Un devoir impérieux
Par Glydle, Philippines En septembre 2020, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. Ensuite, j’ai souvent participé à...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En octobre 2004, ma femme et moi avons accepté le travail de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours et nos deux enfants nous ont suivi dans la croyance en Dieu. J’étais particulièrement heureux, je me disais, « Notre famille entière croit en Dieu. Si nous pouvons tous être sauvés et entrer dans le royaume, ce serait merveilleux ! » Ensuite, ma femme et moi avons, tous les deux, fait nos devoirs. Ma femme était plus enthousiaste que moi et je sentais toujours qu’elle poursuivait la vérité plus que moi.
En 2013, tandis que ma femme était employée comme dirigeante de groupe, la dirigeante de l’Église Wang Jing a montré, au cours d’une réunion, ses écarts et ses problèmes dans sa façon de faire ses devoirs. Plus tard, ma femme a tenu fermement face aux révélations de corruption de Wang Jing. Elle a fait des jugements arbitraires et les a diffusés, ce qui a eu pour conséquence que des frères et sœurs ont développé des préjugés contre Wang Jing, ce qui s’est traduit en de nombreuses tâches inachevées et qui a perturbé gravement la vie de l’Église. La dirigeante et le diacre ont échangé avec elle de multiples fois, mais elle était réfractaire et insatisfaite, allant même jusqu’à se quereller et être trompeuse, n’ayant pas la moindre connaissance d’elle-même. Par conséquent, l’Église l’a renvoyée de son poste. Après avoir été renvoyée, elle n’a montré aucun signe de repentance et a continué à trouver des choses à redire sur Wang Jing, répandant des jugements et des ragots partout. À cause de ses constantes interruptions et perturbations de la vie de l’Église, certains frères et sœurs l’ont exposée et l’ont signalée. Plus tard, suite au vote de 80 % des membres de l’Église, ma femme a été définie comme une personne malfaisante et a été expulsée. Au moment où cela s’est produit, c’était très douloureux. En pensant à la façon dont ma femme avait abandonné sa carrière pour faire son devoir depuis qu’elle avait commencé à croire en Dieu, bravant toutes sortes d’épreuves pendant tant d’années, maintenant qu’elle était expulsée, cela ne signifiait-t-il pas que tout était fini pour elle ? Il n’y avait plus aucun espoir de salut. Cependant, ma femme ne s’en préoccupait pas du tout et disait, « Je crois en Dieu. C’est inutile de m’expulser. Je crois encore en Dieu après avoir été expulsée. » Voyant qu’elle avait fait tant de mal et qu’elle ne se connaissant pas elle-même encore à présent, et qu’elle était sceptique et rancunière à propos de la décision de l’Église, j’ai senti que son expulsion par l’Église n’était pas du tout excessive. Après son expulsion, de nombreux frères et sœurs qui nous ont rendu visite à la maison ont échangé avec elle et l’ont pressée de réfléchir et de se reconnaître elle-même, mais elle ne l’acceptait pas du tout et se disputait de façon irrationnelle, affirmant que les dirigeants et les ouvriers étaient contre elle et ainsi l’avaient expulsée. De plus, elle a continué à avoir du ressentiment contre Wang Jing.
Plus tard, la maison de Dieu a exigé que toutes les églises réexaminent les membres qui avaient été écartés ou expulsés pour voir si l’un d’eux se repentait vraiment et pouvait être réadmis. Je pensais, « Ma femme remplit-elle les conditions pour une réadmission ? Depuis son expulsion, elle n’a pas réfléchi et gagné de connaissance de ses actions, et elle continue à tenir des idées préconçues contre Wang Jing ; elle la juge derrière son dos. Elle ne montre aucun signe de repentance, alors selon les principes, elle ne devrait pas être réadmise. » Mais alors, j’ai pensé « Depuis qu’elle a été expulsée, elle continue à lire les paroles de Dieu de temps en temps et à nous encourager à faire nos devoirs, et elle entretient aussi cette maisonnée et prend soin de ma mère paralysée et grabataire. Ne pourrait-elle pas avoir une autre chance ? » À ce moment-là, j’assistais les dirigeants dans l’organisation des informations sur les membres expulsés et exclus. Ma fille m’a demandé si sa mère pouvait être réadmise dans l’Église, et ma femme aussi ne cessait de demander si elle pouvait