Seule la compréhension de la vérité permet une véritable connaissance de soi-même

26 juillet 2017

Par Wenwen, Chine

J’ai toujours été d’avis que, tant que les pratiques extérieures semblaient convenables, et que les gens ne pouvaient y déceler aucune corruption, on pouvait considérer qu’il s’agissait d’un changement. Par conséquent, je prêtais une attention particulière aux pratiques extérieures dans tout ce que je faisais. Je me souciais seulement de savoir si mes pratiques étaient justes ou non et, tant que mes comportements et pratiques extérieurs étaient raisonnables, je n’en demandais pas plus. Quand j’ai été confronté à l’émondage, tout ce dont je me souciais c’était de savoir si ma pratique présentait quelque chose de mal. Je n’en étais convaincu que si mes pratiques étaient rejetées. Je n’acceptais pas d’autres communications quant à la reconnaissance de ma nature corrompue. Plus tard, les frères et sœurs m’ont dit qu’on ne pouvait changer son propre tempérament qu’en connaissant sa nature et que je ne connaissais pas ma nature. Après avoir écouté les paroles des sœurs et des frères, j’ai commencé à apprendre à reconnaître ma nature. Quand quelqu’un a dit : « Cette démonstration de vantardise est dominée par la nature de ton arrogance », j’ai alors répondu : « Oh, je suis arrogant, ma nature c’est d’être arrogant ! » Quelqu’un d’autre a dit : « Ce comportement non conventionnel et incontrôlé est dominé par ta nature humaine malveillante ». J’ai alors continué : « Oh, la vilaine malveillante ». Je ne pensais pas qu’il fût difficile de connaître ma nature tant que je répétais quels genres de nature dominaient chacun de ces comportements. Si on me demandait : « Par quelle nature ce comportement est-il dominé ? » Je répondais alors : « C’est de l’arrogance, de la malveillance, de la méchanceté, de la fourberie… » Ce genre de questions-réponses était comme remplir un questionnaire, ce qui semblait si facile. Il en est résulté que les sœurs et les frères m’ont dit que je ne connaissais ma nature qu’à un niveau superficiel. C’est pourquoi, plus tard, en parlant de ma propre reconnaissance, j’ai dit : « Je suis trop arrogant et sans limites. Je suis trop malveillant et trop méchant ». Je pensais que l’ajout du mot « trop » à ma reconnaissance antérieure m’aiderait à approfondir ma compréhension de moi-même. Je n’étais pas au clair sur le sens des exigences de Dieu vis-à-vis des gens qui reconnaissaient leur nature, par conséquent, quand j’ai révélé de la corruption ou quand j’ai vu les paroles révélées par Dieu sur la nature humaine, je ne l’ai compris que dans la perspective de suivre des règles ; je ressemblais beaucoup à un perroquet, répétant des mots sur la reconnaissance de moi-même au lieu de vraiment me comprendre et me connaître du fond de mon cœur. Je ne me détestais pas moi-même et je ne sentais pas à quel point c’était dangereux. Même en entendant les dures paroles de Dieu, je ne me sentais pas choqué. Au contraire, cela ne me dérangeait pas du tout, ce qui a eu pour effet de modifier un peu mon tempérament. Même si je suis stupide, insensible et médiocre, Dieu ne m’abandonne pas, mais Il me guide et m’éclaire toujours, m’amenant à connaître ma nature et mon essence et à trouver un moyen de changer mon tempérament.

