans cette tâche. Par conséquent, la deuxième manifestation des faux dirigeants que nous allons disséquer est leur ignorance des principes dans la gestion de divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de la vie d’Église. Lorsqu’ils participent à la vie d’Église, les faux dirigeants mangent et boivent les paroles de Dieu et lisent les paroles de Dieu en priant, mais ils ne comprennent jamais ce que ces dernières signifient, ils ne saisissent jamais les principes de tout ce que Dieu dit, et ne connaissent pas les principes et les normes que Dieu exige dans divers domaines. Cela prouve d’autant plus que les faux dirigeants n’ont pas la capacité de saisir la vérité et qu’ils sont d’un calibre extrêmement médiocre. Certains diront : « Comment peux-tu dire que leur calibre est médiocre ? Ils cuisinent très bien, s’habillent avec élégance et ont le verbe agréable lorsqu’ils discutent avec les autres ; tout le monde aime les écouter. » L’apparence d’une personne peut-elle représenter son essence ? Le fait qu’elle se montre capable en apparence de bien faire certaines choses signifie-t-il qu’elle a un bon calibre ? Pour évaluer, mesurer et définir quoi que ce soit, il faut toujours se référer à une norme précise. Pour mesurer le calibre d’une personne, la norme est de savoir si sa compréhension des paroles de Dieu est pure. Dire que ces personnes sont de faible calibre fait principalement référence à leur manque de capacité à saisir la vérité. Le calibre d’une personne se mesure à l’aune de sa capacité à saisir les paroles de Dieu. N’est-ce pas là tout à fait objectif et juste ? (Si.) En tant qu’être créé, si tu es incapable de comprendre les paroles du Créateur, de quel calibre es-tu ? Es-tu pourvu d’un esprit en état de marche ? Une telle personne est dénuée de calibre humain ; son calibre est si faible qu’elle ne peut même pas comprendre les paroles de Dieu – une telle personne peut-elle gagner la vérité en tant que croyant en Dieu ?

À présent, nous allons échanger sur la deuxième manifestation des faux dirigeants et la disséquer. Les faux dirigeants ne savent pas comment s’y prendre avec ceux qui interrompent et perturbent le travail de l’Église et ils ne savent pas discerner les divers personnes, évènements et choses. Cela suffit à montrer que les faux dirigeants sont de faible calibre, qu’ils n’ont pas la capacité de saisir la vérité et qu’ils ne possèdent pas le calibre qui leur permettrait de saisir les paroles de Dieu. Par exemple, disons que quelqu’un se montre constamment réfractaire envers quiconque dirige. Les faux dirigeants peuvent aussi remarquer que cette personne a des problèmes et sentir qu’elle ressemble à une personne malfaisante et à un antéchrist. Ils peuvent détecter certains indices, ce qui n’est pas si mal. Mais si tu leur demandes : « Qu’est-ce qui te fait dire qu’elle a l’air d’un antéchrist et d’une personne malfaisante ? Y a-t-il des manifestations spécifiques qui le prouvent ? Peux-tu déduire qu’il s’agit d’un antéchrist et d’une personne malfaisante du simple fait qu’elle se montre constamment réfractaire envers le dirigeant, quel qu’il soit ? Cela ne suffit pas à la qualifier ; ce n’est là qu’une affaire de tempérament, un problème d’arrogance et de présomption. A-t-elle la nature d’un antéchrist ? Est-ce là quelqu’un qui a de l’aversion pour la vérité et qui hait la vérité ? A-t-elle perturbé le travail de l’Église ? A-t-elle condamné tous les dirigeants et ouvriers comme étant de faux dirigeants et des antéchrists ? S’est-elle livrée à l’une de ces choses ? », ils répondent : « Il semble que oui. » Alors, si tu demandes : « Comment devrions-nous alors les qualifier et les traiter ? », ils répondent qu’ils ne savent pas. Si tu demandes : « Devrions-nous donner des avertissements à ce genre de personnes et les exposer pour aider les frères et sœurs à gagner en discernement ? », ils ne savent toujours pas. Il s’agit là d’un cas d’ignorance et d’incapacité à percer à jour quoi que ce soit. Ils peuvent bien déceler quelques indices, mais ils ne savent pas comment qualifier ni comment s’occuper de ces personnes conformément aux principes. Peuvent-ils résoudre des problèmes concrets ? Peuvent-ils aider le peuple élu de Dieu à tirer des leçons ? Ces individus sont des personnes malfaisantes et des antéchrists, c’est pourquoi ils seront tôt ou tard expulsés. Cependant, si tu les exclus ou les isoles avant qu’ils ne commettent des actes malfaisants, ils réagiront avec une attitude de défi et les frères et sœurs n’arriveront pas à comprendre pourquoi tu as agi de la sorte. Il est donc nécessaire de les laisser agir pendant un certain temps. À mesure que leurs actes malfaisants deviennent plus évidents et lorsqu’ils commencent à diffuser des rumeurs et des idées fausses, à induire en erreur et à tenter de rallier les frères et sœurs, à rivaliser pour le pouvoir et l’influence, à établir un royaume indépendant et à tenter de saborder le travail de l’Église, la plupart des gens seront en mesure d’identifier clairement leur nature-essence, et donc de se lever pour les exposer, les discerner et les rejeter tout naturellement. C’est alors que tu pourras les exclure et t’occuper d’eux conformément aux vérités-principes. Ce n’est qu’en travaillant de la sorte que l’on aidera les frères et sœurs à développer leur discernement. Les faux dirigeants savent-ils gérer et résoudre les problèmes de cette manière ? Les faux dirigeants n’ont pas ce calibre et cette sagesse. Connais-tu un seul faux dirigeant capable de s’occuper rapidement des personnes malfaisantes et des antéchrists ? Pas un seul. Par conséquent, les faux dirigeants ne protégeront jamais les frères et sœurs des perturbations des personnes malfaisantes et du fourvoiement des antéchrists. Non seulement la plupart des faux dirigeants échouent à se connaître eux-mêmes après avoir été congédiés, mais encore, ils se plaignent beaucoup, ils maugréent en disant que la maison de Dieu est injuste envers eux, tout comme « on presse l’orange, et on jette l’écorce », en affirmant que les efforts qu’ils ont consentis n’ont pas été reconnus et qu’ils ont été lésés. Si tu les exposes comme étant de faux dirigeants, ils gardent une attitude de défi en se disant : « J’ai travaillé comme dirigeant pendant plusieurs années ; et même si je n’ai rien accompli, j’ai tout de même enduré des épreuves. Pourquoi ai-je été congédié ? C’est comme presser l’orange et jeter l’écorce ! » Quelle que soit la manière dont tu les exposes, ils gardent une attitude de défi. Ils disent même : « Lorsque j’ai découvert un antéchrist, cela m’a rendu si anxieux que j’en avais régulièrement des aphtes et que j’en dormais mal. Comment aurais-je pu supporter un tel fardeau si je n’étais qu’un faux dirigeant ? » Ils n’ont rien fait du travail nécessaire, ils en étaient incapables et ils ne savaient même pas ce qu’il fallait faire, et pourtant ils parviennent tout de même à s’admirer. N’est-ce pas problématique ? C’est tout à fait écœurant !

