Le devoir ne peut être accompli correctement qu’après avoir remédié à la négligence
Par Jingxian, Japon D’ordinaire, pendant l’assemblée ou quand je faisais mes dévotions spirituelles, même si je lisais souvent les paroles...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2016, j’ai été élue dirigeante d’Église. Je me sentais vraiment motivée, et j’ai décidé de faire ce devoir correctement, de faire de mon mieux pour bien gérer tout le travail de l’Église, afin que les frères et sœurs voient qu’ils avaient choisi la bonne personne. Mais j’ai vite découvert que Sœur Li Xin, qui coopérait avec moi, faisait son devoir plus longtemps que moi, avait un meilleur calibre et pouvait échanger sur la vérité avec plus de clarté. Lorsque nous assistions ensemble aux réunions, elle était capable de résoudre la plupart des questions soulevées par les frères et sœurs, et ces derniers appréciaient écouter son échange. En voyant cela, je me sentais un peu mal à l’aise, car je pensais : « Le partage de Li Xin sur la vérité est en effet très clair, mais si cela continue, les autres vont l’admirer. Alors, qui prêtera attention à moi ? Cela ne va pas, je dois trouver un moyen de faire mes preuves. » Après cela, je restais souvent éveillée tard pour manger et boire davantage les paroles de Dieu et m’équiper de la vérité. Pendant les réunions, chaque fois que l’échange d’une personne sur les paroles de Dieu était éclairant, je me dépêchais de prendre des notes afin de pouvoir l’échanger lors des réunions avec d’autres groupes, ce qui laissait entendre aux frères et sœurs que, moi aussi, je comprenais pas mal de choses. Plus tard, comme Li Xin vivait dans une région relativement éloignée, il n’était pas pratique pour les frères et sœurs de la consulter pour lui poser leurs questions, alors j’ai pris cela comme une opportunité pour prendre en main l’ensemble du travail de l’Église, et parfois, je prenais des arrangements sans en discuter avec Li Xin. Au fil du temps, Li Xin a fini par ressentir qu’elle ne jouait pas un rôle important, et sa motivation pour ses devoirs a commencé à diminuer. De plus, ses lourdes charges familiales rendaient son état de plus en plus négatif, et plusieurs fois, lorsqu’elle me voyait, elle laissait même échapper un profond soupir, et disait qu’elle n’était pas capable d’assumer ce devoir. Bien que je semblais échanger avec elle, intérieurement, j’espérais qu’elle resterait négative, dans l’idée que cela me permettrait de me mettre davantage en avant. Plus tard, en raison de son état constamment mauvais, Li Xin a été renvoyée, et l’Église a élu une nouvelle dirigeante, Sœur Wang Ling. En voyant que Wang Ling avait un bon calibre, j’ai éprouvé un sentiment de panique, et j’ai eu l’impression qu’après un certain temps de formation, elle pourrait me surpasser donc, je ne voulais donc pas qu’elle se distingue. Il se trouvait que Wang Ling, étant nouvellement élue, ne connaissait pas bien le travail, alors j’ai sasi cette occation comme un prétexte pour prendre le contrôle complet du travail de l’Église, et je lui refusais les opportunités de mettre ses talents à profit. Une fois, une tâche de l’Église nécessitait un échange et une mise en œuvre en urgence, mais comme Wang Ling n’était pas locale, elle ne connaissait pas certains lieux de réunion. Je ne l’ai pas emmenée avec moi pour lui faire découvrir la région ou pour mettre en œuvre le travail ensemble, mais, au lieu de cela, je l’ai exclue, et j’ai mis en œuvre le travail dans les zones qui étaient censées relever de son champ de responsabilité. Plus tard, j’ai même mentionné aux frères et sœurs que Wang Ling n’avait aucun sens du fardeau pour le travail, et j’ai partagé comment c’était moi seule qui m’était démenée pour mettre en œuvre le travail. Cela a poussé certains frères et sœurs à développer des préjugés à son égard et à ne pas vouloir écouter son échange. En conséquence, Wang Ling est devenue négative. Je me sentais un peu coupable, mais je n’ai pas réfléchi sur moi-même. Au contraire, j’ai continué à me vanter devant les frères et sœurs de tout ce que j’avais sacrifié et enduré dans mon devoir. Les frères et sœurs me faisaient souvent des éloges pour le sens du fardeau et des responsabilités que j’avais vis-à-vis du travail, et disaient que l’Église ne pouvait pas se passer de moi. Je me suis sentie vraiment satisfaite de moi-même en entendant cela. Plus tard, je me suis rendu compte que je ne recevais plus aucun éclairage ni aucune illumination des paroles de Dieu, et que je n’avais rien à dire pendant les prières. Je passais mes journées dans un état de confusion et d’errance, et les résultats du travail de l’Église ont également commencé à décliner. C’est alors que j’ai enfin pris conscience que mon état n’était pas bon, je me suis donc présentée devant Dieu pour prier et chercher, Lui demandant de m’éclairer et de me guider pour que me connaître moi-même.
