Ne pas faire d’effort dans mon devoir m’a porté préjudice

8 janvier 2023

Par Owen, Espagne

En 2018, je travaillais dans l’Église comme concepteur vidéo. Au début, vu que je n’étais pas familiarisé avec les compétences techniques et différents principes, j’ai beaucoup étudié et j’ai essayé de maîtriser les compétences adéquates. Au bout d’un moment, mes compétences techniques se sont nettement améliorées et j’ai été choisi comme chef d’équipe. J’étais aux anges et j’étais plus que disposé à travailler dur pour accomplir mon devoir. Plus tard, un problème est apparu dans un projet vidéo compliqué, et mon dirigeant m’a envoyé pour suivre et résoudre le problème. Au vu du déroulement de travail compliqué et de mon manque de compétences techniques, j’ai d’abord travaillé avec les frères et sœurs pour trouver des solutions. Mais après une période de dur labeur pendant laquelle les choses ont commencé à mieux se dérouler et mes compétences techniques à s’améliorer, j’ai commencé à me relâcher. J’ai pensé : « Ce projet ne se déroule peut-être pas encore de façon optimale, mais c’est nettement mieux qu’avant. Il me suffit juste de continuer comme ça. Pas besoin de faire le point trop souvent. C’est tellement épuisant d’être sur les nerfs tout le temps. » Après ça, j’ai rarement exploré de nouvelles compétences et j’ai négligé d’approfondir mes compétences techniques. À plusieurs reprises, il y a eu des problèmes avec les vidéos que j’avais créées et les autres m’ont conseillé d’améliorer mes compétences. Même si je savais qu’ils avaient raison, je me disais : « J’ai assez de travail comme ça. Si je devais trouver du temps pour étudier, faisant abstraction du côté épuisant de la chose, et qu’après avoir dépensé tout ce temps et cette énergie, mes résultats ne s’amélioraient pas beaucoup ? Tout ce travail n’aurait-il pas été en vain ? » Alors j’ai ignoré les conseils des autres. Après ça, mon dirigeant a remarqué que notre travail n’avançait pas vite et m’a demandé d’identifier l’origine du problème. Mon partenaire m’a rappelé plusieurs fois de résoudre ce problème. À ce moment-là, j’étais un peu réfractaire. Je me disais : « Peut-être qu’on avance un peu lentement, mais on a de meilleurs résultats qu’avant. On ne devrait pas se précipiter. » Mais au fond, je savais que si je m’y mettais et que j’organisais le travail plus attentivement, on pouvait encore améliorer l’efficacité du travail. Mais chaque fois que je repensais au stress que je subissais déjà au travail et à quel point ce serait fatiguant de passer encore plus de temps sur ce travail, je le remettais sans cesse. Par la suite, mon dirigeant a évoqué le problème avec moi deux fois de plus, et par souci de ma réputation, c’est seulement là que je me suis mis à contrecœur à revoir la situation. Mais en définitive, je n’ai pas trouvé de solution appropriée.

Après ça, je n’ai pas voulu réfléchir au travail de l’équipe ni payer le prix pour faire mieux. Quand j’avais du temps libre, je voulais juste me reposer et je me suis même réveillé en retard plusieurs fois de suite, ce qui a retardé notre travail. Quand je faisais des courses, je traînais parfois dehors, échappant un moment à mon devoir. Quand il y avait une accalmie au travail, je ne pensais pas non plus à améliorer mes compétences. Au lieu de ça, j’en profitais pour me reposer. Et ainsi, je suis devenu de plus en plus relâché, ne faisant les choses qu’à moitié tout en suivant et attribuant le travail. Je n’aidais quasiment jamais les autres à récapituler les déviations dans leur travail et en cas de problèmes, je ne voulais pas réfléchir à une solution pour les résoudre. Résultat, on finissait par procrastiner sur des vidéos qui auraient évidemment pu être terminées en avance. Pendant ce temps, des problèmes surgissaient sans cesse avec les vidéos que j’avais créées et aucun des frères et sœurs de mon équipe ne s’améliorait dans son travail. Si la moindre difficulté apparaissait dans le travail, tout le monde se plaignait. Non seulement je ne réussissais pas à résoudre cela par l’échange, mais j’acceptais cette plainte. Vu que j’avais échoué à faire du travail concret et que je ne m’étais pas amélioré après les nombreux échanges avec les dirigeants et les ouvriers, j’ai rapidement été renvoyé. J’étais au plus mal, alors j’ai prié Dieu et j’ai réfléchi sur moi-même.