Il y a quelques jours, j’ai emménagé avec un frère dans une nouvelle famille d’accueil. Lorsque nous avons échangé, suite à notre emménagement, la vieille sœur de la famille d’accueil nous a dit que les sœurs et les frères qu’elle hébergeait régulièrement révélaient de la corruption ; elle a aussi parlé de son opinion à leur sujet. Après l’avoir écoutée, je n’ai pas répondu ou pris cela à cœur, et n’ai pas communiqué la vérité à la vieille sœur. C’est ainsi que le temps a passé. Après plusieurs jours, deux autres frères qui accomplissaient des tâches avec nous sont venus loger chez nous pendant plusieurs jours. Après leur départ, la vieille sœur nous a donné son opinion au sujet de ces deux frères et, à ce moment-là, mon esprit a réagi : La plus grande partie de ce que tu as dit ne correspond pas à la réalité ; il ne s’agit que de suspicions. Dieu exige que les sœurs et les frères s’aiment et s’entraident. Je devrais pratiquer la vérité et te communiquer la vérité d’être honnête avec toi. Deux jours après notre communication, la vieille sœur est venue me voir et m’a dit quelles phrases parmi celles que j’avais dites elle avait retenues, et quelles choses parmi celles que j’avais faites l’avaient frappée. Elle a dit tout ce qu’elle avait sur le cœur et a pleuré. Voyant cela, je me suis dit : « Tu es très méfiant envers tout le monde. Cette fois-ci, tu es méfiant à mon égard. Ce n’est pas correct. Je dois échanger clairement avec toi pour que tu n’aies pas de préjugés contre moi. Par conséquent, j’ai eu une conversation franche avec elle et j’ai identifié la nature qu’elle trahissait ainsi que ses comportements de suspicion et de jugement. La vieille sœur semblait l’accepter, mais elle n’était pas convaincue intérieurement. Dans les jours qui ont suivi, elle a prétendu avoir tel ou tel genre de maladie. En voyant cela, je me suis dit : Tu n’es pas intimement convaincue, mais tu fais plutôt semblant de l’accepter, n’est-ce pas un simulacre et une tromperie ? Il y a des leçons à tirer lorsqu’on est malade. Tu devrais faire un peu d’introspection, car tu as été constamment malade. En pensant à cela, j’ai reçu un autre « fardeau », ce qui m’a amené à communiquer de nouveau avec la vieille sœur. Je lui ai demandé de faire un peu d’introspection pour mieux se connaître. Cependant, dans cet échange, la vieille sœur n’avait pas l’air bien. Elle n’a même pas fait semblant d’accepter. J’étais abasourdi et je me suis dit : J’ai pris grand soin de t’aider et j’ai communiqué avec toi à maintes reprises, mais tu ne l’acceptes pas et tu me soupçonnes, même. Tu es tellement malhonnête ! Si tu n’acceptes pas la vérité, qui d’autre pourrait éventuellement t’aider ? N’y pense plus, je ne peux rien faire, c’est à toi de décider. J’ai attribué tous les reproches et toute la responsabilité à la vieille sœur, en pensant qu’elle était trop fourbe ; je croyais que j’étais un bon frère qui pratiquait la vérité, qui était prêt à aider mes sœurs et mes frères et qui se souciait de la volonté de Dieu. Ainsi, j’avais beaucoup de préjugés sur la vieille sœur et elle ne voudrait certainement plus m’écouter.