être réadmise. Voyant que jamais je n’avais dit qu’elle pourrait l’être, ma femme m’a accusé d’être sans cœur. Je me suis senti mal en entendant cela. J’ai pensé, « “Quand un homme et une femme sont mariés, leurs liens affectifs sont profonds.” Si je n’aide pas ma femme à être réadmise, ma conscience n’aura pas de repos, et ma femme et ma fille m’en voudront toutes les deux. » Pensant à cela, j’ai parlé aux dirigeants, « Depuis qu’elle a été expulsée, ma femme a résolument continué à croire en Dieu. Pourrait-elle être réadmise dans l’Église ? » Les dirigeants ont échangé avec moi, en disant, « L’Église a des principes pour réadmettre des gens. Seuls ceux qui ont continué à prêcher l’Évangile et montré une vraie repentance après avoir été expulsés ou exclus peuvent être réadmis. Ceux qui sont réadmis ne doivent absolument pas causer de nouveau des perturbations dans l’Église. À l’aune de ces principes, bien que ta femme ne se soit pas opposée à ta foi et qu’elle ait montré certains bons comportements depuis son expulsion, elle n’a jamais réfléchi ou reconnu les actions malfaisantes qu’elle a commises et qui ont perturbé la vie de l’Église, et elle reste sceptique et insatisfaite de son expulsion. Elle ne devrait être réadmise. » En entendant les dirigeants échanger, je me suis senti honteux. Je savais clairement que depuis l’expulsion de ma femme, elle n’avait pas du tout reconnu ses actions passées malfaisantes, et elle avait même continué à avoir de la rancune envers la dirigeante qui l’avait expulsée, et elle n’avait jamais réfléchi sur elle-même pour reprendre les choses en main malgré les échanges que les autres avaient avec elle. Elle argumentait toujours selon sa propre logique déformée. Ayant vécu avec elle pendant de nombreuses années, je comprenais bien quelle genre de personne elle était. Elle était particulièrement arrogante, vaniteuse et insistait dans la déraison. Depuis notre mariage, peu importe ce qu’il se passait, elle n’a jamais, ne serait-ce qu’une fois, admis qu’elle avait tort. C’était seulement quand je lui disais des mots gentils qu’elle se calmait. J’ai apaisé mon esprit et réfléchi sur moi-même, en pensant, « Je sais clairement que ma femme ne rassemble pas les conditions pour une réadmission, alors pourquoi suis-je encore en train de la défendre et de prendre fait et cause pour elle ? »
Plus tard, pendant mes dévotions, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Certains accordent une grande importance aux sentiments, ils réagissent à tout ce qui leur arrive en fonction de leurs sentiments ; dans leur cœur, ils savent parfaitement qu’ils ont tort, et pourtant, ils sont toujours incapables d’être objectifs, et encore moins capables d’agir conformément aux principes. Quand on est en permanence dominé par ses sentiments, est-on capable de pratiquer la vérité ? C’est extrêmement difficile ! Ce sont les sentiments qui rendent beaucoup de gens incapables de pratiquer la vérité ; ils considèrent les sentiments comme étant particulièrement importants, ils les placent en première position. Aiment-ils la vérité ? En aucun cas. Que sont les sentiments, en substance ? Ils sont une sorte de tempérament corrompu. On peut caractériser les manifestations des sentiments en utilisant différents termes : favoritisme, protection des autres sans respect des principes, préservation des relations physiques et partialité. Voilà ce que sont les sentiments » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quelle est la vérité-réalité ?). « Quelles sont les questions liées aux sentiments ? Tout d’abord, il y a la manière dont vous évaluez les membres de votre propre famille et dont vous abordez les choses qu’ils font. “Les choses qu’ils font” ici incluent aussi naturellement les moments où ils interrompent et perturbent le travail de l’Église, où ils portent un jugement sur les gens dans leur dos, lorsqu’ils se lancent dans certaines pratiques d’incrédules, et ainsi de suite. Peux-tu aborder ces choses avec impartialité ? Lorsqu’il t’est nécessaire de rédiger une évaluation des membres de ta famille, peux-tu le faire de manière objective et impartiale, en mettant de côté tes propres sentiments ? Cela concerne la manière dont tu perçois les membres de ta famille. Par ailleurs, nourris-tu des