Je ne me sens plus troublé ni anxieux à cause de mon âge

21 février 2025

Par Nash, Cambodge

En 1995, ma femme et moi avons cru au Seigneur Jésus, et deux ans plus tard, nous avons accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. Je n’aurais jamais pensé pouvoir accueillir le Seigneur de mon vivant. Je me sentais très heureux. Après cela, j’ai commencé à prêcher l’Évangile et à faire mon devoir. Peu importe à quel point j’étais occupé, je n’ai jamais différé. J’étais vraiment enthousiaste à l’époque. Même si les membres non croyants de ma famille s’opposaient à moi et m’entravaient, je n’avais pas l’impression de souffrir.

Au fil du temps et des années, en un clin d’œil, vingt-sept années s’étaient écoulés et j’avais atteint soixante ans. Il était évident pour moi que mon corps n’était pas aussi en forme qu’avant, et que ma mémoire s’était beaucoup détériorée. J’oubliais des choses juste après en avoir parlé, et parfois j’étais étourdi. J’avais subi deux opérations des yeux, et après être resté longtemps devant l’ordinateur pendant longtemps, mes yeux me faisaient mal et commençaient à pleurer, et le soir, ma vision se brouillait. Parfois, en marchant, je me rendais compte que mon corps se déportait inconsciemment vers la droite. J’essayais de marcher tout droit, mais je ne pouvais m’empêcher de pencher vers la droite. Je craignais de me retrouver atteint d’une paralysie partielle. Plus tard, j’ai organisé mes temps de repos de manière raisonnable, j’ai fait de l’exercice tous les jours, et un frère m’a aidé avec la physiothérapie. Au bout d’un moment, ma santé s’est améliorée, mais j’avais toujours l’impression que ma force n’égalait pas mon désir de faire mon devoir. Je voyais des jeunes faire bien leur travail principal tout en assumant d’autres devoirs. Par rapport à eux, ma charge de travail n’était pas lourde, mais elle me semblait très éprouvante. C’est seulement à ce moment-là que j’ai pris conscience que je devenais vraiment vieux. J’avais l’impression d’être devenu encombrant, incapable même de bien travailler, et que je pourrais même perdre ma chance de faire mon devoir. Je craignais aussi que si l’état de mes yeux empirait, je ne serais même pas capable de lire les paroles de Dieu. Aurais-je encore une chance d’être sauvé alors ? En pensant à ces choses, mon cœur était teinté de tristesse. Même si je continuais à faire mon devoir, la vérité était que j’étais tombé dans un état négatif et passif. Je me contentais de faire mon devoir mécaniquement, comme un robot, et parfois, en faisant mon devoir devant l’ordinateur, je m’endormais. De cette façon, je me débrouillais tant bien que mal jour après jour. Parfois, je me suis même trompé sur Dieu, pensant : « Pourquoi fallait-il que je devienne inutile au moment même où l’Évangile se diffusait autant ? Si seulement j’étais né quelques décennies plus tard ! Il semble que je ne sois pas quelqu’un que Dieu va sauver, et que je sois juste une personne qui rend service. » Plus j’y pensais, plus je perdais courage, et je perdais ma motivation à faire mon devoir. Quand certains frères et sœurs me voyaient, ils me demandaient : « Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu as l’air différent. Où est passée ta passion pour ton devoir ? » Je leur répondais, impuissant : « Je suis vieux maintenant, je ne suis plus celui que j’étais avant. » Pendant cette période, je vivais toujours dans la négativité, mais je ne parvenais pas à en trouver la raison.

