Cesser de poursuivre les bénédictions
Par Anjing, ChineEn 1994, ma mère croyait au Seigneur Jésus. En trois mois, sa maladie coronarienne a été guérie, ce qui m’a montré la...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2006, j’ai accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours. Depuis lors, j’ai exercé comme dirigeante et ouvrière au sein de l’Église. J’avais beau être tous les jours occupée et fatiguée, je n’avais aucune raison de me plaindre, parce que je pensais que la direction et la supervision étaient des rôles pour ceux qui poursuivent la vérité, et que ceux qui faisaient ces devoirs étaient tenus en haute estime par les frères et sœurs. En 2018, j’ai pris en charge un devoir textuel. J’étais très heureuse, et j’ai eu le sentiment que je devais avoir fait du bon travail, sinon je n’aurais pas été choisie pour un devoir si important. Quelques jours plus tard, un dirigeant supérieur est venu à ma rencontre et m’a dit : « L’Église fait face à des arrestations du PCC ; la situation est très tendue partout, et nous avons urgemment besoin que des gens endossent le devoir des affaires générales. Nous en avons discuté et nous voudrions que ton mari et toi vous chargiez de ce devoir. » En entendant les paroles du dirigeant, j’ai eu l’impression que ma tête bourdonnait. Je n’en croyais pas mes oreilles et je me suis dit : « Comment peuvent-ils m’assigner la gestion des affaires générales ? Le dirigeant a-t-il fait une erreur ? La gestion des affaires générales n’est-elle pas juste un dur labeur ? C’est une basse besogne ! Que vont penser les frères et sœurs s’ils l’apprennent ? » Plus j’y pensais, plus je me sentais hostile, et j’ai voulu dire au dirigeant que je ne souhaitais pas me charger de ce devoir, mais étant donné que les arrangements de l’Église étaient basés sur les impératifs de travail, je n’ai eu d’autre choix que d’accepter à contrecœur. Sur le chemin de la maison, mon esprit était troublé : « Depuis que je crois en Dieu, j’ai toujours exercé comme dirigeante ou ouvrière, ou accompli le devoir textuel, et ces deux devoirs sont plus prestigieux que le devoir des affaires générales. Être chargée de ce travail lourd, ingrat et fatigant est loin d’être aussi prestigieux que le devoir textuel que je fais actuellement, et si les sœurs au sein de l’équipe l’apprenaient, ne me regarderont-elles pas forcément de haut ? Ne diront-elles pas que si je me retrouve avec ce devoir, c’est parce que je ne poursuis sans doute pas la vérité ? » Une fois rentrée chez moi, je me suis alitée car je me sentais faible et impuissante, mais j’ai affiché un sourire forcé face aux sœurs, effrayée à l’idée d’échanger ouvertement sur mon état, de peur qu’elles ne me regardent de haut en découvrant que je faisais le travail de gestion des affaires générales.
Quelques jours plus tard, mon mari et moi avons été officiellement chargés du devoir de la gestion des affaires générales. Au cours des premiers jours, nous avons aidé les frères et sœurs qui étaient en danger à emménager dans de nouvelles maisons. Mon mari et moi nous réveillions vers trois heures du matin pour aider aux déménagements, nous montions et descendions des escaliers sans cesse, et chaque jour nous étions épuisés, le dos et les lombaires endoloris, et lorsque nous rentrions chez nous le soir, je n’avais même pas envie de manger, trop faible même pour sortir du lit. Après une semaine à faire ce travail du matin au soir, je me suis mise à me plaindre. « C’est juste une basse besogne. Dans le monde, ces emplois sont effectués par ceux qui n’ont ni connaissances, ni érudition, ni compétences, et je n’aurais jamais cru tomber si bas après toutes ces années à avoir cru en Dieu, capable de ne faire que les tâches les plus ingrates et exigeantes. Avant, je faisais le travail textuel, assise devant un ordinateur, mes vêtements étaient propres et j’étais à l’abri du vent et de la pluie, mais voilà que je finis trempée de sueur et épuisée tous les jours ! C’est le jour et la nuit ! » J’ai fait chaque jour mon devoir avec résignation, et mon état était tombé si bas que je me sentais hébétée comme un cadavre ambulant, avec un grand tourment intérieur.
