Les paroles de Dieu m’ont permis de me connaître

9 juillet 2020

Par Miaoxiao, Corée du Sud

Les paroles de Dieu disent : « Dans les derniers jours, le Christ utilise une variété de vérités pour enseigner à l’homme, exposer l’essence de l’homme et disséquer ses mots et ses actes. Ces paroles comprennent diverses vérités, telles que le devoir de l’homme, comment l’homme doit obéir à Dieu, comment l’homme doit être fidèle à Dieu, comment l’homme doit vivre l’humanité normale, ainsi que la sagesse et le tempérament de Dieu, et ainsi de suite. Ces paroles sont toutes axées sur l’essence de l’homme et son tempérament corrompu. En particulier, ces paroles qui exposent comment l’homme rejette Dieu sont prononcées au sujet de la manière dont l’homme est une incarnation de Satan et une force ennemie contre Dieu. […] Ce que l’œuvre du jugement apporte c’est la compréhension par l’homme du vrai visage de Dieu et la vérité sur sa propre rébellion. L’œuvre du jugement permet à l’homme de mieux comprendre la volonté de Dieu, le but de l’œuvre de Dieu et les mystères qui lui sont incompréhensibles. Cela permet également à l’homme de reconnaître et de connaître son essence corrompue et les racines de sa corruption, ainsi que de découvrir la laideur de l’homme. Ces effets sont tous causés par l’œuvre du jugement, car l’essence de cette œuvre est en fait l’œuvre d’ouverture de la vérité, du chemin et de la vie de Dieu à tous ceux qui ont foi en Lui » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Christ réalise l’œuvre du jugement avec la vérité). En lisant ces paroles de Dieu, je vois que l’œuvre de jugement de Dieu dans les derniers jours consiste à exprimer la vérité pour nous juger et nous purifier, afin que nous connaissions notre nature satanique par Ses paroles et que nous voyions à quel point nous avons été corrompus par Satan. Ça nous permet d’éprouver du remords, de nous haïr et de nous repentir sincèrement. Je me suis toujours crue dotée d’une bonne humanité, tolérante et patiente avec les autres. Quand je voyais quelqu’un avoir un problème, je faisais de mon mieux pour l’aider. Je me prenais pour une bonne personne. Mais après avoir accepté l’œuvre de Dieu dans les derniers jours et éprouvé le jugement et la révélation de Ses paroles, j’ai vu que, même si je me comportais bien en apparence et ne commettais aucun péché évident, j’avais beaucoup de tempéraments sataniques : j’étais arrogante, malhonnête, méchante. Je ne pouvais pas m’empêcher de m’opposer à la vérité et à Dieu. J’ai compris que j’étais si profondément corrompue par Satan que j’avais besoin du jugement et de la purification des paroles de Dieu.

Je me souviens qu’en mars 2018 je devais faire des vidéos pour l’Église. J’étais nouvelle dans l’équipe et j’ai entendu une sœur dire que frère Zhao, le chef d’équipe, était sévère et exigeant. J’ai pensé : « Être sévère est une attitude responsable qui peut nous inciter à mieux faire notre devoir. C’est une bonne chose. » J’ai aussi pensé : « En plus, je suis facile à vivre et je m’entends bien avec tout le monde. Je ne vois pas pourquoi j’aurais du mal à travailler avec frère Zhao. »

Frère Zhao a téléchargé quelques vidéos pour nous les montrer et nous familiariser avec le travail en matière d’esthétique, de composition des plans, d’éclairage et de coordination des couleurs. Je trouvais ça ennuyeux et j’avais souvent la tête ailleurs. Je pensais : « Il y a tant d’informations que je vais vite tout oublier. J’apprendrai par la pratique. Il vaudrait mieux qu’il nous apprenne à faire des vidéos avec de nouveaux programmes pour éveiller notre curiosité. » J’ai émis mon idée en pensant que frère Zhao y réfléchirait, mais, à ma grande surprise, il m’a répondu sévèrement : « Il est très important d’acquérir ces compétences professionnelles. Nous devons les comprendre pour faire de bonnes vidéos. Nous devons prendre des repères et avancer pas à pas. N’ayons pas les yeux plus gros que le ventre. Apprendre tout ça est bien faire notre devoir. En ajustant notre état d’esprit, nous serons plus motivés pour apprendre et ça ne paraîtra pas ennuyeux. » Dès qu’il s’est tu, les autres frères et sœurs m’ont dévisagée. J’étais si embarrassée que je suis devenue toute rouge. Je me suis dit : « Que penseront-ils de moi si vous me parlez comme ça ? Me croiront-ils négligente dans mon devoir ? Comment rester digne après ça ? » Mais j’ai ensuite pensé : « Je ne dois pas être aussi étroite d’esprit. Frère Zhao dit ça pour notre bien. Comment pourrais-je coopérer à ce devoir si je suis mesquine en tout ? » Après ça, je me suis mise à apprendre sincèrement ces compétences et j’en ai acquis les bases assez vite. Au bout d’un moment, je suis devenue arrogante. J’ai pensé que j’étais douée et que je comprenais vite.

