Les conséquences de s’en remettre aux autres dans un devoir
Par Bai Xue, Italie En novembre 2021, la dirigeante s’est arrangée pour que je fasse équipe avec Sœur Sandra afin de réaliser des images...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2012, je suis devenue responsable du travail de plusieurs Églises. J’ai appris que durant les élections de l’Église, ma mère avait été induite en erreur par Li Fang, une femme malfaisante, et avait attaqué et rabaissé le dirigeant d’Église fraîchement élu, disant qu’il n’avait aucune aptitude au travail, qu’il ne comprenait pas la vérité et qu’il ne convenait pas pour être dirigeant. Elle a fait tout ce qu’elle a pu pour encenser et louer Li Fang, et la faire passer pour quelqu’un qui avait la vérité-réalité, qui pouvait renoncer aux choses, travailler dur, endurer des difficultés et payer un prix. Au bout du compte, elle a voté pour que Li Fang, la personne malfaisante, soit la dirigeante. Ma mère a également attaqué et jugé le diacre d’abreuvement : elle disait que c’était quelqu’un dépourvu de l’œuvre du Saint-Esprit, incapable de faire du travail concret, et qui devrait démissionner de son poste. Résultat, il vivait dans la négativité, ce qui impactait le travail d’abreuvement. Ma mère ne refélchissait pas du tout sur ses propres actes malfaisants. Et quand l’Église a voulu expulser Li Fang, elle a tout fait pour la protéger et lui rendre justice, et a même incité et induit en erreur les frères et sœurs pour qu’ils se rangent de son côté. Elle a également dit : « Peu importe le nombre d’élections que nous aurons, je voterai toujours pour que Li Fang soit dirigeante. » Elle a tellement perturbé les choses que l’élection n’a pas pu se dérouler normalement, ce qui a profondément impacté le travail de l’Église. Plus tard, une dirigeante a disséqué et exposé les actes malfaisants de ma mère, mais elle n’a pas reconnu ses propres actes malfaisants et ne s’est pas du tout repentie. Au regard de son comportement, ma mère devait être exclue. Lorsque j’ai appris qu’elle devait être exclue, j’ai été très contrariée. Après avoir cru en Dieu, ma mère a été persécutée et a beaucoup souffert. C’était la personne qui m’était la plus chère, elle s’était donné beaucoup de mal pour m’élever, alors je compatissais avec elle dans une certaine mesure et ne voulais pas admettre qu’elle soit exclue. J’ai prié Dieu et j’ai cherché à maintes reprises auprès de Lui. Et grâce à l’éclairage et à la direction des paroles de Dieu, je suis parvenue à avoir un certain discernement de son essence en tant que personne malfaisante et j’ai donné mon accord pour qu’elle soit exclue de l’Église.
En mai 2018, j’étais responsable du travail de purge de l’Église. Dans les arrangements du travail issus de la maison de Dieu, j’ai vu que pour ceux qui montraient une véritable repentance après leur exclusion, une réintégration de l’Église pouvait être envisagée. J’ai pensé à ma mère qui, ces dernières années, mentionnait de temps en temps son exclusion de l’Église, disant que sa nature était trop arrogante, qu’elle était trop têtue, et que son exclusion montrait le tempérament juste de Dieu. Une fois, je lui ai demandé quelle était sa compréhension de ses actes malfaisants à l’époque. Elle a dit que c’était principalement dû à son manque de discernement et au fait qu’elle avait été induite en erreur. Elle s’était dit que Li Fang croyait en Dieu depuis longtemps, qu’elle pouvait renoncer aux choses, travailler dur et endurer des difficultés, qu’elle était faite pour le poste de dirigeante, et elle avait donc cru que son point de vue était bon et ne s’était pas laissée dissuader. Mais lorsque nous évoquions les détails de ses actes malfaisants, elle trouvait toujours des excuses, essayait toujours de se justifier et clamait son innocence comme s’il y avait des raisons valables pour ce qu’elle avait fait. Alors j’ai regroupé tous ses problèmes et le comportement de Li Fang et j’ai échangé avec elle sur la nature et les conséquences des perturbations provoquées au travail en protégeant les gens malfaisants, et je l’ai guidée pour qu’elle réfléchisse sur elle-même et qu’elle se comprenne elle-même. Ma mère a hoché la tête en signe d’approbation et a dit qu’elle avait été le laquais de Satan, son porte-parole, et qu’elle avait été malfaisante. J’étais très heureuse de voir ça. Ma mère ne refusait pas totalement d’accepter la vérité, et elle avait une certaine compréhension. J’ai également pensé : « Toutes ces années, elle a mangé et bu les paroles de Dieu , a insité pour faire des offrandes et des dons à des œuvres de bienfaisance, et a un certain discernement de Li Fang. Un jour après son exclusion, alors qu’elle prêchait l’Évangile, elle a été arrêtée par la police mais n’a jamais vendu l’Église et n’est pas devenue un Judas. Et lorsque j’étais négative et faible, elle me réconfortait et m’encourageait. Ces dernières années, je n’ai pas pu rentrer chez moi car j’étais recherchée par la police, et elle m’a aidée en s’occupant de mon enfant et en me soutenant dans l’exécution de mon devoir. » En pensant à tout cela, je me suis demandée si ma mère montrait des signes de repentance. Après avoir été exclue, elle avait été très contrariée et espérait qu’un jour, elle pourrait de nouveau être acceptée dans l’Église. À présent, il se trouvait justement que j’étais responsable de ce travail, alors je devais mettre « tout en œuvre » pour que ma mère soit de nouveau acceptée dans l’Église. Elle pourrait alors vivre la vie d’Église avec les frères et sœurs, et lorsqu’elle apprendrait que c’était grâce à moi qu’elle était de nouveau acceptée, elle serait sûrement aux anges.
