Des adultérations dans mes sacrifices pour Dieu
Par Jiang Ping, ChineUn jour d’avril 2020, j’ai soudain ressenti une terrible douleur au dos, du côté droit. J’ai cru que je m’étais fait...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En juillet 2021, j’ai été élue dirigeante d’Église. J’ai pensé : « Pouvoir assumer un devoir aussi important à plus de 60 ans, c’est vraiment l’exaltation de Dieu. » J’étais déterminée à faire de mon mieux dans ce devoir. Alors, je me suis plongée dans mon travail, participant à des réunions de groupe et résolvant les problèmes de mes frères et sœurs, me tenant occupée chaque jour. Au bout d’un moment, les différents aspects du travail de l’Église ont commencé à montrer quelques signes d’amélioration et j’en étais très heureuse. En août de l’année suivante, j’ai été élue prédicatrice et nommée responsable du travail de deux Églises. J’ai pensé : « Je suis déjà assez occupée avec une Église et, maintenant, me voilà responsable d’une autre Église. Cela ne va-t-il pas me fatiguer encore plus ? Est-ce que mon corps peut supporter de continuer comme ça ? En plus, le travail dans l’autre Église n’obtient pas de très bons résultats, donc, cela va me donner encore plus de sujets d’inquiétude ! » Après avoir réfléchi, j’ai décidé de ne pas accepter ce nouveau devoir. J’ai pensé : « Quel prétexte puis-je utiliser pour refuser ? Peut-être puis-je arguer que je suis trop vieille, que je n’ai pas l’énergie ni la force d’être responsable d’une autre Église et que le travail prendra du retard, et leur suggérer de trouver quelqu’un de plus jeune. » Mais penser comme cela me rendait un peu mal à l’aise. N’étais-je pas en train de me soustraire à mon devoir ? Avec les mots sur le bout de la langue, j’ai décidé de me taire. J’ai donc accepté le devoir de prédicatrice.
Par la suite, chaque heure de chaque jour était remplie d’arrangements, et je devais parfois précipiter les repas et ne pas m’attarder sur des détails. Dans toute cette agitation, je ne pouvais m’empêcher de penser : « Je suis déjà vieille, est-ce que mon corps peut continuer comme ça ? Et si je m’effondre d’épuisement ? Les deux Églises ont des dirigeants qui sont très proactifs dans le suivi du travail. Avec leur coopération, je n’aurais pas besoin de suivre les choses de si près. Je devrais me reposer davantage. À mon âge, je devrais prendre le temps de m’occuper de moi. M’inquiéter à ce point tout le temps n’allait-il pas me faire paraître plus âgée ? » Avec tout cela en tête, j’ai poussé un soupir de soulagement, pensant : « Si j’avais fait cela plus tôt, je n’aurais pas été si occupée. Peut-être que je ne sais pas comment programmer les choses ! Tant que j’arrange les choses correctement, ce devoir ne sera pas aussi pénible que ce que je m’imaginais. » Après cela, j’ai moins suivi le travail d’évangélisation et d’abreuvement. Quand je rentrais chez moi après des réunions, je ne pensais plus trop au travail, croyant que les dirigeants des Églises en assuraient le suivi. Je regardais seulement des vidéos de témoignages d’expérience et répondais aux questions des frères et sœurs, ressentant beaucoup moins de pression et pensant à la manière de faire des plats délicieux et nutritifs pour améliorer ma santé. Sans que je m’en aperçoive, un mois s’est écoulé. Je suis allée dans les Églises pour m’informer du travail et j’ai constaté qu’aucune des deux Églises n’avait gagné de nouveaux croyants ce mois-là. J’ai été choquée par ces nouvelles, pensant : « Que se passe-t-il ? Les dirigeants d’Église ont été occupés à coopérer, alors pourquoi le travail d’évangélisation n’a-t-il donné aucun résultat ? Mon travail de dirigeante d’Église n’était pas si inefficace auparavant ! » Je suis rapidement venue devant Dieu pour prier, « Dieu, nous n’avons obtenu