Être excessivement compétitif nuit à tous ceux qui sont impliqués
Par Liu Xing, ChineEn 2016, j’ai été élue dirigeante d’Église. Je me sentais vraiment motivée, et j’ai décidé de faire ce devoir...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En octobre 2022, Shelley et moi avons été choisies comme dirigeantes d’Église. Comme nous venions juste de commencer à exercer et que nous n’étions pas familiarisés avec de nombreuses tâches, nous abordions toujours ensemble les affaires. Au bout d’un certain temps, notre travail a commencé à porter ses fruits. Shelley avait un calibre relativement bon. Chaque fois que la dirigeante posait des questions, elle pouvait répondre rapidement. La plupart du temps, la dirigeante la félicitait également. Par conséquent, la dirigeante chercherait en priorité à obtenir les suggestions de Shelley sur de nombreuses affaires, alors que je semblais être une personne inutile, à côté d’elle. Je me suis dit, « Shelley a un bon calibre et la dirigeante a une bonne opinion d’elle, alors que je reste longtemps sans rien dire. La dirigeante s’est probablement rendue compte de mon manque de capacités et a dû penser que je ne pouvais faire que du travail secondaire. » Je me suis sentie un peu abattue, mais je me suis dit que, comme je venais de commencer à pratiquer et que mon calibre n’était pas très bon, il était normal que je ne sois pas utilisée pour des missions importantes. Je me suis consolée et le sentiment est passé.
Plus tard, la charge de travail dont nous étions responsables s’est alourdie. Lors de l’attribution des tâches, la dirigeante faisait appel à nous deux. Mais lorsqu’il s’agissait de mettre en œuvre des tâches plus difficiles, la dirigeante demandait spécifiquement à Shelley d’en assurer le suivi, et ne mentionnait que rarement mon nom. Tout au plus, la dirigeante concluait par, « Shelley, toi et les autres pouvez assurer le suivi de cette tâche. » En apparence, je faisais semblant de ne pas m’en soucier, mais intérieurement, j’étais en plein désarroi : « Je suis toujours l’oubliée, juste une personne parmi les autres. Je ne semble pas exister du tout dans l’esprit de la dirigeante. Il n’y a rien que je puisse faire ; après tout, mon calibre n’est pas aussi bon que celui de Shelley. Je ferai juste ce que je peux. » Par la suite, je suis devenue de plus en plus passive dans le suivi des tâches et je n’ai pas vraiment voulu m’impliquer dans le travail dont Shelley était responsable. Lorsqu’elle venait discuter du travail avec moi, je répondais sans enthousiasme. Parfois, tout le monde discutait activement d’un problème, et je me sentais comme étrangère, sans presque dire un mot de tout l’après-midi. Parfois, j’avais quelques idées, mais je n’étais pas sûr qu’elles soient vraiment justes. Si je disais quelque chose de faux, ne me rendrais-je pas ridicule ? Après réflexion, je décidais de ne pas parler. De cette manière, j’avais de plus en plus l’impression d’avoir un faible calibre et de ne pas servir à grand-chose, je ne voulais donc plus être responsable de tant de travail. Je me suis alors concentrée sur le travail d’abreuvement. À cette époque, l’Église n’avait pas de chef de groupe d’abreuvement, et j’ai pensé à Sœur Rose, qui avait déjà obtenu quelques résultats dans l’abreuvement des nouveaux croyants. Cependant, les frères et les sœurs m’ont dit qu’elle ne portait pas de fardeau dans son devoir et qu’elle n’était pas faite pour être cheffe de groupe. Je voulais en discuter avec Shelley, mais voyant qu’elle était très occupée, je n’ai pas abordé le sujet avec elle, craignant qu’elle ne dise que je n’étais pas à la hauteur puisque je n’étais même pas capable d’accomplir cette petite tâche. Je me suis dit : « Rose a un bon calibre et peut échanger pour résoudre certains problèmes. Même si elle ne porte pas de fardeau maintenant parce qu’elle est contrainte par son mari, avec plus de suivi et d’échange de ma part, cela ne devrait pas retarder le travail. » J’ai donc choisi Rose comme chef du groupe d’abreuvement. Mais quelques jours plus tard, j’ai appris que Rose avait abandonné son devoir et était rentrée chez elle parce qu’elle était contrainte par son mari. En entendant cela, je me suis sentie tétanisée et j’ai pensé : « C’est fini pour moi. Je l’ai choisie. Cela ne montre-t-il pas que je n’ai pas de discernement ? J’ai fait des erreurs même en travaillant de manière indépendante sur une petite tâche ; c’est vraiment épouvantable. Si cela retardait l’abreuvement des nouveaux croyants, je perturberais le travail de l’Église. » Plus j’y pensais, plus je me sentais mal, me croyant incapable de faire quoi que ce soit de bien. Puisque je n’avais pas le calibre ou le discernement nécessaires, et que je ne pouvais pas voir les choses clairement, je devrais rapidement démissionner avant de causer plus de tort aux frères et sœurs et de retarder le travail de l’Église. J’ai donc rédigé ma lettre de démission et l’ai envoyée à la dirigeante et à Shelley. Peu après, Shelley m’a envoyé un passage des paroles de Dieu : « Quels que soient la situation ou l’environnement de travail, les gens commettent parfois des erreurs et il y a des domaines dans lesquels leur calibre, leurs idées et leurs perspectives ne sont pas à la hauteur. C’est