À la croisée des chemins
Par Kara, Corée du SudJ’avais une famille heureuse et un très bon mari. On avait ouvert un restaurant familial qui marchait très bien. Nos...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En décembre 2012, j’ai accepté l’Évangile de Dieu Tout-Puissant des derniers jours et peu après, j’ai rejoint les rangs de ceux qui prêchent l’Évangile. Ma belle-mère était athée et membre du parti, et elle s’opposait fermement à ma foi. Une fois, elle m’a dit : « Lors d’une réunion, les responsables du village ont dit que le gouvernement réprimait sévèrement l’“Éclair Oriental” et que quiconque connaissait des croyants en Dieu Tout-Puissant devait les dénoncer. Ils ont également précisé que les enfants de ceux qui croient en Dieu Tout-Puissant ne seront pas autorisés à servir dans l’armée et à passer l’examen de la fonction publique, et que les prestations sociales de leurs familles seraient toutes annulées. » Ma belle-mère avait peur que ma foi en Dieu n’affecte l’avenir de mes neveux et nièces, et que l’allocation de subsistance de mon beau-frère et la pension de mon beau-père soient supprimées, alors elle a fait tout ce qu’elle pouvait pour m’empêcher de croire en Dieu, en propageant à plusieurs reprises des rumeurs sans fondement et en me calomniant dans le village. Je lui ai dit : « Je suis le bon chemin dans la vie en croyant en Dieu et je n’ai enfreint aucune loi. Ne dites pas de telles bêtises si vous ne savez rien. » Elle a refusé d’écouter et a même dit des choses blasphématoires en me lançant des regards noirs. J’étais furieuse, alors je lui ai témoigné du tempérament juste de Dieu, « Dieu dit : “Toute personne qui résiste à l’œuvre de Dieu sera bannie en enfer ; tout pays qui résiste à l’œuvre de Dieu sera détruit par Dieu ; toute nation qui s’élève pour s’opposer à l’œuvre de Dieu sera effacée de cette terre et cessera d’exister” (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité). Le tempérament de Dieu ne tolère pas l’offense. Vous serez punie par Dieu pour vos blasphèmes et vos calomnies contre Son œuvre. » Ma belle-mère n’a rien dit d’autre après avoir entendu cela.
Un après-midi de 2013, la Sœur Chen Li, de mon village, est venue me trouver pour prêcher l’Évangile, et ma belle-mère nous a vues. Le matin suivant, ma belle-mère a pris un bâton et est allée dire à Chen Li de ne plus venir me chercher. Elle a également ajouté que si quelqu’un d’autre venait me voir pour des réunions ou des questions de foi, elle nous dénoncerait à la police. Quand j’ai appris qu’elle allait nous dénoncer à la police, j’ai eu un peu peur, en pensant : « J’avais prévu de sortir prêcher l’Évangile dans l’après-midi. Et si ma belle-mère me dénonçait à la police ? Que vais-je faire si la police vient pour m’arrêter ? » La pensée de la façon dont la police a torturé des frères et des sœurs m’a fait peur, mais j’ai ensuite pensé que nous vivions une période cruciale pour la diffusion de l’Évangile et que de nombreuses personnes devaient encore venir à Dieu. J’ai réalisé que si je croyais en Dieu uniquement pour bénéficier de Sa grâce sans faire mon devoir, je manquerais de conscience. Je me suis mise à genoux et j’ai prié Dieu en Lui demandant de me donner la foi et la force. Après avoir prié, mon cœur s’est calmé. J’ai pris un recueil d’hymnes et j’ai commencé à le feuilleter, et j’ai lu des paroles familières : « Dieu est mon soutien, pourquoi avoir peur ? Je combattrai Satan jusqu’à la fin » (Suivre l’Agneau et chanter des cantiques nouveaux, Le royaume). En réfléchissant aux paroles, j’ai senti mon cœur se remplir de force : « Dieu est mon soutien, mon bouclier – alors qu’est-ce que j’ai à craindre ? Peu importe que ma belle-mère essaie frénétiquement de m’arrêter, elle est entre les mains de Dieu, et je dois apprendre à m’en remettre à Dieu. » L’après-midi, je suis donc sortie pour prêcher à nouveau l’Évangile. Plus tard, comme la persécution de ma belle-mère était devenue trop intense, j’ai dû déménager et louer un logement, en m’occupant de la scolarité de mes deux enfants pendant que je faisais mon devoir. Pendant les vacances de la fête nationale de 2013, mon mari est rentré à la maison pour ses congés et je lui ai prêché l’Évangile. Il n’a pas cru, mais il n’a pas dit grand-chose non plus. Mais le lendemain, après avoir vu ma belle-mère, il est revenu et