Quant aux divers problèmes qui surgissent dans l’Église, les faux dirigeants savent parfaitement qu’ils sont de nature à causer des interruptions et des perturbations dans le travail de l’Église, mais ils les ignorent. Lorsqu’ils voient des problèmes évidents, ils se contentent de faire le minimum et ils n’osent pas exposer l’essence cruciale des problèmes. Ils se contentent de faire quelques insinuations et exhortations en prêchant la doctrine sans aborder les problèmes de manière substantielle, rien de plus. Lorsqu’ils tombent sur des personnes malfaisantes et des antéchrists, ils sont désemparés et adoptent une attitude d’indifférence, comme si cela n’avait rien à voir avec eux. Ils ne connaissent pas la manière la plus appropriée de traiter ces questions, ils ne savent pas quoi dire pour résoudre les problèmes, ils ne savent pas comment protéger les frères et sœurs, et ne portent aucun fardeau. Tout ce qu’ils ont, c’est un peu de bonne volonté : « Je sais que tu es une personne malfaisante. Je ne te laisserai pas perturber les frères et sœurs et leur nuire. Tant que j’occupe ce poste, j’ai l’obligation de protéger les frères et sœurs et de m’acquitter de ma responsabilité jusqu’au bout. » À quoi cela sert-il ? As-tu résolu le problème ? Pendant que tu cèdes à l’anxiété, les antéchrists resteront-ils inactifs ? Cesseront-ils de perturber le travail de l’Église ? Lorsqu’ils verront que tu es un dirigeant inutile et lâche, un bon à rien dépourvu de sagesse et sans la moindre capacité de travail, ils ne te prendront certainement pas au sérieux. La plupart des antéchrists et des personnes malfaisantes sont particulièrement rusés et insidieux. Ils induisent en erreur et perturbent les frères et sœurs, et tu n’as aucun moyen de les stopper ou de les restreindre. Tu ne sais pas non plus à qui demander de l’aide pour résoudre les problèmes ; tu es simplement anxieux et agité, et tu pleures en priant. Tu as vraiment l’air pitoyable ; il semble que tu fasses preuve de beaucoup de considération envers les intentions de Dieu et que tu te soucies énormément des frères et sœurs. Tu ne sais même pas comment t’y prendre même avec des personnes aussi manifestement malfaisantes que les antéchrists. Tu es incapable de disséquer les actes et les comportements des antéchrists à l’aune de la vérité, tout comme d’exposer publiquement les intentions, les motivations et les comportements des antéchrists pour aider les frères et les sœurs à développer leur discernement. Tu ne sais rien faire de tout cela. Certains faux dirigeants disent même : « Personne ne doit exposer les antéchrists, car si les frères et sœurs savent qu’ils le sont et les évitent, les antéchrists se vengeront. » N’est-ce pas là être lâche et inutile ? Ces gens-là peuvent-ils s’occuper du travail de l’Église ? Peuvent-ils protéger les frères et sœurs afin qu’ils puissent mener une vie d’Église normale ? Quelle sorte de méthode de résolution des problèmes est-ce là ? Tant qu’il ne se passe rien, ils peuvent prêcher des doctrines sans fin, mais dès que quelque chose se produit, ils sont désorientés, confus et juste bons à pleurer. Ne sont-ils pas des lâches sans aucune utilité ? En voyant les frères et sœurs induits en erreur par des antéchrists et perturbés par des personnes malfaisantes, ils sont désemparés et ne savent pas comment réagir. Ils ne savent même pas faire ce qu’il y a de plus élémentaire, à savoir s’unir avec les frères et sœurs de l’Église qui ont un minimum de sens de l’intégrité, de l’humanité, et qui peuvent accepter la vérité, afin d’échanger avec eux, de recourir aux paroles de Dieu pour résoudre ces problèmes et exposer et discerner les antéchrists. Un tel individu n’est-il pas un bon à rien ? (Si.) Certains faux dirigeants sont trop prudents, lâches et inutiles. Dans quelle mesure sont-ils lâches et inutiles ? Lorsque des personnes malfaisantes viennent interrompre et perturber le travail de l’Église, en parlant de manière particulièrement dure et présomptueuse, ils sont tellement effrayés qu’ils en tremblent, en se disant : « Je n’ose pas m’occuper de ces gens. Ils sont dangereux, ce sont des personnes malfaisantes dans le monde. Si je les expose pour protéger les frères et sœurs, ils trouveront certainement quelque chose contre moi et se vengeront. Comment pourrais-je alors rester dirigeant ? Ils savent où j’habite. Vont-ils s’en prendre à ma famille ? Vont-ils me dénoncer parce que je crois en Dieu ? » De tels faux dirigeants ne peuvent pas assumer le travail de l’Église. Leur peur excessive les embourbe dans l’inaction ; et ils ne peuvent naturellement pas comprendre les principes de gestion de tels problèmes et de telles personnes. Toute personne identifiée comme interrompant et perturbant le travail de l’Église n’est pas quelqu’un qui commet une erreur occasionnelle. C’est bien plutôt que son humanité est si mauvaise qu’elle est constamment en train de commettre des méfaits inconsidérés et de nombreux actes malfaisants. Il ne fait pas de doute que ces gens-là ont l’essence des personnes malfaisantes. La gestion des personnes malfaisantes suppose également des méthodes avisées. Tu dois considérer le contexte et l’environnement, ainsi que les actes auxquels les personnes malfaisantes pourraient s’adonner après que l’on se soit occupé d’elles et si cela risque de causer des problèmes à l’Église. Ce n’est qu’en considérant attentivement ces aspects que tu peux traiter la question d’une manière appropriée, conforme aux vérités-principes et en faisant preuve de sagesse. Ceux qui comprennent la vérité saisiront inconsciemment les principes en traitant ces questions. En faisant ce travail, ils comprendront progressivement la façon de traiter diverses personnes, développeront des moyens et des méthodes, et auront de la sagesse dans leur cœur. Mais les faux dirigeants sont totalement dépourvus de ces moyens, de ces méthodes et de cette sagesse. Cela tient au fait qu’ils ne font pas preuve de considération envers les intentions de Dieu ; ils ne considèrent pas si le travail de la maison de Dieu sera affecté, ou si les dirigeants et les ouvriers seront confrontés à un danger. C’est parce qu’ils ne considèrent pas ces choses qu’ils traitent les affaires sans principes et surtout sans sagesse. Les faux dirigeants ne savent pas gérer ces problèmes et n’en tirent pas de leçons, ce qui prouve qu’ils ne sont pas disposés à apprendre, qu’ils sont incompétents, qu’ils négligent les vraies tâches et qu’ils sont incapables de faire le moindre travail. Lorsqu’ils voient des personnes malfaisantes et des antéchrists faire le mal et causer des perturbations, ils n’exposent pas ces personnes et ne résolvent pas les problèmes. Ils n’ont de considération que pour la protection de leurs propres intérêts, sans se soucier du travail de l’Église ou de l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie. Certains faux dirigeants malmènent les faibles tout en craignant ceux qui sont plus forts qu’eux ; ils malmènent sans relâche et font étalage de leur puissance devant ceux qui sont plus ou moins dociles, mais lorsqu’ils rencontrent des personnes malfaisantes et des antéchrists, ils ne sont que sourires et flatteries. Dieu peut-Il aimer de tels faux dirigeants et faux ouvriers dépourvus de principes ? Absolument pas. La maison de Dieu peut-elle cultiver des gens qui malmènent les faibles et craignent les forts et qui n’ont aucun sens de l’intégrité, pour en faire des dirigeants et des ouvriers ? Absolument pas ! Ces gens sont tous des incrédules et des non-croyants qui n’ont ni conscience ni raison et qui n’acceptent pas du tout la vérité, et la maison de Dieu ne veut pas d’eux.

Quand des problèmes surviennent dans le travail d’un faux dirigeant, sa réponse est toujours de fuir sa responsabilité. Sa phrase la plus courante est : « J’ai échangé avec eux. » Il entend par là : « J’ai dit tout ce qu’il fallait, donc c’est leur responsabilité si quelque chose va mal. Je n’ai rien à voir avec ça. » C’est pourquoi la phrase « J’ai échangé avec eux » est un talisman et une devise pour les faux dirigeants. Si un faux dirigeant voit qu’un antéchrist ne connaît d’autre loi que la sienne, qu’il agit sans raison et qu’il cause une perturbation dans l’Église, ce dirigeant utilise également la méthode de l’échange et de l’assistance. Après avoir dit quelques paroles d’encouragement et d’avertissement, il suppose que l’antéchrist sera obéissant et soumis, et qu’il ne fourvoiera plus les gens et ne perturbera plus la vie d’Église. N’est-ce pas là une supposition insensée ? Utiliser une approche aussi insensée pour restreindre les perturbations des antéchrists, voilà comment fonctionne le faux dirigeant, et c’est véritablement ce qu’il y a de plus insensé ! Le faux dirigeant ne fait rien d’autre que se lancer aveuglément dans un travail très prenant. Il ne fait que s’occuper d’affaires d’ordre général tout en étant incapable d’accomplir un travail fondamental. Il n’abreuve pas ceux qui sont capables d’accepter la vérité, il ne restreint pas ceux qui perturbent et dérangent, et il ne se débarrasse pas de ceux qui commettent des méfaits de façon inconsidérée et refusent de changer malgré de multiples remontrances. En particulier, ils ne prêtent pas attention à la manière dont les antéchrists font le mal et causent des perturbations. Ils ne les exposent pas, ne les discernent pas, ne les excluent pas et ne les expulsent pas non plus, permettant ainsi aux antéchrists de faire le mal et de perturber le travail de l’Église. Ils ne pourraient pas y être plus indifférents et pensent que les actes malfaisants des antéchrists n’ont rien à voir avec eux. Dans leur travail, les faux dirigeants ne sont capables que de faire les choses machinalement ; ils s’occupent un peu des affaires courantes, puis se disent qu’ils ont fait un réel travail et qu’ils respectent les normes en tant que dirigeants. Quelles que soient les personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église, ils se contentent de leur rabâcher quelques doctrines, de leur assener quelques exhortations et rappels, puis se disent que le problème est résolu. Ils s’affairent toute la journée, à s’occuper de petites et de grandes choses, et considèrent qu’ils font du bon travail. Ils se vantent même en disant : « Regardez notre Église. Tout le monde est employé à bon escient : ceux qui savent prêcher l’Évangile prêchent l’Évangile, ceux qui savent faire des vidéos font des vidéos, ceux qui savent chanter enregistrent des hymnes – notre vie d’église est florissante ! » Cependant, ils ne voient pas du tout les nombreux problèmes cachés dans l’Église. Ils n’osent pas s’occuper des personnes malfaisantes et des incrédules qui perturbent constamment la vie d’Église, si bien qu’ils les ignorent. Ils ferment les yeux sur les antéchrists qui agissent à leur guise, chacun d’entre eux essayant d’attirer les gens à lui et de former son propre petit groupe. Ils sont incapables de répondre aux nombreuses questions soulevées par les nouveaux croyants qui ont faim et soif de justice. Au lieu de trouver les moyens de résoudre ces problèmes réels, les faux dirigeants s’efforcent systématiquement de les éviter, tout en prétendant que « la vie d’Église est florissante ». N’est-ce pas là faire œuvre de simulacre et d’imposture ? Les faux dirigeants laissent ainsi les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists dans l’Église, sans les exclure ni s’occuper d’eux, ce qui permet à ces derniers de commettre des méfaits de façon inconsidérée et de mettre la vie d’Église sens dessus dessous, tout en faisant semblant de ne pas le voir. Ces faux dirigeants-là sont d’une cécité extrême ! Ils font office de parapluie protecteur pour les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists, et en tirent même un sentiment de fierté, pensant que ne pas exclure ces dégénérés, c’est faire preuve d’amour et de protection à l’égard du peuple élu de Dieu. N’est-ce pas là interrompre et perturber le travail de l’Église ? N’est-ce pas là résister intentionnellement à Dieu et aller à Son encontre ? Mais les faux dirigeants n’en sont absolument pas conscients. Si tu leur demandes si ces problèmes réels ont été résolus, ils répondent : « Je les ai émondés ; j’ai échangé avec eux », ce qui sous-entend que les problèmes sont résolus et que cela ne les concerne plus. N’est-ce pas là fuir ses responsabilités ? Pour le faux dirigeant, si quelqu’un commet une faute, dès lors qu’il émonde l’auteur de la faute de manière superficielle et qu’il lui fait quelques rappels et exhortations, son travail est terminé, et c’est comme s’il avait résolu le problème. N’est-ce pas faire preuve de fourberie ? Les faux dirigeants ne parviennent manifestement pas à exclure rapidement les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists, et ils lancent alors des excuses spécieuses, en disant : « J’ai échangé sur la parole de Dieu avec eux, ils ont tous reconnu ce qu’ils ont fait et ont éprouvé du remords, et ils ont tous pleuré et dit qu’ils se repentiraient définitivement et qu’ils ne tenteraient plus d’établir leur propre royaume indépendant. » Ces faux dirigeants ne se leurrent-ils pas, comme des enfants qui jouent à la dinette ? Ces incrédules, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists sont tous des gens qui ont de l’aversion pour la vérité. Aucun d’entre eux n’accepte le moins du monde la vérité, et ils ne sont pas les cibles du salut de Dieu ; ils sont plutôt les cibles de la détestation et de la haine de Dieu. Mais les faux dirigeants traitent ces incrédules, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists comme des frères et des sœurs et les aident avec amour. Quelle est la nature du problème ici ? Est-ce la bêtise et l’ignorance qui les empêchent de voir clairement ces gens-là, ou bien essaient-ils de leur plaire par crainte de les offenser ? Quelle qu’en soit la raison, ce qui importe le plus, c’est que les faux dirigeants ne font pas de réel travail, et qu’ils n’acceptent pas la vérité et ne reconnaissent pas leurs erreurs lorsqu’ils sont émondés. Cela suffit à montrer que les faux dirigeants ne possèdent aucune vérité-réalité. Ils ne travaillent pas conformément aux arrangements de travail de la maison de Dieu, et notamment en matière de travail de purge de l’Église, ils agissent de manière superficielle. Ils se contentent de faire le minimum en excluant quelques personnes manifestement malfaisantes. Lorsqu’ils sont exposés et émondés, ils trouvent même diverses raisons et excuses pour se soustraire à leurs responsabilités et plaider en leur faveur. Par conséquent, un faux dirigeant qui ne fait aucun travail réel est une pierre d’achoppement qui empêche l’accomplissement de la volonté de Dieu. Les faux dirigeants se contentent de gérer quelques affaires courantes et superficielles, ce qui n’a aucune valeur. Ils ne résolvent jamais les divers problèmes qui se posent dans l’Église, ils les évitent, tout simplement. Cela retarde non seulement le déroulement normal du travail de l’Église, mais affecte également l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie. En termes clairs, les faux dirigeants interrompent et perturbent le travail de l’Église et font office de parapluies protecteurs pour les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists. Au moment critique du combat spirituel, ils se rangent du côté des personnes malfaisantes et des antéchrists pour résister à Dieu et Le tromper. N’est-ce pas là une manifestation de trahison envers Dieu ? À en juger par les opinions et les comportements des faux dirigeants, il est clair que ce ne sont tout simplement pas des personnes qui poursuivent la vérité, qu’ils ne comprennent pas du tout la vérité et qu’ils sont complètement incapables de faire le travail d’un dirigeant.

Les faux dirigeants ne traitent pas les gens en fonction des paroles de Dieu, mais selon leurs propres préférences. Ils agissent sans aucun principe, en ne faisant que ce qu’ils veulent. Lorsqu’ils voient des antéchrists perturber l’Église, les faux dirigeants ne les haïssent pas. Ils croient qu’en faisant lecture de certaines des paroles de Dieu aux antéchrists ils pourront restreindre leurs interruptions et leurs perturbations. Quel genre de personnes sont les antéchrists ? Ce sont des démons, ce sont des Satans ! Quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient en Dieu, les antéchrists n’acceptent pas du tout la vérité et peuvent interrompre et perturber le travail de l’Église et perturber l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie. Ce sont des démons et des Satans bien réels. Les faux dirigeants espèrent que les antéchrists auront des remords et qu’ils changeront d’avis en leur lisant quelques passages des paroles de Dieu. N’est-ce pas extrêmement stupide ? Les gens comme les antéchrists n’acceptent pas du tout la vérité. Quel que soit le nombre d’actes malfaisants qu’ils commettent, ils ne réfléchiront pas et ne se connaissent pas eux-mêmes et, quel que soit le nombre d’erreurs qu’ils font, ils ne les reconnaitront pas. Ce sont des misérables destinés à l’enfer, pourtant, les faux dirigeants pensent que la lecture de quelques passages des paroles de Dieu et quelques mots d’exhortation peuvent les faire changer – n’est-ce pas là un vœu pieux ? Si l’humanité corrompue pouvait si facilement accepter la vérité, Dieu n’aurait pas besoin d’accomplir l’œuvre du jugement et du châtiment. Pourquoi Dieu prononce-t-Il tant de paroles et exprime-t-Il tant de vérités dans Son œuvre ? C’est parce qu’il n’est pas facile de sauver les gens, parce que les difficultés des gens sont trop nombreuses et leur rébellion trop grande ! Seuls ceux qui peuvent accepter la vérité peuvent être sauvés. Ceux qui ont de l’aversion pour la vérité et qui la haïssent ne peuvent pas être sauvés. Cependant, les faux dirigeants croient qu’en tenant des discours sévères aux incrédules, aux personnes malfaisantes et aux antéchrists, ces individus auront des remords et arriveront à se connaître, et que s’ils leur disent ensuite des paroles d’exhortation et de réconfort, ils se repentiront et pourront ainsi rester concentrés sur l’exécution de leurs devoirs, devenir loyaux et opérer un changement de tempérament, transformant ainsi les antéchrists en brebis dociles. N’est-ce pas là une idée insensée ? Cette idée est parfaitement insensée ! Elle s’apparente aux divagations d’un fou – comment les choses pourraient-elles être si simples ! Voilà plus de trente ans que Dieu accomplit l’œuvre du jugement et quel degré de connaissance de soi et de transformation ont atteint les gens ? Seule une minorité de personnes a obtenu quelques résultats. Ceux qui n’aiment pas la vérité, quel que soit le nombre de sermons qu’ils écoutent, comprennent tout au plus quelques doctrines. Leur tempérament-vie n’a pas changé du tout, et il est rare qu’ils donnent à voir de bons comportements et de bonnes actions. Quel genre de personnes sont-ils ? Ce sont des gens qui se rassasient de pain – ils n’acceptent pas du tout la vérité. Ils se concentrent uniquement sur la jouissance de la grâce de Dieu et ne poursuivent que les bénédictions ; ils ne sont rien d’autre que des bêtes déguisées ! Les gens ont été profondément corrompus par Satan ; ils sont emplis de tempéraments corrompus, et leurs os et leur sang sont imprégnés des poisons de Satan. S’ils ne peuvent pas accepter la vérité ou le jugement et le châtiment de Dieu, comment pourraient-ils véritablement