Les paroles de Dieu résolvent tous les mensonges
Par Ye Qiu, ChineEn juin 2022, j’ai été élue diaconesse d’abreuvement et j’ai commencé à abreuver les nouveaux arrivants avec Sœur Cheng...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 2021, j’étais responsable du travail d’abreuvement de trois Églises. Deux dirigeantes de groupe d’abreuvement d’une Église, Li Can et Zhang Xuan, avaient déjà travaillé avec moi. À cette époque, j’avais l’impression que Li Can était compétente et qu’elle portait un fardeau dans son devoir. Elle me signalait les écarts dans mon devoir, et m’aidait à les corriger, et ce dans les meilleurs délais. Avec sa supervision et ses rappels, une partie du travail ne prenait pas de retard. Zhang Xuan portait également un fardeau et, quand j’étais dans un état médiocre, elle m’aidait avec un cœur aimant. J’étais très heureuse de travailler avec elles, et je pensais que leur capacité de travail, leur calibre et leur attitude envers leurs devoirs étaient très bons. Avec elles deux en charge ici, je n’avais pas à me soucier beaucoup du travail d’abreuvement de cette Église et je pouvais me concentrer sur le travail des deux autres Églises. Plus tard, d’après leurs lettres, j’ai vu que les résultats de leur travail étaient meilleurs que ceux des autres Églises. Cela m’a confirmé plus avant leur capacité de travail et je m’impliquais donc rarement dans leur travail.
Une fois, ma dirigeante m’a envoyé une lettre me demandant de participer de manière concrète au travail d’abreuvement et d’ajuster immédiatement la moindre personne inadaptée que je découvrirais afin d’éviter des retards dans le travail. Dès réception de la lettre, je me suis rapidement rendue dans les deux autres Églises pour voir comment se passait le travail. J’ai découvert un chef de groupe d’abreuvement qui ne pouvait pas faire de travail réel et j’ai rapidement fait des ajustements. Alors que j’étais sur le point de me rendre à l’Église dont Li Can était responsable, j’ai pensé : « Qu’il s’agisse de leur capacité de travail, de leur sens du fardeau ou de leur calibre, Zhang Xuan et elle sont bonnes à tous points de vue. Avec elles deux sur place, il n’y aura assurément aucun problème avec le travail. » Par conséquent, je n’ai pas vérifié leur travail. Une autre fois, j’ai réuni les chefs de groupe d’abreuvement de plusieurs Églises car je voulais en savoir plus sur les écarts dans leur travail, afin de découvrir les problèmes et de les résoudre dans les meilleurs délais. Cependant, à ce moment-là, je me suis surtout renseignée sur le travail des autres chefs de groupe, leur demandant comment ils organisaient habituellement les réunions pour les nouveaux croyants et quelles paroles de Dieu ils utilisaient pour échanger et résoudre les questions des nouveaux croyants, et ainsi de suite. Grâce à un questionnement détaillé, j’ai découvert certains problèmes et j’ai échangé dessus. Ils les ont alors réparés sur-le-champ. En ce qui concerne Li Can et Zhang Xuan, je pensais que leur sens du fardeau et leur capacité de travail dans l’accomplissement de leurs devoirs étaient bons, alors je ne me suis pas renseignée plus avant sur leur travail. Plus tard, ma dirigeante m’a demandé de lui fournir une personne relativement bonne pour abreuver, alors j’ai recommandé Li Can. Cependant, après avoir examiné la situation, la dirigeante a découvert que les résultats d’abreuvement de Li Can n’étaient pas bons et elle m’a demandé comment j’avais pu lui fournir une telle personne. Je me suis dit : « Se pourrait-il que les exigences de la dirigeante soient trop élevées ? D’après ce que je comprends de Li Can, même si elle ne peut pas être promue, elle est tout de même parfaitement compétente pour abreuver des nouveaux croyants dans l’Église. » Plus tard, la dirigeante m’a dit : « Li Can et Zhang Xuan sont paresseuses, fuyantes et elles cherchent le confort dans l’exécution de leurs devoirs. Nous avons déjà échangé avec elles à ce sujet. Voyons leur performance à l’avenir. » En entendant cela, non seulement je ne l’ai pas pris au sérieux, mais j’ai également pensé : « Qui n’a pas de moments de considération pour sa chair ? Tant qu’elles font bien leur travail actuel, n’est-ce pas suffisant ? » Après cela, je n’ai toujours pas suivi ni supervisé leur travail.