Au plus profond de ma douleur, j’ai entendu un passage des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Il y a aussi, parmi les frères et sœurs, des personnes âgées, qui ont entre 60 et environ 80 ou 90 ans et qui, en raison de leur âge avancé, éprouvent également certaines difficultés. Malgré leur âge, leur pensée n’est pas nécessairement très correcte ou très rationnelle, et leurs idées et points de vue ne correspondent pas nécessairement à la vérité. Ces gens âgés, eux aussi, ont des problèmes et ils s’inquiètent toujours : “Ma santé n’est plus très bonne et je suis limité dans les devoirs que je peux accomplir. Si j’accomplis simplement ce petit devoir, Dieu Se souviendra-t-Il de moi ? Parfois, je tombe malade et j’ai besoin que quelqu’un s’occupe de moi. Quand il n’y a personne pour s’occuper de moi, je ne suis pas en mesure d’accomplir mon devoir, alors que puis-je faire ? Je suis âgé, je ne retiens pas des paroles de Dieu quand je les lis et il m’est difficile de comprendre la vérité. Lorsque j’échange sur la vérité, je parle de manière confuse et illogique, et je n’ai aucune expérience qui mérite d’être partagée. Je suis âgé et je n’ai plus assez d’énergie, ma vue n’est plus très bonne et je ne suis plus fort. Tout est difficile pour moi. Non seulement je ne peux pas accomplir mon devoir, mais j’oublie des choses et me trompe facilement. Parfois, je suis confus et je cause des problèmes à l’Église et à mes frères et sœurs. Je veux obtenir le salut et poursuivre la vérité, mais c’est très difficile. Que puis-je faire ?” Lorsqu’ils pensent à ces choses, ils commencent à s’inquiéter, pensant : “Comment se fait-il que j’aie commencé à croire en Dieu seulement à cet âge ? Comment se fait-il que je ne sois pas comme ceux qui ont une vingtaine ou une trentaine d’années, ou même comme ceux qui ont une quarantaine ou une cinquantaine d’années ? Comment se fait-il que je n’aie rencontré l’œuvre de Dieu que maintenant, alors que je suis si vieux ? Ce n’est pas que mon destin soit mauvais ; au moins maintenant, j’ai rencontré l’œuvre de Dieu. Mon destin est bon et Dieu a été bienveillant avec moi ! Il y a juste une chose dont je ne suis pas satisfait, c’est que je suis trop vieux. Ma mémoire n’est pas très bonne et ma santé n’est pas vraiment excellente, mais j’ai une force intérieure inébranlable. C’est juste que mon corps ne m’obéit pas et que j’ai sommeil après avoir écouté pendant un moment lors des réunions. Parfois, je ferme les yeux pour prier et je m’endors, et mon esprit s’égare lorsque je lis les paroles de Dieu. Après avoir lu un peu, j’ai sommeil et je m’assoupis, et les mots ne rentrent pas. Que puis-je faire ? Avec de telles difficultés pratiques, suis-je encore capable de poursuivre et de comprendre la vérité ? Si tel n’est pas le cas, et si je ne suis pas capable de pratiquer conformément aux vérités-principes, alors toute ma foi ne sera-t-elle pas vaine ? Ne vais-je pas échouer à atteindre le salut ? Que puis-je faire ? Je suis tellement inquiet ! […]” […] Ces gens âgés sombrent dans un désarroi, une angoisse et une inquiétude profonds en raison de leur âge. Chaque fois qu’ils rencontrent une difficulté, un revers, une adversité ou un obstacle, ils blâment leur âge et même, ils se détestent et n’ont aucune estime d’eux-mêmes. Mais de toute façon, cela ne sert à rien, il n’y a pas de solution et ils n’ont aucun moyen d’avancer. Se pourrait-il qu’ils n’aient vraiment aucun moyen d’avancer ? N’y a-t-il pas une solution ? (Les personnes âgées devraient également accomplir leurs devoirs autant qu’elles le peuvent.) Il est acceptable que les personnes âgées accomplissent leurs devoirs autant qu’elles le peuvent, n’est-ce pas ? Les gens âgés ne peuvent-ils plus poursuivre la vérité en raison de leur âge ? Ne sont-ils pas capables de comprendre la vérité ? (Si.) Les gens âgés peuvent-ils comprendre la vérité ? Ils peuvent en comprendre une partie, mais même les jeunes ne peuvent pas non plus tout comprendre. Les gens âgés ont toujours une idée fausse, croyant qu’ils sont confus, que leur mémoire est mauvaise et qu’ils ne peuvent donc pas comprendre la vérité. Ont-ils raison ? (Non.) Bien que les jeunes aient beaucoup plus d’énergie que les