Un jour, lors de mes dévotions, j’ai vu que les paroles de Dieu disaient : « Il y a des gens qui ne veulent pas souffrir du tout dans leurs devoirs, se plaignent toujours chaque fois qu’ils rencontrent un problème et refusent d’en payer le prix. Quel genre d’attitude est-ce là ? C’est une attitude négligente. Si tu accomplis ton devoir de façon négligente et que tu l’abordes avec une attitude irrévérencieuse, quel sera le résultat ? Tu accompliras mal ton devoir, alors que tu as la capacité de l’accomplir correctement : le résultat ne sera pas à la hauteur, et Dieu sera très insatisfait de l’attitude que tu as vis-à-vis de ton devoir. Si tu avais pu prier Dieu, rechercher la vérité et y mettre tout ton cœur et ton esprit, si tu avais pu coopérer de cette manière, alors Dieu aurait tout préparé pour toi à l’avance, si bien que lorsque tu t’occuperais d’affaires, tout se mettrait en place et les résultats seraient bons. Tu n’aurais pas besoin d’employer une grande quantité d’énergie : quand tu aurais fait de ton mieux pour coopérer, Dieu aurait déjà tout arrangé pour toi. Si tu es fuyant et que tu te relâches, que tu ne t’occupes pas correctement de ton devoir et que tu suis toujours le mauvais chemin, Dieu n’agira pas sur toi : tu auras perdu cette chance et Dieu dira : “Tu n’es pas bon, Je ne peux pas t’utiliser. Écarte-toi. Tu aimes être rusé et te relâcher, n’est-ce pas ? Tu aimes être paresseux et être détendu, n’est-ce pas ? Eh bien sois détendu pour toujours !” Dieu donnera cette grâce et cette chance à quelqu’un d’autre. Qu’en pensez-vous : est-ce une perte ou un gain ? (Une perte.) C’est une perte énorme ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai repensé à mon temps comme chef d’équipe. J’ai vu que j’avais été exactement comme ce que les paroles de Dieu ont exposé. J’étais indifférent, irresponsable, superficiel, et fuyant vis-à-vis de mon devoir. Quand j’ai commencé à servir en tant que chef d’équipe, j’ai investi du temps et de l’énergie, mais dès que mes compétences se sont améliorées et que j’ai obtenu des résultats, je suis devenu complaisant, me reposant sur mes lauriers et cédant à la chair. Je ne pensais qu’à me reposer et à me simplifier la vie. Je ne voulais fournir aucun effort dans le travail pour l’améliorer. Même quand je voyais bien qu’il y avait des problèmes, je ne les résolvais pas tout de suite. Et quand les autres les soulignaient, je les ignorais. En tant que chef d’équipe, quand je voyais d’autres dans l’équipe se plaindre de leurs problèmes, non seulement je n’échangeais pas sur la vérité pour les résoudre mais j’abondais dans leur sens et étais d’accord avec eux. C’était comme si, quel que soit le retard que prenait la production vidéo ou les nombreux problèmes que rencontraient des frères et sœurs, cela n’avait rien à voir avec moi. Je voulais juste jouir des plaisirs charnels et éviter de me fatiguer. Résultat, il y avait sans cesse des problèmes avec les vidéos que l’on produisait, ce qui retardait sérieusement les progrès de la production. Je traitais à la légère un devoir très important. Et pour le confort et le bien-être de ma chair, j’osais agir de façon superficielle, tromper Dieu et duper les autres. Où était mon cœur craignant Dieu ? Dieu exécrait et détesterait de telles attitudes envers le devoir. En repensant à tous les problèmes dans mon travail, si j’avais juste investi du temps et payé un prix, les choses ne se seraient pas aussi mal passées. Mais j’étais paresseux et je ne voulais pas souffrir ni ressentir de fatigue. Résultat, j’ai nui au travail de production vidéo. J’étais tellement égoïste, méprisable et manquait d’humanité ! J’étais devenu réellement dégénéré et décadent et je ne m’en étais même pas rendu compte. Malgré les rappels lancés par Dieu, je ne réfléchissais pas et ne me repentais pas. Comment avais-je pu être aussi insensible et intransigeant ? Ayant réalisé cela, je me suis senti coupable et contrarié. Je ne méritais vraiment pas d’être chef, vu à quel point j’étais irresponsable et n’avait aucune humanité. C’était entièrement de ma faute si j’avais été renvoyé.