J’ai alors écrit des lettres aux Églises dont j’étais responsable, demandant aux dirigeants d’Église d’enquêter pour savoir s’il y avait des gens qui s’étaient repentis sincèrement et pouvaient être acceptés après avoir été exclus. Un jour, les dirigeants d’Église m’ont envoyé quatre lettres de repentance écrites par les personnes malfaisantes qui avaient été exclues. Et parmi ces lettres, il y avait celle de ma mère. J’étais folle de joie. J’étais déjà au courant pour les trois autres personnes. Elles n’avaient montré aucun signe de repentance après leur exclusion. En comparaison, la possibilité pour ma mère d’être acceptée à nouveau dans l’Église était beaucoup plus élevée. Je pensais que conformément aux principes de l’Église pour la réadmission des gens, la personne réadmise devait être évaluée par la plupart des frères et sœurs, et des dirigeants et ouvriers. Il était loin d’être suffisant de se baser uniquement sur la lettre de repentance de la personne et sur l’évaluation des dirigeants d’Église. J’ai immédiatement écrit des lettres aux dirigeants d’Église, leur demandant de fournir des évaluations de ma mère de la part des gens qui la connaissaient. Mais j’avais peur que le seul fait de leur demander de fournir des évaluations de ma mère poussent les frères et sœurs à m’accuser de favoritisme. Afin d’éviter d’éveiller les soupçons, j’ai demandé aux dirigeants de fournir les évaluations des quatre personnes, et je leur ai dit que le plus tôt était le mieux. Je pensais aussi que ma propre évaluation serait essentielle, alors j’ai écrit un récit détaillé des actions de « repentance » de ma mère après son exclusion, mais j’ai juste écrit une remarque rapide sur les raisons de son exclusion à l’époque. Je craignais que si j’entrais trop dans les détails, cela n’affecte sa réadmission. Et plus important encore, je devais souligner son comportement relativement bon après son exclusion, et de cette façon, ses chances d’être de nouveau acceptée dans l’Église seraient plus grandes. J’ai ensuite écrit à ma mère, ai échangé et disséqué ses actions malfaisantes de l’époque, l’ai guidée pour qu’elle comprenne les principales raisons, et lui ai rappelé de saisir cette opportunité et de se repentir rapidement. Alors que je lui écrivais, je m’en voulais un peu : en déployant autant d’efforts en secret pour que ma mère soit de nouveau acceptée dans l’Église, est-ce que je n’agissais pas en fonction de mes sentiments ? Mais ces pensées n’étaient que passagères, et je ne cherchais pas la vérité et ne réfléchissais pas sur moi-même. En attendant les lettres, j’avais peur que toute erreur affecte la réadmission de ma mère, alors tous les deux ou trois jours, j’écrivais des lettres aux dirigeants d’Église, leur demandant de toute urgence où ils en étaient pour rassembler les évaluations.
Un jour, le dirigeant supérieur a écrit une lettre pour m’émonder : « Les dirigants d’Église ont récemment concentré leur travail sur la collecte d’informations pour les réadmissions de quelques personnes expulsées et ont mis de côté tout autre travail. Ces gens qui n’ont montré aucun signe de repentance ne sont pas des gens qui seront réadmis par l’Église. Et pourtant, vous avez demandé aux Églises de récupérer des évaluations sur eux. Vous interrompez et perturbez le travail de l’Église. » Lorsque j’ai lu ça, je n’ai cessé de défendre ma cause dans mon esprit : « Collecter des évaluations pour des gens qui n’ont montré aucun signe de repentance ? Le dirigeant a-t-il mal compris ? Ma mère a montré des signes de repentance. Comment le dirigeant peut-il dire qu’aucun de ces gens n’ont montré de signe de repentance et m’émonder pour interruption et perturbation du travail de l’Église ? » Je me sentais constamment réfractaire et n’acceptais pas du tout ça. J’étais consciente que mon état était mauvais, alors je me suis agenouillée et j’ai prié Dieu : « Ô mon Dieu ! Je ne peux pas accepter cet émondage de la part du dirigeant aujourd’hui. Je n’ai aucun discernement sur ma mère et je ne comprends pas ce qu’est la vraie repentance. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi pour que je comprenne cette vérité. » Après avoir prié, je me suis sentie un peu plus apaisée. Après ça, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Cette “mauvaise voie” ne se réfère pas à quelques actes malfaisants, mais à la source malveillante du comportement des gens. “Se détourner de sa mauvaise voie” signifie que les gens concernés ne commettront plus jamais ces actions. En d’autres termes, ils ne se comporteront plus jamais de cette manière mauvaise ; la méthode, la source, le but, l’intention et le principe de leurs actions ont tous changé ; ils n’utiliseront plus jamais ces méthodes et ces principes pour apporter la joie et le bonheur dans leur cœur. “Abandonner” dans “abandonner la violence dont leurs mains étaient coupables” signifie déposer ou mettre de côté, rompre totalement avec le passé et ne jamais revenir en arrière. Lorsque les habitants de Ninive ont abandonné la violence dont leurs mains étaient coupables, cela a prouvé et représenté leur vraie repentance. Dieu observe l’apparence des gens ainsi que leur cœur. Quand Dieu observa la vraie repentance dans le cœur