La décision difficile d’une jeune fille de 21 ans

1 mars 2025

Par Li Le, Chine

Petite, ma mère et mon père me disaient que Dieu avait créé l’homme et que l’homme devait donc vivre en adorant le Créateur. En grandissant, j’ai commencé à assister à des réunions. Aux alentours de l’année 2017, ma mère a été expulsée en tant que personne malfaisante parce qu’elle interrompait et perturbait le travail de l’Église et refusait obstinément de se repentir. À partir de ce moment-là, elle ne m’a plus autant soutenue dans ma foi. J’ai commencé l’université en 2018, et chaque fois que je rentrais chez moi ou que ma mère m’appelait, elle me disait toujours de bien travailler à l’école et me demandait quels étaient mes projets pour mes études et dans la vie. Elle ne mentionnait presque jamais ma foi en Dieu. En plus, j’étais occupée avec mes études et je mangeais et buvais rarement les paroles de Dieu, alors peu à peu, je me suis éloignée de Dieu. Je me sentais souvent vide et épuisée.

Un jour, alors que j’étais chez moi pour les vacances d’hiver en 2020, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Dieu ne Se contente pas de payer un prix pour chaque personne pendant les décennies qui vont de la naissance de cette personne à aujourd’hui. Tel que Dieu le voit, tu es venu dans ce monde un nombre incalculable de fois et tu t’es réincarné un nombre incalculable de fois. Qui en est responsable ? C’est Dieu qui en est responsable. Tu n’as aucun moyen de savoir ces choses. Chaque fois que tu viens au monde, Dieu prend personnellement des dispositions pour toi : Il arrange le nombre d’années que tu vas vivre, le type de famille dans laquelle tu vas naître, le moment où tu construiras ta maison et où tu bâtiras une carrière, ainsi que ce que tu feras dans ce monde et comment tu gagneras ta vie. Dieu arrange pour toi une façon de gagner ta vie, afin que tu puisses accomplir ta mission dans cette vie sans entraves. Quant à ce que tu devras faire dans ta prochaine incarnation, Dieu arrange et te donne cette vie selon ce que tu devrais avoir et ce qui devrait t’être donné… Dieu a pris de telles dispositions pour toi à de nombreuses reprises et tu es finalement né à l’ère des derniers jours, dans ta famille actuelle. Dieu a arrangé pour toi un environnement dans lequel tu peux croire en Lui. Il t’a permis d’entendre Sa voix et de revenir devant Lui, pour que tu puisses Le suivre et accomplir un devoir dans Sa maison. C’est seulement grâce à une telle direction de Dieu que tu as vécu jusqu’à aujourd’hui. […] Dieu assume l’entière responsabilité de chaque âme qui s’est réincarnée. Il œuvre attentivement, Sa vie étant le prix qu’Il paie, guidant chaque personne et arrangeant chacune des vies de cette personne. Dieu trime et paie un prix de cette façon pour l’amour de l’homme, et Il accorde à l’homme toutes ces vérités et cette vie. Si les gens n’accomplissent pas le devoir des êtres créés au cours de ces derniers jours et qu’ils ne reviennent pas devant le Créateur, si à la fin, quel que soit le nombre de vies et de générations qu’ils ont traversées, ils ne font pas bien leurs devoirs et ne répondent pas aux exigences de Dieu, leur dette envers Dieu ne sera-t-elle pas alors trop grande ? Ne seront-ils pas indignes de tous les prix que Dieu a payés ? Ils manqueront tellement de conscience qu’ils ne mériteront pas d’être appelés des gens, car leur dette envers Dieu sera trop grande. Par conséquent, dans cette vie – Je ne parle pas de vos vies antérieures, mais de cette vie –, si tu n’es pas capable de renoncer aux choses que tu aimes ou aux choses extérieures pour le bien de ta mission, tels que les plaisirs matériels et l’amour et la joie de la vie familiale, si tu ne renonces pas aux plaisirs de la chair au nom des prix que Dieu paie pour toi, ou pour rendre à Dieu Son amour, alors tu es vraiment malfaisant ! En fait, peu importe le prix que tu paies pour Dieu, il en vaut la peine. Comparé au prix que Dieu paie en ton nom, que représente la minuscule somme que tu offres ou dépenses ? Que représente le peu que tu souffres ? Sais-tu à quel point Dieu a souffert ? Le peu que tu souffres ne vaut même pas la peine d’être mentionné comparé à ce que Dieu a souffert. En outre, en faisant ton devoir maintenant, tu obtiens la vérité et la vie, et à la fin, tu survivras et entreras dans le royaume de Dieu. Quelle immense