il avait changé. Il a dit avec colère : « Quand je suis rentré chez moi aujourd’hui, ils m’ont dit que tu sortais tous les jours pour prêcher l’Évangile, et que je ne peux même pas contrôler ma femme. Ta foi en Dieu Tout-Puissant est contestée par le gouvernement, et si tu es arrêtée et emprisonnée, toute la famille sera impliquée ! Tu dois abandonner ta foi ! » J’ai dit : « Le Dieu Tout-Puissant auquel je crois est le seul vrai Dieu qui a créé les cieux, la terre et toutes choses, le Rédempteur de l’humanité. L’opposition du gouvernement prouve à quel point il est malveillant ! » Quand mon mari a vu que je n’écoutais pas ses conseils, il m’a frappé plusieurs fois sur la tête et a cassé mon lecteur MP5 en morceaux. En voyant le lecteur détruit, j’ai eu l’impression que mon cœur se brisait. Sans mon lecteur MP5, comment pourrais-je continuer à lire les paroles de Dieu ? Je me suis écriée : « Pourquoi t’opposes-tu à une chose aussi bonne que ma croyance en Dieu ? Je n’ai pas négligé les enfants ni retardé mes tâches ménagères. Pourquoi ne me laisses-tu pas croire ? » Mon mari m’a hurlé : « Le gouvernement s’y oppose, alors tu ne peux pas croire ! ». Après m’avoir maudite, il a commencé à me frapper et à me donner des coups de pied. Mes deux filles sont venues et m’ont fait un câlin, mais mon mari les a écartées avec colère, m’a jetée à terre et m’a traînée tout en me battant. Ces jours-là, chaque fois que le sujet de la foi était abordé, mon mari me battait violemment sans hésitation. Je vivais dans une peur constante, craignant qu’il ne me frappe à nouveau si je ne faisais pas attention. Je souffrais beaucoup et me sentais très faible. J’avais l’impression que la vie était trop difficile, à force d’être battue et humiliée tous les jours, et que si je ne croyais pas en Dieu, je n’aurais peut-être pas à endurer cette souffrance. Mais j’ai alors pensé qu’avant de trouver Dieu, j’étais perdue et sans soutien, et qu’après avoir L’avoir trouvé, chaque fois que quelque chose de préoccupant se produisait, je priais Dieu. Il me guidait, me frayait un chemin et je jouissais de Sa paix, de Sa joie, de Sa grâce et de Ses bénédictions, ainsi que de la provision abondante de Ses paroles. Je ne pouvais pas vivre sans Dieu. Mais si je continuais à croire en Dieu, mon mari continuerait à me battre. J’ai ressenti de l’angoisse et de la douleur, en souhaitant tellement que Dieu enlève cette situation et que mon mari parte bientôt au travail et ne revienne pas pendant les prochaines vacances.
Le quatrième jour, mon mari m’a de nouveau dit méchamment : « Dans quelques jours, quand je partirai au travail, ne sors plus pour pratiquer ta foi. Contente-toi de rester à la maison et de t’occuper des enfants. Si tu continues à croire, je divorcerai et je te traînerai dans la rue pour te battre – ou alors je t’enverrai au poste de police ! » Je n’ai rien dit, et mon mari a continué à me presser : « Alors ? Vas-tu abandonner ta foi ou non ? » J’avais peur de ne jamais revoir mes filles si mon mari divorçait vraiment. Ma plus jeune fille n’avait alors que 3 ans et nous n’avions jamais été séparées. Ma belle-mère préférait les garçons aux filles et ne m’aidait pas à m’occuper des enfants, alors si nous divorcions, qui s’occuperait de mes filles ? Mais si je ne croyais pas en Dieu, ne serait-ce pas Le trahir et m’abandonner à Satan ? J’avais mangé et bu tant de paroles de Dieu, j’avais compris certaines vérités, et j’avais bénéficié de tant d’amour de Sa part. Si je quittais Dieu, ne manquerais-je pas de conscience ? Mais si je continuais à croire en Dieu, que se passerait-il si mon mari divorçait vraiment ? Qu’arriverait-il à mes filles ? Je n’ai pas osé y réfléchir davantage. Dans ma douleur et ma faiblesse, je ne pouvais que continuer à prier Dieu dans mon cœur, en Lui demandant de me donner la foi et la force. Après avoir prié, j’ai pensé aux paroles de Dieu : « Vous devriez poursuivre toutes les choses belles et bonnes, et vous devriez obtenir la réalité de toutes les choses positives. Plus encore, vous devriez vous montrer responsables vis-à-vis de votre vie ; vous ne devez pas la prendre à la légère. Les gens viennent sur terre et il est rare de Me rencontrer, et il est également rare d’avoir l’occasion de chercher et de gagner la vérité. Pourquoi n’accorderiez-vous pas de valeur à ce beau moment comme