personnes âgées et soient physiquement plus forts, leur capacité de percevoir, comprendre et connaître est en réalité la même que celle des gens âgés. Les gens âgés n’ont-ils pas aussi été jeunes ? Ils ne sont pas nés vieux, et les jeunes vieilliront tous un jour également. Les personnes âgées ne doivent pas toujours penser que parce qu’elles sont vieilles, physiquement faibles, malades et avec de mauvais souvenirs, elles sont différentes des jeunes. En fait, il n’y a pas de différence » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). Après avoir écouté les paroles de Dieu, j’ai compris qu’il est normal pour une personne de passer de la jeunesse à la vieillesse. Tout le monde passe par la jeunesse et par la vieillesse, mais aux yeux de Dieu, les jeunes et les personnes âgées sont les mêmes. C’est juste que les jeunes ont plus d’énergie et de force physique que les personnes âgées. Cependant, les capacités de compréhension et d’appréhension des gens sont les mêmes. Dieu ne favorise pas les jeunes plus que d’autres, ni ne dédaigne les personnes âgées. Pourtant, je n’avais pas été clair sur l’intention de Dieu et je l’avais même mal comprise. Je pensais que, comme j’étais vieux, en mauvaise santé et que ma vue baissait, je ne pouvais pas faire mon devoir avec la vigueur que j’avais quand j’étais jeune, et que par conséquent je ne pouvais pas être sauvé. Je me suis même plaint à Dieu de m’avoir permis de devenir si vieux avant cette étape de la diffusion de l’Évangile. J’avais été vraiment déraisonnable ! Ces pensées déformées m’avaient perturbé, me rendant négatif, arrêtant de rechercher la vérité et me débrouillant tant bien que mal dans mes journées. Je ne faisais même pas les choses de base que j’aurais dû faire ou les choses que j’étais capable de faire. Dieu a dit que les personnes âgées peuvent faire leurs devoirs du mieux qu’elles le peuvent. En fait, il existe de nombreux devoirs qui conviennent aux personnes âgées, comme accueillir les frères et sœurs, prêcher l’Évangile, abreuver les nouveaux venus et écrire des sermons. Tant qu’une personne est prête à faire son devoir et à satisfaire Dieu, il y a beaucoup de devoirs qu’elle doit faire. Même si j’étais vieux, l’Église m’avait quand même donné des opportunités de faire mon devoir. Je pouvais prêcher l’Évangile en ligne et cultiver les nouveaux venus à cet effet. Il y avait de nombreux devoirs que je pouvais faire, mais parce que je continuais à me comparer aux jeunes, je ne pouvais pas calmer mon cœur pour bien faire mon devoir actuel. En y réfléchissant, j’ai vu que mes problèmes et mes difficultés pouvaient être résolus. Comme ma mémoire était faible, je pouvais prendre des notes, et lorsque mes yeux devenaient inconfortables à cause d’une utilisation prolongée de l’ordinateur, je pouvais faire des pauses appropriées et faire des exercices pour les yeux. Je pouvais également utiliser des compresses chaudes pour soulager la fatigue oculaire. En réalisant ces choses, je ne me suis plus senti affecté par mon âge, et j’étais prêt à faire mon devoir du mieux que je pouvais.

Après cela, je me suis demandé : « Pourquoi est-ce que quand j’étais jeune, peu importe à quel point mes devoirs étaient difficiles ou fatigants, j’avais toujours de l’énergie, mais maintenant que je suis vieux et que ma santé n’est pas bonne, je me sens passif et négatif quand je pense au fait que je ne peux plus en faire autant ? » Je me suis alors souvenu de deux passages des paroles de Dieu que j’avais lus auparavant. Dieu dit : « En cela, nous découvrons un problème qui n’a pas été identifié précédemment : la relation de l’homme avec Dieu n’est qu’une relation non-déguisée d’intérêt personnel. C’est une relation entre un bénéficiaire et un donneur de bénédictions. Pour le dire simplement, c’est la relation entre un employé et un employeur. L’employé travaille dur seulement pour recevoir les récompenses accordées par l’employeur. Dans une telle relation intéressée, il n’y a pas d’affection, seulement une transaction ; il n’y est pas question d’aimer ni d’être aimé, seulement de charité et de miséricorde. Il n’y a pas de compréhension, il n’y a que de l’indignation et de la tromperie impuissantes. Il n’y a pas d’intimité, seulement