Un jour, frère Zhao nous a appris à nous servir d’un nouveau programme. J’ai compris tout de suite, mais d’autres frères et sœurs ont eu besoin de revoir la leçon. Frère Zhao l’a répétée patiemment, mais j’ai perdu patience. J’ai pensé : « Qu’y a-t-il de si difficile ? À quoi bon recommencer puisque j’ai compris ? » J’ai commencé à regarder d’autres choses. Voyant que je n’étais pas concentrée sur la tâche à accomplir, frère Zhao a dit : « Tu as déjà tout compris, ma sœur ? Alors viens essayer. » J’ai pensé : « Qu’y a-t-il à faire ? C’est juste que tu ne me crois pas. » J’ai commencé l’exercice avec assurance, mais je suis restée coincée au milieu. Je ne savais pas quoi faire ensuite. Les autres frères et sœurs me regardaient. Je suis devenue toute rouge et j’ai eu envie de me cacher dans un trou de souris. Frère Zhao m’a dit avec un air sévère : « Ma sœur, tu es trop arrogante et sûre de toi. Tu n’accordes pas assez d’attention à ce que tu apprends. Comment pourrais-tu bien faire ton devoir de cette manière ? » Je n’étais absolument pas d’accord. J’ai pensé : « Tu ne m’aimes pas, n’est-ce pas ? Tu n’as demandé ça à personne d’autre. C’était pour m’humilier, non ? Et tu me réprimandes devant tout le monde. N’est-ce pas pour que les autres me croient arrogante ? Comment pourrai-je m’entendre avec eux après ça ? » Plus j’y réfléchissais, plus je pensais que frère Zhao avait une dent contre moi, qu’il voulait me donner le mauvais rôle aux yeux des autres. Malgré moi, j’ai commencé à avoir des préjugés contre lui, à faire plus ou moins exprès de l’éviter. Quand il m’interrogeait sur mon devoir, je répondais du bout des lèvres. J’avais peur qu’il me réprimande s’il trouvait d’autres problèmes dans mon travail. Mais plus je l’évitais, plus j’avais de problèmes et plus je faisais d’erreurs. Il me donnait des indications et me rappelait à l’ordre constamment. Ça me rendait irritable et je lui en voulais de plus en plus. Je pensais : « Tu n’arrêtes pas de m’embarrasser. La prochaine fois que tu commets une erreur, je te le ferai remarquer devant tout le monde pour te rendre la monnaie de ta pièce. »

Un peu plus tard, une autre sœur a rejoint notre groupe. Je lui ai expliqué les bases et je lui ai dit tout ce que je pensais de frère Zhao. Je m’en suis un peu voulu après ça. Je me suis demandé si je le jugeais derrière son dos. Et puis j’ai vu les choses autrement. J’avais donné mon opinion sincère à la sœur pour qu’elle sache à quoi s’en tenir le concernant et puisse gérer ses forces et ses faiblesses de la meilleure manière. J’ai cessé d’y penser.

Peu après, j’ai entendu dire qu’une sœur avait parlé des problèmes de frère Zhao dans son devoir à une dirigeante. J’ai pensé : « C’est l’occasion de dire ce que j’en pense, moi aussi. La dirigeante va sans doute traiter frère Zhao en fonction de ce qu’on aura dit et il comprendra ce que ça fait. Après avoir été traité, il sera peut-être même déchargé de son devoir et je n’aurai plus à lui faire face tous les jours. » Avec ça en tête, j’ai parlé de ses fautes et de ses corruptions à la dirigeante. J’ai pensé qu’il serait remplacé, mais, à ma grande surprise, quand la dirigeante a résumé les évaluations de tout le monde quelques jours plus tard, elle a dit que frère Zhao avait une certaine corruption, mais qu’il en était conscient, qu’il assumait la responsabilité de son devoir et qu’il était capable d’œuvre pratique. Il est resté chef d’équipe. Ça m’a beaucoup déçue. Plus tard, la dirigeante a voulu échanger avec moi. « Ma sœur, quand nous avons parlé des problèmes de frère Zhao, tu n’as parlé que de ses défauts et de ses corruptions. As-tu des préjugés contre lui ? Il est très direct. Alors, quand il voit quelqu’un faire une erreur ou quelque chose de contraire aux principes de la vérité, il ne tourne pas autour du pot. Il lui arrive d’être un peu dur, mais il veut juste aider les frères et sœurs et défendre l’œuvre de l’Église. Nous ne devons pas avoir une mauvaise approche. Lui confier une autre tâche perturberait l’œuvre de l’Église. Concernant les problèmes de frère Zhao, nous devons examiner si ce que nous avons dit et fait était en accord avec la vérité, si nos motifs étaient justes ou si de la corruption s’y mêlait… » Ce rappel de la dirigeante m’a incitée à penser que j’avais peut-être un gros problème. J’ai repensé à mon comportement depuis que je faisais mon devoir avec frère Zhao et j’ai eu mauvaise conscience. Je me suis présentée devant Dieu pour prier.