bénédiction ! Lorsque tu suis Dieu, que tu souffres et paies un prix ou non, en réalité, tu travailles avec Dieu. Quoi que Dieu nous demande de faire, nous écoutons les paroles de Dieu et pratiquons selon ces paroles. Ne te rebelle pas contre Dieu et ne fais rien qui Lui cause du chagrin. Pour travailler avec Dieu, tu dois souffrir un peu et tu dois abandonner et laisser de côté certaines choses. Tu dois renoncer à la gloire, au gain, au statut, à l’argent et aux plaisirs mondains. Tu dois même renoncer à des choses telles que le mariage, le travail et tes perspectives dans le monde. Dieu sait-Il si tu as renoncé à ces choses ? Dieu peut-Il voir tout cela ? (Oui.) Que fera Dieu quand Il verra que tu as renoncé à ces choses-là ? (Dieu Se sentira réconforté et Il sera content.) Dieu ne sera pas seulement content quand Il dira : “Les prix que J’ai payés ont porté leurs fruits. Les hommes sont disposés à travailler avec Moi, ils ont cette résolution et Je les ai gagnés.” Que Dieu soit content ou heureux, satisfait ou réconforté, Il n’a pas seulement cette attitude. Il agit également et désire voir les résultats de Son travail, sinon, ce qu’Il exige des hommes n’aurait pas de sens. La grâce, l’amour et la miséricorde dont Dieu fait preuve vis-à-vis de l’homme ne sont pas simplement une sorte d’attitude, ils sont aussi un fait. De quel fait s’agit-il ? C’est que Dieu met Ses paroles en toi, t’éclairant pour que tu puisses voir ce qu’il y a de beau en Lui et ce qu’est ce monde, afin que ton cœur soit rempli de lumière, que cela te permette de comprendre Ses paroles et la vérité. De cette façon, sans que tu le saches, tu gagnes la vérité. Dieu accomplit sur toi une telle œuvre, d’une manière très réelle, te permettant d’obtenir la vérité. Lorsque tu gagnes la vérité, lorsque tu accèdes à la chose la plus précieuse, qui est la vie éternelle, les intentions de Dieu sont satisfaites. Quand Dieu voit que l’homme poursuit la vérité et est désireux de coopérer avec Lui, Il est heureux et satisfait. Il adopte alors une certaine attitude, et pendant qu’Il a cette attitude, Il Se met au travail, Il approuve et bénit l’homme. Il dit : “Je te récompenserai avec les bénédictions que tu mérites.” Et alors, tu auras gagné la vérité et la vie. Lorsque tu connaîtras le Créateur et que tu auras gagné Son approbation, ressentiras-tu encore un vide dans ton cœur ? Non. Tu te sentiras comblé et tu éprouveras un sentiment de plaisir. N’est-ce pas là ce que veut dire mener une vie qui a de la valeur ? Voilà la vie la plus précieuse et la plus chargée de sens » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Payer le prix pour gagner la vérité est d’une grande signification). À travers ces paroles de Dieu, j’ai compris que tout ce que l’homme avait venait de Dieu, que si nous sommes aujourd’hui en vie, c’est uniquement parce que Dieu s’occupe de nous et nous protège, et que les gens n’avaient une conscience et ne vivaient une vie pleine de sens que lorsqu’ils menaient à bien leurs devoirs en tant qu’êtres créés. Le fait d’être née dans les derniers jours et d’avoir eu la chance d’entendre la voix de Dieu était prédestiné par Dieu avant les ères, de même que les responsabilités et la mission que je devais mener à bien. Même si j’avais suivi mes parents dans la foi depuis mon plus jeune âge, je n’avais jamais fait un devoir. Je voulais en faire un une fois à l’université, mais je ne pouvais pas laisser tomber mes études et mes perspectives d’avenir. Je me contentais d’assister à des réunions, comme c’était la règle, mais mon cœur était éloigné de Dieu. En y repensant, les gens que je fréquentais à l’université étaient presque tous des non-croyants, et au fil du temps, j’ai commencé à suivre les tendances malfaisantes, à manger, à boire et à m’amuser. Je passais de moins en moins de temps à manger et boire les paroles de Dieu, et je devenais également de plus en plus égoïste et fourbe. Je n’étais en rien différente de ceux qui ne croient pas en Dieu. J’ai pensé à l’échange des frères et sœurs que c’est uniquement en expérimentant la parole de Dieu dans l’accomplissement de notre devoir que nous pouvons gagner la vérité et continuer à grandir dans la vie, et, à terme, être gagnés par Dieu. Comment pouvons-nous atteindre le salut si nous n’accomplissons pas notre devoir et que nous poursuivons des tendances mondaines ?

