J’appréciais un riche banquet

26 juillet 2017

Par Xinwei, Chine

Les 25 et 26 juin 2013 ont été des jours inoubliables. Un grand événement s’est produit dans notre région avec la plupart des dirigeants et des ouvriers de la région possédés par le grand dragon rouge. Seul un petit nombre d’entre nous en est sorti indemne et, le cœur plein de gratitude, nous avons fait un serment secret à Dieu : bien coopérer à l’œuvre à venir. Par la suite, nous avons commencé l’œuvre complexe de gestion des conséquences. Et après presque un mois, les arrangements étaient pratiquement terminés. Ce mois-là était chaud et, même si nous souffrions physiquement, nos cœurs étaient emplis de satisfaction alors que notre travail avançait sans accroc juste sous le nez du grand dragon rouge. Quand nous avons fini le travail, je me suis involontairement retrouvée dans un état d’autosatisfaction, songeant à quel point j’avais été intelligente d’arranger le travail aussi bien. Quelle travailleuse capable j’étais ! Et c’est à ce moment-là que Dieu m’a envoyé Son châtiment et Son jugement…

Un soir, plusieurs d’entre nous, les sœurs, étions en train de parler. Une sœur a suggéré que j’écrive à XX et XX, m’a attribué des tâches et a ajouté une dernière phrase : « N’agis pas à la hâte, le temps est maintenant venu de se cacher et de pratiquer le recueillement spirituel. Concentre-toi sur le recueillement spirituel et l’entrée dans la vie. » Dès que j’ai entendu ces paroles, mon cœur les a rejetées : Je dois écrire des lettres, je dois travailler. Où est le temps du recueillement spirituel ? Tu es une étrangère, je suis une locale, je te protège en ne te laissant pas sortir et travailler, et tu me critiques ? Si je restais à la maison toute la journée à pratiquer le recueillement spirituel comme tu le fais, qui irait faire le travail ? La charge de travail doit être prise en compte lors de l’attribution des tâches et la situation doit être prise en compte avant de m’émonder… Le matin suivant, tout le monde mangeait et buvait, et communiquait les paroles de Dieu, mais j’étais distraite, ne prenant aucun plaisir à manger et boire. Les sœurs parlaient toutes de leur compréhension des paroles de Dieu pendant que je restais silencieuse. Puis cette sœur m’a demandé : « Pourquoi ne parles-tu pas ? » J’ai répondu de mauvaise humeur : « Je n’ai aucune compréhension. » La sœur a continué : « Je vois que tu n’es pas en forme. » J’ai répondu sans réfléchir : « Je n’ai aucun problème. » Mais, en fait, mes pensées étaient sur le point d’exploser. Finalement, je n’ai pas réussi à les contenir plus longtemps et lui ai dit ce qui me dérangeait. Cette sœur m’a écouté et a tout de suite admis qu’elle avait été présomptueuse et n’aurait pas dû m’attribuer des tâches à sa guise. Mais ce n’était pas suffisant pour moi pour que je parvienne à mettre de côté ma résistance – bien au contraire, je ressentais que j’avais mis la vérité en pratique dans mon travail pendant cette période, et elle n’aurait pas dû dire que je n’étais pas en forme. Que penseraient les dirigeants de district à côté de nous ? Puis la sœur a continué : « Je m’inquiète du fait que si tu ne fais que travailler sans prendre de temps pour ta propre entrée tu vas dégénérer… » Plus elle parlait plus je protestais en pensant : Tu me traites de dégénérée ? Je pense que je suis en forme, je ne vais pas devenir une dégénérée ! Je n’étais simplement pas d’accord avec sa communication. Après le petit-déjeuner, je suis sortie travailler, me sentant contrariée et pensant : je démissionnerai en tant que dirigeante, ferai des tâches routinières et ç’en sera fini. Si elle dit que je suis une dégénérée et que je n’ai aucune entrée dans la vie, comment puis-je diriger les autres d’une quelconque façon ? Plus j’y pensais plus mon énergie diminuait, je me disais : Je démissionnerai quand ces tâches seront finies. Puis j’ai senti tout mon corps s’affaiblir, comme si j’étais malade. J’ai compris que j’étais mal en point. De retour à la maison, je me suis présentée devant Dieu en priant : « Dieu Tout-Puissant, j’ai été trop arrogante et j’ai eu des idées trop arrêtées, je n’ai pas aimé la vérité, je n’ai pas été capable d’accepter Ton châtiment et Ton jugement, la façon dont Tu me traites et Tu m’émondes. J’espère