Plus tard, j’ai vu un autre passage des paroles de Dieu : « Prenons une personne ayant le sens des responsabilités. Tant qu’on lui dit quelque chose ou qu’on la charge de quelque chose, que ce soit de la part d’un dirigeant, d’un ouvrier ou du Supérieur, elle se dira toujours : “Eh bien, puisqu’il a pour moi une telle estime, je dois bien gérer cette question et ne pas le décevoir.” Ne te sentirais-tu pas en confiance si tu assignais une tâche à de telles personnes dotées de conscience et de raison ? La personne à qui tu peux confier la gestion d’une tâche est une personne que tu considères résolument comme digne de confiance et dont tu as une bonne opinion. Tu te diras qu’elle est une personne digne de confiance, surtout si toutes les choses qu’elle a faites pour toi ont été réalisées très consciencieusement et ont complètement répondu à tes exigences. Dans ton cœur, tu l’admireras vraiment et tu auras une haute opinion d’elle. Les gens sont prêts à s’associer à ce type de personne, sans parler de Dieu. Pensez-vous que Dieu serait prêt à confier un travail et une tâche d’Église que l’homme est obligé de faire à une personne qui ne serait pas digne de confiance ? (Non.) Quand Dieu assigne une tâche d’Église à quelqu’un, quelle est Son attente vis-à-vis de cette personne ? Premièrement, Dieu espère qu’elle sera diligente et responsable, qu’elle accordera à la tâche une grande importance et qu’elle l’accomplira bien. Deuxièmement, Dieu espère que cette personne sera digne de confiance, que, quel que soit le temps qui passe et la façon dont l’environnement changera, son sens des responsabilités ne faiblira pas et son intégrité résistera au test. Si c’est une personne de confiance, Dieu sera rassuré et Il ne supervisera plus et ne suivra plus cette question. En effet, dans Son cœur, Il lui fait confiance, on peut être sûr qu’elle l’exécutera sans commettre la moindre erreur » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). À travers ces paroles de Dieu, j’ai appris qu’une personne avec une vraie humanité est responsable dans son devoir, capable d’accepter l’examen de Dieu et capable de tenir bon dans son devoir, d’assumer ses responsabilités et sa loyauté conformément aux principes, et ce quelle que soit la situation dans laquelle elle se trouve. C’est l’attitude que l’on devrait avoir dans nos devoirs. Vu que l’Église m’avait nommé responsable de la production vidéo, j’aurais au moins pu faire de mon mieux, identifier et résoudre les problèmes et difficultés qui survenaient dans le travail dans les meilleurs délais afin de m’assurer que le travail avançait normalement. Quand j’avais pris ce devoir, j’avais promis avec empressement mais plus tard, je n’avais pensé qu’à mon propre confort et mon bien-être et je n’avais fait aucun travail concret du tout, même quand les autres m’avaient incité et exhorté à le faire à maintes reprises. Je détenais le titre de « chef d’équipe », mais je ne parvenais à rien et je ne réussissais même pas à accomplir le strict minimum des responsabilités qui m’incombaient. Résultat, je retardais le travail de production vidéo de l’Église. Je manquais vraiment d’humanité et j’étais indigne de confiance ! Vu mon attitude, j’aurais dû être éliminé depuis longtemps. Ce n’est que grâce à la miséricorde et à la tolérance de Dieu que j’ai pu continuer à faire ce devoir dans l’équipe. À ce moment-là, j’ai pensé : « Il faut que je chérisse cette opportunité et que je fasse mon maximum dans mon devoir. » Après ça, j’ai arrêté de me contenter de l’état actuel des choses dans mon devoir et, en plus de terminer le travail sur les vidéos qui m’étaient confiées chaque jour, j’ai continué à chercher des moyens d’accroître mon efficacité. J’ai aussi identifié nos problèmes et les déviations et les ai signalés au dirigeant de l’équipe dans les meilleurs délais. J’ai également discuté des moyens de solutionner les problèmes avec tous les autres. Même si c’était plus fatiguant de travailler ainsi, je me sentais beaucoup plus en paix et à l’aise, sachant que j’avais assumé certaines de mes responsabilités.