Dans ma douleur, je suis venue devant Dieu et j’ai prié : « Oh, Dieu, les dirigeants ont pris des dispositions pour que je m’occupe des affaires générales, mais je ne peux me soumettre. J’ai le sentiment que ce devoir est modeste et qu’il amènerait les gens à me regarder de haut. Je ne comprends pas Ton intention. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi pour tirer une leçon de cela. » Après avoir prié, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Certaines personnes se sentent souvent supérieures dans la maison de Dieu. De quelles façons ? Qu’est-ce qui les fait se sentir supérieures de cette manière ? Par exemple, certaines personnes savent parler une langue étrangère, et elles pensent que cela signifie qu’elles ont un don et qu’elles sont qualifiées, et que si la maison de Dieu ne les avait pas, il serait probablement très difficile d’étendre son travail. En conséquence, elles veulent faire en sorte que les gens les admirent partout où elles vont. Quelle méthode les personnes de ce type emploient-elles lorsqu’elles rencontrent d’autres personnes ? Dans leur cœur, elles attribuent toutes sortes de rangs différents aux personnes qui accomplissent différents devoirs dans la maison de Dieu. Les dirigeants sont au sommet, les gens qui ont des talents spéciaux viennent en deuxième, puis viennent les gens qui ont des talents moyens, et en bas se trouvent ceux qui accomplissent toutes sortes de devoirs de soutien. Certaines personnes considèrent la capacité d’accomplir des devoirs importants et spécifiques comme étant capitale, et traitent cela comme le fait d’avoir des vérités-réalités. Quel est le problème ici ? N’est-ce pas absurde ? Accomplir certains devoirs particuliers les rend arrogantes et hautaines, et elles méprisent tout le monde. Lorsqu’elles rencontrent quelqu’un, la première chose qu’elles font toujours est de lui demander quel devoir il accomplit. Si la personne accomplit un devoir ordinaire, elles la méprisent et pensent que cette personne n’est pas digne de leur attention. Lorsque cette personne veut échanger avec elles, elles sont d’accord en apparence, mais au fond d’elles-mêmes elles pensent : “Tu veux échanger avec moi ? Tu n’es personne. Regarde le devoir que tu accomplis, en quoi es-tu digne de me parler ?” Si le devoir que la personne accomplit est plus important que le leur, elles la flattent et l’envient. Quand elles voient des dirigeants ou des ouvriers, elles sont obséquieuses et les flattent. Ont-elles des principes dans la façon dont elles traitent les gens ? (Non. Elles traitent les gens en fonction du devoir qu’elles accomplissent et en fonction des différents rangs qu’elles attribuent.) Elles classent les gens en fonction de leur expérience et de leur ancienneté, et en fonction de leurs talents et de leurs dons » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Il ne peut y avoir d’entrée dans la vie qu’en pratiquant la vérité). « Quel que soit ton devoir, ne fais pas la différence entre ce qui est élevé et ce qui est indigne. Imagine que tu dises : “Bien que cette tâche soit une commission de la part de Dieu et le travail de la maison de Dieu, si je la fais, on pourrait me mépriser. D’autres ont à faire un travail qui les fait se démarquer. On m’a donné cette tâche qui ne me fait pas me démarquer, mais fait que je m’épuise en coulisse. C’est injuste ! Je ne ferai pas ce devoir. Mon devoir doit en être un qui fait que je me démarque devant les autres et qui me permet de me faire un nom, et même si je ne me fais pas un nom et ne me démarque pas, je dois tout de même en profiter et me sentir à l’aise physiquement.” Est-ce une attitude acceptable ? Être sélectif, ce