Je ne ressentirai plus d’anxiété et d’inquiétude face au vieillissement
Après avoir accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours, j’ai fait mon devoir dans l’Église. Quand j’avais la cinquantaine, j’ai commencé à faire des devoirs basés sur des textes, et j’ai remarqué que ma vitesse de réaction et ma mémoire n’étaient pas beaucoup moins bonnes que celles de frères et sœurs plus jeunes, et que mon efficacité et mon efficience dans mon devoir étaient également assez similaires aux leurs. J’étais très heureuse et très motivée dans mon devoir. Mais avec l’âge, mon corps a commencé à se dégrader, et j’ai également développé de l’hypertension. Ma force physique et mon énergie ont progressivement diminué, et mon esprit est aussi devenu plus lent. Parfois, lorsque je mangeais et buvais les paroles de Dieu un peu plus rapidement, mon esprit ne pouvait pas suivre, parfois, j’oubliais ce que je venais de lire et je devais revenir en arrière pour le relire. Ma mémoire s’est détériorée, et je suis devenue très oublieuse. Souvent, j’avais un mot sur le bout de la langue, mais je n’arrivais pas à me souvenir de ce que je voulais dire. Puis, je regardais ma partenaire, une sœur dans la trentaine, pleine d’énergie et l’esprit vif. Elle avait le regard avisé et travaillait rapidement et efficacement, et ce qu’elle pouvait terminer en une demi-heure me prenait une heure et demie. J’enviais souvent sa jeunesse et son énergie, et en même temps, je m’inquiétais pour moi-même, pensant : « Que se passera-t-il dans quelques années si mon esprit devient encore plus lent ? J’ai peur qu’à ce moment-là, je ne puisse plus faire le moindre devoir et que je devienne vraiment inutile. Comment pourrai-je alors obtenir le salut ? » Parfois, je me plaignais même intérieurement : « Pourquoi n’ai-je accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours qu’à un âge si avancé ? Si seulement j’avais 20 ans de moins, comme ça serait formidable ! Maintenant, je suis vieille et complètement inutile. » La vérité était que je voulais faire mon devoir du mieux que je pouvais, mais j’avais déjà 60 ans. Mon esprit et ma vue n’étaient plus ce qu’ils étaient, et j’avais de l’hypertension. Si je travaillais un peu plus tard le soir, je me sentais très fatiguée et devais me reposer tôt. Constater l’énorme écart d’efficacité dans les devoirs entre moi et les plus jeunes m’a procuré un sentiment d’abattement et d’infériorité, et j’ai fini par vivre dans un état négatif. Je ne voulais plus payer un prix dans mon devoir ni me concentrer sur l’amélioration de mes compétences. Je ne voulais même pas réfléchir à mes écarts pour améliorer mes résultats au travail. Je pensais : « Je suis vieille et inutile. Quels que soient mes efforts, je ne pourrai pas bien accomplir mon devoir. Un jour peut-être, je deviendrai un déchet encombrant et je serai éliminée. »
Dans mon angoisse et mon inquiétude, j’ai lu les paroles de Dieu : « Il y a aussi, parmi les frères et sœurs, des personnes âgées qui ont entre 60 ans et environ 80 ou 90 ans et qui, en raison de leur âge avancé, connaissent également certaines difficultés. Malgré leur âge, leur pensée n’est pas nécessairement très correcte ou très rationnelle, et leurs idées et points de vue ne correspondent pas nécessairement à la vérité. Ces gens âgés, eux aussi, ont des problèmes et ils s’inquiètent toujours : “Ma santé n’est plus très bonne et je suis limité dans les devoirs que je peux accomplir. Si j’accomplis simplement ce petit devoir, Dieu Se souviendra-t-Il de moi ? Parfois, je tombe malade et j’ai besoin que quelqu’un s’occupe de moi. Quand il n’y a personne pour s’occuper de moi, je ne suis pas en mesure d’accomplir mon devoir, alors que puis-je faire ? Je suis âgé, je ne retiens pas des paroles de Dieu quand je les lis et il m’est difficile de comprendre la vérité. Lorsque j’échange sur la vérité, je parle de manière confuse et illogique, et je n’ai aucune