Les paroles de Dieu m’ont tirée de la tragédie du mariage

14 février 2023

Par Gan’en, Chine

Autrefois, j’avais une famille heureuse, harmonieuse. J’étais la directrice des ressources humaines d’une entreprise. Mon mari était le responsable administratif du secteur électricité. Mon mari a vite été promu directeur adjoint du conseil d’administration. Et nous avions un fils très intelligent. Tous ceux qui nous connaissaient nous admiraient. Alors que je me délectais de ce bonheur et de cette harmonie, une chose terrible s’est produite. Mon mari a entamé une liaison avec la femme de son chauffeur personnel. Ce coup soudain m’a complètement anéantie. J’en ai perdu le sommeil et l’appétit pendant plusieurs jours. J’étais pleine de colère et de rancune. Je me sentais très humiliée. Je souffrais tant que j’avais même envie de mourir. Alors que je tenais un flacon de somnifères dans ma main et que je m’apprêtais à me suicider, j’ai pensé à ma mère et à mon fils. Si je mourais, comment ma mère, qui était âgée, pourrait-elle supporter la douleur d’enterrer sa fille ? Mon jeune fils devrait traverser beaucoup de moments difficiles dans sa vie. Comme son père n’était plus fiable, ne serait-il pas quasiment un orphelin s’il perdait sa mère ? Ces pensées ont adouci mon cœur. Je me suis agenouillée en sanglotant.

Après quelque temps, je me suis arrachée à cette douleur, qui me tenait suspendue entre la vie et la mort, mais je n’ai pas retrouvé la vie paisible que je menais avant. Je haïssais cette femme de tout mon être. Je pensais qu’elle était la cause de toute ma souffrance et qu’elle avait détruit une famille parfaitement heureuse. Je me suis dit : « Puisque tu m’as privée de mon bonheur, je ne te laisserai pas vivre en paix. Je te ferai payer au centuple les souffrances que tu m’infliges. » Je l’ai agressée et j’ai chargé de gens de tout casser chez elle afin qu’elle ait trop peur pour y retourner. Même si je l’avais placée dans une situation horrible, je souffrais toujours. Je ne pouvais simplement pas échapper au fantôme de ma famille brisée. À ce moment-là, une connaissance a partagé l’Évangile du Seigneur Jésus avec moi et m’a donné un exemplaire de la Bible. Quand je l’ai lue, j’ai été très touchée par la tolérance, la patience et la miséricorde du Seigneur Jésus. Et je me suis demandé pourquoi je ne pouvais pas pardonner à mon mari et à cette femme ne serait-ce qu’une fois. J’ai prié le Seigneur de me donner la force, la tolérance et la patience de leur pardonner. Mon mari et moi avons arrêté de nous disputer et j’ai cessé d’agresser cette femme quand je la voyais. Mais je n’ai pas réussi à me délivrer de ma rancune. Je me forçais juste à tolérer la situation dans l’intérêt de ma famille, de mon fils, et pour pouvoir aller de l’avant. Mais, à ma grande surprise, non seulement mon mari n’a pas fait preuve de retenue, mais il a aggravé les choses. Il a quitté son travail et s’est enfui avec cette femme. J’ai pensé à tout ce que j’avais fait avant. Pour mon mari, j’avais renoncé à entrer dans la procurature et à être promue. J’avais élevé notre fils, fait la cuisine, et je m’étais chargée des tâches domestiques pour mon mari. J’avais fait jouer toutes mes relations pour qu’il obtienne une promotion. En échange, il m’avait trahie et fait souffrir. Je ne pouvais plus supporter ça. Je haïssais mon mari parce qu’il était sans cœur et n’avait aucune conscience. Je haïssais aussi cette femme et je voulais sa mort, même si je devais en mourir moi-même. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour les priver de leurs revenus et les plonger dans la misère. Ils sont rapidement revenus en ville parce qu’ils n’avaient plus d’argent. Un jour, mon mari a fondu en larmes devant moi. Il a reconnu qu’il avait eu tort, s’est excusé et m’a juré qu’il changerait et deviendrait un homme nouveau. Il m’a demandé de faire jouer mes relations pour qu’il soit transféré dans le chef-lieu du comté, où il commencerait une nouvelle vie dans un environnement différent. Comme il avait l’air de souffrir et que ses excuses semblaient sincères, mon cœur a fondu. Parce que je voulais aussi oublier les malheurs du passé et prendre un nouveau départ, j’ai accédé à ses requêtes. J’ai immédiatement appelé mes amis pour qu’on soit transférés tous les deux. On a recommencé à vivre ensemble. Même s’il faisait de son mieux pour me faire plaisir et me rendre heureuse, je sentais que je n’avais plus rien à lui dire. Malgré ça, je me berçais encore d’illusions sur notre mariage. Je pensais que la blessure avait juste besoin de temps pour guérir. Mais j’ai été profondément choquée, alors que je m’occupais de nous faire transférer, de découvrir par accident qu’il était retourné voir cette femme. Je n’ai plus réussi à contenir ma rage et je lui ai ordonné en hurlant de disparaître. Deux jours plus tard, il est parti sans dire un mot et il n’est jamais revenu. C’est à ce moment-là que j’ai enfin ouvert les yeux. J’ai compris qu’il n’avait jamais vraiment voulu se repentir. Il n’était revenu que parce qu’il était fauché et n’avait plus de quoi vivre. Il était gentil avec moi et disait qu’il voulait arranger les choses, mais ce n’était qu’une façade. Il voulait juste se servir de moi pour être transféré. Mon cœur s’est brisé quand je l’ai compris. J’ai haï mon mari de tout mon être, et cette femme aussi. J’ai commencé à échafauder des plans pour la faire estropier et défigurer.

Si personne n’avait partagé avec moi l’Évangile de Dieu des derniers jours, je ne sais vraiment pas quelle bêtise j’aurais faite. Après avoir accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours, en lisant les paroles de Dieu, j’ai découvert les causes des ténèbres et du mal dans le monde, et de la misère et de la désolation dans la société. Les paroles de Dieu disent : « Né dans une terre si souillée, l’homme a été gravement empoisonné par la société. Il a été influencé par l’éthique féodale et formé dans des “instituts d’enseignement supérieur”. La pensée arriérée, la moralité corrompue, le point de vue mauvais sur la vie, la philosophie infâme, l’existence absolument sans valeur, le mode de vie et les coutumes dépravés ont tous gravement envahi le cœur de l’homme, ainsi que sérieusement miné et attaqué sa conscience. En conséquence, l’homme s’éloigne de plus en plus de Dieu et s’oppose de plus en plus à Lui. Le tempérament de l’homme devient plus vicieux chaque jour et il n’y a pas une seule personne qui soit disposée à renoncer de bon gré à quoi que ce soit pour Dieu, pas une seule qui Lui obéisse de bon gré, ni, par ailleurs, une seule qui cherche de bon gré Son apparition. Au contraire, sous le domaine de Satan, l’homme ne fait que chercher le plaisir, se livrant à la corruption de la chair en terrain boueux. Même quand ils entendent la vérité, ceux qui vivent dans les ténèbres ne pensent pas à la mettre en pratique et ne sont pas enclins non plus à chercher Dieu, même s’ils ont vu Son apparition. Comment une humanité aussi dépravée aurait-elle la moindre chance de salut ? Comment une humanité aussi décadente pourrait-elle vivre dans la lumière ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avoir un tempérament inchangé, c’est être en inimitié envers Dieu). « Les humains ne sont autres que Mes ennemis. Les humains sont les méchants qui s’opposent à Moi et Me désobéissent. Les humains ne sont autres que les descendants de l’archange qui M’a trahi. Les humains ne sont autres que l’héritage du diable, que J’ai rejeté il y a longtemps et qui est Mon ennemi irréconciliable depuis. Le ciel au-dessus de la race humaine est sombre et obscur, sans la moindre lueur de clarté. Le monde humain est plongé dans des ténèbres si épaisses que celui qui y vit ne voit même pas sa main tendue devant son visage ni le soleil quand il lève la tête. La route sous ses pieds, boueuse et pleine de nids de poule, serpente tortueusement. Toute la terre est jonchée de cadavres. Les coins sombres sont remplis de dépouilles, tandis que des foules