Face à ce dilemme, il me fallait faire un peu d’auto-introspection : Ai-je tort ? Je n’avais pas tort d’aider la vieille sœur avec compassion en voyant ses défauts. N’ai-je pas compté sur Dieu ? Pas vraiment, je priais chaque fois avant de communiquer avec la vieille sœur. Je n’ai rien fait de mal dans mes pratiques et je n’ai jamais été dans des situations aussi graves en aidant les autres dans le passé. Le problème doit venir de la vieille sœur et c’est parce qu’elle n’est pas innocente. Cependant, en pensant ainsi, je me sentais troublé. Je me sentais coupable, surtout quand je voyais la vieille sœur souffrir de sa maladie. Je voulais l’aider du fond du cœur, mais je ne savais pas comment coopérer avec elle. N’ayant pas le choix, je suis venu à Dieu et j’ai cherché Son aide. J’ai lu les paroles de Dieu « Tes lèvres sont plus douces que des colombes, mais ton cœur est plus sinistre que le serpent ancien. Tes lèvres sont aussi belles que celles des Libanaises, mais ton cœur n’est pas aussi doux que le leur et il ne peut certainement pas être comparé à la beauté des Cananéennes. Ton cœur est tellement trompeur ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Vous êtes tous tellement ignobles de caractère !). Ces paroles de Dieu ont immédiatement touché mon cœur. Je n’ai pu m’empêcher de jeter un regard introspectif sur ce que j’avais fait à l’époque et sur les pensées qui sous-tendaient mes actes. En entendant la vieille sœur parler de ses jugements d’autres sœurs et frères, je n’ai pas répondu parce que je pensais que cela ne me regardait pas et ne me gênerait pas ; quand j’entendais la vieille sœur parler de ses préjugés à l’égard des deux frères que je connaissais, j’avais hâte de communiquer avec elle au cas où elle les aurait mal compris ; quand j’ai entendu que la vieille sœur avait des préjugés sur ce que j’avais dit et fait, j’ai fait plus attention en communiquant avec elle au cas où elle aurait d’autres préjugés sur moi. J’ai prétendu que j’aidais mes sœurs et mes frères par compassion pour eux. En réalité, je voulais convaincre et vaincre les autres avec la vérité, leur fermer la bouche et empêcher les autres de me juger et d’aller contre mes intérêts. En réfléchissant à mon comportement, j’ai réalisé qu’il n’avait pas de compassion. Comment pourrait-il y avoir une essence d’amour ? En y repensant, je n’avais pas fait preuve de compassion ni de considération envers la vieille sœur depuis le tout début. Comme ma nature était véritablement malveillance ! La vieille sœur a commencé dans des fonctions d’accueil quand elle est venue dans la famille de Dieu. Elle ne s’est absolument pas plainte. Parce qu’elle n’avait pas pris l’habitude d’assister aux réunions et aux échanges, elle n’avait pas approfondi son expérience de la vie. Cependant, elle était prête à poursuivre et à lire les paroles de Dieu tant qu’elle était libre. Comme elle n’était pas très au clair au sujet de la vérité, elle considérait que juger les frères et sœurs dans leur dos et parler de leurs défauts représentaient des fardeaux pour eux ; elle avait tout simplement confondu ses soupçons sur les frères et sœurs avec des paroles franches. Elle ne discernait pas ce qui était de l’ordre du soupçon de ce qui était de l’ordre de l’exagération, et je n’avais aucune considération pour elle. Quelle que soit sa stature, je me défendais sans réfléchir tant que ses paroles mettaient en cause mes intérêts et je l’ai forcée à se connaître elle-même. Comme je manque de rationalité ! Pour quelle raison ne devrais-je pas laisser les autres me juger ? Même si les autres ne s’expriment pas, n’ai-je pas vécu de la même façon que Satan ? Tout ce que j’avais fait, c’était pour moi-même et pour me défendre. Tant que mes intérêts n’étaient pas bafoués, je ne me souciais pas des autres. Je n’ai pas tenu compte de la faiblesse des autres, et je n’ai pas non plus cherché à savoir si les autres pouvaient affronter mes communications ou si mes communications avaient des effets négatifs. La façon dont je vivais était influencée par le tempérament malveillant et corrompu de Satan. Ce que j’avais apporté aux gens, c’était du mal et des attaques. Comment les autres pourraient-ils le supporter ? Ce que j’ai dit et fait a dégoûté Dieu et a empêché le Saint-Esprit d’œuvrer sur moi. Comment mes communications pouvaient-elles être efficaces ?