se soumettre à Lui ? Comment pourraient-ils faire leurs devoirs avec loyauté ? Comment pourraient-ils craindre Dieu et s’éloigner du mal ? Se peut-il que l’atteinte du salut soit aussi simple que ce que les gens imaginent ? Satan a corrompu les gens durant plusieurs milliers d’années, au point qu’ils sont devenus des démons. Désormais, Dieu est venu pour les sauver et, quelle que soit la quantité de paroles qu’Il prononce, transformer les gens devenus des démons en véritables êtres humains est une tâche incroyablement difficile. Non seulement Dieu doit exprimer de nombreuses vérités, mais les gens doivent également faire tout leur possible pour coopérer en poursuivant, en acceptant et en pratiquant la vérité – c’est seulement alors qu’ils pourront se libérer de l’influence de Satan et atteindre le salut de Dieu. Dieu a dit un jour : « Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus. » Bien que de nombreuses personnes croient en Dieu, seules celles qui font réellement l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu, et qui se soumettent pleinement à Son œuvre, peuvent être purifiées et rendues parfaites. Ces incrédules, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists qui n’acceptent pas la moindre parcelle de la vérité ont de l’aversion pour la vérité dans leur cœur ; ils n’atteindront jamais le salut de Dieu, et ils ne peuvent qu’être révélés et éliminés par l’œuvre de Dieu. Les faux dirigeants n’ont aucune compréhension de l’œuvre de Dieu. Ils pensent à l’œuvre de Dieu qui consiste à sauver les gens en des termes si simples qu’ils sont convaincus qu’en lisant quelques-unes des paroles de Dieu aux personnes malfaisantes et aux antéchrists et en leur tenant des discours d’émondage sévères ils se repentiront, changeront et deviendront loyaux dans l’exécution de leurs devoirs. Quel est le problème ici ? En plus de ne pas poursuivre la vérité et de ne pas la comprendre, il y a le fait que les faux dirigeants sont d’un calibre extrêmement médiocre ; si bien qu’ils n’ont aucune compréhension de l’œuvre de Dieu et de la façon dont Il sauve les gens. Pour voir quelle est l’essence d’une personne, si elle a la vérité-réalité et comment elle devrait être traitée, il est nécessaire de considérer son calibre et son attitude envers la vérité – tu dois observer quelle est sa compréhension de la vérité et si elle est capable d’accepter la vérité. Donc, sur quoi se fonde-t-on pour estimer si une personne peut saisir la vérité ? Cela dépend principalement de la qualité de son calibre et de la pureté de sa compréhension des paroles de Dieu. Arrivées à l’âge de cinquante ou soixante ans, certaines personnes n’arrivent toujours pas à voir l’essence et la réalité de la corruption de l’humanité. Elles s’imaginent encore que la société humaine est belle et veulent vivre en paix et en harmonie avec les autres. N’est-ce pas extrêmement stupide et naïf ? Si le fait de croire en Dieu pouvait transformer tout le monde en de bonnes personnes, y aurait-il besoin de l’œuvre du jugement et du châtiment de Dieu pour sauver les gens ? Les faux dirigeants ne se fondent pas sur les paroles de Dieu pour déterminer ce que sont vraiment les diverses personnes, mais uniquement sur leur comportement apparent et sur leurs impressions personnelles. Ils font également leur travail de façon très superficielle, à la manière des enfants qui jouent à la dinette. Ils pensent qu’ils peuvent parfois trouver les bonnes paroles de Dieu à appliquer à une situation donnée, et qu’il suffit de lire quelques-unes des paroles de Dieu aux gens pour les faire changer : « Regardez, sous ma direction, à mon exhortation et avec mon aide bienveillante, les paroles de Dieu ont eu un effet sur les gens. Ils ne veulent plus être des antéchrists, et ils sont prêts à changer leur point de vue sur la croyance en Dieu. Ils rivaliseront plus pour le pouvoir et le profit, et ils n’établiront plus de royaumes indépendants, ils ne perturberont plus le travail de l’Église, ils n’induiront plus les frères et sœurs en erreur et ils ne les attireront plus à eux ! » Es-tu capable de les restreindre ? Tu ne pourras jamais restreindre les véritables personnes malfaisantes qui causent des interruptions et des perturbations. Ils ont l’essence des personnes malfaisantes et c’est pourquoi ils commettent des actes malfaisants à toute heure du jour et de la nuit ; chaque fois qu’ils en ont l’occasion, ils font le mal. Trouves-tu qu’il soit acceptable que tu ne les exclues pas de l’Église ? Vont-ils cesser volontairement leurs actes malfaisants ? Ce ne sont pas des humains, ce sont des démons et des Satans ! Depuis combien d’années le diable Satan résiste-t-il à Dieu ? Il résiste encore à Dieu à ce jour. Les antéchrists et toutes sortes de personnes malfaisantes qui interrompent et perturbent l’œuvre de Dieu et l’ordre normal de l’Église sont des démons et des Satans bien réels ; ce sont des ennemis dans la vie concrète. Peuvent-ils changer leur essence sous l’effet de quelques-unes de tes paroles ou de ton cœur bienveillant ? Tu es tellement stupide ! Tu penses pouvoir sauver les gens du péché simplement parce que tu comprends un peu de doctrine ? Peux-tu les sauver ? Ils sont destinés à l’enfer, et toi tu penses que quelques mots gentils pourront les changer. Est-ce si facile ? Si les gens étaient si faciles à sauver, Dieu n’aurait pas besoin de prononcer autant de paroles ou d’accomplir l’œuvre du jugement et du châtiment. Aurait-Il besoin de passer autant de temps et de se donner tant de mal pour sauver les gens ?

Aujourd’hui, dans l’Église, diverses personnes ont déjà été révélées et regroupées en différentes catégories. Chacun devrait être classé dans sa catégorie, et il existe des principes et des décrets administratifs dans la maison de Dieu qui régissent la manière de traiter et de gérer ces différents types de personnes. Dieu a de la patience et de la tolérance, de la miséricorde et de l’amour bienveillant, ainsi qu’un tempérament juste – mais n’oubliez pas que Dieu a aussi de la colère et de la majesté. Certains diront : « Dieu veut que chaque personne soit sauvée et ne veut pas que quiconque soit en perdition. » C’est vrai, mais Dieu désire que « toute personne » soit sauvée, et non pas chaque chose ou chaque démon. Lorsque des personnes sont en perdition, Dieu éprouve de la tristesse et du chagrin. Lorsque des démons sont en perdition, c’est leur fin légitime et leur punition méritée ; Dieu ne s’afflige pas pour eux. Telle est le tempérament de Dieu et Son principe dans Ses rapports avec les gens. Les gens ne cessent de vouloir contredire Dieu en pensant que ces incrédules, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists sont aussi des humains. Ils croient que ceux qui interrompent et perturbent constamment le travail de l’Église sont aussi des humains, que ceux qui rivalisent pour un statut et établissent des royaumes indépendants sont aussi des humains, et que ceux qui s’adonnent constamment à la promiscuité sont aussi des humains. Ils classent tous ces types diaboliques dans le peuple élu de Dieu. N’est-ce pas absurde ? Cela ne va-t-il pas à l’encontre de ce que Dieu désire ? Comme leurs points de vue sur les choses contredisent complètement les paroles de Dieu et la vérité, leurs opinions sur les diverses personnalités négatives, les démons et les Satans s’opposent entièrement aux paroles de Dieu dont elles diffèrent grandement. Dieu n’a jamais traité les démons qui suivent Satan comme des humains. Comment Dieu définit-Il ces gens-là ? Ce sont des laquais du diable Satan, ce sont des bêtes. Les faux dirigeants, par leurs bonnes intentions et leur amour confus, et poussés par leurs propres vœux pieux, traitent ces incrédules, ces démons et ces laquais de Satan comme des frères et des sœurs. Ainsi, ils leur témoignent beaucoup d’amour et de gentillesse en les aidant et en les soutenant constamment. En conséquence, à cause des faux dirigeants qui étendent leur soutien, leur aide et leur direction à ces gens-là, les vrais frères et sœurs, ceux que Dieu veut sauver, sont gravement perturbés ; la vie d’Église n’arrive jamais à prendre le bon chemin, et les frères et sœurs n’arrivent jamais à manger et à boire normalement les paroles de Dieu et à échanger sur la vérité sans aucune perturbation de la part des personnes malfaisantes. N’est-ce pas là « l’accomplissement » des faux dirigeants ? Leur « accomplissement » est tout à fait significatif : non seulement ils ne protègent pas les frères et sœurs, mais ils accordent également un respect et une protection injustifiés à ces personnes malfaisantes et à ces antéchrists. N’est-ce pas là perturber le travail de l’Église ? La nature des agissements de ces faux dirigeants relève de la perturbation, alors même qu’ils pensent maintenir le travail de l’Église, aider et soutenir le peuple élu de Dieu. Comment Dieu voit-Il ces agissements de faux dirigeants ? Dieu les déteste, Il les déteste tout particulièrement ! Les faux dirigeants ne font pas de réel travail et se concentrent sur la protection des personnes malfaisantes, et se comportent comme des laquais de Satan. Il en résulte que le peuple élu de Dieu – ceux qui aiment la vérité – est incapable de recevoir le soutien et la nourriture de l’Église, en dépit du fait qu’il mène une vie d’Église, et qu’il souhaite faire ses devoirs, pourtant sa sécurité n’est pas garantie. Les faux dirigeants sont complètement inconscients de ces questions et se disent : « Je traite tout le monde de la même manière, alors pourquoi vous plaignez-vous ? Que dois-je donc faire pour vous satisfaire ? Voilà ce qu’est traiter les gens équitablement. Vous êtes tout simplement exigeants et difficiles à satisfaire ! De toute façon, je rends