normal et tu dois apprendre à gérer cela correctement. Dans tous les cas, quelle que soit ta pratique, tu dois y faire face et gérer cela correctement et activement. Ne sois pas déprimé, ne te sens pas négatif ou réprimé quand tu es confronté à quelques difficultés et ne tombe pas dans des émotions négatives. Tout cela n’est pas nécessaire, n’en fais pas toute une histoire. Ce que tu dois faire, c’est immédiatement réfléchir sur toi-même et déterminer si tes compétences professionnelles ou tes intentions posent un problème. Examine si tes actions sont entachées d’impuretés ou si certaines notions sont à blâmer. Réfléchis à tous les aspects. S’il s’agit d’un problème lié à un manque de compétences, tu peux continuer à apprendre, trouver quelqu’un qui t’aidera à envisager des solutions ou consulter des personnes travaillant dans le même domaine. S’il y a de mauvaises intentions dans tout cela, ce qui implique un problème qui peut être résolu en utilisant la vérité, tu peux aller trouver des dirigeants d’Église ou quelqu’un qui comprend la vérité pour les consulter et échanger avec eux. Parle-leur de l’état dans lequel tu es et laisse-les t’aider à le résoudre. S’il s’agit d’une question impliquant des notions, une fois que tu les as examinées et que tu en as pris conscience, tu peux les disséquer et les comprendre, puis t’en détourner et te rebeller contre elles. N’est-ce pas là tout ce qu’il y a à faire ? Les jours à venir t’attendent encore, le soleil se lèvera à nouveau demain, et tu dois continuer à vivre. Puisque tu es vivant, puisque tu es humain, tu dois continuer à accomplir ton devoir. Tant que tu es en vie et que tu as des pensées, tu dois t’efforcer de mener à bien ton devoir, de l’achever. C’est un objectif qui ne devrait jamais changer tout au long de la vie d’une personne. Quel que soit le moment, quelles que soient les difficultés que tu rencontres, quel que soit ce à quoi tu fais face, tu ne devrais pas te sentir réprimé. Si tu te sens réprimé, tu stagneras et tu seras vaincu. Quel genre de personnes se sentent sans cesse réprimées ? Les faibles et les imbéciles se sentent souvent réprimés » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (6)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai ressenti une grande chaleur intérieure. Dieu a dit que lorsque les gens font leurs devoirs, il arrive qu’ils soient confus, qu’ils commettent des erreurs ou violent les principes à cause d’un manque de compréhension de la vérité. Ainsi, lorsque des problèmes surviennent et causent des pertes au travail ou lorsque des personnes sont émondées, tout cela est normal et doit être traité correctement. L’essentiel est de tirer les leçons des échecs, de réfléchir sur soi-même, de se repentir et de changer. Si les pertes causées sont dues au fait que l’on a agi selon des tempéraments corrompus, alors il faut chercher la vérité pour résoudre les tempéraments corrompus. Si le travail est inefficace en raison d’un manque de compétences, il faut rapidement les assimiler ou consulter quelqu’un de plus compétent. Si, du seul fait de l’apparition de ces déviations ou de ces erreurs, une personne peut penser qu’elle est révélée, et ainsi devient négative et se limite elle-même et n’est même pas disposée à faire ses devoirs, cela montre qu’elle est sotte et faible. J’ai réfléchi aux problèmes liés au fait d’avoir choisi Rose et j’ai réalisé que j’étais trop préoccupée par ma propre réputation et mon propre statut. Pendant ma coopération avec Shelley, je me suis sentie éclipsée de partout, j’ai voulu accomplir une tâche de manière indépendante pour prouver que j’avais encore des capacités de travail. Par conséquent, dans le cas de la sélection d’un chef de groupe d’abreuvement, même si je manquais clairement de principes et que je ne pouvais pas discerner les gens, parce que je craignais que si je demandais aux frères et sœurs, ils penseraient que j’étais vraiment incompétente puisque je n’étais même pas capable d’accomplir une si petite tâche, j’ai choisi Rose selon ma propre imagination. Je manquais de discernement des gens et je ne suivais pas les principes en les sélectionnant et en les utilisant. En réalité, la maison de Dieu a longtemps échangé sur le fait que lors du choix et de l’utilisation des personnes, nous devrions consulter et demander à ceux qui connaissent leurs antécédents pour s’assurer que les personnes sélectionnées ont le sens des responsabilités et un certain calibre avant de les former, et qu’une fois un problème avec une personne découvert, nous devrions immédiatement enquêter pour comprendre la situation. Si nous n’y voyons pas clair, nous devons nous adresser à quelqu’un qui comprend la vérité. Ce n’est que de cette manière que notre sélection et notre utilisation des gens seront plus précises. Cependant, par souci de protection de ma vanité et de mon statut, j’ai promu Rose selon ma propre volonté. J’ai agi de manière arbitraire et je me suis montrée gravement irresponsable à l’égard de ce travail. Maintenant que le travail avait été retardé, je devais rapidement réfléchir aux moyens de résoudre le problème plutôt que de sombrer dans l’abattement et de m’effacer. En agissant de la sorte, je fuyais mes responsabilités. J’étais tellement égoïste !
