Je me suis libérée de la répression

20 août 2024

Par Xinyi, Chine

En janvier dernier, la dirigeante s’est arrangée pour que Li Xin et moi soyons conjointement responsables du travail textuel de l’Église. Vu que je venais de commencer la formation, Li Xin ne m’a pas confié une charge de travail trop importante. Et quand je rencontrais des difficultés et des problèmes, elle échangeait avec moi en se basant sur les principes. Je n’avais pas à trop m’inquiéter, et le travail n’était pas vraiment stressant. En mars, j’ai été élue dirigeante d’Église. J’ai senti que je portais un plus lourd fardeau. Dans mes devoirs de dirigeante, je devais chapeauter l’ensemble du travail de l’Église, je devais résoudre et gérer toutes sortes de problèmes, et j’étais toujours sous pression au fond de moi-même. Au début, j’ai souvent reçu des lettres de la dirigeante supérieure concernant la mise en œuvre du travail, notamment sur l’abreuvement et le travail d’évangélisation, ainsi que sur le travail d’exclusion et d’expulsion des gens, sur le travail textuel, la formation des gens, etc. Je devais expliquer en détail la façon dont chaque tâche était planifiée et organisée, quelles déviations, quels problèmes étaient survenus dans le travail, comment tout cela allait être résolu à l’avenir, etc. Comme j’étais responsable de nombreux travaux, parfois, dès que j’avais exécuté une tâche, je devais me rendre à l’Église pour mettre en œuvre un autre travail. Tous les jours, il y avait énormément de travail en attente. Après m’être affairée comme cela pendant un certain temps, j’ai voulu arrêter et faire une pause, regarder des vidéos de témoignages d’expérience et écouter des hymnes de manière à me détendre. Mais vu qu’il y avait énormément de travail qui devait être mis en œuvre de toute urgence, je me sentais lésée. Je me disais que je n’avais absolument aucune liberté en faisant ce devoir. Un jour, la dirigeante supérieure s’est rendu compte que le travail de purge de l’Église n’avançait pas beaucoup, et que plusieurs documents pour exclure des gens n’avaient pas été envoyés. Alors elle m’a émondée, disant que je n’avais aucun sens des responsabilités dans mon devoir. À ce moment-là, j’ai voulu la raisonner, mais je savais qu’elle avait raison de m’émonder, et qu’il fallait que j’accepte et que je m’y soumette. Ensuite, je suis allée à l’Église pour récupérer ces évaluations. Et après m’être affairée pendant plusieurs semaines, j’ai finalement réussi à ranger les documents. Juste après, j’ai dû vérifier rapidement et mettre en œuvre plusieurs autres tâches. Durant cette période, je courais souvent partout activement du matin au soir. J’étais toujours extrêmement tendue et assez exténuée. Je me disais : « Quand pourrais-je avoir un vrai moment de repos ? Être occupée comme ça tous les jours, c’est vraiment oppressant. » Quand je faisais des tâches textuelles, ma charge de travail n’était pas aussi importante. J’avais Li Xin à mes côtés pour partager le fardeau avec moi et je ne ressentais aucun stress. Cette époque me manque tellement. Depuis que j’avais accepté les devoirs de dirigeante, je m’affairais tous les jours. Alors je me suis sentie de plus en plus oppressée et je ne voulais plus accomplir ce devoir. Néanmoins, je me disais que cette façon de penser indiquait un manque de raison. Les frères et sœurs penseraient certainement que j’étais incapable de faire face au stress ou d’endurer des souffrances. Je ne pouvais rien faire : je devais continuer à coopérer.