aucun résultat dans le travail d’évangélisation d’aucune des deux Églises ce mois-ci, je ne sais pas où est le problème. S’il Te plaît, aide-moi à trouver la raison à cela. » Après avoir prié, j’ai pris conscience que j’avais récemment vécu pour le bien de ma chair, ne pensant qu’à bien manger, bien boire et me reposer, sans aucun sens du fardeau de mon devoir. Je n’examinais ni ne résolvais les problèmes liés au travail en temps voulu, et j’étais directement responsable du manque de résultats dans le travail ! Je suis donc rapidement allée voir les dirigeants des Églises pour en résumer les raisons. J’ai constaté que bien qu’ils aient mis en œuvre le travail, ils n’avaient fait que déléguer les tâches, sans faire ni suivi ni supervision, ce qui signifie que le travail n’avait pas été entièrement mis en œuvre. Cela était particulièrement flagrant dans le travail d’évangélisation qui posait beaucoup de difficultés aux frères et sœurs, et les dirigeants des Églises les considéraient comme des difficultés réelles, et ne savaient pas comment les résoudre. Une fois que j’ai compris la situation, j’ai pris conscience que j’avais délaissé mes devoirs, alors je me suis ouverte aux dirigeants des Églises sur mon état récent et j’ai échangé avec eux sur la manière d’effectuer le suivi du travail, n’osant pas prendre plus de retard.
Plus tard, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Les dirigeants et ouvriers devraient activement inspecter le travail de chaque équipe, vérifier la situation des membres de chaque équipe, vérifier s’il y a des incrédules qui sont simplement là pour grossir les rangs ou des incrédules qui répandent négativité et notions pour perturber le travail de l’Église, et une fois que ces gens ont été découverts, ils devraient être complètement exposés et exclus. Voilà le travail que les dirigeants et les ouvriers devraient faire. Ils ne devraient pas être passifs, ils ne devraient pas attendre les ordres et les incitations du Supérieur pour agir, pas plus qu’ils ne devraient se contenter de prendre des petites mesures quand tous les frères et sœurs le demandent. Dans leur travail, les dirigeants et les ouvriers doivent faire preuve de considération envers les intentions de Dieu et Lui être fidèles. La meilleure façon pour eux de se comporter est de reconnaître et de résoudre les problèmes de manière proactive. Ils ne doivent pas rester passifs, surtout quand ils ont ces paroles et ces échanges sur lesquels fonder leurs agissements. Ils doivent prendre l’initiative de résoudre entièrement les problèmes concrets et les difficultés en échangeant sur la vérité, et faire leur travail exactement comme il se doit. Ils doivent suivre les progrès du travail rapidement et de manière proactive ; ils ne peuvent pas toujours attendre les ordres et les incitations du Supérieur avant de se résoudre à agir. Si les dirigeants et les ouvriers se montrent toujours négatifs et passifs et qu’ils ne font pas un réel travail, ils sont indignes de servir comme dirigeants et ouvriers, et doivent être renvoyés et réaffectés. Il y a maintenant beaucoup de dirigeants et d’ouvriers qui sont très passifs dans leur travail. Ils se contentent toujours de faire un peu de travail lorsque le Supérieur transmet des ordres et les incite ; sinon, ils se relâchent et temporisent. […] Une fois que le Supérieur a arrangé le travail, ils sont occupés pendant un certain temps, mais une fois ce travail terminé, ils ne savent plus quoi faire, car ils ne comprennent pas quels sont les devoirs qu’ils doivent faire. Ils ne savent jamais clairement quel travail relevant de la responsabilité des dirigeants et des ouvriers ils devraient accomplir ; à leurs yeux, il n’y a pas de travail à faire. Que se passe-t-il lorsque les gens pensent qu’il n’y a