de démons ont élu domicile dans les coins frais et ombragés. Et partout dans le monde des hommes, les démons vont et viennent en hordes. La progéniture de toutes sortes de bêtes, couverte de souillure, est engagée dans une bataille féroce dont le bruit remplit le cœur de terreur. À de tels moments, dans un tel monde, un tel “paradis terrestre”, où va-t-on pour chercher les félicités de la vie ? Où pourrait-on aller pour trouver la destination de sa vie ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce que signifie être une personne véritable). Lire les paroles de Dieu a vraiment éclairé mon cœur. J’ai compris que nous avons perdu notre conscience et notre raison et que nous sommes dépourvus d’humanité depuis que Satan a corrompu l’homme. Nous n’avons ni dignité ni intégrité. Nous sommes tous malhonnêtes, égoïstes, méprisables, méchants et malveillants. Nous sommes toujours en train de faire des plans pour notre bénéfice personnel et des calculs sur les autres. Nous ne nous soucions que de notre propre plaisir et nous nous moquons complètement que les autres vivent ou meurent. Nous construisons notre bonheur sur les souffrances des autres. Tout le monde lutte et s’entretue en permanence. Tout le monde vit dans le péché, nie Dieu et Lui résiste, est écœuré par la vérité, vénère le mal, et se délecte des plaisirs du péché sans penser que ce sont des péchés. Les maris trahissent les femmes, les femmes trahissent les maris, les maris et les femmes se trahissent mutuellement. Ils cèdent à la luxure pour le plaisir. Où est l’humanité dans tout ça ? On est tous des fantômes ambulants. J’ai compris que la trahison de mon mari était une conséquence des poisons de Satan. Je ne faisais pas exception. Quand des gens empiétaient sur mes intérêts, j’étais envahie par la rancune. Je vivais chaque minute torturée par ma haine, sans aucune motivation pour le travail ni la vie. Même mon fils s’y est retrouvé mêlé. Tous ces désastres étaient des choses néfastes fabriquées par Satan. Le fait de comprendre tout cela m’a quelque peu éclairée. Plus tard, j’ai gagné une certaine compréhension de la vie grâce à la prière et à la lecture des paroles de Dieu. J’ai compris que l’humanité était mauvaise et corrompue. Nous nous exploitons et nous trompons les uns les autres, et le véritable amour n’existe pas. Je me suis progressivement délivrée de la haine que j’avais pour mon mari et pour cette femme, et j’ai renoncé à mes projets de vengeance. Alors j’ai commencé une toute nouvelle vie. Je mangeais et buvais les paroles de Dieu tous les jours, je me réunissais avec les frères et sœurs, je lisais les paroles de Dieu et chantais des hymnes à la gloire de Dieu. J’éprouvais un grand soulagement et une grande liberté. J’ai commencé à me sentir mieux et j’ai pu sourire de nouveau.

Mais peu après, il s’est passé autre chose, et j’ai failli tomber dans le piège d’un test. Un après-midi, un ami m’a appelée pour me dire qu’il fallait absolument qu’il me voie. Quand je l’ai vu, il m’a dit avec le plus grand sérieux : « J’ai divorcé de ma femme. Tu m’as plu dès la première fois que je t’ai vue, et maintenant qu’on a enfin une chance, je veux m’occuper de toi jusqu’à la fin de mes jours. » J’étais choquée d’entendre ça. Mais je lui ai quand même dit très calmement : « Hors de question ! » Il a dit qu’il était sérieux, et qu’il prendrait des dispositions pour le travail et le mariage de mon fils, et tout le reste, et qu’il ne traiterait pas mon fils de façon injuste. Il a dit bien plus encore, mais voyant que je ne disais pas un mot, il m’a accordé trois jours pour y réfléchir et lui donner une réponse. Je n’ai pas arrêté de me retourner dans mon lit cette nuit-là. Je me sentais vraiment tiraillée. Il était assez riche. On s’était toujours bien entendu et compris. En plus, mon fils venait juste de finir la fac et n’avait pas encore de travail. Pour couronner le tout, j’étais toute seule, sans personne à qui parler à la maison. Je voulais me mettre avec lui. Dès que