que Tu peux m’aider et protéger mon cœur, mon esprit, me rendre capable de me soumettre à Ton œuvre, de m’examiner sincèrement et d’avoir une compréhension réelle de moi-même. » Plus tard, j’ai vu les paroles suivantes : « La clé de l’introspection et de la connaissance de soi est la suivante : plus tu sens que, dans certains domaines, tu as bien fait ou fait ce qu’il fallait et plus tu penses pouvoir satisfaire la volonté de Dieu ou pouvoir te vanter dans certains domaines, alors plus cela vaut la peine que tu te connaisses dans ces domaines et plus cela vaut la peine que tu les approfondisses bien pour voir quelles impuretés existent en toi, ainsi que quelles choses en toi ne peuvent pas satisfaire la volonté de Dieu. […] Ce récit à propos de Paul sert d’avertissement à tous ceux qui croient en Dieu : chaque fois que nous pensons avoir particulièrement bien fait quelque chose, ou croyons être particulièrement doués à un certain égard, ou que nous pensons ne pas avoir besoin de changer ou d’être traité à un certain égard, nous devrions nous efforcer de mieux réfléchir sur nous-mêmes et nous connaître à cet égard ; cela est essentiel. C’est parce que tu n’as certainement pas découvert les aspects de toi-même que tu crois être bons, tu ne leur as pas prêté attention ou tu ne les as pas analysés afin de voir si, oui ou non, ils contiennent en fait quelque chose qui résiste à Dieu » (« Seule la connaissance de tes opinions erronées t’apportera la connaissance de toi-même  », dans Récits des entretiens de Christ). Les paroles de Dieu reflétaient mon cœur comme un miroir brillant. Dieu nous demande de nous comprendre nous-mêmes en comprenant quand nous pensons bien faire, quand nous pensons agir correctement et mieux nous comprendre dans les aspects où nous pensons que nous n’avons pas besoin d’être traités. En pensant à ce moment, je comprends que je portais un poids. Mon travail portait ses fruits et je gérais assez bien d’importantes tâches, pensant que je mettais la vérité en pratique, qu’elles étaient toutes des entrées positives et actives et que mon état était très bon – donc je ne me présentais pas devant Dieu et ne m’examinais pas. Aujourd’hui, grâce à l’illumination des paroles de Dieu, je comprends qu’à ce moment-là, je faisais bien mon travail, mais ma nature arrogante était omniprésente. Je pensais que les résultats de mon travail étaient dus à mes efforts, que j’étais une travailleuse capable. J’étais totalement autosatisfaite. En réalité, quand je repense à cette période, je comprends maintenant que je travaillais, faisais ce que j’étais capable de faire grâce à la direction et la protection du Saint-Esprit, mais pendant que je travaillais je ne recherchais pas la vérité. Je n’avais aucune entrée dans la vie et, pour un temps, je n’avais aucune compréhension de moi-même, je n’avais aucune compréhension de Dieu et je ne ressentais pas que l’œuvre de Dieu m’apportait une compréhension plus claire d’un quelconque aspect de la vérité. Bien au contraire, je devenais arrogante au point de n’écouter personne et volais la gloire de Dieu pour ma petite part dans Son œuvre immense. Le tempérament satanique que je révélais était suffisant pour qu’Il me nomme pécheresse ! Mais aujourd’hui, à travers cette sœur, Dieu me rappelait de me concentrer sur le recueillement spirituel, pour éviter la dégénérescence. Pourtant, je ne l’acceptais toujours pas. Je ne distinguais vraiment pas le bien du mal et étais trop ignorante à mon sujet. En même temps, je sentais que j’étais dans un état terrifiant. Si Dieu n’avait pas élevé cette sœur au point de dénoncer mon état et me faire revenir vite vers Dieu, j’aurais continué de vivre dans la dégénérescence, ne sachant pas que j’avais perdu l’œuvre du Saint-Esprit, et j’aurais fini par commettre de graves offenses contre Dieu. J’ai bien peur qu’il aurait alors été trop tard pour me repentir. À ce moment-là, j’ai vu à quel point j’avais besoin du jugement de Dieu et d’être traitée afin d’être protégée sur la route à venir. Bien qu’à l’approche du jugement et du châtiment, de l’émondage et du traitement, j’ai senti que j’avais perdu la face et qu’il s’agissait d’une épreuve, c’était le salut de Dieu. J’étais prête à accepter plus de ce type de travail de la part de Dieu.

