Discerner les personnes en se basant sur les paroles de Dieu

17 mai 2024

Par Xiang Wang, Chine

Récemment, Meng Jie, ma superviseuse, m’a partagé que Li Ping n’acceptait pas la vérité, qu’elle analysait toujours trop les gens et les choses et qu’elle perturbait la vie de l’Église, et que des frères et sœurs avaient échangé avec elle et l’avaient aidée, mais qu’elle n’avait toujours pas inversé la tendance. Meng Jie m’a demandé de rédiger une évaluation à son sujet. J’ai été assez surprise. Je ne m’attendais pas à ce que Li Ping en arrive là. Au début, j’ai eu du mal à l’accepter. La famille de Li Ping croyait au Seigneur depuis des générations. Elle a servi le Seigneur au sein de l’Église pendant son adolescence et a accepté cette étape de l’œuvre de Dieu pendant plus de 20 ans. Elle avait un peu plus de 50 ans et n’était pas encore mariée. Son renoncement et sa dépense d’elle-même, sa retenue et sa souffrance semblaient être une véritable foi en Dieu. Aujourd’hui, on la définit comme une non-croyante parce qu’elle analyse trop les gens et les choses. N’était-ce pas un peu trop dur ? J’ai repensé aux moments où j’ai eu affaire à Li Ping dans le passé, son humanité ne semblait pas pauvre ; c’est juste qu’elle débattait du bien et du mal lorsque des problèmes surgissaient. Ne devrait-on pas donner à ces personnes une chance de rester au sein de l’Église et de rendre service ? Plus tard, j’ai entendu Meng Jie dire que sur la base du comportement persistant de Li Ping, il avait déjà été déterminé qu’elle était une non-croyante. Elle m’a également rappelé de m’examiner pour voir ce qui m’empêchait de la percer à jour, et m’a dit de chercher la vérité pour résoudre ce problème.

Plus tard, j’ai consciemment travaillé sur ce problème dans ma recherche, et j’ai repensé à toutes les fois où Li Ping et moi avions interagi. En 2019, Li Ping et moi étions partenaires pour faire notre devoir. À cette époque, une sœur de notre groupe, Yingxin, ne parvenait pas à bien travailler avec Li Ping. Yingxin voulait en parler avec Li Ping, mais cette dernière a refusé. Yingxin est devenue assez négative, et lorsque la dirigeante s’est informée de son état et de celui de Li Ping, Yingxin a déclaré en toute sincérité qu’elles ne parvenaient pas à travailler ensemble. Li Ping a pensé que les propos de Yingxin avaient nui à sa réputation, et elle a développé de forts préjugés à l’égard de Yingxin. Par la suite, elle a déformé les faits et déclaré que Yingxin avait délibérément déposé une plainte contre elle dans le but de l’exclure du groupe. Avant une réunion, Yingxin a suggéré que nous parlions d’abord de nos états, puis que nous fassions une lecture ciblée des paroles de Dieu en fonction de nos états. Li Ping a pensé que Yingxin la visait en disant qu’elle ne faisait pas assez attention à l’entrée dans la vie, et elle a répondu avec colère qu’elles n’avaient pas assez de temps pour cela. Une réunion d’évaluation a également eu lieu au cours de laquelle Yingxin a déclaré que les résultats du travail de l’Église étaient en baisse ces derniers temps et nous a rappelé à toutes de chercher les raisons de cette situation. Encore une fois, Li Ping a pensé qu’il s’agissait d’elle, et elle a dit impulsivement, « Si vous pensez que je ne suis pas bonne, signalez-moi à la superviseuse et faites-moi transférer. » Nous avons passé du temps à échanger avec elle et nous ne pouvions pas discuter du travail normalement. À l’époque, sœur Luo Wen venait tout juste de rejoindre le groupe, et lorsqu’elle rencontrait des difficultés et des problèmes dans son travail, elle consultait souvent Yingxin. Li Ping a vu que Luo Wen avait une haute opinion de Yingxin, Elle a donc dit à Luo Wen, en tête-à-tête, que Yingxin utilisait des moyens détournés pour la rallier, et lui a demandé d’exclure Yingxin. Lorsque Luo Wen a entendu cela, elle a été tellement en colère qu’elle se mit à pleurer. Elle sentait qu’il n’était pas facile de travailler avec Li Ping et ne voulait plus faire son devoir ici. Non seulement Li Ping n’a pas réfléchi sur elle-même, mais elle a même dit que si Luo Wen voulait partir, c’était à elle de décider. Parfois, nous discutions du travail dans la pièce ensemble, et Li