Juger d’après les apparences est tout simplement aberrant
Par Yifan, Chine Auparavant, je jugeais souvent les gens sur leurs apparences, tenant particulièrement en haute estime les gens charmants,...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je réalise des vidéos à l’Église. Lorsque j’ai commencé à me former, je sollicitais souvent l’aide des autres quand je ne comprenais pas quelque chose. Au fil du temps, j’ai progressivement saisi certains principes et j’ai même réalisé quelques vidéos de manière indépendante. Tout le monde disait que je progressais rapidement et la superviseuse a également dit que mes vidéos étaient innovantes et réfléchies. Entendre cela m’a rendue très satisfaite de moi-même, et j’ai pensé que j’avais quelques talents et points forts en matière de production vidéo. Par la suite, je demandais rarement de l’aide aux autres lorsque je réalisais des vidéos et la plupart du temps, j’essayais de réfléchir et de résoudre les problèmes par moi-même. Un jour, je réalisais une vidéo un peu difficile, et j’étais un peu perdue, alors j’ai pensé demander à la cheffe d’équipe de me donner une vidéo plus simple. Mais ensuite, je me suis dit : « Puisque j’ai choisi cette vidéo, si je vais voir la cheffe d’équipe et lui dis que je n’y arrive pas, est-ce qu’elle va me mépriser ? Laisse tomber, cette vidéo est difficile, mais si je m’y mets à fond, je vais peut-être réussir à la finir. » Alors je n’ai rien dit, et j’ai juste fait profil bas et j’ai continué à chercher et à réfléchir par moi-même. Mais après beaucoup de réflexion, je n’avais toujours aucune idée de la façon de procéder, et j’ai pensé demander à quelqu’un d’autre de jeter un œil et de m’aider, mais je me suis dit : « Cela fait un moment que je suis en formation. Si je continue à demander de l’aide aux autres, ne vont-ils pas penser que je manque de calibre ? Non, je vais continuer à essayer de comprendre moi-même. » À cet instant, la cheffe d’équipe m’a demandé : « Comment avance la vidéo ? Si tu rencontres des difficultés, tu peux passer à une vidéo plus facile. » Je me suis dit : « Je ne peux pas changer maintenant. Si je le fais, est-ce que je ne vais pas paraître incompétente ? » Alors, j’ai affiché un visage calme et j’ai répondu : « Je suis en train de réfléchir à la meilleure façon de m’y prendre. Je n’ai pas besoin de changer. » Après avoir dit cela, un malaise m’a envahi. Cela faisait longtemps que je réfléchissais à cette vidéo et je n’avais toujours aucune idée de la manière de l’aborder. C’était au-delà de de mes capacités, et je me suis rendu compte que continuer à essayer de forcer les choses n’était pas une solution, mais je n’avais toujours rien dit à la cheffe d’équipe. Après deux ou trois jours, je n’avais toujours fait aucun progrès sur la vidéo, alors je n’ai eu d’autre choix que de demander finalement de l’aide à quelqu’un d’autre. Peu de temps après, j’ai commencé à travailler sur une vidéo dans un nouveau format. Même si j’avais déjà discuté de l’approche avec tout le monde, j’ai quand même rencontré des difficultés pendant le processus de production, et j’ai envisagé d’en parler à nouveau avec la cheffe d’équipe. Mais ensuite, je me suis dit : « On a déjà discuté de tout ça. Si je redemande, la cheffe d’équipe ne va-t-elle pas penser que je manque de calibre et qu’il faut qu’on me répète les choses plusieurs fois juste pour réaliser une seule vidéo ? » Pour éviter que les autres ne voient qu’il y avait des choses que je ne comprenais pas ou que je ne savais pas faire dans le processus de production, j’ai feint de savoir ce que je faisais et j’ai continué à travailler sur mon ordinateur, mais après plusieurs jours de travail sur la vidéo, je ne l’avais toujours pas terminée, et finalement, j’ai dû demander l’aide de la cheffe d’équipe. Ces deux échecs m’avaient profondément embarrassée, mais je n’avais pas pris le temps de réfléchir sur moi-même et j’avais continué à faire bonne figure, et par conséquent, mon devoir n’a produit aucun résultat. Je suis devenue négative et je me suis jugée comme une personne dépourvue de calibre et inadaptée à la production vidéo. Je me sentais vraiment oppressée et en souffrance. Parfois, je voulais parler de mon état à quelqu’un, mais j’avais peur que si les autres voyaient mes faiblesses et mes défauts, ils me mépriseraient, alors je ne voulais pas m’ouvrir.