Plus tard, l’Église a fait face à des arrestations par le Parti communiste, et nous avons dû gérer quelques problèmes par la suite. La sœur avec qui je faisais équipe et moi-même étions surchargées de travail, alors j’ai totalement ignoré le travail d’abreuvement dont j’avais la responsabilité. Je me disais : « Il faut que je trouve du temps pour demander aux ouvriers d’abreuvement quelle est leur situation. » Mais ensuite, je me suis dit que j’étais très occupée à gérer ces problèmes suite aux arrestations. Ce n’est pas comme si les résultats du travail d’abreuvement allaient connaître une amélioration significative sur-le-champ. En plus, j’avais encore d’autres tâches sur les bras. Il valait mieux que je les termine d’abord et que je vérifie le travail d’abreuvement ensuite. La dirigeante supérieure m’a envoyé une lettre pour me rappeler que je ne pouvais pas laisser tomber les autres tâches juste parce que je gérais les conséquences des arrestations, et elle a élaboré un plan spécifique pour le travail d’abreuvement. Je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir de la résistance, me disant : « J’ai déjà la charge d’énormément de travail. Et maintenant, elle a encore plus d’exigences. Je n’aurais jamais le temps de faire tout ça, c’est impossible ! Pourquoi personne ne tient-il compte de mes difficultés ? Je n’ai que deux bras et deux jambes : comment puis-je accomplir autant de travail en même temps ? » Je me sentais un peu irritée et réprimée, et je ne voulais même pas regarder les lettres de la dirigeante. Mais tout ce travail devait quand même être accompli. Si les nouveaux venus renonçaient parce qu’ils n’étaient pas abreuvés à temps, ce serait une transgression. Non seulement je serais émondée, mais je risquerais même d’être renvoyée. Ensuite, je me suis renseignée sur l’avancement du travail d’abreuvement et sur les problèmes des nouveaux venus. Mais puisque je n’avais aucun désir d’être proactive, je vérifiais le travail superficiellement, je faisais tout machinalement pour pouvoir rendre compte à la dirigeante. Durant cette période, en apparence, j’avais l’air d’être sans arrêt occupée, mais en fait, je passais d’une tâche à l’autre à contrecœur. Lorsque je mettais en œuvre le travail, il manquait toujours quelque chose, et le travail devait être refait. Chaque jour, je finissais découragée et exténuée, et les résultats du travail étaient en baisse. La sœur avec qui je faisais équipe disait que je n’avais aucun sens du fardeau, et je me sentais lésée, me disant : « J’ai la charge de tout ce travail, et je travaille toute la journée, tous les jours. Comment peux-tu dire que je n’ai pas le sens du fardeau, que je ne suis pas assidue ? Tu m’en demandes trop ! » Plus j’y pensais, plus je me sentais lésée, et je me disais que je ne pouvais vraiment plus accomplir ce devoir. Au lieu de souffrir autant, il valait mieux que je démissionne pour aller faire un devoir plus tranquille : je ne me sentirais alors pas autant oppressée. J’étais surchargée de négativité. Une nuit, je me suis présentée à Dieu et j’ai prié : « Ô mon Dieu, je souffre énormément et je ne pense pas pouvoir endurer plus. Je ne sais pas quelle leçon je dois en tirer. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide-moi pour me permettre de comprendre mon problème. »

Après avoir prié, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Que signifie ne pas pouvoir faire ce qu’on veut ? Cela signifie ne pas pouvoir agir selon tous les désirs qui traversent son esprit. Pour ces personnes, pouvoir faire ce qu’elles veulent, quand elles le veulent et comme elles le veulent est une exigence qu’elles ont à la fois dans leur travail et dans leur vie. Cependant, pour diverses raisons – notamment les lois, les environnements de vie ou les règles, systèmes, stipulations et mesures disciplinaires d’un groupe, etc. – les gens ne peuvent pas agir selon leurs propres souhaits et en fonction de leur imagination. Par conséquent, ils se sentent réprimés au plus profond de leur cœur. Pour le dire sans ménagement, cette répression apparaît parce que les gens sont mécontents et que certains se sentent même lésés. Pour dire les choses franchement, ne pas pouvoir faire ce que l’on veut signifie ne pas pouvoir agir selon sa propre volonté. Cela signifie que l’on ne peut pas être capricieux ou tout se permettre, pour des raisons variées et du fait de restrictions imposées par divers environnements objectifs et diverses conditions objectives. Par exemple, certains individus se montrent sans cesse négligents et trouvent toujours le moyen de tirer au flanc dans l’accomplissement de leurs devoirs. Parfois, le travail de l’Église nécessite de se presser, mais ils veulent simplement faire ce qu’ils veulent. S’ils ne se sentent pas très bien physiquement, ou s’ils sont de mauvaise humeur et déprimés pendant quelques jours, ils ne voudront pas endurer de difficultés ni payer un prix pour faire le travail d’Église. Ils sont particulièrement paresseux et avides de confort. Lorsqu’ils manquent de