des Ninivites sans questionnement et observa également qu’ils avaient quitté leurs mauvaises voies et abandonné la violence dont leurs mains étaient coupables, Il a changé Son cœur » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). « Indépendamment de ce qu’avait été la colère de Dieu envers les Ninivites, dès qu’ils ont déclaré un jeûne et se sont couverts de sacs et de la cendre, Son cœur s’est adouci et Il a commencé à changer d’avis. Quand Il leur a annoncé qu’Il allait détruire leur ville – le moment avant leur confession et leur repentance pour leurs péchés –, Dieu était toujours en colère contre eux. Après qu’ils eurent posé une série d’actes de repentance, la colère de Dieu contre les habitants de Ninive s’est graduellement transformée en miséricorde et en tolérance pour eux. Il n’y a rien de contradictoire au sujet de la révélation coïncidente de ces deux aspects du tempérament de Dieu dans le même événement. Alors, comment devrait-on comprendre et connaître ce manque de contradiction ? Dieu a exprimé et révélé chacune de ces deux essences diamétralement opposées avant et après que les Ninivites se soient repentis, permettant aux gens de voir la réalité de l’essence de Dieu et le fait qu’elle ne peut être offensée. Dieu a utilisé Son attitude pour dire aux gens ce qui suit : ce n’est pas que Dieu ne tolère pas les gens ou qu’Il ne veuille pas leur montrer de miséricorde ; c’est plutôt qu’il est rare qu’ils se repentent vraiment devant Dieu, et il est rare que les gens se détournent vraiment de leurs mauvaises voies et abandonnent la violence dont leurs mains sont coupables. En d’autres termes, quand Dieu est en colère contre l’homme, Il espère que l’homme sera vraiment capable de se repentir et Il espère en effet voir la vraie repentance de l’homme, auquel cas Il continuera libéralement à accorder Sa miséricorde et Sa tolérance à l’homme. C’est dire que la conduite malfaisante de l’homme entraîne la colère de Dieu, tandis que la miséricorde et la tolérance de Dieu sont accordées à ceux qui L’écoutent et se repentent vraiment devant Lui, à ceux qui peuvent se détourner de leurs mauvaises voies et abandonner la violence dont leurs mains sont coupables. L’attitude de Dieu a été très clairement révélée dans Son traitement des Ninivites : la miséricorde et la tolérance de Dieu ne sont pas du tout difficiles à obtenir et ce qu’Il exige, c’est une vraie repentance. Tant que les gens se détourneront de leurs mauvaises voies et abandonneront la violence entre leurs mains, Dieu changera Son cœur et changera Son attitude à leur égard » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai compris que les Ninivites avaient suscité la colère de Dieu en faisant toutes sortes d’actions malfaisantes. Pourtant, puisqu’ils ont réussi à abandonner leurs manières malfaisantes et à renoncer totalement à leurs actes malfaisants – ils n’ont pas juste exprimé leur confession et leur repentance, ni changé leur comportement apparent, mais ont plutôt réfléchi et compris leurs actes malfaisants et l’intention, la source et les raisons de leurs actions ont changé – ils ont atteint la véritable repentance, et ont donc obtenu la miséricorde et la tolérance de Dieu. Cependant, ces gens malfaisants et ces antéchrists se contentent d’adopter un bon comportement en apparence après avoir été expulsés, ils prêchent l’Évangile ou font de bonnes actions, et espèrent se faire pardonner pour leurs mauvaises actions passées. Même s’ils admettent oralement avoir fait le mal, à savoir quels actes malfaisants ils ont commis en particulier, quelles étaient leurs intentions, leurs buts et leurs motivations pour avoir fait de telles choses, et quelle nature les contrôlait, ils ne comprennent et ne haïssent jamais vraiment l’origine de tels problèmes. Ils ne peuvent donc pas vraiment se repentir. Si une occasion favorable se présente, ils continueront à faire le mal et à résister à Dieu, et ce genre de personnes ne peut pas obtenir la miséricorde et la tolérance de Dieu. Par comparaison, ma mère avait été exclue de l’Église pour avoir fait beaucoup de mal et obstinément refusé de se repentir, ce qui a offensé le tempérament de Dieu. C’était là la justice de Dieu. Mais si elle avait réellement pu comprendre, se repentir de ses actions malfaisantes passées, se concentrer sur la pratique de la vérité, et garantir de ne plus faire de telles choses malfaisantes, alors il y aurait peut-être un certain espoir qu’elle obtienne la miséricorde et la tolérance de Dieu. Cependant, ma mère n’a fait qu’admettre oralement qu’elle avait été induite en erreur par Li Fang, qu’elle avait interrompu et perturbé la vie de l’Église, et a admis qu’elle était une personne malfaisante et le laquais de Satan. Pourtant, elle n’avait aucune compréhension du fait qu’elle avait argumenté pour le compte d’une personne malfaisante ou de ses actes malfaisants qui avaient interrompu et perturbé les élections de l’Église. Lorsque ses actes malfaisants ont de nouveau été exposées, elle a encore essayé d’argumenter pour son compte en en recourant à des raisons objectives et n’avait aucune compréhension de sa propre nature-essence. Cela ne pouvait pas être qualifié de vraie repentance. Quand j’ai vu à quel point elle était contrariée après son exclusion, à quel point elle s’obstinait dans sa foi et assistait à des réunions, qu’elle n’est pas devenue un Judas lorsqu’elle a été arrêtée, qu’elle faisait toujours des offrandes et des dons à des œuvres de bienfaisance, et qu’elle me réconfortait et m’encourageait quand je me sentais négative et faible, je me disais qu’elle montrait des signes de repentance et je voulais la faire de nouveau accepter dans l’Église. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « La norme par laquelle les humains jugent les autres humains est basée sur leur comportement ; ceux dont le comportement est bon sont justes, tandis que ceux dont la conduite est abominable sont malfaisants. La norme par laquelle Dieu jauge les humains est basée sur le fait de savoir si leur essence se soumet à Dieu ou non. Celui qui se soumet à Dieu est une personne juste, tandis que celui qui ne se soumet pas à Dieu est un ennemi et une personne malfaisante, indépendamment de son comportement qui est bon ou mauvais, et indépendamment de son discours qui est correct ou incorrect » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Dieu juge si quelqu’un est bon ou malfaisant, pas si son comportement apparent est bon ou mauvais. Il juge son essence, son attitude envers la vérité et si les intentions et les motivations derrière ses actions visent à pratiquer la vérité et à se soumettre à Dieu. Si quelqu’un hait la vérité en substance, alors son comportement apparent a beau être bon, cela reste une personne malfaisante qui résiste à Dieu. J’ai compris que j’approchais les gens sans principes. Je pensais qu’elle s’était vraiment repentie juste en me basant sur certains bons comportements apparents, mais je ne savais pas discerner son essence et ne regardais pas son attitude envers la vérité. Tout ce que je voulais, c’était la faire de nouveau accepter dans l’Église, ce qui était totalement sans principes. Mes points de vue sur les choses étaient tellement absurdes ! Plus tard, j’ai réfléchi sur moi-même : Quel tempérament corrompu me contraignait et m’obligeait à agir ainsi ? Cette question en tête, j’ai continué à chercher les réponses dans les paroles de Dieu.
Lors de mes dévotions, j’ai lu quelques paroles de Dieu : « Que sont les sentiments, en substance ? Ils sont une sorte de tempérament corrompu. On peut caractériser les manifestations des sentiments en utilisant différents termes : favoritisme, protection des autres sans respect des principes, préservation des relations physiques et partialité. Voilà ce que sont les sentiments. Quelles sont les conséquences probables du fait que les gens ont des sentiments et vivent selon eux ? Pourquoi Dieu déteste-t-Il le plus les sentiments des gens ? Certaines personnes sont toujours gouvernées par leurs sentiments, elles ne peuvent pas mettre la vérité en pratique, et bien qu’elles souhaitent se soumettre à Dieu, elles ne le peuvent pas. Par conséquent, elles sont tourmentées par leurs sentiments. Beaucoup de gens comprennent la vérité mais ne peuvent pas la mettre en pratique. C’est, là encore, parce qu’ils sont gouvernés par leurs sentiments » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quelle est la vérité-réalité ?). « La maison de Dieu te demande de faire un travail de purge de l’Église, et il y a un individu qui est constamment négligent dans son devoir, et qui cherche en permanence à se relâcher. Selon les principes, cet individu devrait être renvoyé, mais tu as de bonnes relations avec lui. Par conséquent, quelles pensées et intentions vont émerger en toi ? Comment pratiqueras-tu ? (Agir selon mes propres préférences.) Et qu’est-ce qui engendre ces préférences ? Cet individu a été bon avec toi ou a fait des choses pour toi, il te fait bonne impression, et donc, à ce moment-là, tu veux le protéger et le défendre. Cela n’est-il pas dû aux sentiments ? Cet individu t’émeut et tu adoptes donc une approche selon laquelle “les hautes autorités ont leur politique, tandis que les localités ont leurs contre-mesures”. Tu tiens un double langage. D’un côté, tu dis à cet individu : “Tu dois fournir un peu plus d’efforts quand tu fais les choses. Arrête d’être superficiel, tu dois endurer quelques épreuves ; c’est notre devoir.” D’un autre côté, tu réponds au Supérieur en disant : “Cet individu s’est amélioré, il est plus efficace maintenant quand il accomplit son devoir.” Mais, voilà ce que tu penses réellement : “C’est parce que j’ai travaillé sur cet individu. Sans cela, il serait toujours comme avant.” Intérieurement, tu te dis toujours : “Il a été gentil avec moi, il ne peut pas être exclu !” Quel état est-ce là quand tu as de telles choses dans l’intention ? Défendre les relations affectives personnelles cause du tort au travail de l’Églises. Agir ainsi est-il conforme aux vérités-principes ? Es-tu soumis, en faisant cela ? (Non.) Il n’y a pas de soumission, mais de la résistance dans ton cœur. Dans ce qui t’arrive et le travail que tu es censé faire, tes idées contiennent des jugements subjectifs et des facteurs émotionnels s’y mêlent. Tu agis en fonction de tes sentiments, et pourtant, tu continues de croire que tu le fais en toute impartialité, que tu donnes aux gens