cette pensée m’a traversé l’esprit, j’ai éprouvé une douleur aigüe au cœur. Je savais très bien que les croyants et les non-croyants empruntaient deux chemins différents. Si je me mettais avec lui, je ne pourrais pas continuer à pratiquer ma foi, ce qui voulait dire que je trahirais Dieu. Comment pouvais-je oublier le salut de Dieu pour moi ? Mais chaque fois que je fermais les yeux, je repensais à ses paroles sincères et à son regard suppliant, et ça m’était insupportable. Je n’ai pas fermé l’œil, cette nuit-là. J’ai hésité et lutté sur la question pendant un bon moment. Au moment où je me suis décidée à me mettre avec lui, quelques paroles de Dieu me sont venues à l’esprit : « Quel avantage tirez-vous des hommes ? Peuvent-ils vraiment vous sauver de la mer de l’affliction ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pratique (7)). Ces paroles m’ont éclairée et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. J’ai pensé à toutes ces années avec mon mari : on était passés de l’amour à la trahison, de nos vœux de mariage à deux ennemis jurés. C’était si triste d’y repenser ! C’est vrai. À quoi me servait un homme ? Pouvait-il m’offrir un amour et un bonheur véritables ? Pouvait-il vraiment me sauver de toute cette détresse ? Il n’existe pas d’affection ou d’amour réels entre les êtres humains. Les sentiments humains, l’amour humain, c’est juste de l’esbroufe. Ça passe et ça ne peut jamais durer. Les gens s’utilisent et se trompent mutuellement juste pour satisfaire leurs désirs charnels. Mon mari était comme ça, alors en quoi cet homme était-il différent ? N’avait-il pas la même nature et la même essence ? Mon mari ne m’avait-il pas déjà assez fait souffrir ? Voulais-je vraiment endurer les souffrances d’un autre mariage ? La blessure s’était refermée et j’en avais oublié la douleur. J’avais failli être trompée, abusée par de belles paroles, et de nouveau détournée du droit chemin. À ce moment-là, je m’en suis voulue de ne pas avoir de conscience, d’être ingrate. Sans le salut de Dieu, serais-je encore là aujourd’hui ? Dieu a exprimé tellement de vérités que je ne poursuivais pas. Au lieu de ça, je courais après des choses vides et sans valeur. Quelle idiote j’étais ! Les paroles de Dieu ont de nouveau réveillé mon cœur. Je ne pouvais pas renoncer à ma chance de poursuivre la vérité et d’être sauvée à cause d’un autre homme. Le lendemain à la première heure, je l’ai appelé et j’ai refusé sa proposition. Dès que j’ai raccroché, j’ai ressenti un grand soulagement. Autrement, je suis sûre que Satan m’aurait ridiculisée et fait souffrir. Puis, un jour, je suis tombée sur une amie dont j’étais assez proche. Elle était amaigrie et hagarde. Ça m’a bouleversée. Elle m’a dit que son mari l’avait trahie, et qu’elle avait essayé de se suicider quand ils avaient parlé de divorce parce qu’elle ne voyait plus d’issue, mais qu’on l’avait ranimée. En entendant ce qui lui était arrivé, j’ai pensé à mon propre désespoir et ma propre détresse quand mon mariage s’est désagrégé. Je serais moi-même morte sans la protection de Dieu. Plus tard, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Pourquoi un mari aime-t-il sa femme ? Pourquoi une femme aime-t-elle son mari ? Pourquoi les enfants sont-ils respectueux de leurs parents ? Et pourquoi les parents adorent-ils leurs enfants ? Quelles sortes d’intentions les gens entretiennent-ils réellement ? Leur intention n’est-elle pas de poursuivre leurs propres plans et leurs propres désirs égoïstes ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Ces paroles de Dieu m’ont montré pourquoi, après vingt ans de mariage, les sentiments que mon mari et moi avions l’un pour l’autre étaient si fragiles qu’ils ne pouvaient pas survivre au moindre coup. C’est parce qu’il n’existe pas de véritable affection ni amour entre les êtres humains. Ils ne s’unissent que pour satisfaire des désirs personnels ou s’utiliser. Quand on peut utiliser quelqu’un, on dit des choses gentilles pour le flatter, mais dès qu’il