Peu après, le dirigeant d’Église a vu que je j’avais en partie changé et m’a chargé de superviser un projet vidéo. J’ai chéri l’opportunité d’effectuer ce devoir et je voulais faire de mon mieux. Je faisais activement le point tous les jours et je prenais note de toutes les déviations que nous rencontrions. Quand je voyais des problèmes, je trouvais tout de suite un moyen de les résoudre et si je n’y arrivais pas, j’en parlais avec le dirigeant de l’équipe. Mais un peu plus tard, quand nous nous sommes parvenus à quelques résultats dans notre travail et que mes compétences s’étaient améliorées, ma paresse passée est peu à peu revenue. Je me suis dit : « Ces derniers jours, le travail avance comme prévu et il n’y a pas de problème majeur. Je devrais me reposer un peu. Si je travaille autant tous les jours et que j’ai autant de préoccupations, ça finira par être trop pour moi. » Dès que j’ai pensé cela, je suis devenu relâché, ne faisant à nouveau que les choses inscrites au programme dans mon travail, ne pensant plus à améliorer mes compétences ni à résoudre les problèmes et les déviations, et ne m’embêtant même pas à faire le point avec les frères et sœurs sur leur situation dans leur travail. Dès que j’avais du temps libre, je voulais juste me détendre et parfois, tout en travaillant ou étudiant des compétences techniques, je regardais des vidéos ou des séries amusantes pour passer le temps. Résultat, les vidéos qui auraient pu être finies en avance étaient retardées et nos résultats au travail commençaient à se dégrader. À ce moment-là, j’étais hébété et confus. Je ne gagnait aucune lumière en lisant les paroles de Dieu et je sentais une obscurité se répandre en moi. En outre, quand je priais Dieu, je ne sentais pas Sa présence. Même si je savais que c’était dangereux de continuer ainsi, je n’arrivais toujours pas à me contrôler et me sentais réellement affligé et tourmenté. À ce moment-là, je suis tombé sur un passage des paroles de Dieu : « Si le discours et la conduite d’un croyant sont toujours aussi désinvoltes et immodérés que ceux d’un non-croyant, alors il est encore plus malveillant que le non-croyant ; il est le démon typique » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). J’avais l’impression que ces paroles de Dieu m’exposaient directement. Je croyais en Dieu depuis de nombreuses années, et pourtant, j’échouais à remplir mes devoirs et cherchais à m’amuser au lieu de travailler, ne montrant aucune sincérité du tout. Dans le monde laïque, on doit respecter les règles établies par une société ; et quand on est au travail, on doit faire son travail avec zèle et ne pas se laisser aller. Mais tout en faisant mon devoir dans l’Église, je ne possédais pas le moindre sens des responsabilités et, avec désinvolture, je laissais mon devoir de côté juste pour satisfaire ma chair. Vu la façon dissolue et débridée dont j’avais agi, en quoi méritais-je vraiment qu’on me qualifie de Chrétien ? Je n’étais même pas bon à rendre service dans mon devoir, encore moins à faire mon devoir d’une manière conforme à la norme. Je me haïssais d’avoir cédé à la chair. Pourquoi n’avais-je pas la moindre volonté pour me rebeller contre ça ? J’ai pensé à mes frères et sœurs en Chine continentale qui risqueraient d’être arrêtés et torturés par le PCC avant d’abandonner leur devoir. Pourtant, j’étais ici, faisant mon devoir dans un pays libre et démocratique, m’étant échappé de Chine, et je n’étais même pas disposé à investir un peu plus de réflexion dans mon travail ou à payer le prix. J’agissais comme un vrai bon à rien. Je n’avais pas une once de dignité ni de caractère. Plus j’y pensais, plus j’avais honte de faire face aux frères et sœurs, et encore moins face à Dieu. Et j’ai commencé à réfléchir, « J’ai déjà échoué une fois auparavant parce que j’ai cédé à la chair et fui mon devoir. Pourquoi n’avais-je pas appris de mes précédentes erreurs ? Pourquoi étais-je si inconstant et changeant dans mon travail ? » J’ai prié Dieu à maintes reprises, Lui demandant de m’éclairer et de m’illuminer pour que je puisse trouver la cause profonde de mon problème.

