Je ne lutte plus pour être dirigeante
Par Fengxian, ChineEn 2016, j’étais responsable du travail textuel dans l’Église. À l’époque, les résultats d’une tâche spécifique étaient...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En mars 2020, j’ai reçu une lettre de ma mère. J’ai découvert qu’elle avait été exclue de l’Église en tant que personne malfaisante il y a plus d’un an. Ce message soudain m’a secouée et m’a fait l’effet d’une bombe. Avant même d’avoir pu finir de lire la lettre, mes larmes ont commencé à couler. L’œuvre du salut de Dieu dans les derniers jours est une chance unique ! Comme ma mère avait été exclue de l’Église, n’a-elle pas perdu l’espoir d’être sauvée ? À ce moment-là, tout ce qui m’avait traversé l’esprit, c’était à quel point ma mère avait été gentille avec moi. Depuis mon plus jeune âge, ma mère m’avait guidée dans la lecture de la parole de Dieu et m’a appris à prier. Mon père avait voulu que je travaille bien à l’école et que je réussisse dans le futur, mais c’est ma mère qui avait insisté pour que je croie en Dieu et que je fasse un devoir, ce qui m’avait permis d’emprunter le bon chemin dans la vie. Plus tard, ma mère a été traquée par la police parce qu’elle diffusait l’Évangile et a dû fuir. Chaque fois qu’elle m’écrivait, elle m’encourageait à faire mon devoir sincèrement et à poursuivre la vérité… Ces souvenirs n’arrêtaient pas de repasser dans ma tête comme des scènes d’un film. Ma mère avait cru en Dieu pendant seize ans, et même si elle avait été arrêtée deux fois, elle n’avait pas trahi Dieu et avait continué à faire ses devoirs loin de la maison, ce qui me poussait à croire qu’elle croyait vraiment en Dieu. Comment pouvait-elle être exclue ? Le dirigeant avait-il fait une erreur ? Ne pouvait-elle pas avoir une autre chance de se repentir, vu toutes ses années de sacrifice et de dépenses ? Elle disait dans sa lettre qu’elle avait été négligente, qu’elle avait fait n’importe quoi dans ses devoirs, et qu’elle avait semé la discorde et formé des cliques parmi les frères et sœurs, causant des pertes dans le travail de l’Église, et que chaque fois qu’elle avait été émondée, elle n’avait pas réfléchi sur elle-même, ne s’était pas reconnue elle-même, et avait toujours pensé que le problème était imputable à quelqu’un d’autre. Elle disait qu’elle avait commis trop de méfaits, et que son exclusion était justifiée, qu’elle n’avait porté aucun témoignage en plus d’une décennie de foi, et qu’au lieu de ça, elle avait commis de nombreux méfaits et avait nui au travail de l’Église. Elle disait qu’elle était un vieux diable, un laquais de Satan, ainsi qu’un démon malfaisant, que le fait qu’elle soit en vie était une honte, et qu’elle souffrait tellement qu’elle voulait mettre fin à ses jours. J’ai alors pensé que même après son exclusion, ma mère m’envoyait quand même l’argent qu’elle gagnait au travail afin de m’aider dans mes devoirs. Le comportement de ma mère me déconcertait : était-ce juste que son tempérament corrompu était trop grave, et non un problème avec son essence ? Si elle avait une autre chance, serait-elle capable de se repentir et d’éviter d’être exclue ? Dieu sauve les gens dans la mesure du possible, et la maison de Dieu permet à ceux qui ont été exclus de revenir s’ils se repentent vraiment. Voyant que ma mère avait fait montre de quelques bons comportements après son exclusion, l’Église pouvait peut-être lui donner une autre chance ? J’ai donc écrit une lettre pour l’aider, lui demandant de se repentir sincèrement, et lui disant que si elle se repentait vraiment, il se pourrait qu’elle soit de nouveau acceptée dans l’Église.