expérience qui mérite d’être partagée. Je suis âgé et je n’ai plus assez d’énergie, ma vue n’est plus très bonne et je ne suis plus fort. Tout est difficile pour moi. Non seulement je ne peux pas accomplir mon devoir, mais j’oublie des choses et me trompe facilement. Parfois, je suis confus et je cause des problèmes à l’Église et à mes frères et sœurs. Je veux obtenir le salut et poursuivre la vérité, mais c’est très difficile. Que puis-je faire ?” Lorsqu’ils pensent à ces choses, ils commencent à s’inquiéter, pensant : “Comment se fait-il que j’aie commencé à croire en Dieu seulement à cet âge ? Comment se fait-il que je ne sois pas comme ceux qui ont une vingtaine ou une trentaine d’années, ou même comme ceux qui ont une quarantaine ou une cinquantaine d’années ? Comment se fait-il que je n’aie rencontré l’œuvre de Dieu que maintenant, alors que je suis si vieux ? Ce n’est pas que mon destin soit mauvais ; au moins maintenant, j’ai rencontré l’œuvre de Dieu. Mon destin est bon et Dieu a été bienveillant avec moi ! Il y a juste une chose dont je ne suis pas satisfait, c’est que je suis trop vieux. Ma mémoire n’est pas très bonne et ma santé n’est pas vraiment excellente, mais j’ai une force intérieure inébranlable. C’est juste que mon corps ne m’obéit pas et que j’ai sommeil après avoir écouté pendant un moment lors des réunions. Parfois, je ferme les yeux pour prier et je m’endors, et mon esprit s’égare lorsque je lis les paroles de Dieu. Après avoir lu un peu, j’ai sommeil et je m’assoupis, et les mots ne rentrent pas. Que puis-je faire ? Avec de telles difficultés pratiques, suis-je encore capable de poursuivre et de comprendre la vérité ? Si tel n’est pas le cas, et si je ne suis pas capable de pratiquer conformément aux vérités-principes, alors toute ma foi ne sera-t-elle pas vaine ? Ne vais-je pas échouer à atteindre le salut ? Que puis-je faire ? Je suis tellement inquiet ! […]” […] Ces gens âgés sombrent dans un désarroi, une angoisse et une inquiétude profonds en raison de leur âge. Chaque fois qu’ils rencontrent une difficulté, un revers, une adversité ou un obstacle, ils blâment leur âge et même, ils se détestent et n’ont aucune estime d’eux-mêmes. Mais de toute façon, cela ne sert à rien, il n’y a pas de solution et ils n’ont aucun moyen d’avancer. Se pourrait-il qu’ils n’aient vraiment aucun moyen d’avancer ? N’y a-t-il pas une solution ? (Les personnes âgées devraient également accomplir leurs devoirs autant qu’elles le peuvent.) Il est acceptable que les personnes âgées accomplissent leurs devoirs autant qu’elles le peuvent, n’est-ce pas ? Les gens âgés ne peuvent-ils plus poursuivre la vérité en raison de leur âge ? Ne sont-ils pas capables de comprendre la vérité ? (Si.) Les gens âgés peuvent-ils comprendre la vérité ? Ils peuvent en comprendre une partie, mais même les jeunes ne peuvent pas non plus tout comprendre. Les gens âgés ont toujours une idée fausse, croyant qu’ils sont confus, que leur mémoire est mauvaise et qu’ils ne peuvent donc pas comprendre la vérité. Ont-ils raison ? (Non.) Bien que les jeunes aient beaucoup plus d’énergie que les personnes âgées et soient physiquement plus forts, leur capacité de percevoir, comprendre et connaître est en réalité la même que celle des gens âgés. Les gens âgés n’ont-ils pas aussi été jeunes ? Ils ne sont pas nés vieux, et les jeunes vieilliront tous un jour également. Les personnes âgées ne doivent pas toujours penser que parce qu’elles sont vieilles, physiquement faibles, malades et avec de mauvais souvenirs, elles sont différentes des jeunes. En fait, il n’y a pas de différence. […] Ce n’est pas que les personnes âgées n’aient rien à faire, ni qu’elles ne soient pas capables d’accomplir leurs devoirs, et encore moins qu’elles soient incapables de poursuivre la vérité : elles ont beaucoup de choses à faire. Les diverses hérésies et idées fausses que tu as accumulées au cours de ta vie, ainsi que les diverses