Un jour, la cheffe d’équipe m’a fait une suggestion et m’a dit : « Tu n’échanges pas sur ta compréhension d’expérience des paroles de Dieu lors des réunions, tu ne parles pas non plus de ta corruption ou de tes défauts, ou de la manière dont tu appréhendes les difficultés que tu rencontres dans ton devoir. On dirait que tu te contentes de parler de formules et de doctrines pour impressionner. » J’ai compris que la cheffe d’équipe avait vu juste en moi et je me suis sentie tellement embarrassée. Mon visage s’est empourpré et j’ai baissé la tête sans dire un mot. Plus tard, la cheffe d’équipe m’a envoyé un passage des paroles de Dieu pour m’aider. Dieu dit : « Les gens eux-mêmes sont des êtres créés. Les êtres créés peuvent-ils parvenir à l’omnipotence ? Peuvent-ils devenir parfaits et sans défauts ? Peuvent-ils tout maîtriser, tout comprendre, voir tout clairement, et être capables de tout ? Non, c’est impossible. Cependant, il y a chez les humains des tempéraments corrompus, et une faiblesse fatale : dès qu’ils acquièrent une compétence ou apprennent un métier, ils ont l’impression d’être capables, d’avoir un statut et de la valeur, et d’être des professionnels. Même s’ils sont quelconques, ils veulent tous se mettre en valeur en se donnant l’apparence d’individus connus ou exceptionnels, se transformer en petites célébrités et faire croire aux gens qu’ils sont parfaits, sans défauts ; aux yeux des autres, ils souhaitent devenir célèbres, puissants, ou passer pour de grands personnages, et ils veulent devenir forts, capables de tout, capables de tout surmonter. Ils ont l’impression que s’ils cherchaient à se faire aider, ils auraient l’air incapables, faibles et inférieurs et qu’on les regarderait de haut. C’est pourquoi ils veulent toujours sauver les apparences. Certains, quand on leur demande de faire quelque chose, disent qu’ils savent le faire alors qu’en réalité ils ne savent pas. Ensuite, en secret, ils cherchent et essaient d’apprendre à le faire, mais après avoir étudié la chose pendant plusieurs jours, ils ne comprennent toujours pas comment procéder. Quand on leur demande comment ils s’en sortent, ils répondent : “Je vais bientôt y arriver !” Mais dans leur cœur, ils pensent : “Je n’y suis pas encore, je ne comprends rien, je ne sais pas ce qu’il faut faire ! Je ne dois pas vendre la mèche, je dois continuer à faire bonne figure, je ne peux pas laisser les gens voir mes défauts et mon ignorance, je ne peux pas les laisser me mépriser !” Quel est le problème qui se pose, ici ? C’est là un enfer sur terre, qui consiste à essayer de sauver la face à tout prix. De quel genre de tempérament s’agit-il ? L’arrogance des gens comme ça ne connaît aucune limite, ces gens ont perdu toute raison. Ils ne veulent pas être comme tout le monde, ils ne veulent pas être des gens ordinaires, des gens normaux, mais des surhommes, des individus exceptionnels ou des experts. C’est un problème vraiment gigantesque ! En ce qui concerne les faiblesses, les défauts, l’ignorance, la stupidité et le manque de compréhension, dans le cadre d’une humanité normale, ils embellissent tout ça, et ne laissent pas voir ces aspects aux autres, puis ils continuent de se déguiser » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Les cinq conditions à respecter pour s’engager sur le bon chemin de la croyance en Dieu). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les êtres humains sont des êtres créés et que tous ont de nombreuses défauts et insuffisances. Peu importe les capacités d’une personne, il est impossible de tout gérer et de tout faire. Ne pas être capable de traiter correctement ses propres défauts et insuffisances et, à la place, se dissimuler constamment est totalement stupide, ignorant, arrogant et déraisonnable. Je pensais à l’époque où je venais tout juste de commencer à me former à la production vidéo et où je n’avais pas encore bien saisi les principes, il était normal que je ne sois pas capable de réaliser des vidéos complexes. Mais je n’ai pas reconnu mes propres capacités limitées, et après avoir réalisé quelques vidéos, lorsque les frères et sœurs m’ont un peu félicité et encouragé, j’ai commencé à penser que j’avais un bon calibre, que j’étais compétente et