Lors d’une réunion, j’ai mentionné mes pensées et une sœur m’a dit que je manquais de discernement vis-à-vis de l’essence de ma mère, ce qui expliquait pourquoi je voulais toujours qu’elle soit de nouveau acceptée dans l’Église, et elle m’a dit que je devais chercher la vérité à ce sujet. J’ai réalisé que Dieu utilisait cette sœur pour me rappeler de tirer une leçon, alors j’ai prié Dieu : « Ô mon Dieu, l’exclusion de ma mère me déconcerte, s’il Te plaît, éclaire-moi pour que je comprenne la vérité et permets-moi d’apprendre à discerner la nature-essence de ma mère et à me défaire de l’emprise des sentiments. »
Un jour, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Ceux qui, dans l’Église, épanchent leur conversation venimeuse et malintentionnée, ceux qui, parmi les frères et sœurs, répandent des rumeurs, fomentent la disharmonie et forment des cliques, ceux-là auraient dû être expulsés de l’Église. Cependant, parce qu’aujourd’hui est une ère différente de l’œuvre de Dieu, ces gens sont limités, car ils doivent absolument être éliminés. Ceux qui ont été corrompus par Satan ont tous un tempérament corrompu. Certains n’ont rien d’autre qu’un tempérament corrompu, tandis que d’autres ne sont pas comme cela : non seulement ils ont un tempérament satanique corrompu, mais leur nature est également malveillante à l’extrême. Non seulement leurs paroles et leurs actes révèlent leur tempérament satanique corrompu, mais en outre, ces gens sont eux-mêmes de vrais démons et Satans. Leur conduite interrompt et perturbe l’œuvre de Dieu, elle perturbe l’entrée des frères et sœurs dans la vie, et elle nuit à la vie normale de l’Église. Tôt ou tard, ces loups déguisés en brebis doivent être renvoyés : il faut adopter une attitude impitoyable, une attitude de rejet à l’égard de ces serviteurs de Satan. Ce n’est qu’en faisant cela que l’on se tient du côté de Dieu, et ceux qui ne peuvent pas le faire sont en collusion avec Satan » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). « Ceux qui croient véritablement en Dieu sont ceux qui sont prêts à mettre la parole de Dieu en pratique et sont prêts à pratiquer la vérité. Ceux qui sont vraiment capables de rester fermes dans leur témoignage à Dieu sont aussi ceux qui sont prêts à mettre Sa parole en pratique et peuvent réellement se tenir du côté de la vérité. Ceux qui emploient des ruses et qui commettent l’injustice sont tous des gens à qui il manque la vérité et qui font honte à Dieu. Ceux dans l’Église qui provoquent des conflits sont les serviteurs de Satan, ils sont l’incarnation de Satan. Ces gens-là sont tellement méchants. Ceux qui n’ont aucun discernement et sont incapables de se tenir du côté de la vérité présentent tous de mauvaises intentions et ternissent la vérité. Plus que cela, ils sont les représentants archétypiques de Satan. Ils sont au-delà de la rédemption et seront naturellement éliminés. Ceux qui ne pratiquent pas la vérité ne devraient pas être autorisés à rester dans la maison de Dieu, ni ceux qui démolissent l’Église délibérément. Mais maintenant, ce n’est pas le moment de faire un travail d’expulsion ; ces gens-là seront simplement exposés et éliminés à la fin. Il ne faut plus faire de travail inutile sur ces gens ; ceux qui appartiennent à Satan sont incapables de se tenir du côté de la vérité, alors que ceux qui cherchent la vérité peuvent se tenir du côté de la vérité » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). Les paroles d’exposition de Dieu m’ont permis de comprendre que seuls ceux qui peuvent accepter et pratiquer la vérité croient vraiment en Dieu, et que ceux qui refusent d’accepter la vérité, commettent constamment des méfaits, perturbent toujours le travail de l’Église, et ne se repentent jamais, sont d’authentiques démons et des Satan. Ce sont eux que Dieu révèlera et éliminera, et l’Église se doit de les exclure. C’est là un décret administratif de l’Église. Grâce à mes frères et sœurs, j’ai appris que ma mère avait constamment été impénitente dans ses actes malfaisants. Elle avait exploité la corruption qu’une sœur avait révélée pour l’attaquer et la juger, et avait poussé les autres à juger et à exclure cette sœur en même temps qu’elle. Résultat, l’état