J’ai lu les paroles de Dieu : « Quel que soit le devoir qu’ils font, les antéchrists essaieront de se placer dans une position élevée, dans une position de prééminence. Ils ne pourraient jamais se contenter de leur place de disciples ordinaires. […] Ils ont toujours des intentions personnelles dans l’accomplissement de leur devoir et ils veulent toujours se distinguer en tant que moyen de satisfaire leur besoin de battre les autres et satisfaire leurs désirs et leurs ambitions. Tout en faisant leur devoir, en plus d’être très compétitifs – rivalisant à tous égards, pour se démarquer, pour être au sommet, pour dépasser les autres – ils réfléchissent également à la façon de conserver leur statut, leur réputation et leur prestige actuels. Si quelqu’un menace leur statut ou leur prestige, rien ne les arrête et ils ne font preuve d’aucune pitié pour faire tomber cette personne et s’en débarrasser. Ils utilisent même des moyens méprisables pour réprimer ceux qui sont capables de poursuivre la vérité, ceux qui font leur devoir en faisant preuve de loyauté et de sens de la responsabilité. Ils sont également pleins d’envie et de haine envers les frères et sœurs qui accomplissent leur devoir dans l’excellence. Ils sont particulièrement haineux envers ceux que les autres frères et sœurs soutiennent et approuvent ; ils sont persuadés que ces personnes constituent une grave menace pour ce qu’ils visent, pour leur réputation et leur statut, et dans leur cœur, ils jurent que “c’est toi ou moi, moi ou toi, il n’y a pas de place pour nous deux, et si je ne te fais pas tomber et que je ne me débarrasse pas de toi, je ne pourrai pas me regarder en face !” À l’égard des frères et sœurs qui expriment une opinion différente, qui les exposent ou qui menacent leur statut, ils sont impitoyables : ils songent à tout ce qu’ils pourraient obtenir sur ces frères et sœurs dans le but de les juger et de les condamner, de les discréditer et de les faire tomber, et ils ne prendront aucun repos avant d’être parvenus à leurs fins » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VII)). « Si quelqu’un dit qu’il aime la vérité et qu’il poursuit la vérité mais qu’en substance, le but qu’il poursuit est de se distinguer, de se mettre en valeur, de faire en sorte que les gens aient une haute opinion de lui, de réaliser ses propres intérêts et que le but de l’accomplissement de son devoir n’est pas de se soumettre à Dieu ni de Le satisfaire, mais plutôt d’obtenir gloire, gain et statut, alors sa poursuite est illégitime. Dans ce cas, s’agissant du travail de l’Église, ses actions sont-elles un obstacle, ou contribuent-elles à le faire avancer ? Elles sont clairement un obstacle : elles ne le font pas avancer. Certains brandissent la bannière de l’accomplissement du travail de l’Église tout en poursuivant leur gloire, gain et statut personnels, en gérant leur entreprise, en créant leur propre petit groupe, leur propre petit royaume ; sont-ils le genre de personne qui fait son devoir ? Essentiellement, tout le travail qu’ils font perturbe, dérange et entrave le travail de l’Église » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)). Ce que la parole de Dieu exposait était exactement mon état. Depuis que j’étais devenue dirigeante, je m’étais toujours préoccupée de la manière dont les autres me percevaient. Lorsque j’ai découvert que la sœur avec laquelle je coopérais était meilleure que moi, je n’arrivais pas à l’accepter et je voulais rivaliser et me comparer à elle. Je devais simplement surpasser les autres et faire en sorte que tout le monde pense du bien de moi. Lorsque je collaborais avec Li Xin, je voyais que son calibre était bon, qu’elle avait de bonnes capacités