Au bout d’un certain temps, la dirigeante m’a envoyé une lettre expliquant qu’il y avait beaucoup de problèmes avec le travail d’abreuvement dans l’Église dont Li Can était responsable et elle m’a demandé de les résoudre le plus rapidement possible. Quand j’ai lu la lettre, je me suis dit : « Li Can croit en Dieu depuis de nombreuses années et a servi en tant que dirigeante. Je connais sa capacité de travail et son calibre. La situation pourrait-elle vraiment être aussi mauvaise ? La dirigeante a-t-elle commis une erreur ? Mais puisque la dirigeante le dit, il doit y avoir une raison. Je dois examiner la situation de façon concrète. » Ce n’est qu’en me renseignant sur la situation que j’ai découvert que ni Li Can ni Zhang Xuan ne faisaient de travail réel. Elles n’avaient pas cultivé les personnes talentueuses qui auraient dû l’être dans l’Église et ce que les nouveaux croyants mangeaient et buvaient lors des réunions n’étaient pas les vérités les plus élémentaires quant à la connaissance de l’œuvre de Dieu. Il y avait également certains nouveaux croyants qui étaient devenus négatifs après avoir écouté les rumeurs du PCC, et, étonnamment, Li Can et Zhang Xuan avaient prévu une personne irresponsable pour les soutenir. Les problèmes des nouveaux croyants n’avaient pas été résolus, et Li Can et Zhang Xuan n’avaient pas trouvé de moyens d’échanger avec eux et de les aider davantage. Certains nouveaux croyants s’étaient presque retirés. En fin de compte, les nouveaux croyants n’avaient inversé leurs états qu’en lisant eux-mêmes les paroles de Dieu. Même s’il y avait de nombreux écarts et de nombreuses lacunes dans le travail d’abreuvement, Li Can et Zhang Xuan n’avaient pas réfléchi sur elles-mêmes et elles avaient même essayé de blâmer d’autres personnes. En apprenant ces choses, j’ai été choquée : « Comment les choses ont-elles pu tourner ainsi ? D’après ce que j’ai compris d’elles, elles portaient auparavant un fardeau dans l’exécution de leurs devoirs. Comment les choses ont-elles pu tourner ainsi, maintenant ? » Mais les faits étaient là, sous mes yeux. Je devais accepter cela. En même temps, je me sentais très coupable. Si j’avais supervisé et examiné leur travail plus tôt, il n’y aurait pas eu autant de problèmes dans le travail d’abreuvement. J’ai une responsabilité indubitable à cet égard.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Les faux dirigeants ne se renseignent jamais sur les superviseurs qui ne font pas de travail concret ou qui ne s’occupent pas de leur véritable travail. Ils pensent qu’il leur suffit de choisir un superviseur et que la question est close, que ce superviseur peut ensuite se charger lui-même de toutes les questions liées au travail. Les faux dirigeants se contentent donc d’organiser des réunions de temps à autre, et ils ne supervisent pas ce travail ou ne demandent pas comment il se passe, et ils agissent comme des patrons pratiquant le laisser-faire. Si quelqu’un signale un problème à un faux dirigeant concernant un superviseur, ce faux dirigeant répondra : “Ce n’est qu’un problème mineur, tout va bien. Vous pouvez le gérer vous-mêmes. Pas besoin de me poser la question.” La personne qui a signalé le problème dit : “Ce superviseur est un glouton paresseux, il ne pense qu’à manger et à s’amuser, c’est un fainéant. Il ne veut pas endurer la moindre difficulté dans son devoir, il n’arrête pas de tirer au flanc de manière fourbe et de se trouver des excuses pour esquiver ses responsabilités. Il n’est pas fait pour être superviseur.” Le faux dirigeant répondra : “Il était formidable, quand il a été choisi comme superviseur. Ce que tu dis n’est pas vrai, et même si c’était vrai, il ne s’agirait que d’une manifestation temporaire.” Le faux dirigeant n’essaiera pas d’en savoir plus sur la situation du superviseur. Au lieu de cela, il se