de cette sœur s’était détérioré. Ma mère n’avait obtenu aucun résultat dans ses devoirs, et lorsque son chef d’équipe l’a incitée à progresser, elle a agi dans son dos et a estimé qu’il était peu aimant. Un superviseur a échangé et exposé ses problèmes, mais elle a dit qu’il la réprimait et ne la laissait pas parler. Elle a aussi exprimé son mécontentement vis-à vis de son superviseur derrière son dos. Résultat, les autres avaient développé des préjugés à son encontre, et cela a sérieusement interrompu et perturbé le travail. Le dirigeant a disséqué ses actions et sa conduite, l’a mise en garde, et a fait en sorte qu’elle réfléchisse dans l’isolement. Mais ma mère n’avait pas réfléchi. Au lieu de ça, elle s’était rendue à différentes réunions à sa guise, semant la discorde entre les frères, les sœurs et les dirigeants. Ces faits m’ont laissé pantoise. Ma mère avait une nature tellement méchante ! Si quiconque faisait quoi que ce soit qui était en léger décalage avec ce qu’elle souhaitait, elle devenait rancunière, agissait derrière son dos et le jugeait, semait le mécontentement, et répandait la discorde au sein des frères et sœurs, ce qui perturbait le travail de l’Église. Les autres l’avait mise en garde encore et encore, mais elle avait été totalement impénitente, commettant constamment des méfaits, et avait perturbé le travail de l’Église et l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Ce n’était pas là une révélation normale de corruption, ni un problème de grave tempérament corrompu comme j’avais cru. Elle avait plutôt une nature méchante, et son essence en tant que personne malfaisante avait été révélée. Elle ne se repentirait pas, même si elle avait une autre chance. L’Église l’avait exclue conformément aux principes pour protéger le travail de l’Église et les frères et sœurs contre davantage de perturbations. Gérer les choses de cette façon était totalement juste et conforme aux vérités-principes. J’avais toujours pensé qu’avec seize années de foi, de nombreuses années passées à faire des devoirs, une croyance qui n’avait pas bougé même après avoir été arrêtée deux fois, son renoncement à sa famille et à sa carrière, et tous ses efforts et dépenses, c’était une vraie croyante. Mais à présent, je voyais clairement que ma mère croyait uniquement en Dieu pour se glisser dans l’Église et gagner des bénédictions, et qu’elle voulait échanger ses prétendus renoncements et sacrifices contre des bénédictions des cieux. Dieu Tout-Puissant a exprimé de nombreuses vérités, mais elle n’en avait accepté ni pratiqué aucune. Au lieu de ça, elle avait commis des méfaits et causé des perturbations dans l’Église, et avait obstinément refusé de se repentir. C’est là une personne malfaisante. En quoi est-ce différent des pharisiens, qui ont refusé d’accepter les vérités exprimées par le Seigneur Jésus, et qui ont cloué le Seigneur Jésus à la croix, en dépit du fait qu’ils ont parcouru le monde pour convertir les gens ? Je me suis souvenue de quelque chose que le Seigneur Jésus a dit : « Ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur ! N’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui suit la volonté de Mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs Me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par Ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par Ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par Ton nom ? Alors Je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité » (Matthieu 7:21-23). Ces paroles de Dieu m’ont permis de comprendre qu’une personne peut faire des sacrifices et des efforts en apparence, mais cela ne veut pas dire que c’est une vraie croyante, et Dieu ne reconnaît pas ce type de foi. Seuls ceux qui acceptent et pratiquent la vérité sont de vrais croyants. Ces personnes ont un espoir de se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, d’atteindre le salut de Dieu, et d’entrer dans le royaume de Dieu. Je me suis également demandé si le fait que ma mère ait reconnu ses actes malfaisants et qu’elle s’était reconnue comme un démon et un Satan après son exclusion représentaient une véritable repentance et si c’était assez pour que l’Église l’autorise à revenir.