que j’avais des compétences professionnelles. Lorsque j’ai été confrontée à des choses que je ne pouvais pas faire ou comprendre, j’ai cessé de demander de l’aide et je me suis dissimulée et déguisée, je craignais que si les autres voyaient mes lacunes, cela changerait leur bonne impression de moi. La cheffe d’équipe a remarqué mes difficultés et a activement proposé de m’aider, mais j’ai continué à faire bonne figure et j’ai refusé son aide, j’ai préféré rechercher en cachette par moi-même et perdre du temps plutôt que de m’ouvrir sur mes difficultés. Par conséquent, j’ai retardé la progression de la vidéo. J’ai agi de la même manière en réalisant une vidéo dans un nouveau format. Même si je n’avais clairement aucune idée de ce qu’il fallait faire, j’ai délibérément fait semblant d’y travailler pour tromper les autres. J’ai perdu beaucoup de temps, et la vidéo n’était toujours pas terminée. Pour maintenir la bonne image que les autres avaient de moi, j’ai caché mes difficultés et mes défauts, et je n’ai laissé personne les voir. Même quand je me sentais négative, je ne le faisais savoir à personne. J’ai toujours voulu me déguiser en quelqu’un qui pouvait tout faire et qui surpassait tout le monde en tout. J’étais tellement arrogante et complètement dépourvue de conscience de moi ! Mais je n’ai pas pu percer à jour cette affaire et j’ai continué à me déguiser. Lorsque je rencontrais des problèmes ou des difficultés, je ne m’ouvrais pas aux autres pour demander de l’aide, ce qui faisait que les problèmes n’étaient pas résolus, et cela affectait non seulement mon état, mais retardait également la production des vidéos. En y réfléchissant, je me suis rendu compte à quel point j’avais été stupide ! Je me suis alors rappelée des paroles de Dieu : « S’il y a beaucoup de confidences que tu hésites à partager, si tu es très peu enclin à dévoiler tes secrets, tes difficultés, devant les autres pour chercher le chemin de la lumière, alors Je dis que tu es quelqu’un qui n’atteindra pas facilement le salut et qui ne sortira pas facilement des ténèbres » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Trois admonitions). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que ne pas se déguiser, être simple, ouvert et honnête, et faire état de sa corruption, de ses difficultés et de ses insuffisance dans l’échange pour chercher la vérité sont les marques d’une personne intelligente, et que seules ces personnes peuvent comprendre la vérité et atteindre la libération. Mais j’étais clairement déficiente dans de nombreux domaines, et j’avais beaucoup de difficultés, notamment lorsqu’il s’agissait de réaliser des vidéos dans de nouveaux formats, mais je n’avais même pas le courage de dire quelque chose d’aussi simple que « je ne peux pas faire ça » ou « je ne comprends pas ». Au lieu de cela, je me suis donnée beaucoup de mal pour me dissimuler et me déguiser, car je craignais que si les autres voyaient qui j’étais vraiment, ils me mépriseraient, ce qui rendait ma vie épuisante et difficile. Encore et encore, je me dissimulais, pensant que j’étais maligne et que je pouvais tromper les autres, mais en réalité, tout le monde voyait déjà mes véritables capacités, non seulement je n’ai pas réussi à préserver mon image, mais je me suis encore plus ridiculisée. En me cachant et en me déguisant ainsi, et pour ne pas avoir osé ouvrir mon cœur et chercher à échanger, je n’ai pas pu recevoir l’éclairage ou l’illumination du Saint-Esprit, et les difficultés dans mon travail n’ont pas pu être résolues, ce qui n’a fait qu’entraver et causer des pertes au travail de l’Église. Après avoir compris ces choses, je me suis ouverte à mes frères et sœurs dans l’échange et j’ai exposé ma corruption et mes insuffisances, et au lieu de me mépriser, ils ont tous échangé avec moi et m’ont aidée. J’éprouvais tant de gêne et de honte. Après cela, lorsque j’étais confrontée à des tâches de production vidéo que je ne pouvais pas gérer, je recherchais activement de l’aide auprès de mes frères et sœurs. Après avoir pratiqué cela pendant un certain temps, j’ai fait des progrès dans mes compétences techniques et je suis devenue plus efficace dans mes devoirs. J’étais tellement reconnaissante envers Dieu !