Un jour, je suis tombé sur ces passages des paroles de Dieu : « Pourquoi les gens sont-ils toujours indisciplinés et paresseux, semblables à des morts-vivants ? C’est lié à un problème dans leur nature. Il y a une sorte de paresse dans la nature humaine. Quelle que soit la tâche qu’ils exécutent, les gens ont toujours besoin de quelqu’un pour les superviser et les inciter à agir. Parfois, les gens sont préoccupés par la chair, ils convoitent le confort physique et ont toujours une idée derrière la tête dans leur intérêt : ces gens sont pleins d’intentions diaboliques et de stratagèmes astucieux ; ce ne sont vraiment pas de bonnes personnes. Ils font toujours moins que de leur mieux, quel que soit le devoir important qu’ils font. C’est irresponsable et déloyal. J’ai dit ces choses aujourd’hui pour vous rappeler de ne pas être passifs au travail. Vous devez être capables de suivre tout ce que Je dis » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (26)). « Les faux dirigeants ne font pas de réel travail, mais ils savent agir comme des fonctionnaires. Quelle est la première chose qu’ils font quand ils deviennent dirigeants ? Ils achètent les faveurs des gens. Ils adoptent l’approche : “Les nouveaux fonctionnaires sont désireux d’impressionner.” D’abord, ils font certaines choses pour se faire bien voir des gens et s’occupent de certaines choses qui améliorent le bien-être quotidien de tous. Ils essaient tout d’abord de faire bonne impression, de montrer à tous qu’ils sont d’accord avec les masses, afin que tous les louent et disent : “Ce dirigeant se comporte comme un parent à notre égard !” Puis ils prennent officiellement le pouvoir. Ils sentent qu’ils disposent du soutien populaire et que leur position a été sécurisée ; ensuite, ils commencent à jouir des avantages du statut, comme si c’était un dû légitime. Leurs devises sont : “La vie ne consiste qu’à bien manger et à s’habiller élégamment”, “La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux” et “Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et soucie-toi demain de demain.” Ils profitent de chaque jour qui se présente, ils se divertissent tant qu’ils le peuvent et ne se préoccupent pas de l’avenir, et considèrent encore moins les responsabilités que devrait assumer un dirigeant et les devoirs que celui-ci devrait faire. Ils prêchent les formules et les doctrines, et réalisent naturellement quelques tâches, pour l’apparence, comme une routine, mais ils ne font pas de réel travail. Ils n’essaient pas de mettre au jour les problèmes réels dans l’Église, et ne les résolvent pas complètement, alors, quel est l’intérêt qu’ils fassent un travail si superficiel ? N’est-ce pas frauduleux ? Peut-on confier d’importantes tâches à ce genre de faux dirigeants ? Sont-ils en phase avec les principes et les conditions de sélection des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu ? (Non.) Ces gens-là n’ont ni conscience ni raison, ils sont dénués de tout sens des responsabilités, et pourtant, ils continuent de vouloir occuper quelques fonctions officielles, être dirigeants, dans l’Église. Pourquoi sont-ils si éhontés ? Pour certains individus qui ont le sens des responsabilités, ils ne peuvent pas être dirigeants s’ils sont de calibre médiocre, et c’est sans parler des personnes inutiles qui n’ont absolument aucun sens des responsabilités ; celles-ci sont encore moins qualifiées pour être dirigeants. À quel point ces faux dirigeants gloutons et indolents sont-ils paresseux ? Même quand ils découvrent un problème, et qu’ils ont conscience que c’en est un, ils ne le prennent pas au sérieux et n’en font pas cas. Ils sont tellement irresponsables ! Bien qu’ils s’expriment bien et semblent avoir un peu de calibre, ils sont incapables de résoudre divers problèmes dans le travail de l’Église, laissant ainsi le travail s’enliser jusqu’à l’arrêt ; les problèmes continuent de s’accumuler, mais ces dirigeants ne s’en soucient pas, et ils insistent pour accomplir quelques tâches superficielles comme une routine. Et quel en est le résultat final ? Ne sèment-ils pas le désordre dans le travail de l’Église, ne le gâchent-ils pas ? Ne provoquent-ils pas le chaos et un manque de cohésion au sein de l’Église ? C’est là un résultat inévitable » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Après avoir réfléchi à ces paroles de Dieu, j’ai compris que la raison pour laquelle j’étais complaisant et manquais d’initiative dans mon devoir était que j’étais paresseux et hédoniste par nature. Mon esprit était rempli de philosophies sataniques des relations mondaines telles que « La vie ne consiste qu’à bien manger et à s’habiller élégamment », « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui, et soucie-toi demain de demain » et « Mange, bois et sois joyeux, car la vie est courte ». Je vivais selon ces idées fausses