Après cela, j’ai entendu par hasard l’hymne des paroles de Dieu « Le temps perdu ne reviendra jamais » : « Réveillez-vous, frères ! Réveillez-vous, sœurs ! Mon jour ne tardera pas. Le temps, c’est la vie, et ressaisir le temps, c’est sauver la vie ! Le temps est proche ! Si vous ratez l’examen d’entrée à l’université, vous pouvez étudier et le repasser autant de fois qu’il vous plaira. Cependant, Mon jour ne souffrira aucun retard supplémentaire. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Je vous exhorte par ces bonnes paroles. La fin du monde se déroule devant vos yeux et de grandes catastrophes approchent rapidement. Qu’est-ce qui est le plus important, votre vie, ou votre sommeil, ce que vous mangez et buvez et vos vêtements ? Le temps d’évaluer ces choses est venu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 30). Après avoir entendu cet hymne, j’ai réalisé qu’il ne me restait plus beaucoup de temps pour faire un devoir. Lorsque j’ai passé les examens d’entrée à l’université, j’aurais pu rester à l’école un an de plus et repasser les examens si j’avais échoué. Mais nous n’avons qu’une seule chance d’être sauvés par Dieu. Et si nous la ratons, c’est perdu pour toujours. J’ai aussi réfléchi à la gravité de la pandémie, et au fait que sans le soin et la protection de Dieu, nous pouvions mourir à tout moment. J’avais l’impression que la pandémie était une façon pour Dieu de me prévenir. J’avais suivi des tendances mondaines pendant des années et perdu tant de temps, et j’avais raté tant d’opportunités de faire un devoir et de gagner la vérité. À présent, je ne voulais rater aucune autre chance. Si je n’utilisais pas ce temps précieux pour faire un devoir et préparer de bonnes actions, alors je serais envoyée dans le désastre et il serait trop tard pour les regrets. J’ai alors senti qu’il était de plus en plus urgent que je fasse mon devoir, et lorsque le confinement lié à la pandémie a pris fin, j’ai commencé à faire le devoir d’abreuvement des nouveaux arrivants.

Vu que la pandémie sévissait toujours, je prenais des cours en ligne et je n’en avais pas beaucoup. Je pouvais donc à la fois prendre des cours et faire mon devoir. Je n’aurais jamais pensé que cela ne plairait pas à ma mère, parce qu’elle voulait que je trouve un travail à temps partiel pendant mon temps libre. Un soir, elle m’a demandé d’un ton furieux : « Je t’avais dit de trouver un travail, alors qu’est-ce que tu en penses ? » J’ai répondu : « J’ai pour projet de continuer à faire mon devoir. » Elle s’est mise très en colère et a dit : « Je ne te demande pas d’arrêter de faire ton devoir. Tu peux le faire et travailler en même temps. Tu ne dois pas prendre ta foi autant au sérieux. Ne fais pas comme moi. J’ai tout abandonné et j’ai fini par être exclue. » Je me suis dit : « Si on s’accroche au monde tout en croyant en Dieu, n’essaie-t-on pas d’avoir le beurre et l’argent du beurre ? Ce n’est pas là une foi sincère en Dieu ! De plus, le fait que tu aies renoncé à ton travail et à ta famille et le fait que tu aies été exclue sont deux choses différentes. Tu as été exclue parce que tu as fait toutes sortes de choses malfaisantes et que tu as refusé de te repentir. » Alors j’ai dit à ma mère : « Maintenant, je fais des études. Si je prends en plus un travail, comment aurai-je le temps de faire mon devoir ? Je ne prendrai pas de travail. » Ma mère m’a réprimandée en disant : « Je vois que tu n’écouteras rien de ce que je te dis. Ne vois-tu pas que je veux tout simplement ce qu’il y a de mieux pour toi ? » J’ai répondu : « Je t’écouterai sur tout le reste, mais pas sur ça. » Elle s’est mise tellement en colère qu’elle a pris mon ordinateur portable et l’a cassé. Je me suis sentie vraiment lésée et je n’ai pas compris pourquoi elle était entrée dans une telle colère. Après ça, chaque fois que j’allais assister à une réunion ou faire mon devoir, elle me donnait des tâches à accomplir. Parfois, je sortais précipitamment de la maison, et elle se mettait en colère après moi et me réprimandait.