Plus tard, l’Église m’a confiée la responsabilité d’abreuver les nouveaux venus. Après une période de formation, j’ai compris certains principes et j’ai pu résoudre les problèmes et les difficultés des nouveaux venus. Les frères et sœurs disaient que j’étais diligente, responsable et capable de supporter les difficultés dans mes devoirs. Entendre les éloges de tout le monde m’a vraiment rendu heureuse et m’a fait penser que je m’en sortais plutôt bien, et sans même m’en rendre compte, j’ai recommencé à me déguiser. Un soir, je n’arrivais pas à résoudre certaines des questions soulevées par quelques nouveaux venus, et après y avoir réfléchi pendant longtemps sans savoir comment les résoudre, j’ai voulu aller me coucher. C’est alors que Sœur Zhang Jing, qui collaborait avec moi, m’a demandé : « Tu es encore debout à cette heure ? Tu as besoin d’aide ? » J’ai pensé que Zhang Jing abreuvait les nouveaux venus depuis longtemps et qu’elle avait une certaine expérience de ce travail, alors j’ai voulu lui parler. Mais ensuite, je me suis dit : « Si je n’arrête pas de lui poser des questions sur tout, va-t-elle penser que je suis tellement incapable que je ne peux même pas résoudre ce problème ? Va-t-elle me mépriser ? Pas question, je vais m’en sortir toute seule. Ainsi, elle gardera une bonne impression de moi et pensera que je suis quelqu’un qui est disposée à rester tard, qui endure les difficultés et qui paye un prix. » J’ai donc rassemblé mes forces et je lui ai dit que je pouvais gérer les choses et qu’elle pouvait aller se coucher. Cette nuit-là, je suis restée éveillée jusqu’à 2 heures du matin, et je n’avais toujours pas trouvé de solution à certains problèmes. Non seulement j’ai perdu du temps, mais j’ai aussi retardé le travail, et j’ai éprouvé un sentiment indescriptible d’oppression et d’inconfort en moi. J’étais également assez en colère contre moi-même, je me disais : « Pourquoi est-ce que je ne peux pas simplement être honnête et dire que j’ai besoin d’aide ? À quoi bon jouer les dures et prétendre que je peux tout faire ? » Mais je ne réfléchissais toujours pas sur moi-même. Plus tard, le champ de mes responsabilités s’est élargi, et les problèmes et difficultés que je rencontrais dans mon travail augmentaient proportionnellement, mais ma compréhension de la vérité était superficielle, et j’avais du mal à voir les problèmes clairement et à les résoudre. Parfois, les personnes chargées de l’abreuvement étaient dans un mauvais état, et leurs devoirs ne donnaient aucun résultat, et je ne savais pas comment résoudre leurs problèmes. Pour éviter que les autres ne voient mes insuffisances et mes défauts, je ruminais ces choses toute seule, et lorsqu’il m’était vraiment impossible de résoudre un problème, je devenais tellement négative que je pleurais en secret. Mais malgré tout, je persistais. Lors d’une revue de travail, j’ai constaté que les résultats du travail dont j’étais responsable étaient très faibles, que de nombreux anciens problèmes n’avaient pas été résolus, et que de nouveaux problèmes étaient apparus. À ce moment-là, je n’ai plus pu tenir, et j’ai éclaté en sanglots. En m’étouffant, j’ai tout raconté de mon état à Zhang Jing. À ma grande surprise, elle m’a dit : « J’ai toujours pensé que tu te débrouillais plutôt bien, mais si tu ne t’étais pas exprimée aujourd’hui, je n’aurais jamais su que tu avais autant de difficultés. » Je me suis sentie tellement honteuse, car c’était la façade que j’avais créée en me déguisant et en trompant les autres. Dans les jours qui ont suivi, je me suis souvent demandé : « Pourquoi est-ce qu’à chaque fois que je rencontre des difficultés, je suis réticente à m’ouvrir et à échanger avec les autres ? Pourquoi suis-je toujours si déterminée à me cacher et à me déguiser ? »
Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Quel que soit le contexte, quel que soit le devoir qu’il fait, un antéchrist essaiera de donner l’impression qu’il n’est pas faible, qu’il est toujours fort, rempli de foi, et jamais négatif afin que les gens ne voient jamais sa véritable stature ni sa véritable attitude envers Dieu. En fait, au fond de son cœur, croit-il vraiment qu’il n’y a rien qu’il ne puisse faire ? Croit-il sincèrement être exempt de toute faiblesse, de toute négativité et de toute révélation de corruption ? Absolument pas. Il sait bien jouer la comédie, il est habile à cacher les choses. Il aime montrer aux gens son côté fort et superbe ; il ne veut pas qu’on voie ce qui, chez lui, est faible et vrai. Son but est évident : il s’agit tout simplement de maintenir sa vanité et sa fierté, de protéger la place qu’il a dans le cœur des gens. Il pense que s’il s’ouvre aux autres sur sa propre négativité et sur sa propre faiblesse, s’il révèle son côté rebelle et corrompu, cela nuira gravement à son statut et à sa réputation : cela créera plus de problèmes que cela n’en vaut la peine. Il préfère donc plutôt mourir que d’admettre qu’il a des moments de faiblesse, de rébellion et de négativité. Et s’il arrive vraiment qu’un jour tout le monde voie son côté faible et rebelle, le fait qu’il est corrompu et qu’il n’a pas changé du tout, il continuera à jouer la comédie. Il pense que s’il admet avoir un tempérament corrompu, être une personne ordinaire, quelqu’un d’insignifiant, alors il perdra sa place dans le cœur des gens, il perdra l’idolâtrie et l’adoration de tous et il aura donc complètement échoué. Et donc, quoi qu’il arrive, il ne s’ouvrira pas aux autres : quoi qu’il advienne, il ne cédera son pouvoir et son statut à personne d’autre. Au lieu de cela, il s’efforce de rivaliser autant qu’il le peut et il n’abandonnera jamais. […] Tous ceux qui pensent être sans défaut et saints sont tous des imposteurs. Pourquoi dis-Je qu’ils sont tous des imposteurs ? Dites-Moi, y a-t-il une seule personne sans défaut dans l’humanité corrompue ? Y a-t-il une seule personne vraiment sainte ? (Non.) Absolument pas. Comment les hommes pourraient-ils être sans défaut alors qu’ils ont été si profondément corrompus par Satan et que, en outre, ils ne possèdent pas la vérité de manière innée ? Seul Dieu est saint ; l’humanité tout entière est souillée. Si une personne se faisait passer pour quelqu’un de saint, affirmait qu’elle n’avait aucun défaut, que serait cette personne ? Ce serait un diable, un Satan, un archange, un authentique antéchrist. Seul un antéchrist prétendrait être une personne sainte et sans défaut » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie X)). Les paroles de Dieu exposent que, pour maintenir leur statut et leur image dans le cœur des gens, les antéchrists se déguisent souvent, et cachent leurs insuffisances et leurs défauts, et prétendent être des personnes dépourvues de corruption ou de défauts, capables de tout, et font en sorte que les autres les admirent et les adorent. J’ai réfléchi à mon propre comportement. Quand j’obtenais quelques résultats dans mes devoirs, je me sentais meilleure que les autres, et pour préserver une bonne image de moi dans le coeur des gens et leur faire croire que j’avais un bon calibre, des compétences professionnelles, et qu’ils m’admirent, je n’ai pas cherché d’aide et j’ai plutôt essayé de dissimuler et de cacher les choses chaque fois que je rencontrais des problèmes et des difficultés dans mon travail et qu’il était évident que je manquais d’expérience et que je n’arrivais pas à voir clair ou à résoudre les choses. Lorsque les autres