sataniques, pensant que dans cette vie sur terre, il fallait que je m’amuse. Je ne pouvais accepter la souffrance et l’épuisement incessants. Par conséquent, je n’arrivais à persévérer dans rien de ce que je faisais. Je considérais le moindre résultat dans mon travail comme capital et j’étais devenu complaisant et décadent. C’était comme quand j’étais à l’école : quand j’avais de bonnes notes et que mes professeurs et mes camarades me félicitaient, je ne voulais pas continuer à dépenser du temps et de l’énergie à étudier. Je voulais juste m’amuser. J’arrêtais alors d’écouter en classe ou de faire mes devoirs. Mais dès que mes notes baissaient et que mes parents et mes professeurs devenaient plus stricts avec moi, j’étudiais d’arrache-pied et je faisais des efforts jusqu’à ce que mes notes remontent. Et là, je me relâchais et je pensais de nouveau à m’amuser. Toutes ces années, j’ai sans cesse été contrôlé par ces idées décadentes et je suis devenu encore plus paresseux, découragé et sans initiatives. J’étais inconstant et changeant dans tout ce que je faisais. Je ne voulais pas souffrir ni payer un prix et j’étais devenu de moins en moins disposé à faire des efforts dans mon devoir. Aussi bien comme chef d’équipe que comme membre d’équipe vérifiant l’avancement des travaux, j’étais aussi paresseux que sans initiatives. Dès que j’obtenais des résultats, je me la coulais douce et voulais alterner travail et repos, pour ne pas en pâtir et m’épuiser. Même quand je savais qu’il y avait des problèmes dans le travail, je ne les résolvais pas. Je préférais perdre mon temps avec des divertissements insignifiants plutôt que de me sacrifier un peu plus et de payer un peu plus le prix pour mon devoir. J’en faisais juste assez pour sauver les apparences, duper et tromper mon dirigeant. J’ai vu que non seulement j’étais paresseux, mais j’étais également rusé et fuyant, voulant seulement vivre une vie pleine de détente et de bien-être. J’avais vraiment profité de l’abreuvement et de la provision des paroles de Dieu ainsi que de Ses soins et de Sa protection, mais je n’avais même pas fait le strict minimum dans mes responsabilités. N’étais-je pas un oisif qui prenait de la place pour rien, un parasite dans l’Église ? Où étaient mon humanité et ma raison ? Je me suis souvenu d’une phrase de la Bible qui dit : « Et la sécurité des insensés les perd » (Proverbes 1:32). Si je ne me repentais pas, même si l’Église ne m’éliminait pas pour le moment, Dieu examine tout, et le Saint-Esprit allait arrêter d’œuvrer en moi. Tôt ou tard, je serais éliminé.

Après cela, en mangeant et en buvant les paroles de Dieu, j’ai commencé à changer d’attitude envers mon devoir. Les paroles de Dieu disent : « Ta manière de considérer les commissions de Dieu est extrêmement importante, et c’est une question très sérieuse. Si tu ne peux pas terminer ce que Dieu a confié aux gens, alors tu n’es pas digne de vivre en Sa présence et tu devrais être puni. Il est parfaitement naturel et justifié que les humains terminent toutes commissions que Dieu leur confie. C’est la suprême responsabilité des hommes, tout aussi importante que leur vie même. Si tu ne prends pas les commissions de Dieu au sérieux, alors tu Le trahis de la manière la plus grave. En cela, tu es plus lamentable que Judas et tu devrais être maudit. Les gens doivent acquérir une compréhension approfondie de la manière de traiter ce que Dieu leur confie et, à tout le moins, ils doivent comprendre que les commissions qu’Il confie à l’humanité sont des exaltations et des faveurs spéciales venant de Dieu et qu’elles sont les plus glorieuses des choses. Tout le reste peut être abandonné. Même si une personne doit sacrifier sa propre vie, elle doit quand même réaliser la commission de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment connaître la nature de l’homme). « L’homme doit chercher à vivre une vie qui a du sens et ne devrait pas se contenter de sa situation actuelle. Pour vivre à l’image de Pierre, il doit posséder les connaissances et les expériences de Pierre. L’homme doit poursuivre des choses plus élevées et plus profondes. Il doit poursuivre un amour plus profond et plus pur envers Dieu et une vie qui a de la valeur et du sens. Cela seul est la vie ; seulement alors l’homme sera comme Pierre. Tu dois te concentrer à être proactif envers ton entrée du côté positif, et tu ne dois pas te permettre passivement de retomber pour une facilité momentanée tout en ignorant des vérités plus profondes, plus spécifiques et plus concrètes. Ton amour doit être concret et tu dois trouver des façons de te libérer de cette vie dépravée, insouciante qui n’est pas différente de celle d’un animal. Tu dois vivre une vie qui a du sens, une vie de valeur, et tu ne dois pas te duper ni traiter ta vie comme un jouet avec lequel s’amuser. Pour quiconque aspire à aimer Dieu, il