Lors d’une réunion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a beaucoup aidée. Dieu Tout-Puissant dit : « Si tu es une personne déterminée, si tu peux considérer les responsabilités et les obligations que les gens doivent assumer, les choses que les gens ayant une humanité normale doivent réaliser et les choses que les adultes doivent accomplir comme les buts et objectifs de ta poursuite, et si tu peux assumer tes responsabilités, alors quels que soient le prix que tu paies et la souffrance que tu endures, tu ne te plaindras pas, et tant que tu reconnaîtras cela comme les exigences et l’intention de Dieu, tu pourras endurer n’importe quelle souffrance et mener à bien ton devoir. À ce moment-là, quel sera ton état d’esprit ? Il sera différent : tu ressentiras la paix et la stabilité dans ton cœur, et tu éprouveras du plaisir. Tu vois, simplement en cherchant à vivre une humanité normale, et en poursuivant les responsabilités, les obligations et la mission que les personnes ayant une humanité normale devraient assumer et entreprendre, les gens éprouvent un sentiment de paix et de joie dans leur cœur et ils font l’expérience du plaisir. Ils n’ont même pas atteint le stade où ils mènent les affaires conformément aux principes et obtiennent la vérité qu’ils ont déjà subi certains changements. Ces personnes sont celles qui ont conscience et raison. Ce sont des gens droits qui peuvent surmonter n’importe quelle difficulté et entreprendre n’importe quelle tâche. Ce sont les bons soldats de Christ, ils ont suivi une formation et aucune difficulté ne peut les vaincre. Dites-Moi, que pensez-vous d’un tel comportement ? Ces gens n’ont-ils pas une force d’âme ? (Si.) Ils ont effectivement une force d’âme et on les admire. Ces gens se sentiraient-ils tout de même réprimés ? (Non.) Alors comment ont-ils changé ces émotions répressives ? Pour quelle raison ces émotions de répression ne les troublent-elles pas et ne les atteignent-elles pas ? (Parce qu’ils aiment les choses positives et portent un fardeau dans leurs devoirs.) C’est exact, il s’agit de s’occuper de son propre travail. […] Si une personne s’occupe de son travail et suit le bon chemin, ces émotions ne surgiront pas. Même si cette personne fait parfois l’expérience d’émotions répressives du fait de circonstances particulières temporaires, il s’agira seulement d’humeurs passagères, car les personnes qui ont le bon mode de vie et le bon point de vue sur l’existence passeront rapidement outre à ces émotions négatives. Par conséquent, tu ne te retrouveras pas souvent pris au piège par des émotions de répression. Cela signifie que de telles émotions de répression ne te dérangeront pas. Tu pourras éprouver une mauvaise humeur temporaire, mais tu n’en seras pas prisonnier. Cela met en évidence l’importance de la poursuite de la vérité. Si tu cherches à t’occuper de ton propre travail, si tu assumes les responsabilités que les adultes doivent assumer et que tu cherches à avoir un mode d’existence normal, bon, positif et proactif, alors tu ne développeras pas ces émotions négatives. Ces émotions répressives ne t’atteindront pas et ne s’accrocheront pas à toi » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Après avoir lu les paroles de Dieu, je me suis sentie très honteuse. D’après les paroles de Dieu, j’ai vu que les adultes et ceux qui s’occupent du vrai travail se concentrent sur les vrais sujets. Chaque jour, ils pensent à des choses liées à leurs devoirs, comme la façon de bien faire leurs devoirs, les problèmes qui subsistent dans leurs devoirs, comment mieux faire leur travail, etc. Même s’il peut y avoir des dérives ou des erreurs dans leurs devoirs, et qu’ils peuvent être confrontés à des obstacles et devenir faibles ou découragés pendant un certain temps, ils ne restent pas tout le temps dans des émotions négatives, mais à la place, ils chercheront activement la vérité pour résoudre leurs problèmes. Cependant, à ce moment-là, j’étais juste comme une personne inutile qui ne pouvait pas assumer de responsabilités. Face à certains revers, je devenais négative et j’abandonnais, sans le moindre courage qu’un adulte devrait avoir. De plus, cela a aussi exposé mon échec à m’occuper de ce que je devais faire ces derniers temps. Depuis que j’avais pris en charge le travail de l’Église, remarquant que la sœur avec laquelle je travaillais était meilleure que moi dans divers domaines, j’avais senti que je manquais de calibre et que je n’étais pas appréciée. J’espérais donc vraiment avoir l’occasion de prouver mes compétences. Lorsque la dirigeante nous réunissait, j’observais constamment ses expressions et j’essayais de déterminer, d’après son ton, si elle m’estimait ou non. Si la dirigeante me demandait spécifiquement de faire quelque chose, je me sentais heureuse, me disant que la dirigeante m’appréciait, et j’étais motivée pour faire mes devoirs. Mais si la dirigeante confiait les principales responsabilités à la sœur qui travaillait avec moi, je me sentais dévalorisée. Mon désir de réputation et de statut me rendait triste lorsqu’il n’était pas comblé. Même si je coopérais avec les frères et sœurs, je ne pensais pas à mes devoirs, mais plutôt à quel point ils pouvaient être d’accord avec ce que je disais. Parfois, lorsque je partageais un point de vue et que personne ne répondait, je me sentais mal à l’aise. S’ils proposaient des suggestions différentes, je devenais encore plus négative et j’estimais que mon calibre était trop faible, refusant même de participer à la discussion. Surtout en ce qui concerne l’affaire de Rose, j’ai agi de manière imprudente selon ma propre volonté, en dépit d’un manque de discernement, et je n’ai pas réfléchi sur moi-même après avoir commis une erreur, mais je suis tombée dans des pensées négatives et j’ai voulu démissionner. Tout cela parce que je ne m’occupais pas du travail approprié en faisant mes devoirs, mais poursuivais toujours la réputation et le statut. Mes yeux et mes pensées étaient concentrés sur rien d’autre que ma réputation