un gouffre infranchissable. Maintenant que les choses en sont arrivées là, qui peut inverser un tel cours ? Et combien de personnes sont capables de comprendre véritablement à quel point cette relation est devenue désespérée ? Je crois que lorsque les gens se plongent dans la joie d’être bénis, personne ne peut imaginer à quel point une telle relation avec Dieu est embarrassante et disgracieuse » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 3 : L’homme ne peut être sauvé que dans le cadre de la gestion de Dieu). « Les gens croient en Dieu pour être bénis, récompensés, couronnés. Ce désir n’existe-t-il pas dans le cœur de chacun ? C’est un fait. Bien que les gens n’en parlent pas souvent, et qu’ils dissimulent même leur motivation et leur désir d’obtenir des bénédictions, ce désir et cette motivation, au plus profond du cœur des gens, ont toujours été inébranlables. Quels que soient leur compréhension de la théorie spirituelle, leurs connaissances par l’expérience, le devoir qu’ils peuvent accomplir, les souffrances qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient, ils n’abandonnent jamais cette motivation d’obtenir des bénédictions qui est cachée au plus profond de leur cœur et ils fournissent des efforts toujours silencieusement à son service. N’est-ce pas la chose la plus profondément enfouie dans le cœur des gens ? Sans cette motivation qui vise à recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Quelle serait votre attitude en accomplissant votre devoir et en suivant Dieu ? Qu’adviendrait-il des gens si cette motivation visant à recevoir des bénédictions, qui est cachée dans leur cœur, se trouvait éliminée ? Il est possible que beaucoup de gens deviennent négatifs, tandis que d’autres se montreraient démotivés dans leurs devoirs. Ils se désintéresseraient de leur croyance en Dieu, comme si leur âme avait disparu. Ils donneraient l’impression que leur cœur a été arraché. C’est pourquoi Je dis que la motivation qui vise les bénédictions est quelque chose de profondément caché dans le cœur des gens » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). Après avoir lu les paroles d’exposition de Dieu, j’ai ressenti une profonde honte. J’avais cru en Dieu et j’avais fait des sacrifices juste pour gagner Ses bénédictions. Quand j’étais jeune, j’avais pu prêcher l’Évangile avec enthousiasme et j’étais disposé à me dépenser pour Dieu, et peu importe la douleur ou l’épuisement, je ne me plaignais jamais parce que je pensais que tant que je travaillais davantage et prêchais davantage l’Évangile afin de préparer de bonnes actions, je serais sauvé par Dieu et je recevrais Ses bénédictions. En un clin d’œil, plus de vingt ans se sont écoulés, et maintenant, dans ma vieillesse et ma mauvaise santé, l’éventail des devoirs que je pouvais accomplir était devenu limité, donc je pensais que je ne pouvais plus recevoir de bénédictions ou être sauvé. Quand j’ai vu mon désir de bénédictions ainsi brisé, je me suis découragé et j’ai renoncé à moi-même. Je ne voulais même pas faire ce que je devais et pouvais faire. Toute ma soi-disant foi et mon soi-disant amour d’avant avaient disparu. J’avais même l’impression qu’il n’y avait plus aucun intérêt à croire en Dieu. Mon cœur était rempli d’incompréhension et de plaintes contre Dieu. J’ai pris conscience que ma croyance en Dieu n’avait été que pour obtenir des bénédictions, et que le prix que j’avais payé avait été une tentative de marchandage avec Dieu. J’ai pensé aux nombreux frères et sœurs âgés autour de moi, certains même plus âgés que moi, et à la façon dont ils faisaient tous leur devoir en silence du mieux qu’ils pouvaient. Pourquoi ne pouvais-je pas faire de même ? Je vivais dans l’inquiétude constante et je ne cherchais aucune des vérités qui m’étaient accessibles. N’étais-je pas simplement en train d’attendre passivement la destruction ? Satan utilisait mes diverses difficultés, comme mon âge avancé, ma mauvaise santé, ma mauvaise mémoire et ma vue trouble, pour me perturber, dans l’espoir de me faire perdre la foi en Dieu et d’abandonner ma chance de rechercher la vérité. Je ne pouvais plus tomber dans les pièges de Satan. Je devais bien faire mon devoir pour rendre l’amour de Dieu.