m’offraient activement leur aide, j’avais peur que mes faiblesses et mes défauts ne soient exposées, alors je préférais veiller tard toute seule plutôt qu’accepter de leur aide, faisant même semblant d’être prête à endurer des difficultés sans me plaindre pour faire croire aux gens que j’étais loyale dans mes devoirs et capable d’endurer des difficultés et de payer un prix. Mais au final, je ne faisais que me tourmenter au point de me sentir opprimée et peinée, je pleurais en secret sans oser parler, de peur que les frères et sœurs ne voient ma véritable stature et ne m’admirent plus. J’étais vraiment hypocrite et fausse. En y repensant, l’Église n’avait jamais exigé de moi que je sois capable de tout percer à jour ou de résoudre chaque difficultés dans mes devoirs. J’étais juste hypocrite, prétendant toujours être forte, je me gonflais d’orgueil à mon propre détriment et je faisais semblant de comprendre les choses alors que je ne les comprenais pas. Je me plaçais moi-même dans une situation délicate, et en conséquence, j’ai retardé le travail de l’Église et je me suis infligée beaucoup de souffrance. Parce que je m’étais toujours déguisée en personne active et positive devant les autres, certains frères et sœurs ont été induits en erreur par mes faux-semblants et ont pensé que je pouvais endurer les difficultés, que j’avais des capacités professionnelles, et m’ont beaucoup estimée. Une sœur m’a dit : « Ça doit être difficile, porter un fardeau aussi lourd toute seule, je veux apprendre de toi. » La sœur m’estimait tellement seulement parce que je m’étais toujours déguisée et n’avais jamais exposé mes faiblesses ou mes difficultés. J’avais été trop douée pour fourvoyer et tromper les autres, ce qui était non seulement préjudiciable aux autres, mais aussi à moi-même ! Je ressentais du dégoût pour mes actions et ma conduite au plus profond de mon cœur, et je ne voulais plus me déguiser ni continuer sur ce mauvais chemin, alors j’ai prié Dieu dans la repentance et j’ai cherché un chemin de pratique.
J’ai alors lu davantage des paroles de Dieu : « Vous devez chercher la vérité pour résoudre tout problème qui se pose, quel qu’il soit, et ne devez en aucun cas vous déguiser ni présenter aux autres un faux visage. Vos insuffisances, vos déficiences, vos défauts, vos tempéraments corrompus : soyez complètement ouverts sur tous ces sujets, et échangez sur tous ces sujets. Ne les gardez pas pour vous. Apprendre à vous ouvrir est le premier pas vers l’entrée dans la vie, et c’est le premier obstacle et le plus difficile à surmonter. Une fois que tu l’as surmonté, il est facile d’entrer dans la vérité. Que signifie franchir ce pas ? Cela signifie que tu ouvres ton cœur et que tu montres tout ce que tu as, le bon et le mauvais, le positif et le négatif ; que tu te mets à nu devant les autres et devant Dieu ; que tu ne caches rien à Dieu, ne dissimulant rien, ne déguisant rien, exempt de tromperie et de ruse, et également ouvert et honnête avec les autres. De cette façon, tu vis dans la lumière, et non seulement Dieu te scrutera, mais les autres pourront également voir que tu agis selon les principes et avec une certaine transparence. Tu n’as pas besoin d’avoir recours à une quelconque méthode pour protéger ta réputation, ton image et ton statut, et tu n’as pas besoin non plus de dissimuler ni de déguiser tes erreurs. Tu n’as pas besoin de te consacrer à ces efforts inutiles. Si tu peux abandonner ces choses, tu seras très détendu, tu vivras sans contraintes ni douleurs et tu vivras entièrement dans la lumière » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Par conséquent, quel que soit ton état, que tu sois négatif ou en difficulté, quelles que soient tes motivations