fera une opinion et portera un jugement sur cette question en se basant sur ses impressions passées concernant ce superviseur. Quelle que soit la personne qui signale des problèmes concernant le superviseur, le faux dirigeant ignorera ces problèmes. Ce superviseur ne fait pas de travail concret, et le travail de l’Église est pratiquement à l’arrêt, mais le faux dirigeant s’en moque, c’est comme si cela ne le concernait même pas. Il est déjà bien assez écœurant que, lorsque quelqu’un signale les problèmes du superviseur, le faux dirigeant ferme les yeux. Mais qu’est-ce qui est le plus détestable ? Quand les gens signalent au faux dirigeant des problèmes vraiment graves concernant le superviseur, le faux dirigeant n’essaiera pas de les régler, et il se trouvera même toutes sortes d’excuses : “Je connais ce superviseur, il croit sincèrement en Dieu, il ne peut pas avoir de problèmes. Et même s’il avait un petit problème, Dieu le protégerait et le disciplinerait. S’il commet la moindre erreur, c’est entre lui et Dieu, nous n’avons pas à nous en inquiéter.” Les faux dirigeants travaillent en suivant leurs propres notions et leur imagination de cette manière. Ils font semblant de comprendre la vérité et d’avoir la foi, mais ils sèment simplement la pagaille dans le travail d’Église. Le travail d’Église peut même se trouver à l’arrêt, ils feindront malgré tout l’ignorance. Les faux dirigeants n’agissent-ils pas beaucoup trop comme des gratte-papier ? Ils sont incapables de faire eux-mêmes un travail réel, et ils ne sont pas non plus méticuleux en ce qui concerne le travail des chefs d’équipe et des superviseurs. Ils n’en assurent pas le suivi ou ne s’en tiennent pas informés. Leur opinion des gens se base uniquement sur leurs propres impressions et sur leur imagination. Quand ils voient que quelqu’un se comporte bien pendant un moment, ils pensent que cette personne agira bien à jamais, qu’elle ne changera pas. Ils ne croient pas ceux qui disent que cette personne pose problème, et ils ignorent la situation quand quelqu’un les met en garde contre cette personne. Pensez-vous que les faux dirigeants soient stupides ? Ils sont stupides et insensés. […] les faux dirigeants ont un défaut fatal : ils ont vite fait de faire confiance aux gens en se fondant sur leur propre imagination. Et c’est dû au fait qu’ils ne comprennent pas la vérité, n’est-ce pas ? Comment la parole de Dieu révèle-t-elle l’essence de l’humanité corrompue ? Pourquoi devraient-ils faire confiance aux gens, alors que Dieu ne leur fait pas confiance ? Les faux dirigeants sont trop arrogants et présomptueux, n’est-ce pas ? Ils se disent : “Il n’est pas possible que j’aie mal jugé cette personne, elle ne devrait poser aucun problème, puisque j’ai jugé qu’elle convenait. Ce n’est assurément pas quelqu’un qui s’adonne à la nourriture, à la boisson et au divertissement, ou qui aime le confort et déteste travailler dur. Elle est absolument fiable et digne de confiance. Elle ne changera pas. Si elle changeait, cela voudrait dire que je me suis trompé à son sujet, n’est-ce pas ?” Quel genre de logique est-ce donc ? Es-tu une sorte d’expert ? As-tu une vision aux rayons X ? As-tu cette compétence extraordinaire ? Tu aurais beau vivre avec une personne pendant un ou deux ans, serais-tu capable de voir qui elle est vraiment sans un environnement approprié pour mettre entièrement à nu sa nature-essence ? Si elle n’était pas révélée par Dieu, tu pourrais vivre côte à côte avec elle pendant trois, voire cinq ans, et tu aurais encore du mal à voir quel genre de nature-essence elle a exactement. Et n’est-ce pas encore plus vrai quand tu ne la vois que rarement, que tu es rarement avec elle ? Les faux dirigeants font allègrement confiance à une personne en se fondant sur une impression fugace, ou sur l’appréciation positive qu’en a