ne nous sert plus, on s’en débarrasse comme d’une vieille chemise ou d’un tas d’ordures. Une « famille heureuse » et « l’amour entre époux » ne sont que des mensonges pour leurrer les gens, des pièges que Satan emploie pour nous tromper. C’est vraiment dommage qu’à l’époque, je ne croyais pas en Dieu. Je ne comprenais pas la vérité et manquais de clarté, je n’ai donc pas percé à jour les ruses de Satan. Les mensonges habiles et les fausses larmes de mon mari m’ont dupée. J’étais complètement aveuglée par un sentiment illusoire de bonheur et j’avais perdu la tête, étourdie par ces sentiments vides. J’ai failli perdre ma vie à cause de ça. Quelle idiote j’étais ! Alors j’ai compris que seul l’amour de Dieu pour l’humanité est vraiment sincère. Quand la haine m’étouffait, ce sont les paroles de Dieu qui l’ont chassée de mon cœur, qui ont apaisé ma douleur et ont insufflé de la paix et de la joie dans mon âme. Qui, dans le monde, pourrait m’aimer ainsi ? Quel amour pourrait surpasser celui de Dieu ? Ces pensées m’ont réconfortée et inspiré de la reconnaissance pour le salut de Dieu.

Après ça, j’ai lu quelques passages des paroles de Dieu qui m’ont permis de mieux comprendre la vérité sur la corruption de l’homme par Satan. Dieu dit : « Des influences pernicieuses que des milliers d’années de “l’esprit noble du nationalisme” ont laissé profondément dans le cœur humain, ainsi que la pensée féodale par laquelle les hommes sont liés et enchaînés, sans un iota de liberté, sans volonté d’aspirer ou de persévérer, sans désir de progresser, restant au contraire passifs et régressifs, ancrés dans une mentalité d’esclave, et ainsi de suite : ces facteurs objectifs ont transmis une tendance indélébilement souillée et laide aux perspectives idéologiques, aux idéaux, à la morale et au tempérament de l’humanité. Les êtres humains, semblerait-il, vivent dans un monde ténébreux de terrorisme qu’aucun d’entre eux ne cherche à transcender, et aucun d’entre eux ne pense à passer à un monde idéal ; ils se contentent plutôt de leur sort dans la vie, à passer leurs journées à donner naissance à leurs enfants et à les élever, à lutter, à transpirer, à vaquer à leurs activités, à rêver d’une famille confortable et heureuse, et à rêver d’affection conjugale, de liens de filialité, de joie au crépuscule de leur vie en vivant paisiblement leur vie… Pendant des dizaines, des milliers, des dizaines de milliers d’années jusqu’à maintenant, les gens ont gaspillé leur temps de cette façon sans que personne ne crée une vie parfaite, tous avec la seule intention de s’entre-tuer dans ce monde obscur, de courir après la renommée et la fortune, et de comploter les uns contre les autres. Qui a déjà cherché la volonté de Dieu ? Quelqu’un a-t-il jamais tenu compte de l’œuvre de Dieu ? Toutes les parties de l’humanité occupées par l’influence des ténèbres sont depuis longtemps devenues la nature humaine, et donc il est assez difficile de réaliser l’œuvre de Dieu, et les gens ont encore moins le cœur à prêter attention à ce que Dieu leur a confié aujourd’hui » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (3)). « La vie entière de l’homme est vécue sous le domaine de Satan, et il n’y a pas une seule personne qui puisse se libérer toute seule de l’influence de Satan. Tous vivent dans un monde souillé, dans la corruption et le vide, sans le moindre sens ou la moindre valeur ; ils vivent une vie si insouciante pour la chair, pour la luxure et pour Satan. Il n’y a pas la moindre valeur à leur existence. L’homme est incapable de trouver la vérité qui le libérera de l’influence de Satan. Même si l’homme croit en Dieu et lit la Bible, il ne comprend pas comment se libérer du contrôle de l’influence de Satan. Tout au long des âges, très peu de gens ont découvert ce secret, très peu l’ont compris. En tant que tel, même si l’homme déteste Satan et déteste la chair, il ne sait pas comment se débarrasser de l’influence séductrice de Satan » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Les