sentiments à l’égard de ceux avec qui tu t’entends bien ou qui t’ont aidé par le passé ? Es-tu en mesure de considérer leurs actes et leur comportement de manière objective, impartiale et précise ? S’ils interrompent et perturbent le travail de l’Église, seras-tu en mesure de les signaler ou de les exposer rapidement après l’avoir découvert ? De même, nourris-tu des sentiments à l’égard de ceux qui sont relativement proches de toi ou qui partagent des intérêts similaires aux tiens ? Es-tu doté d’une évaluation, d’une définition et d’une manière impartiales et objectives de traiter leurs actes et leur comportement ? Supposons que ces personnes, avec lesquelles tu as un lien affectif, soient traitées par l’Église conformément aux principes, et que ce qu’il en résulte ne corresponde pas à tes propres notions – comment aborderais-tu cela ? Serais-tu capable d’obéir ? » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)). Les mots de Dieu avaient vivement exposé la racine du problème. J’étais contraint par mes sentiments. Je savais clairement que ma femme avait interrompu et perturbé la vie de l’Église et qu’elle avait jugé la dirigeante, et qu’elle ne s’était jamais vraiment repentie après avoir été expulsée, la rendant inapte à une réadmission par l’Église, mais parce que j’avais peur que ma femme et ma fille me qualifient de sans cœur et que notre mariage s’effondre, j’étais allé contre les principes pour la défendre. J’ai profité de mon devoir pour prendre sa défense, espérant que son retour dans l’Église soit accepté. Mes sentiments étaient trop forts ! La maison de Dieu a exigé de nous de réadmettre ceux qui se sont vraiment repentis après avoir été exclus ou expulsés. Voilà la tolérance et la pitié de Dieu : donner aux gens la plus grande chance possible de se repentir. Si ces gens peuvent détester et regretter leurs propres actions, et se rattraper pour leurs transgressions à travers de réelles actions, cela montre qu’ils n’ont pas complètement perdu leur humanité et leur raison et que, au moins, leur foi en Dieu était véritable. Cependant, ceux qui n’ont pas accepté du tout la vérité et ont commis de nombreuses actions malfaisantes sont des gens dont la nature-essence est de s’opposer à la vérité et de haïr la vérité et ils ne se repentiront jamais. De telles personnes devraient être éliminées. Je suis allé contre les principes, en fonction de mes sentiments, et j’ai voulu réadmettre une personne malfaisante dans l’Église, lui permettant de continuer à perturber la vie de l’Église. En faisant cela, n’étais-je pas en train de perturber le travail de l’Église ? En réalisant cela, j’ai ressenti un remord profond et j’ai su que je ne voulais plus vivre selon mes sentiments.
Plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu : « Par quel principe les paroles de Dieu demandent-elles que les gens traitent les autres ? Aimer ce que Dieu aime et haïr ce que Dieu hait : c’est là le principe auquel il faut adhérer. Dieu aime ceux qui poursuivent la vérité et sont capables de suivre Sa volonté ; ce sont aussi les gens que nous devrions aimer. Ceux qui ne sont pas capables de suivre la volonté de Dieu, qui Le haïssent et se rebellent contre Dieu, sont des gens détestés par Dieu, et nous devrions les détester, nous aussi. C’est ce que Dieu demande à l’homme. […] Pendant l’ère de la Grâce, le Seigneur Jésus a dit : “Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?” “Car, quiconque suit la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère”. Ces paroles existaient déjà à l’ère de la Grâce et, à présent, les paroles de Dieu sont encore plus claires : “Aime ce que Dieu aime, et hais ce que Dieu hait.” Ces paroles vont droit au but, pourtant, les gens sont souvent incapables d’en saisir le sens véritable. Si une personne renie ou s’oppose à Dieu, si elle est maudite par Dieu, mais que cette personne est l’un de tes parents ou de tes proches, elle ne paraît pas être une personne malfaisante pour autant que tu puisses en juger, et qu’elle te traite bien, alors il te sera sans doute impossible de haïr cette personne, et tu continueras peut-être même à entretenir d’étroites relations avec elle, vos rapports resteront inchangés. En apprenant que Dieu hait les gens qui se comportent ainsi, tu seras troublé, mais