compte à Dieu ; je fais tout devant Dieu ! » Ne sont-ils pas imperméables à la raison pour pouvoir débiter une telle rhétorique ? Ne sont-ils pas fous à lier ? Ils sont en effet imperméables à la raison et fous à lier. La maison de Dieu parle tous les jours de la façon dont Dieu sauve l’humanité, mais les faux dirigeants ne comprennent jamais les paroles de Dieu. Pour eux, quelle que soit la personne concernée, quelle que soit son essence, quel que soit le mal qu’elle ait fait et quel que soit le caractère malintentionné de son humanité, sous la direction des paroles de Dieu et avec l’aide du soutien aimant des gens, elle finira par se repentir et revenir en arrière. Ce point de vue n’est-il pas complètement erroné ? (Si.) En plus d’avoir une compréhension gravement fallacieuse des paroles de Dieu, les faux dirigeants font également mine de comprendre les intentions de Dieu et, en pensant de manière unilatérale et en agissant selon leurs propres désirs égoïstes, font preuve de bonté et d’amour envers les personnes malfaisantes et les antéchrists. Et pour quel résultat ? Ils finissent par protéger les personnes malfaisantes et les antéchrists, devenir leurs complices, leur fournir des occasions et un terreau propice pour interrompre et perturber le travail et la vie de l’Église. Pendant ce temps, les frères et sœurs qui ont vraiment besoin de protection sont ignorés par les faux dirigeants, qui ne leur demandent jamais : « Que pensez-vous de la présence de ces personnes malfaisantes et de ces antéchrists dans l’Église, et de ceux qui répandent de la négativité et propagent des notions ? Êtes-vous d’accord pour les garder dans l’Église ? Êtes-vous prêts à faire vos devoirs et à vivre la vie d’Église avec eux ? » Ils ne demandent jamais aux frères et sœurs ce qu’ils pensent de tout cela. Qu’en pensez-vous ? De tels dirigeants et ouvriers ne sont-ils pas tout à fait écœurants ? Ils agissent au prétexte d’être dirigeants et ouvriers, de porter ces titres, mais ils travaillent en réalité à la sauvegarde de Satan et des laquais de Satan. C’est vraiment triste ! Si vous dites de ces dirigeants et ouvriers qu’ils sont de faible calibre et qu’ils ne font pas de réel travail, ils pourraient se montrer dubitatifs. Ils se sentiront lésés, en se disant qu’ils ont des journées bien remplies, qu’ils ne sont pas oisifs et en se demandant : alors comment se pourrait-il qu’ils ne fassent pas de réel travail ? Mais au regard de leurs manifestations – consistant à avoir le sentiment que les deux groupes de personnes sont importants, à penser que les deux doivent être traités de manière égale, à faire du traitement équitable un prétexte pour permettre aux personnes malfaisantes et à celles qui interrompent et perturbent de tyranniser l’Église, et à laisser divers actes malfaisants perdurer en son sein – que sont ces dirigeants et ces ouvriers ? Au regard de leurs manifestations, de leur méthode et de leurs principes de travail, et de leurs motivations à travailler, ce sont indubitablement de faux dirigeants et des imbéciles à l’esprit confus. Est-il exact de dire cela ? (Oui.)

Dans la société, quel que soit leur groupe ou leur classe, les gens ne font pas la distinction entre les personnes malfaisantes et les gens de bien, et ils discutent encore moins de la façon dont Satan corrompt le genre humain ou de ce qu’est l’essence de l’humanité corrompue ; ils ne font même pas la différence entre le bien et le mal. Mais dans la maison de Dieu, tout est fondé sur les paroles de Dieu ; la vérité ne change jamais et les paroles de Dieu accomplissent tout. Dans l’Église, toutes sortes de personnes sont révélées par les paroles de Dieu, et elles sont naturellement regroupées par catégories. Toutes les catégories de personnes doivent être employées au mieux en fonction de leur humanité, de leurs poursuites et de leur essence. Est-ce là classer les gens par grades ? Il ne s’agit pas de classer les gens par grades, mais de les catégoriser. Chaque personne doit être regroupée en fonction de son type – elle doit être placée là où elle doit l’être. Il n’est pas acceptable de se mélanger ; le mélange est temporaire et à durée déterminée. Par exemple, lorsque l’ivraie et le blé sont mélangés, si le fait d’arracher l’ivraie affecte le blé et risque de le faire mourir, il ne faut pas encore arracher l’ivraie. Mais ne pas l’arracher ne signifie pas qu’elle ne soit pas catégorisée ; mais alors, quand faut-il l’arracher ? Au bon moment ; Dieu préparera le moment. Le moment est venu de regrouper chacun selon son type ; tous les types de personnes doivent être catégorisés. C’est nécessaire. Pourquoi ce travail doit-il être fait ? Du point de vue théorique, il y a les fondements des paroles de Dieu ; du point de vue de la situation réelle, il est nécessaire de le faire – cela a une valeur pratique et il est essentiel de le faire. Lorsque l’arrachage de l’ivraie n’affecte pas le blé, l’ivraie doit être arrachée et séparée du blé. Si les incrédules et les personnes malfaisantes – ceux qui correspondent à l’ivraie – sont traités comme des frères et des sœurs, c’est une trop grande injustice pour tous les frères et sœurs qui se dépensent sincèrement pour Dieu. D’une part, ces derniers seront souvent perturbés, influencés et lésés par les personnes malfaisantes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église. D’autre part, certaines personnes de petite stature ne comprennent pas la vérité et se verront contraintes, deviendront négatives et faibles, ou même trébucheront lorsqu’elles entreront en contact avec des personnes malfaisantes qui se livrent à des interruptions et des perturbations. De plus, tout ce que font et disent ces personnes qui se livrent à des interruptions et des perturbations provoque le chaos, le désordre et des situations désorganisées. La situation la plus réaliste est observée lorsqu’elles font un devoir ou un travail, et qu’elles commettent des méfaits de manière inconsidérée et ne suivent pas les principes, entraînant un gaspillage considérable de main-d’œuvre, de ressources matérielles et financières, sans donner aucun résultat. Au bout du compte, que se passe-t-il ? Lorsqu’elles sont congédiées, tout le monde doit subir les conséquences de leurs actes malfaisants. Le travail doit être refait et la main-d’œuvre, les ressources matérielles, le temps et l’énergie les plus précieux que chacun a dépensés avant que ces individus ne soient congédiés sont perdus en raison de leurs méfaits inconsidérés et ne peuvent être compensés. L’impact négatif qu’elles ont eu sur ce travail est trop important ! Personne ne peut assumer cette responsabilité. Même si le travail est bien fait par la suite, personne ne peut réparer les dégâts antérieurs. Certains disent qu’il faut leur faire payer financièrement ; et c’est vrai, il le faut, mais l’argent peut-il racheter le temps ? L’argent peut-il racheter le temps et l’énergie des frères et sœurs, ou ce qu’ils ont payé sincèrement de leur personne ? Non, cela n’a pas de prix ! Quel que soit le nombre de personnes qui causent des interruptions et des perturbations dans l’Église, les conséquences sont incommensurables. L’entrée dans la vie de nombreux frères et sœurs en sera affectée. Les pertes sont importantes et ne peuvent être compensées. Ce que les frères et sœurs ont perdu de leur vie peut-il être compensé ? Qui paiera pour cette perte-là ? Ces personnes malfaisantes doivent donc être exclues. Ils ne sont pas du même type que les frères et sœurs qui poursuivent la vérité. Ils appartiennent à la cohorte des démons et de Satan qui viennent dans la maison de Dieu pour la perturber et la détruire. Si ces personnes malfaisantes ne sont pas exclues de l’Église, le travail et l’ordre de la vie de l’Église ne pourront jamais être garantis. Quel que soit le nombre de personnes qui composent un groupe donné, tant qu’il y en a une parmi elles qui cause des interruptions et des perturbations – quelqu’un qui commet des méfaits inconsidérés, qui ne traite jamais les affaires conformément aux principes, qui n’accepte jamais les choses positives ou la vérité, qui n’écoute personne, qui agit de façon entêtée et arbitraire indépendamment qu’il ait du statut ou du pouvoir, et qui est essentiellement un Satan en chair et en os – tant qu’une telle personne reste dans l’Église, elle infligera tôt ou tard une grande perturbation et une grande destruction au travail de l’Église. Lorsque le jour viendra de les exclure et de s’en occuper, combien de personnes devront réparer les conséquences néfastes et les situations de désordre qu’elles auront causées ! C’est pourquoi l’exclusion ou l’expulsion de ces personnes malfaisantes et de ces antéchrists est une tâche importante que les dirigeants et les ouvriers doivent entreprendre et sur laquelle ils ne doivent pas se montrer négligents. Cependant, les faux dirigeants font preuve de bonté et d’amour envers ceux qui devraient être exclus ou expulsés, ils ferment les yeux sur leurs actes malfaisants, ils les tolèrent et les acceptent comme des frères et des sœurs, et considèrent même ceux qui leur sont utiles comme des personnes talentueuses à cultiver et à employer. Quels que soient les méfaits qu’elles commettent, les faux dirigeants trouvent des excuses pour les disculper et même leur apporter une aide et un soutien affectueux. D’une certaine manière, ne s’agit-il pas d’une perturbation délibérée ? (Si.) Les faux dirigeants agissent au gré de leurs propres idées, de leur propres gentillesse et enthousiasme, causant finalement de grands problèmes à l’Église et au peuple élu de Dieu ! Lorsque ces personnes malfaisantes détiennent le pouvoir, les désastres et les conséquences qu’elles apportent à l’Église sont incalculables.