idées et notions traditionnelles, les choses ignorantes et obstinées, les choses conservatrices, les choses irrationnelles et les choses déformées que tu as accumulées se sont toutes amoncelées dans ton cœur, et tu devrais consacrer encore plus de temps que les jeunes à creuser, à disséquer et à reconnaître ces choses. Ce n’est pas que tu n’aies rien à faire, ni que tu devrais éprouver du désarroi, de l’angoisse ou de l’inquiétude lorsque tu es dans un moment creux : ce n’est ni ta tâche, ni ta responsabilité. Tout d’abord, les personnes âgées doivent avoir le bon état d’esprit. Même si tu vieillis et que tu es relativement âgé physiquement, tu dois néanmoins avoir un état d’esprit jeune. Même si tu vieillis, que ta réflexion est ralentie et que ta mémoire est mauvaise, si tu peux encore te connaître, comprendre les paroles que Je dis et comprendre la vérité, alors cela prouve que tu n’es pas âgé et que tu ne manques pas de calibre » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). Les paroles de Dieu ont exactement exposé mon état. J’ai vu que la sœur avec qui j’étais associée était jeune et accomplissait son devoir efficacement, mais j’étais plus âgée, j’avais de l’hypertension, mon esprit était plus lent, et j’étais bien moins efficace qu’elle dans mon devoir. Je pensais qu’en raison de mon âge et de mon inutilité, Dieu me rejetterait sûrement et ne me sauverait pas. Je vivais dans un état d’incompréhension de Dieu. J’avais peur qu’au cours des prochaines années, mon corps se dégrade encore davantage, et qu’à ce moment-là, je ne puisse plus accomplir aucun devoir et que je sois éliminée. Penser à cela me rendait triste. Mais après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu traite les jeunes et les personnes âgées de manière égale. Lorsque Dieu exprime la vérité, ce n’est pas uniquement pour les jeunes ni uniquement pour les vieux. Dieu n’a jamais divisé Son peuple élu en différentes catégories selon l’âge, et Il n’a jamais dit non plus que les personnes âgées devraient être purgées de l’Église. Dieu ne fait pas de favoritisme, et peu importe l’âge d’une personne, elle peut être abreuvée et nourrie par les paroles de Dieu. Dieu donne à chacun la même chance d’être sauvé. Si une personne ne poursuit pas la vérité et a de l’aversion pour la vérité, elle ne peut pas être sauvée, quel que soit son âge. Dieu détermine l’issue et la destination d’une personne non pas selon son âge, mais essentiellement sur le fait de savoir si elle a acquis la vérité. Peu importe l’âge d’une personne, tant qu’elle peut comprendre les paroles de Dieu et pratiquer la vérité, elle peut parvenir à un changement de tempérament et obtenir le salut de Dieu. Même si j’avais déjà soixante ans et que j’étais lente à assimiler de nouvelles compétences, mon esprit était encore clair, et je pouvais toujours comprendre les paroles de Dieu quand je les lisais. Je pouvais également reconnaître mes lacunes et mon tempérament corrompu grâce aux paroles de Dieu. Dieu n’a pas arrêté de m’éclairer et de me guider simplement parce que je suis vieille, et Dieu espère que je pourrai passer plus de temps à manger et à boire Ses paroles. Dieu veut que j’acquière le discernement des poisons et des lois de survie de Satan, ainsi que de la culture traditionnelle. Il veut que je me débarrasse de ces choses négatives et que je me comporte et agisse sur la base de la vérité. C’est ce que Dieu espère voir. Mon esprit est encore sain et rationnel, et je peux toujours accomplir mes devoirs, alors je devrais chérir le temps que j’ai maintenant, faire de mon mieux dans mes devoirs, et poursuivre un changement de tempérament. Je ne pouvais plus utiliser mon âge comme excuse pour ne pas poursuivre la vérité. Si je vis dans l’inquiétude et l’anxiété, sans un sens du fardeau pour mon devoir et sans poursuivre un changement de tempérament, alors je deviendrai vraiment inutile et finirai par être éliminée par Dieu.