Un jour, elle m’a demandé : « Quels sont tes projets pour l’avenir ? » J’ai répondu : « J’ai décidé de faire mon devoir dans la maison de Dieu. » Elle a vu que je donnais la priorité à mon devoir, alors elle a dit d’un ton sévère : « Je t’ai élevée durant toutes ces années, et il n’en est rien ressorti de bon. J’aurais mieux fait d’avoir un chien. Je pourrais donner à manger à ce chien et il remuerait la queue de contentement. J’ai fait beaucoup d’efforts pour toi, et qu’ai-je en retour ? Va-t’en. Va où tu veux. Je ne veux pas de profiteurs dans cette maison ! » En entendant cela, j’étais stupéfaite. Je me suis dit : « Je crois juste en Dieu. Je n’ai rien fait de mal, et pourtant, tu veux me mettre à la porte. » Ma mère a continué en disant : « Si tu persistes dans ta foi et que tu t’entêtes à faire ton devoir, cette famille sera brisée. À partir d’aujourd’hui, je n’aurai plus de fille, et tu n’auras plus de mère. Je t’aurai élevée pour rien ! » Quand elle a dit ça, je me suis sentie tellement blessée et lésée. J’ai pensé : « Avant, ma mère croyait en Dieu : ne devrait-elle pas me soutenir ? Pourquoi m’en empêche-t-elle ? » J’avais l’impression que deux chemins s’offraient à moi : le chemin consistant à croire en Dieu, à faire mon devoir, ce qui signifiait que je devais mettre fin à ma relation avec ma mère, et le chemin consistant à satisfaire mon affection, ce qui signifiait trahir Dieu et ne plus être capable de faire mon devoir. Face à un tel choix, c’est comme si mon cœur se brisait en deux. J’avais vraiment une profonde affection pour ma mère. Toute ma vie, elle m’avait tellement aimée. Elle s’était passée de bonne nourriture et de nouveaux vêtements et gardait les meilleures choses pour moi. C’était la personne la plus importante à mes yeux. Mais je ne pouvais pas non plus quitter Dieu. Dieu m’avait donné la vie. C’était Dieu qui m’avait donné mon souffle de vie, qui avait pris soin de moi et m’avait protégée en grandissant. Ma santé n’avait jamais été très bonne, et je tombais souvent malade. Sans le soin et la protection de Dieu, je serais morte depuis longtemps et je ne serais pas là aujourd’hui. Si je quittais ma mère, au moins je pourrais vivre. Mais si je quittais Dieu, ne deviendrais-je pas un simple cadavre ambulant ? Quel serait alors le sens de ma vie ? Je savais qu’il fallait que je choisisse la croyance en Dieu. Mais si je faisais ce choix-là, je n’aurais alors plus de mère à l’avenir, n’est-ce pas ? Je pourrais dire adieu à ma chaleureuse et douce famille. Je sentais peser sur moi une énorme pression de la part de ma mère. Pourquoi est-ce que ce devait être l’un ou l’autre ? Pourquoi étais-je obligée de faire ce choix ? J’ai alors pensé à un passage des paroles de Dieu que j’avais lu auparavant : « À chaque étape de l’œuvre que Dieu accomplit sur les gens, à l’extérieur, tout apparaît comme des interactions entre les personnes, comme nées des arrangements humains ou d’une perturbation humaine. Mais, dans les coulisses, chaque étape de travail, tout ce qui arrive, est un pari que Satan a fait avec Dieu et requiert que les gens restent fermes dans leur témoignage en faveur de Dieu. Considérez quand Job a été éprouvé, par exemple : dans les coulisses, Satan faisait un pari avec Dieu, et ce qui est arrivé à Job est venu des actions des hommes et des perturbations des hommes. Derrière chaque étape du travail que Dieu fait en vous, il y a le pari de Satan avec Dieu. Derrière tout cela, il y a une bataille » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). Ces paroles de Dieu m’ont aidée à comprendre que bien qu’en apparence, il semblait que ma mère faisait pression sur moi pour que je fasse un choix, derrière tout cela, il s’agissait d’une bataille spirituelle. C’était là aussi la tentation de Satan. Satan connaissait mon point faible et utilisait donc l’affection pour me pousser à abandonner ma foi. Si j’avais suivi ma mère, en abandonnant ma foi et mon devoir, je serais alors tombée dans le piège de Satan et j’aurais perdu ma chance de salut. Que je sois mise à la porte de chez moi ou pas, je ne pouvais pas trahir Dieu et renoncer à mon devoir au nom de l’affection. J’ai pensé à davantage de paroles de Dieu : « Lorsque tu fais face à des épreuves, tu dois satisfaire Dieu en dépit de tes larmes amères ou de ta réticence à te défaire de quelque chose que tu aimes. Cela seul est l’amour et la foi véritables » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ceux qui doivent être rendus parfaits doivent subir l’épurement). Mon cœur a trouvé sa force. Peu importe à quoi je ferais face à l’avenir, je me fierais à Dieu pour continuer. J’ai alors dit à ma mère : « J’ai toujours voulu cette famille, et je vous ai toujours voulus, papa et toi. Je préfèrerais manger et dépenser moins, et être une gentille fille pour vous. Si je ne peux pas satisfaire tes exigences, c’est parce que je n’en suis pas capable. C’est le mieux que je puisse faire. Mais croire en Dieu et faire mon devoir est le bon chemin, et je ne peux pas y renoncer. » Ma mère s’est mise terriblement en colère, et par la suite, elle a déménagé et a loué un logement ailleurs.