Dans ma recherche, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Indépendamment de ce qu’avait été la colère de Dieu envers les Ninivites, dès qu’ils ont déclaré un jeûne et se sont couverts de sacs et de la cendre, Son cœur s’est adouci et Il a commencé à changer d’avis. Avant qu’il ne Il leur annonce qu’Il allait détruire leur ville – le moment avant leur confession et leur repentance pour leurs péchés –, Dieu était toujours en colère contre eux. Après qu’ils eurent posé une série d’actes de repentance, la colère de Dieu contre les habitants de Ninive s’est graduellement transformée en miséricorde et en tolérance pour eux. Il n’y a rien de contradictoire au sujet de la révélation coïncidente de ces deux aspects du tempérament de Dieu dans le même événement. Alors, comment devrait-on comprendre et connaître ce manque de contradiction ? Dieu a exprimé et révélé chacune de ces deux essences diamétralement opposées avant et après que les Ninivites se soient repentis, permettant aux gens de voir la réalité de l’essence de Dieu et le fait qu’elle ne peut être offensée. Dieu a utilisé Son attitude pour dire aux gens ce qui suit : ce n’est pas que Dieu ne tolère pas les gens ou qu’Il ne veuille pas leur montrer de miséricorde ; c’est plutôt qu’il est rare qu’ils se repentent vraiment devant Dieu, et il est rare que les gens se détournent vraiment de leurs mauvaises voies et abandonnent la violence dont leurs mains sont coupables. En d’autres termes, quand Dieu est en colère contre l’homme, Il espère que l’homme sera vraiment capable de se repentir et Il espère en effet voir la vraie repentance de l’homme, auquel cas Il continuera libéralement à accorder Sa miséricorde et Sa tolérance à l’homme. C’est dire que la conduite malfaisante de l’homme entraîne la colère de Dieu, tandis que la miséricorde et la tolérance de Dieu sont accordées à ceux qui L’écoutent et se repentent vraiment devant Lui, à ceux qui peuvent se détourner de leurs mauvaises voies et abandonner la violence dont leurs mains sont coupables. L’attitude de Dieu a été très clairement révélée dans Son traitement des Ninivites : la miséricorde et la tolérance de Dieu ne sont pas du tout difficiles à obtenir et ce qu’Il exige, c’est une vraie repentance. Tant que les gens se détourneront de leurs mauvaises voies et abandonneront la violence entre leurs mains, Dieu changera Son cœur et changera Son attitude à leur égard » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). « Lorsque tu vois comment les démons et les Satans dans le monde défient Dieu, tu vois la manière dont les démons et Satan dans le domaine spirituel défient Dieu. Il n’y a absolument aucune différence. Ils viennent de la même source et possèdent la même nature-essence, c’est pourquoi ils font les mêmes choses. Indépendamment de la forme qu’ils prennent, ils font tous la même chose. […] S’ils attaquent Dieu et blasphèment contre Lui, alors ce sont des démons, et non des êtres humains. Revêtus de leur peau humaine, même si ce qu’ils disent sonne bien et semble correct, leur nature-essence est celle de démons. Les démons peuvent dire des choses qui sonnent bien pour induire les gens en erreur, mais ils n’acceptent pas du tout la vérité et encore moins la mettent-ils en pratique. C’est absolument le cas. Regarde les gens malfaisants et les antéchrists, et ceux qui défient et trahissent Dieu : ne sont-ils pas ce type de personnes ? […] Dis-Moi, est-il approprié de permettre à ces gens qui viennent des démons, ou à ces personnes ayant une nature-essence de démons, de rester dans la maison de Dieu ? (Non.) Non. Ils ne sont pas comme le peuple élu de Dieu : le peuple élu de Dieu appartient à Dieu, tandis que ces gens-là appartiennent aux démons et à Satan » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (4)). Penser à ces paroles de Dieu m’a permis de comprendre ce qui s’était passé avec les gens de Ninive, qui à cause de ses actes malfaisants ont réveillé la colère de Dieu et ont fait face à la destruction. Mais puisqu’ils ont pu « se détourner de leurs mauvaises voies et abandonner la violence dont leurs mains sont coupables », ils ont pu recevoir la miséricorde et le pardon de Dieu. C’est seulement lorsque vous réfléchissez vraiment au chemin malfaisant que vous avez autrefois emprunté, que vous le reconnaissez, le regrettez et le haïssez, et une fois que vous êtes capable d’écouter la parole de Dieu et de recommencer à zéro et que vous arrêtez de suivre le chemin malfaisant sur lequel vous étiez, que vous pouvez gagner la miséricorde et le pardon de Dieu. Le fait de simplement prononcer des paroles qui sonnent bien sans