de travail, que son échange sur la vérité était clair et qu’elle était capable de résoudre les problèmes des frères et sœurs. Je me sentais jalouse et ne pouvait pas l’accepter, et j’avais peur que les frères et sœurs aient une haute opinion d’elle et me méprisent. Alors, je me suis attelée à étudier et à m’orner de la lumière contenue dans les échanges des autres, dans l’espoir de susciter ainsi l’admiration d’autrui. J’en suis même venue au point où, dans le but de montrer que j’étais meilleure que Li Xin, j’ai pris en charge l’intégralité du travail de l’Église et j’ai refusé de laisser Li Xin intervenir, l’écartant discrètement. J’étais également indifférente lorsque je voyais que Li Xin n’allait pas bien, car j’avais peur que si son état s’améliorait, son travail aurait de meilleurs résultats que le mien. Lorsque je collaborais avec Wang Ling, j’étais aussi très compétitive. Je savais pertinemment que Wang Ling venait juste de commencer sa formation en tant que dirigeante et que je devrais l’aider et la soutenir, mais lorsque j’ai vu que son calibre était bon, j’ai eu peur que, dès qu’elle maîtriserait le travail, elle me dépasserait et affecterait mon statut. J’ai donc travaillé seule pour mettre en avant mes propres capacités de travail, et je ne lui ai laissé aucune chance d’utiliser pleinement ses talents. J’ai même dénigré Li Xin derrière son dos tout en m’exaltant, ce qui a conduit les frères et sœurs à développer des préjugés à son égard et à l’exclure, jusqu’à ce qu’elle succombe finalement à la négativité. Lorsque je repensais à toutes ces choses que j’avais faites, j’ai vraiment senti que j’étais dépourvue de toute humanité et que j’étais plutôt méprisable. Les frères et sœurs m’avaient choisie pour être dirigeante, et j’aurais dû chérir cette occasion. J’aurais dû coopérer avec les frères et sœurs pour mener à bien le travail de l’Église. Mais je n’ai pas pensé à la manière de travailler harmonieusement avec les autres dans mes devoirs et à être loyale. Au lieu de cela, j’ai constamment rivalisé pour la gloire et le gain, dans l’espoir que les gens penseraient du bien de moi. Non seulement mon comportement a contraint les deux sœurs, mais il a aussi affecté le travail de l’Église. Désormais, j’avais sombré dans les ténèbres et c’était Dieu qui me châtiait et me disciplinait, et j’ai pris conscience que si je ne réfléchissais pas et ne me repentais pas, je serais détestée et abandonnée par Dieu. Cette pensée m’a vraiment effrayée, alors j’ai immédiatement prié Dieu : « Dieu ! Je veux me repentir devant Toi. Je ne rivaliserai plus jamais avec mes frères et sœurs. » Après cela, lorsque je faisais mes devoirs, j’ai commencé à me mettre consciemment de côté et à cesser de rivaliser avec Wang Ling. Au lieu de cela, j’ai appris à coopérer avec elle pour mener à bien le travail de l’Église et j’ai commencé à l’aider à maîtriser ses devoirs le plus rapidement possible. L’état de Wang Ling s’est amélioré, elle a commencé à faire ses devoirs activement, et a pu résoudre certains problèmes concrets. Je me suis sentie honteuse en voyant cela. Je savais que c’était parce que j’avais toujours rivalisé avec Wang Ling et que je ne lui avais jamais donné l’opportunité de se former qu’elle s’était découragée. Maintenant que nous coopérions, Wang Ling pouvait pleinement mettre à profit ses talents, et les résultats obtenus dans la vie de l’Église se sont également améliorés. J’en étais très heureuse et j’avais l’impression d’avoir fait des progrès dans ce domaine, mais, parce que mon tempérament corrompu était profondément enraciné en moi, il n’a pas fallu longtemps avant que je ne retombe dans un état de rivalité pour la gloire et le gain.