Plus tard, j’ai lu davantage les paroles de Dieu : « Les antéchrists ne croient en Dieu que dans le but d’obtenir du profit et des bénédictions. Même s’ils endurent quelque souffrance ou paient quelque prix, tout cela a pour objectif de négocier avec Dieu. Leur intention et leur désir d’obtenir des bénédictions et des récompenses sont immenses, et ils s’y accrochent avec fermeté. Ils n’acceptent aucune des nombreuses vérités exprimées par Dieu, dans leur cœur ils ne cessent de penser que croire en Dieu se résume à obtenir des bénédictions et à s’assurer une bonne destination, que c’est là le principe le plus élevé, et que rien ne peut le surpasser. Ils pensent que les gens ne devraient pas croire en Dieu à part pour gagner des bénédictions, et qu’à moins que ce soit pour obtenir des bénédictions, la croyance en Dieu n’aurait aucune signification ni valeur, qu’elle perdrait sa signification et sa valeur. Ces idées ont-elles été inculquées aux antéchrists par quelqu’un d’autre ? Proviennent-elles de l’éducation ou de l’influence de quelqu’un d’autre ? Non, elles sont déterminées par la nature-essence inhérente des antéchrists, qui est une chose que personne ne peut changer. Bien que Dieu incarné ait prononcé tant de paroles aujourd’hui, les antéchrists n’en acceptent aucune, et au lieu de cela, ils y résistent et les condamnent. La nature de leur aversion pour la vérité et de leur haine de la vérité ne pourra jamais changer. S’ils ne peuvent pas changer, qu’est-ce que cela indique ? Cela indique que leur nature est malveillante. Ce n’est pas une question de poursuivre ou non la vérité ; c’est un tempérament malveillant, c’est vociférer éhontément à l’encontre de Dieu et contrarier Dieu. C’est la nature-essence des antéchrists ; c’est leur vrai visage » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 7 : Ils sont malfaisants, insidieux et malhonnêtes (Partie II)). Dieu expose que les antéchrists, peu importe la souffrance qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient dans leur croyance en Dieu, essaient toujours de marchander avec Lui pour obtenir des bénédictions. Ils accordent plus d’importance aux bénédictions qu’à la poursuite de la vérité pour le salut. Quand ils ne peuvent pas obtenir de bénédictions, ils sont réticents à faire un quelconque devoir ou à payer un quelconque prix. Ils s’opposent même à Dieu et se plaignent que Dieu n’est pas juste. C’est le tempérament malveillant d’un antéchrist. En réfléchissant sur moi-même après avoir accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours, j’ai vu que croire en Dieu apportait des bénédictions et la chance d’être sauvé et d’entrer dans le royaume des cieux, et j’en étais heureuse, alors j’ai accompli mes devoirs, quoi qu’il arrive. Quand je voyais que mon travail produisait des résultats satisfaisants, j’avais l’impression de contribuer à l’Église, j’ai donc pensé que Dieu me donnerait sûrement une bonne destination. Mais maintenant que je suis vieille et que j’ai des problèmes de santé, mon efficacité et mes résultats dans mes devoirs ne peuvent plus rivaliser avec ceux des plus jeunes, donc je craignais qu’en vieillissant, je ne sois plus capable de faire de devoirs, et que je sois alors éliminée par Dieu. Désespérée à l’idée que j’avais perdu toute chance de recevoir des bénédictions, j’ai sombré dans des émotions négatives, et je vivais dans la douleur, l’inquiétude et la résistance négative. J’ai prétendu que mes efforts et mes dépenses étaient motivés par mes devoirs, mais au fond de moi, je faisais des calculs pour mon issue et ma destination. J’essayais d’utiliser mes devoirs pour marchander avec Dieu. En essence, j’essayais de manipuler et de fourvoyer Dieu. J’ai vu à quel point j’avais été égoïste et méprisable ! J’ai pensé à la façon dont Dieu a exprimé des