quelqu’un d’autre, et ils osent confier le travail de l’Église à une telle personne. En cela, ne sont-ils pas extrêmement aveugles ? N’agissent-ils pas imprudemment ? Et quand ils agissent ainsi, les faux dirigeants ne sont-ils pas extrêmement irresponsables ? » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (3)). Dieu exposait précisément mon état. J’étais tellement irresponsable envers mon devoir. J’avais déjà travaillé avec Li Can et Zhang Xuan et comme elles avaient une certaine capacité de travail et avaient obtenu quelques résultats dans l’exécution de leurs devoirs, j’avais facilement placé ma confiance en elles. Après leur avoir entièrement confié le travail, je ne l’avais même pas supervisé et n’avais pas posé de question à ce sujet. Lorsque la dirigeante m’a demandé de vérifier si les chefs de groupe d’abreuvement faisaient un travail réel, je n’avais pas vérifié leur travail, car j’avais confiance en elles. Même lorsque je m’étais réunie avec elles, je ne m’étais pas renseignée plus avant sur leur travail. Plus tard, quand la dirigeante a dit qu’elles recherchaient le confort dans leurs devoirs et qu’elles ne faisaient pas de travail réel, je m’étais sentie un peu réfractaire dans mon cœur, j’avais pensé qu’elles n’étaient pas comme ça et que la dirigeante ne les connaissait pas bien. J’avais même plaidé en leur faveur dans mon cœur. En y réfléchissant, je n’avais interagi que quelques mois avec elles. En apparence, elles semblaient avoir quelques capacités de travail et un certain sens du fardeau dans l’exécution de leurs devoirs, mais je n’avais pas du tout compris leur humanité ni leur nature-essence. J’avais placé ma confiance en elles sur la base d’impressions temporaires et de bons sentiments, puis je m’étais sentie sereine en leur confiant le travail sans supervision. Dieu a exposé que les gens ont été profondément corrompus par Satan, de sorte que tous leurs tempéraments corrompus n’ont pas été résolus, qu’ils peuvent tous être négligents, irresponsables et suivre leur propre chemin avant d’être rendus parfaits. Je n’avais pas considéré les choses sur la base des paroles de Dieu, mais je m’étais plutôt fiée à mes notions et à mon imagination, et avais affermi leurs bons côtés dans mon esprit sur la base de leurs bonnes performances temporaires. Même quand la dirigeante avait souligné leurs problèmes, je n’avais pas été convaincue, pensant que ses exigences envers elles étaient trop élevées. En vivant selon le tempérament de Satan, j’avais surtout confiance en moi et je m’accrochais à mon propre point de vue pour voir les choses, pensant que ce que je considérais comme bon était indiscutable et n’acceptant pas ce que les autres expliquaient, ce qui a fini par retarder le travail. J’étais vraiment trop arrogante et prétentieuse !
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Même si, aujourd’hui, beaucoup de gens font un devoir, quelques-uns seulement poursuivent la vérité. Très peu de gens poursuivent la vérité et entrent dans la vérité-réalité alors qu’ils font leur devoir. Pour la plupart, il n’y a toujours pas de principes dans leur façon de faire les choses, ce ne sont toujours pas des gens qui se soumettent vraiment à Dieu : leur bouche dit simplement qu’ils aiment la vérité, qu’ils sont prêts à poursuivre la vérité et qu’ils sont prêts à s’efforcer d’atteindre la vérité, mais on ne sait jamais combien de temps durera leur résolution. Les gens qui ne poursuivent pas la vérité sont susceptibles de révéler à tout moment et en tout lieu leurs tempéraments corrompus. Ils sont dépourvus de tout sens des responsabilités vis-à-vis de leur devoir, ils sont souvent négligents, ils agissent à leur guise et sont même incapables d’accepter d’être émondés. Dès qu’ils deviennent négatifs et faibles, les gens qui ne poursuivent pas la vérité sont