ou quels que soient tes projets personnels, quoi que tu aies appris ou compris par introspection, tu dois apprendre à t’ouvrir et à échanger. Pendant que tu échanges ainsi, le Saint-Esprit œuvre. Et comment le Saint-Esprit œuvre-t-Il ? Il t’éclaire et t’illumine, et te permet de constater la gravité du problème, de prendre conscience de son origine et de son essence, puis Il te fait comprendre petit à petit la vérité et Ses intentions, et il te permet de voir le chemin de pratique et d’entrer dans la vérité-réalité. Lorsqu’une personne peut échanger ouvertement, cela signifie qu’elle a une attitude honnête vis-à-vis de la vérité. Qu’une personne soit honnête, cela s’apprécie en fonction de son attitude vis-à-vis de la vérité » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Les paroles de Dieu ont indiqué un chemin de pratique, qui consistait à mettre de côté sa fierté, à être une personne honnête, à apprendre à s’ouvrir activement sur ses difficultés et ses lacunes, à être capable de montrer son véritable soi à Dieu et aux autres, à ne pas pratiquer la tromperie ou la dissimulation, et à être vrai et sincère. Une personne honnête peut ouvrir son cœur à Dieu, et elle veut sincèrement chercher la vérité pour résoudre ses problèmes et ses difficultés, ce qui lui rend plus facile de recevoir l’éclairage et l’illumination du Saint-Esprit, de comprendre la vérité et d’entrer dans la réalité. En prenant conscience de cela, j’ai prié Dieu dans mon cœur, j’ai décidé que je devais pratiquer selon les paroles de Dieu à l’avenir, abandonner ma fierté, être ouverte et me mettre à nu, et être une personne simple et honnête.
Plus tard, lorsque j’ai rencontré à nouveau des problèmes dans mon travail que je n’arrivais pas à comprendre ou à résoudre, ou lorsque j’avais un certain état que je ne savais pas comment résoudre, j’ai consciemment prié Dieu et je me suis ouverte pour demander de l’aide à mes frères et sœurs. Un jour, un nouveau venu a soulevé une question, et même si j’avais quelques idées, je ne savais pas exactement comment échanger sur la solution, j’ai donc pensé à en discuter avec Zhang Jing, mais j’ai ensuite hésité et je me suis dit : « Cela fait un moment que j’abreuve les nouveaux venus. Que pensera-t-elle de moi si je continue à lui poser ce genre de questions ? Laisse tomber. Je ne lui demanderai pas. Je m’en sortirai toute seule. » À ce stade, j’ai pris conscience que j’étais tentée de me déguiser à nouveau. J’ai pensé à toutes les fois où je m’étais déguisée et dissimulée à maintes reprises par le passé, ce qui m’avait non seulement laissée à me complaire dans le refoulement et la douleur, mais avait aussi causé des pertes dans le travail, alors je me suis rendue compte que je ne pouvais plus faire semblant. J’ai dû être ouverte et communiquer avec les autres sur ce que je ne comprenais pas ou qui n’était pas clair. J’ai donc fait une prière silencieuse à Dieu dans mon cœur, demandant à Dieu Sa direction pour pratiquer le fait d’être une personne honnête selon Ses paroles. Ensuite, j’ai parlé de mes difficultés et des solutions possibles avec Zhang Jing, et elle m’a indiqué que le passage des paroles de Dieu que j’avais cité n’était pas approprié, et elle m’a aussi expliqué comment échanger sur ce type de problèmes et les résoudre. Suivant les conseils de Zhang Jing, j’ai cherché à nouveau les paroles pertinentes de Dieu. Après avoir échangé avec le nouveau venu, sa confusion s’est dissipée, et je me suis sentie vraiment à l’aise. J’ai alors pris conscience que la pratique des paroles de Dieu apporte un sentiment d’aisance et de libération.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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