motivation, ils deviennent mous et n’ont pas envie de bouger, mais ils craignent d’être émondés par les dirigeants et d’être traités de paresseux par leurs frères et sœurs, alors ils ne peuvent rien faire d’autre qu’effectuer le travail à contrecœur avec tous les autres. Cependant, ils y sont alors très peu disposés, ils sont mécontents et réticents à ce sujet. Ils se sentent lésés, contrariés, énervés et épuisés. Ils veulent agir en se basant sur leur propre volonté, mais n’osent pas s’affranchir des exigences et stipulations de la maison de Dieu, ni s’y opposer. En conséquence, une émotion commence à émerger en eux au fil du temps : la répression. Une fois que cette émotion répressive prend racine en eux, ils semblent peu à peu devenir apathiques et faibles. Comme des machines, ils n’ont plus une compréhension claire de ce qu’ils font, mais ils font quand même ce qu’on leur dit de faire tous les jours, de la manière dont on leur dit de le faire. Même s’ils continuent d’accomplir leurs tâches, en apparence sans s’arrêter, sans faire de pause, sans s’éloigner de l’environnement au sein duquel ils accomplissent leurs devoirs, ils se sentent néanmoins réprimés au fond d’eux-mêmes et pensent que leur vie est épuisante et pleine de griefs » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (5)). En voyant ce que les paroles de Dieu révélaient, j’ai compris que mon sentiment de répression et de souffrance constante en faisant mon devoir était en fait essentiellement dû au fait que je ne voulais pas être contrôlée et que je voulais juste faire comme je l’entendais. Chaque fois que je me retrouvais face à une situation qui me déplaisait, que je ne pouvais pas faire ce que je voulais et que j’étais restreinte dans tout, cela déclenchait en moi des émotions de répression. Quand je venais juste de commencer le travail basé sur les textes, la dirigeante ne m’en demandait pas trop, et Li Xin était là pour me guider pendant que j’étudiais le métier. En cas de difficulté, Li Xin échangeait immédiatement avec moi et m’aidait. En plus de ça, c’était un travail relativement tranquille, et je n’étais pas du tout stressée, alors j’aimais faire mon devoir de cette façon. Mais depuis que j’avais commencé mes devoirs de dirigeante, j’avais la charge de beaucoup de travail, et je devais m’occuper et surveiller toutes sortes de tâches dans l’Église. J’avais dû prendre part à tous les problèmes et les résoudre concrètement. Plus tard, lorsque l’Église a fait face à des arrestations, j’ai dû gérer les conséquences et j’étais encore plus occupée. Afin de réduire un peu mon stress, je voulais remettre à plus tard l’accompagnement du travail d’abreuvement, mais la dirigeante supérieure n’a pas relâché la surveillance de ce travail le moins du monde. Cela a fichu mon plan en l’air, et ma chair devait continuer à souffrir, alors j’étais incapable de me soumettre. Mais j’avais peur que les autres disent que je n’étais pas capable d’endurer des souffrances si je ne faisais pas le travail. Et j’avais encore plus peur que les nouveaux venus ne soient pas correctement abreuvés et que je doive en assumer la responsabilité. Alors je me suis soumise à contrecœur. Cependant, je me sentais toujours oppressée, et je faisais tout de manière distraite. Je faisais mon devoir superficiellement, je l’accomplissais machinalement, et je faisais ce qu’on me demandait. Résultat, je perturbais et j’interrompais le travail. La sœur avec qui je faisais équipe m’a pointée du doigt, ce qui m’a rendue de plus en plus rancunière et entêtée. Je voulais même en assumer la responsabilité et démissionner de mon poste. J’étais tellement déraisonnable ! Après ça, j’ai réalisé que mon problème était assez grave, et je n’ai pas osé continuer à être aussi intransigeante.

Après ça, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Dans la société, qui sont les gens qui ne s’occupent pas de leur vrai travail ? Ce sont les paresseux, les imbéciles, les fainéants, les casseurs, les voyous et les flemmards, des gens comme cela. Ils ne souhaitent pas acquérir de nouvelles compétences ou capacités, et ils ne veulent pas poursuivre des carrières sérieuses, ni trouver un emploi pour pouvoir s’en sortir. Ce sont les paresseux et les fainéants de la société. Ils s’infiltrent dans l’Église et, ensuite, ils veulent obtenir quelque chose sans rien faire, et obtenir leur part de bénédictions. Ce sont des opportunistes. Ces opportunistes ne sont jamais disposés à faire leurs devoirs. Si les choses ne vont pas dans leur sens, même légèrement, ils se sentent réprimés. Ils souhaitent toujours vivre librement, ils ne veulent effectuer aucun type de travail, mais ils veulent malgré tout manger de la bonne nourriture et porter de beaux vêtements, manger ce qu’ils désirent et dormir quand ils veulent. Ils pensent que lorsqu’un jour comme celui-ci viendra, ce sera certainement merveilleux. Ils ne veulent pas endurer ne serait-ce que quelques difficultés et ils souhaitent une vie de petits plaisirs. Ces gens trouvent même la vie épuisante : ils sont entravés par des émotions négatives. Ils se sentent souvent fatigués et perdus parce qu’ils ne peuvent pas faire ce qui leur plaît. Ils ne veulent pas s’occuper de leur vrai travail, ni gérer leurs véritables problèmes. Ils ne veulent pas s’en tenir à un travail et le faire avec constance, du début à la fin, en le traitant comme leur propre métier et leur propre devoir, comme leur obligation et leur responsabilité. Ils ne veulent pas le terminer ni obtenir de résultats, ni le faire selon les meilleures normes possibles. Ils n’ont jamais pensé de cette façon. Ils veulent juste agir de manière superficielle et utiliser leur devoir comme un moyen de gagner leur vie. Lorsqu’ils sont confrontés à un peu de pression ou à une forme de contrôle, ou lorsqu’ils sont tenus à une norme légèrement plus élevée ou qu’ils doivent assumer quelques responsabilités, ils se sentent mal à l’aise et réprimés. Ces émotions négatives surgissent en eux, vivre leur semble épuisant et ils sont malheureux. L’une des raisons fondamentales pour lesquelles vivre leur semble épuisant est que ces gens-là manquent de raison. Leur raison est altérée, ils passent toute la journée à se livrer à des fantasmes, à vivre dans un rêve, dans les nuages, imaginant toujours les choses les plus folles. C’est pourquoi le sentiment qu’ils ont d’être réprimés est très difficile à résoudre. Ils ne sont pas intéressés par la vérité, ce sont des incrédules. La seule chose que nous pouvons faire est de leur demander de quitter la maison de Dieu, de retourner dans le monde pour y trouver leur propre lieu de bien-être et de confort » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (5)). Ce passage des paroles de Dieu m’a énormément émue. Dieu a révélé la raison pour laquelle les gens se sentent réprimés : ils veulent céder à leur chair et ils refusent d’être contrôlés ou d’avoir à souffrir un peu. Dès qu’ils ne peuvent plus satisfaire leurs désirs charnels, ils se sentent réprimés et ils souffrent. Ils ne pensent jamais à s’atteler à leur propre travail et à mener à bien leur devoir. Ils veulent toujours être oisifs au sein de l’Église. Ceux qui poursuivent réellement la vérité et s’attèlent à leur propre travail considèrent leur devoir comme leur responsabilité et leur obligation. Cela leur importe peu de souffrir dans leur chair, ou de subir un peu de stress si c’est pour accomplir leur devoir correctement. Ils savent que ce n’est qu’en faisant correctement leur devoir que leur vie aura de la valeur et du sens. Et parce que leur poursuite est positive, ils ne se sentent pas réprimés ou en souffrance. Dieu aime et bénit ce genre de personne. J’étais parfaitement consciente que c’était par la grâce spéciale de Dieu que je pouvais assumer les devoirs de dirigeante. Cependant, vu que j’étais responsable d’une plus grande quantité de travail et que je devais m’occuper de plus de tâches, et vu que la dirigeante supérieure vérifiait et supervisait aussi tout ça, j’avais moins d’occasions de profiter du confort. À cause de ça, je pensais qu’accomplir mon devoir était trop difficile et oppressant, et je voulais passer mes journées à me détendre sans subir aucun stress. Je pensais à ces voyous, ces gangsters, ces flemmards, et ces vauriens dans la société. Ils ne pensent jamais à rien de convenable. Ils se laissent aller, ils escroquent les gens pour manger et boire à chaque coin de rue, se relâchant dans leur travail. Ce genre de personne vit sans aucune intégrité ni dignité, et les autres les dédaignent où qu’ils aillent. Ce sont les plus méprisables de tous. En attendant, je cherchais en permanence le confort charnel dans mon devoir et je ne pensais pas à continuer à progresser. Je ne voulais pas de souffrance minime et par nature, j’étais quelqu’un qui ne s’attelait pas à son propre travail et qui voulait juste un déjeuner gratuit dans la maison de Dieu. Même si être dirigeant est un peu plus fatigant, chaque jour, on est en contact avec des tas de gens et des tas de choses, et on a plus d’occasions de pratiquer. Par exemple, pour le travail de purge de l’Église, on doit être équipé de la vérité du discernement des autres. Quant au travail d’abreuvement, vu que les nouveaux venus ne disposent pas de cette base solide, on doit posséder la vérité de la vision afin de les abreuver et de les aider. Également, la mise en œuvre d’autres tâches a trait aux vérités-principes concernées. C’est quelque chose que l’on ne peut pas obtenir juste en faisant un simple devoir. Cependant, je ne chérissais pas ces chances que Dieu m’avait données pour gagner la vérité, et je pensais toujours être trop occupée et trop exténuée à exercer mes devoirs de dirigeante, ne pouvant pas vivre comme je l’entendais. Lorsque la dirigeante supérieure supervisait mon travail, je résistais, je mettais le travail en œuvre superficiellement et je ralentissais l’avancement du travail. Je ne réfléchissais pas sur moi-même, je continuais à vivre en me sentant oppressée et je voulais même abandonner mon devoir. Je n’avais vraiment