tu seras incapable de prendre parti pour Dieu et de rejeter impitoyablement cette personne. Tu resteras contraint par tes sentiments et ne parviendras pas à l’abandonner pleinement. Pour quelle raison ? Parce que tes sentiments sont trop fortes et qu’elles t’empêchent de pratiquer la vérité. Cette personne se comporte bien avec toi, tu ne peux donc te résoudre à la haïr. Tu ne peux la haïr que si elle te blesse. Cette haine est-elle conforme aux vérités-principes ? De plus, tu es contrôlé par les notions traditionnelles selon lesquelles, si tu hais cette personne en sachant qu’elle est un parent ou un proche, tu seras méprisé par la société, vilipendé par l’opinion publique, et condamné comme étant indigne, dépourvu de conscience, et pas même humain. Tu penses que tu subirais la condamnation et le châtiment divins si tu te comportais ainsi. Même si tu veux haïr cette personne, tu n’auras pas la conscience tranquille. Pourquoi ta conscience fonctionne-t-elle de cette manière ? C’est parce qu’une façon de penser a été semée en toi depuis ton enfance, à travers l’héritage de ta famille, l’éducation que tes parents t’ont donnée et l’endoctrinement de la culture traditionnelle. Cette façon de penser est profondément enracinée dans ton cœur et te fait croire, à tort, que la piété filiale est parfaitement naturelle et justifiée, et que tout ce qui a été hérité de tes ancêtres est systématiquement bon. Tu l’as apprise au début et elle reste dominante, entravant et perturbant abondamment ta foi et ton acceptation de la vérité, te rendant incapable de mettre en pratique les paroles de Dieu, d’aimer ce que Dieu aime, et de haïr ce que Dieu hait » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en reconnaissant ses opinions erronées que l’on peut vraiment changer). Des paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu exigeait de nous de traiter les gens avec le principe d’aimer ce que Dieu aime et de haïr ce que Dieu hait. Nous devons traiter ceux qui aiment la vérité et qui maintiennent le travail de l’Église avec amour, et nous devons détester et rejeter ces personnes malfaisantes qui détestent la vérité, résistent à Dieu et dérangent le travail de Dieu. Seule une telle pratique est conforme à l’intention de Dieu. Pourtant, j’avais été contraint par mes sentiments et incapable d’aimer ce que Dieu aime et de détester ce que Dieu déteste. Sachant que ma femme avait mal agi pour perturber la vie de l’Église, qu’elle avait rejeté catégoriquement la vérité, que son essence était celle d’une personne malfaisante qui hait la vérité et qu’elle devait être expulsée et éliminée, j’étais allé contre les principes, en essayant de la faire réadmettre dans l’Église. Mes sentiments étaient trop forts ! Je croyais dans des dictons comme « Quand un homme et une femme sont mariés, leurs liens affectifs sont profonds », « Le sang est plus épais que l’eau » et « L’homme n’est pas sans âme ; comment peut-il être sans émotions ? » En vivant selon ces poisons sataniques, je n’avais pas été capable de distinguer le bien du mal, le vrai du faux. En tout, j’avais vécu selon mes sentiments, sans aucun principe. En voyant ma femme continuer à me soutenir, moi et nos enfants, à faire nos devoirs, à s’occuper des tâches domestiques et à prendre soin de ma mère paralysée après avoir été expulsée, j’avais senti que je lui étais redevable. Si je ne me battais pas pour elle, j’ai eu peur que mes enfants soient en colère contre moi et m’en veuillent. Pour maintenir mes liens charnels et émotionnels et mon image de bon mari et de bon père, j’avais pris son parti et je l’avais défendue, et essayé de la faire réadmettre, lui permettant de continuer à perturber la vie de l’Église et l’entrée dans la vie des frères et des sœurs. C’était une action malfaisante et vraiment sans conscience ni humanité. Dieu ne nous demande jamais de montrer de la conscience envers les gens malfaisants, pas plus qu’Il ne dit que rejeter ses proches sataniques est sans cœur ou inhumain. Au contraire, Il exige de nous d’aimer ce qu’Il aime et de détester ce qu’Il déteste. En réalisant cela, je me suis senti beaucoup plus au clair dans ma tête, et j’ai voulu agir conformément aux principes, en ne défendant plus ma femme et en n’agissant plus selon mes sentiments.