Plus tard, j’ai lu certaines des paroles de Dieu : « Peu importe si Je dis que vous êtes attardés ou de mauvais calibre – c’est un fait. Le dire ne prouve pas que J’ai l’intention de vous abandonner, que J’ai perdu espoir en vous, que Je ne suis pas, encore moins, disposé à vous sauver. Je suis venu aujourd’hui accomplir l’œuvre de votre salut, ce qui veut dire que l’œuvre que Je fais est la continuité de l’œuvre du salut. Tout le monde a une chance d’être perfectionné : pourvu que tu sois prêt, pourvu que tu poursuives, à la fin tu seras capable d’atteindre ce résultat, et personne parmi vous ne sera abandonné. Si tu es de petit calibre, Mes exigences envers toi seront proportionnelles à ton petit calibre ; si tu es de gros calibre, Mes exigences envers toi seront proportionnelles à ton gros calibre ; si tu es ignorant et illettré, Mes exigences s’accorderont avec ton analphabétisme ; si tu sais lire et écrire, Mes exigences s’accorderont avec cela ; si tu es âgé, Mes exigences envers toi seront en rapport avec ton âge ; si tu es capable de donner l’hospitalité, Mes exigences envers toi seront fonction de cette capacité ; si tu dis que tu ne peux pas offrir l’hospitalité et que tu ne peux que remplir un certain devoir, que ce soit répandre l’Évangile, t’occuper de l’Église ou t’occuper d’autres affaires d’ordre général, le perfectionnement que Je te réserve dépendra de la fonction que tu remplis. Être fidèle, soumis jusqu’à la fin, et chercher à avoir un amour suprême pour Dieu : voilà ce que tu dois accomplir, et il n’y a pas de meilleures pratiques que ces trois choses. En fin de compte, il est demandé à l’homme de réaliser ces trois choses et s’il peut le faire, alors il sera perfectionné. Mais, avant tout, tu dois vraiment suivre Dieu, tu dois activement exercer constamment une pression vers l’avant, et ne pas être passif de ce point de vue » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination). « Comme toute personne, quel que soit ton calibre, quel que soit ton âge ou la durée de ta croyance en Dieu, tu dois t’efforcer de te diriger vers le chemin de la poursuite de la vérité. Tu ne devrais pas mettre l’accent sur les moindres raisons objectives, tu devrais poursuivre la vérité de manière inconditionnelle. Ne passes pas ton temps à ne rien faire. Si tu poursuis la vérité et consacres tes efforts à la poursuite de la vérité en tant que grande affaire de ta vie, il se peut que la vérité que tu gagneras et que tu pourras atteindre dans ta poursuite ne soit pas ce que tu as souhaité. Mais si Dieu dit qu’Il te donnera une destination appropriée en fonction de ton attitude dans ta poursuite et de ta sincérité, alors comme ce sera merveilleux ! Pour l’instant, ne te concentre pas sur ce que seront ta destination ou ta fin, ou sur ce qui se passera et sur ce que l’avenir te réserve, ou sur le fait de savoir si tu seras ou non capable d’éviter le désastre et de ne pas mourir. Ne pense pas à ces choses et ne les recherche pas. Concentre-toi seulement sur la poursuite de la vérité dans les paroles de Dieu et dans Ses exigences, sur le fait de bien accomplir ton devoir, et de satisfaire les intentions de Dieu, pour ne pas t’avérer indigne des six mille ans d’attente de Dieu, de Ses six mille ans d’anticipation. Apporte un certain réconfort à Dieu. Laisse-Le voir qu’il y a un certain espoir pour toi, et laisse Ses souhaits se réaliser en toi. Dis-Moi, Dieu te maltraiterait-Il si tu faisais cela ? Bien sûr que non ! Et même si, en fin de compte, le résultat final n’est pas ce que l’on aurait souhaité, comment les gens devraient-ils traiter ce fait, en tant qu’êtres créés ? Ils devraient se soumettre en toutes choses aux orchestrations et aux arrangements de Dieu, sans aucune arrière-pensée personnelle. N’est-ce pas le point de vue que les êtres créés devraient adopter ? (Si.) Il s’agit là du bon état d’esprit » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Pourquoi l’homme doit-il poursuivre la vérité). Les paroles sincères de Dieu ont profondément réchauffé et ému mon cœur. C’était comme une mère déversant tout l’amour de son cœur à son enfant. Cela m’a aidé à comprendre que l’œuvre et les paroles de Dieu aujourd’hui sont destinées à sauver et à perfectionner les gens. Quel que soit l’âge, le calibre ou le niveau d’éducation, quel que soit l’âge des gens ou leur milieu familial d’origine, Dieu donne à chacun la chance d’être perfectionné. Dieu ne fait preuve de favoritisme envers personne. Dieu fait des demandes en fonction du calibre de chaque personne et arrange des devoirs adaptés à chacun. Si les gens peuvent bien faire leur devoir dans leurs rôles respectifs et parvenir à la loyauté et à la soumission, c’est ce que Dieu veut voir. Les paroles de Dieu ont dissipé mes incompréhensions à son égard et m’ont montré un chemin de pratique, m’apportant un grand sentiment de soulagement. Maintenant, je ne m’inquiète plus de mon âge, de ma mauvaise santé ou de ma mémoire déclinante. Je ne me demande plus non plus si j’aurai un bon résultat ou une bonne destination. Au lieu de cela, je me concentre sur l’exécution de mon devoir actuel au mieux de mes capacités, et sur la mise en pratique des vérités que je comprends dans mes devoirs. Je suis vraiment reconnaissant envers Dieu pour ces gains !

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