Ping devenait suspicieuse et pensait que nous disions du mal d’elle derrière son dos. Pour cette raison, elle était souvent en désaccord avec les sœurs du groupe. En fait, ces états duraient depuis longtemps. Notre superviseuse a échangé avec elle et l’a aidée à plusieurs reprises, mais elle n’a jamais changé de cap. À ce moment-là, je venais de rejoindre le groupe et j’ai échangé avec elle en lui disant qu’elle devrait se concentrer sur la recherche de la vérité et l’apprentissage des leçons, mais elle débattait du bien et du mal et se cherchait des excuses. J’étais très confuse. Elle croyait en Dieu depuis des années, alors pourquoi n’avait-elle rien accepté de Dieu lorsque des choses lui arrivaient et qu’au lieu de cela, elle cherchait toujours des raisons extérieures, en analysant trop les gens et les choses ? Puis j’ai pensé : « Elle est peut-être juste dans un mauvais état en ce moment. Si nous échangeons plus avec elle et l’aidons davantage, elle pourrait inverser son état et ne plus trop analyser les gens et les choses ». Plus tard, parce que Li Ping et Yingxin ne travaillaient pas bien ensemble, notre superviseuse nous a placées, Li Ping et moi, dans le même groupe. Au début, je ne pensais pas qu’après avoir été séparée de Yingxin, Li Ping se focaliserait encore autant sur elle, mais à chaque fois que je mentionnais Yingxin, Li Ping évoquait à nouveau les affaires qui la concernaient et les racontait. Ses paroles étaient pleines de jugements implicites sur Yingxin. Cependant, je ne pouvais pas voir clairement son essence, et pensais qu’elle était temporairement incapable de surmonter cela, qu’elle s’en remettrait peut-être avec le temps. Plus tard, Li Ping a été transférée dans un autre groupe pour faire son devoir. Les frères et sœurs ont rapporté qu’elle continuait à agir de la sorte, que dès que quelque chose touchait à son orgueil, elle faisait des histoires à n’en plus finir et ne pouvait pas travailler en harmonie avec les autres. Elle a également influencé l’état des autres et retardé le travail du groupe. Notre superviseuse a échangé avec elle à plusieurs reprises et lui a dit de se concentrer sur la recherche de la vérité et sur l’apprentissage des leçons, mais elle ne l’a jamais accepté et a continué à se défendre, causant des interruptions et des perturbations dans le travail. Jusqu’à ce qu’elle soit renvoyée, elle débattait du bien et du mal, ne réfléchissait pas sur elle-même et n’essayait pas de se connaître.

Plus tard, j’ai entendu des frères et sœurs parler de certains de ses comportements. Son comportement d’analyse excessive des gens et des choses était vraiment très marqué. Non seulement les gens se sentaient contraints, mais elle perturbait également le travail de l’Église. J’ai pensé : « Comment Dieu classe-t-il de tels comportements ? » En ce qui concerne ce problème, j’ai lu quelques paroles pertinentes de Dieu : « N’est-il pas abominable que certaines personnes aiment couper les cheveux en quatre et s’engager dans des voies sans issue dès qu’il leur arrive quelque chose ? Il s’agit là d’un grave problème. Les gens lucides ne commettront pas cette erreur, mais les gens absurdes sont ainsi. Ils s’imaginent toujours que les autres leur rendent les choses difficiles, que les autres leur donnent délibérément du fil à retordre, et c’est pourquoi ils s’attirent toujours l’hostilité des gens. N’est-ce pas une déviation ? Ils ne font pas d’effort concernant la vérité. Ils préfèrent ergoter sur des choses sans importance quand il leur arrive quelque chose, demandant des explications, essayant de sauver la face et ils utilisent toujours des solutions humaines pour aborder ces questions. C’est le plus grand obstacle à l’entrée dans la vie. Si tu crois en Dieu de cette manière, ou si tu pratiques ainsi, tu n’atteindras jamais la vérité parce que tu ne viens jamais devant Dieu. Tu ne viens jamais devant Dieu pour recevoir tout ce que Dieu a prévu pour toi et tu n’utilises pas la vérité pour aborder tout cela, mais tu adoptes plutôt des solutions humaines pour aborder les choses. Par conséquent, aux yeux de Dieu, tu t’es trop éloigné de Lui. Non seulement ton cœur s’est éloigné de Lui, mais ton être tout entier ne vit pas