Après avoir vécu ces choses, j’ai pensé que j’avais gagné une certaine connaissance sur l’essence des sentiments. Cependant, j’ai été confronté plus tard à l’expulsion de ma fille aînée. En décembre 2020, je faisais mes devoirs loin de la maison. Un jour, j’ai soudain reçu une lettre de la maison affirmant que ma fille aînée qui avait été révélée comme une personne malfaisante, était expulsée de l’Église pour avoir interrompu et perturbé le travail de l’Église et pour avoir commis de nombreuses actions malfaisantes sans repentance. Sur le moment, j’ai été assommé et profondément peiné, et je ne pouvais pas m’empêcher de me plaindre, « Pourquoi ma fille aînée a-t-elle aussi été expulsée ? À ce moment-là, elle abandonnait ses études pour faire ses devoirs. Qu’il pleuve ou qu’il vente, elle n’a jamais reporté une fois ses devoirs. Maintenant, elle a été expulsée ; cela signifie-t-il qu’il n’y a aucun espoir de salut ? » Chaque fois que je fermais les yeux, des scènes du passé apparaissaient dans mon esprit. Avant, notre famille de quatre personnes croyait en Dieu. Nous lisions souvent les paroles de Dieu, nous chantions des cantiques et nous échangions sur la vérité ensemble. Maintenant, il ne restait que moi et ma plus jeune fille. En pensant à cela, j’étais profondément peiné. J’ai prié Dieu : « Ô Dieu ! Ma fille aînée a été expulsée. Je sais que c’est Ta justice. Mais je ne peux pas me le sortir de la tête ; je ne peux pas me libérer de mes sentiments. Puisses-Tu m’éclairer et me guider pour comprendre Ton intention. » À ce moment-là, nous étions en train de filmer la pièce « Le Combat pour expulser une personne malfaisante ». Le personnage, une femme, peinée et négative à cause de l’expulsion de son père, était dans le même état d’esprit que moi. Voyant que le personnage comptait sur les paroles de Dieu pour vaincre la contrainte de ses sentiments, j’ai été profondément touché. J’ai pensé : « Moi aussi, je dois aussi m’appuyer sur Dieu, pratiquer la vérité et rester ferme dans mon témoignage. Ce jour-là, sachant que ma fille avait été expulsée, je me suis senti triste, mais je crois que Dieu est juste. L’Église écarte ou expulse sur la base de l’essence des gens, et personne n’est lésé. Je dois me soumettre et arrêter de me plaindre et de résister à Dieu. »
Plus tard, je me suis calmé pour penser au comportement constant de ma fille aînée et j’ai revu son avis d’expulsion, confirmant qu’elle était effectivement une personne malfaisante qui avait commis de nombreuses actions malfaisantes. En apparence, elle semblait rationnelle et ne parlait pas beaucoup, mais quand ses intérêts étaient en cause, son vrai visage se révélait. Au moment où ma femme avait été renvoyée et isolée pour réfléchir, Wang Jing, la dirigeante, avait échangé avec elle à propos des actions malfaisantes de ma femme. Non seulement elle n’avait pas écouté, mais elle avait défendu ma femme, en disant : « Je n’ai pas vu ces comportements. Je ne crois pas que ma mère ait perturbé la vie de l’Église. » Peu importe comment la dirigeante a échangé, elle ne l’acceptait pas et affirmait que sa mère était opprimée et blessée par la dirigeante, dérangeant continuellement la vie de l’Église. À cause de son comportement, l’Église l’a renvoyée. Depuis lors, elle recèle de la rancune envers Wang Jing. Plus tard, en apparence, elle a semblé s’améliorer et se libérer de cela. Quelques temps après, elle a été élue dirigeante d’église. À cette période, Wang Jing avait été réassignée à un travail basé sur le texte parce qu’elle avait échoué à faire du vrai travail, alors, ma fille a pris sa revanche sur Wang Jing. Elle ne l’a pas seulement renvoyée de son travail basé sur le texte, mais elle a aussi préparé des informations pour la faire expulser de l’Église. Je lui ai dit à ce moment-là, « On doit se baser sur les principes pour purifier l’Église. Si quelqu’un est injustement expulsé, c’est un acte malfaisant ; c’est une grave transgression. Wang Jing est simplement une fausse dirigeante incapable de faire un quelconque vrai travail, mais elle n’est pas une personne malfaisante et elle ne présente pas les critères pour une expulsion. » J’ai échangé avec elle de nombreuses fois mais elle ne voulait pas écouter, en insistant sur le fait que Wang Jing était une personne malfaisante et un antéchrist qui méritait l’expulsion. Plus tard, ses preuves contre Wang Jing ont été insuffisantes, et les dirigeants, les ouvriers et les frères et sœurs n’ont pas approuvé. Elle n’a pas voulu abandonner et elle a continué à rassembler des informations en coulisse, déterminée à expulser Wang Jing de l’Église. Non seulement elle voulait expulser Wang Jing mais aussi punir et opprimer le mari et l’enfant de Wang Jing, en induisant les frères et sœurs en erreur et en les incitant à rejeter et à ostraciser le mari de Wang Jing. Elle a même menacé de l’expulser, et a causé à la famille de Wang Jing une grande peine et de la négativité. Pendant le renvoi de ma fille aînée, moi, en tant que diacre de l’Église, j’étais présent, et comme je ne l’ai pas défendue, elle a conçu de la rancune envers moi. Plus tard, en rédigeant des évaluations, elle m’a décrit comme inhumain, extrêmement égoïste, insensible, tel un animal à sang-froid, et elle m’a donné de faibles évaluations.