l’opportunité de se repentir, et que tu leur apportes amour et soutien ; par conséquent, tu agis à ta guise, et non selon les paroles de Dieu. Travailler ainsi, c’est réduire la qualité du travail, cela réduit l’efficacité et nuit au travail de l’Église : voilà ce qu’il advient quand on agit suivant ses sentiments. Si tu ne t’examines pas, seras-tu capable d’identifier ce problème ? Jamais. Tu sauras peut-être que ce n’est pas bien d’agir ainsi, que c’est un manque de soumission, mais après réflexion, tu te diras : “Je dois aider ces gens avec amour, et après ça, ils progresseront et n’auront pas à être exclus. Dieu ne donne-t-Il pas aux gens l’opportunité de se repentir ? Dieu aime les gens, je dois donc les aider avec amour, et je dois faire comme Dieu le demande.” Après t’être dit cela, tu continueras à agir à ta guise. Ensuite, tu auras le cœur léger ; tu auras l’impression de mettre en pratique la vérité. Au cours de ce processus, as-tu pratiqué selon la vérité, ou as-tu agi selon tes propres préférences et intentions ? Tu as agi entièrement selon tes propres préférences et intentions. Tout au long du processus, tu as usé d’une prétendue bienveillance et d’un soi-disant amour, ainsi que de sentiments et de philosophies des relations mondaines, dans le but d’arranger les choses, et tu as tenté de rester neutre. On aurait pu croire que tu aidais cet individu avec amour, mais dans ton cœur, tu étais en fait contraint par des sentiments, et, craignant que le Supérieur ne le découvre, tu as essayé de Le rallier ainsi que cet individu grâce au compromis, afin que personne ne se sente offensé et que le travail soit fait : les non-croyants tentent de rester neutres de la même manière. En réalité, comment Dieu évalue-t-il cette situation ? Il te classera comme quelqu’un qui ne se soumet pas à la vérité, qui adopte souvent une attitude scrutatrice et analytique à l’égard de la vérité et des exigences de Dieu. Quel rôle joue ton intention lorsque tu abordes la vérité et les exigences de Dieu en utilisant cette méthode, et lorsque tu accomplis tes devoirs avec cette attitude ? Elle sert à protéger tes propres intérêts, ton orgueil et tes relations interpersonnelles sans tenir compte des exigences de Dieu, ni avoir un impact positif sur tes propres devoirs ou sur le travail de l’Église. Une telle personne vit entièrement selon des philosophies de relations mondaines. Tout ce qu’elle dit et fait vise à sauvegarder son orgueil, ses sentiments et ses relations interpersonnelles, mais elle ne se soumet pas véritablement à la vérité et à Dieu, et elle n’essaie pas non plus de déclarer ou d’admettre ces problèmes. Elle ne ressent pas le moindre remords et reste totalement ignorante de la nature des problèmes. Si les gens n’ont pas un cœur qui craint Dieu, et si Dieu n’a pas de place dans leur cœur, alors ils ne peuvent jamais agir par principe, quels que soient les devoirs qu’ils accomplissent ou les problèmes auxquels ils sont confrontés. Les personnes qui vivent selon leurs intentions et leurs désirs égoïstes sont incapables d’entrer dans la vérité-réalité. C’est pourquoi, s’ils rencontrent un problème et qu’ils n’examinent pas leurs intentions et ne peuvent pas reconnaître où leurs intentions sont erronées, mais au lieu de cela, ils utilisent toutes sortes de justifications pour fabriquer des mensonges et des excuses pour eux-mêmes, que se passe-t-il en fin de compte ? Ils protègent assez bien leurs propres intérêts, leur orgueil et leurs relations interpersonnelles, mais ils ont perdu leur relation normale avec Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, L’attitude que l’homme doit avoir envers Dieu). Alors que je réfléchissais sur les paroles de Dieu, je me suis sentie vraiment blessée et contrariée. Quand les problèmes survenaient, je ne cherchais pas la vérité ou n’agissais pas conformément aux principes. Au lieu de ça, je favorisais et protégeais ma famille, défendant mes sentiments charnels et mes intérêts personnels sur tous les plans. J’agissais là en fonction de mes sentiments et c’était là un tempérement corrompu : c’était en totale contradiction avec l’intention de Dieu. J’étais une personne dotée de sentiments incroyablement forts. Je pensais toujours que ma mère avait enduré des épreuves pour m’élever et s’était tellement dépensée pour moi. Et à cause de ce lien du sang, je voulais toujours la protéger, et je l’approchais d’une façon qui était totalement dépourvue de principes. Lorsque j’ai vu les arrangements du travail de l’Église pour la réadmission des gens, j’ai de suite pensé à ma mère. Je savais que c’était une personne malfaisante qui avait été exclue par l’Église, mais juste en me basant sur le bon comportement qu’elle montrait, je voulais la faire accepter de nouveau dans l’Église pour lui faire plaisir et la rendre heureuse, et pour garder ma relation familiale avec elle. Notamment quand j’ai rédigé son évaluation, j’ai violé les principes de l’objectivité, de l’équité, de sincérité et de pragmatisme. Influencée par mes sentiments, je l’ai favorisée et protégée, et l’essentiel de ce que j’ai écrit portait sur ses points forts, ce qui la présentait comme quelqu’un de positif qui poursuivait la vérité. J’avais même