et mon statut. Lorsque je ne recevais pas l’admiration des gens, je devenais négative et angoissée, mettant même le travail de l’Église de côté. Je ne pouvais pas bien accomplir mon devoir de cette manière. Cette attitude était vraiment détestée par Dieu. Je me suis souvenue que Dieu avait dit : « Surtout en ce qui concerne ceux qui accomplissent actuellement leurs devoirs dans la maison de Dieu, ont-ils seulement le temps de se sentir réprimés ? Ils n’en ont pas le temps. Alors, qu’est-ce qui ne va pas chez ceux qui se sentent réprimés, qui sont de mauvaise humeur et qui sont découragés ou déprimés chaque fois qu’ils font face à quelque chose d’un peu désagréable ? C’est qu’ils ne s’occupent pas des bonnes choses et qu’ils sont oisifs » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Voyant que les frères et sœurs qui m’entouraient étaient tous occupés à faire leurs devoirs tandis que je restais préoccupée par ma réputation et mon statut sans chercher la vérité pour régler ces problèmes, devenant au contraire plus négative et résistante, je me suis rendue compte que je n’étais pas quelqu’un qui poursuivait la vérité. Surtout lorsque j’ai pensé à la façon dont Shelley avait mentionné que les résultats du travail d’évangélisation dont elle était responsable n’étaient pas bons, et que tout le monde était confronté à des difficultés, et qu’elle espérait vraiment que nous pourrions être d’un seul esprit et d’un seul cœur pour surmonter ces difficultés ensemble, je me suis sentie vraiment coupable et affligée de l’intérieur. Dieu a arrangé l’environnement pour que nous coopérions ensemble afin d’être responsables du travail de l’Église, mais au lieu de me concentrer sur la façon de bien faire mes devoirs, j’étais perdue dans mes pensées mesquines, je suis devenue négative et renfermée, et j’ai voulu démissionner. Je manquais vraiment d’humanité ! J’ai prié Dieu, « Dieu, je suis trop égoïste. Il y a tellement de difficultés dans le travail de l’Église en ce moment, pourtant je ne me suis pas préoccupée des affaires à proprement parler, mais j’ai rivalisé avec ma sœur binôme chaque jour. Comme je ne pouvais pas être meilleure qu’elle, je suis devenue négative. Je me sens comme un cloaque à l’intérieur, dépourvue de toutes poursuites positives. Non seulement je souffre moi-même, mais je retarde également le travail de l’Église. Aujourd’hui, j’ai pris conscience de mes problèmes. Bien que mon calibre ne soit pas très bon, je dois faire de mon mieux pour coopérer et travailler harmonieusement avec la sœur. Au minimum, je ne devrais pas retarder le travail à cause de mon attitude. Puisses-Tu scruter mon cœur ; Je suis prête à me repentir ! » Après cela, mon attitude à l’égard de mes devoirs est devenue plus active. J’ai commencé à discuter proactivement et à résoudre les problèmes au travail avec Shelley. Pour certaines tâches difficiles qui me faisaient peur, j’ai prié Dieu et j’ai participé autant que possible. Lorsque j’ai remarqué des difficultés dans les devoirs des autres, si je ne pouvais pas offrir beaucoup d’aide, je trouvais quelqu’un qui comprenait la vérité pour aider à les résoudre. Parfois, même si la dirigeante chargeait spécifiquement Shelley du suivi d’une tâche, sans mentionner mon nom, tant que Shelley communiquait avec moi, je participais et proposais des suggestions, sans me soucier de savoir si la dirigeante le remarquerait ou non. Je me suis exercée à faire les choses devant Dieu, en me concentrant sur l’exécution consciencieuse de chaque tâche et en croyant qu’il était essentiel de pratiquer la vérité et de satisfaire Dieu. Lorsque je me suis consciemment rebellée contre mes propres intentions et que j’ai concentré mon cœur sur mes devoirs quotidiens, je me suis sentie stable et j’ai commencé à me libérer un peu de mes émotions négatives.
Au bout d’un certain temps, j’ai été confrontée à un émondage et je suis retombée dans mes émotions négatives. À ce moment-là, la dirigeante m’a demandée de structurer quelques documents. Manquant d’expérience, j’ai coopéré avec des frères et des sœurs pour le faire. Après avoir terminé le brouillon, la dirigeante l’a lu et a estimé qu’il était de bonne qualité, mais a suggéré d’ajouter quelques détails à certains endroits. J’étais contente de voir qu’il n’y avait pas de soucis majeurs, pensant que c’était un travail bien fait, les détails supplémentaires seraient faciles à ajouter et il serait bien d’ajouter un peu plus de contenu. Je n’ai donc pas échangé sur les principes avec les frères et sœurs. De manière inattendue, après les ajouts, la dirigeante a trouvé le nouveau contenu long et incohérent, ce qui a aggravé le résultat. Elle a demandé si nous avions soigneusement réfléchi et clairement compris quel était le problème. Elle a ensuite demandé à d’autres personnes de restructurer les documents. En entendant cela, j’ai été stupéfaite, « Je voulais bien faire, mais pourquoi cela s’est-il terminé ainsi ? » En y réfléchissant, j’ai senti que c’était encore dû à mon faible calibre et à ma compréhension limitée de la vérité. Je pensais pouvoir m’occuper de certaines affaires générales, mais lorsqu’il s’agissait d’un travail nécessitant la compréhension de la vérité, je n’étais pas à la hauteur. Ce n’est pas que je voulais délibérément me soustraire ; j’avais vraiment de la volonté, mais manquais de compétences. Par la suite, j’ai commencé à hésiter à coopérer au travail. Lorsque je remarquais des problèmes au travail, je voulais les signaler, mais je me dénigrais, en pensant, « Avec mon faible calibre, est-ce que je peux vraiment repérer les problèmes ? Suis-je capable de faire ce travail ? Mon calibre est faible et je ne suis pas capable de discerner les choses, sinon, le travail n’aurait pas été si mal fait ; Je ferais donc mieux de ne pas signaler les problèmes des autres. » Par conséquent, je suis retombée dans des émotions négatives, devenant passive dans mes devoirs, m’inquiétant constamment de mon avenir et de mes perspectives, et j’étais incapable d’apaiser mon cœur.