étant la bonne voie à poursuivre dans cette vie ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Paroles pour les jeunes et les vieux). Dans les derniers jours, Dieu s’est fait chair pour œuvrer et sauver les hommes. C’est une opportunité d’une rareté stupéfiante et notre dernière chance, et si nous la perdons, il n’y en aura pas d’autre. Sans gagner la vérité, nous ne pouvons pas être sauvés et nous finirons par tomber dans le désastre et être punis. Suivre Dieu, c’est suivre le bon chemin dans la vie, et je devais m’en remettre à Dieu et avancer sans hésitation. Même si ma fille est mon enfant, je ne peux pas contrôler son destin, je devais la confier à Dieu et le laisser orchestrer et arranger sa vie. Mon mari me menaçait de divorcer pour me faire abandonner ma foi, mais je ne pouvais pas tomber dans son piège et quoi qu’il arrive, je ne pouvais pas abandonner ma foi. J’ai dit à mon mari : « Si tu veux divorcer, alors vas-y. Je ne renierai pas Dieu et je ne Le quitterai pas. » Quand mon mari a compris que j’avais l’intention de m’accrocher à ma foi, il a téléphoné à mon père pour qu’il vienne. Mon père a dit à mon mari : « Nous l’avons tous exhortée à ne pas croire, mais elle n’écoute personne. Elle m’a complètement ridiculisé. Cette fois-ci, tu reviens et tu la remets d’aplomb, et si elle n’écoute toujours pas, casse-lui les jambes et tu verras si elle court dans tous les sens comme ça ! » En entendant cela, j’ai pensé : « Ces gens sont-ils vraiment ma famille ? Ils me traitent comme cela juste à cause de ma foi. » Je leur ai dit : « Je crois en Dieu. Je n’ai jamais arnaqué, volé ou fait quoi que ce soit d’autre d’illégal. Je ne fais que prêcher l’Évangile pour que les gens puissent venir devant Dieu et accepter Son salut. C’est la chose la plus juste qui soit. Comment cela a-t-il pu devenir quelque chose de honteux ? J’ai bien élevé mes deux enfants et je ne vous ai pas causé d’inquiétude. Pourquoi croyez-vous les rumeurs sans fondement et les paroles diaboliques du PCC ? Arrêtez d’essayer de vous mettre en travers de mon chemin. Même si nous divorçons, je continuerai à croire en Dieu. » Mon père a dit avec colère : « Si tu n’abandonnes pas ta foi, alors à partir de maintenant, je ne te considère plus comme ma fille ! »
Après le départ de mon père, mon mari a dit : « Tu n’écoutes personne et tu persistes à croire en ton Dieu. Je vais te casser les jambes aujourd’hui et je ne crois pas être incapable de te gérer ! » Après avoir dit cela, il a crié à nos deux filles de retourner au lit, en les menaçant de les battre aussi si elles sortaient pour l’arrêter. Mes filles étaient effrayées et sont retournées dans leur chambre. Mon mari m’a attrapée, m’a traînée dans une autre pièce dont il a fermé la porte à clé. Puis il m’a donné un coup de poing sur la joue droite, et ma bouche s’est immédiatement mise à saigner. Ensuite, il m’a donné un coup de pied pour me faire tomber par terre et a continué à me frapper avec ses poings. J’ai été frappée si violemment que je voyais trente-six chandelles et que j’avais des vertiges. Je me suis assise sur le sol froid, en pleurant de douleur et de tristesse. J’étais furieuse et je pensais : « Je crois seulement en Dieu et je n’ai rien fait de mal, et pourtant il me bat comme ça. C’est vraiment un démon qui hait Dieu ! » Après une série de coups de poing et de pied, mon mari a vu que je n’avais aucune intention de renier Dieu, alors il a pris un téléphone cassé et a commencé à me frapper sur la tête, les bras et les jambes. Tout en me frappant, il a continué à m’interroger : « Où se tiennent vos réunions ? Qui est la femme qui est venue te trouver hier ? Où habite-t-elle ? Parle ! Je vais vous faire arrêter par la police toutes les deux ! Est-ce que tu vas laisser tomber ta foi oui ou non ? » J’ai vu que mon mari était devenu comme un démon fou et je l’ai profondément haï dans mon cœur. Il avait beau me frapper et m’interroger, je ne disais pas un mot. Mon mari continuait de me frapper, mais je n’avais aucun endroit où me cacher, alors je ne pouvais que me mettre en boule et protéger ma tête. J’ai désespérément prié Dieu dans mon cœur : « Dieu, mon mari me bat et ne me laisse pas croire en Toi. Je suis si faible. Mon corps me fait tellement mal que je peux difficilement le supporter, mais je ne veux pas Te trahir juste pour prendre soin de ma