aucune conscience ni raison ! Je me suis sentie particulièrement bouleversée et contrariée lorsque j’ai lu ces paroles de Dieu : « Ils ne sont pas intéressés par la vérité, ce sont des incrédules. La seule chose que nous pouvons faire est de leur demander de quitter la maison de Dieu, de retourner dans le monde pour y trouver leur propre lieu de bien-être et de confort. » C’était comme si Dieu m’avait exposée juste sous mes yeux. Dieu définit ce genre de personne comme incrédule, et Il les méprise et les déteste. Si je ne changeais toujours pas mon attitude envers mon devoir, tôt ou tard, Dieu me révèlerait et m’éliminerait. En reconnaissant cela, j’avais un peu peur, et j’ai prié Dieu en silence dans mon cœur : « Ô mon Dieu, je ne veux pas continuer à tergiverser de la sorte. Je veux être quelqu’un doté d’une humanité normale, qui est sain de raison, et qui s’attèle à son propre travail. S’il Te plaît, aide-moi à me comprendre plus en profondeur. »

Pendant ma recherche, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Qu’est-ce qui cause la répression des gens ? Ce n’est certainement pas la fatigue physique, alors qu’est-ce qui en est la cause ? Si les gens recherchent constamment le confort et le bonheur physiques, s’ils poursuivent constamment le bonheur et le confort physiques et ne souhaitent pas souffrir, alors même un peu de souffrance physique, même souffrir un peu plus que les autres ou être un peu plus surmené que d’habitude les ferait se sentir réprimés. Voilà l’une des causes de la répression. Si les gens ne considèrent pas qu’un peu de souffrance physique est un gros problème et s’ils ne poursuivent pas le confort physique, mais qu’ils poursuivent plutôt la vérité et cherchent à mener à bien leurs devoirs afin de satisfaire Dieu, alors, souvent, ils ne ressentiront pas de souffrance physique. Même s’ils se sentent parfois un peu occupés, fatigués ou épuisés, après avoir dormi, ils se sentiront mieux au réveil, puis ils continueront leur travail. Ils se concentreront sur leurs devoirs et sur leur travail. Ils ne considéreront pas qu’un peu de fatigue physique est un problème important. Cependant, lorsqu’un problème surgit dans la pensée des gens et qu’ils poursuivent constamment le confort physique, chaque fois que leur corps physique est légèrement lésé ou ne peut pas trouver satisfaction, certaines émotions négatives surgissent en eux. […] Ils se sentent souvent réprimés à propos de ces questions et ne veulent pas accepter l’aide de leurs frères et sœurs, ni être supervisés par des dirigeants. S’ils font une erreur, ils ne permettront pas aux autres de les émonder. Ils ne souhaitent en aucun cas être contraints. Ils pensent : “Je crois en Dieu pour pouvoir trouver le bonheur, alors pourquoi devrais-je me rendre les choses difficiles ? Pourquoi ma vie devrait-elle être aussi épuisante ? Les gens devraient être heureux. Ils ne devraient pas accorder autant d’attention à ces réglementations et à ces systèmes. À quoi bon toujours les respecter ? Maintenant, à cet instant, je vais faire ce que je veux. Aucun de vous ne devrait avoir quoi que ce soit à dire à ce sujet.” Une telle personne est particulièrement obstinée et dissolue : elle ne consent à subir aucune contrainte, ni ne souhaite se sentir contrainte dans aucun environnement de travail. Elle n’a pas envie d’adhérer aux règlements et aux principes de la maison de Dieu, elle n’est pas disposée à accepter les principes auxquels les gens doivent se tenir dans leur comportement et elle ne désire même pas se conformer à ce que lui dictent la conscience et la raison. Elle veut faire ce qui lui plaît, faire tout ce qui la rend heureuse, tout ce qui lui est profitable et la met à l’aise. Elle croit que vivre en subissant ces contraintes irait à l’encontre de sa volonté, que ce serait une sorte de violence qu’elle s’infligerait, que ce serait trop dur pour elle-même et que les gens ne devraient pas vivre comme cela. Elle pense que les gens devraient vivre libres et libérés, s’abandonner à leur chair et à leurs désirs ainsi qu’à leurs idéaux et à leurs souhaits. Elle pense qu’elle doit suivre toutes ses idées, dire ce qu’elle veut, faire ce qu’elle veut et aller où elle veut sans avoir à se soucier des conséquences ou des sentiments des autres, et surtout, sans avoir à se soucier de ses propres responsabilités et obligations, ni des devoirs que les croyants devraient accomplir, ni des vérités-réalités auxquelles ils devraient se tenir et qu’ils devraient vivre, ni du chemin de vie qu’ils devraient suivre. De telles personnes veulent toujours faire ce qui leur plaît au sein de la société et en compagnie des autres, mais où qu’elles aillent, elles ne peuvent jamais y parvenir. Elles croient que la maison de Dieu met l’accent sur les droits de l’homme, qu’elle accorde aux gens une liberté totale et tient à l’humanité, à la tolérance et à l’indulgence envers les gens. Elles pensent qu’une fois arrivées dans la maison de Dieu, elles doivent pouvoir s’adonner librement à leur chair et à leurs