très peu évoqué ses actes malfaisantes passées. J’avais peur qu’elle n’ait aucune véritable compréhension de ses actes malfaisants de l’époque, alors je lui ai spécifiquement écrit pour lui rappeler et exposer chacun de ses actes malfaisants afin qu’elle ait une véritable compréhension d’elle-même, qu’elle se repente rapidement et qu’elle fasse tout son possible pour être de nouveau acceptée dans l’Église. Lorsque j’ai rassemblé des évaluations de gens qui la connaissaient, je savais que les trois autres qui avaient été exclus ne montraient aucun signe de repentance, mais je craignais que si je ne récupérais que des évaluations de ma mère, les frères et sœurs disent alors que j’agissais en fonction de mes sentiments. Alors j’ai brouillé les pistes en demandant aux dirigeants de fournir des évaluations des quatre personnes. De temps en temps, je demandais d’urgence aux dirigeants d’Église où ils en étaient sur la collecte de ces évaluations, perturbant ainsi leurs devoirs. N’étais-je pas là en train d’interrompre et de perturber le travail de l’Église ? J’agissais selon mes émotions, j’étais calculatrice et j’utilisais des moyens détournés. Je ne pouvais plus distinguer le bien du mal. J’agissais totalement sans principe et je voulais réadmettre des gens à ma guise. J’étais tellement égoïste, méprisable, et je manquais tellement d’humanité ! Même si, en utilisant des moyens aussi méprisables, je réussisais à faire de nouveau accepter ma mère et à garder une relation émotionnelle avec elle, j’aurais offensé Dieu, Lui aurais résisté et aurais fait le mal ! En pensant à cela, j’ai eu peur de ce que j’avais fait.
Puis j’ai lu deux autres passages des paroles de Dieu et je suis parvenue à avoir une certaine compréhension de la nature et des conséquences du fait d’agir selon ses émotions. Dieu Tout-Puissant dit : « Certains sont extrêmement sentimentaux. Chaque jour, dans tout ce qu’ils disent et dans toutes les manières dont ils se comportent envers les autres, ils vivent selon leurs sentiments. Ils ressentent de l’affection pour telle ou telle personne et chaque jour, ils passent leurs journées à s’adonner aux subtilités de l’affection. Dans tout ce qu’ils rencontrent, ils vivent dans le domaine des sentiments. Si un tel individu perd un proche non-croyant, il pleurera pendant trois jours et ne permettra pas que le corps soit enterré. Il a encore des sentiments pour la personne décédée et ses sentiments sont trop vifs. On pourrait dire que les sentiments sont le défaut fatal de cette personne. Tout ce qu’elle fait est contraint par ses sentiments, elle est incapable de pratiquer la vérité et d’agir selon les principes et elle est souvent encline à se rebeller contre Dieu. Les sentiments sont sa plus grande faiblesse, son défaut fatal, et ses sentiments peuvent très bien la conduire à la ruine et la détruire. Les gens trop sentimentaux sont incapables de mettre la vérité en pratique et de se soumettre à Dieu. Ils sont préoccupés par la chair et ils sont insensés et confus. C’est la nature de ce genre de personne que d’être très sentimentale, et elle vit selon ses sentiments » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment connaître la nature de l’homme). « Qui est Satan, qui sont des démons et qui sont les ennemis de Dieu, sinon des résistants qui ne croient pas en Dieu ? Ne sont-ce pas ces gens qui se rebellent Dieu ? Ne sont-ce pas ces gens qui prétendent avoir la foi, mais n’ont pas la vérité ? Ne sont-ce pas ceux qui cherchent simplement à obtenir des bénédictions sans pouvoir témoigner pour Dieu ? Tu te mêles toujours à ces démons aujourd’hui et tu les traites avec conscience et amour, mais dans ce cas, n’es-tu pas en train d’avoir de bonnes intentions à l’égard de Satan ? N’es-tu pas de mèche avec les démons ? Si les gens sont parvenus jusque-là et ne sont toujours pas en mesure de faire la distinction entre le bien et le mal, et continuent aveuglément d’aimer et d’être miséricordieux sans aucun désir de chercher les intentions de Dieu ou d’être, d’aucune manière, capable de prendre les intentions de Dieu comme étant les leurs, alors leur fin sera d’autant plus misérable. Toute personne qui ne croit pas en Dieu dans la chair est un ennemi de Dieu. Si tu peux te soucier d’un ennemi et l’aimer, ne manques-tu pas d’un sens de la justice ? Si tu es compatible avec ceux que Je déteste et avec qui Je suis en désaccord, et que tu continues à les aimer ou avoir des sentiments personnels envers eux, n’es-tu pas rebelle ? Ne résistes-tu pas à Dieu intentionnellement ? Une telle personne possède-t-elle la vérité ? Si les gens font preuve de conscience vis-à-vis des ennemis, aiment les démons et éprouvent de la pitié pour Satan, n’interrompent-ils pas l’œuvre de Dieu intentionnellement ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que pour garder des relations familiales, les gens dont les sentiments sont trop forts violent les principes et vendent la vérité à des moments-clés, et font des choses qui résistent à Dieu et Le trahissent, poussant ainsi Dieu à les détester et à les haïr. Comparé à mon état, je vivais selon des poisons sataniques tels que « L’homme n’est pas inanimé : comment peut-il être dépourvu de sentiments ? » et « Le sang est plus épais que l’eau ». Je considérais les liens familiaux comme étant les plus importants et je profitais de mon devoir pour trouver un moyen de faire de nouveau accepter ma mère dans l’Église. Je ne cherchais pas du tout la vérité. Je me fiais juste à ma mère, qui disait qu’elle se repentait, et au bon comportement qu’elle montrait, et je voulais de nouveau la faire accepter dans l’Église. J’ai demandé aux gens d’écrire des évaluations sur elle, en voulant fournir des preuves pour qu’elle soit réadmise, et je lui ai spécifiquement écrit pour exposer ses actes malfaisants afin qu’elle comprenne rapidement, qu’elle se repente et qu’elle fasse tout son possible pour être bientôt acceptée de nouveau dans l’Église. J’ai pensé au fait que depuis que j’avais commencé à exécuter le travail de purge, les informations que j’avais traitées pour les gens qui avaient été exclus et pour les candidats à la réadmission étaient toutes vérifiées conformément aux principes. Or je traitais ma mère avec beaucoup d’indulgence, et je n’ai jamais cherché les vérités-principes durant cette période. Notamment quand j’ai rédigé une évaluation pour ma mère, je me suis intentionnellement enagée dans la fourberie et la tromperie, ne disant que des bonnes choses en son nom, et j’ai échangé avec elle pour qu’elle se repente rapidement. Même si je m’en voulais, j’ai quand même agi en violation des principes : je voulais faire de nouveau accepter une personne malfaisante pure et dure dans l’Église. Je me suis évertuée à trouver des moyens de réadmettre quelqu’un que Dieu détestait et haïssait dans l’Église en me basant sur mes sentiments : n’étais-je pas en train d’aller délibérément à l’encontre de Dieu et d’interompre de perturber le travail de l’Église ? J’ai pensé à la façon dont les gens de la nation gouvernée par le grand dragon rouge détournent la loi en leur faveur. Lorsque quelqu’un devient un officiel et détient le pouvoir, cela profite aussi aux membres de sa famille et à ses amis, et il peut être promu et placé à des postes importants qu’il soit bon ou mauvais, sans se préoccuper de la loi et de l’ordre. J’ai ignoré les principes de la maison de Dieu et je n’avais pas du tout un cœur qui craint Dieu. J’ai violé les principes et voulu obstinément que ma mère soit de nouveau acceptée dans l’Église. Sans m’en rendre compte, je suis devenue un bouclier pour une personne malfaisante. J’ai vraiment poussé Dieu à me détester et à me haïr ! Les principes de l’Église pour l’acceptation des gens disent : certaines personnes font toutes sortes de choses malfaisantes et commettent des méfaits de manière imprudente, ce qui entraîne des perturbations dans le travail de l’Église, alors elles sont expulsées. Si après leur expulsion, elles se repentent vraiment de leurs actes malfaisants, et peuvent gagner davantage de personnes, de bonnes personnes, lorsqu’elles prêchent l’Évangile, alors il peut être envisagé d’accepter et de donner une chance à ces personnes si elles demandent à rejoindre l’Église. Si une Église accepte de nouveau la plupart des gens qui ont été exclus, alors cela va à l’encontre des principes. Parce que l’essence d’une personne malfaisante reste à jamais celle d’une personne malfaisante, il n’est pas possible pour elle de vraiment se repentir. On doit avoir un cœur qui craint Dieu quand il s’agit de réadmettre des gens dans l’Église, on doit chercher la vérité et discerner clairement les manifestations et l’esence de chaque personne, et s’efforcer ne pas accuser à tort une bonne personne et ne pas accepter de nouveau une mauvaise personne ou une personne malfaisante. Je me disais que si je violais les principes et que j’acceptais de nouveau ma mère dans l’Église, et qu’elle n’avait aucune compréhension de ses actes malfaisants et ne se repentait pas vraiment, alors quand une occasion favorable se présenterait, elle continuerait sûrement à faire le mal, à provoquer, inciter, et induire les gens en erreur, et à interrompre et perturber le travail de l’Église. Je ferais alors partie de ce mal et je jouerais le rôle du laquais de Satan ! J’ai vu que mes sentiments étaient ma faiblesse vitale, un obstacle et une entrave à ma pratique de la vérité. J’avais été aveuglée par des sentiments et je n’arrivais pas à voir les choses conformément aux paroles de Dieu. J’avais violé les principes dans mon devoir afin de garder les sentiments entre ma mère et moi. Tout ce que j’avais fait, c’était résister à Dieu et Le trahir, et continuer sur cette voie aurait été tellement dangereux ! Heureusement, j’ai été émondée, et cela a mis un terme à temps à ma progression malfaisante. Autrement, j’aurais de nouveau accepté ma mère dans l’Église et perturbé le travail de l’Église et l’entrée dans la vie des frères et sœurs, et ne serais-je pas alors devenue la complice d’une personne malfaisante ? Les conséquences auraient été impensables ! J’étais remplie de remords, de reproches et de dettes envers Dieu, et je me suis sentie vraiment reconnaissante envers Dieu de m’avoir protégée. J’ai décidé de ne plus jamais agir en fonction de mes sentiments ni blesser le cœur de Dieu, et je suis devenue disposée à chercher la vérité et à agir conformément au principe.