pas le moindre travail à faire ? (Ils ne portent pas de fardeau.) Pour dire les choses avec précision, ils ne portent pas de fardeau. Ils sont aussi très paresseux et convoitent le confort, font autant de pauses que possible, chaque fois qu’ils le peuvent, et essaient d’éviter toute tâche supplémentaire. Souvent, ces gens paresseux se disent : “Pourquoi devrais-je m’inquiéter autant ? Trop m’inquiéter ne fera que me faire vieillir plus vite. Qu’est-ce que cela va m’apporter de faire cela, et de courir autant et de m’épuiser autant ? Que se passera-t-il si je m’épuise et tombe malade ? Je n’ai pas d’argent pour me faire soigner. Et qui s’occupera de moi quand je serai vieux ?” Ces paresseux sont tout simplement passifs et arriérés. Ils n’ont pas une once de vérité et ne peuvent rien voir clairement. C’est manifestement une bande d’individus confus, n’est-ce pas ? Ils sont tous confus dans leur tête, ils sont ignorants de la vérité et ne s’y intéressent pas, alors comment peuvent-ils être sauvés ? Pourquoi les gens sont-ils toujours indisciplinés et paresseux, semblables à des morts-vivants ? C’est lié à un problème dans leur nature. Il y a une sorte de paresse dans la nature humaine. Quelle que soit la tâche qu’ils exécutent, les gens ont toujours besoin de quelqu’un pour les superviser et les inciter à agir. Parfois, les gens sont préoccupés par la chair, ils convoitent le confort physique et ont toujours une idée derrière la tête dans leur intérêt : ces gens sont pleins d’intentions diaboliques et de stratagèmes astucieux ; ce ne sont vraiment pas de bonnes personnes. Ils font toujours moins que de leur mieux, quel que soit le devoir important qu’ils font. C’est irresponsable et déloyal » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (26)). J’ai compris que Dieu exige des dirigeants et des ouvriers qu’ils suivent activement le travail, résolvent proactivement les problèmes et s’assurent de la mise en œuvre de plusieurs aspects du travail. C’est la responsabilité des dirigeants et des ouvriers. J’ai repensé au moment où j’avais pour la première fois été élue dirigeante d’Église. J’avais le sens du fardeau et de la responsabilité envers mon devoir et je ressentais aussi la direction de Dieu en faisant mon devoir. J’étais capable d’identifier et de résoudre des problèmes dans le travail. Je me sentais accomplie et je vivais avec un sentiment d’assurance. Une fois devenue responsable du travail de deux Églises, j’étais occupée tous les jours et je craignais que, compte tenu de mon âge, ce niveau d’effort ne soit trop pour mon corps, alors j’étais réticente à faire ce devoir. Voyant les dirigeants des Églises mettre en œuvre le travail, j’avais tiré avantage de la situation et j’avais pensé que si les dirigeants travaillaient sur les choses, je pourrais moins les suivre, et les dirigeants supérieurs ne le sauraient pas. Je me contentais de manger, boire et prendre soin de mon corps, et par conséquent, après un mois, il n’y avait aucun résultat dans le travail d’évangélisation de l’une ou l’autre Église. N’avais-je pas retardé le travail ? Au départ, mon calibre était moyen, je n’avais pas de talents particuliers et j’étais vraiment indigne d’un devoir aussi important. Dieu m’avait exaltée en me donnant l’opportunité de me former, mais je n’avais pas su l’apprécier. Je n’avais pas accompli mon devoir correctement, j’étais toujours à considérer ma chair et à y céder, et j’avais été irresponsable dans mon devoir. J’étais simplement paresseuse et n’avais aucune loyauté. J’ai pensé à Noé qui était aussi très âgé quand il a accepté le mandat de Dieu, pourtant il ne pensait pas à son corps ni aux difficultés. Il travaillait consciencieusement chaque jour, prêchant l’Évangile tout en construisant l’arche, et, même si cela était