n’est pas accepter ce qui vient de Dieu ; c’est faire des choix selon tes propres préférences. Ce n’est pas accepter ton devoir ; c’est un refus de ton devoir, une manifestation de ta rébellion contre Dieu. Une telle sélection est altérée par tes préférences et désirs individuels ; dès lors que tu prends en considération ton propre bénéfice, ta réputation, etc., ton attitude envers ton devoir n’est pas docile » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que ma perspective sur le devoir était incorrecte et que j’avais catégorisé les devoirs de la maison de Dieu selon plusieurs niveaux. Je pensais qu’être dirigeant, ouvrier, ou superviseur au sein de la maison de Dieu signifiait qu’on était une personne avec un bon calibre et une forte poursuite de la vérité, et que les frères et sœurs nous tiendraient en haute estime, tandis que ceux chargés du devoir de gestion des affaires générales étaient d’un mauvais calibre et manquaient de compréhension de la vérité, et qu’un tel devoir était vu comme inférieur et ne permettait pas de se mettre en valeur. Alors les devoirs que je faisais auparavant me manquaient, et le temps où les frères et sœurs me tenaient en estime, et où j’avais toujours un sentiment de supériorité vis-à-vis des autres, ce qui me rendait très motivée dans mon devoir, prête à renier ma famille et ma carrière, et à souffrir et me dépenser. Maintenant que l’on m’avait assigné le devoir de gestion des affaires générales, je me sentais comme si on m’avait déclassée et comme si j’étais inférieure devant les frères et sœurs. Je me plaignais dans mon cœur, en particulier lorsque le devoir était douloureux et épuisant, et j’avais l’impression qu’un tel arrangement par les dirigeants était injuste et nuisait à mon intégrité, et je voulais juste m’exonérer de cette responsabilité. À ce stade, j’ai vu que mon choix de devoir était basé sur sa capacité ou non à me permettre de me mettre en avant et à m’être bénéfique, et que je ne prenais pas du tout en considération le travail de l’Église. Après avoir cru en Dieu pendant de nombreuses années, je ne voyais toujours pas les questions sur la base des paroles de Dieu, mais je divisais plutôt les devoirs en divers niveaux. Ma perspective n’était pas différente de celle d’un incrédule. En prenant conscience de cela, je me suis sentie bouleversée et coupable.
Plus tard, j’ai lu davantage de paroles de Dieu : « Dans la maison de Dieu, il est constamment question d’accepter le mandat de Dieu et d’accomplir correctement son devoir. Comment le devoir naît-il ? D’une manière générale, il naît de l’œuvre de gestion de Dieu qui consiste à apporter le salut à l’humanité ; pour être plus précis, au fur et à mesure que l’œuvre de gestion de Dieu se déploie parmi l’humanité, divers travaux apparaissent qui nécessitent que les gens coopèrent et les accomplissent. Cela a fait naître des responsabilités et des missions que doivent accomplir les gens et ces responsabilités et missions sont les devoirs impartis à l’humanité par Dieu. Dans la maison de Dieu, les diverses tâches qui nécessitent la coopération des gens sont les devoirs qu’ils doivent accomplir. Alors existe-t-il des différences entre les devoirs en termes de ce qui est mieux ou moins bien, noble ou humble, grand ou petit ? De telles différences n’existent pas ; tant que quelque chose a à voir avec l’œuvre de gestion de Dieu, est une exigence du travail de Sa maison et doit servir à diffuser l’Évangile de Dieu, alors c’est le devoir des personnes. C’est l’origine et la définition du devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?). « Quelle attitude devrais-tu avoir envers ton devoir ? Premièrement, tu