Puis j’ai lu ces paroles de Dieu : « Ceux parmi les frères et sœurs qui épanchent toujours leur négativité sont les laquais de Satan et ils dérangent l’Église. Ces gens doivent un jour être expulsés et éliminés. Dans leur croyance en Dieu, si les gens ne conservent pas en eux un cœur qui révère Dieu, s’ils n’ont pas un cœur obéissant à Dieu, alors non seulement ne pourront-ils pas faire de travail pour Dieu, mais au contraire ils deviendront des gens qui dérangent l’œuvre de Dieu et qui défient Dieu. Croire en Dieu, mais ne pas Lui obéir ou Le révérer, mais Le défie plutôt, est la plus grande disgrâce pour un croyant. […] Dieu est toujours dans le cœur de ceux qui croient véritablement en Lui et ils portent toujours en eux un cœur qui révère Dieu, un cœur qui aime Dieu. Ceux qui croient en Dieu devraient faire les choses avec un cœur attentif et prudent et tout ce qu’ils font devrait être conforme aux exigences de Dieu et pouvoir satisfaire Son cœur. Ils ne devraient pas être obstinés, faisant tout ce qu’ils veulent ; cela ne convient pas à un saint. Les gens ne peuvent pas exhiber la bannière de Dieu et tout dévaster avec elle, se pavanant et dérobant partout ; faire cela est la conduite la plus rebelle. Les familles ont des règles et les nations ont des lois ; n’en est-il pas d’autant plus ainsi dans la maison de Dieu ? La maison de Dieu n’a-t-elle pas des normes plus strictes encore ? N’a-t-elle pas d’autant plus des décrets administratifs ? Les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent, mais les décrets administratifs de Dieu ne peuvent être modifiés à volonté. Dieu est un Dieu qui ne permet pas aux gens de L’offenser […] » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). Les paroles de Dieu m’ont piquée au vif. Je voyais que le tempérament de Dieu ne souffrait aucune offense, qu’il y a des décrets administratifs dans la maison de Dieu et qu’Il a des exigences. Si quelqu’un parle et agit sans respect pour Dieu, en faisant fi des règles comme un mécréant, jugeant les autres, semant la discorde, formant des cliques et perturbant le travail de l’Église, c’est un suppôt de Satan. Dieu ne permettra pas à une telle personne de rester dans l’Église. J’ai songé à mon comportement dans mon travail avec frère Zhao. J’ai développé des préjugés contre lui parce qu’il avait mis en lumière l’un de mes défauts devant les autres et blessé ma fierté. J’ai aussi fait part de mes préjugés à une autre sœur et je l’ai jugé derrière son dos pour qu’elle se range à mon avis et pour isoler frère Zhao. Quand j’ai entendu dire que quelqu’un rapportait des problèmes dans son devoir, j’ai sauté sur cette occasion de le montrer du doigt avec l’espoir que la dirigeante le renverrait. N’était-ce pas faire preuve d’un tempérament méchant et satanique ? En quoi était-ce digne d’une personne de foi ? J’ai compris qu’en faisant remarquer mes limites et mes défauts, frère Zhao assumait le travail de la maison de Dieu et qu’il le faisait pour m’aider. Mais j’ai développé des préjugés contre lui parce que ça blessait ma fierté. J’essayais de lui trouver des défauts, je le jugeais et je créais des dissensions dans l’espoir de me débarrasser de lui. Quel rôle endossais-je ? N’était-ce pas perturber et saboter le travail de la maison de Dieu ? N’étais-je pas un suppôt de Satan ? Cette pensée m’a effrayée. Si la dirigeante ne s’était pas basée sur les principes de la vérité et ne l’avait pas maintenu dans ses fonctions, le travail de l’équipe aurait souffert. J’ai éprouvé du regret et je me suis sentie un peu coupable envers frère Zhao. J’ai vu que je manquais complètement d’humanité. Sans le jugement sévère et la révélation des paroles de Dieu, j’étais si engourdie que je n’aurais pas réfléchi sur moi-même et ne me serais pas connue. J’aurais continué à faire le mal, à perturber le travail de l’Église, et Dieu m’aurait haïe et éliminée. J’ai fini par comprendre à quel point il serait dangereux que mon tempérament méchant et satanique ne soit pas résolu. J’ai commencé à réfléchir, à me demander quelle était la racine du tempérament satanique que j’avais révélé.