De temps en temps, ma mère m’accueillait dans son logement pour discuter. Une fois, elle m’a dit : « Ton père n’est pas en bonne santé. Il faut que tu penses à lui. Que feras-tu s’il tombe malade un jour ? Je n’ai jamais dit que tu ne pouvais pas croire en Dieu. Li Yan et Wang Mei croient en Dieu et ont aussi un travail, n’est-ce pas ? Tu ne dois pas prendre la foi autant au sérieux. Ne suis-je pas en train de penser à ton avenir quand je te dis de trouver un travail ? » J’étais vraiment bouleversée. Depuis quelques années, mon père n’était vraiment pas en bonne santé. S’il tombait réellement malade, comment ferais-je sans argent pour l’aider ? Je suis sa fille. Plus j’y pensais, plus j’étais malheureuse. Dans mon cœur, je ne cessais de prier Dieu, en disant : « Ô mon Dieu, s’il Te plaît, protège-moi des pièges de Satan. Je souhaite Te satisfaire, mais je suis faible. Je vais bientôt m’effondrer sous cette pression. S’il Te plaît, donne-moi la foi de déjouer les machinations de Satan et de rester ferme dans mon témoignage pour Toi. » Après avoir prié, des paroles de Dieu me sont venues à l’esprit : « Pourquoi ne Me les confies-tu pas ? N’as-tu pas suffisamment foi en Moi ? Ou as-tu peur que Je fasse des arrangements inappropriés pour toi ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 59). Ces paroles de Dieu ont soudain éclairé mon cœur. Dieu exerce Sa souveraineté sur tout, et Il contrôle nos vies et nos morts. A plus forte raison, n’est-Il pas sûrement souverain sur le fait que quelqu’un tombe malade ou non ? Le fait que mon père tombe malade ou pas dans le futur, ou quel sera son état de santé n’étaient pas des choses que je pouvais contrôler. Je devais le confier entre les mains de Dieu et me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. J’ai également compris que ma mère était devenue la servante de Satan. Si être sévère avec moi ne marchait pas, elle essayait l’approche douce, et utilisait tous les moyens pour me tenter et m’inciter à trahir Dieu. J’ai alors dit à ma mère : « Je suis une adulte, maintenant. Je peux penser par moi-même et faire mes propres choix. Je suis déterminée à avoir foi en Dieu. Ma foi va plus loin que le fait de simplement dire que je Le reconnais et que je crois en Lui dans mon cœur. Ai-je vraiment foi en Dieu si je ne fais pas mon devoir ? Je me fiche de la façon dont les gens que tu as mentionnés croient en Dieu. S’ils faiblissent, dois-je aussi les suivre ? Ce n’est pas que je n’ai aucune conscience. C’est parce que j’ai une conscience que je sais ce qu’il faut faire et ne pas faire. » Ma mère est restée silencieuse après avoir entendu cela. Je savais que je n’aurais pas pu prononcer ces mots. C’était Dieu qui m’avait guidée pour contrer les machinations de Satan.

Pourtant, j’étais encore vraiment bouleversée en rentrant chez moi. Ma mère me parlait encore et encore, et je ne comprenais pas pourquoi elle était toujours comme ça avec moi, ni pourquoi elle voulait toujours que je choisisse entre ma foi et mon père et elle. Quand tout cela allait-il se terminer ? Je ne voulais vraiment plus endurer cela. Tandis que je marchais, j’ai pensé à un passage des paroles de Dieu : « Quand Dieu œuvre pour épurer l’homme, l’homme souffre. Plus son épurement est grand, plus il possédera un cœur qui aime Dieu et plus la puissance de Dieu sera révélée en lui. Inversement, moins son épurement est grand, moins il possédera un cœur qui aime Dieu et moins la puissance de Dieu sera révélée en lui. Plus son épurement, sa douleur et son tourment sont intenses, plus son amour grandira, plus sa foi en Dieu sera authentique, et plus sa connaissance de Dieu sera profonde » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ceux qui doivent être rendus parfaits doivent subir l’épurement). J’ai réfléchi à ce passage des paroles de Dieu en marchant, et sans m’en apercevoir, mon cœur s’est senti revigoré. C’est précisément parce que j’ai désormais choisi le chemin de la foi que Satan essaie de m’entraver. Si je ne croyais pas en Dieu et ne choisissais pas de faire mon devoir, alors je n’aurais pas été épurée de cette manière. J’ai pensé aux nombreux frères et sœurs qui subissaient des persécutions et étaient entravés par leurs familles à cause de leur croyance en Dieu, mais n’ont jamais renoncé à leur foi ni à leur devoir. Au lieu de ça, ils ont prié Dieu et se sont reposés sur Lui pour rester fermes dans leur témoignage. J’avais désormais choisi de suivre Dieu et d’accomplir le devoir d’un être créé. Il n’était pas question que Satan me laisse partir aussi facilement, alors il essayait de m’inciter à m’éloigner de Dieu à travers les persécutions continuelles de ma mère. Dieu utilisait également ces persécutions pour parfaire ma foi en Lui et pour que j’apprenne à me reposer sur Lui afin de rester ferme dans mon témoignage. Une fois que j’ai compris cela, je me suis sentie vraiment émue. Dieu ne m’avait pas laissée lorsque j’étais négative, mais avait utilisé Ses paroles pour me guider, me permettant de rester ferme et de ne pas être induite en erreur ni séduite par Satan. J’ai senti que Dieu était à mes côtés, qu’Il me prenait par la main pour aller de l’avant. Je me sentais tellement stable et soutenue, et j’avais la foi pour surmonter cette situation.