ne dois pas l’analyser ni réfléchir à qui te l’a confié ; au lieu de cela, tu dois l’accepter de la part de Dieu comme étant ton devoir qui t’a été confié par Dieu, et tu dois obéir à l’orchestration et aux arrangements de Dieu, et accepter ton devoir confié par Dieu. Deuxièmement, ne fais pas la différence entre ce qui est élevé et ce qui est indigne, et ne te préoccupe pas de sa nature : qu’il fasse que tu te démarques ou non, qu’il soit fait en public ou derrière les coulisses. Ne prends pas ces choses-là en considération. Il y a également une autre attitude : la soumission et la coopération active » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment accomplir son devoir de façon adéquate ?). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai soudainement gagné un peu de lumière dans mon cœur, et j’ai compris qu’au sein de la maison de Dieu, il n’y a aucune distinction entre les devoirs grands et petits, nobles et modestes. Peu importe le devoir accompli, il s’agit pleinement de mener à bien son rôle et sa fonction, et d’accomplir le devoir d’un être créé. L’Église arrange quelle personne accomplit quel devoir sur la base de la stature et du calibre de chaque individu, et selon les besoins du travail de l’Église. Peu importe le devoir, tout est mis en œuvre pour diffuser l’Évangile. Les dirigeants m’ont chargée du devoir de gestion des affaires générales et de planification de l’hébergement pour les frères et sœurs, pour organiser convenablement leurs vies afin qu’ils puissent faire leurs devoirs l’esprit tranquille, ce qui est aussi nécessaire pour le travail. C’est comme une machine, chaque pièce a son rôle, et si une pièce manque, la machine ne peut pas fonctionner. Au sein de la maison de Dieu, c’est la même chose, chaque devoir est indispensable, et il n’existe aucune hiérarchie en ce qui concerne les devoirs. De plus, le fait que quelqu’un possède la vérité-principe n’est pas mesuré par le type de devoir accompli. Auparavant, lorsque je faisais le devoir de dirigeante et d’ouvrière, j’échangeais souvent avec les frères et sœurs durant les réunions, mais lorsque j’ai été transférée à un nouveau devoir, je n’ai pas pu me soumettre et j’ai mesuré cela avec la perspective d’un incrédule, ce qui a révélé mon manque pathétique de vérité. Dieu dit que tout devoir lié à Son plan de gestion est un devoir, qu’il n’existe aucune distinction entre les devoirs grands ou petits, nobles ou modestes, et que tous sont des responsabilités dont on ne peut s’exonérer. Cependant, je me voyais comme faisant partie d’une élite et je me disais que le fait d’être assignée à la gestion des affaires générales était un gâchis de mes talents. J’ai été négative, défiante, et j’ai même voulu y échapper. En quoi faisais-je mon devoir ? L’essence de Dieu est si sainte et noble, et pourtant Il a enduré toutes les souffrances pour devenir chair et exprimer la vérité, travaillant dur et en secret pour le salut de l’humanité. En réfléchissant sur moi-même, lorsque j’ai enduré un peu de difficultés physiques, je me suis sans cesse plainte et j’ai constamment mal compris. L’attitude que j’avais vis-à-vis de mon devoir manquait tout simplement d’humanité et blessait vraiment Dieu ! Je me suis sentie profondément redevable de Dieu et j’ai regretté mon comportement rebelle. Je ne pouvais plus choisir mon devoir sur la base de mes propres préférences et désirs. Lorsque je me suis soumise, mon état d’esprit vis-à-vis de mon devoir a changé, et je me suis sentie moins affectée et fatiguée dans mon cœur. L’arrangement des situations par Dieu a révélé mes points de vue erronés, et c’était là l’amour et le salut de Dieu pour moi.