millions de paroles pour sauver l’humanité, et combien j’ai de la chance d’être venue devant la présence de Dieu, et d’avoir joui de tant de nourriture de la parole de Dieu et d’avoir acquis du discernement sur les choses négatives. J’ai compris la valeur et le sens de la vie en tant qu’être créé, et j’ai gagné l’opportunité d’être sauvée. Je ne vivais plus dans le vide à chercher l’obtention de gains et plaisirs indulgents comme les non-croyants. Grâce à mon devoir, je peux vivre devant Dieu, et cela m’a épargné tant de maux de Satan. Maintenant, même si je suis plus âgée et que j’ai de l’hypertension, je n’ai pas de symptômes graves, et tant que je maintiens une routine régulière, je n’ai pas besoin de médicaments pour faire mes devoirs normalement. N’est-ce pas la grâce de Dieu sur moi ? Pourtant, même après avoir joui de l’amour de Dieu, je ne le Lui ai pas rendu et j’ai plutôt utilisé mes devoirs pour essayer de marchander avec Lui. J’étais vraiment dépourvue de conscience et de raison ! Je suis venue devant Dieu et je me suis repentie : « Mon Dieu, j’ai toujours essayé de marchander avec Toi dans mes devoirs. J’ai poursuivi les bénédictions, et je T’ai fait me mépriser et me détester. Je suis prête à véritablement me repentir devant Toi. »
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai trouvé un chemin de pratique. Dieu Tout-Puissant dit : « En plus d’être capables de bien accomplir leur devoir au mieux de leurs capacités, les gens âgés peuvent faire de nombreuses choses. À moins que tu ne sois stupide, dément et incapable de comprendre la vérité, et à moins que tu ne sois incapable de prendre soin de toi-même, il y a beaucoup de choses que tu devrais faire. Tout comme les jeunes, tu peux poursuivre la vérité, tu peux chercher la vérité et tu devrais souvent te présenter devant Dieu pour prier, chercher les vérités-principes, t’efforcer de considérer les gens et les choses, et te comporter et agir entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère. C’est le chemin que tu dois suivre, et tu ne dois pas être dans le désarroi, angoissé ou inquiet parce que tu es âgé, parce que tu souffres de nombreuses maladies ou parce que ton corps vieillit. Ressentir du désarroi, de l’angoisse et de l’inquiétude n’est pas la bonne chose à faire : ce sont des manifestations irrationnelles » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). À travers les paroles de Dieu, j’ai compris qu’en plus d’affronter correctement les lois naturelles du vieillissement, de la maladie et de la mort établies par Dieu, les personnes âgées devraient souvent venir devant Dieu pour Le prier et Le chercher, traiter les personnes, les événements et les choses qui se présentent selon les vérités-principes, et se concentrer sur la pratique de la vérité pour satisfaire Dieu. Elles ne devraient pas se sentir inférieures parce qu’elles sont plus âgées et moins capables que les plus jeunes ni se sentir contraintes par leur âge. Elles devraient faire leurs devoirs du mieux qu’elles peuvent, en tenant compte de leur énergie et de leur condition physique. C’est l’état d’esprit que les personnes âgées devraient avoir. En prenant conscience de cela, j’ai aussi pu faire face correctement à mon âge et à mes lacunes. Tenant compte du fait que j’étais plus âgée et que j’avais tendance à oublier des choses, j’ai pris des notes à l’avance sur le travail que je devais faire afin de ne pas retarder mon devoir. En ce qui concerne les compétences spécifiques, les plus jeunes peuvent se souvenir des choses après les avoir apprises une fois, alors que j’ai une mauvaise mémoire et que je comprends les choses plus lentement. Pour cette raison, j’ai fait plus d’efforts, et si je n’arrivais pas à les assimiler après une fois, je les étudiais trois fois de plus. Je ne devrais pas