fatigant et difficile, il demeurait ferme. Il gardait dans son cœur le mandat que Dieu lui avait confié et, après que Dieu l’a chargé de construire l’arche, il avait un cœur et le sens des responsabilités, et faisait les choses comme Dieu le lui demandait. En fin de compte, il a accompli le mandat de Dieu et a reçu Son approbation. J’ai aussi pensé à des frères et sœurs âgés de l’Église, dont certains ont plus de 80 ans et continuent de prêcher l’Évangile. Je n’avais qu’une soixantaine d’années et j’étais en bonne santé. La portée de la charge des deux Églises n’était pas grande et cela n’allait pas me rendre malade ou me faire tomber de fatigue. Mais je ne voulais pas porter ces fardeaux même si j’en étais capable. Comparée à ces gens, j’avais vraiment honte ! J’ai prié Dieu, disant : « Dieu, c’est par Ton exaltation et Ta grâce que je suis capable de faire ce devoir, cependant j’ai été négligente et fuyante et j’ai nui au travail de l’Église. J’ai vraiment manqué d’humanité ! C’est Toi qui m’as révélée et sauvée et je veux me repentir. Si je continue à céder à des conforts physiques, que Ton châtiment et Ta discipline tombent sur moi ! »
Ensuite, j’ai cherché les paroles pertinentes de Dieu concernant mon état d’indulgence physique. J’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « La chair de l’homme est comme le serpent : son essence consiste à nuire à la vie des gens, et, quand on lui donne tout ce qu’elle veut, ta vie est perdue. La chair appartient à Satan. Elle est remplie de désirs extravagants, elle ne pense qu’à elle-même, elle veut profiter du confort et se délecter de loisirs, se complaire dans la paresse et l’oisiveté, et l’ayant satisfaite jusqu’à un certain point, tu finiras par être dévoré par elle. Cela veut dire que si tu la satisfais cette fois-ci, la prochaine fois elle te demandera plus. Elle a toujours des désirs extravagants et de nouvelles exigences. Elle profite du fait que tu lui cèdes tout pour t’amener à la chérir davantage et à vivre son confort. Si tu ne la domines pas, tu finiras par t’autodétruire. Que tu puisses gagner la vie devant Dieu, ce que sera ta issue ultime dépend de la façon dont tu pratiques ta rébellion contre la chair. Dieu t’a sauvé, t’a choisi et prédestiné, mais, si aujourd’hui tu n’es pas disposé à Le satisfaire, si tu n’es pas disposé à mettre la vérité en pratique, si tu n’es pas disposé à te rebeller contre ta propre chair avec un cœur sincère qui aime Dieu, à la fin tu te ruineras toi-même et tu endureras une douleur extrême. Ou sans le touché de l’Esprit, Satan t’engloutira progressivement et te laissera sans vie ou sans contact avec l’Esprit, jusqu’au jour où tu seras dans l’obscurité complète à l’intérieur. Quand tu vivras dans l’obscurité, tu auras été fait prisonnier par Satan, tu n’auras plus Dieu dans ton cœur et, à ce moment-là, tu nieras l’existence de Dieu et tu Le quitteras » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en aimant Dieu que l’on croit vraiment en Dieu). « Tant que les gens n’ont pas fait l’expérience de l’œuvre de Dieu ni compris la vérité, c’est la nature de Satan en eux qui domine. […] La philosophie et la logique de Satan sont devenues la vie des gens. Quoi que les gens poursuivent, ils le font pour eux-mêmes : et donc, ils ne vivent que pour eux-mêmes. “Chacun pour soi, Dieu pour tous”, voilà la philosophie de vie de l’homme, et cela représente aussi la nature humaine. Ces paroles sont déjà devenues la nature de l’humanité corrompue et elles font le véritable portrait de la nature satanique de l’humanité corrompue. Cette nature satanique est déjà devenue la base de l’existence de l’humanité corrompue. Depuis plusieurs milliers d’années, l’humanité corrompue vit de ce venin de Satan, jusqu’à aujourd’hui » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment suivre la voie de Pierre). À travers l’exposition des paroles de Dieu, j’ai été amenée à comprendre le mal et les conséquences de céder à la chair. Plus on cède et on chérit la chair, plus ses désirs deviennent grands, ce qui finit par conduire à notre propre ruine. Je vivais conformément à ces philosophies sataniques : « Chacun pour soi, Dieu pour tous », « La vie est courte. Profites-en tant que tu peux » et « La vie ne consiste qu’à bien manger et à s’habiller élégamment ». Elles déformaient mes pensées et mes points de vue, me conduisant à penser que la vie ne devait pas être trop fatigante, que le confort charnel et l’indulgence physique étaient un vrai bonheur et les bases d’une bonne vie. Je ne pensais qu’à ma chair quand j’en avais l’occasion. C’était ainsi que je vivais avant de croire en Dieu, pensant que rester assis dans son lit à manger des fruits et des snacks en regardant la télé était la quintessence d’une vie agréable, alors j’évitais le travail autant que possible et me reposais dès que j’en avais le temps. Parfois, je voyais des gens âgés assis sous les arbres, se relaxant en s’éventant, et je me sentais très envieuse, espérant pouvoir vivre comme ça un jour. Après avoir trouvé la foi en Dieu, je me sentais inconfortable dès que j’étais occupée à mon devoir, craignant toujours l’adversité et l’épuisement et ne voulant pas prendre en charge trop de problèmes. J’étais négligente envers mon devoir et n’avais aucun sens des responsabilités. J’étais vraiment égoïste, méprisable, manquant d’humanité et indigne de vivre devant Dieu ! Pendant cette période, j’avais bien mangé et bien bu et j’avais pris soin de mon corps, mais j’avais retardé le travail de l’Église. C’était faire le mal ! J’ai compris que vivre selon un tempérament satanique égoïste et méprisable et concentrer son attention sur l’indulgence physique conduisent les gens à devenir de plus en plus paresseux, les empêchant de faire du travail concret, et ils deviennent finalement de faux dirigeants ou ouvriers qui sont révélés et éliminés. Quand j’ai pris conscience de ces choses, j’ai prié Dieu et me suis repentie : « Dieu, je n’ai pas accompli mon devoir correctement, je Te suis redevable et je suis désolée pour les frères et sœurs. Je comprends maintenant le mal et les conséquences qu’il y a à céder à la chair et je ne veux plus y céder et retarder encore le travail de l’Église. »
Ensuite, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Quelle est la valeur de la vie d’une personne ? Est-ce simplement pour s’adonner à des plaisirs charnels tels que manger, boire et se divertir ? (Non.) Alors qu’est-ce que c’est ? S’il vous plaît, partagez vos pensées. (Remplir le devoir d’un être créé, voilà au moins ce qu’une personne devrait accomplir dans sa vie.) C’est exact. Dites-Moi, si les actions et les pensées quotidiennes d’une personne tout au long de sa vie sont uniquement axées sur la prévention de la maladie et de la mort, sur le maintien de son corps en bonne santé et exempt de maladies, et sur la recherche de la longévité, est-ce la valeur que devrait avoir la vie d’une personne ? (Non.) Ce n’est pas la valeur que devrait avoir la vie d’une personne. Alors, quelle est la valeur que devrait avoir la vie d’une personne ? Quelqu’un vient de parler de remplir le devoir d’un être créé, ce qui est un aspect spécifique. Y a-t-il autre chose ? Dites-Moi quelles aspirations vous avez habituellement en priant ou en prenant vos résolutions. (Nous soumettre aux arrangements et aux orchestrations de Dieu pour nous.) (Bien jouer le rôle que Dieu nous a assigné et remplir notre mission et assumer nos responsabilités.) Autre chose ? D’une part, il s’agit d’accomplir le devoir d’un être créé. D’autre part, il s’agit de faire du mieux