en Sa présence. C’est ainsi que Dieu considère ceux qui analysent toujours trop les choses et coupent les cheveux en quatre. […] Je vous le dis, quel que soit le devoir qu’un croyant accomplit, qu’il s’occupe d’affaires extérieures ou d’un devoir lié aux divers travaux ou champs d’expertise de la maison de Dieu, s’il ne vient pas fréquemment devant Dieu, qu’il ne vit pas en Sa présence, qu’il n’ose pas accepter Son examen et qu’il ne cherche pas la vérité auprès de Dieu, alors c’est un non-croyant, et il n’est pas différent de l’incroyant » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en vivant souvent devant Dieu que l’on peut avoir une relation normale avec Lui). « Pour une affaire impliquant la gloire, le gain ou le prestige, ils insistent pour clarifier qui a raison ou tort, qui est supérieur ou inférieur, et doivent argumenter pour justifier leur propos. Les autres ne veulent pas l’entendre. Les gens disent : “Peux-tu simplifier ce que tu dis ? Peux-tu être direct ? Pourquoi dois-tu être si trivial ?” Leurs pensées sont si compliquées et alambiquées, et ils vivent une vie si épuisante sans se rendre compte des problèmes sous-jacents. Pourquoi ne peuvent-ils pas chercher la vérité et être honnêtes ? Parce qu’ils ont de l’aversion pour la vérité et ne veulent pas être honnêtes. Alors, sur quoi comptent-ils dans la vie ? (Sur les philosophies pour les relations mondaines et sur les méthodes humaines.) Selon les méthodes humaines, agir tend à conduire à des résultats dans lesquels on finit par être moqué ou par révéler un côté laid de soi-même. Et donc, quand on examine les choses de plus près, leurs actions, ce qu’ils passent toute la journée à faire, tout est lié à leur propre image, à la gloire, le gain et à leur vanité. C’est comme s’ils étaient pris dans une toile d’araignée, ils doivent rationaliser ou trouver des excuses pour tout, et ils parlent toujours dans leur propre intérêt. Leur pensée est compliquée, ils disent beaucoup de sottises, leurs mots sont vraiment enchevêtrés. Ils se disputent sans cesse pour savoir ce qui est bien ou mal, c’est sans fin. S’ils n’essaient pas de sauver la face, ils rivalisent pour la réputation et le statut et il n’y a jamais un moment où ils ne vivent pas pour ces choses-là. Et quelle en est la conséquence ultime ? Ils ont peut-être fait bonne figure, mais tout le monde en a assez d’eux. Les gens les ont percés à jour et se sont rendu compte qu’ils sont dépourvus de la vérité-réalité, qu’ils ne sont pas des gens qui croient sincèrement en Dieu. Quand les dirigeants et ouvriers, ou les autres frères et sœurs émettent quelques critiques pour les émonder, ils s’obstinent à ne pas les accepter, ils s’obstinent à tenter de rationaliser ou à trouver des excuses, et ils essaient de se renvoyer la balle. Lors des réunions, ils se défendent, commencent des disputes et sèment le trouble parmi les élus de Dieu. Dans leur cœur, ils pensent : “N’y a-t-il vraiment nulle part où je puisse défendre mon cas ?” De quel genre de personnes s’agit-il ? De gens qui aiment la vérité ? De gens qui croient en Dieu ? Quand ils entendent quelqu’un dire quelque chose qui n’est pas conforme à leurs intentions, ils veulent toujours argumenter et demandent une explication, ils s’embrouillent pour savoir qui a raison et qui a tort, ils ne cherchent pas la vérité et ne traitent pas la situation selon les vérités-principes. Peu importe à quel point une affaire est simple, ils doivent la rendre très compliquée : ils ne font que chercher les ennuis, ils méritent d’être aussi épuisés ! » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Troisième partie). Dans ces paroles de Dieu, j’ai vu que ceux qui analysent trop les gens et les choses reconnaissent doctrinalement que Dieu exerce Sa souveraineté sur tout, et que leurs circonstances quotidiennes sont arrangées par Lui. Mais, face à ces circonstances réelles, ils ne les acceptent pas comme venant de Dieu, ne cherchent pas la vérité et n’en tirent pas de leçons. Ils croient plutôt que quelqu’un leur rend la vie difficile, et, afin de racheter leur fierté et leur réputation, ils débattent toujours du bien et du mal, faisant des histoires à n’en plus finir. Tout ce qu’ils