En septembre 2018, notre Église a fusionné avec une autre Église voisine, et j’ai à nouveau été choisie pour être dirigeante. J’étais très heureuse, parce que je pensais que le fait de continuer à être une dirigeante après la fusion de l’Église prouvait que j’étais capable. Mais ensuite, j’ai pensé aux deux sœurs avec lesquelles j’allais collaborer. L’une d’elles était Sœur Pang Jing, qui avait occupé le poste de dirigeante pendant de nombreuses années. Elle comprenait de nombreux principes, avait une grande expérience et était souvent capable d’échanger sur la vérité et de résoudre les problèmes des frères et sœurs. L’autre était Sœur Chen Min, dont le calibre et les capacités de travail étaient également assez bons. Je me suis donc sentie sous beaucoup de pression, et je me souciais du fait que les frères et sœurs finiraient par me mépriser, puisque toutes les deux étaient meilleures que moi et que je serais la plus faible d’entre nous. À cause de cela, j’ai secrètement commencé à redoubler d’efforts, et je dégageais davantage de temps chaque jour pour aller aux réunions de groupe, car je pensais que je pourrais les surpasser en travaillant davantage, en souffrant plus et en payant un plus grand prix qu’elles. Je faisais des efforts supplémentaires pour trouver du temps à passer avec les frères et sœurs, en particulier dans le domaine de responsabilité de Pang Jing, et j’assistais à chaque réunion de groupe, car j’espérais gagner l’approbation des frères et sœurs dont elles avaient la charge. Un jour, j’ai entendu Pang Jing dire qu’il y avait un groupe dans son quartier où les frères et sœurs n’arrivaient jamais à travailler ensemble en harmonie, et bien qu’elle ait échangé avec eux à plusieurs reprises, elle n’avait pas réussi à résoudre le problème. Je me suis dit : « Je dois me saisir de cette occasion pour échanger et résoudre ce problème. Cela montrera que je suis meilleure qu’elle. » Ainsi, j’ai immédiatement trouvé du temps pour rendre visite à ce groupe. Grâce à mon échange patient, j’ai finalement résolu les états des frères et sœurs. La sœur de la maison d’accueil a même loué ma capacité à résoudre les problèmes devant Pang Jing. Je me suis sentie vraiment satisfaite de moi-même en entendant cela et je me suis trouvée particulièrement capable. Plus tard, pour me donner une bonne image de moi-même, je passais souvent mes journées à assister aux réunions de différents groupes, et je restais jusqu’à 1 heure du matin à lire les paroles de Dieu et à rechercher des documents, afin de pouvoir résoudre les problèmes rapidement. Avant chaque réunion, je me préparais comme si j’étais une enseignante qui préparait ses cours dans l’espoir que les frères et sœurs verraient que j’étais compétente pour échanger sur la vérité. Une fois, parce que j’avais assisté à une réunion dans une autre zone, j’ai manqué une réunion de groupe. Pour donner l’impression aux frères et sœurs que j’étais responsable, le lendemain, après mon retour, je me suis précipitée pour dégager du temps afin de rattraper la réunion manquée. Mais, contre toute attente, alors que j’étais en route pour la réunion, le pneu arrière de mon vélo électrique a soudainement crevé. Je me suis retrouvée coincée au milieu de nulle part sous la pluie et la neige, et pendant un moment, je ne savais pas quoi faire. Juste au moment où j’étais au bout du rouleau, je me suis soudainement rappelé que toutes les personnes, tous les événements et toutes les choses qui nous arrivent chaque jour sont permis par Dieu, et qu’il y avait peut-être une leçon à tirer de cette situation. En réfléchissant, j’ai pris conscience que mon intention dans le fait d’assister à la réunion n’était pas la bonne. Je n’y allais pas pour échanger sur les paroles de Dieu et comprendre la vérité avec les frères et sœurs, mais plutôt pour utiliser cette réunion comme une occasion de leur montrer que j’avais un sens du fardeau et de la responsabilité, et faire en sorte qu’ils m’admirent. J’agissais encore pour la gloire, le gain et le statut.