Dans ma réflexion sur le comportement de ma fille, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Lorsque les antéchrists subissent l’émondage, leur attitude n’est pas celle de l’acceptation ou de l’obéissance. Au lieu de cela, ils y résistent et éprouvent de l’aversion à l’égard de l’émondage, ce qui génère de la haine. Ils détestent profondément, du fond du cœur, tous ceux qui les émondent, tous ceux qui révèlent les cadavres dans leur placard et exposent leurs circonstances réelles. Dans quelle mesure te détestent-ils ? Ils grincent des dents de haine, souhaitent que tu disparaisses de leur vue, et ont le sentiment que vous ne pouvez pas coexister. Si les antéchrists sont ainsi avec les gens, alors peuvent-ils accepter les paroles de Dieu qui les exposent et les condamnent ? Non, cela leur est impossible. Ils haïront simplement quiconque les expose pour la simple raison que cette personne les a exposés et leur est défavorable, et ils exerceront des représailles. Ils aimeraient pouvoir faire en sorte que la personne qui les a émondés disparaisse de leur vue. Ils ne supportent pas de voir cette personne bien se porter. Si cette personne mourait ou rencontrait une catastrophe, ils seraient heureux ; tant que cette personne est en vie et fait toujours son devoir dans la maison de Dieu, et que tout continue comme d’habitude, ils ressentent de la souffrance, du malaise et du mécontentement dans leur cœur. Quand ils n’ont pas le moyen d’exercer des représailles contre une personne, ils la maudissent secrètement, ou même prient Dieu de punir et d’infliger des représailles à cette personne, et de redresser leurs griefs. Une fois que les antéchrists ont généré cette haine, cela conduit à une série d’actions. Ces actions comprennent des représailles et des malédictions, et bien entendu quelques autres actions découlant de la haine, comme par exemple de faire porter le chapeau aux autres, de les calomnier et de les condamner. Si quelqu’un les émonde, ils discréditeront cette personne derrière son dos. Lorsque cette personne dit que quelque chose est juste, ils diront que c’est faux. Ils déformeront toutes les choses positives que fait cette personne et les rendront négatives, répandant ces mensonges et provoquant des perturbations dans son dos. Ils inciteront et attireront d’autres personnes qui sont ignorantes et qui ne peuvent pas percer à jour les choses ou avoir du discernement par elles-mêmes, afin que celles-ci se joignent à eux et les soutiennent. De toute évidence, la personne qui les émonde n’a rien fait de mal, mais ils veulent tout de même mettre certains méfaits sur le dos de cette personne, afin que tout le monde croie à tort qu’elle fait ce genre de choses, et ensuite amener tout le monde à s’unir pour rejeter cette personne. Les antéchrists perturbent ainsi la vie de l’Église, et perturbent les gens dans l’accomplissement de leur devoir. Quel est leur but ? C’est de donner du fil à retordre à la personne qui les émonde et de faire en sorte que tout le monde l’abandonne. Certains antéchrists disent également : “Tu m’as émondé et m’as donné du fil à retordre, donc je ne vais pas te laisser t’en tirer facilement. Je vais te faire sentir ce que c’est que d’être émondé et abandonné. Quelle que soit la façon dont tu me traites, je te traiterai de la même façon. Si tu ne me laisses pas m’en tirer facilement, ne pense pas que tu t’en tireras facilement !” » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). Dans les paroles de Dieu, j’ai vu que les antéchrists était particulièrement méchants et malveillants, et haïssent particulièrement ceux qui les exposent ou les offensent, et ils n’abandonneront pas tant qu’ils ne les ont pas battus et détruits. En comparant cela au comportement de ma fille aînée, j’ai gagné un certain discernement sur elle. Parce qu’elle perturbait la vie de l’Église en se dressant pour sa mère, elle a été renvoyée, et elle a gardé de la rancune envers la dirigeante, Wang Jing, et a attendu un opportunité pour prendre sa revanche. Après avoir obtenu un poste, elle a fait tout son possible pour utiliser son pouvoir pour monter un coup et tourmenter Wang Jing et sa famille. Peu importe que chacun lui dise que Wang Jing ne présentait pas les critères pour être écartée ou expulsée, elle n’écoutait rien du tout, et persistait à vouloir expulser Wang Jing de l’Église. J’ai vu que le tempérament de ma fille était extrêmement insidieux et malveillant, et qu’elle protégeait toujours la personne malfaisante et s’en prenait au contestataire, refusant d’arrêter jusqu’à ce qu’elle ait détruit les autres. J’ai réalisé qu’elle était un démon et qu’elle devait vraiment être expulsée. Si elle restait dans l’Église, elle continuerait seulement à interrompre et à déranger, et deviendrait un fléau pour l’Église.