apportent aux autres et au travail de l’Église, ce sont des perturbations. De telles personnes ont l’essence des non-croyants. Prenons l’exemple de Li Ping. Lorsqu’elle était la partenaire de Yingxin, il était évident qu’elles ne travaillaient pas bien ensemble et que cela avait déjà affecté leur devoir. Yingxin a signalé la véritable situation à la dirigeante, espérant obtenir de l’aide, mais Li Ping n’a pas accepté cela comme venant de Dieu, pensant plutôt que Yingxin portait plainte contre elle. Par la suite, elle a toujours surveillé Yingxin de près. Lors de réunions ou de discussions de travail, si Yingxin signalait certains problèmes ou faisait une suggestion raisonnable, Li Ping ne pouvait pas l’aborder correctement, croyant plutôt que Yingxin la visait et s’opposait ainsi délibérément à Yingxin. Elle faisait même exprès de créer des problèmes, en disant que si nous pensions qu’elle n’était pas bonne, nous devrions dire à la dirigeante de la transférer sur un autre devoir. Tout cela nous a donné l’impression d’être contraints et a affecté la vie et le travail de l’Église. Sœur Luo Wen venait de rejoindre le groupe et ne connaissait pas les principes et les compétences professionnelles, elle est donc allée parler à Yingxin. Li Ping a soupçonné Luo Wen de la mépriser, de prendre le parti de Yingxin et l’exclure. Lorsque les sœurs discutaient normalement ensemble du travail, Li Ping soupçonnait également que tout le monde la jugeait dans son dos, et elle gardait même intentionnellement de la rancune à l’égard des gens et était difficile avec eux. Cela a eu pour effet d’empêcher les gens de faire normalement leurs devoirs. En fait, toutes ces choses étaient tout à fait ordinaires et simples, des choses que les gens normaux pouvaient comprendre s’ils y réfléchissaient un peu. Mais elle analysait trop les gens et les choses et s’embrouillait ; ses pensées étaient extrêmement compliquées. Ensuite, tout le monde a échangé sur les paroles de Dieu et l’a aidée, mais elle n’a jamais manifesté la moindre intention de chercher. Au lieu de cela, elle se trouvait des excuses, se défendait et débattait du bien et du mal, en essayant de prouver son point de vue.

Dans le passé, j’ai toujours pensé que le fait qu’elle analyse trop les gens et les choses était un mauvais état temporaire. Maintenant, j’ai compris qu’avoir une révélation corrompue momentanée et avoir l’essence d’un non-croyant sont deux choses différentes. C’est comme les manifestations de certaines personnes qui analysent trop les gens et les choses, mais qui ne sont que temporairement incapables de comprendre l’intention de Dieu sur quelques points précis. Ou alors, elles se trouvent des excuses et se défendent pour sauver la face, mais en priant et en cherchant, ou en utilisant l’échange et l’aide des frères et sœurs, elles parviennent à comprendre l’intention de Dieu et n’analysent plus autant. De telles personnes acceptent la vérité et n’ont pas l’essence des non-croyants. En revanche, les personnes non-croyantes n’acceptent rien de Dieu, quoi qu’il leur arrive. Même s’il s’agit d’une toute petite chose que les autres peuvent comprendre facilement, elles analysent toujours les gens et les choses et sont incapables d’accepter l’échange et l’aide des frères et sœurs. Cela révèle que, par nature, elles ont de l’aversion pour la vérité et qu’elles comprennent les choses de manière grotesque. En repensant au comportement de Li Ping, c’est exactement ainsi qu’elle était lorsqu’elle était la partenaire de Yingxin il y a deux ou trois ans. Plus tard, elle et Yingxin ont été séparées, et même si, en apparence, elle ne semblait pas débattre du bien et du mal de façon aussi évidente, chaque fois que l’on parlait de Yingxin, elle recommençait à débattre du bien et du mal. Il était évident qu’elle n’avait pas du tout laissé tomber. Peu importe avec qui elle faisait équipe, dès que sa fierté et son statut étaient impliqués, elle contestait à l’extrême, n’apportant aux gens que des perturbations. Ensuite, plusieurs années se sont écoulées et elle était toujours ainsi ; il n’y avait aucun repentir ni aucun changement. Son essence était celle d’une non-croyante qui analysait trop les gens et les choses.