Après avoir subi ce châtiment et ce jugement mon état a changé. Mon comportement et ma conduite sont devenus plus discrets, et je comprenais un peu de l’œuvre de Dieu, une œuvre incompatible avec les conceptions des hommes. Mais très vite, grâce à une autre révélation de Dieu, j’ai encore vu que ma compréhension était trop superficielle. Début août, j’ai été promue pour travailler à la région. À l’époque, ’étais de bonne humeur et avais fait secrètement un serment : Dieu, merci pour Ton élévation et de m’avoir donné une si grande commission. Je ne veux pas trahir la confiance que Tu as placée en moi et je veux faire tout ce qui est en mon pouvoir, et espère que Tu me guideras et me dirigeras. Et je me suis donc lancée à corps perdu dans un planning de travail chargé. Chaque jour, j’étais confrontée aux nombreux problèmes que les frères et sœurs avaient soulevés et auxquels je devais répondre, en apportant des conseils à chacun. Je restais éveillée souvent tard, mais j’étais heureuse de le faire. Parfois, je tombais sur une situation que je ne comprenais pas ou qui n’était pas claire, je priais alors Dieu et voyais Sa direction et Son orientation, et le travail se déroulait sans problème. Et involontairement, je suis encore devenue arrogante, en pensant : je suis assez bonne, je suis une travailleuse capable. Un jour, je suis tombée sur plusieurs difficultés. J’ai donc prié et réfléchi à la façon dont je pourrais y voir plus clair, et ensuite, la façon d’arranger et de gérer le travail est devenu progressivement plus clair dans mon esprit. J’ai donc écrit à mon dirigeant pour faire cette suggestion et j’ai demandé si c’était faisable ou non. Pendant que j’écrivais la lettre, je croyais que le dirigeant penserait sûrement que j’avais pris le poids sur moi et que j’étais une travailleuse capable. J’attendais une réponse, espérant leurs éloges. Quelques jours plus tard, j’étais heureuse de recevoir une réponse, mais quand j’ai ouvert et lu la lettre j’ai été blessée. Non seulement le dirigeant ne me faisait pas d’éloges, mais sa réponse ne faisait que me traiter et m’émonder : « Tu es sans scrupules de faire ça et si tu continues dans cette voie tu interrompras l’œuvre de Dieu ! Si les dirigeants de base peuvent gérer leur propre travail, laisse-les faire, sinon laisse-le simplement de côté. Tu devrais urgemment pratiquer le recueillement spirituel d’urgence et écrire des articles… » À l’époque, j’étais obsédée par le bien et le mal et pensais que j’avais été maltraitée : « Quel genre de dirigeant es-tu, un dirigeant qui ne résout pas les problèmes de ses subordonnés ? Il y a eu un incident dans notre région, tout notre travail a été mis en désordre : N’avons-nous pas besoin d’organisation ? Si les dirigeants de base gèrent leur propre travail, qu’arrivera-t-il à toutes ces lettres ? » J’avais complètement échoué à mon examen de conscience et étais si contrariée de m’être plainte à la sœur qui m’hébergeait, et j’ai même pensé : Je démissionnerai, si je ne le fais pas je serai un obstacle, j’ai travaillé si dur et je suis toujours un obstacle. À quoi bon ? Le jour suivant, je me suis présentée devant Dieu et j’ai examiné ce que j’avais révélé, pensant à ce qui est dit dans les sermons au sujet du fait que rejeter l’émondage et le traitement montrait un manque d’amour pour la vérité, et les personnes qui n’aiment pas la vérité ont une mauvaise nature. J’ai donc volontairement regardé « Le principe d’accepter d’être émondé et traité ». J’ai vu que les paroles de Dieu disaient : « Certaines personnes deviennent passives après avoir été émondées et traitées. Elles manque totalement d’énergie pour accomplir leurs devoirs et finissent même par manquer de loyauté. Pourquoi ? L’une des raisons est qu’elles n’ont pas conscience de l’essence de leurs actions, ce qui les conduit à ne pas être aptes à se soumettre à un émondage et à un traitement. L’autre raison est qu’elles ne comprennent toujours pas la signification de ces actes. Les gens croient tous que quand ils sont émondés et traités, cela signifie que leur sort a été fixé. En conséquence, ils pensent à tort que s’ils ont quelque loyauté