accepter ni pratiquer la vérité ne représente pas la vraie repentance, et Dieu n’accordera aucune miséricorde ni aucun pardon à ce genre de personne. J’ai examiné le comportement de ma mère et j’ai découvert qu’elle ne reconnaissait toujours aucunement tous les graves méfaits qu’elle avait commis. Au lieu de ça, elle rejetait la faute sur les autres, disant qu’à l’époque, une sœur avait méprisé le superviseur, avait souvent relevé ses défauts et cancané sur ses imperfections, et que parce qu’elle n’avait elle-même aucun discernement, elle s’était ralliée à cette sœur pour faire le mal. Ma mère n’avait toujours absolument aucune compréhension de tout le mal qu’elle avait fait ni de sa nature insidieuse, malveillante et satanique, et elle ne ressentait aucun regret ni aucune haine réels envers ces choses-là, alors comment pouvait-elle vraiment se repentir ? Si elle devait être de nouveau acceptée, elle continuerait tout simplement à faire le mal et à perturber le travail de l’Église comme avant. De plus, même si elle se reconnaissait elle-même en tant qu’ancien diable, laquais de Satan, et démon malfaisant, en ce qui concerne les méfaits précis qu’elle avait commis, la raison pour laquelle elle les avait faits, les intentions qui la contrôlaient, les poisons sataniques qu’elle suivait, et le tempérament satanique que cela impliquait, elle n’avait aucune réflexion ni compréhension réelles. J’ai repensé à toutes les choses correctes que ma mère m’avait dites pendant mon enfance, comme à quel point l’œuvre du salut de Dieu dans les derniers jours est précieuse, et que faire un devoir sincèrement et poursuivre la vérité est le bon chemin dans la vie, mais bien qu’elle m’ait dit ces choses-là pendant plus d’une décennie, elle n’avait accepté ni pratiqué aucune vérité. Elle avait verbalement reconnu ses actes malfaisants et avait été capable de dire des choses correctes, mais cela ne voulait pas dire qu’elle s’était vraiment repentie. L’Église autorise ceux qui ont montré une véritable repentance à revenir, mais pas les gens comme ma mère, qui ne faisaient que des reconnaissances verbales et ne changeaient pas vraiment.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Que tu sois ou non un antéchrist ou une personne malfaisante, que tu aies été exclu ou expulsé, tu dois assumer tes responsabilités en tant que personne. Pourquoi dis-Je que tu dois le faire ? Tu as reçu un grand nombre de vérités de la part de Dieu, et ce sont aussi les efforts consciencieux de Dieu. La maison de Dieu t’a abreuvé et a subvenu à tes besoins pendant de nombreuses années, mais Dieu exige-t-Il quelque chose de toi ? Non. Tous les divers livres distribués par la maison de Dieu sont gratuits, personne ne doit dépenser le moindre centime. De même, le véritable chemin de la vie éternelle de Dieu et les paroles de vie qu’Il accorde aux gens sont gratuits, ainsi que les sermons et les échanges de la maison de Dieu, que les gens peuvent écouter gracieusement. Par conséquent, que tu sois une personne ordinaire ou un membre d’un groupe particulier, tu as obtenu gratuitement tant de vérités de la part de Dieu qu’il est tout à fait normal que tu propages les paroles de Dieu et l’Évangile de Dieu auprès des hommes et que tu les conduises devant Dieu, n’est-ce pas ? Dieu a transmis toutes les vérités à l’humanité ; qui peut se permettre de rendre un tel amour ? La grâce de Dieu, les paroles de Dieu et la vie de Dieu n’ont pas de prix, et aucun être humain ne peut prétendre les Lui rendre ! La vie de l’homme est-elle précieuse à ce point ? Peut-elle avoir autant de valeur que la vérité ? Par conséquent, personne ne peut se permettre de rendre à Dieu Son amour et Sa grâce, y compris ceux qui ont été exclus, expulsés et éliminés par l’Église – ils ne font pas exception à la règle. Tant que tu possèdes une once de conscience, de raison et d’humanité, alors peu importe comment la maison de Dieu te traite, tu dois remplir ton obligation de propager les paroles de Dieu et de témoigner de Son œuvre. C’est la responsabilité inexorable des gens. Par conséquent, peu importe le nombre de personnes auxquelles tu prêches les paroles de Dieu et diffuses l’Évangile, ou le nombre de personnes que tu gagnes, il n’y a pas de quoi te féliciter. Dieu a exprimé tant de vérités et pourtant tu ne les écoutes pas ou tu ne les acceptes pas. Rendre un petit service et prêcher l’Évangile aux autres est certainement ce que tu devrais faire, n’est-ce pas ? Puisque tu es arrivé jusqu’ici aujourd’hui, ne devrais-tu pas te repentir ? Ne devrais-tu pas chercher des occasions de rendre à Dieu Son amour ? Tu devrais vraiment