Jusqu’à une réunion, où j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a aidé à améliorer mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Toutes les choses qui surviennent au quotidien, les petites comme les grandes, qui risquent d’ébranler ta résolution, prendre toute la place dans ton cœur ou contraindre ta capacité à accomplir ton devoir et à progresser, nécessitent un traitement diligent ; tu dois les examiner attentivement et chercher la vérité. Ce sont autant de problèmes qui doivent être résolus à mesure de ton expérience. Certains deviennent négatifs, se plaignent et cessent leurs devoirs quand ils rencontrent des difficultés, et ils sont incapables de se remettre d’aplomb après chaque revers. Tous ces gens sont des insensés, qui n’ont pas l’amour de la vérité ; quand bien même ils auraient toute une vie de foi derrière eux, ils ne l’auraient pas gagné. Comment donc des gens aussi stupides iraient-ils jusqu’au bout ? Si la même chose t’arrive à dix reprises sans que tu en retires quoi que ce soit, c’est que tu es quelqu’un de médiocre et d’inutile. Les gens avisés, et ceux de calibre véritable qui ont une compréhension spirituelle, sont des chercheurs de vérité ; s’il leur arrive quelque chose dix fois, ils vont sans doute, huit fois sur dix, être capables de gagner un certain éclairage, d’en tirer quelque leçon, de comprendre une part de vérité, et de faire des progrès. Mais quand il s’agit de gens insensés (qui n’ont pas de compréhension spirituelle), pas une fois ces choses ne seront profitables à leur vie, pas une fois elles ne les feront changer, pas une fois elles ne leur feront connaître son visage hideux, auquel cas c’en sera fini pour eux. Chaque fois qu’il leur arrive quelque chose, ils chutent, et chaque fois qu’ils chutent, ils ont besoin de recourir à quelqu’un d’autre pour les aider et les persuader ; sans aide et sans discours persuasif, ils n’arrivent pas à s’élever, et à chaque fois qu’il leur arrive quelque chose, ils courent le risque de chuter et d’empirer. N’est-ce pas la fin pour eux ? Sur quelles autres bases ces gens inutiles pourraient-ils être sauvés ? Le salut de l’humanité opéré par Dieu s’adresse aux amoureux de la vérité. C’est un salut qui s’adresse à la partie d’eux-mêmes qui a de la volonté, de la détermination, à cette partie d’eux-mêmes qui, au fond de leur cœur, aspire à la vérité et à la justice. Chez une personne, la détermination est la partie qui, dans son cœur, aspire à la justice, la bonté, la vérité, et qui est douée de conscience. C’est cette partie que Dieu sauve et, à travers elle, Il change les tempéraments corrompus, pour que les êtres humains puissent comprendre la vérité et la gagner et, ainsi, se purifier de leur corruption et que leur tempérament de vie puisse être transformé. Si ces choses te font défaut, impossible pour toi d’être sauvé. […] Certains pensent que leur calibre est trop faible et qu’ils n’ont aucune capacité de compréhension, alors ils se délimitent eux-mêmes et ils croient qu’ils auront beau poursuivre la vérité, ils ne seront jamais capables de répondre aux exigences de Dieu. Ils pensent que, même s’ils font des efforts, ces efforts ne servent à rien, voilà tout. Ils sont donc sans cesse négatifs et, par conséquent, même après des années de croyance en Dieu, ils n’ont pas gagné la moindre vérité. Sans faire l’effort de poursuivre la vérité et que tu dis que ton calibre est trop médiocre, tu renonces à toi-même et tu vis sans cesse dans un état négatif. De ce fait, tu ne comprends pas la vérité que tu devrais comprendre ou tu ne pratiques pas la vérité à ta portée, n’est-ce pas toi qui t’entraves ? Si tu dis toujours que ton calibre n’est pas suffisant, n’est-ce pas fuir tes responsabilités et reculer devant elles ? Si tu peux souffrir, payer un prix et gagner l’œuvre du Saint-Esprit, alors tu seras inévitablement capable de comprendre certaines vérités et d’entrer dans certaines réalités. Si tu ne te tournes pas vers Dieu ou si tu ne te fies pas à Dieu, et que tu renonces à toi-même sans faire le moindre effort ni payer un prix, et que tu capitules simplement, alors tu es un bon à rien et tu n’as pas un brin de conscience ni de raison. Que ton calibre soit médiocre ou exceptionnel, si tu avais un soupçon de conscience et de raison, tu devrais terminer correctement ce que tu as à faire, ainsi que ta mission ; être un déserteur est terrible : c’est une trahison de Dieu. C’est inexpiable. Poursuivre la vérité exige une volonté inébranlable, et ceux qui sont trop négatifs ou trop faibles n’accomplissent rien. Ils n’arrivent pas à croire en Dieu jusqu’au bout et, s’ils souhaitent obtenir la vérité et parvenir à un changement de tempérament, ils ont encore moins d’espoir. Seuls ceux qui sont résolus et poursuivent la vérité peuvent l’obtenir et être amenés à la perfection par Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Après avoir lu les paroles de Dieu, je les ai comparées à moi-même. Je me suis rendu compte que face aux revers et aux échecs, j’étais toujours particulièrement fragile et négative, me sentant comme une boule de papier mâché. Ma première réaction était toujours de penser, « Laisse les autres s’en occuper » ou « Mon calibre est trop faible », et je confiais le travail à d’autres pour qu’ils le résolvent. J’avais l’impression d’être sensée et d’avoir une certaine conscience de moi-même en agissant de la sorte, mais en réalité, je me limitais et je cédais à moi-même. Cela montrait que je n’acceptais pas ou n’aimais pas la vérité. Lorsque nous sommes confrontés à des revers et à des échecs, Dieu veut que nous cherchions la