susceptibles de jeter l’éponge : cela arrive souvent, rien n’est plus commun, c’est ainsi que se comportent tous ceux qui ne poursuivent pas la vérité. Et donc, quand ils n’ont pas encore obtenu la vérité, les gens ne sont pas fiables et ne sont pas dignes de confiance. Qu’ils ne soient pas dignes de confiance, qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que lorsqu’ils rencontrent des difficultés ou des revers, ils sont susceptibles de tomber et de devenir négatifs et faibles. Quelqu’un qui est souvent négatif et faible est-il digne de confiance ? Certainement pas. Mais les gens qui comprennent la vérité sont différents. Les gens qui comprennent vraiment la vérité ont nécessairement un cœur qui craint Dieu et un cœur soumis à Dieu, et seules les personnes qui ont un cœur qui craint Dieu sont dignes de confiance. Les gens qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu ne sont pas dignes de confiance. Comment aborder les gens qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu ? Il convient, bien sûr, de les aider et de les soutenir avec amour. Il faut les surveiller davantage dans l’exécution de leurs devoirs, et leur prodiguer plus d’aide et de conseils : alors seulement, ils pourront être assurés de faire leur devoir efficacement. Et quel est l’objectif ? L’objectif principal est de soutenir le travail de la maison de Dieu. En second lieu, il s’agit d’identifier rapidement les problèmes, de les approvisionner rapidement, de les soutenir, ou de les émonder, de corriger leurs écarts et de compenser leurs lacunes et leurs carences. C’est bénéfique pour les gens : il n’y a là rien de malveillant. Superviser les gens, les observer, se renseigner à leur sujet, tout cela a pour but de les aider à emprunter le bon chemin de la foi en Dieu, de leur permettre d’accomplir leur devoir comme Dieu le demande et selon le principe, afin de les empêcher de causer la moindre perturbation et la moindre interruption, et de leur éviter de perdre du temps. L’objectif, ce faisant, n’est que de faire preuve de responsabilité à leur égard et à l’égard du travail de la maison de Dieu : il n’y a pas de malice à cela » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (7)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que, même si nous faisons nos devoirs dans l’Église et que nous sommes disposés à bien les faire, ce n’est qu’une bonne intention. Comme nous avions tous des tempéraments corrompus, nous ne pouvions pas nous soumettre absolument à Dieu et nous manquions de principes dans nos actions. Cela a conduit à des écarts dans notre travail et nous étions souvent négligents et irresponsables. C’est pourquoi il est nécessaire que les dirigeants et les ouvriers supervisent le travail afin de découvrir et de résoudre rapidement les problèmes. Li Can et Zhang Xuan étaient aussi des personnes corrompues. Même si, auparavant, elles avaient porté un fardeau dans l’exécution de leurs devoirs, cela ne signifiait pas qu’elles seraient toujours ainsi. En outre, leur bon calibre et leur bonne capacité de travail ne signifiaient pas qu’elles avaient gagné les vérités-principes dans la gestion des affaires, ni qu’elles étaient complètement fiables. Cela nécessitait une supervision et un suivi de leur travail. Je ne pouvais pas percevoir l’essence corrompue des gens et considérais les gens et les choses sur la base de mes propres notions et de ma propre imagination, croyant facilement en eux et confiant le travail sans supervision. J’avais été vraiment stupide. Si je n’avais pas aveuglément cru en elles, que j’avais régulièrement supervisé et vérifié leur travail, conformément aux exigences de la maison de Dieu, et que j’avais assumé mes propres responsabilités, le travail d’abreuvement n’aurait pas été aussi inefficace pendant plusieurs mois. Plus j’y pensais, plus je m’en voulais.