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Tu te mêles toujours à ces démons aujourd’hui et tu les traites avec conscience et amour, mais dans ce cas, n’es-tu pas en train d’avoir de bonnes intentions à l’égard de Satan ? N’es-tu pas de mèche avec les démons ? Si les gens sont parvenus jusque-là et ne sont toujours pas en mesure de faire la distinction entre le bien et le mal, et continuent aveuglément d’aimer et d’être miséricordieux sans aucun désir de chercher les intentions de Dieu ou d’être, d’aucune manière, capable de prendre les intentions de Dieu comme étant les leurs, alors leur fin sera d’autant plus misérable. Toute personne qui ne croit pas en Dieu dans la chair est un ennemi de Dieu. Si tu peux te soucier d’un ennemi et l’aimer, ne manques-tu pas d’un sens de la justice ? Si tu es compatible avec ceux que Je déteste et avec qui Je suis en désaccord, et que tu continues à les aimer ou avoir des sentiments personnels envers eux, n’es-tu pas rebelle ? Ne résistes-tu pas à Dieu intentionnellement ? Une telle personne possède-t-elle la vérité ? Si les gens font preuve de conscience vis-à-vis des ennemis, aiment les démons et éprouvent de la pitié pour Satan, n’interrompent-ils pas l’œuvre de Dieu intentionnellement ? Ces gens qui croient seulement en Jésus et ne croient pas en Dieu incarné durant les derniers jours, ainsi que ceux qui prétendent verbalement croire en Dieu incarné, mais font le mal, sont tous des antéchrists, sans mentionner du tout ceux qui ne croient même pas en Dieu. Tous ces gens seront l’objet de la destruction » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Dans la famille de Dieu, Christ détient le pouvoir et la vérité règne. L’Église a expulsé ma fille sur la base de son essence, suivant les principes d’une expulsion. Mais quand cela m’est arrivé, je n’ai pas cherché l’intention de Dieu. J’étais incapable de voir à travers l’essence diabolique de ma fille alors j’ai compati avec elle et l’ai prise en pitié. Je pensais qu’elle croyait en Dieu depuis son enfance et qu’elle avait abandonné ses études, enduré des souffrances et payé un prix jusqu’à maintenant ; comment pouvait-elle être expulsée ? Alors, je me suis plaint à Dieu dans mon cœur, et j’ai raisonné avec Lui. N’était-ce pas exactement ce que Dieu a exposé comme « avoir de bonnes intentions à l’égard de Satan » et être « de mèche avec les démons » ? N’étais-je pas en train de m’opposer et de résister à Dieu ? J’avais cru en Dieu pendant de nombreuses années, mangé et bu tant de Ses paroles, et j’avais souvent dit aux autres « exclure et expulser quelqu’un doit être fait selon des principes, pas des sentiments, même s’il s’agit de vos propres parents », pourtant quand ma femme et ma fille ont été expulsées, j’ai enfreint ces lois en toute connaissance de cause, en voulant les garder dans l’Église par sentiment, n’étais-je pas en train de cautionner des personnes malfaisantes qui perturbaient le travail de l’Église ? C’était se tenir aux côtés des personnes malfaisantes, résister à Dieu ! En me rendant compte de cela, je me suis senti un peu effrayé dans mon cœur, alors, j’ai prié Dieu, désireux de me repentir auprès de Lui et de me libérer de la contrainte des sentiments.
Alors, j’ai lu ces paroles de Dieu : « La fin de chacun est déterminée en fonction de l’essence qui provient de sa conduite et elle est toujours déterminée de manière appropriée. Personne ne peut porter les péchés d’un autre ; plus encore, personne ne peut recevoir la punition à la place d’un autre. C’est absolu. […] À la fin, les justes sont justes et les méchants sont méchants. Les justes seront finalement en mesure de survivre tandis que les méchants seront détruits. Les saints sont saints ; ils ne sont pas souillés. Les souillés sont souillés et aucune partie d’eux n’est sainte. Tous les mauvais seront détruits et tous les justes survivront, même si les enfants des mauvais accomplissent de bonnes actions et les parents des justes commettent de mauvaises actions. Il n’y a pas de relation entre un mari croyant et une femme non-croyante, et il n’y a pas de relation entre des enfants croyants et des parents non-croyants. Ces deux types de gens sont tout à fait incompatibles. Avant l’entrée dans le repos, la famille selon le sang existe, mais après l’entrée dans le repos, la famille selon le sang n’existe plus. Ceux qui font leur devoir sont les ennemis de ceux qui ne le font pas ; ceux qui aiment Dieu et ceux qui haïssent Dieu sont opposés les uns aux autres. Ceux qui entreront dans le repos et ceux qui auront été détruits sont deux types d’êtres créés incompatibles. Les êtres créés qui accomplissent leur devoir pourront survivre tandis que ceux qui n’accomplissent pas leur devoir seront l’objet de la destruction ; qui