Avant, je croyais que, comme Li Ping semblait enthousiaste, faisant la charité et aidant les gens, et qu’elle était capable de renoncer et de se dépenser, cela signifiait qu’elle avait une bonne humanité et qu’elle devrait avoir une autre chance. Plus tard, j’ai réalisé que je ne savais pas discerner entre la bonne et la mauvaise humanité. Ensuite, j’ai lu quelques paroles de Dieu à ce sujet. Dieu dit : « Quand il arrive différentes choses aux gens, toutes sortes de manifestations en eux montrent la différence entre une bonne et une mauvaise humanité. Alors, quels sont les critères pour jauger l’humanité des gens ? Comment doit-on évaluer le type d’une personne et si cette personne peut ou non être sauvée ? Il faut savoir si cette personne aime la vérité ou non et si elle est capable ou non d’accepter et de pratiquer la vérité. Les gens ont tous en eux des notions et de la rébellion, ils ont tous des tempéraments corrompus, et il y a des moments où ce que Dieu leur demande entre en conflit avec leurs propres intérêts, et où ils ont à faire des choix, il s’agit là de situations dont ils feront souvent l’expérience, personne ne peut les éviter. Ces gens passent tous également par des périodes où ils comprennent mal Dieu et ont des notions sur Dieu, où ils se plaignent de Lui et Lui résistent, ou se rebellent contre Lui, mais parce que les gens adoptent des attitudes différentes vis-à-vis de la vérité, leur façon d’aborder celle-ci est variable. Certaines personnes ne parlent jamais de leurs notions, mais elles cherchent la vérité et résolvent ces notions toutes seules. Pourquoi ne parlent-elles pas de leurs notions ? (Parce qu’elles ont un cœur qui craint Dieu.) C’est exact : elles ont un cœur qui craint Dieu. Elles craignent que le fait de les exprimer ait un effet négatif, et elles essaient simplement de résoudre ces notions dans leur cœur, sans affecter qui que ce soit d’autre. Quand elles rencontrent des gens qui sont dans un état semblable au leur, elles se servent de leurs propres expériences pour les aider. C’est cela, avoir bon cœur. Les gens qui ont bon cœur se montrent aimants envers les autres, ils sont prêts à aider les autres à surmonter leurs difficultés. Ils ont des principes quand ils interviennent pour aider les autres, ils les aident à régler leurs problèmes pour qu’ils en tirent profit, et ils ne disent rien qui ne profite aux autres. Il s’agit là d’amour. De telles personnes ont un cœur qui craint Dieu, et leurs actes sont basés sur des principes et sur la sagesse. Voilà les critères pour jauger si l’humanité des gens est bonne ou mauvaise » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, L’attitude que l’homme doit avoir envers Dieu). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que les personnes dotées d’une bonne humanité aiment la vérité, sont prêtes à l’accepter et ont un cœur bienveillant. Ces personnes, lorsqu’elles fréquentent d’autres personnes, peuvent se mettre à leur place et réfléchir à la manière de parler et d’agir pour édifier les autres. Si elles ont des notions sur Dieu ou développent des préjugés à l’égard des gens, elles ne les laissent pas éclater de manière irréfléchie. Au contraire, elles sont capables de rechercher la vérité pour les résoudre. Elles ne disent pas de choses qui ne sont pas bénéfiques pour les gens. Ces personnes ont un cœur qui craint Dieu et ont des principes dans leurs paroles et leurs actions. Il s’agit de personnes dotées d’une bonne humanité. Comparez cela au comportement de Li Ping en vous basant sur les paroles de Dieu, chaque fois que quelque chose mettait en jeu sa réputation et son statut, elle laissait éclater son mécontentement. Elle ne se demandait pas si ses paroles allaient blesser ses frères et sœurs ni les conséquences qu’elles pourraient entraîner. Lorsque les autres lui signalaient ses problèmes, elle ne les acceptait pas du tout et, par la suite, elle s’y accrochait et ne les laissait pas tomber. Li Ping croyait en Dieu depuis plus de 20 ans ; ne comprenait-elle vraiment rien de tout cela ? Dans le passé, je ne regardais que son extérieur. Comme elle croyait en Dieu depuis longtemps, était chaleureuse avec les gens et capable de renoncer et de se dépenser, faisait souvent la charité et aidait les gens, je pensais qu’elle devait avoir une bonne humanité. Mais lorsque les gens lui signalaient ses problèmes et échangeaient avec elle, elle ne l’acceptait pas du tout et, en plus, elle retournait la situation, attaquait et jugeait les autres. Ce n’était pas une bonne humanité.