Plus tard, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Afin d’obtenir pouvoir et statut, la première chose que les antéchrists font dans l’Église est d’essayer de gagner la confiance et l’estime des autres, afin de pouvoir convaincre davantage de gens, et de faire en sorte qu’un plus grand nombre d’entre eux les admirent et les adorent, atteignant ainsi leur objectif, qui est d’avoir le dernier mot dans l’Église et de détenir le pouvoir. Lorsqu’il s’agit d’obtenir du pouvoir, ils sont particulièrement doués pour entrer en compétition et se battre avec d’autres personnes. Les personnes qui poursuivent la vérité, qui ont du prestige dans l’Église et qui sont aimées par les frères et sœurs, sont leurs principales concurrentes. Toute personne qui représente une menace pour leur statut est leur concurrente. Ils entrent inébranlablement en compétition avec ceux qui sont plus forts qu’eux et ils entrent en compétition avec ceux qui sont plus faibles qu’eux, sans éprouver la moindre pitié. Leur cœur est rempli de philosophies de combat. Ils croient que si les gens ne rivalisent pas et ne se battent pas, ils ne pourront obtenir aucun avantage, et qu’ils ne peuvent obtenir ce qu’ils veulent qu’en rivalisant et en se battant. Afin d’obtenir un statut et d’avoir une position prééminente au sein d’un groupe de personnes, ils font tout ce qu’il faut pour rivaliser avec les autres et ils n’épargnent pas une seule personne qui représente une menace pour leur statut. Peu importe avec qui ils interagissent, ils sont pleins du désir de se battre, et même en vieillissant, ils continuent à se battre. Ils disent souvent : “Pourrais-je battre cette personne si je me mesurais à elle ?” Celui qui est éloquent, qui peut parler de façon logique, structurée et méthodique, devient la cible de leur envie et fait l’objet de leur imitation. Il devient même leur concurrent. Quiconque poursuit la vérité et a la foi, et est capable d’aider et de soutenir fréquemment les frères et sœurs, et de leur permettre de sortir de la négativité et de la faiblesse, devient également leur concurrent, de même que quiconque est expert dans une certaine profession et quelque peu estimé par les frères et sœurs. Quiconque obtient des résultats dans son travail, et obtient la reconnaissance du Supérieur, devient naturellement une source de concurrence encore plus grande pour eux. Quelles sont les devises des antéchrists, quel que soit le groupe dans lequel ils se situent ? Partagez vos pensées. (Se battre avec d’autres personnes et avec le Ciel est une source d’amusement sans fin.) N’est-ce pas fou ? C’est fou. Est-ce qu’il y en a d’autres ? (Dieu, ne pensent-ils pas : “Dans tout l’univers, je suis le seul à régner en maître” ? Autrement dit, ils veulent avoir le plus haut niveau, et peu importe avec qui ils sont, ils veulent toujours surpasser les autres.) C’est une de leurs idées. Quoi d’autre ? (Dieu, j’ai pensé à quatre mots : “Le vainqueur est roi.” Je pense qu’ils veulent toujours être supérieurs aux autres et se distinguer, où qu’ils soient, et ils s’efforcent d’avoir le plus haut niveau.) La plupart des choses dont vous avez parlé sont des types d’idées, essayez d’utiliser un type de comportement pour les décrire. Les antéchrists ne veulent pas nécessairement occuper la position la plus élevée où qu’ils soient. Chaque fois qu’ils se rendent à un endroit, ils ont un tempérament et une mentalité qui les forcent à agir. Quelle est cette mentalité ? C’est : “Je dois rivaliser ! Rivaliser ! Rivaliser !” Pourquoi trois “rivaliser”, pourquoi pas un seul “rivaliser” ? (La compétition est devenue leur vie, c’est ainsi qu’ils vivent.) C’est leur tempérament. Ils sont nés avec un tempérament extrêmement arrogant et difficile à contenir, c’est qu’ils se considèrent comme incomparables et qu’ils sont extrêmement égotistes. Personne ne peut freiner ce tempérament extrêmement arrogant qui est le leur : eux-mêmes ne peuvent pas le contrôler non plus. Donc, leur vie consiste à se battre et à rivaliser. Pour quoi se battent-ils et rivalisent-ils ? Naturellement, ils se disputent la gloire, le gain, le statut, la face et leurs propres intérêts. Quelles que soient les méthodes qu’ils doivent utiliser, tant que tout le monde s’y soumet et tant qu’ils obtiennent des avantages et un statut pour eux-mêmes, ils ont atteint leur objectif. Leur volonté de rivaliser n’est pas un amusement temporaire : c’est une sorte de tempérament qui provient d’une nature satanique. C’est comme le tempérament du grand dragon rouge qui se bat avec le ciel, se bat avec