plus est, cela durera pendant toute l’éternité. […] Aujourd’hui les gens ont des relations physiques entre eux, ainsi que des associations par le sang, mais dans l’avenir, tout cela sera anéanti. Les croyants et les non-croyants ne sont pas compatibles, mais plutôt opposés les uns aux autres. Ceux qui sont en repos croiront qu’il y a un Dieu et se soumettront à Dieu tandis que ceux qui sont rebelles à Dieu auront tous été détruits. Les familles n’existeront plus sur la terre ; comment pourrait-il y avoir des parents ou des enfants ou des relations matrimoniales ? La simple incompatibilité entre la croyance et l’incroyance aura absolument rompu ces relations physiques ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Des paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu est juste et saint. Dieu détermine le devenir des gens sans aucun sentiment charnel, et traite chacun équitablement et justement. Dieu ne juge pas en se basant sur ce que quelqu’un semble avoir renié ou sur la façon dont il s’est dépensé, mais plutôt en se basant sur son essence et ses actions pour décider de son issue, et les gens malfaisants sont destinés à être éliminés. Je ne comprenais pas la justice de Dieu, alors, quand j’ai entendu que ma fille avait été expulsée, je n’ai pas cherché la vérité ou considéré sa nature-essence pour voir quel genre de personne elle était vraiment, mais à l’inverse, j’ai vécu dans mes sentiments, compatissant et la prenant en pitié. Maintenant, je voyais clairement que même si ma fille pouvait abandonner ses études et faire ses devoirs, endurer la souffrance et payer un prix, tous ses efforts étaient destiné à gagner un statut et une réputation. Une fois qu’elle a perdu son poste et que ses intérêts ont été affectés, sa nature méchante a été complètement exposée. Avant, je pensais que notre famille entière croyait en Dieu, et que nous pouvions tous être sauvés et entrer dans le royaume des cieux, mais maintenant j’ai vu que c’était ma propre notion et mon imagination. Si quelqu’un n’aime pas la vérité ou même hait la vérité, et que son tempérament satanique ne change pas du tout malgré des années à croire en Dieu, comment peut-il être sauvé ? A travers de l’expulsion de ma fille et de ma femme, j’ai vu que même si toute notre famille croyait initialement en Dieu, qu’elle a reçu la provision des paroles de Dieu et a fait ses propres devoirs, après quelques années, l’essence de chacun et le chemin que nous avons pris ont été peu à peu révélés. Ma femme et ma fille aînée ont commis beaucoup d’actions malfaisantes et ont été exposées comme des personnes malfaisantes ; nous sommes deux types de personnes incompatibles, et personne ne peut aider ou sauver l’autre. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « Quand l’humanité entrera plus tard dans le beau domaine, il n’y aura aucune relation entre mari et femme, entre père et fille ou entre mère et fils contrairement à ce que les gens imaginent. À ce moment-là, chaque humain suivra sa propre espèce et les familles auront déjà été brisées. Après avoir complètement échoué, Satan ne perturbera plus jamais l’humanité et les humains n’auront plus de tempérament satanique corrompu. Ces gens rebelles auront déjà été détruits et seuls les gens qui se soumettent survivront. De ce fait, très peu de familles vont survivre intactes. Comment les relations physiques peuvent-elles continuer à exister ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). Je ne comprenais pas le travail de Dieu, et à cause de mes sentiments, j’ai protégé ma femme et ma fille, dans l’espoir de maintenir nos relations charnelles familiales, commettant presque des actes de résistance envers Dieu. J’étais tellement stupide et aveugle ! J’ai pensé, « Je ne peux plus être contraint par mes sentiments. Je dois me libérer du lien des sentiments et de me soumettre à cette situation. » Peu à peu, mon état s’est amélioré et je n’ai plus ressenti autant de peine.
Après avoir vécu tout cela, j’ai eu beaucoup plus de discernement à propos de ma famille. J’ai lâché mes sentiments envers elle du fond de mon cœur. Dans le même temps, j’ai aussi vu clairement que vivre selon des sentiments rend incapable de distinguer le bien du mal, le vrai du faux, et rend même capable de faire des choses qui vont à l’encontre des vérité-principes, comme résister et se rebeller contre Dieu. Les sentiments sont effectivement l’ennemi de Dieu. Vivre selon les sentiments rend impossible la pratique de la vérité. J’ai aussi vu que ma stature était trop petite, mes sentiments étaient trop forts, je manquais de vraie soumission à Dieu, et j’avais besoin de vivre l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu pour transformer mon tempérament corrompu.
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