Il existe actuellement un règlement dans la maison de Dieu selon lequel quiconque commet des méfaits doit les réparer dès lors qu’ils ont causé une perte pour la maison de Dieu. Si la perte est trop importante et que les conséquences sont graves, le problème peut-il être résolu par une simple compensation financière ? Certaines pertes ne peuvent être compensées par aucune somme d’argent ; celles-ci sont irréparables et irrémédiables. Chaque journée est désormais très précieuse et cruciale. Une fois qu’une journée s’est écoulée, ce temps peut-il être rattrapé ? C’est également irrémédiable. Pourquoi dit-on que l’on regrette à vie d’avoir manqué certaines choses ? Précisément parce que le temps ne peut pas être rattrapé. Qu’est-ce que Je veux dire par là ? Mieux vaut prévenir les problèmes avant qu’ils ne surviennent, plutôt que d’avoir à dépenser de l’argent pour les résoudre après coup ; c’est la meilleure façon de résoudre les problèmes. « Fermer la porte de l’écurie après que le cheval s’est enfui » est une solution de dernier recours. Il est préférable de faire un travail de prévention avant que les choses ne se produisent. Cela signifie qu’avant que toute interruption ou perturbation ne se produise, les dirigeants et les ouvriers doivent faire preuve d’un discernement clair et d’une compréhension approfondie des différents types de personnes présentes dans l’Église, et observer attentivement et saisir rapidement les états, les tempéraments et ce que poursuivent les divers types de personnes, ainsi que leurs attitudes et leurs points de vue lorsqu’elles font leur devoir, afin de s’assurer que tous les frères et sœurs bénéficient d’une vie d’Église et d’un environnement normaux pour faire leurs devoirs. C’est ainsi que le travail de l’Église peut avancer de manière ordonnée. Ce sont là les responsabilités des dirigeants et des ouvriers. Bien sûr, les faux dirigeants ne sont pas à la hauteur de ce travail ; ce sont des imbéciles à l’esprit confus et des gens inutiles. Voilà qu’ils ont une idée astucieuse : « Quiconque ne suit pas les principes et bâcle le travail sera condamné à payer une amende ! Si un antéchrist fait quelque chose de mal, il recevra une amende ! » Ils pensent que donner des amendes est la meilleure solution et le meilleur principe de pratique. Si tous les problèmes pouvaient être résolus en donnant des amendes, à quoi servirait la poursuite de la vérité ? Pourquoi les faux dirigeants sont-ils qualifiés de faux ? C’est parce qu’ils ne comprennent pas la vérité, parce qu’ils considèrent le respect des règles comme la pratique de la vérité et qu’ils considèrent les formules et les doctrines qu’ils comprennent comme la vérité, si bien que lorsque quelque chose arrive, ils sont absolument incapables de trouver les principes ou la direction corrects et ne peuvent pas résoudre les problèmes à la racine. Ils ne comprennent pas les paroles de Dieu et ne peuvent pas du tout saisir ce que Dieu veut dire, mais ils veulent quand même travailler et être dirigeants ou ouvriers – quelle folie ! À cet égard, quelle est la principale manifestation des faux dirigeants ? Ils ne savent pas percer à jour l’essence des divers types de personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église, ils ne savent pas les catégoriser et en aucun cas les traiter et s’en occuper conformément aux principes. Dans l’esprit des faux dirigeants, tout cela n’est que désordre et confusion. Ils spéculent sur les paroles de Dieu et sur ce qu’Il veut dire en se fondant sur leur enthousiasme, leurs notions et leur imagination propres. Dans le même temps, ils imposent leur gentillesse, leur enthousiasme, leur imagination et leurs notions personnelles sur Dieu, croyant que ces choses sont conformes à la vérité, conformes aux intentions de Dieu et peuvent représenter ce que Dieu désire. Ils s’appuient ainsi sur ces choses-là pour travailler et diriger le peuple élu de Dieu. Telle est la principale manifestation d’un faux dirigeant. Nous conclurons ici notre échange sur la deuxième manifestation des faux dirigeants.

III. Les faux dirigeants n’exposent pas et n’arrêtent pas les personnes malfaisantes

Ensuite, nous aurons un échange sur la troisième manifestation des faux dirigeants, qui est d’ignorer et de ne pas se renseigner sur les personnes qui interrompent et perturbent le travail de l’Église – et même lorsqu’ils découvrent que des personnes malfaisantes et des antéchrists perturbent le travail de l’Église, ils n’y prêtent pas attention. Cela est fondamentalement plus grave encore que les deux premières manifestations. Pourquoi est-ce considéré comme plus grave ? Les deux premières manifestations tiennent au calibre des faux dirigeants, mais cette manifestation-là tient à l’humanité des faux dirigeants. Certains faux dirigeants ont un calibre si faible qu’ils sont incapables de percer à jour la nature de l’interruption et de la perturbation du travail de l’Église. Certains faux dirigeants, bien qu’ils puissent découvrir les problèmes d’interruption et de perturbation du travail de l’Église, ne comprennent malheureusement pas la vérité et ne savent pas gérer et résoudre ces problèmes. Ils agissent toujours au gré de leurs idées et de leur enthousiasme, en faisant ce qu’ils aiment et en se disant dans leur for intérieur : « Tant que je fais le travail de l’Église, tout va bien ; quant à ceux qui causent des interruptions et des perturbations, c’est leur affaire personnelle et cela ne me concerne pas. » Il existe aussi de faux dirigeants pourvus d’un peu de calibre, capables de faire un peu de travail et qui connaissent un peu les principes pour gérer chaque type de personne. Cependant, ils ont peur d’offenser les gens, si bien que lorsqu’ils découvrent des personnes malfaisantes et des antéchrists qui causent des interruptions et des perturbations, ils n’osent pas les exposer, les arrêter ou les contenir. Ils vivent selon des philosophies sataniques et ferment les yeux sur des questions qui, selon eux, ne les concernent pas. Ils ne se soucient pas le moins du monde des résultats du travail de l’Église ni de l’ampleur des conséquences sur l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu ; ils pensent que ces choses-là ne les concernent pas. Ainsi, tout le temps qu’un tel faux dirigeant exerce ses fonctions, l’ordre normal de la vie d’Église n’est pas maintenu, et les devoirs du peuple élu de Dieu et son entrée dans la vie ne sont pas protégés. Quelle est la nature de ce problème ? Ce n’est pas que ces faux dirigeants ne puissent pas travailler du fait de la médiocrité de leur calibre ; mais s’ils ne font pas de travail concret, c’est en raison de la médiocrité de leur humanité et de leur manque de conscience et de raison. En quoi les faux dirigeants sont-ils faux ? Ils n’ont pas la conscience et la raison de l’humanité ; par conséquent, tant qu’ils travaillent en tant que dirigeants, la question des personnes malfaisantes et des antéchrists qui interrompent et perturbent le travail de l’Église n’est pas du tout résolue. Certains frères et sœurs en souffrent profondément et le travail de l’Église subit également d’énormes pertes. Lorsque ce genre de faux dirigeant remarque un problème, lorsqu’il voit une personne malfaisante ou un antéchrist causer une interruption ou une perturbation, il sait quelle est sa responsabilité, ce qu’il doit faire et comment il doit le faire, mais il ne fait rien du tout, et il fait même l’idiot, il l’ignore complètement et ne signale pas l’affaire à ses supérieurs. Il fait mine de ne rien savoir et de ne rien voir, permettant ainsi à des personnes malfaisantes et à des antéchrists d’interrompre et de perturber le travail de l’Église. N’y a-t-il pas là un problème dans leur humanité ? Ne sont-ils pas du même bord que les personnes malfaisantes et les antéchrists ? Quel est le principe de leur direction ? « Je ne cause aucune interruption ni aucune perturbation, mais je ne ferai rien qui offense ou qui porte atteinte à la dignité d’autrui. Qualifiez-moi de faux dirigeant, et je ne ferai toujours rien qui puisse offenser. Je dois me ménager une échappatoire. » De quel genre de logique s’agit-il ici ? C’est la logique de Satan. Et de quel genre de tempérament s’agit-il ici ? N’est-il pas tout à fait sournois et fourbe ? Une telle personne n’est pas le moins du monde sincère dans son traitement du mandat de Dieu ; elle se montre toujours rusée et fuyante dans l’accomplissement de son devoir, multipliant les mauvais desseins et pensant à elle-même en toutes choses. Elle ne se préoccupe pas le moins du monde du travail de l’Église et n’a ni conscience ni raison. Elle est fondamentalement indigne de servir comme dirigeant d’Église. Ces gens-là ne portent pas le moindre fardeau pour le travail de l’Église ou pour l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie. Ils ne se préoccupent que de leurs propres intérêts et de leur plaisir ; ils se concentrent uniquement sur les avantages du statut, sans se soucier de la condition du peuple élu de Dieu. N’avons-nous pas là les gens les plus égoïstes et les plus méprisables ? Même lorsqu’ils découvrent des personnes malfaisantes et des antéchrists qui perturbent le travail de l’Église, ils n’y prêtent pas attention, comme si ces questions ne les concernaient pas. Comme un berger qui regarderait le loup manger les brebis sans rien faire et en ne se souciant que de préserver sa propre vie. Une telle personne n’est pas qualifiée pour être berger. Tout ce que ce type de faux dirigeant fait, c’est de maximiser la protection de sa propre réputation, de son statut, de son pouvoir et des divers avantages dont il jouit actuellement. Il ne porte aucun fardeau dans son cœur pour le mandat de Dieu, le travail de l’Église ou l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie, qui sont ses devoirs et ses responsabilités ; il ne les considère jamais. Il se dit : « Pourquoi un dirigeant doit-il accomplir ces tâches ? Pourquoi est-on émondé, condamné et rejeté par les frères et sœurs si l’on n’exécute pas ces tâches ? » Il ne comprend pas et il est complètement indifférent. Dans Mon cœur, peu