paroles de Dieu révèlent la réalité de nos vies en tant qu’êtres humains. N’était-ce pas parce que je pourchassais une prétendue « vie heureuse » que je souffrais autant ? Pour l’amour entre un mari et sa femme, pour une famille heureuse, je me suis efforcée d’être la femme vertueuse de mon mari, sa meilleure moitié : j’étais prête à lui donner mon sang, ma sueur et mes larmes, même si je devais en mourir. J’étais comme une machine : je trimais sans relâche pour mon mari et ma famille. Quand mon mari a progressé dans sa carrière, j’ai été ravie pour lui. Lorsqu’il m’a trahie, j’ai été dévastée et j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. C’était comme si la vie en elle-même était une sorte de souffrance. En essayant de reconstituer ma famille déchirée, je me suis battue avec cette femme sans me soucier de ma dignité ni de mon intégrité. Il a aussi fallu que je réprime mon animosité pour donner à mon mari une chance de se repentir. Maintenant, je vois que j’étais sous le domaine de Satan, qui jouait avec moi et me manipulait comme une poupée. Je vivais sans aucune humanité. Ma vie était un enfer. Mais j’étais comme ensorcelée. Je pensais que c’était la seule manière de mener une vie qui ait du sens. Les paroles de Dieu ont ouvert mon cœur et m’ont permis de voir que la prétendue « vie heureuse » que je cherchais était sans valeur et vide de sens. Même si j’avais obtenu ces choses, ma vie n’aurait-elle pas été complètement vide ?

J’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Tu es un être créé : tu dois bien sûr adorer Dieu et chercher à vivre une vie qui a du sens. Si tu n’adores pas Dieu, mais vis dans ta chair souillée, alors n’es-tu pas seulement une bête habillée comme un homme ? Puisque tu es un être humain, tu dois te dépenser pour Dieu et endurer toute souffrance ! Tu dois accepter volontiers et avec assurance les petites souffrances auxquelles tu es soumis aujourd’hui et vivre une vie significative, comme Job et Pierre. Dans ce monde, l’homme porte les vêtements du diable, mange la nourriture du diable et travaille et sert sous la botte du diable, se faisant complètement piétiné dans la souillure du diable. Si tu ne comprends pas le sens de la vie et n’obtiens pas le vrai chemin, alors quel sens y a-t-il à vivre ainsi ? Vous êtes des gens qui suivent le bon chemin, ceux qui cherchent à s’améliorer. Vous êtes des gens qui se lèvent dans la nation du grand dragon rouge, ceux que Dieu appelle justes. N’est-ce pas la vie qui a le plus de sens ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pratique (2)). Dans le monde extérieur, j’en avais assez des ravages de Satan pour le bien de mon mariage. C’est Dieu Tout-Puissant qui m’a sauvée et offert la chance de revenir dans la maison de Dieu. Les paroles de Dieu m’ont abreuvée et nourrie. Elles m’ont permis de comprendre certaines vérités, de percer à jour un peu du mal et des ténèbres du monde, de voir la vérité sur la corruption des gens et de me délivrer de ma douleur. L’amour que Dieu a pour moi est si grand. Je dois Lui rendre Son amour. Après ça, j’ai commencé à prêcher l’Évangile et à faire mon devoir avec des frères et sœurs, et je me suis sentie apaisée et heureuse. Dieu soit loué ! Il y a un hymne qui parle vraiment à mon cœur : « Si Dieu ne m’avait sauvé. » « Si Dieu ne m’avait sauvé, je serais encore errant dans le monde, luttant et souffrant dans le péché, vivant sans aucun espoir. Si Dieu ne m’avait sauvé, je serais encore piétiné par les démons, profitant des plaisirs du péché, ignorant où se trouve le chemin de la vie humaine. Dieu Tout-Puissant me fait grâce, Ses paroles ne cessent de m’appeler. Il me fait entendre Sa voix sainte et Il m’élève devant Son saint trône. Chaque jour, je mange et bois Ses paroles et j’ai compris beaucoup de vérités. Je vois que la corruption est grave, qu’il nous faut le salut de Dieu. […] » (Suivre l’Agneau et chanter des cantiques nouveaux).

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