Un mois et demi plus tard, ma mère est revenue vivre à la maison. Un matin, ma mère est venue dans ma chambre et a demandé si je pensais trouver un travail. J’ai répondu : « Je n’ai pas changé d’avis. Je choisis de faire mon devoir dans la maison de Dieu. » Elle m’a traitée de misérable ingrate et m’a frappée, furieuse. Je ne me souviens plus exactement du nombre de gifles qu’elle m’a données. Elle m’a même attrapé le cou et m’a frappé la tête contre le mur. C’est seulement quand je n’arrivais plus à respirer qu’elle a arrêté. Je n’arrivais vraiment pas à comprendre pourquoi elle me faisait ça. Ne faisais-je pas que croire en Dieu et exécuter mon devoir ? Je ne faisais rien de mal. Pendant qu’elle me frappait, j’ai pensé aux frères et sœurs qui étaient cruellement torturés par le grand dragon rouge. Le grand dragon rouge est le roi des démons, et il tourmente énormément les frères et sœurs. Mais là, il s’agissait de ma mère. C’était la personne qui m’était la plus proche. Et me frapper aussi fort qu’elle le faisait ne me faisait pas souffrir physiquement. Cela me brisait le cœur.

Bientôt, ce fut le printemps 2021. Un jour, je venais juste de rentrer chez moi après avoir fait mon devoir et ma mère a cherché la bagarre exprès pour des choses futiles. Elle s’apprêtait à me frapper de nouveau et a crié : « Je t’ai élevée durant toutes ces années, et il n’en est rien ressorti de bon. Si c’est comme ça, va-t’en. Sors ! Je ferai comme si tu n’étais pas ma fille. Comme si je ne t’avais pas mise au monde ! » Je me suis dit : « Il n’y a qu’en partant que je pourrai faire mon devoir. Mais honnêtement, je ne voulais pas quitter mes parents non plus. Déménager signifiait vivre seule. Je n’étais pas du tout courageuse. Lorsque je pensais au fait de devenir une enfant sans aucune famille, je me sentais vraiment bouleversée. Si je renonçais à ma foi, je pourrais garder mon foyer, mais parce que j’avais tant profité de la grâce de Dieu, et avais mangé et bu tellement de paroles de Dieu, où serait ma conscience si je ne pouvais pas faire mon devoir ? » À ce moment-là, je me suis sentie vraiment contrariée, comme si quelqu’un m’avait tailladé le cœur. Dans une douleur extrême, j’ai pensé à la mort. Je me disais que je n’aurais pas à subir cette douleur si je mourais. Alors que la douleur était à son apogée, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Aujourd’hui, la plupart des gens n’ont pas cette connaissance. Ils croient que la souffrance est sans valeur, ils sont rejetés par le monde, leur vie familiale est troublée, ils ne sont pas aimés de Dieu et leurs perspectives sont sombres. La souffrance de certaines personnes atteint un degré extrême, et leurs pensées se tournent vers la mort. Ce n’est pas le véritable amour pour Dieu ; ces gens sont des lâches, ils ne sont pas persévérants, ils sont faibles et impuissants ! Dieu désire ardemment que l’homme L’aime, mais plus l’homme L’aime, plus grande est la souffrance de l’homme ; plus l’homme L’aime, plus grandes sont les épreuves de l’homme. Si tu L’aimes, alors tu seras frappé par toutes sortes de souffrances. Et si tu ne L’aimes pas, alors, peut-être que tout ira pour le mieux pour toi et que tout sera paisible autour de toi. Au moment où tu aimes Dieu, tu sentiras que beaucoup de choses autour de toi sont insurmontables, et parce que ta stature est trop petite, tu seras épuré ; d’ailleurs, tu seras incapable de satisfaire Dieu et tu auras toujours le sentiment que les intentions de Dieu sont trop élevées, qu’elles sont inaccessibles à l’homme. À cause de tout cela, tu seras épuré : parce qu’il y a beaucoup de