importe à quel point ce type de personnes semble bien se comporter, ou combien elles respectent les règles, sont taciturnes ou travailleuses et compétentes, le fait qu’elles agissent sans principes et ne prennent aucune responsabilité dans le travail de l’Église M’oblige à les voir sous un nouveau jour. Finalement, J’ai défini ce type de personnes de la manière suivante : elles ne commettent peut-être pas de grosses erreurs, mais elles sont particulièrement sournoises et fourbes ; elles n’assument aucune responsabilité et ne protègent pas du tout le travail de l’Église – elles n’ont pas d’humanité. J’ai l’impression qu’elles ont quelque chose d’animal – par leur ruse, elles s’apparentent au renard. On dit que les renards sont rusés, mais en réalité, ces gens sont bien plus rusés que les renards. En apparence, il semble qu’ils n’aient pas fait le moindre mal, mais en réalité, tout ce qu’ils disent et font concerne leur propre gloire, leur propre profit et leur propre statut. Tout ce qu’ils font a pour but de leur permettre de jouir des avantages de leur statut et ils ne prennent absolument pas en compte les intentions de Dieu. Ils ne résolvent en rien les problèmes qui se posent dans le travail de l’Église et n’abordent pas non plus les questions réelles concernant l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie. Ces faux dirigeants ne font aucun travail pour conduire le peuple élu de Dieu dans la vérité-réalité. Mais quel est exactement le but de tout ce qu’ils font ? N’est-ce pas simplement de plaire aux gens et de faire en sorte que les autres les tiennent en haute estime ? Ils essaient de faire en sorte que tout le monde ait une bonne opinion d’eux sans offenser personne, pour mieux jouir de leur réputation et des avantages de leur statut. Ce qui inspire le plus de haine à leur égard, c’est qu’aucun de leurs actes n’apporte le moindre bénéfice à l’entrée du peuple élu de Dieu dans la vie ; au contraire, ils induisent les gens en erreur, en poussant les autres à les admirer et à les idolâtrer. Ces gens-là ne sont-ils pas encore plus sournois et fourbes que des renards ? Ce sont des faux dirigeants typiques et authentiques. Ils ont le statut de dirigeant et portent ce titre, mais ils ne font aucun travail réel, ils se contentent de s’occuper de quelques affaires courantes bien visibles et superficielles, ou bien ils font à contrecœur une partie du travail que leur a spécialement assigné le Supérieur. En l’absence de directive spéciale du Supérieur, ils ne font aucun travail essentiel pour l’Église. Pour ce qui est des questions relatives au maintien du travail de l’Église et de l’ordre dans la vie de l’Église, ils ont peur d’offenser les gens et n’osent pas défendre les principes. Ils ne résolvent aucun des problèmes qui se sont accumulés dans le travail de l’Église, et même lorsqu’ils voient les biens de la maison de Dieu dilapidés par des antéchrists et des personnes malfaisantes, ils ne font rien pour les stopper ou les restreindre. Au fond de leur cœur, ils savent clairement que ces personnes font le mal et nuisent aux intérêts de la maison de Dieu, mais ils jouent les idiots, sans dire un mot. Ce sont des gens sournois et fourbes. Ces gens-là ne sont-ils pas plus rusés que des renards ? En apparence, ils sont aimables avec tout le monde et ne font rien pour nuire à qui que ce soit, mais ils retardent la question majeure de l’entrée dans la vie du peuple élu de Dieu, le travail de l’Église et le travail de diffusion de l’Évangile. Ces gens-là sont-ils dignes d’être des dirigeants et des ouvriers ? Ne sont-ils pas les laquais de Satan ? Ne sont-ils pas ceux qui interrompent et perturbent le travail de l’Église ? Bien qu’en apparence ils n’aient commis aucun mal évident, les conséquences de cette façon de travailler sont encore plus graves que s’ils avaient commis le mal. Ils entravent l’accomplissement de la volonté de Dieu, ils Lui résistent et ils interrompent et perturbent le travail de l’Église. Ils nuisent au peuple élu de Dieu et peuvent même détruire l’espoir de salut du peuple élu de Dieu. Dites-Moi, n’est-ce pas là commettre le mal ? C’est exactement ce que fait une personne complaisante qui ne respecte aucun principe. Les gens qui ne comprennent pas la vérité ne peuvent pas percevoir pleinement les terribles conséquences du travail accompli de cette manière par les faux dirigeants, ni saisir leurs intentions, leurs motivations et leurs buts. Tu ne comprendras jamais ce qu’ils veulent vraiment faire dans leur cœur – ces gens-là sont trop sournois ! Au sens figuré, ce sont des renards rusés ; au sens propre, ce sont des démons en chair et en os, des démons vivants qui sont parmi les gens !

Quant à caractériser ces faux dirigeants, selon leur tempérament-essence, ils ne peuvent pas être arbitrairement placés dans les catégories des personnes malfaisantes, des antéchrists, des hypocrites et ainsi de suite. Cependant, à en juger par ce qu’ils affichent, comme les manifestations de leur humanité et leur attitude envers le travail de l’Église, ainsi que le fait qu’ils ne s’occupent pas des problèmes qu’ils découvrent, ils sont le type de faux dirigeants le plus dépravé qui soit. À en juger par leurs diverses manifestations, bien qu’ils ne prennent pas l’initiative de former des cliques ou d’établir leurs propres royaumes indépendants, qu’ils témoignent rarement d’eux-mêmes et qu’ils puissent s’entendre avec les frères et sœurs, endurer des épreuves, payer de leur personne, s’abstenir de voler des offrandes, et même se restreindre strictement de chercher des privilèges spéciaux, lorsqu’ils sont confrontés aux divers personnes, évènements et choses qui interrompent et perturbent le travail de l’Église, ou aux diverses personnes qui gaspillent les offrandes et endommagent la propriété de la maison de Dieu, ils ne les arrêtent pas et ils ne s’en occupent pas, ils ne disent rien et ne font aucun travail. Ces gens-là sont terrifiants ! Ils sont le type de faux dirigeants le plus méprisable qui soit ; ils sont irrécupérables ! Pourquoi dis-Je qu’ils sont irrécupérables ? Ce n’est pas qu’ils sont de calibre médiocre ou qu’ils ne peuvent pas saisir les paroles de Dieu – ils ont une certaine capacité de compréhension et de travail –, mais que lorsqu’ils découvrent que quelqu’un interrompt et perturbe le travail de l’Église, ils ne s’en occupent pas et ne résolvent pas le problème. Le peu de ce travail qu’ils font, ils ne le font qu’à contrecœur lorsqu’ils sont soumis à une supervision stricte et confrontés aux demandes répétées de leurs dirigeants supérieurs, ou après avoir été émondés. Qu’ils fassent ce travail ou non, et quelle que soit la manière dont ils le font, leur priorité absolue est de se protéger. Ils n’assument pas du tout les responsabilités des dirigeants et des ouvriers. À part se protéger et maintenir leurs propres intérêts, ils ne font aucun travail essentiel, et ils n’effectuent qu’un peu du travail superficiel qu’ils sont obligés de faire. Ils ne se soucient de rien d’autre que de leur propre protection. Ne sont-ils pas plus sournois et plus rusés qu’un renard ? Certains diront : « C’est l’instinct du renard que de manger les petits animaux, alors n’est-ce pas aussi l’instinct des faux dirigeants que de se protéger ? » Est-ce un instinct ? C’est leur nature ! Ces faux dirigeants protègent leur propre statut, leur réputation et leur image, ils entretiennent des relations avec les gens et évitent d’offenser qui que ce soit, au détriment des intérêts de la maison de Dieu et d’endommager le travail de l’Église. Ils ne s’occupent même pas personnellement des licenciements ou des ajustements dans le personnel, et chargent d’autres personnes de le faire à leur place. Ils se disent : « Si cette personne cherche à se venger, elle ne s’en prendra pas à moi. Dans toutes les situations que je rencontre, je dois d’abord me protéger. » Ces gens-là sont beaucoup trop sournois ! En tant que dirigeants et ouvriers, ils ne peuvent même pas assumer cette responsabilité, alors, sont-ils dignes d’être des dirigeants ? Ce ne sont que des lâches sans utilité ! Sans ce peu de courage, sont-ils encore des croyants en Dieu ? Les gens qui recourent à la ruse pour se soustraire à leurs responsabilités dans l’exécution de leurs devoirs sont-ils des disciples de Dieu ? Dieu ne veut pas de telles personnes. Ces faux dirigeants sont aussi sournois et rusés que des renards. Lorsqu’ils voient quelqu’un causer une interruption ou une perturbation, ils ne s’en occupent pas et ne résolvent rien – ils ne font tout simplement pas de travail réel. Quelle que soit la façon dont ils sont exposés et émondés, ils n’agissent pas. Puisqu’ils ne remplissent pas les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, pourquoi occupent-ils ce poste ? Est-ce pour faire partie du décor ? Est-ce pour profiter des avantages du statut ? Ils ne sont pas qualifiés pour cela ! Ne pas faire de travail réel et vouloir malgré tout que les frères et sœurs les révèrent et les idolâtrent – n’est-ce pas là l’état d’esprit d’un démon ? Quelle effronterie ! Certains disent qu’ils ne veulent absolument pas être dirigeants. Alors pourquoi maintiennent-ils leur réputation et leur statut ? Quel est leur but en fourvoyant les gens ? S’ils ne veulent pas être dirigeants, ils peuvent prendre les devants et démissionner. Pourquoi ne démissionnent-ils pas ? Pourquoi occupent-ils ce poste et ne se retirent-ils pas ? S’ils ne veulent pas démissionner, alors ils doivent s’appliquer à produire un travail réel. Il n’y a pas d’autre choix, c’est leur responsabilité. S’ils ne peuvent pas faire de travail concret, mieux vaut qu’ils prennent leurs responsabilités et démissionnent ; ils ne doivent pas retarder le travail de l’Église ni nuire au peuple élu de Dieu. S’ils n’ont même pas ce brin de conscience et de raison, ont-ils encore la moindre humanité ? Ils sont indignes d’être appelés des êtres humains ! Qu’ils soient capables ou non d’être dirigeants ou ouvriers, les gens qui croient en Dieu ne méritent d’être qualifiés d’humains que s’ils ont au moins un peu de conscience et de raison.