chair. Dieu, donne-moi la détermination d’endurer la souffrance, garde-moi ferme dans mon témoignage pour Toi dans cette situation et ne me laisse pas faire de compromis avec Satan. » Après avoir prié, j’ai pensé aux paroles de Dieu : « Ne te décourage pas, ne sois pas faible, et Je rendrai les choses claires pour toi. La route vers le royaume n’est pas si lisse ; rien n’est si simple ! Tu veux que les bénédictions viennent à toi facilement, n’est-ce pas ? Aujourd’hui, tout le monde aura des épreuves amères à affronter. Sans de telles épreuves, le cœur qui M’aime que vous avez ne deviendra pas plus fort et vous n’aurez pas un amour vrai pour Moi. Même si ces épreuves sont constituées simplement de circonstances mineures, tout le monde doit passer à travers ; c’est juste que la difficulté des épreuves variera d’une personne à une autre » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 41). Les paroles de Dieu m’ont donné de la force. Peu importe la façon dont mon mari m’interrogeait, je refusais de transiger. Mon mari était tellement en colère qu’il a serré les dents, puis il a pris une tapette à moustiques électrique et m’a frappée avec. Il en a cassé une qui était en parfait état en trois morceaux en me frappant. Ensuite, il a pris un petit marteau pour me frapper. J’avais tellement peur que je tremblais de tous mes membres et que je me suis réfugiée dans un coin. J’ai continué à crier à Dieu dans mon cœur. Mon mari était déjà rouge de rage, et, sans la moindre retenue, il m’a donné un coup de marteau sur la tête. Instinctivement, j’ai levé les mains pour me protéger la tête. Le dos de mes deux mains était déjà blessé, si bien qu’après un coup, un gros hématome violet s’est immédiatement formé sur celui de ma main droite. Tout en me frappant, il m’a hurlé : « Dis-moi ! Tu crois toujours en Dieu maintenant ? Aujourd’hui, si tu crois encore, je vais faire ce que ton père a dit et te casser les jambes ! » Chaque coup était si douloureux que j’avais du mal à le supporter. Je ne savais pas combien de fois il avait frappé mon corps et mes jambes avec le marteau. Je souffrais tellement que j’ai eu l’impression d’être sur le point de mourir et de rendre mon dernier souffle. J’ai pensé : « S’il continue à me frapper comme ça, est-ce que je vais en mourir ce soir ? Et si je suis battue à mort ou infirme ? » Je souffrais beaucoup et j’ai prié Dieu avec insistance : « Dieu, je sens que je n’en peux plus. S’il Te plaît, donne-moi la force et la foi. Même si mon mari me tue, je ne Te trahirai pas. » Après avoir prié, j’ai senti que ma respiration se calmait un peu. Je savais que c’était la protection de Dieu et je Lui en étais très reconnaissante. J’ai pensé à ce que Dieu avait dit : « De tout ce qui se produit dans l’univers, il n’y a aucun domaine dans lequel Je n’ai pas le dernier mot. Y a-t-il quelque chose qui ne soit pas dans Mes mains ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 1). Ma vie est entre les mains de Dieu, mon souffle est donné par Dieu et ma vie et ma mort sont contrôlées par Lui. Le fait que je sois tuée par mon mari ce jour-là dépendait également de Dieu. Si Dieu ne le permettait pas, je ne mourrais pas, même si j’en étais à mon dernier souffle. Je devais mettre ma vie en jeu pour rester ferme dans mon témoignage pour Dieu. Alors je me suis levée et j’ai dit à mon mari : « Même si tu me tues, je continuerai à croire en Dieu, je suis née pour croire en Dieu et faire mon devoir ! » Contre toute attente, lorsque j’ai mis ma vie en jeu pour suivre Dieu, mon mari a jeté le marteau par terre avec grand fracas et a cessé de me frapper. Il m’a dit, résigné : « J’abandonne. Tu es vraiment dure comme la pierre. Tu m’as tellement mis en colère que j’ai envie de sauter du haut d’un immeuble ! » Après avoir dit cela, il est allé se coucher très en colère. Je suis restée assise sur le sol froid pendant un bon moment, mon corps entier me faisait souffrir de manière insupportable, mais j’étais reconnaissante de ne pas avoir fait de compromis avec Satan. Mon cœur était rempli de gratitude envers Dieu, et je L’ai remercié de m’avoir empêchée de dire quoi que ce soit qui Le renie. Plus tard, mon mari a vu que j’étais déterminée à croire en Dieu et qu’il ne pouvait rien y faire, alors il a cessé de parler de divorce. À la fin des vacances, il est parti travailler ailleurs.