J’ai ensuite lu ces paroles de Dieu : « Né dans une terre si souillée, l’homme a été gravement blessé par la société, il a été influencé par l’éthique féodale, et il a été formé dans des "instituts d’enseignement supérieur". La pensée arriérée, la moralité corrompue, le point de vue mauvais sur la vie, la philosophie infâme, l’existence absolument sans valeur, le mode de vie et les coutumes dépravés, toutes ces choses ont gravement entamé le cœur de l’homme, et gravement miné et attaqué sa conscience. En conséquence, l’homme s’éloigne de plus en plus de Dieu et s’oppose de plus en plus à Lui. Le tempérament de l’homme devient de plus en plus vicieux chaque jour, et il n’y a pas une seule personne qui soit disposée à renoncer de bon gré à quoi que ce soit pour Dieu, pas une seule personne qui obéisse de bon gré à Dieu, ni, par ailleurs, une seule personne qui cherche de bon gré l’apparition de Dieu. Au contraire, sous la domination de Satan, l’homme ne fait que chercher le plaisir, se livrant à la corruption de la chair en terrain boueux. Même quand ils entendent la vérité, ceux qui vivent dans les ténèbres ne pensent pas à la mettre en pratique et ils ne sont pas enclins non plus à chercher Dieu, même s’ils ont vu Son apparition. Comment une humanité si dépravée aurait-elle aucune chance de salut ? Comment une humanité si décadente pourrait-elle vivre dans la lumière ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avoir un tempérament inchangé, c’est être en inimitié envers Dieu). « Les hommes raisonnent ainsi : “Si tu n’es pas gentil, alors je ne serai pas juste ! Si tu es grossier avec moi, alors je serai grossier avec toi aussi ! Si tu ne me traites pas avec dignité, pourquoi te traiterais-je avec dignité ?” Quel est ce genre de raisonnement ? N’est-ce pas une façon de penser vengeresse ? Dans l’opinion d’une personne ordinaire, ce type de perspective n’est-il pas viable ? “Œil pour œil et dent pour dent”, “je vais te rendre la pareille” : parmi les incroyants, ce sont des logiques qui tiennent la route et sont complètement conformes aux notions humaines. Cependant, étant quelqu’un qui croit en Dieu, étant quelqu’un qui cherche à comprendre la vérité et cherche un changement de tempérament, dirais-tu que de telles paroles sont vraies ou fausses ? Que devrais-tu faire pour les discerner ? D’où viennent de telles choses ? Elles viennent de la nature malicieuse de Satan ; elles contiennent du venin et elles contiennent le vrai visage de Satan dans toute sa malice et sa laideur. Elles contiennent l’essence même de cette nature. Quel est le caractère des perspectives, des pensées, des expressions, du discours et même des actions qui contiennent l’essence de cette nature ? Ces aspects n’appartiennent-ils pas à Satan ? Ces aspects de Satan sont-ils conformes à l’humanité ? Sont-ils conformes à la vérité ou à la réalité de la vérité ? Sont-ils les actions que les partisans de Dieu devraient faire et les pensées et les points de vue qu’ils devraient avoir ? » (« Récits des entretiens de Christ »). J’ai compris grâce aux paroles de Dieu que révéler ce tempérament méchant et satanique et faire ces choses inhumaines n’était pas qu’une corruption momentanée. J’étais contrôlée par les poisons et la nature de Satan. Par l’éducation nationale et le conditionnement social, Satan plonge les gens dans de nombreux poisons, comme « Nous n’attaquerons pas à moins d’être attaqués ; si nous sommes attaqués, nous contre-attaquerons certainement », « Œil pour œil, dent pour dent » et « Rends-lui la monnaie de sa pièce. » Corrompus et empoisonnés par ces philosophies sataniques, les gens deviennent de plus en plus arrogants, égoïstes, malhonnêtes et sournois. Ils deviennent prêts à tout pour protéger leurs intérêts et leur image. Les gens ne peuvent pas interagir convenablement. Ils n’ont aucune compréhension et encore moins de patience. Dès que quelqu’un empiète sur leurs intérêts, ils développent des préjugés contre lui, ils le méprisent, l’excluent, ou même se vengent de lui. C’est comme le PCC. Pour maintenir sa dictature et protéger son image « grande, glorieuse et juste », il empêche les gens de révéler ses méfaits, même s’ils sont nombreux. On ne peut que chanter ses louanges. Tous ceux qui disent la vérité et exposent le Parti communiste, qui ternissent son image « glorieuse », seront certainement punis. Il emprisonne les gens sur de fausses accusations, et va jusqu’à les tuer pour les faire taire. J’ai été empoisonnée par les toxines du grand dragon rouge depuis mon enfance et je suis pleine de tempéraments sataniques. Je suis si arrogante que je refuse la vérité et que je ne laisse pas les autres exposer ma corruption. Je ne peux pas fréquenter ceux qui compromettent mes intérêts et je les traite même comme des ennemis. Quand frère Zhao a osé être honnête et mettre mes défauts en lumière, non seulement je n’ai pas su accepter son aide avec humilité, mais je lui en ai voulu parce que ça nuisait à ma réputation et à mon prestige. J’ai médit contre lui et j’étais impatiente qu’on le remplace. Je me comportais comme un suppôt de Satan sans m’en apercevoir et je perturbais le travail de l’Église. Je n’ai compris qu’à ce moment-là à quel point Satan m’avait corrompue. J’étais arrogante, malhonnête, égoïste et méchante par nature. J’ai révélé mon tempérament satanique sans aucune ressemblance humaine. J’ai compris que j’étais destinée à être détruite par Dieu si je ne résolvais pas mon tempérament satanique. Je sais maintenant que si je me croyais tolérante, patiente et humaine, c’était parce que personne n’avait empiété sur mes intérêts personnels. Ma nature satanique s’est révélée dès que quelqu’un l’a fait. J’ai commencé à me haïr de plus en plus. Je ne voulais plus vivre avec mon tempérament satanique et m’opposer à Dieu. J’ai alors fait une prière de repentir à Dieu, disposée à chercher la vérité, à accepter le jugement et la purification des paroles de Dieu et à rejeter mon tempérament satanique le plus vite possible.