vérité pour résoudre les problèmes et progresser. C’est par notre volonté et notre désir de justice que Dieu nous perfectionne. Les personnes qui aiment la vérité et qui ont un bon calibre sont proactives. Elles sont douées pour tirer un bilan des expériences d’échecs, pour examiner leurs lacunes, et peuvent comprendre certaines vérités en cherchant, acquérir une certaine connaissance d’elles-mêmes et progresser dans la vie. Cette fois-ci, lorsque j’ai été confrontée à l’émondage, je n’ai pas analysé les raisons de mon échec, mais je me suis à la place trouvée des excuses. J’ai pensé que ce n’était pas parce que je ne voulais pas bien faire, mais plutôt que mon faible calibre avait entraîné tant de problèmes dans l’exécution de mes devoirs. Cela impliquait que j’avais fait de mon mieux dans la mesure de mes capacités et que je n’avais pas à y réfléchir. Mais en y regardant de plus près, était-il vrai que je n’avais aucun problème ? Lorsque la dirigeante a fait remarquer que les documents manquaient de détails, je n’ai pas réfléchi ni cherché, mais j’ai ajouté beaucoup de contenu inutile basé sur mon imagination, ce qui a rendu les documents révisés trop longs et banals. Je n’ai pas cherché de principes ni réfléchi à la manière d’obtenir de meilleurs résultats ; J’ai simplement suivi les règles de manière mécanique. Cette approche de l’exécution de mes devoirs n’était que machinale. Je devais donc rapidement faire le point et corriger mon approche. Déjà, je manquais de calibre, et si je n’avais même pas l’esprit proactif et que je me retirais de manière passive chaque fois que j’étais confrontée à des difficultés, alors il me serait difficile de m’améliorer.
Plus tard, je me suis demandée pourquoi je voulais toujours m’enfuir lorsque j’étais confrontée à des revers et à des échecs. Après mûre réflexion, j’ai compris que c’était parce que je me préoccupais trop de ma réputation et de mon statut, et que le chemin que je suivais dans ma foi en Dieu n’était pas le bon. Je me suis souvenue d’un passage où Dieu dissèque les antéchrists. Les paroles de Dieu disent : « L’attachement des antéchrists à leur réputation et à leur statut va au-delà de celui des gens normaux, et cela fait partie de leur tempérament-essence ; ce n’est ni un intérêt temporaire, ni l’effet transitoire de leur environnement : c’est quelque chose dans leur vie, leurs os, et c’est donc leur essence. C’est-à-dire que dans tout ce que font les antéchrists, leur première considération est leur propre réputation et leur propre statut, rien d’autre. Pour les antéchrists, la réputation et le statut sont leur vie et le but de toute leur vie. Dans tout ce qu’ils font, leur première considération est la suivante : “Qu’adviendra-t-il de mon statut ? Et de ma réputation ? Est-ce que faire cela me donnera une bonne réputation ? Cela élèvera-t-il mon statut dans l’esprit des gens ?” C’est la première chose à laquelle ils pensent, ce qui est une preuve suffisante qu’ils ont le tempérament et l’essence des antéchrists ; c’est pour cela qu’ils considèrent les choses de cette façon. On peut dire que pour les antéchrists, la réputation et le statut ne sont pas une exigence supplémentaire quelconque, encore moins quelque chose d’étranger dont ils pourraient se passer. Cela fait partie de la nature des antéchrists, c’est dans leurs os, dans leur sang, et c’est inné. Les antéchrists ne sont pas indifférents à la question de savoir s’ils possèdent réputation et statut : telle n’est pas leur attitude. Alors, quelle est leur attitude ? La réputation et le statut sont intimement liés à leur vie quotidienne, à leur état quotidien, à ce qu’ils poursuivent au quotidien. Et donc, pour les antéchrists, le statut et la réputation sont leur vie. Peu importe comment ils vivent, peu importe l’environnement dans lequel ils vivent, leur travail, ce qu’ils poursuivent, leurs objectifs, la direction de leur vie, tout tourne autour d’une bonne réputation et d’un statut élevé. Et ce but ne change pas : ils ne peuvent jamais mettre de côté de telles choses. C’est là le vrai visage des antéchrists et leur essence » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie III)). Dieu dit que les antéchrists chérissent leur réputation et leur statut plus que les gens normaux, et que la réputation et le statut sont les poursuites de toute leur vie, le point de départ et le but de tout ce qu’ils font. Lorsque les gens les admirent et les félicitent, ils sont motivés pour accomplir leurs devoirs et sont prêts à faire n’importe quoi. Mais lorsqu’ils perdent l’admiration des gens, ils deviennent négatifs et se relâchent, ayant même le sentiment que croire en Dieu et faire leurs devoirs n’a pas de sens. Mon point de vue sur la poursuite était le même que celui des antéchrists. Quand mes opinions étaient reconnues et adoptées par tout le monde, j’étais en mesure d’effectuer un travail proactif. Cependant, lorsque la sœur avec laquelle je travaillais était valorisée et que j’étais toujours ignorée, je me sentais très perdue et découragée, perdant toute motivation dans mes devoirs. Lorsque j’ai été confrontée à d’autres échecs, je me suis encore plus délimitée comme manquant de calibre et inapte au travail, voulant fuir. J’ai toujours pensé que je voulais démissionner parce que j’étais vraiment incompétente pour ce travail, et que cela montrait que j’avais conscience de moi-même, mais en réalité, c’était parce que je valorisais plus ma réputation et mon statut. Je savais qu’en faisant ce devoir, il me serait difficile de garder la tête haute, et si je continuais dans ce devoir, j’échouerais probablement et je serais