continuer à me comparer aux plus jeunes, mais plutôt poursuivre la vérité et m’efforcer de faire mes devoirs le mieux possible. J’ai ensuite pensé aux paroles de Dieu : « Je décide de la destination de chaque homme, non en fonction de l’âge, de l’ancienneté, du degré de souffrance et encore moins du degré auquel il inspire la pitié, mais plutôt selon qu’il possède ou non la vérité. Il n’y a pas d’autre option que celle-ci. Vous devez vous rendre compte que tous ceux qui ne respectent pas la volonté de Dieu seront punis. C’est un fait immuable » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que la détermination de Dieu concernant l’issue et la destination d’une personne n’est ni basée sur son âge, ni sur l’ampleur des souffrances qu’elle a endurées, mais plutôt sur le fait de savoir si elle a gagné la vérité et si son tempérament a changé. Si je ne poursuis pas la vérité et que je ne renonce pas à mon désir de bénédictions, et que mon tempérament corrompu ne change pas, alors même si j’avais vingt ans de moins, je serais tout de même éliminée. Je ne veux plus m’accrocher à mes points de vue fallacieux, et je souhaite seulement chercher à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, à bien faire mes devoirs tant que je vis, à poursuivre un changement de tempérament, et à la fin, même si je n’obtiens pas une bonne issue, je dois tout de même mener à bien mes devoirs. C’est la conscience et la raison que l’on doit avoir, ainsi que la direction que je dois poursuivre.
Je me rappelle qu’une fois, nous nous sommes réunis pour étudier les compétences professionnelles concernant les problèmes à résoudre, mais il y avait certaines questions que je ne comprenais encore pas bien. Lorsque ma sœur partenaire a commencé à échanger ses réflexions, et que son échange était plutôt bon, mes émotions négatives ont réapparu, et j’ai pensé : « Je suis plus âgée maintenant et il me faut beaucoup de temps pour comprendre les choses. Si dans deux ans je deviens encore plus engourdie, alors je ne pourrai plus accomplir aucun devoir. » Ces pensées m’ont mise mal à l’aise. Mais à ce moment-là, je me suis rappelée les paroles de Dieu : « Que tu sois ou non physiquement capable d’accomplir ton devoir, que tu puisses ou non entreprendre un travail, que ta santé te permette ou non d’accomplir ton devoir, ton cœur ne doit pas s’éloigner de Dieu et tu ne dois pas abandonner ton devoir dans ton cœur. De cette façon, tu t’acquitteras de tes responsabilités, de tes obligations et de ton devoir : c’est la fidélité à laquelle tu dois t’accrocher » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). Les paroles de Dieu ont instantanément dissipé mes préoccupations. À l’avenir, si en vieillissant je ne suis plus capable de comprendre les choses rapidement et de faire mes devoirs basés sur des textes, je pourrai toujours faire d’autres devoirs adaptés à mes capacités. Même si un jour ma condition physique m’empêche de faire mes devoirs, tant que mon cœur ne se détourne pas de Dieu, et que je peux faire appel à Lui, manger et boire Ses paroles, et réfléchir sur moi-même, Dieu ne me rejettera pas. Ce que Dieu méprise, c’est mon manque de foi véritable en Lui, car je poursuis toujours des bénédictions. En pensant à cela, j’ai éprouvé un sentiment de libération dans mon cœur et je ne me suis plus sentie passive ou négative. Au lieu de cela, j’ai commencé à réfléchir profondément et à étudier, ce qui m’a fait progresser dans l’apprentissage des compétences à ma disposition. Je remercie Dieu du fond de mon cœur pour Sa direction. Peu importe ma condition physique, ou le type d’issue ou de destination auxquelles je suis confrontée, je suis prête à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu et à bien faire mes devoirs.
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