n’y a pas de vérités impossibles à atteindre ni de justice pour laquelle il ne puisse tenir ferme. Comment devrais-tu vivre ta vie ? Comment devrais-tu aimer Dieu et utiliser cet amour pour satisfaire Ses intentions ? Il n’y a rien de plus important dans ta vie. Surtout, tu dois avoir de telles aspirations et de la persévérance et tu ne devrais pas être comme ces faibles qui n’ont aucun cran. Tu dois apprendre à expérimenter une vie qui a du sens, expérimenter des vérités significatives et tu ne devrais pas te traiter à la légère comme tu le fais » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). À travers ces paroles de Dieu, j’ai compris que la valeur et le sens de la vie résident dans l’accomplissement d’un devoir en tant qu’être créé. Si on cherche toujours le confort et le bien-être, que l’on manque d’initiative et que l’on est superficiel dans son devoir, on trahit Dieu, et Il maudit et déteste un tel comportement. J’ai pensé à Pierre, qui a assidûment cherché à aimer et à satisfaire Dieu toute sa vie, s’en tenant toujours strictement aux paroles de Dieu et essayant de s’améliorer. Il s’est toujours efforcé de pratiquer la vérité et de satisfaire Dieu, Il a fini par être crucifié la tête en bas pour Dieu et porté un témoignage retentissant. Puis, il y a Noé. Après avoir accepté le commandement de Dieu, il a œuvré pendant 120 ans pour construire l’arche sans jamais rechigner, alors qu’il a été confronté à d’innombrables difficultés. Il a énormément souffert et a travaillé sans relâche jusqu’à ce que l’arche soit terminée. En me comparant à la façon dont Noé et Pierre ont traité Dieu et leur devoir, je me suis senti incroyablement honteux J’ai vu que j’étais égoïste et paresseux, et que je n’avais pas une once d’humanité. Je n’avais pas le moindre sens des responsabilités envers mon devoir, j’étais superficiel et je procrastinais. Dès qu’on me demandait plus ou que le travail s’intensifiait, je me plaignais d’être fatigué, je me laissais aller et je cédais à la chair, même quand on me poussait. Je n’avais pas du tout un cœur craignant Dieu. Vu la façon dont je faisais les choses, j’allais uniquement finir par m’épuiser. Mais j’avais toujours pensé être dans le vrai et je m’étais contenté de faire le moins d’effort possible. J’étais tellement insensible, bête et ignorant ! Même si j’avais accompli mon devoir de cette manière, Dieu m’avait encore donné plusieurs chances de me repentir. Je ne pouvais pas continuer à blesser les sentiments de Dieu par ma décadence. Alors j’ai prié Dieu et dit : « Ô Dieu, j’admets être de nature paresseuse et manquer d’humanité. Je ne veux pas continuer à vivre ainsi. Je veux poursuivre sincèrement la vérité et accomplir mon devoir. S’il Te plaît, examine mon cœur. »

À partir de là, j’ai investi plus de temps et d’énergie dans mon devoir. Et même si mon emploi du temps était chargé chaque jour, je trouvais toujours un peu de temps pour étudier et améliorer mes compétences techniques. Je résumais aussi régulièrement les problèmes et les déviations dans mon travail et m’efforçais constamment d’améliorer mes compétences. Peu après, j’ai commencé à obtenir de meilleurs résultats dans les vidéos que je produisais. J’ai remarqué que lorsque je partageais ce que j’avais appris avec mes frères et sœurs, ça semblait leur être utile aussi. Je me sentais vraiment en paix et à l’aise. Faire mon devoir comme ça demandait un peu plus de travail et j’avais moins de temps pour me reposer, mais je ne me sentais ni fatigué ni éprouvé. En fait, j’étais beaucoup plus clairvoyant. Rien à voir avec avant, quand j’étais tous les jours distrait et tête en l’air. C’est aussi devenu plus facile de déceler les problèmes dans notre travail et, grâce à l’échange avec mes frères et sœurs et à l’éclairage et à la direction de Dieu, on a rapidement résolu de nombreux problèmes. Mais puisque j’avais été corrompu trop profondément par Satan, ses idées sur l’indolence me nuisaient encore de temps en temps. Quand j’ai commencé à obtenir de bons résultats, je suis une fois de plus redevenu un peu complaisant et j’ai voulu céder à la chair. Une fois, alors que j’étudiais l’une de nos vidéos, j’ai remarqué un film d’action dans mon flux de données. J’ai pensé : « Ça a été très stressant, au travail ces derniers temps. Ça ne peut pas faire de mal d’en regarder une petite partie et de relâcher la pression. » Pendant que je regardais, j’ai soudain réalisé que j’étais repris par mes vieilles habitudes. J’ai vu un passage des paroles de Dieu : « Tu veux être superficiel dans l’accomplissement de ton devoir. Tu tentes de te relâcher et d’éviter que Dieu te scrute. En de tels moments, hâte-toi de venir devant Dieu pour prier, et demande-toi si tu as agi de la bonne façon. Puis pense à ceci : “Pourquoi est-ce que je crois en Dieu ? Une telle superficialité va peut-être confondre les