Avant même que je m’en rende compte, les vacances de la fête nationale de 2014 sont arrivées, et mon mari est revenu pendant ses congés. Le soir du 4 octobre, je revenais d’une réunion, et en constatant que je croyais toujours en Dieu, il m’a dit avec colère : « Les dirigeants de notre entreprise ont dit que selon les règlementations nationales, si on constate que la famille d’un employé croit en Dieu Tout-Puissant, cet employé sera licencié. Si les dirigeants de mon entreprise découvrent que tu crois en Dieu, je perdrai mon emploi. Tu réalises que si je perds mon emploi, nous mourrons tous de faim, n’est-ce pas ? Tu dois abandonner ta foi ! » Nous nous sommes disputés pendant un moment, puis il a serré les dents et m’a poussée par terre. Puis il a tranquillement attrapé un petit tabouret et l’a frappé aussi fort qu’il le pouvait contre mon tibia par trois fois. La douleur m’a fait verser des larmes. Durant tout ce temps, mon mari n’a cessé de me maudire, en me disant que s’il n’avait pas eu si peur d’enfreindre la loi, il m’aurait tuée. J’ai su à quel point mon mari était sans cœur et qu’il voulait me tuer pour m’empêcher de croire en Dieu. Il était tout simplement une sorte de réincarnation du diable ; en quoi avait-il une quelconque humanité ? Je souffrais énormément et je ne pouvais que prier Dieu en silence dans mon cœur, en Lui demandant de protéger mon cœur et de me donner la force et la foi. Le matin du 6, alors que je cuisinais, je me suis sentie angoissée et j’ai fredonné doucement un hymne reprenant des paroles de Dieu. Mon mari m’a entendue et est venu me battre à nouveau. J’ai couru dehors et il m’a poursuivie avec un gros bâton en bois. À cause de la douleur dans mes jambes, je ne pouvais pas courir vite, alors il m’a frappée dans le dos avec le bâton. Alors que je courais, une dame âgée est passée sur la route devant la porte, et ce n’est qu’à ce moment-là qu’il a cessé de me poursuivre et de me frapper. Je suis restée sur le bord de la route et, à cet instant, j’ai vraiment eu envie de partir. J’ai pensé : « Je n’ai absolument aucune liberté de croire en Dieu dans cette famille, et je dois subir leur persécution et leurs coups. Quand est-ce que cela va s’arrêter ? » Tout ce que j’espérais, c’était qu’un jour j’aurais la chance d’aller faire mon devoir ailleurs, et de ne plus jamais revenir à la maison. Mais je me suis dit ensuite que si je quittais cette famille maintenant, mon mari et ma belle-mère pourraient causer des problèmes chez les frères et sœurs qui vivent autour de moi et leur attirer des ennuis. De toute façon, mon mari était sur le point de partir pour son travail, et une fois qu’il serait parti, je n’aurais plus à supporter les coups et les humiliations, et je pourrais faire mon devoir. Le soir, en me lavant les pieds, j’ai vu que ma cheville était devenue d’un violet aubergine et que toute la zone avait gonflé comme un ballon. Ma jambe droite était beaucoup plus enflée que la gauche. Pendant la nuit, dans mon lit, je souffrais tellement que je n’arrivais pas à dormir. Il a fallu deux semaines pour que mes jambes se rétablissent enfin.