révélée encore plusieurs fois, et les autres me verraient clairement. J’ai donc voulu passer à un devoir plus simple pour maintenir ma réputation et mon statut. Depuis le début, qu’il s’agisse de choisir un devoir, un lieu d’étude ou un travail, mon premier critère était de savoir si cela pouvait me donner une bonne image et me faire remarquer. Au moment de m’inscrire à l’université, il y avait une université avec une bonne spécialité et une autre avec une spécialité plus médiocre. Cependant, les professeurs de cette dernière université m’ont invité à plusieurs reprises à poser ma candidature, et j’ai senti que j’y serais valorisée. Finalement, j’ai choisi l’université avec la spécialité la plus médiocre. À l’université, c’était la même chose. Je m’investissais dans les matières où les professeurs m’appréciaient et j’évitais les matières où je n’étais pas appréciée. Tout au long de ma vie, j’ai jugé les choses en fonction de ce qu’elles pouvaient m’apporter en termes de réputation et de statut. J’aimais les endroits où je pouvais être valorisée et me distinguer et j’évitais les endroits où je serais négligée ou humiliée. Maintenant, je me suis rendu compte que mon souci de réputation et de statut était profondément enraciné, et qu’il s’était ancré en moi, me poussant à vouloir constamment les protéger. Par exemple, maintenant, je savais clairement qu’être une dirigeante signifiait être révélée et émondée à plusieurs reprises, ce qui était bénéfique pour ma compréhension des vérités-principes et pour mon entrée dans la vie. Cependant, pour maintenir ma réputation et mon statut, j’ai même envisagé de renoncer à mon devoir. J’ai vu que je valorisais plus la réputation et le statut que la vérité, et j’ai révélé que j’avais un tempérament d’aversion pour la vérité. Si je poursuivais sur cette voie, qu’est-ce que je gagnerais en fin de compte ? Je ne serais pas capable d’exercer mes compétences ni de progresser dans mon entrée dans la vie, et en fin de compte, je ne serais qu’une personne inutile que Dieu déteste et élimine. C’est à ce moment-là que j’ai compris que la poursuite de la réputation et du statut ne conduirait nulle part, et que je devais chercher la vérité et abandonner ma poursuite de réputation et de statut, pour me libérer de cet état.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu et j’ai trouvé la façon de les pratiquer. Dieu Tout-Puissant dit : « Quel est l’élément le plus important sur lequel on doit se concentrer lorsque l’on croit en Dieu ? Qu’une personne ait un calibre fort ou faible, qu’elle ait une compréhension spirituelle, ou qu’elle subisse un certain type d’émondage, rien de cela n’est important. Qu’est-ce qui compte le plus de nos jours ? C’est la manière dont vous entrez dans les vérités-réalités. Pour ce faire, quel est l’élément de base essentiel qu’une personne doit avoir ? Elle doit avoir un cœur sincère. Que signifie être sincère ? Cela signifie ne pas être fuyant lorsque les choses vous arrivent, ne pas considérer vos propres intérêts, ne pas comploter et conspirer avec les autres, et ne pas jouer à des jeux trompeurs avec Dieu. Si tu peux tromper Dieu et manquer de sincérité envers Lui, alors c’en est complètement fini de toi, et Dieu ne te sauvera pas, alors quel est l’intérêt de comprendre la vérité ? Tu es peut-être en mesure d’avoir une compréhension spirituelle, tu as peut-être un bon calibre, tu es peut-être éloquent, et capable de comprendre rapidement les choses, de tirer des conclusions, et de comprendre tout ce que Dieu dit, mais si tu joues à des jeux trompeurs avec Dieu lorsque les choses t’arrivent, c’est un tempérament satanique et cela est très dangereux. Ton calibre n’est d’aucune utilité, qu’importe à quel point il est bon, et Dieu ne voudra pas de toi. Dieu dira : “Tu parles bien, tu as un bon calibre et l’esprit vif, et tu as une compréhension spirituelle, mais il y a juste un problème : tu n’aimes pas la vérité.” Ceux qui n’aiment pas la vérité sont problématiques, et Dieu ne veut pas d’eux. Une personne qui n’a pas bon cœur sera écartée, à l’instar d’une voiture qui semble bien entretenue de l’extérieur, mais qui a un mauvais moteur, elle sera complètement mise de côté. Les gens sont également ainsi : peu importe à quel point ton calibre semble bon, à quel point tu es intelligent, éloquent ou capable, ou à quel point tu es bon pour gérer les problèmes, tout cela est inutile, et ce n’est pas l’élément clé. Alors, quel est l’élément clé ? C’est de savoir si le cœur de quelqu’un aime la vérité. Il ne s’agit pas d’écouter comment cette personne parle, mais de regarder comment elle agit. Dieu ne regarde pas ce que tu dis ou promets devant Lui ; Il regarde si ce que tu fais possède la vérité-réalité. De même, Dieu ne Se soucie pas de la grandeur, de la profondeur, ni de la puissance de tes actions, et même si tu fais une petite chose, si Dieu voit la sincérité dans chacune de tes actions, Il dira : “Cette personne croit sincèrement en Moi. Elle ne s’est jamais vantée. Elle se conduit selon son rang. Et bien qu’elle n’ait peut-être pas apporté une grande contribution à la maison de Dieu et qu’elle soit de faible calibre, elle est constante et sincère dans tout ce qu’elle fait.” Que comporte cette “sincérité” ? Elle comporte la crainte de Dieu et la soumission à Dieu, ainsi que la vraie foi et le vrai amour : elle comporte tout ce que Dieu souhaite voir. Aux yeux des autres, une telle personne peut paraître banale, il pourrait très bien s’agir d’une personne qui prépare de la nourriture ou qui fait le ménage, de quelqu’un qui accomplit une tâche ordinaire. De telles personnes sont banales aux yeux des autres, elles n’ont rien accompli de grand et elles n’ont rien d’estimable, d’admirable ou d’enviable, ce sont juste des gens ordinaires. Et pourtant, tout ce que Dieu veut se trouve en elles, tout se vit en elles et elles donnent tout à Dieu. Dis-Moi, qu’est-ce que Dieu veut de plus ? Il est satisfait d’eux » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). J’avais l’habitude d’accorder une grande importance au fait qu’une personne ait du calibre et des dons, croyant que seuls ceux qui avaient un bon calibre pouvaient être grandement utiles dans la maison de Dieu. Lorsque mon faible calibre a été révélé à plusieurs reprises et que je n’étais pas capable de voir les choses clairement, je suis devenue négative et je me suis limitée, incapable d’accomplir même les tâches dont j’étais capable. Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les croyants ne doivent pas se focaliser sur le niveau de leur calibre, ni sur leur éloquence ou leur vivacité d’esprit, ce n’est pas ce que Dieu valorise. Dieu se préoccupe du cœur d’une personne et s’il a un cœur sincère envers Dieu et le travail de l’Église. Le calibre et l’éloquence que Dieu m’a donnés ne déterminent pas si je peux bien faire mes devoirs. Si je suis éloquente et capable mais que je me détourne de mes responsabilités et que j’agis de manière malhonnête dans ma pratique réelle, peu importe la qualité de mon calibre, je suis quelqu’un que Dieu déteste. Si le calibre peut aider les gens à faire leur devoir correctement, ce qui est plus important, c’est l’attitude d’une personne à l’égard de la vérité et de ses devoirs, si elle a un cœur proactif et qui aime la vérité, si elle est capable de chercher la vérité lorsqu’elle échoue et qu’elle est révélée, si elle apprend de ses expériences et poursuit la croissance dans sa vie, c’est ce que Dieu valorise. Dans le passé, certaines personnes ayant des dons et des bons calibres ont également servi en tant que dirigeants d’Église, mais beaucoup n’ont pas fait leurs devoirs correctement. Au bout d’un certain temps, elles ont convoité le confort et la facilité, et n’ont pas accompli un réel travail, ou se sont battues pour la gloire et les avantages, perturbant ainsi le travail de l’Église, et ont finalement été éliminés. Cependant, certaines personnes paraissaient banals, sans dons, d’un calibre moyen, mais elles font leurs devoirs d’une manière pragmatique, en cherchant des principes en tout, et elles progressent en faisant leurs devoirs sans être remplacées ou éliminées. Cela montre que Dieu est juste, et qu’Il ne prononce pas de verdict sur une personne en fonction de son calibre mais valorise le fait qu’elle poursuive et pratique la vérité et si elle est capable d’accomplir chaque travail d’une manière pragmatique et responsable. En comprenant cela, je me suis dit dans mon cœur qu’à partir de maintenant, je devais concentrer mon esprit sur mes devoirs et travailler consciencieusement, et que tant que le travail m’était assigné, je devais le faire avec sérieux et responsabilité, en fournissant le plus d’efforts possible, être une personne pragmatique et fiable qui s’occupe de son travail à proprement parler.
J’ai alors commencé à me concentrer sur les leçons à tirer de chaque échec, en changeant mon état d’esprit à chaque fois que j’étais révélée. Auparavant, chaque fois que j’étais confrontée à un échec ou à un émondage, je me disais, « Oh, le dirigeant a dû voir clair en moi », ou « Tout le monde doit penser que je manque de calibre ». Lorsque je sombrais ainsi, je devenais très abattue. Par la suite, j’ai commencé à réfléchir à la raison pour laquelle j’étais révélée, aux problèmes que je pouvais découvrir sur moi-même et aux carences que je pouvais combler. Avec ce nouvel état d’esprit, je me suis davantage concentrée sur les bonnes choses dans mon cœur. Plus tard, pendant un certain temps, j’ai été successivement confrontée à des émondages, parfois pour manque d’efficacité en faisant les choses, parfois pour ne pas saisir les principes d’exécution des tâches, et parfois pour avoir une approche unilatérale sur une affaire précise et ne pas comprendre les choses correctement. J’ai donc réfléchi à mes problèmes, et j’ai cherché des méthodes pour améliorer l’efficacité de mon travail si elles étaient liées à mes compétences, et s’il s’agissait d’un problème de compréhension, je réfléchissais à mes propres problèmes, analysant ce qui n’allait pas dans ma compréhension, puis je cherchais auprès des frères et sœurs qui comprenaient la vérité et avaient de l’expérience. Lorsque j’ai réfléchi de cette manière, mon attitude à l’égard de l’émondage s’est améliorée. Même s’il m’arrive encore parfois d’éprouver du découragement, je ne m’y enferme plus, et chaque jour, mon esprit n’est plus aussi encombré pendant que je fais mes devoirs, et je peux affronter normalement les situations auxquelles je suis confrontée.
En réfléchissant à cette période, où j’étais prisonnière de la négativité et où je me morfondais dans la misère et la fatigue, si je n’avais pas été guidée par les paroles de Dieu, je n’aurais pas pu laisser ces émotions négatives derrière moi, et j’aurais continué à me dégrader, à m’éloigner de Dieu, en perdant même mes devoirs actuels. Du fond du cœur, je remercie Dieu, car dans mes moments les plus faibles, Il m’a envoyé des rappels à travers les gens qui m’entouraient, et m’a guidée en utilisant Ses paroles, m’aidant à laisser cette émotion derrière moi. Désormais, je veux juste me stabiliser et faire mes devoirs au mieux de mes capacités.
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