J’y ai réfléchi davantage : pourquoi avais-je autant fait confiance à Li Can et Zhang Xuan sans superviser ni vérifier leurs devoirs ? Même quand la dirigeante me l’avait rappelé, je ne l’avais pas pris à cœur. Quel tempérament corrompu me contrôlait derrière cela ? Dans ma réflexion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vérité, alors tu sauras comment pratiquer la vérité et te soumettre à Dieu et tu t’engageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vérité. Si le chemin que tu empruntes est le bon et qu’il est conforme aux intentions de Dieu, alors l’œuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas : auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vérité, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempérament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas t’opposer à Dieu ne fait aucune différence, tu ne peux pas t’en empêcher, c’est incontrôlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprès ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et prétentieuse. Ton arrogance et ta prétention te feraient mépriser Dieu et te Le feraient voir comme n’ayant pas d’importance ; elles feraient que tu t’exaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mépriser les autres, elles ne laisseraient dans ton cœur que toi-même ; ton arrogance et ta prétention te priveraient de la place de Dieu dans ton cœur et elles finiraient par t’amener à prendre la place de Dieu et à exiger que les gens se soumettent à toi, et elles te feraient vénérer tes propres pensées, idées et notions comme la vérité. Tant de mal est perpétré par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et prétentieuse ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). En réfléchissant aux paroles de Dieu, j’ai trouvé la cause de mon échec : cela venait principalement de mon tempérament arrogant et de ma confiance excessive en moi-même. Je croyais qu’elles étaient sérieuses et responsables dans l’exécution de leurs devoirs, qu’elles portaient un fardeau, et qu’elles ne seraient pas négligentes. Je me faisais donc entièrement confiance, pensant toujours « à mon avis », « je crois que », « j’ai l’impression que » et je pensais que mon évaluation des gens était exacte et ne pouvait pas être erronée. Après leur avoir confié le travail, je n’ai même pas pris la peine de les superviser ni de me renseigner sur elles. Même quand la dirigeante a souligné explicitement leurs problèmes, je ne l’ai pas pris au sérieux et j’ai pensé qu’elles révélaient simplement une certaine corruption, ce qui n’était pas grave. Mon échec était dû à ma confiance excessive en moi-même. J’ai utilisé mes propres points de vue comme des normes pour mesurer les gens. Peu importe ce que les autres disaient, je ne l’acceptais pas. Je croyais que mon évaluation des gens était exacte, que je les connaissais bien et que j’étais qualifiée pour les évaluer. Je n’étais pas d’accord avec les opinions des autres qui étaient différentes des miennes et je les rejetais toutes. Je n’ai jamais considéré que mes pensées et mes opinions pouvaient être erronées, biaisées ou qu’elles pouvaient nuire au travail. J’étais vraiment arrogante et déraisonnable ! Je me fiais à mon tempérament arrogant pour faire mes devoirs, je ne prenais pas les suggestions des autres au sérieux, et je cherchais encore moins les vérités-principes. J’étais vraiment arrogante et je dédaignais les autres, n’ayant pas de place pour Dieu dans mon cœur. Je pensais que les personnes en qui j’avais confiance et les choses que je décidais étaient certainement bonnes, conformément à mes propres notions et à ma propre imagination, je m’accrochais obstinément à mes propres points de vue et négligeais mes devoirs, entraînant des pertes significatives dans le travail. De cette façon, est-ce que j’accomplissais vraiment mon devoir ? Je m’opposais à Dieu et faisais le mal. Me rendant compte de la gravité de la nature et de la conséquence de cela, je suis rapidement venue devant Dieu pour prier et me repentir.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a donné un chemin pour pratiquer. Dieu Tout-Puissant dit : « Quoi que tu fasses, tu dois apprendre à chercher la vérité et t’y soumettre. Peu importe qui te donne des conseils, tant que ces derniers sont en accord avec les vérités-principes, même s’ils viennent d’un jeune enfant, tu dois les accepter et t’y soumettre. Quels que soient les problèmes qu’une personne a, si ses paroles et ses conseils sont totalement en accord avec les vérités-principes, alors tu dois les accepter et t’y soumettre. En agissant ainsi, tu parviendras à de bons résultats, qui seront conformes aux intentions de Dieu. L’essentiel est d’examiner tes motivations, et les principes et méthodes selon lesquels tu gères les choses. Si tes principes et méthodes pour gérer les choses relèvent de la volonté humaine, de