J’ai aussi pensé à la raison pour laquelle mon mari continuait à me battre, et j’ai réalisé que j’avais une leçon à en tirer. D’une part, cela m’a aidée à découvrir l’essence de mon mari, et d’autre part, cela pourrait renforcer ma foi en Dieu et ma détermination à souffrir. Comme notre mariage était un mariage d’amour mutuel, mes sentiments pour lui étaient trop grands. Ce n’est que grâce à ses coups répétés que je me suis pleinement éveillée et que j’ai vu qu’il avait pactisé avec les démons du PCC. Son essence était de haïr Dieu et il appartenait à Satan, le démon. Avant que je ne trouve Dieu, mon mari semblait bien me traiter, mais maintenant que j’avais trouvé Dieu et que cela nuisait à ses intérêts et à son avenir, il me battait encore et encore. J’ai compris que sa gentillesse envers moi était factice, et que c’était seulement parce que j’avais pu lui donner des enfants et m’occuper de toute sa famille. Maintenant que j’avais trouvé Dieu et que cela touchait ses intérêts, il me haïssait et me traitait en ennemie. En quoi y avait-il là un véritable amour ou une véritable affection ? Plus tard, j’ai lu des paroles de Dieu, et mon cœur s’est illuminé encore davantage. Dieu Tout-Puissant dit : « Pourquoi un mari aime-t-il sa femme ? Pourquoi une femme aime-t-elle son mari ? Pourquoi les enfants sont-ils respectueux de leurs parents ? Et pourquoi les parents adorent-ils leurs enfants ? Quelles sortes d’intentions les gens entretiennent-ils réellement ? Leur intention n’est-elle pas de satisfaire leurs propres plans et leurs propres désirs égoïstes ? […] Est-ce que tu aimes ton mari afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Est-ce que tu aimes ta femme afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Es-tu respectueux envers tes parents non-croyants afin d’accomplir ton devoir en tant qu’être créé ? Le point de vue humain sur la foi en Dieu est-il bon ou mauvais ? Pourquoi crois-tu en Dieu ? Que cherches-tu à obtenir ? Comment aimes-tu Dieu ? Ceux qui ne peuvent pas accomplir leur devoir en tant qu’êtres créés et ne peuvent pas faire un effort absolu deviendront l’objet de la destruction. Aujourd’hui les gens ont des relations physiques entre eux, ainsi que des associations par le sang, mais dans l’avenir, tout cela sera anéanti. Les croyants et les non-croyants ne sont pas compatibles, mais plutôt opposés les uns aux autres. Ceux qui seront dans le repos croiront en l’existence de Dieu et se soumettront à Lui tandis que ceux qui sont rebelles à Dieu auront tous été détruits. Les familles n’existeront plus sur la terre ; comment pourrait-il y avoir des parents ou des enfants ou des relations matrimoniales ? La simple incompatibilité entre la croyance et l’incroyance aura absolument rompu ces relations physiques ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les croyants et les non-croyants sont deux genres de personnes. Ma famille non-croyante et moi n’étions pas du même genre, et nous n’étions pas sur le même chemin. J’avais choisi de croire en Dieu et de Le suivre, mais ma famille avait choisi de suivre Satan et d’agir en tant que complice du PCC, en résistant intentionnellement à Dieu et en se dressant contre Lui. Ils appartenaient tous à Satan, le démon. Mon mari, en particulier, craignait que ses supérieurs ne découvrent ma foi et de perdre son emploi. Il n’a donc pas tenu compte de toutes nos années d’affection conjugale et m’a presque battue à mort. Je me souviens que mon mari m’a dit un jour : « Je me sers juste de toi pour prendre soin des enfants. » S’il ne se servait pas de moi pour m’occuper des enfants, il m’aurait mise à la porte depuis longtemps. Comme ma belle-mère craignait que ma foi ne les incrimine, elle me traitait comme une ennemie, soit en poussant mon mari à me battre, soit en menaçant de me dénoncer, ainsi que mes frères et sœurs, à la police. Même mon père a incité mon mari à me battre. Quelle sorte de famille étaient ces gens ? Il était clair que ces démons montraient leur vrai visage. J’ai vu jusqu’à leur essence – ils étaient des démons qui haïssaient Dieu, et ils étaient des ennemis de Dieu. Peu importe la façon dont ma famille me persécutait ou m’entravait, je croyais en Dieu et je Le suivais, et j’ai décidé de Le suivre jusqu’à la fin.