Après avoir fait le devoir de gestion des affaires générales pendant six mois, j’ai pensé que mes points de vue avaient changé, et que je ne poursuivais plus le statut et la réputation, mais lorsqu’une situation est survenue, elle m’a de nouveau révélée. Un jour, un dirigeant est venu parler avec moi de l’assignation de mon mari et moi à des devoirs d’hébergement. Comme mon manque précédent de soumission au devoir de gestion des affaires générales m’avait rendue redevable, je savais que je ne pouvais pas me montrer rebelle cette fois, alors j’ai accepté, et nous avons bien vite loué une maison. Cependant, en passant nos journées à vivre avec les frères et sœurs et à les voir tous faire des devoirs textuels, je me suis sentie un peu amère et malheureuse, et je me suis dit : « Auparavant, je faisais moi aussi mon devoir sur ordinateur, et maintenant je suis chaque jour accroupie dans la cuisine, à préparer des légumes et à cuisiner. » Je me sentais si inférieure à eux. À cette idée, mes yeux se sont embués de larmes. Un jour, le dirigeant est venu chez moi pour discuter du travail avec les frères et sœurs et il est reparti sans s’enquérir de mon état, ce qui m’a fait me sentir encore plus déprimée. J’ai repensé au temps où je faisais des devoirs textuels. J’étais estimée par les dirigeants, mais à présent je m’occupais juste de poêles et de casseroles à longueur de journée, et il semblait que je n’aurais jamais une occasion de me démarquer. Plus j’y pensais, plus cela devenait douloureux, et j’ai eu le sentiment que la vie n’avait aucun sens. Je me suis rendu compte que mon état n’était pas bon, alors j’ai rapidement cherché des paroles de Dieu à lire. J’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Avec comme moteur un tempérament satanique corrompu, quels sont les idéaux des hommes, leurs espoirs, leurs ambitions et leurs objectifs et directions de vie ? Ne vont-ils pas à l’encontre des choses positives ? Par exemple, les hommes veulent toujours avoir une renommée ou être des célébrités ; ils souhaitent acquérir une grande réputation et un grand prestige et faire honneur à leurs ancêtres. Ces choses sont-elles positives ? Elles ne sont pas du tout conformes à des choses positives ; en plus, elles vont à l’encontre de la loi de la souveraineté de Dieu sur le destin de l’humanité. Pourquoi est-ce que Je dis cela ? Quel genre de personne Dieu veut-Il ? Veut-Il une personne éminente, une célébrité, une personne noble ou une personne très importante ? (Non.) Mais alors, quel genre de personne Dieu veut-Il ? (Quelqu’un qui a les pieds bien ancrés sur terre et qui remplit le rôle d’un être créé.) Oui, et quoi d’autre ? (Dieu veut une personne honnête qui Le craint, s’éloigne du mal et se soumet à Lui.) (Quelqu’un qui se tient du côté de Dieu en toute chose, qui s’efforce d’aimer Dieu.) Ces réponses sont également correctes. Il s’agit de quiconque a le même cœur et le même esprit que Dieu. Est-il dit quelque part dans les paroles de Dieu que les gens doivent s’en tenir à leur position d’humains ? (Oui.) Qu’est-ce qui est dit ? (“En tant que membre de l’humanité créée, une personne doit garder sa propre place et se comporter consciencieusement. Garde avec dévouement ce qui t’est confié par le Créateur. N’agis pas de manière déplacée, ne fais rien qui dépasse tes capacités ou qui soit répugnant pour Dieu. N’essaie pas d’être grand, surhumain ou au-dessus des autres et ne cherche pas non plus à devenir Dieu. C’est comme cela que les gens ne devraient pas désirer être. Chercher à devenir grand ou surhumain est absurde. Chercher à devenir Dieu est encore plus scandaleux ; c’est vraiment dégoûtant et aussi méprisable. Ce qui est louable et ce à quoi les êtres créés devraient tenir plus que toute autre chose, c’est de devenir un véritable être créé ; c’est le seul objectif que tout le monde devrait poursuivre” [La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique I].) Puisque vous savez ce que les paroles de Dieu exigent des gens, êtes-vous capables de vous en tenir aux exigences de Dieu dans votre poursuite du comportement humain ? Voulez-vous toujours déployer vos ailes et prendre votre envol, souhaitez-vous toujours voler en solo, être un aigle plutôt qu’un petit oiseau ? De quel tempérament s’agit-il ? Est-ce là le principe du comportement humain ? Votre poursuite du comportement humain devrait être basée sur les paroles de Dieu : seules les paroles de Dieu sont la vérité. […] Qu’est-ce qui fait que les gens souhaitent toujours être affranchis de la