envers Dieu, ils ne devraient pas être émondés et traités, et que si cela arrive, ce n’est pas révélateur de l’amour et de la justice de Dieu. De telles incompréhensions poussent de nombreuses personnes à ne pas oser montrer leur « loyauté » envers Dieu. En définitive, la véritable explication à ce comportement est leur malhonnêteté exacerbée. Elles ne veulent pas subir d’épreuves. Tout ce qu’elles souhaitent, c’est obtenir des bénédictions facilement. Elles n’ont pas conscience de la justice de Dieu. Ce n’est pas qu’Il n’a rien fait ou ne fait rien de juste, c’est simplement que les gens ne croient jamais que ce qu’Il fait est juste. Aux yeux des hommes, si l’œuvre de Dieu ne se conforme pas à leurs désirs ou ne correspond pas à leurs attentes, alors Il ne peut pas être juste. Pourtant, ces gens n’ont jamais conscience que leurs actions sont inappropriées et qu’elles ne se conforment pas à la vérité, tout comme ils ne se rendent pas compte que leurs actions résistent à Dieu » (« Les implications de la détermination par Dieu du sort des hommes selon leur performance », dans Récits des entretiens de Christ). Les paroles de Dieu exposaient ma réalité interne. Je n’acceptais pas d’être émondée et traitée parce que je ne comprenais pas la nature de ce que je faisais. Je pensais qu’il n’y avait rien de mal dans ce que je faisais, mais mon travail et l’accomplissement de mon devoir s’étaient depuis longtemps éloignés des arrangements du travail, pourtant je pensais faire preuve de dévotion. Pourtant, à mon sens, toutes les questions envoyées par les subordonnés devaient recevoir des conseils et des réponses, quelle que soit l’importance du problème. Ce n’est que si les problèmes étaient réglés que je pouvais me calmer et poursuivre mon recueillement spirituel. Face à ces faits, j’ai vu que je ne m’étais pas soumise de manière absolue et inconditionnelle aux arrangements du travail. J’avais trop de préoccupations que je ne parvenais pas à oublier et j’étais arrogante au point d’en perdre la raison. Dieu utilisait le dirigeant pour régler des choses en moi qui n’étaient pas en accord avec la volonté de Dieu afin que je comprenne ma nature qui s’opposait à Dieu, trahissait Dieu et la volonté de Dieu : à présent, l’environnement est défavorable. Le recueillement spirituel et l’introspection devraient être au premier plan, et je ne devrais pas seulement me concentrer sur le travail. Mais je ne réalisais pas que la nature de mes actes allait à l’encontre des arrangements du travail et à l’encontre de Dieu et Lui résistait. J’étais obsédée par le bien et le mal. Je n’arrivais pas à comprendre l’esprit, je n’arrivais pas à comprendre l’œuvre de Dieu. Puis je me suis à nouveau souvenue des paroles d’un sermon : « Peu importe quelle personne, quel dirigeant, quel ouvrier m’émonde et me traite, et cela n’a pas d’importance si cela concorde complètement avec les faits. Tant que cela concorde partiellement avec les faits, alors je l’accepte et m’y conforme ; tant que cela concorde partiellement avec les faits alors je l’accepte complètement ; je ne m’excuse pas auprès des autres ou ne dis pas que j’en accepte une partie, mais pas le reste, et je ne m’excuse pas. Il y a les expressions de celui qui se soumet à l’œuvre de Dieu. Si vous ne vous soumettez pas de cette manière aux paroles de Dieu et à l’œuvre de Dieu, il vous sera difficile d’acquérir la vérité, il vous sera difficile d’entrer dans la réalité des paroles de Dieu » (« Comment obtenir des résultats en mangeant et buvant les paroles de Dieu », dans Sermons et échange sur l’entrée dans la vie I). Oui, même si les paroles du coordinateur ne correspondaient pas complètement à ma situation, je devais m’y soumettre et les accepter. Et, dans tous les cas, l’accomplissement de mon devoir allait depuis longtemps à l’encontre des arrangements du travail. N’aurais-je pas dû me soumettre, accepter et changer plus rapidement ? Plus tard, quand je me suis un peu améliorée et calmée pour m’engager dans le recueillement spirituel, pratiquer l’écriture d’articles, j’ai vu que Dieu Lui-même protégeait Son œuvre, et qu’elle se déroulait normalement, sans retard.