le faire ! La maison de Dieu est régie par des décrets administratifs, et le fait d’exclure des gens, de les expulser et de les éliminer est une décision prise conformément à ces décrets et aux exigences de Dieu – l’exécution de ces décisions est correcte. Certains diront peut-être : “C’est un peu gênant d’accepter au sein de l’Église des personnes gagnées par la prédication de l’Évangile de ceux qui en ont été exclus ou expulsés.” En réalité, c’est le devoir que les gens doivent faire, et il n’y a aucune raison d’en être gêné. Les gens sont tous des êtres créés. Même si tu as été exclu ou expulsé, condamné en tant que personne malfaisante ou antéchrist, ou si tu es une cible à éliminer, ne restes-tu pas un être créé ? Une fois que tu es exclu, Dieu n’est-Il pas toujours ton Dieu ? Les paroles que Dieu t’a adressées et ce qu’Il t’a apporté sont-ils effacés du revers de la main ? Ces choses cessent-elles d’exister ? Elles existent toujours, c’est juste que tu ne les as pas chéries. Toutes les personnes converties, peu importe qui les a converties, sont des êtres créés et elles doivent se soumettre elles-mêmes au Créateur. Par conséquent, si ces personnes qui ont été exclues ou expulsées sont disposées à prêcher l’Évangile, nous ne les freinerons pas ; mais, quelle que soit leur façon de prêcher, les principes de la maison de Dieu applicables à l’utilisation des personnes et les décrets administratifs de la maison de Dieu sont immuables, et cela ne changera absolument jamais » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (6)). Ces paroles de Dieu m’ont permis de comprendre que Dieu a exprimé tant de paroles et a toujours fait l’œuvre du salut des gens. Ce salut nous est donné gratuitement, et il tout à fait naturel que nous fassions nos devoirs. Même si ma mère avait été exclue, c’était toujours un être créé, et elle dépendait de Dieu chaque jour pour manger, boire et respirer pour vivre. Dieu ne lui avait pas enlevé son droit de manger et boire Ses paroles. Elle avait été disposée à diffuser l’Évangile et à me donner de l’argent pour me soutenir dans mes devoirs. Et en cela, elle ne faisait qu’assumer certaines de ses responsabilités. Mais elle ne s’était pas vraiment repentie, et si l’on prend les principes en considération, il n’était pas approprié qu’elle revienne. Avant, j’étais confuse, je ne cherchais pas la vérité, et je n’avais aucune compréhension du tempérament de Dieu. J’avais vu que ma mère avait eu quelques bonnes conduites et qu’elle avait été capable de dire quelques choses correctes, alors j’avais toujours espéré que l’Église puisse la reprendre. J’étais tellement confuse ! Je me suis également demandé : « Si quelqu’un d’autre avait dû être exclu, aurais-je espéré qu’il soit de nouveau accepté ? » Non. Pourquoi avais-je espéré que ma mère ait une autre chance et soit de nouveau acceptée après son exclusion ? Quelle était l’origine de ce problème ? J’ai lu un passage des paroles de Dieu : « La dernière partie des paroles de Dieu met à nu la plus grande faiblesse des hommes – ils vivent tous dans un état de sentiments – et ainsi Dieu n’en évite pas un seul et expose les secrets cachés dans le cœur de tous les hommes. Pourquoi est-il si difficile pour les hommes de se séparer de leurs sentiments ? Est-ce que cela surpasse les normes de la conscience ? La conscience peut-elle réaliser la volonté de Dieu ? Les sentiments peuvent-ils aider les hommes dans l’adversité ? Aux yeux de Dieu, les sentiments sont Son ennemi. Cela n’a-t-il pas été clairement affirmé dans les paroles de Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Interprétations des mystères des « paroles de Dieu à l’univers entier », Chapitre 28). Dieu expose que les sentiments sont Ses ennemis, que ce sont les plus grandes faiblesses des êtres humains, que vivre dans les sentiments vous empêchera de considérer les choses et les gens avec principes, et qu’en vivant ainsi, vous aurez tendance à interrompre et perturber le travail de l’Église. Avant, j’ignorais à quel point mes sentiments étaient forts. Ces dernières années, les gens autour de moi avaient été révélés comme des personnes malfaisantes et des antéchrists, et j’avais réussi à évaluer et à exposer leurs problèmes honnêtement. À cause de cela, je sentais que j’avais toujours un sentiment de justice, mais l’exclusion de ma mère m’avait totalement révélée. Ma mère avait commis tellement de méfaits, et pourtant, je ne la haïssais pas. Au contraire, je me sentais triste et je pleurais chaque fois que je pensais à son exclusion, et le fait qu’elle ait perdu sa chance de salut me faisait profondément mal, au point