désirs, mais que, parce que la maison de Dieu a des décrets administratifs et des règlements, elles ne peuvent pas faire ce qui leur plaît, malgré tout. Par conséquent, leur émotion répressive et négative ne peut être résolue, même après qu’elles ont rejoint la maison de Dieu. Elles ne vivent pas pour assumer des responsabilités, quelles qu’elles soient, ni pour accomplir les moindres missions, ni pour devenir de vraies personnes. Leur croyance en Dieu ne consiste pas à mener à bien le devoir d’un être créé, à accomplir leur mission et à obtenir le salut. Quels que soient les personnes parmi lesquelles elles se trouvent, les environnements dans lesquels elles se trouvent et la profession dans laquelle elles s’engagent, leur objectif ultime est de se trouver et de se satisfaire. Le but de tout ce qu’elles font tourne autour de cela, et se faire plaisir est le désir qu’elles ont tout au long de leur vie et c’est l’objectif de leur poursuite » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (5)). Avant, je pensais toujours que mon émotion de répression était due au fait que j’étais trop occupée dans mes devoirs de dirigeante, et que c’était à cause du stress et des difficultés. À travers l’exposition des paroles de Dieu, j’ai enfin compris que mon oppression provenait d’un problème lié à mes pensées et à mes points de vue sur ma poursuite. Je voulais toujours faire comme bon me semblait dans mon devoir. Et face au stress, aux difficultés ou à l’incapacité de satisfaire ma chair, je ressentais cette émotion de répression. C’était parce que j’étais influencée par les poisons que Satan avait insufflés en moi, tels que « Profitez du moment présent, la vie est courte » et « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et soucie-toi demain de demain », pensant que les gens devraient bien se traiter dans la vie. Dans le passé, quand j’étais étudiante, et alors que les examens d’entrée au lycée approchaient, l’école nous avait donné quelques jours pour réviser nos leçons. Mes camarades de classe se sentaient pressés par le temps et voulaient faire un dernier effort avant les examens. Mais je ne voulais pas me forcer. Je me disais que mes résultats d’examens n’étaient pas si importants que ça, et que je n’avais pas besoin de me fatiguer. J’ai passé ce temps-là à sortir avec quelques amies proches. Je ne ressentais pas du tout l’angoisse qu’ont les gens avant les examens. Au début de ma carrière, j’ai également pris des décisions basées sur mes préférences charnelles. Une société avait des exigences strictes pour ses employés : je me sentais réprimée et freinée, j’ai même posé ma démission et je suis partie. Je pensais que l’on devait vivre librement et facilement comme cela. Après avoir cru en Dieu, j’ai gardé cette même vision dans ma poursuite. Je voulais accomplir un devoir reposant et sans stress. Lorsque mon devoir est devenu un peu plus intense et plus stressant, cela déclenchait mon oppression, ma résistance, et je faisais mon devoir superficiellement et machinalement. Je n’avais absolument aucune humanité. Je savais fort bien que le Parti communiste était en train d’arrêter et de persécuter frénétiquement les élus de Dieu. Considérant que la stature des nouveaux venus était petite, la dirigeante supérieure disait qu’il fallait renforcer l’abreuvement et le soutien pour qu’ils puissent s’enraciner dans le vrai chemin le plus vite possible. En vérifiant le travail d’abreuvement et en supervisant d’un peu plus près, la dirigeante prenait l’entière responsabilité des vies des nouveaux venus et tenait compte de l’intention de Dieu. C’est ce qu’un dirigeant était censé faire. Mais puisque ma chair devait souffrir et payer un plus grand prix, je résistais, je me plaignais, et je ne prenais pas le travail d’abreuvement au sérieux. Par conséquent, les vies de certains nouveaux venus ont subi des pertes, vu qu’ils n’ont pas été abreuvés à temps. Pour les gens qui aiment la vérité et qui ont le sens des responsabilités, lorsqu’ils regardent la commission de Dieu, ils pensent d’abord à tenir compte de Son intention et à être à la hauteur de Ses exigences. Ils ont beau faire face à de grandes difficultés et à beaucoup de stress, ils réussissent à les affronter de façon proactive, exécutant chaque tâche de manière sérieuse et responsable. Si je faisais la comparaison avec moi-même : j’exécutais des devoirs de dirigeante, et pourtant je n’assumais pas de responsabilité dans mon travail et j’exécutais les tâches machinalement. En traitant mon devoir de cette façon, je n’étais digne de la confiance de personne, et j’avais abandonné mon intégrité et ma dignité. Si je continuais à être impénitente envers Dieu, j’allais sérieusement retarder le travail de l’Église, et Dieu allait me condamner et m’éliminer ! Si je n’avais pas été révélée de cette façon, je n’aurais pas reconnu ce point de vue erroné dans ma poursuite durant toutes ces années, et j’aurais pensé qu’il y avait une certaine liberté et facilité à poursuivre cette voie. J’étais vraiment stupide et ridicule.