Ces deux occasions de châtiment et de jugement, d’émondage et de traitement étaient des épreuves, mais m’ont apporté une meilleure compréhension de moi-même et un rapide changement de mon état. Plus tard, j’ai vu que les paroles de Dieu disaient : « Dieu Lui-même ne possède aucun élément de désobéissance ; Son essence est bonne. Il est l’expression de toute beauté et de toute bonté, ainsi que de tout amour » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’essence de Christ est l’obéissance à la volonté du Père céleste). « Il te maudit pour que tu puisses L’aimer et pour que tu connaisses l’essence de la chair ; Il te châtie pour que tu sois éveillé, pour te permettre de connaître tes faiblesses et de connaître la totale indignité de l’homme. Ainsi, les malédictions de Dieu, Son jugement, Sa majesté et Sa colère, tout cela contribue à perfectionner l’homme. Tout ce que Dieu fait aujourd’hui, ainsi que le tempérament juste qu’Il met en évidence en vous, tout cela contribue à perfectionner l’homme, et tel est l’amour de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en vivant des épreuves douloureuses que tu peux connaître la beauté de Dieu). Je ne pouvais m’empêcher de soupirer : Oui, Dieu est l’expression de toute beauté et de toute bonté, Son essence est beauté et bonté, Son essence est amour, donc tout ce qui vient de Dieu est bon et beau, que ce soit Son jugement, que ce soit Son châtiment, ou si les gens, les événements et les choses autour de nous sont utilisés pour nous émonder et nous traiter – nous pouvons le ressentir comme une épreuve ou une attaque commise contre la chair de l’homme, mais ce que Dieu fait est utile pour notre vie et n’est que salut et amour. Mais je ne comprenais ni Dieu ni Son œuvre, ni ne voyais Ses bonnes intentions. Face au jugement et au châtiment, en étant émondée et traitée, je résistais en menaçant de quitter mon travail, incapable d’accepter cela de Dieu, comme si des gens me causaient des ennuis. Grâce aux deux révélations de Dieu, j’ai constaté que bien que je mangeais et buvais la parole de Dieu depuis de nombreuses années, que j’entendais de nombreux sermons, ma tendance à me révolter face au jugement et au châtiment, à l’émondage et au traitement, était puissante et je la rejetais entièrement. Je pouvais voir que, en dépit de tout ce temps passé à croire en Dieu, mon tempérament n’avait pas changé, la nature de Satan était profondément enracinée, une nature qui résiste à Dieu et le trahit. J’ai soudain compris que j’avais besoin du jugement et du châtiment, d’être émondée et traitée. Sans ce type d’œuvre de la part de Dieu, je ne serais pas capable de voir mon véritable visage, je n’aurais pas de véritable compréhension de moi-même, j’aurais encore moins compris à quel point la nature de Satan était profondément enracinée en moi. Ce n’est que maintenant que je comprends pourquoi Dieu dit qu’une humanité dépravée est Son ennemie et que nous sommes les descendants de Satan… En méditant sur les paroles de Dieu, mon cœur s’est illuminé. Je comprends comment Dieu a soigneusement fait en sorte que je vive Son œuvre, pour entrer dans la réalité de la vérité, me conduisant ainsi sur le véritable chemin de la vie. Dieu m’élève et me traite avec bienveillance. J’ai également compris que tout ce que Dieu fait pour l’homme est amour. Le jugement et le châtiment de Dieu, l’émondage et le traitement constituent les plus grands besoins de l’homme et le meilleur salut.

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