Dieu a dit : « N’importe qui peut utiliser ses propres paroles et actions pour représenter son vrai visage. Ce vrai visage est évidemment sa nature. Si tu es quelqu’un qui parle de façon détournée, alors tu as une nature malhonnête. Si tu es de nature rusée, alors tu fais les choses de façon sournoise, et tu fais en sorte qu’il te soit très facile de tromper les autres. Si tu es de nature malveillante, tes paroles peuvent être agréables à écouter, mais tes actions ne peuvent pas dissimuler tes ruses malveillantes. Si tu es de nature paresseuse, alors tout ce que tu dis vise à échapper à la responsabilité de ton laxisme et de ta paresse, et tes actions seront lentes et sommaires, et très habiles à dissimuler la vérité. Si tu es de nature empathique, alors tes paroles seront raisonnables et tes actions seront également bien conformes à la vérité. Si tu es de nature loyale, alors tes paroles doivent être sincères, et la façon dont tu fais les choses doit être bien fondée et ne rien contenir qui pourrait inquiéter ton maître. Si tu es de nature lubrique ou avare, ton cœur sera souvent rempli de ces choses, et tu commettras involontairement des actes déviants et immoraux que les hommes auront du mal à oublier et qui les dégoûteront » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Un problème très grave : la trahison (1)). Selon les paroles de Dieu, je me suis rendu compte que la façon dont les gens se révèlent et vivent leur vie est dominée par leur nature. Le genre de nature intérieure déterminera inévitablement quel tempérament se révèle à l’extérieur. S’il y a quelque chose de malveillant à l’intérieur, alors le comportement sera dominé par la nature malveillante et ne montrera jamais de bienveillance. Quand ma motivation pour communiquer avec la vieille sœur était mauvaise, ce qui me dominait à l’intérieur n’était pas Dieu, la vérité ou des choses positives, mais plutôt Satan. La façon dont je vivais était à l’image de Satan. Par conséquent, ma communication ne pouvait pas profiter aux autres. Si je rencontrais ce genre de choses dans le passé, je me serais concentré sur les pratiques extérieures ; j’aurais pensé que je n’avais pas dirigé l’Église, que je n’étais pas doué pour communiquer avec les autres et j’aurais cherché quantité de raisons pour me disculper. Ce n’est qu’aujourd’hui que je me rends compte que les pratiques extérieures ne jouent pas un rôle décisif, mais qu’il s’agit plutôt de savoir si le cœur a raison ou non. Il est important de voir l’essence à l’intérieur. Par exemple, si quelqu’un aime vraiment une autre personne, il observera et prêtera attention à ce qu’elle aime avec son cœur, et exprimera finalement son amour pour elle et le lui fera ressentir. Si j’aimais mes sœurs et mes frères de l’intérieur, j’aurais prêté plus d’attention et fait preuve de plus d’empathie pour leurs difficultés, ainsi que de considération pour leurs sentiments, puis j’aurais pris les mesures appropriées et utilisé le langage et le ton adéquats pour communiquer avec eux. Même si je ne résolvais pas les problèmes des autres, je ne leur aurais pas fait de mal. Parce qu’il n’y a pas d’amour en moi, ce que je révèle c’est la malveillance, même si mes pratiques extérieures sont bonnes et justes. Parce que Dieu aime l’homme, tout ce qu’Il fait est une révélation et une manifestation de Son amour. Dieu a dit : « Dieu prononce ces paroles dans le but de changer et de sauver les gens. Ce n’est qu’en parlant de cette façon qu’Il peut obtenir les résultats les plus précieux. Tu devrais voir que les bonnes intentions de Dieu sont entièrement conçues pour sauver les gens et qu’elles incarnent toutes l’amour de Dieu. Peu importe que tu le considères depuis la perspective de la sagesse dans l’œuvre de Dieu, ou de la perspective des étapes et des méthodes dans l’œuvre de Dieu, ou de la perspective de la durée de l’œuvre ou de Ses arrangements et de Ses plans précis, tout contient Son amour. Par exemple, tous les gens aiment leurs fils et leurs filles et, pour que leurs enfants puissent marcher sur le droit chemin, ils ont tous fourni un immense effort. Quand ils découvrent les faiblesses de leurs enfants, les parents craignent que s’ils parlent doucement, leurs enfants n’écoutent pas et