que tu peux tout ce qui est en ton pouvoir et dans tes capacités, au moins pour atteindre un point où ta conscience ne t’accusera pas, où tu pourras être en paix avec ta propre conscience et être jugé acceptable aux yeux des autres. Pour aller un peu plus loin, tout au long de ta vie, quelles que soient la famille dans laquelle tu es né, ta formation et ton calibre, tu dois avoir une certaine compréhension des principes que les gens devraient comprendre dans la vie. Par exemple, quel genre de chemin les gens devraient emprunter, comment ils devraient vivre et comment vivre une vie pleine de sens : tu devrais au moins explorer un peu la vraie valeur de la vie. Cette vie ne peut pas être vécue en vain et l’on ne peut pas venir sur cette terre en vain. D’un autre côté, de ton vivant, tu dois remplir ta mission : c’est le plus important. Nous ne parlons pas d’accomplir une mission, un devoir ou une responsabilité formidable, mais tu dois au moins accomplir quelque chose. […] Lorsqu’une personne vient au monde, ce n’est pas seulement pour le plaisir de la chair, ni uniquement pour manger, boire et s’amuser. Il ne faut pas vivre uniquement pour ces choses-là : là n’est pas la valeur de la vie humaine, ni le bon chemin. La valeur de la vie humaine et le bon chemin à suivre impliquent d’accomplir quelque chose de précieux et d’accomplir un ou plusieurs travaux de valeur. Cela ne s’appelle pas une carrière : cela s’appelle le bon chemin, cela s’appelle aussi la tâche appropriée. Dis-Moi, cela vaut-il la peine pour une personne de payer un prix pour accomplir un travail de valeur, vivre une vie de valeur et chargée de sens, et poursuivre et atteindre la vérité ? Si tu désires vraiment poursuivre et comprendre la vérité, t’engager sur le bon chemin dans la vie, bien accomplir ton devoir et vivre une vie de valeur et pleine de sens, alors tu ne dois pas hésiter à donner toute ton énergie, à payer le prix et à donner tout ton temps et toute l’étendue de tes journées. Si tu souffres un peu de maladie pendant cette période, cela n’aura pas d’importance, cela ne t’écrasera pas. N’est-ce pas bien mieux qu’une vie de facilité et d’oisiveté, que nourrir le corps physique au point qu’il soit bien nourri et en bonne santé, et finalement, mieux qu’atteindre la longévité ? (Si.) Laquelle de ces deux options est la plus propice à une vie de valeur ? Laquelle peut donner du réconfort et n’apporter aucun regret aux gens lorsqu’ils affrontent la mort à la toute fin ? (Vivre une vie pleine de sens.) Vivre une vie pleine de sens signifie ressentir des résultats et du réconfort dans ton cœur. Qu’en est-il de ceux qui sont bien nourris et conservent un teint rose jusqu’à la mort ? Ils ne poursuivent pas une vie pleine de sens ; alors que ressentent-ils lorsqu’ils meurent ? (Comme s’ils avaient vécu en vain.) Ces trois mots sont incisifs : vivre en vain » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (6)). À travers les paroles de Dieu, j’ai compris que ce n’est qu’en menant à bien le devoir d’un être créé qu’on peut vivre une vie de valeur pleine de sens. C’est aussi le choix le plus correct. J’avais bien pris soin de moi, mais je n’avais pas bien fait mon devoir. N’étais-je pas en train de gâcher ma vie ainsi ? Quand le jour viendra pour moi d’affronter ma mort, il ne me restera que des regrets et des remords. Comme les gens laïques, qui, bien qu’ils profitent de plus de plaisirs physiques et qu’ils vivent confortablement, ne comprennent pas la valeur ou le sens de la vie et vivent sans direction ni but. J’avais trouvé le bon chemin dans ma vie et je savais comment vivre, et je ne voulais plus vivre ainsi pour le confort de ma chair. Je voulais faire mon devoir correctement, vivre une vie de valeur pleine de sens et ne plus vivre en vain. En