Plus tard, j’ai trouvé un chemin de pratique dans les paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Ceux qui croient vraiment en Dieu sont tous des individus qui s’occupent de leur propre travail, ils sont tous disposés à accomplir leurs devoirs, ils sont capables d’assumer une tâche et de bien la faire en fonction de leur calibre et des règlements de la maison de Dieu. Bien entendu, il peut être difficile de s’adapter à cette vie, au début. Tu peux te sentir physiquement et mentalement épuisé. Cependant, si tu es vraiment déterminé à coopérer et que tu as la volonté de devenir une personne normale et bonne, et d’obtenir le salut, alors tu dois un peu payer un prix et laisser Dieu te discipliner. Lorsque tu as l’envie irrépressible de te montrer obstiné, tu dois te rebeller contre cette envie et l’abandonner, et atténuer peu à peu ton obstination et tes désirs égoïstes. Tu dois rechercher l’aide de Dieu dans les domaines cruciaux, aux moments cruciaux et en ce qui concerne les tâches cruciales. Si tu es effectivement déterminé, alors tu dois demander à Dieu de te châtier, de te discipliner et de t’éclairer, pour que tu puisses comprendre la vérité. Ainsi, tu obtiendras de meilleurs résultats. Si tu es véritablement déterminé, que tu pries Dieu en Sa présence et que tu L’implores, Dieu agira. Il changera ton état et tes pensées. Si le Saint-Esprit œuvre un peu, s’Il t’émeut un peu et t’éclaire un peu, ton cœur changera et ton état sera transformé. Lorsque cette transformation se produira, tu auras le sentiment que vivre de cette façon n’est pas répressif. Ton état et tes émotions répressifs seront transformés et atténués, et ils seront différents de ce qu’ils étaient auparavant. Tu auras le sentiment que vivre ainsi n’est pas fatigant. Tu auras du plaisir à accomplir ton devoir dans la maison de Dieu. Tu sentiras qu’il est bon de vivre, de te comporter et d’accomplir ton devoir de cette manière, d’endurer des difficultés et de payer un prix, de suivre les règles et de faire les choses en te basant sur les principes. Tu auras le sentiment que c’est le genre de vie que les gens normaux doivent avoir. Lorsque tu vivras selon la vérité et feras bien ton devoir, tu auras le sentiment que ton cœur est stable et en paix, et que ta vie a un sens » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (5)). À travers ces paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu aimait les gens qui croyaient vraiment en Lui et qui s’attelaient à leur propre travail. Ces gens ont beau faire face à des difficultés ou du stress dans leur devoir, ils peuvent assumer leurs responsabilités et leurs obligations en tant qu’adultes et accepter, se soumettre, ne pas essayer de fuir, et agir conformément aux principes et aux exigences de la maison de Dieu. Lorsqu’ils ne sont pas capables de le faire, ces gens prient, se fient à Dieu et recherchent la vérité. Grâce à leur poursuite et au prix qu’ils paient, Dieu les éclairera et les guidera. Ce sont ces gens dont la vie a de la valeur. Si je compare cela à l’accomplissement de mon devoir, dès que j’avais la moindre difficulté ou le moindre stress, je vivais imergée dans mes émotions de répression, ne cherchant pas l’intention de Dieu, et voulant même échapper à mon devoir. Je n’étais absolument pas quelqu’un qui tenait compte de l’intention de Dieu. Avant, lorsque je faisais un devoir plus simple et qu’on n’exigeait pas grand-chose de moi, c’était parce que ma stature était trop petite et que je venais juste de commencer la formation. À présent, j’exécutais des devoirs de dirigeante et le poids sur mes épaules était plus lourd, alors naturellement, on exigeait plus de moi. C’est comme quand un enfant dans une famille devient assez grand pour travailler un peu et faire des tâches ménagères. Ses parents exigent forcément plus de lui. S’il a peur de souffrir et qu’il ne s’attèle pas à son propre travail, alors il n’a aucune humanité et ses parents ne l’aimeront certainement pas. Dieu m’avait favorisée en me permettant de faire un devoir aussi important et de porter un plus lourd fardeau. Son intention était de me faire comprendre plus de vérités, de faire progresser ma vie plus vite, d’assumer mes responsabilités comme une adulte et d’être quelqu’un doté d’une conscience et d’une raison. Après avoir compris l’intention de Dieu, je me suis sentie bien plus libérée. Je ne pouvais pas continuer à être indigne de la considération de Dieu. Même si j’avais plus de travail et de stress, je devais rectifier mon attitude envers mon devoir, travailler sur les vérités-principes, rechercher plus avec la sœur avec qui je faisais équipe et avec la dirigeante supérieure lorsque je ne comprenais pas quelque chose, tout en me rattrapant peu à peu de mes lacunes et en étant à la hauteur des exigences de Dieu.