souveraineté de Dieu, qu’ils souhaitent toujours saisir leur propre destin et planifier leur propre avenir et qu’ils souhaitent contrôler leurs perspectives, leur direction et leurs objectifs de vie ? D’où vient ce point de départ ? (D’un tempérament satanique corrompu.) Mais alors, qu’est-ce qu’un tempérament satanique corrompu apporte aux gens ? (L’opposition à Dieu.) Qu’advient-il aux gens qui s’opposent à Dieu ? (De la douleur.) De la douleur ? C’est de la destruction ! La douleur n’en représente même pas la moitié. Ce que vous avez sous les yeux, c’est de la douleur, de la négativité et de la faiblesse, c’est de la résistance et des plaintes. Quel résultat ces choses-là produiront-elles ? L’annihilation ! Ce n’est pas un sujet léger, et ce n’est pas un jeu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Un tempérament corrompu ne peut être résolu qu’en acceptant la vérité). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai compris que si je voulais toujours faire le devoir d’une dirigeante ou d’une ouvrière, et poursuivais l’admiration et l’estime des autres, c’était parce que j’étais contrôlée par mon désir de réputation et de statut. En vivant selon « Un homme a besoin de sa fierté comme un arbre a besoin de son écorce », « Un homme laisse son nom partout où il passe, comme une oie fait entendre son cri partout où elle vole », « L’homme lutte pour s’élever ; l’eau coule vers l’aval » et « On doit endurer les plus grandes difficultés pour devenir les plus grands des hommes », et autres poisons sataniques, j’en étais venue à voir, à tort, la gloire, la notoriété, et la poursuite de la supériorité comme des choses positives, dans l’idée que vivre de la sorte avait de la valeur, et qu’être dédaignée par les autres impliquait de vivre sans succès et d’être inférieure. J’ai réfléchi à l’époque après mon mariage. Mon mari et moi avions beau avoir des emplois stables et une vie gérable, j’étais ambitieuse et peu disposée à vivre une vie ordinaire. Je voulais améliorer ma vie et gagner l’admiration de mes proches et de mes collègues. Pour y parvenir, mon mari et moi avions un travail d’appoint en plus de nos emplois habituels, à élever des poules et à faire pousser des légumes, et nous travaillions chaque jour du lever du jour jusqu’au crépuscule. Avec le temps, nos vies se sont améliorées, et mes proches et collègues ont loué mes aptitudes, ce qui m’a rendue très heureuse et m’a donné le sentiment que ma vie n’avait pas été vécue en vain. Après avoir rejoint l’Église, j’ai continué de poursuivre la réputation et la supériorité, croyant qu’être une dirigeante et ouvrière ou une superviseuse d’équipe me vaudrait l’admiration des frères et sœurs. Lorsque mon désir de réputation, de gains et de statut était satisfait, je pouvais endurer n’importe quelle difficulté, mais lorsqu’il s’agissait de faire des devoirs comme la gestion des affaires générales ou l’hébergement d’autres personnes, j’avais l’impression que c’était indigne de moi, et mon cœur était empli de résistance et de plaintes, et j’étais dénuée de toute soumission. Je ne prenais pas en considération la manière de soutenir le travail de l’Église, et je révélais un tempérament satanique d’opposition à Dieu. En prenant conscience de cela, j’ai eu très peur, et je suis venue devant Dieu en prière : « Oh, Dieu, mes points de vue sur la poursuite ont été erronés, mes points de vue sur la poursuite ont été erronés, et au cours de ces années de croyance en Toi, je n’ai pas suivi la voie de la poursuite de la vérité ; au lieu de cela, j’ai utilisé mes devoirs pour satisfaire mon propre désir de réputation et de statut, et je n’ai pas fait sincèrement mon devoir d’être créé. Dieu, je suis prête à me repentir, et je Te demande de me guider pour comprendre la vérité et corriger mes points de vue erronés sur la poursuite. » Après cela, j’ai réfléchi et je me suis rendu compte que faire ce devoir était bénéfique à mon entrée dans la vie. Même si j’avais exercé en tant que dirigeante et ouvrière pendant de nombreuses années, je n’avais pas poursuivi la vérité, et beaucoup de mes opinions fallacieuses étaient restées inchangées. En étant transférée à un devoir différent, j’ai été obligée de réfléchir sur moi-même et de mieux me connaître, ce qui contient le salut et l’amour que Dieu a pour moi. En comprenant cela, je me suis sentie coupable et pleine de remords, et j’ai juste voulu laisser Dieu m’orchestrer tel qu’Il le souhaite, et accomplir sincèrement tout devoir avec un cœur de recherche et de soumission.