fait, en me formant aux devoirs d’une dirigeante et d’une prédicatrice et en échangeant avec mes frères et sœurs plus souvent pour mettre en œuvre le travail, j’avais acquis une meilleure compréhension des vérités que j’avais précédemment été incapable de saisir. Bien qu’il y ait eu de l’épuisement physique et de l’adversité, je n’ai pas vraiment eu l’impression de souffrir, et être capable de tout donner dans mon devoir me faisait me sentir ancrée et comblée. À travers la collaboration réelle avec Dieu et la confiance en Lui, beaucoup de difficultés avaient été résolues sans même que je m’en aperçoive, et, avec l’exécution de mon devoir qui apportait des résultats, de la joie m’est venue au cœur. Ce n’est qu’en me rebellant contre ma chair et en faisant un travail réel que j’ai pu emplir mon cœur de joie et avoir une vraie sensation d’ancrage et de paix. Comprenant toutes ces choses, mon cœur s’est senti plus lumineux et plus ancré.
J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Quel que soit le travail important qu’accomplit un dirigeant ou un ouvrier et la nature de ce travail, leur priorité numéro un est de comprendre et de saisir la façon dont le travail se déroule. Ils doivent être là en personne pour assurer le suivi des choses et poser des questions, et obtenir leurs informations de première main. Ils ne doivent pas simplement se fier aux ouï-dire ou écouter les rapports d’autrui. Au lieu de cela, ils doivent observer de leurs propres yeux la situation du personnel, et la façon dont le travail progresse, et comprendre les difficultés rencontrées, savoir s’il y a, dans certains domaines, des contradictions avec les exigences du Supérieur, s’il y a des violations des principes, s’il existe des perturbations ou des interruptions, s’il manque un équipement nécessaire ou du matériel pédagogique lié à la mise en œuvre du travail : ils doivent se tenir au courant de tout cela. Quel que soit le nombre de rapports qu’ils écoutent ou ce qu’ils apprennent par ouï-dire, rien de cela ne vaut une visite en personne ; c’est plus précis et plus fiable pour eux de voir les choses de leurs propres yeux. Une fois qu’ils se seront familiarisés avec chaque aspect de la situation, ils auront une bonne idée de ce qui se passe. Ils doivent surtout saisir de façon claire et précise qui est de bon calibre et digne d’être cultivé, car c’est seulement ainsi qu’ils peuvent cultiver et utiliser les gens avec précision, ce qui est crucial pour que les dirigeants et les ouvriers puissent bien faire leur travail. Les dirigeants et les ouvriers doivent suivre un chemin et des principes pour former des personnes de bon calibre. De plus, ils doivent saisir et comprendre les différents types de problèmes et de difficultés qui surviennent dans le travail d’Église, et savoir les résoudre, et ils doivent aussi avoir leurs propres idées et suggestions sur la façon dont le travail doit progresser et sur ses perspectives d’avenir. S’ils sont capables de parler avec clarté de telles choses les yeux fermés, sans aucun doute ni aucune appréhension, alors le travail sera beaucoup plus facile à réaliser. Et en travaillant de cette manière, un dirigeant assumera ses responsabilités, n’est-ce pas ? Il doit être très conscient de la façon de résoudre les problèmes dans le travail mentionnés ci-dessus et il doit souvent y réfléchir. Quand il rencontre des difficultés, il doit échanger et discuter de ces choses avec tout le monde, en cherchant la vérité afin de résoudre ces problèmes. En faisant un travail réel, les deux pieds fermement plantés dans le sol de cette façon, il n’y aura pas de difficultés qui ne pourront être résolues » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (4)). Des paroles de Dieu j’ai compris qu’un dirigeant vraiment bon accomplit