de me demander si les dirigeants et ouvriers avaient fait une erreur en l’excluant, et je me sentais lésée pour elle. En voyant ma mère faire preuve de quelques bons comportements et d’aucune obstination ni résistance apparentes face à son exclusion, j’avais toujours espéré que l’Église la reprenne. Même si je n’avais pas demandé la clémence pour elle, dans ma réflexion, je m’étais opposée à Dieu. Sans le jugement et l’exposition des paroles de Dieu et la révélation de faits, qui m’ont permis de voir clairement son essence, j’aurais vraiment plaidé la clémence pour elle, et j’aurais pris position en faveur d’une personne malfaisante et aurait résisté à Dieu. Après réflexion, j’ai finalement reconnu que ces poisons sataniques tels que « Le sang est plus épais que l’eau » et « L’homme n’est pas sans âme ; comment peut-il être sans sentiments ? » avaient été profondément enracinés dans mon cœur, me faisant vivre selon les sentiments et me rendant incapable de distinguer le bien du mal. Ma mère avait beau avoir commis des méfaits, je continuais à penser que c’était une bonne personne, et celle qui m’était la plus proche. J’avais l’impression que je lui serais redevable et que je ne pourrais pas avoir la conscience tranquille si je ne prenais pas position en sa faveur. En y pensant aujourd’hui, dès mon plus jeune âge, ma mère avait lu la parole de Dieu avec moi, m’avait appris à prier, m’avait poussée à faire mon devoir sincèrement et à poursuivre la vérité, et m’avait envoyé de l’argent pour me soutenir dans l’exécution de mon devoir loin de la maison. En cela et d’autres choses de ce genre, elle n’avait fait qu’assumer ses responsabilités de mère, et c’était là également la souveraineté et l’arrangement de Dieu. J’ai pensé à toutes mes années de croyance en Dieu dans une citadelle de démons gouvernés par le PCC. J’avais été confrontée au danger plusieurs fois, mais c’était là Dieu qui veillait sur moi et m’aidait à me sortir de difficultés. De plus, mes frères et sœurs avec qui je n’avais aucun lien de sang avaient risqué leur vie pour me protéger lorsque j’avais risqué me faire arrêter. J’avais été arrêtée deux fois alors que je faisais mon devoir et j’avais acquis un casier judiciaire, mais c’était mes frères et sœurs qui m’avaient accueillie et avaient pris soin de moi comme si nous étions du même sang. Tout cela était grâce à l’amour de Dieu, alors je devais remercier Dieu et Lui rendre Son amour ! Ma mère est une personne malfaisante, elle a déjà tellement perturbé le travail de l’Église, et ne s’est toujours pas réellement repentie, même après son exclusion. Sans la discerner, j’avais quand même voulu que l’Église lui donne une autre chance et la reprenne. Je n’avais absolument pas fait preuve de considération envers les intérêts de la maison de Dieu ou l’entrée dans la vie des frères et sœurs. N’étais-je pas juste complice d’une personne malfaisante, résistant et m’opposant à Dieu ? J’étais consciencieuse et aimante envers une personne malfaisante, ce qui est déloyal envers Dieu, cruel envers les frères et sœurs, et dépourvu d’humanité. J’ai vu que je vivais selon des poisons sataniques, et que j’étais une imbécile qui manquait de discernement et incapable de distinguer le bien du mal. J’avais failli me tenir aux côtés de Satan et m’opposer à Dieu. J’étais en si grand danger ! En réalisant tout cela, j’ai finalement compris par moi-même ce que Dieu voulait dire par : « Les sentiments sont Ses ennemis. » Ces paroles sont tellement concrètes et vraies ! Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Tu dois rejeter tes sentiments dès que possible. Je n’agis pas à cause des sentiments, mais Je fais preuve de droiture à la place. Si tes parents font quelque chose qui ne profite pas à l’Église, ils ne peuvent pas échapper » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 9). C’est précisément parce que Dieu soutient la justice plutôt que le fait d’agir selon les sentiments et que la vérité et la justice règnent dans la maison de Dieu, que ces antéchrists et personnes malfaisantes qui, de manière impénitente, perturbent et anéantissent l’œuvre de Dieu et nuisent aux frères et sœurs peuvent être exclus, que tout le travail de l’Église peut se poursuivre sans incident, et que les frères et sœurs peuvent avoir une vie d’Église et un environnement normaux dans lesquels faire les devoirs. Dieu exige que nous évitions de nous fier à nos sentiments dans nos paroles et nos actions, et qu’à la place, nous nous fions aux principes. C’est également comme cela que nous devrions traiter nos parents, et c’est là la vérité que je devrais mettre en pratique. Même si ma mère m’a physiquement donné naissance, c’est une personne malfaisante en substance, un ennemi de Dieu, et Dieu la hait. À ce sujet, je dois avoir des principes, soutenir Dieu, et ne pas me fier aux sentiments pour parler pour elle.