Un matin de l’été 2015, deux policiers sont entrés chez moi sans prévenir et m’ont emmenée au bureau de la sécurité publique du comté. Ils ont passé une journée à utiliser toutes sortes de stratagèmes pour m’interroger, en faisant pression sur moi pour que je trahisse l’identité de dirigeants, d’ouvriers et de frères et sœurs. Mais je ne les ai pas trahis. Alors la police m’a inculpée pour « trouble à l’ordre public » et m’a placée en détention pendant quinze jours. Lorsque je suis entrée dans le centre de détention, les policiers m’ont dit : « Ta belle-mère t’a dénoncée à la police à plusieurs reprises. On a essayé de t’arrêter de nombreuses fois, mais on ne t’a pas trouvée. On pensait que tu étais partie travailler. On ne s’attendait pas vraiment à t’attraper cette fois-ci. » Après avoir entendu la police dire cela, mon cœur s’est serré. Ma belle-mère était vraiment sans cœur ! Une fois ma période au centre de détention terminée, le troisième jour après mon retour à la maison, le chef du bureau de la sécurité publique du comté est venu chez moi avec cinq ou six agents pour me menacer, en me disant qu’ils m’arrêteraient à nouveau si je continuais à croire en Dieu. Avant de partir, le chef de la police a demandé à mon beau-père et à ma belle-mère de me surveiller, pour que je ne puisse pas entrer en contact avec mes frères et sœurs. À cause de la surveillance policière, je ne pouvais pas rencontrer mes frères et sœurs ni vivre une vie d’Église. Les jours où je pouvais me réunir avec mes frères et sœurs et faire mes devoirs me manquaient beaucoup, et mon cœur était rempli d’une véritable haine pour le grand dragon rouge. Six mois se sont écoulés et la police n’avait toujours pas relâché sa surveillance. Ils demandaient parfois à ma belle-mère des informations sur ma foi, et elle venait souvent m’avertir et me harceler. Il m’était impossible de croire en Dieu ou de faire mes devoirs à la maison. En avril 2017, une dirigeante a envoyé une lettre pour m’inviter à une réunion. Considérant le risque que je sois arrêtée chez moi à tout moment à cause de ma foi, elle m’a demandé si j’étais prête à quitter la maison et à faire mes devoirs. Lorsque j’ai entendu cela, je me suis sentie à la fois heureuse et inquiète. J’étais heureuse parce que si je quittais la maison, je pourrais me consacrer pleinement à mes devoirs et me développer plus rapidement dans la vie, mais je m’inquiétais de ce qui arriverait à mes enfants si je partais. Cependant, je tenais quand même à sortir et à faire mes devoirs, alors à ce moment-là, j’ai accepté. En rentrant chez moi pour faire mes valises, j’ai pensé à ma petite fille, qui n’avait que six ans, et au fait qu’elle n’avait jamais été séparée de moi. J’ai pensé : « Ma belle-mère a une mauvaise humanité et un caractère violent. Qu’arrivera-t-il si je lui laisse ma fille et qu’elle la frappe ? Et si elle la guide mal en l’élevant ? » Ces pensées m’ont troublée et je n’ai pas pu dormir la nuit. Plus tard, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Abraham a offert Isaac. Qu’avez-vous offert ? Job a tout offert. Qu’avez-vous offert ? Tellement de gens se sont sacrifiés, ont donné leur vie et versé leur sang afin de chercher le vrai chemin. Avez-vous payé ce prix ? En comparaison, vous n’êtes pas du tout qualifiés pour jouir d’une grâce aussi immense. Vous coûte-t-il de dire aujourd’hui que vous êtes les descendants de Moab ? Ne vous estimez pas trop. Tu n’as pas de quoi te vanter. Un tel grand salut, une telle grande grâce vous sont donnés librement. Vous n’avez rien offert, pourtant vous jouissez de la grâce librement. Ne vous sentez-vous pas honteux ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce que signifie sauver les descendants de Moab). Mon cœur a ressenti un malaise et je me suis sentie profondément honteuse. Abraham a offert Isaac, et Job a tout donné. Tout au long de l’histoire, des prophètes et des saints ont perdu la tête et versé leur sang pour témoigner de Dieu et prêcher l’Évangile au péril de leur vie. Mais en ce qui me concerne ? Je n’ai accepté l’œuvre de Dieu que lorsqu’elle était sur le point de s’achever, et après avoir cru en Dieu pendant tant d’années, je ne m’étais pas beaucoup dépensée pour Lui. J’avais reçu un si grand salut de Dieu sans même lever le petit doigt. Maintenant, je ne quittais la maison que temporairement pour faire mon devoir, mais je ne voulais pas me séparer de mon enfant. En quoi avais-je un cœur qui aimait et satisfaisait Dieu ? L’Évangile du Règne a été diffusé dans toutes les nations et tous les pays, et d’innombrables frères et sœurs ont tout abandonné pour faire leurs devoirs en répandant l’Évangile du Règne, mais là, j’étais contrainte et incapable de faire mes devoirs. En réalisant cela, mon cœur s’est rempli de culpabilité et je me suis blâmée. J’ai également pensé au fait que je n’avais pas la liberté de croire en Dieu à la maison, au risque que je courais constamment d’être arrêtée par la police, et que le fait de sortir pour faire mes devoirs était une forme de protection pour moi. Je ne pouvais pas croire en Dieu ni assister à des réunions à la maison et ma belle-mère et mon mari me traitaient comme une ennemie. Je pouvais seulement passer ma vie à les servir comme une bête de somme, et à la fin, je gâcherais ma chance de poursuivre la vérité et d’être sauvée. En tant qu’être créé, je devais choisir de suivre Dieu et de mener à bien mes devoirs. Dieu a payé un si grand prix pour me sauver et je ne pouvais plus décevoir ses efforts acharnés.