consciencieusement et en toute responsabilité le travail de la maison de Dieu, ne cède pas à la chair, donne la priorité aux intérêts de la maison de Dieu en toutes choses et fait son devoir conformément aux arrangements de travail. À chaque fois que des difficultés apparaissent dans une tâche, il cherche la vérité avec ses frères et sœurs pour les résoudre. En tant que dirigeant et ouvrier, pour faire un bon travail, il doit entièrement aller sur le terrain, analyser et suivre le travail en détail, déceler et résoudre les problèmes rapidement plutôt que simplement donner des ordres ou écouter des rapports. Ce type d’approche ne permet pas d’obtenir de bons résultats. J’ai pensé à la façon dont j’avais exécuté mon devoir, cédant à la chair et agissant machinalement, sans prêter attention aux détails et sans résoudre des problèmes même si je les avais identifiés. Je n’avais pas assumé les responsabilités d’un dirigeant et d’un ouvrier et j’avais été simplement une fausse dirigeante qui profitait des avantages du statut, me faisant abhorrer par Dieu. Ensuite, j’ai commencé à passer du temps sur le terrain, m’informant des problèmes et les résolvant, analysant en détail les difficultés des destinataires potentiels de l’Évangile et échangeant à propos des solutions. Après une période de collaboration, les résultats de divers aspects du travail de l’Église se sont un peu améliorés.
Plus tard, j’ai pris la responsabilité de plusieurs autres Églises, en me concentrant d’abord sur le travail d’évangélisation, et j’étais occupée de tôt le matin à tard le soir presque tous les jours. Parfois, je pensais : « Je suis assez âgée maintenant et j’ai un peu d’hypertension, est-ce que mon corps peut vraiment continuer comme cela ? » Quand j’ai vu que les diacres d’évangélisation et les chefs d’équipes collaboraient, je n’ai plus eu envie de tout suivre en détail, de manière à préserver mon corps de l’épuisement. À ce moment-là, je me suis souvenue de ces paroles de Dieu : « C’est qu’avec ton devoir et ce que tu as à faire, et à une échelle supérieure, avec le mandat donné par Dieu et ton obligation, ainsi que les tâches importantes qui sont en dehors de ton devoir, mais qui nécessitent que tu les fasses, tâches qui sont arrangées pour toi et qu’on te demande nommément de faire, tu dois payer le prix, quelle que soit la difficulté. Même si tu dois t’appliquer au maximum, même si les persécutions devaient menacer, et même si cela devait mettre ta vie en danger, tu ne dois pas rechigner à payer un prix, mais offrir ta loyauté en sacrifice et se soumettre jusqu’à la mort. C’est ainsi que la poursuite de la vérité se manifeste en réalité, c’est sa réelle dépense et sa réelle pratique » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). J’ai prié Dieu dans mon cœur : « Dieu, je suis tentée de céder une nouvelle fois à la chair et je sais que si j’accomplis mon devoir de cette façon, je vais retarder le travail. Je ne veux plus m’occuper de ma chair et je suis prête à m’efforcer d’atteindre Tes exigences et Tes normes et à y consacrer tous mes efforts. S’il Te plaît, guide-moi. » Alors, je me suis jointe à eux, et, avec mes frères et sœurs j’ai échangé et discuté en détail des problèmes que présentait le travail d’évangélisation. Tout le monde collaborant d’un même cœur et d’un même esprit, les résultats du travail d’évangélisation se sont sensiblement améliorés comparés au mois précédent. Quand j’ai cessé de considérer mes intérêts charnels et que je me suis consacrée de tout mon cœur à mon devoir, je ne me suis pas sentie aussi fatiguée, et j’ai ressenti un sentiment d’épanouissement et de joie dans mon cœur. Merci à Dieu pour Sa direction !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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