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu qui m’a permis de comprendre comment je devais traiter ma mère. Dieu dit : « Supposons que tes parents entravent ta croyance en Dieu, que leur nature-essence est celle des incrédules et des non-croyants, ou même celle des personnes malfaisantes et des démons, et qu’ils ne suivent pas le même chemin que toi. En d’autres termes, le cas où ils ne seraient pas du tout le même genre de personne que toi, et bien que tu aies vécu dans le même foyer qu’eux pendant de nombreuses années, ils n’auraient tout simplement pas les mêmes poursuites ni le même caractère que toi et ils n’auraient en aucun cas les mêmes préférences ou aspirations que toi. Le cas où tu croirais en Dieu, et eux ne croiraient pas du tout en Dieu et résisteraient même à Dieu. Que faire dans ces circonstances ? (Les rejeter.) Dieu ne t’a pas dit de les rejeter ni de les maudire dans de telles circonstances. Dieu n’a pas dit cela. L’exigence de Dieu d’“honorer ses parents” est toujours valable. Cela signifie que pendant que tu vis avec tes parents, tu dois toujours respecter cette exigence de les honorer. Il n’y a pas de contradiction dans cette affaire, n’est-ce pas ? (Non.) Il n’y a là aucune contradiction. En d’autres termes, lorsque tu réussis à rentrer chez toi pour leur rendre visite, tu peux leur cuisiner un repas ou leur faire des raviolis et, si possible, leur acheter des produits de santé, et ils seront très satisfaits de toi. […] Il doit y avoir des principes sur la façon dont tu traites tout le monde, y compris tes parents : qu’ils croient en Dieu ou non et qu’ils soient ou non des personnes malfaisantes, tu dois les traiter avec des principes. Dieu a dit à l’homme ce principe : il s’agit de traiter les autres équitablement, les gens ont tout simplement un degré supplémentaire de responsabilité envers leurs parents. Tout ce que tu as à faire est d’assumer cette responsabilité. Que tes parents soient croyants ou non, qu’ils poursuivent leur croyance ou non, que leur vision de la vie et leur humanité s’alignent ou non avec la tienne, il faut juste que tu assumes ta responsabilité vis-à-vis d’eux. Tu n’as pas besoin de les éviter : laisse simplement tout suivre son cours naturel, selon les orchestrations et les arrangements de Dieu. S’ils entravent ta croyance en Dieu, alors tu dois quand même remplir tes responsabilités filiales au mieux de tes capacités, afin qu’au moins ta conscience ne se sente pas redevable envers eux. S’ils ne t’entravent pas et qu’ils soutiennent ta croyance en Dieu, alors tu dois également pratiquer selon les principes, en les traitant bien quand il convient de le faire » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (4)). Ces paroles de Dieu ont éclairé mon cœur et m’ont permis de comprendre les principes pour traiter les membres de la famille. Ma mère est une personne malfaisante en essence, et nous suivons des chemins différents. Je ne devrais pas agir en me fiant à mes sentiments, mais plutôt en me fiant aux principes. Cependant, elle m’avait effectivement élevée, avait partagé l’Évangile avec moi, et encore aujourd’hui, elle me soutenait dans ma foi. Et tant que cela n’interfère pas avec mes devoirs, je peux toujours avoir de l’affection pour elle et assumer mes responsabilités en tant que sa fille.
L’exclusion de ma mère avait révélé à quel point j’avais été aveugle et trop sentimentale. Ce sont les paroles de Dieu qui m’ont guidées pour discerner l’essence de ma mère en tant que personne malfaisante et m’ont permis de savoir quelle position je devais adopter. Pour moi, cela a également clarifié les dangers et les conséquences d’un trop-plein de sentiments , ce qui m’a empêché de faire quoi que ce soit de perturbateur. Je remercie Dieu Tout-Puissant du fond du cœur !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
Par Fengxian, ChineEn 2016, j’étais responsable du travail textuel dans l’Église. À l’époque, les résultats d’une tâche spécifique étaient...
Par Toby, Corée du SudIl y a quelques mois, un dirigeant nous a confié, à Frère Connor et moi-même, la responsabilité des travaux...
Par Zheng Li, ChineMon père est mort quand j’avais neuf ans et ma mère a dû m’élever seule, avec mes quatre frères et sœurs, dans des...
Par Kristen, ItalieEn octobre 2021, j’ai commencé à pratiquer l’abreuvement des nouveaux arrivants. Une semaine plus tard, je me suis...