ne puissent pas changer, et ils craignent que s’ils parlent trop sévèrement, ils nuisent à l’estime de soi de leurs enfants et leurs enfants ne puissent pas le supporter. Tout cela est fait par amour et ils fournissent de gros efforts pour cela. Vous-mêmes, en tant que fils et filles, vous avez peut-être fait l’expérience de l’amour de vos parents. L’amour ne concerne pas seulement la douceur et la considération, il concerne le châtiment sévère. En plus de cela, tout ce que Dieu fait pour l’humanité est accompli par amour. Il agit sous la condition préalable de l’amour, c’est pourquoi Il fait tout ce qu’Il peut pour apporter le salut à l’humanité corrompue. Il ne traite pas les gens négligemment ; Il fait des plans précis et procède avec eux étape par étape. Quant à savoir quand, où, sur quel ton, par quelle façon de parler et par quelle quantité d’effort déployée…, on peut dire que tout cela révèle Son amour et rend entièrement compte de Son amour illimité et incommensurable pour l’humanité. Beaucoup de gens disent des choses rebelles quand ils sont au milieu d’épreuves ; ils se plaignent. Mais Dieu ne cherche pas querelle à propos de ces choses et Il ne punit certainement pas les gens pour cela. Parce qu’Il aime les gens, Il pardonne tout. S’Il avait seulement de la haine au lieu de l’amour, alors Il aurait condamné les gens dès le début. Puisque Dieu a de l’amour, Il ne cherche pas querelle, mais Il tolère et Il est capable d’observer les difficultés des gens. Tout cela se fait complètement sous l’influence de l’amour » (« Reconnais-tu l’amour de Dieu pour les humains ? », dans Récits des entretiens de Christ). L’essence de Dieu est amour, ainsi la manifestation de Dieu est aussi amour. L’amour de Dieu pour les êtres humains ne se manifeste pas oralement, mais s’incarne de façon pratique dans Son œuvre, à chaque étape de Son œuvre et dans les voies de Son œuvre. Comment et quand Dieu agit sur chaque personne, quels sont les gens, les choses ou les événements qu’Il organise pour chacun et combien de temps Il raffinera chaque personne, tout cela révèle la planification précise de Dieu et ses efforts méticuleux. Toute l’œuvre pratique de Dieu est imprégnée de Son amour pur pour tous les êtres humains sans exception. Dieu aime les êtres humains à un tel point qu’Il consacre tous Ses inlassables efforts à nous sauver, qu’Il supporte notre incompréhension et résistance à Son égard, qu’Il tolère et pardonne notre folie et notre ignorance. Tout cela me fait voir la grandeur et la noblesse de Dieu. En comparaison, ce que j’ai vécu est un tempérament satanique, qui est laid et méprisable. En reconnaissant tout cela, j’ai partagé ouvertement avec la vieille sœur ces choses malveillantes dans mon cœur. L’éloignement entre nous a été involontairement supprimé. J’en remercie Dieu du fond du cœur. À Dieu soit la gloire.

Avant, ma connaissance de moi-même n’avait été rien de plus que des mots. C’était une connaissance que j’avais apprise par cœur et je ne connaissais pas ma propre nature selon la divulgation des paroles de Dieu. Je le comprends aujourd’hui grâce à mon expérience. Une fois qu’une personne est corrompue par Satan, sa nature devient la nature de Satan. Indépendamment des paroles, des actions a ou des pensées, elles sont toutes dominées par la nature humaine. On peut faire face à sa nature corrompue et la changer progressivement seulement si l’on reconnaît sa nature. Si l’on n’a aucune connaissance de sa nature, on ne peut que subir involontairement la domination de la nature de Satan et se rebeller contre Dieu et Lui résister – sans même parler de changer son tempérament. Dorénavant, je vais changer les mauvaises méthodes que j’ai utilisées dans le passé, où j’accordais trop d’attention aux pratiques extérieures. J’essaierai de ne pas attacher trop d’importance aux pratiques extérieures et, pour connaître ma nature, de ne pas me contenter de respecter des règles. Je recevrai honnêtement et sincèrement le jugement et le châtiment de Dieu, je connaîtrai ma nature et reconnaîtrai vraiment ma nature à travers les révélations des paroles de Dieu afin de changer le plus tôt possible mon tempérament et d’être sauvé par Dieu.

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