En septembre, les arrestations du Parti communiste étaient devenues de plus en plus graves, et nous ne pouvions travailler que dans l’ombre. Malgré cela, je devais quand même gérer toutes sortes de problèmes que les frères et sœurs signalaient, et je devais chercher à les résoudre chaque jour, en plus du travail que la dirigeante supérieure nous demandait de mettre en œuvre de toute urgence. Les contraintes de cette situation avaient un impact sur la façon dont nous exécutions les tâches diverses, dont nous gérions et résolvions les problèmes. Chaque jour, ces problèmes pesaient lourdement sur mon esprit, et c’était mentalement très éprouvant. De plus, la dirigeante supérieure nous envoyait des lettres immédiatement pour vérifier l’avancement de différentes tâches. Je recommençais à résister, et je me disais : « La supervision du travail de cette dirigeante est trop minutieuse et trop fréquente. Au début, je pensais que le fait de travailler dans l’ombre signifiait que je pouvais me reposer un peu, mais non seulement la charge de travail n’a pas diminué, mais en fait, elle a augmenté. Maintenant, je n’ai plus du tout d’occasions de céder à la chair. À l’avenir, si je dois continuer à faire mon devoir de cette façon, je serai très oppressée ! » J’ai réalisé qu’une fois de plus, mon état était incorrect. Je me suis vite présentée devant Dieu, faisant appel à Lui et Lui demandant de protéger mon cœur. Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « En tant qu’adulte, tu dois assumer ces choses sans te plaindre ni résister, et surtout sans les éluder ou les rejeter. […] Que ce soit au sein de la société ou dans la maison de Dieu, c’est pareil pour tout le monde. C’est la responsabilité que tu dois assumer, le lourd fardeau qu’un adulte doit porter, la chose à laquelle il doit faire face, et tu ne dois pas t’y soustraire. Si tu essaies sans cesse d’échapper à tout cela ou de t’en débarrasser, alors tes émotions répressives se manifesteront et tu seras constamment empêtré dans ces émotions. En revanche, si tu peux correctement comprendre et accepter tout cela, et le considérer comme une partie nécessaire de ta vie et de ton existence, alors ces problèmes ne doivent pas être une raison pour que tu développes des émotions négatives » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (5)). Après avoir lu ces paroles de Dieu, je savais qu’être quelqu’un de responsable et qui assumait les choses n’était pas simple et aisé. Si je voulais toujours échapper à ce genre de situation, alors je continuerais à être soumise à ces émotions de répression. La dirigeante supervisait le travail pour que je puisse accomplir correctement mon devoir. Vu que j’avais un tempérament corrompu et que j’étais souvent négligente dans mon devoir, c’est seulement grâce à la supervision de la dirigeante que je n’ai pas osé continuer à vivre selon ce tempérament et à faire ce que bon me semblait. Cela m’aiderait à accomplir correctement mon devoir. Je me disais que je ne pouvais pas continuer à vivre comme avant, avec des émotions de répression. Je devais rectifier mon attitude et affronter correctement la supervision de la dirigeante. Quand j’ai commencé à penser de cette façon, mon état a peu à peu changé. Après ça, j’ai accompli les différentes tâches normalement. Je m’efforçais de participer en faisant tout ce qui était en mon pouvoir. Lorsque je ne pouvais pas accomplir quelque chose, j’écrivais immédiatement à la dirigeante, cherchant un chemin de résolution. Maintenant, même s’il y a encore beaucoup de difficultés et de stress dans mon travail, je ne me sens plus réprimée ni en souffrance. Au contraire, mon sens des responsabilités a augmenté. C’est la direction des paroles de Dieu qui m’a délivrée de la répression et m’a permis d’assumer mes responsabilités comme une adulte. Dieu soit loué !

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