En exposant les paroles de Dieu, j’ai gagné un certain discernement quant à l’humanité de Li Ping et à son comportement non croyant. Cependant, lorsque j’ai pensé à la façon dont elle avait cru en Dieu pendant des décennies et avait été capable de renoncer, de se dépenser et d’endurer la souffrance, et au fait qu’elle allait maintenant être exclue, j’ai éprouvé une certaine sympathie pour elle. Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Certains disent : “Si quelqu’un mange et boit des paroles de Dieu et échange sur la vérité tous les jours, qu’il est capable d’accomplir son devoir normalement, qu’il fait tout ce que l’Église arrange et ne cause jamais de troubles ni de perturbations, et que même s’il peut y avoir des moments où il enfreint les principes vérité, il ne le fait pas consciemment ni intentionnellement, cela ne démontre-t-il pas qu’il poursuit la vérité ?” C’est une bonne question. Une telle pensée est dans l’esprit de beaucoup de gens. Tout d’abord, vous devez savoir si quelqu’un serait capable d’atteindre une compréhension de la vérité et d’obtenir la vérité en pratiquant constamment de la sorte. Qu’en dites-vous ? (Même si pratiquer ainsi est correct, cela ressemble davantage à un rituel religieux, c’est suivre des règles. Cela ne peut pas mener à une compréhension de la vérité ni à l’obtention de la vérité.) Alors, de quels types de comportements s’agit-il vraiment ? (Ce sont des comportements superficiellement bons.) J’aime cette réponse. Ce ne sont que de bons comportements qui émergent après qu’une personne en est venue à croire en Dieu, qui découlent d’un fondement de la conscience et de la raison de cette personne, une fois que celle-ci a été influencée par divers enseignements bons et positifs. Mais ce ne sont rien de plus que de bons comportements, qui sont loin d’être la poursuite de la vérité. Quelle est alors la cause profonde qui sous-tend ces bons comportements ? Qu’est-ce qui les fait naître ? Ils émergent de la conscience et de la raison d’une personne, de sa moralité, des sentiments favorables qu’elle éprouve vis-à-vis de la croyance en Dieu, et de sa retenue. Comme il ne s’agit que de bons comportements, ces comportements n’ont aucun rapport avec la vérité, ce n’est en aucun cas la même chose. Avoir de bons comportements n’est pas la même chose que pratiquer la vérité, et si une personne se comporte bien, cela ne signifie pas qu’elle a l’approbation de Dieu. Les bons comportements et la pratique de la vérité sont des choses différentes, qui n’ont aucune incidence les unes sur les autres. Pratiquer la vérité est l’exigence de Dieu et c’est entièrement conforme à Ses intentions. Un bon comportement provient de la volonté de l’homme et comprend les intentions et les motivations de l’homme. C’est quelque chose que l’homme considère comme bon. Les bons comportements, bien qu’ils ne soient pas de mauvaises actions, vont à l’encontre des principes vérité et n’ont rien à voir avec la vérité. Ces comportements n’ont aucun rapport avec la vérité, peu importe à quel point ils sont bons ou à quel point ils s’accordent avec les notions et l’imagination de l’homme. De sorte qu’aucun bon comportement ne peut recevoir l’approbation de Dieu. Puisqu’un bon comportement est défini de cette façon, il est clair que les bons comportements ne sont pas liés à la pratique de la vérité. Si les gens devaient être classés par types en fonction de leur comportement, alors ces bons comportements seraient, tout au plus, les actions de fidèles exécutants, et pas davantage. Ils n’ont aucun rapport avec la pratique de la vérité ni avec la vraie soumission à Dieu. Ils ne sont qu’une sorte de comportement et n’ont aucun rapport avec le changement de tempérament des gens, avec leur soumission à la vérité et leur acceptation de celle-ci, avec la crainte de Dieu et l’éloignement du mal, ou tout autre élément pratique qui implique vraiment la vérité. Alors, pourquoi les appelle-t-on de bons comportements ? Voici une explication et naturellement, c’est aussi une explication de l’essence de cette question. C’est que ces comportements ne découlent que des notions des gens, de leurs préférences, de leur volonté et de leurs propres efforts déterminés. Ce ne sont pas des manifestations de la repentance qui accompagnent l’obtention de la véritable connaissance de soi quand on accepte la vérité et le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, et ce ne sont pas non plus les comportements ou les actes de la pratique de la vérité qui se manifestent quand les gens essaient de se soumettre à Dieu. Comprenez-vous cela ? Cela signifie que ces bons comportements n’impliquent en aucune façon un changement dans le tempérament d’une personne, ni ce qui découle du fait de subir le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, ni la vraie repentance qui surgit quand on en vient à connaître son propre tempérament corrompu. Ces comportements n’ont assurément aucun rapport avec la véritable soumission de l’homme à Dieu et à la vérité, et ils ont encore moins de rapport avec le fait d’avoir un cœur de crainte et d’amour pour Dieu. Les bons comportements n’ont rien à voir du tout avec ces choses-là : ils sont simplement quelque chose qui vient de l’homme et que l’homme considère comme bon. Pourtant, nombreux sont ceux qui voient dans ces bons comportements le signe qu’une personne pratique la vérité. C’est une grave erreur, une vision et une compréhension absurdes. Ces bons comportements ne sont qu’un exercice de cérémonie religieuse et une façon de faire les choses pour la forme. Ils n’ont pas le moindre lien avec la pratique de la vérité. Il se peut que Dieu ne les condamne pas purement et simplement, mais Il ne les approuve absolument pas, c’est certain » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, En quoi consiste la poursuite de la vérité (1)). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai compris que le fait que Li Ping ait cru au Seigneur pendant plus de 10 ans, ait accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours pendant plus de 20 ans, se soit dépensée toujours avec enthousiasme, ait abandonné sa famille et renoncé à sa carrière pendant cette période, tout cela était autant d’exemples de son enthousiasme superficiel et de sa bonne conduite. Ils n’étaient pas à la hauteur de la norme de la pratique de la vérité. Après avoir cru en Dieu, de nombreuses personnes affichent un bon comportement, mais comme leur nature n’est pas d’aimer la vérité, et qu’elles ne peuvent pas accepter le jugement et le châtiment des paroles de Dieu, leur tempérament de vie ne change pas du tout, même après des années de croyance en Dieu. Ces personnes seront tout de même abandonnées et éliminées par Dieu à la fin. Afficher un bon comportement ne signifie pas pratiquer la vérité. Si elle se contente d’afficher un bon comportement mais qu’elle n’accepte ni ne pratique jamais la vérité, alors une telle personne est capable de résister à Dieu n’importe quand et n’importe où. C’est comme dans la religion, il y a eu beaucoup de gens qui ont cru au Seigneur pendant toute une vie, en travaillant dur, en renonçant et en se dépensant. Cependant, lorsque Dieu Tout-Puissant, Christ des derniers jours, est venu œuvrer, exprimer la vérité et sauver l’humanité, ils L’ont condamné, Lui ont résisté et L’ont rejeté. Ils ont fait la fine bouche devant les vérités qu’Il a exprimées. Même s’ils affichaient un bon comportement, Dieu ne les approuvait pas. Il les a condamnés comme des gens qui résistaient à Dieu. J’ai pensé aux pharisiens, qui servaient l’Éternel Dieu dans le temple et voyageaient à travers les mers et les terres pour prêcher et travailler. Aux yeux des autres, leur comportement était très bon, et on ne pouvait même pas trouver de faute, mais quand le Seigneur Jésus est apparu pour œuvrer, ils Lui ont résisté, L’ont condamné et L’ont même crucifié. Leur nature-essence était de haïr la vérité et Dieu. Le Seigneur Jésus les a condamnés comme étant de l’espèce du serpent, et à la fin, ils ont tous été punis et maudits par Dieu. J’ai ainsi pu observer qu’en ne regardant que le bon comportement superficiel des gens et en ne discernant pas leur attitude vis-à-vis de la vérité, il était très facile d’être fourvoyé !

Plus tard, j’ai réfléchi : « Alors, comment doit-on considérer les personnes qui, comme Li Ping, se révèlent être des non-croyants ? Quelles sont les personnes qui peuvent rester dans l’Église pour rendre service et quelles sont celles qui doivent être exclues ? Quels principes cela implique-t-il ? » J’ai lu ce passage de la parole de Dieu : « Si ce sont des sceptiques, des non-croyants, mais qu’ils sont disposés à rendre service et capables d’être obéissants et de se soumettre, alors, même s’ils ne poursuivent pas la vérité, ne les importune pas et ne les exclus pas. Au contraire, permets-leur de continuer à rendre service, et si tu peux les aider, alors aide-les. S’ils n’ont pas même le désir de rendre service et qu’ils se mettent à être négligents et à commettre des actes malfaisants, alors nous avons fait tout ce qui était nécessaire. S’ils veulent partir, laisse-les partir et ne les regrette pas une fois qu’ils seront partis. Ils en sont au stade où ils doivent partir et de telles personnes ne méritent pas notre pitié, car ce sont des sceptiques. Le plus pitoyable, c’est qu’il existe des gens qui sont incroyablement stupides, qui ont toujours des sentiments personnels envers ceux qui sont renvoyés, qui se languissent toujours d’eux, qui parlent en leur nom, qui se battent pour eux et même, qui pleurent, prient et implorent pour eux. Que pensez-vous de ce que font ces gens ? (C’est vraiment stupide.) En quoi est-ce stupide ? (Ceux qui s’en vont sont des sceptiques, ils n’acceptent pas la vérité et ils ne valent tout simplement pas la peine qu’on prie pour eux et qu’on les regrette. Seuls ceux à qui Dieu donne des opportunités et qui ont l’espoir d’être sauvés méritent les larmes et les prières des autres. Si quelqu’un prie pour un sceptique ou un démon, alors il est vraiment stupide et ignorant.) D’une part, ils ne croient pas sincèrement qu’il y ait un Dieu : ce sont des sceptiques. D’autre part, la nature-essence de ces gens-là est celle de non-croyants. Quel est le sens implicite de tout cela ? C’est que ce ne sont pas du tout des personnes, mais que leur nature-essence est celle d’un démon, de Satan, et que ces gens s’opposent à Dieu. Voilà la situation en ce qui concerne leur nature-essence. Il y a cependant autre chose, c’est que Dieu choisit des gens, pas des démons. Dis-Moi donc, ces démons sont-ils le peuple élu de Dieu et sont-ils choisis par Dieu ? (Non.) Ils ne sont pas le peuple élu de Dieu, donc si tu as toujours des liens émotionnels compliqués avec ces gens et que tu es triste de les voir partir, est-ce que cela ne fait pas de toi un imbécile ? Cela ne te met-il pas en opposition avec Dieu ? Si tu n’as pas de sentiments profonds envers les vrais frères et sœurs, mais que tu éprouves des sentiments profonds pour ces démons, qu’es-tu donc ? Au minimum, tu es confus, tu ne considères pas les gens conformément aux paroles de Dieu, tu ne te comportes pas encore avec un point de vue correct et tu ne gères pas les choses avec des principes. Tu es une personne confuse » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (4)). En ce qui concerne la manière dont les personnes révélées comme non-croyantes doivent être considérées, Dieu S’exprime très clairement. Si elles sont obéissantes, soumises et prêtes à rendre service, alors même si elles ne poursuivent pas la vérité, elles peuvent rester pour rendre service tant qu’elles ne causent pas d’interruptions et de perturbations. Si elles ne rendent pas correctement service, deviennent superficielles ou font le mal, interrompent ou perturbent le travail de l’Église, n’acceptent pas ou ne se repentent pas lorsque les frères et sœurs les exposent et les émondent, et entraînent plus de pertes que de gains lorsqu’elles font leur devoir, alors, elles doivent être renvoyées. Dieu sauve l’homme, et la conscience de l’homme devrait avoir une limite. Même si l’on ne poursuit pas la vérité, il faut au moins ne pas causer d’interruptions ni de perturbations. L’essence de tous ceux qui sont capables de faire le mal, d’interrompre et de perturber le travail de la maison de Dieu est celle des démons et de Satan. Même si ces personnes restent au sein de l’Église, elles ne servent à rien. Elles doivent être renvoyées. J’ai comparé cela au comportement de Li Ping : elle a cru en Dieu pendant de nombreuses années et, après que des choses lui soient arrivées, elle n’a pas cherché la vérité et s’est obstinée à trop analyser les gens et les choses, perturbant les frères et sœurs et le travail de l’Église. Des frères et des sœurs ont échangé avec elle et l’ont aidée à plusieurs reprises, mais elle ne s’est pas réveillée et ne s’est pas repentie le moins du monde. Sa nature-essence était d’avoir de l’aversion pour la vérité et de la haïr, et elle était une non-croyante exposée. Le renvoi de Li Ping par l’Église révélerait complètement la justice de Dieu. Dans le passé, lorsqu’il s’agissait de juger Li Ping, je ne la jugeais pas en me basant sur les paroles de Dieu, mais selon mes propres notions et ma propre imagination. J’ai pensé que, puisqu’elle était capable de renoncer, de se dépenser, d’endurer la souffrance, de se retenir et d’afficher un bon comportement, elle était quelqu’un qui avait une vraie foi en Dieu. C’est pourquoi, avec mes bonnes intentions, je voulais qu’elle reste dans l’Église. J’étais vraiment aveugle ! Dieu n’a jamais dit que tous ceux qui affichaient un bon comportement avaient une vraie foi en Dieu. Dieu mesure les personnes en fonction de leur nature-essence et de leur attitude à l’égard de la vérité, ainsi que du chemin qu’elles ont suivi depuis le début. L’œuvre de Dieu est déjà arrivée à l’étape finale de classification des personnes selon leur genre. Les personnes qui aiment et peuvent accepter la vérité, les personnes qui ont de l’aversion pour elle et qui la haïssent, les personnes qui sont du blé, et les personnes qui sont de l’ivraie, Dieu va toutes les révéler. Ces non-croyants, ces personnes malfaisantes et ces antéchrists qui ont de l’aversion pour la vérité et la haïssent seront tous éliminés par Dieu. À présent, j’étais encore capable de ressentir de la compassion pour Li Ping qui s’est révélée être une non-croyante ; n’étais-je pas en train de m’opposer à Dieu et de Lui résister ? J’ai vraiment été stupide ! Je dois la discerner, la rejeter dans mon cœur, et indiquer rapidement à l’Église ses comportements de non-croyante, afin de sauvegarder le travail de la maison de Dieu. Je ne pouvais pas rester confuse plus longtemps !

Peu après, j’ai indiqué à l’Église les comportements de non-croyante de Li Ping, et elle a rapidement été exclue. En faisant l’expérience de ce processus d’exclusion de Li Ping, j’ai acquis un certain discernement à l’égard des non-croyants, ainsi qu’une certaine compréhension des points de vue fallacieux qui m’habitent. J’ai compris que quelqu’un n’a pas une vraie foi en Dieu simplement parce qu’il affiche un bon comportement. Si quelqu’un n’aime pas ou n’accepte pas la vérité, il sera tôt ou tard révélé et éliminé. J’ai vu qu’il n’était juste que de discerner les gens en se basant sur les paroles de Dieu.

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