J’ai aussi lu ces paroles de Dieu : « On ne peut pas choisir les personnes, les événements, ni les choses par lesquels on sera édifié et influencé en grandissant. On ne peut pas choisir les connaissances ou les compétences que l’on acquiert, quelles habitudes on prend. Personne ne peut se prononcer sur quels parents et membres de la famille il a, dans quel genre d’environnement il grandit ; ses relations avec les gens, les événements et les choses de son environnement, et leur influence sur son développement, tout cela échappe à son contrôle. Qui décide de ces choses, alors ? Qui les organise ? Comme les gens n’ont pas le choix en la matière, étant donné qu’ils ne peuvent pas décider ces choses par eux-mêmes, et qu’il est évident qu’elles ne se forment pas naturellement, il va sans dire que la formation de toutes ces personnes, de tous ces événements et de toutes ces choses repose entre les mains du Créateur. Évidemment, de même que le Créateur organise les circonstances particulières de la naissance de chaque personne, Il organise également les circonstances particulières dans lesquelles on grandit. Si la naissance d’une personne apporte des changements aux gens, aux événements et aux choses autour d’elle, alors la croissance et le développement de cette personne l’affecteront nécessairement également. Par exemple, certaines personnes naissent dans des familles pauvres, mais grandissent entourées par la richesse ; d’autres naissent dans des familles riches, mais font déchoir les richesses de leurs familles, de telle sorte qu’elles grandissent dans des environnements pauvres. Aucune naissance n’est régie par une règle fixe, et personne ne grandit dans un ensemble de circonstances fixes et inévitables. Ce ne sont pas des choses qu’une personne peut imaginer ou contrôler ; elles sont le produit du destin individuel et sont déterminées par le destin de cet individu. Bien sûr, à l’origine, ces choses-là sont déterminées par le destin que le Créateur prédestine pour chaque personne ; elles sont déterminées par la souveraineté du Créateur sur le destin de cette personne et par Ses plans en la matière » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai réalisé que le destin de mon enfant était entre Ses mains, et qu’Il avait déjà déterminé le nombre de souffrances et de joies qu’elle aurait dans sa vie. Je l’ai mise au monde, je me suis occupée d’elle pendant de nombreuses années et elle a bénéficié de l’amour de sa mère. Maintenant, je devais quitter la maison pour faire mon devoir d’être créé, et je ne pouvais plus continuer à m’occuper d’elle. Le genre de situations dans lesquelles elle grandirait à l’avenir ou le fait qu’elle devienne mauvaise relevaient de la souveraineté de Dieu et étaient liés à sa nature-essence. Je ne pouvais pas garantir qu’elle ne tournerait pas mal simplement parce que j’étais à ses côtés. J’ai également pensé au fait que ma fille aînée croyait en Dieu avec moi depuis qu’elle était toute petite, mais qu’elle avait perdu la foi et commencé à suivre les tendances du monde avant d’avoir terminé le collège. Je lui parlais tous les jours de croire en Dieu, mais cela ne servait à rien. Les parents peuvent seulement éduquer et guider, mais ils ne peuvent pas jouer un rôle décisif, et je devais remettre mes enfants entre les mains de Dieu. Plus tard, j’ai quitté la maison pour faire mes devoirs. En repensant aux persécutions et aux coups que j’ai subis de la part de ma famille à la maison, même si j’ai enduré quelques douleurs physiques, j’ai acquis une certaine compréhension de la toute-puissance et de la souveraineté de Dieu, et lorsque j’ai été battue pratiquement à mort par mon mari, ce sont les paroles de Dieu qui m’ont donné la foi et la force, me permettant de survivre. Si je n’avais pas vécu la persécution de ma famille, je n’aurais pas vu jusqu’à leur essence, et je serais encore en train de les servir comme une bête de somme et de gaspiller les jours précieux de toute ma vie.
Depuis que j’ai quitté la maison pour faire mes devoirs, je ne suis plus agressée verbalement ni battue par ma famille, et lorsque nous, frères et sœurs, coopérons et faisons nos devoirs ensemble, si quelqu’un révèle de la corruption, nous nous le signalons les uns aux autres, et nous échangeons sur la vérité pour aider à résoudre le problème. Nous faisons nos devoirs et nous vivons les paroles de Dieu tous les jours. Sans m’en rendre compte, je me suis développée dans la vie et mon cœur s’est rempli de paix et de joie. Je remercie Dieu de m’avoir fait sortir de cet enfer sur terre que j’appelais autrefois ma maison et de m’avoir permis de faire mon devoir au sein de l’Église. Je ne regretterai jamais le choix que j’ai fait !
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