la terre et se bat avec les gens. Maintenant, quand les antéchrists se battent et rivalisent avec les autres dans l’Église, que veulent-ils ? Sans aucun doute, ils rivalisent pour la réputation et le statut. Mais s’ils obtiennent un statut, à quoi cela leur sert-il ? À quoi leur sert-il que les autres les écoutent, les admirent et les vénèrent ? Les antéchrists eux-mêmes ne peuvent même pas expliquer cela. En réalité, ils aiment jouir de la réputation et du statut, susciter des sourires chez tout le monde et être accueillis par des flatteries et de la flagornerie » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie III)). Les paroles de Dieu exposent que les antéchrists aiment vraiment la gloire, le gain et le statut, et que peu importe avec qui ils sont, ils aiment rivaliser avec les autres et se comparer à eux. Ils cherchent toujours à surpasser les autres afin que les gens les admirent et les adorent, et ils sont même disposés à recourir à des moyens peu scrupuleux pour lutter contre les autres pour obtenir la gloire, le gain et du statut. Il n’y a aucune action méprisable qu’ils ne soient prêts à accomplir. En réfléchissant sur moi à la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu que le tempérament que je révélais était le même que celui d’un antéchrist. Depuis mon enfance jusqu’à l’âge adulte, j’avais vécu selon des poisons sataniques tels que « L’homme lutte pour s’élever ; l’eau coule vers l’aval » et « Il ne peut y avoir qu’un seul mâle alpha ». Quoi que je fasse, je voulais toujours faire mieux que les autres, et où que j’aille, je cherchais à susciter l’admiration et les louanges des autres. Même après avoir trouvé Dieu, je voulais toujours me mettre en avant et être meilleure que les autres dans tout ce que je faisais, et je continuais à m’efforcer et de rivaliser pour la réputation et le statut. Je ne pouvais pas coopérer harmonieusement avec les autres, et j’excluais même mes sœurs partenaires et les rabaissais pour m’élever moi-même. Même pendant les réunions où j’échangeais pour résoudre des problèmes, mon but était toujours de simplement surpasser mes sœurs partenaires. J’ai pris conscience qu’en vivant selon ces poisons sataniques, j’étais devenue de plus en plus arrogante et malintentionnée. Je ne me préoccupais que de ma réputation et de mon statut, et je ne pensais ni aux intentions de Dieu ni aux intérêts de l’Église. En conséquence, j’ai blessé mes frères et sœurs et perturbé le travail de l’Église. J’ai pensé à ces antéchrists qui ont été expulsés, qui allaient jusqu’à exclure et réprimer les opposants pour consolider leur position. Ils ont interrompu et perturbé le travail de l’Église, et au final, ils ont été éliminés pour avoir offensé le tempérament de Dieu par leurs nombreux actes malfaisants. J’ai pris conscience que j’étais sur le même chemin que ces antéchrists. Je continuais à poursuivre la réputation et le statut, et si je ne me repentais pas, je finirais sûrement par offenser le tempérament de Dieu et être punie par Lui. J’ai vraiment eu peur, et je me suis retrouvée pleine de regret et de culpabilité. J’ai décidé en moi-même : « Je dois me rebeller contre la chair, pratiquer la vérité, et coopérer harmonieusement avec mes sœurs pour mener à bien mon devoir. »
Plus tard, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Tu dois apprendre à abandonner et à mettre de côté ces choses, à recommander les autres et à leur permettre de se démarquer. Ne lutte pas pour tirer parti d’occasions de te distinguer et de briller, et ne te rue pas pour le faire. Tu dois être capable de mettre ces choses-là de côté, mais tu ne dois pas non plus retarder l’accomplissement de ton devoir. Sois une personne qui travaille en secret et qui ne s’affiche pas devant les autres tandis que tu accomplis loyalement ton devoir. Plus tu mettras de côté ta fierté et ton statut, et plus tu te détacheras de tes intérêts, plus tu te sentiras en paix, plus il y aura de lumière dans ton cœur et plus ton état s’améliorera. Plus tu lutteras et entreras en compétition, plus ton état deviendra sombre. Si tu ne Me crois pas, essaie et tu verras bien ! Si tu veux inverser ce genre d’état corrompu, et ne pas être contrôlé par ces choses, tu dois chercher la vérité et comprendre clairement l’essence de ces choses, puis les mettre de côté et les abandonner » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). « Ne fais pas toujours les choses pour toi-même, ne considère pas constamment tes propres intérêts ; ne prête aucune considération aux intérêts de l’homme et ne pense pas à ta