Un peu plus tard, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Dans leur croyance en Dieu, si les hommes ne vivent pas fréquemment devant Lui, alors ils ne seront capables d’aucune vénération pour Lui et seront donc incapables de fuir le mal. Ces choses sont liées. Si ton cœur est souvent en présence de Dieu, tu te contiendras et craindras Dieu dans bon nombre de choses. Tu n’iras pas trop loin ni ne feras quoi que ce soit de dissolu. Tu ne feras rien qui répugne Dieu et ne diras rien qui soit dénué de sens. Si tu acceptes l’observation de Dieu et acceptes la discipline de Dieu, cela t’évitera de faire beaucoup de choses mauvaises. De ce fait, n’auras-tu pas fui le mal ? » (« Tu suivras le chemin du salut seulement en vivant devant Dieu à chaque instant », dans Récits des entretiens de Christ). J’ai compris grâce aux paroles de Dieu qu’il est indispensable de respecter Dieu dans sa foi. Nous devons toujours vivre devant Dieu et accepter qu’Il observe nos paroles et nos actes. Même si c’est dur à accepter ou si on éprouve de la résistance quand quelque chose nuit à nos intérêts, avec un cœur plein de respect pour Dieu, par la prière, nous pouvons faire preuve d’abnégation, chercher la vérité, nous concentrer sur le travail de la maison de Dieu et notre devoir et ne pas nous rebeller contre Dieu. Quand j’ai commencé à pratiquer en accord avec les paroles de Dieu, j’ai perdu peu à peu mes préjugés contre frère Zhao. J’ai compris qu’il pouvait m’aider à progresser en me montrant mes problèmes et qu’il le faisait pour obtenir de meilleurs résultats dans notre devoir. Maintenant, quand j’ai un problème, je suis capable de le consulter avec le bon état d’esprit et j’ai progressé grâce à son aide et ses suggestions. J’ai commencé à mieux faire mon devoir et je me sens apaisée. C’est grâce au jugement et au châtiment des paroles de Dieu que j’ai pu effectuer ce changement. J’ai compris à quel point l’œuvre de Dieu pour sauver l’humanité était pratique.

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