pensées et de notions humaines, ou encore de philosophies sataniques, ces principes et méthodes ne sont pas pratiques et ils sont voués à l’inefficacité. Cela tient au fait que la source de tes principes et de tes méthodes n’est pas correcte et qu’elle n’est pas en accord avec les vérités-principes. Si tes opinions se fondent sur les vérités-principes, et que tu gères les choses en te conformant aux vérités-principes, alors il ne fait aucun doute que tu agiras correctement. Même si certains n’acceptent pas ta façon de gérer les choses sur le coup, s’ils ont des notions à ce sujet ou s’ils y opposent une résistance, avec le temps, ce sera validé. Les choses qui sont conformes aux vérités-principes donnent des résultats de plus en plus positifs, alors que les choses qui ne sont pas conformes aux vérités-principes ont des conséquences de plus en plus négatives, quand bien même elles correspondent aux notions des gens à ce moment-là. Confirmation en sera donnée à chacun » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le chemin de la résolution d’un tempérament corrompu). Les paroles de Dieu m’ont fait comprendre que, lorsque nous sommes confrontés à certaines situations, nous devons d’abord nous désavouer, chercher la vérité et considérer les choses sur la base des paroles de Dieu. Nous devons examiner si nos points de vue et nos perspectives sont alignés avec les intentions de Dieu et s’ils sont basés sur les paroles de Dieu et les vérités-principes. Nous devons avoir un cœur qui cherche quand nous recevons des rappels et des suggestions de la part des frères et sœurs, et ne pas nous accrocher à nos propres points de vue. Nous devons les traiter conformément aux principes. Une telle attitude est synonyme de recherche, de soumission et de rationalité devant Dieu. J’ai réfléchi à mon approche précédente : je ne voyais pas les choses sur la base des vérités-principes, mais je m’accrochais à mes propres points de vue et pensais en savoir plus que les autres. Quand les frères et sœurs faisaient des suggestions, je n’avais pas un cœur qui cherche et je me faisais excessivement confiance. C’était la raison principale de mon échec. Pour aller de l’avant, je devais d’abord apprendre à me désavouer et écouter davantage les suggestions des frères et sœurs.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu qui disait : « Si l’on en juge par son sens littéral, supervision signifie inspection : contrôler les Églises qui ont mis en œuvre les arrangements de travail et celles qui ne l’ont pas fait, les progrès de la mise en œuvre, les dirigeants et les ouvriers qui font un travail concret et ceux qui ne le font pas, et si certains dirigeants ou ouvriers ne font que distribuer les arrangements de travail sans participer aux tâches spécifiques. La supervision est une tâche spécifique. Outre la supervision de la mise en œuvre des arrangements de travail – s’ils ont été mis en œuvre ou non, de la rapidité et de la qualité de leur mise en œuvre et des résultats obtenus – les dirigeants et les ouvriers supérieurs doivent vérifier si les dirigeants et les ouvriers respectent strictement les arrangements de travail. Certains dirigeants et ouvriers affirment en apparence qu’ils sont disposés à suivre les arrangements de travail, mais après avoir été confrontés à un certain environnement, ils craignent d’être arrêtés et ne pensent qu’à se cacher, ayant depuis longtemps fait des arrangements de travail le cadet de leurs soucis ; laissant ainsi les problèmes des frères et sœurs sans solution et ces derniers dans l’ignorance des spécifications et des principes de pratique des arrangements de travail. Cela montre que les arrangements de travail n’ont pas du tout été mis en œuvre. D’autres dirigeants et ouvriers ont des opinions, des notions et des résistances à l’égard de certaines exigences des arrangements de travail. Lorsqu’il s’agit de les mettre en œuvre, ils s’écartent du sens véritable des arrangements de travail, en faisant les choses à leur manière, machinalement, en passant sous silence certaines choses juste pour en finir, ou en suivant leur propre voie, en faisant les choses comme ils l’entendent. Toutes ces situations nécessitent une supervision de la part des dirigeants et des ouvriers supérieurs. L’objectif de la supervision est de mieux mettre en œuvre les tâches spécifiques requises par les arrangements de travail, sans dérives et conformément aux principes. Lors de la supervision, les dirigeants et les ouvriers supérieurs doivent accorder une grande importance à l’identification des personnes éventuelles qui ne feraient pas de travail concret ou qui se montreraient irresponsables et lentes dans la mise en œuvre des arrangements de travail ; de toute personne qui se montrerait réticente à l’égard des arrangements de travail et qui ne voudrait pas les mettre en œuvre ou qui les mettrait en œuvre