Plus tard, j’ai lu davantage de paroles de Dieu : « Tout le monde est égal devant la vérité, et il n’y a aucune distinction d’âge ou d’infériorité et de noblesse pour ceux qui accomplissent leurs devoirs dans la maison de Dieu. Tout le monde est égal devant son devoir, chacun accomplit simplement une mission différente. Il n’y a pas de distinction entre les personnes en fonction de leur ancienneté. Devant la vérité, tout le monde devrait garder un cœur humble, soumis et acceptant. Les gens devraient faire preuve de cette raison et de cette attitude » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). « En fin de compte, que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dépend pas du devoir qu’ils font, mais du fait qu’ils puissent ou non comprendre et acquérir la vérité, et qu’ils puissent ou non se soumettre entièrement à Dieu à la fin, se mettre à la merci de Ses orchestrations, ne pas envisager leur avenir et leur destinée, et devenir des êtres créés qualifiés. Dieu est juste et saint, et c’est là la norme qu’Il utilise pour prendre la mesure de toute l’humanité. Cette norme est immuable, et tu dois t’en souvenir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai vu le tempérament juste de Dieu. Aux yeux de Dieu, nous sommes tous des êtres créés et nous sommes égaux. Dieu n’accorde pas de faveurs à quelqu’un, juste parce qu’il est dirigeant, ni ne dédaigne quelqu’un parce qu’il gère les affaires générales. Dieu exprime la vérité, subvient aux besoins de chacun, et du moment que les gens ont soif de vérité et la poursuivent, tout le monde a la même chance de salut. Dieu ne détermine pas l’issue d’une personne sur la base du type de devoir qu’elle fait, mais selon son essence et le chemin qu’elle emprunte. Si quelqu’un ne poursuit pas la vérité, ne pratique pas les paroles de Dieu, et si son tempérament ne change pas, même s’il s’agit d’un dirigeant et d’un ouvrier, au bout du compte, il sera éliminé. À ce stade, j’ai aussi compris que peu importe l’importance de mon statut ou le nombre de gens qui m’admirent, ces choses-là ne peuvent pas me sauver. Ce n’est qu’en poursuivant la vérité et en cherchant un changement de tempérament en conformité avec l’intention de Dieu qu’il y a une chance de salut. En comprenant ces choses-là, je me suis sentie libérée dans mon cœur, et dès lors, je n’ai eux que deux souhaits : bien faire mon devoir et payer ma dette envers Dieu. Après cela, en faisant mon devoir, je ne me suis plus focalisée sur la manière dont les frères et sœurs me voyaient, mais je me suis concentrée sur les moyens de garantir la sécurité de la maison et d’héberger les frères et sœurs convenablement, afin qu’ils puissent faire leurs devoirs en paix. De plus, en faisant le devoir d’hébergement, je me suis concentrée pour réfléchir sur mes pensées et corruptions révélées dans mes interactions quotidiennes avec les gens, les événements et les choses, et j’ai cherché des paroles de Dieu pour les résoudre, en prenant soin d’écrire mes notes de dévotions et de pratiquer l’écriture d’articles de témoignages d’expérience, et chaque journée a été assez gratifiante. C’est le châtiment et le jugement des paroles de Dieu qui ont corrigé mes opinions fallacieuses, et le changement qui s’est opéré à présent est le résultat de l’œuvre de Dieu. Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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