faiblesse en toi et beaucoup de choses qui ne peuvent pas satisfaire les intentions de Dieu, tu seras épuré de l’intérieur. Pourtant, vous devez clairement voir que la purification est seulement atteignable par le biais de l’épurement. Ainsi, au cours de ces derniers jours, vous devez rendre témoignage à Dieu. Quelle que soit l’ampleur de votre souffrance, vous devez marcher jusqu’au bout, et même à votre dernier souffle, vous devez toujours être loyaux à Dieu et être à la merci de Dieu ; ce n’est que de cette façon qu’on aime vraiment Dieu et seulement là est le témoignage fort et retentissant. […] On peut voir, dans une grande partie de l’œuvre de Dieu, que Dieu aime vraiment l’homme, même si les yeux spirituels de l’homme ne se sont pas encore entièrement ouverts et qu’il est incapable de voir clairement une grande partie de l’œuvre de Dieu et de Ses intentions, ainsi que les nombreuses choses qui sont aimables concernant Dieu ; l’homme a trop peu d’amour véritable pour Dieu. Tu as cru en Dieu pendant tout ce temps, et aujourd’hui, Dieu a supprimé tous les moyens de s’échapper. De manière réaliste, tu n’as pas d’autre choix que de prendre le bon chemin, le bon chemin sur lequel tu as été conduit par le jugement sévère et le salut suprême de Dieu. Ce n’est qu’après avoir éprouvé des souffrances et un épurement que l’homme sait que Dieu est aimable. On peut dire que l’homme qui a fait cette expérience jusqu’à ce jour en arrive à connaître une partie de l’amabilité de Dieu, mais cela n’est pas encore suffisant. En effet, l’homme a beaucoup de manquements. L’homme doit faire davantage l’expérience de l’œuvre merveilleuse de Dieu, ainsi que l’épurement douloureux arrangé par Dieu. Alors, seulement, le tempérament de vie de l’homme pourra changer » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en vivant des épreuves douloureuses que tu peux connaître la beauté de Dieu). J’ai ressenti une telle douleur après avoir lu cela. Faire face à la souffrance représente l’amour de Dieu. Mais je trouvais toujours la situation trop douloureuse et je ne voulais pas continuer à endurer cela. J’étais vraiment très fragile. Je disais que je voulais faire mon devoir, mais lorsque les choses devenaient compliquées, je voulais faire marche arrière, et pensais même à la mort. N’étais-je pas précisément en train de tomber dans le piège de Satan ? Si je déménageais, j’aurais toujours Dieu. C’était parfait pour m’apprendre à vivre de manière autonome et à me reposer sur Dieu en cas de problème. C’était bénéfique pour ma vie. Une fois que j’ai eu compris l’intention de Dieu, je n’ai plus souffert dans mon cœur. J’étais disposée à surmonter ma situation actuelle. Je me suis agenouillée et j’ai prié Dieu, en disant : « Ô mon Dieu, le chemin à parcourir aura beau être difficile, je le poursuivrai résolument. Guide-moi, s’il Te plaît. » Après avoir prié, je me suis sentie encore plus en paix et calme. Le lendemain, j’ai dit à ma mère que j’allais prendre une location. Contre toute attente, son attitude a soudain changé et elle m’a parlé de son propre chef. Son attitude s’est énormément adoucie les jours qui ont suivi. J’ai pensé à Abraham. Lorsque Dieu lui a dit de Lui offrir son fils le plus cher, même s’il était réticent à le faire, quand il a décidé d’offrir son fils à Dieu, Dieu ne l’a pas pris. Ce que Dieu voulait, c’était la sincérité et la soumission d’Abraham. En repensant à mon expérience, j’ai l’impression que Dieu me testait. Une fois que je me suis résolue à accomplir mon devoir, Satan n’avait alors aucun recours, et je pouvais enfin faire mon devoir sans contrainte.