propre fierté, à ta propre réputation et à ton propre statut. Tu dois d’abord penser aux intérêts de la maison de Dieu et en faire ta priorité. Tu dois être attentif aux intentions de Dieu et commencer par te demander si, oui ou non, il y a eu des impuretés dans l’accomplissement de ton devoir, si tu as été loyal, si tu as assumé tes responsabilités et fait tout ton possible et si, oui ou non, tu as réfléchi de tout ton cœur à ton devoir et au travail de l’Église. Tu dois prendre en considération ces choses-là » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). Les paroles de Dieu m’ont montré un chemin de pratique. En gérant les affaires, je dois apprendre à mettre de côté mes intérêts personnels, ma réputation et mon statut, et à privilégier les intérêts de l’Église. Ce n’est qu’alors que je pourrai mener à bien mon devoir. En réfléchissant à la façon dont le calibre des sœurs partenaires était meilleur que le mien et dont elles pouvaient résoudre les problèmes concrets, j’ai vu que cela profitait au travail de l’Église et à l’entrée dans la vie des frères et sœurs, et que je devrais davantage coopérer avec elles, apprendre de leurs forces alors que nous nous complétons mutuellement. C’est ainsi que le travail de l’Église peut atteindre de meilleurs résultats et que mes propres lacunes peuvent être comblées, et c’est ainsi que je peux faire mon devoir conformément à l’intention de Dieu. Après cela, j’ai pratiqué selon les paroles de Dieu, je ne me préoccupais plus de savoir si mes frères et sœurs partenaires étaient meilleurs que moi, et me concentrais uniquement sur le fait de jouer mon rôle dans mon devoir. Je me suis aussi ouverte à mes sœurs partenaires en échangeant sur la corruption que j’avais révélée pendant cette période, ainsi que sur mes réflexions et les compréhensions que j’avais acquises. Après m’avoir écoutée, les sœurs ne m’ont pas méprisée, et au contraire, elles ont échangé avec moi et m’ont aidée. Par la suite, nous avons discuté ensemble du travail et coopéré harmonieusement. Au bout d’un certain temps, le travail de l’Église a fait des progrès.
Un jour, les hauts dirigeants ont envoyé une lettre annonçant qu’ils allaient élire un prédicateur parmi les dirigeants de l’Église. J’ai senti mon cœur s’agiter, car je voulais être choisie, mais ensuite, j’ai pensé : « Chen Min comprend mieux la vérité que moi, elle a une bon calibre et des compétences de travail, donc, selon les principes, elle serait plus appropriée. » Mais je me sentais un peu mal à l’aise, pensant : « Si Chen Min devient vraiment prédicatrice, que penseront les frères et sœurs de moi ? Diront-ils que je ne suis pas aussi bonne qu’elle ? » J’étais en proie à un intense combat intérieur. À ce moment-là, un passage des paroles de Dieu m’est venu clairement à l’esprit : « Tu dois apprendre à abandonner et à mettre de côté ces choses, à recommander les autres et à leur permettre de se démarquer. Ne lutte pas pour tirer parti d’occasions de te distinguer et de briller, et ne te rue pas pour le faire. Tu dois être capable de mettre ces choses-là de côté, mais tu ne dois pas non plus retarder l’accomplissement de ton devoir. Sois une personne qui travaille en secret et qui ne s’affiche pas devant les autres tandis que tu accomplis loyalement ton devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). L’éclairage et la direction des paroles de Dieu ont éclairci mon cœur. J’ai pensé à la façon dont j’avais souvent l’habitude de me vautrer dans un tempérament corrompu, d’être très compétitive et de chercher à surpasser les autres, et chaque fois qu’une occasion se présentait qui me permettrait de me faire un nom, il m’arrivait de rivaliser avec les autres et de vouloir les dominer. Non seulement cela contraignait les autres, mais cela avait également un impact sur le travail de l’Église. En pensant à ces choses, je me suis retrouvée envahie par les regrets. Maintenant, je devais me rebeller contre mon tempérament satanique, mettre de côté la réputation et le statut, et privilégier le travail de l’Église. Chen Min avait plus d’expérience dans ses devoirs que moi, et elle échangeait sur la vérité de manière plus concrète, donc la nommer prédicatrice serait plus bénéfique pour le travail de l’Église. En pensant à cela, j’ai voté pour Chen Min. Après avoir pratiqué de cette manière, j’ai éprouvé un sentiment de paix et d’aisance dans mon cœur. Ce sont les paroles de Dieu qui ont apporté ce changement en moi. Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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