de manière sélective, ou qui ne respecterait tout simplement pas les arrangements de travail et qui se contenterait de mener sa propre entreprise ; toute personne qui tairait les arrangements de travail et ne les communiquerait que selon ses propres idées, ne laissant pas le peuple élu de Dieu connaître la véritable signification et les exigences spécifiques des arrangements de travail – ce n’est qu’en supervisant et en inspectant ces aspects que les dirigeants supérieurs peuvent savoir ce qui se passe réellement. Si les dirigeants supérieurs ne procèdent pas à la supervision et à l’inspection, ces problèmes peuvent-ils être identifiés ? (Non.) C’est impossible. Par conséquent, les dirigeants et les ouvriers doivent non seulement communiquer les arrangements de travail et donner des conseils niveau par niveau, mais aussi superviser le travail niveau par niveau lors de la mise en œuvre des arrangements de travail. Les dirigeants régionaux doivent superviser le travail des dirigeants de district, les dirigeants de district doivent superviser le travail des dirigeants d’Église, et les dirigeants d’Église doivent superviser le travail de chaque groupe. La supervision doit être effectuée niveau par niveau. Quel est l’objectif de la supervision ? Il s’agit de faciliter la mise en œuvre précise du contenu des arrangements de travail conformément à leurs exigences spécifiques. La tâche de supervision est donc très importante » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (10)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que pour accomplir correctement un devoir, les dirigeants et les ouvriers doivent, de manière concrète, superviser et suivre chaque élément de travail, se plonger dans les détails et connaître et saisir l’avancement du travail. Ils doivent effectuer le travail conformément aux exigences de Dieu et aux arrangements de travail. Il faut rapidement s’occuper de la moindre violation des principes trouvée dans le travail et échanger dessus. Les personnes talentueuses avec un potentiel, une fois découvertes, doivent être cultivées à temps. Cela exige une inspection concrète, une investigation, une supervision et un suivi. Tout cela démontre une attitude responsable envers ses devoirs. Par le passé, je me fiais à mon imagination personnelle et confiais facilement le travail à ceux que je préférais, sans supervision ou suivi, ni compréhension de la situation concrète de leur travail. Cette approche était vraiment irresponsable, et je ne menais pas à bien mes devoirs. À l’avenir, je dois pratiquer conformément aux paroles de Dieu et superviser et suivre le travail dont je suis responsable de manière concrète.
Après le renvoi de Li Can, je me suis rendue à l’Église dont elle était responsable et j’ai rencontré certains nouveaux croyants qui pouvaient être cultivés. J’ai organisé des réunions avec eux pour comprendre leurs états et leurs difficultés de manière concrète, et j’ai proposé d’échanger pour résoudre ces problèmes. J’ai également échangé avec le personnel d’abreuvement afin de m’occuper des difficultés dans leur travail et j’ai corrigé les écarts dans leurs approches. Je leur ai demandé de se concentrer sur le fait d’échanger sur la vérité à propos de la compréhension de l’œuvre de Dieu, afin que les nouveaux croyants puissent, aussi rapidement que possible, poser des bases solides sur le vrai chemin. Plus tard, je me suis rendu compte que les problèmes d’abreuvement des nouveaux membres de cette Église devaient également exister dans d’autres Églises. J’ai donc rapidement écrit des lettres aux dirigeantes des groupes d’abreuvement des autres Églises. Après avoir écrit ces lettres, je me sentais encore mal à l’aise, car la communication écrite n’est pas aussi efficace que l’échange en personne. J’ai donc écrit aux dirigeants, en espérant qu’ils pourraient superviser et suivre ce travail en personne. Finalement, les dirigeants ont répondu que ces problèmes existaient également à différents niveaux dans leurs Églises et qu’ils allaient superviser et suivre en conséquence. C’est alors que j’ai vraiment compris la nécessité des exigences de Dieu envers les dirigeants et les ouvriers de superviser et de suivre le travail de manière concrète.
Grâce à cette expérience, j’ai gagné une certaine compréhension de mon propre tempérament arrogant et je me suis également rendu compte de l’importance de « voir les gens et les choses, et se comporter et agir, entièrement selon les paroles de Dieu, avec la vérité comme critère » comme le dit Dieu. Dorénavant, je ne dois pas agir sur la base de ma propre imagination. Confrontée à des problèmes, je dois d’abord chercher la vérité et traiter les gens, les événements et les choses autour de moi conformément aux paroles de Dieu.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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