gens, mais confondra-t-elle Dieu ? De plus, ma foi en Dieu ne consiste pas à me relâcher : elle sert à être sauvé. Quand j’agis ainsi, ce n’est pas l’expression d’une humanité normale et Dieu n’aime pas cela. Non, je pouvais me relâcher et faire ce qui me plaisait dans le monde extérieur, mais à présent, je suis dans la maison de Dieu, je suis sous la souveraineté de Dieu, sous l’examen de Ses yeux. Je suis une personne, je dois agir selon ma conscience, je ne peux pas faire ce que je veux. Je dois agir selon les paroles de Dieu, je ne dois pas être superficiel, je ne peux pas me relâcher. Donc, comment dois-je agir pour ne pas me relâcher, pour ne pas être superficiel ? Je dois faire des efforts. Tout à l’heure, je sentais que c’était trop compliqué de le faire ainsi, je voulais éviter la souffrance, mais maintenant, je comprends : c’est peut-être très compliqué de faire comme ça, mais c’est efficace, et c’est donc comme ça qu’il faut agir.” Quand tu travailles et que tu continues de redouter la souffrance, en de tels moments, tu dois prier Dieu : “Oh mon Dieu ! Je suis une personne paresseuse et sournoise, je T’implore de me discipliner, de me faire des reproches, de sorte que ma conscience ressente quelque chose et que j’éprouve un sentiment de honte. Je ne veux pas être superficiel. Je T’implore de me guider et de m’éclairer, de me montrer ma rébellion et ma laideur.” Quand tu pries de cette façon, que tu réfléchis et essaies de te connaître toi-même, cela donnera lieu à un sentiment de regret, et tu seras en mesure de haïr ta laideur. Ton état erroné commencera à changer, et tu seras capable de contempler cela et de te dire : “Pourquoi suis-je superficiel ? Pourquoi est-ce que je suis toujours en train de tenter de me relâcher ? Agir ainsi est dénué de toute conscience et de toute raison : est-ce que je crois encore en Dieu ? Pourquoi est-ce que je ne prends pas les choses au sérieux ? N’ai-je pas simplement besoin d’y consacrer plus de temps et de faire plus d’efforts ? Ce n’est pas une lourde charge. Voilà ce que je devrais être en train de faire. Si je ne peux même pas faire cela, suis-je apte à être qualifié d’être humain ?” Par conséquent, tu prendras une résolution et prêteras serment : “Oh mon Dieu ! Je T’ai laissé tomber, je suis vraiment trop profondément corrompu, je suis dénué de conscience et de raison, je n’ai pas d’humanité, je désire me repentir. Je T’implore de me pardonner, je vais certainement changer. Si je ne me repens pas, Tu pourras me punir.” Suite à cela, ta mentalité fera marche arrière et tu commenceras à changer. Tu agiras et accompliras tes devoirs consciencieusement, avec moins de superficialité, et tu seras capable de souffrir et de payer un prix. Tu sentiras qu’il est merveilleux de faire ton devoir de cette façon, et tu auras de la paix et de la joie dans ton cœur. Lorsque les gens pourront accepter l’examen minutieux de Dieu, lorsqu’ils pourront Le prier et compter sur Lui, leur état sera bientôt changé » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Chérir les paroles de Dieu est le fondement de la croyance en Dieu). Après avoir réfléchi à ces paroles de Dieu, j’ai trouvé un chemin de pratique. J’étais paresseux par nature. Je préférais le confort et les loisirs et je ne voulais pas souffrir. Tout seul, je ne pouvais pas résoudre ce problème. Il a fallu que je prie, que je me fie à Dieu et que j’accepte Son examen. La prochaine fois que je voudrais céder à la chair et être fuyant ou me relâcher, il faudrait que je prie Dieu tout de suite et que je Lui demande de me discipliner et de me châtier. Alors seulement, je pourrais me rebeller contre ma chair et faire mon devoir correctement. J’ai donc parlé à Dieu de mon état dans une prière et Lui ai demandé de me discipliner. Après ma prière, je me suis calmé et j’ai continué à vérifier la vidéo, en considérant attentivement les principes et en cherchant des informations pertinentes. Quand j’ai réfléchi à mon travail, j’ai senti que Dieu me guidait et je suis arrivé à identifier rapidement les problèmes dans la vidéo et à trouver un moyen de les résoudre.

Cette expérience m’a permis de traiter ma paresse avec plus de foi. J’ai compris qu’il suffisait juste que je me fie à Dieu et que j’accepte qu’Il examine mon travail. Si je commençais à céder à la chair, je pourrais prier et compter sur Dieu pour me freiner sciemment. De cette façon, j’aurais la force de vaincre ma paresse de faire mon devoir paisiblement. Aujourd’hui, même si ai-je révèle toujours souvent des pensées et idées de confort et de bien-être, je sais que tant que je suis les paroles de Dieu et que je les pratique sans relâche, et que j’entre en elles, ces tempéraments corrompus seront certainement purifiés et changés.

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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