Plus tard, j’ai lu davantage de paroles de Dieu et je suis parvenue à avoir un certain discernement sur ma mère. Dieu Tout-Puissant dit : « Ceux parmi les frères et sœurs qui épanchent toujours leur négativité sont les laquais de Satan et ils dérangent l’Église. Ces gens doivent un jour être expulsés et éliminés. Dans leur croyance en Dieu, si les gens n’ont pas un cœur qui craint Dieu, s’ils n’ont pas un cœur qui se soumet à Dieu, alors non seulement ils ne pourront pas faire de travail pour Lui, mais au contraire, ils deviendront ceux qui dérangent Son œuvre et qui Lui résistent. Croire en Dieu, mais ne pas se soumettre à Lui ou Le craindre, et Le défier plutôt, est le plus grand déshonneur pour un croyant. Si le discours et la conduite d’un croyant sont toujours aussi désinvoltes et immodérés que ceux d’un non-croyant, alors il est encore plus malveillant que le non-croyant ; il est le démon typique. Ceux qui, dans l’Église, épanchent leur conversation venimeuse, ceux qui, parmi les frères et sœurs, répandent des rumeurs, fomentent la disharmonie et forment des cliques, ceux-là auraient dû être expulsés de l’Église. Cependant, parce qu’aujourd’hui est une ère différente de l’œuvre de Dieu, ces gens sont limités, car ils doivent absolument être éliminés. Ceux qui ont été corrompus par Satan ont tous un tempérament corrompu. Certains n’ont rien d’autre qu’un tempérament corrompu, tandis que d’autres ne sont pas comme cela : non seulement ils ont un tempérament satanique corrompu, mais leur nature est également malveillante à l’extrême. Non seulement leurs paroles et leurs actes révèlent leur tempérament satanique corrompu, mais en outre, ces gens sont eux-mêmes de vrais démons et Satans. Leur conduite interrompt et perturbe l’œuvre de Dieu, elle perturbe l’entrée des frères et sœurs dans la vie, et elle nuit à la vie normale de l’Église. Tôt ou tard, ces loups déguisés en brebis doivent être renvoyés : il faut adopter une attitude impitoyable, une attitude de rejet à l’égard de ces laquais de Satan. Ce n’est qu’en faisant cela que l’on se tient du côté de Dieu, et ceux qui ne peuvent pas le faire sont en collusion avec Satan. Dieu est toujours dans le cœur de ceux qui croient véritablement en Lui, et ceux-là portent toujours en eux un cœur qui craint Dieu, un cœur qui aime Dieu. Ceux qui croient en Dieu devraient faire les choses avec un cœur attentif et prudent, et tout ce qu’ils font devrait être conforme aux exigences de Dieu et pouvoir satisfaire Son cœur. Ils ne devraient pas être obstinés, faisant tout ce qu’ils veulent ; cela ne convient pas à un saint. Les gens ne doivent pas faire n’importe quoi, exhiber la bannière de Dieu et tout dévaster avec elle, se pavanant et dérobant en tout lieu ; faire cela est la conduite la plus rebelle. Les familles ont des règles et les nations ont des lois ; n’en est-il pas d’autant plus ainsi dans la maison de Dieu ? N’a-t-elle pas d’autant plus des normes strictes ? N’a-t-elle pas d’autant plus des décrets administratifs ? Les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent, mais les décrets administratifs de Dieu ne peuvent être modifiés à volonté. Dieu est un Dieu qui ne permet pas aux gens de L’offenser ; Il est un Dieu qui met les gens à mort. Les gens ne le savent-ils pas déjà ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). J’ai vu que ce que Dieu exposait était précisément le comportement de ma mère. Je n’avais jamais eu aucun discernement de ma mère avant. J’avais l’impression qu’elle serait capable de comprendre, de me soutenir dans ma foi et dans l’exécution de mon devoir. C’est seulement à travers ses entraves et ses persécutions que j’ai commencé à voir son essence de personne malfaisante. Elle comprenait tout et pourtant, elle me persécutait et m’entravait toujours dans ma foi. Cela était déterminé par son essence qui hait Dieu. Avant, je pouvais être induite en erreur par son apparence. Je me disais qu’elle avait cru en Dieu pendant de nombreuses années, avait abandonné sa famille et sa carrière, avait beaucoup souffert, que c’était une vraie croyante, et que même si elle avait été exclue de l’Église, peut-être qu’un jour elle se reprendrait. Mais en réalité, non seulement elle ne se repentait pas, mais elle en était venue à avoir des notions sur la maison de Dieu et évacuait sa négativité. Elle m’empêchait même de croire en Dieu et de faire mon devoir, et voulait que je profite du monde et que je croie aussi en Dieu. En apparence, elle donnait l’impression de penser à moi, mais en substance, elle voulait que je m’éloigne de Dieu et que je perde ma chance d’être sauvée. Elle connaissait mon point faible, savait que j’avais peur de perdre mon foyer, alors elle utilisait toutes sortes de moyens de me persécuter dans ma foi. Si je ne faisais pas ce qu’elle disait, elle me lançait des attaques ordurières, voire même me frappait. J’ai vu que la nature de ma mère était une nature qui détestait la vérité et qui était hostile envers Dieu. J’ai également vu que les relations interpersonnelles étaient basées sur les intérêts. Quand j’ai choisi de faire mon devoir, que je n’ai pas pu trouver de travail ni faire ce qu’elle voulait, elle s’en prenait à moi, me frappait et me réprimandait, voulait me renier et même me mettre à la porte de chez moi. J’ai vu qu’elle ne m’aimait pas vraiment. Une fois que j’ai eu un certain discernement de l’essence de ma mère, mon cœur a pu se libérer de mon affection envers elle.

J’ai subi cette situation pendant un an et Dieu m’a amenée à surmonter les perturbations et les persécutions de ma mère. J’ai ressenti qu’il y a du pouvoir et de l’autorité dans les paroles de Dieu. Elles m’ont permis de sortir de la négativité et de la faiblesse à maintes reprises, et je suis également parvenue à avoir un certain discernement de l’essence de ma mère en tant que personne malfaisante. Dieu soit loué de m’avoir sauvée.

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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