Plus tard, j’ai de nouveau cherché des principes pertinents et déterminé qu’aucune des quatre personnes n’avait de véritable compréhension de ses actes malfaisants. Dans leurs lettres de repentance, certains d’entre eux se justifiaient encore indirectement pour que les gens pensent à tort qu’il y avait des raisons légitimes pour le mal qu’ils avaient fait. Conformément aux principes de l’Église pour la réadmission des gens, j’ai décidé qu’aucune de ces quatre personnes ne pouvait être de nouveau acceptée dans l’Église. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « Par quel principe les paroles de Dieu demandent-elles que les gens traitent les autres ? Aimer ce que Dieu aime et haïr ce que Dieu hait : c’est là le principe auquel il faut adhérer. Dieu aime ceux qui poursuivent la vérité et sont capables de suivre Sa volonté ; ce sont aussi les gens que nous devrions aimer. Ceux qui ne sont pas capables de suivre la volonté de Dieu, qui Le haïssent et se rebellent contre Dieu, sont des gens détestés par Dieu, et nous devrions les détester, nous aussi. C’est ce que Dieu demande à l’homme. Si tes parents ne croient pas en Dieu, s’ils savent très bien que la foi en Dieu est le bon chemin et qu’elle peut conduire au salut, mais qu’ils restent néanmoins peu réceptifs, alors il ne fait aucun doute que ce sont des gens qui ont une aversion pour la vérité, qui la haïssent, et que ce sont des gens qui résistent à Dieu et Le haïssent – et Dieu, naturellement, les abhorre et les hait. Pourrais-tu abhorrer de tels parents ? Ils s’opposent à Dieu et L’injurient, auquel cas, ce sont sûrement des démons et des Satans. Pourrais-tu les haïr et les maudire ? Ce sont là autant de vraies questions. Si tes parents t’empêchent de croire en Dieu, comment dois-tu les traiter ? Comme le demandent les paroles de Dieu, tu dois aimer ce que Dieu aime et haïr ce que Dieu hait. Pendant l’ère de la Grâce, le Seigneur Jésus a dit : “Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?” “Car, quiconque suit la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère”. Ces paroles existaient déjà à l’ère de la Grâce et, à présent, les paroles de Dieu sont encore plus claires : “Aime ce que Dieu aime, et hais ce que Dieu hait.” Ces paroles vont droit au but, pourtant, les gens sont souvent incapables d’en saisir le sens véritable » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en reconnaissant ses opinions erronées que l’on peut vraiment changer). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai compris que seuls ceux qui pouvaient accepter et pratiquer la vérité et protéger le travail de la maison de Dieu étaient de véritables frères et sœurs, et qu’on devrait aider ces gens avec un cœur aimant. Quant à ces personnes malfaisantes qui ne pratiquent pas la vérité du tout, qui ont même pour la vérité, et qui refusent de se repentir après avoir fait le mal et causé des perturbations, on devrait les rejeter. C’est seulement en pratiquant ainsi que nous nous conformons à l’intention et à l’exigence de Dieu. J’ai trouvé le principe pour gérer ma mère : aime celui que Dieu aime, et hais celui que Dieu hait. En termes de lien du sang, c’est ma mère, mais sa nature est de celle qui a une aversion pour la vérité et la hait. Elle ne comprend pas vraiment ses actes malfaisants et ne se repent pas. Conformément aux évaluations fournies par les frères et sœurs, les points de vue de ma mère sur les choses sont exactement les mêmes que ceux des non-croyants. Elle poursuit des tendances mondaines et son essence d’incrédule et de personne malfaisante a été révélée. Dieu hait et déteste les personnes de ce genre, et Il ne sauve pas les personnes malfaisantes. Je dois donc traiter ma mère conformément aux vérités-principes, vu que seul cela est conforme à l’intention de Dieu. Au bout du compte, conformément aux principes de l’Église pour l’acceptation des gens et aux vérités concernant le discernement du bon comportement et de la véritable repentance, j’ai écrit une lettre aux dirigeants de l’Église pour donner mes recommandations pour la gestion de ces personnes. Les dirigeants d’Église ont ensuite renvoyé une lettre, disant qu’en étudiant et en enquêtant sur cette période, ils avaient vu que ma mère venait juste d’adopter un bon comportement, qu’elle ne comprenait pas vraiment ni se repentait de ses actes malfaisants, et qu’aucune de ces quatre personnes ne répondait aux principes pour être réadmises et ne pouvait être de nouveau acceptées dans l’Église. Je me suis alors sentie rassurée et suis parvenue à comprendre que c’est uniquement en n’étant pas contrainte par les sentiments et en agissant conformément au principe que notre cœur peut vraiment être libéré. C’est entièrement grâce à la direction des paroles de Dieu que j’ai pu gagner une telle pratique.
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