Pour être dirigeant ou ouvrier, il faut posséder un certain niveau de calibre. C’est le calibre d’une personne qui détermine sa capacité de travail et la mesure dans laquelle elle saisit les vérités-principes. Si ton calibre est quelque peu insuffisant et que tu n’as pas une compréhension assez approfondie de la vérité, mais que tu es capable de pratiquer à la mesure de ce que tu peux comprendre, que tu peux mettre en pratique ce que tu comprends, que dans ton cœur tu es pur et honnête, que tu ne cherches pas à obtenir quoi que ce soit pour ton propre compte ou à poursuivre la gloire, le profit et le statut, et que tu peux accepter l’examen de Dieu, alors tu es une personne correcte. Cependant, les faux dirigeants n’ont pas ces qualités. Ils ne se préoccupent pas des divers problèmes d’interruptions et de perturbations qui surgissent dans l’Église ; et même s’ils remarquent ces problèmes, ils n’y prêtent pas attention. Si tu leur demandes s’ils sont au courant de la situation, ils répondent : « Je crois que je suis un peu au courant, mais pas de tout. » C’est arrivé sous leur nez – pourquoi disent-ils qu’ils ne sont pas au courant ? N’essaient-ils pas de rouler les gens ? Puisqu’ils sont au courant, ont-ils réfléchi à la manière de gérer la situation ? Ont-ils travaillé un tant soit peu ? Ont-ils essayé de trouver la moindre solution ? Ils répondent : « Cette personne est d’un calibre supérieur au mien, elle s’exprime bien et elle sait parler ; je n’ose pas la contrarier. Et si j’aborde un sujet qui s’avère ne pas être un problème et que je l’offense ? Cela rendrait mon travail difficile par la suite. » Comme ils n’osent pas, ce sont des lâches sans utilité qui manquent à leur devoir, et ils sont indignes d’être dirigeants ! Lorsqu’ils rencontrent ce genre de situation, savent-ils comment s’y prendre ? Ils disent : « Même si je sais comment le faire, je n’ose pas. N’est-ce pas à cela que sert le Supérieur ? Et il y a aussi le groupe décisionnaire. Comment pourrais-je être celui à qui revient cette tâche ? » Puisqu’ils ont vu la situation et qu’ils sont au courant, c’est à eux de la gérer. S’ils sont de stature trop petite et qu’ils ne peuvent pas gérer ce problème, en ont-ils parlé à leurs supérieurs ? L’ont-ils signalé ? Ont-ils fait ce qui relève de leurs responsabilités et du travail qui leur incombe ? Se sont-ils seulement acquittés de l’une ou l’autre de leurs responsabilités ? Pas du tout ! Dans leur for intérieur, ils le savent très bien : « J’avais connaissance de ce problème, mais je n’ai pas agi. Je me sens coupable ! J’aurais dû signaler cette affaire, mais je ne l’ai pas fait. Mais d’autres ne l’ont pas fait non plus, en quoi cela me concerne-t-il ? » Les autres sont-ils aussi des dirigeants ? Que d’autres le fassent ou non, c’est l’affaire de ces personnes – pourquoi ces dirigeants ne l’ont-ils pas fait ? Si les autres ne le font pas, cela signifie-t-il que ces dirigeants n’ont pas à le faire ? Est-ce cela la vérité ? Même si d’autres personnes l’avaient fait, cela pourrait-il se substituer à l’intervention de ces dirigeants ? Ce que font ces dirigeants ne regarde qu’eux. Se sont-ils acquittés de leurs responsabilités et de leurs obligations ? Si ce n’est pas le cas, ils manquent à leur devoir, ils ne sont pas qualifiés pour être dirigeants et devraient prendre leurs responsabilités et démissionner. Ils ne sont pas reconnaissants de la façon dont ils ont été élevés, ils sont indignes de la confiance des frères et sœurs, ils sont indignes de la confiance de la maison de Dieu, et ils sont encore plus indignes de l’exaltation de Dieu. Ce sont des misérables dépourvus de cœur. Le troisième type de faux dirigeant a un problème de caractère. Indépendamment de l’avancement de sa poursuite personnelle et de son entrée dans la vie, du simple fait que durant l’exercice de ses fonctions il ne fait aucun travail réel, qu’il ne compense aucune des pertes subies par l’Église et qu’il est absolument incapable d’arrêter rapidement ou de gérer les actes malfaisants des personnes malfaisantes, ce type de personne a non seulement un problème de calibre médiocre et de non-exécution de travail réel, mais, plus important encore, elle n’a pas d’humanité. Sa conscience est complètement putride et elle est dépourvue de toute raison. En langage courant, on dirait qu’elle est en faillite morale, qu’elle est égoïste et méprisable au plus haut point et qu’elle n’est pas digne de confiance. Parmi les trois types de personnes que nous avons disséqués, c’est dans ce type que l’humanité est la pire. Les deux premiers types de personnes sont de calibre médiocre, elles sont incapables de travailler et ne respectent pas les principes et les normes de la maison de Dieu pour cultiver et promouvoir les gens, de sorte qu’ils ne peuvent pas être cultivés ou employés. Leur calibre est extrêmement médiocre, elles sont aveugles et insensibles, quasi mortes – elles ne valent pas la peine d’être exposées et disséquées. Le troisième type de personnes est le plus ignoble. Elles sont parfaitement méprisables au regard de leur humanité, et nous les caractérisons comme sournoises et rusées. Ces personnes sont encore plus sournoises que les renards. Elles ne font pas de réel travail mais elles se trouvent quand même toutes sortes d’excuses, et se sentent parfaitement à l’aise. Quelle que soit la façon dont les personnes malfaisantes et les antéchrists perturbent le travail de l’Église, elles ne s’en inquiètent pas et veulent tout de même rester dirigeants. Pourquoi sont-elles si attachées au pouvoir ? Ces dirigeants disent : « L’homme lutte pour s’élever ; l’eau coule vers l’aval. Tout le monde aime le pouvoir ! » Elles ne veulent pas faire de travail réel, mais elles tiennent quand même à s’accrocher à leur poste et à profiter des avantages de leur statut. Quelle sorte de misérable est-ce là ? Elles sont faites exactement du même bois que Satan, et ne sont absolument pas des gens bien.

Aujourd’hui, nous avons échangé sur trois points en rapport avec la douzième responsabilité des dirigeants et des ouvriers. Les faux dirigeants que nous avons disséqués dans la douzième responsabilité sont fondamentalement les mêmes que les faux dirigeants que nous avons exposés auparavant. Bien que nous ayons disséqué trois points, ils recouvrent principalement deux problèmes : l’un est qu’ils sont d’un calibre médiocre et qu’ils ne peuvent pas accomplir de réel travail ; l’autre est que leur humanité est ignoble, méprisable, sournoise et rusée, et qu’ils ne font pas de réel travail. Tels sont les problèmes fondamentaux et essentiels des faux dirigeants. Tant que quelqu’un a l’un de ces deux problèmes, c’est un faux dirigeant. Cela ne fait aucun doute.

Le 4 septembre 2021

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