Pourquoi je n’arrivais pas à accepter calmement mon devoir

1 mars 2025

Par Song Chuying, Chine

Fin mars 2023, les dirigeants m’ont demandé de superviser le travail de purge de l’Église. Quand ils m’ont dit cela, j’ai ressenti beaucoup de pression, et je me suis dit : « J’ai une compréhension superficielle de la vérité et je manque de discernement. Si je ne peux pas faire de travail réel, sous peu, il se pourrait que je finisse par être renvoyée. Ce serait tellement embarrassant ! Lorsqu’on est membre d’équipe, on a moins de responsabilités, et un superviseur est là pour vérifier les choses, alors on a moins de chances de faire des erreurs. Si je deviens superviseuse, la charge de travail sera plus importante, et dès que je ferai une erreur, cela pourra retarder le travail, ou, pire encore, conduire à de fausses accusations et à des punitions injustifiées. Ce serait une grave transgression ! L’accomplissement du devoir est censé être un moyen de préparer de bonnes actions, mais si je transgresse trop, alors je m’en sortirais au mieux en étant renvoyée et embarrassée, et dans le pire des cas, il se pourrait que je sois même expulsée de l’Église. Aurais-je encore une bonne issue et une bonne destination ? » Avec cela à l’esprit, j’ai tout simplement trouvé des excuses pour décliner le poste en disant que mon entrée dans la vie était superficielle et que je n’étais pas à la hauteur de ce devoir. Le dirigeant n’a pas dit grand-chose, mais m’a conseillé de continuer à chercher. Dans les jours qui ont suivi, je me sentais accablée chaque fois que je pensais aux paroles du dirigeant. Il se trouve que durant cette période, j’avais un problème concernant l’évaluation du comportement d’une personne. Je ne voyais que les graves conséquences de ses actions malfaisantes et je la qualifiais de personne malfaisante sans examiner sa nature-essence ni son comportement constant. Ce n’est que plus tard que j’ai réalisé que, bien que cette personne ait commis des actes malfaisants, ce n’était pas une personne malfaisante. Cet incident m’a encore plus abattue. L’erreur que j’avais faite avait failli blesser quelqu’un et perturber le travail de purge. Je manquais réellement de discernement. Si je devenais superviseuse et que je faisais de nouveau des erreurs, ne finirais-je pas par transgresser encore plus ? J’ai alors pensé à Sœur Lin Fang, la superviseuse qui venait juste d’être renvoyée parce qu’elle ne faisait pas de travail réel et ne parvenait pas à superviser et à modérer le travail. Les deux superviseurs qui étaient venus avant elle avaient fini par être expulsés parce qu’ils avaient commis trop d’actes malfaisants. Cela m’a d’autant plus fait sentir qu’être superviseuse était trop risqué, et que si je ne faisais pas bien le travail, je finirais tout simplement par être renvoyée ou éliminée sous peu. Il était plus prudent d’être juste un membre d’équipe. Mais le fait de refuser directement le devoir n’était pas non plus convenable, alors je me sentais tiraillée. Les jours qui ont suivi, je n’ai cessé de penser à tout cela. Je me sentais vraiment sous pression, et cela impactait mon état. J’ai prié Dieu et cherché Sa direction.

Lors de l’une de mes dévotions, j’ai lu un article de témoignage d’expérience dans lequel le protagoniste ne cessait de trouver des excuses et de décliner les devoirs parce qu’il pensait à sa fierté et à ses intérêts. Mais par la suite, il a réalisé que les devoirs étaient accompagnés de la souveraineté et des arrangements de Dieu, que Dieu observait son attitude envers les devoirs, et qu’il devait d’abord se soumettre. Je devais moi aussi d’abord entrer dans la vérité de la soumission à Dieu. J’ai donc cherché un passage pertinent de la parole de Dieu. J’ai lu que les paroles de Dieu disaient : « Quand Noé a fait ce que Dieu avait ordonné, il ne savait pas quelles étaient Ses intentions. Il ne savait pas ce qu’Il voulait accomplir. Dieu lui avait seulement donné un ordre et l’avait chargé de faire quelque chose, sans lui fournir beaucoup d’explications, mais Noé l’a simplement fait. Il n’a pas essayé de cerner les désirs de Dieu en secret, ne Lui a pas résisté et n’a pas fait preuve d’un manque de sincérité. Il l’a tout simplement fait avec un cœur pur et simple. Quel que soit ce que Dieu lui faisait faire, il le faisait. La conviction avec laquelle il agissait était fondée sur la soumission et l’écoute de la parole de Dieu. C’est ainsi qu’il s’est occupé de ce que Dieu lui avait confié, franchement et simplement. Son essence – l’essence de ses actions – était la soumission et non la remise en question, la résistance et encore moins la considération de ses intérêts personnels ou de ses pertes et profits. En outre, quand Dieu a dit qu’Il détruirait le monde par un déluge, Noé n’a pas demandé quand ni ce qu’il adviendrait des choses et il ne Lui a certainement pas demandé comment Il détruirait le monde. Il a tout simplement fait comme Dieu le lui avait indiqué. Noé faisait exactement ce que Dieu demandait, avec les matériaux qu’Il voulait et sans tarder. Il a agi conformément aux instructions de Dieu avec une attitude désirant satisfaire Dieu » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même I). En lisant ces paroles de Dieu, j’ai pris conscience que le fait d’être capable de se soumettre à n’importe quelle situation était ce que Dieu exigeait des gens et que c’était la raison que devaient posséder les êtres créés. J’ai vu que Noé avait le cœur pur dans sa manière d’aborder le mandat de Dieu. Il s’est contenté d’obéir et de se soumettre. Il n’a pas réfléchi au nombre de difficultés qu’il aurait pu rencontrer en construisant l’arche, ni quelles responsabilités il devrait assumer si cela n’était pas bien fait. Il a simplement voulu faire preuve de considération envers les intentions de Dieu, construire l’arche au plus vite comme l’exigeait Dieu, pour que la volonté de Dieu soit réalisée. Mais lorsqu’un devoir m’était assigné, mon esprit était trop surmené, et je ne cessais de penser à mes difficultés, à mon avenir, et à ma destination. Je me disais qu’être superviseuse était trop risqué, que je serais susceptible de transgresser, et que si je commettais trop de transgressions, je n’aurais pas une bonne issue. Quand ces pensées ont traversé mon esprit, j’ai découvert que je n’arrivais pas du tout à me soumettre, et je n’avais cessé de vouloir trouver des excuses pour échapper à ce devoir. En pensant à cela, j’avais vraiment honte. Je croyais en Dieu depuis tant d’années. Or je manquais encore de soumission élémentaire. Je n’avais vraiment aucune vérité-réalité. Je ne pouvais pas continuer ainsi. Même si j’avais des difficultés et des inquiétudes, je devais d’abord me soumettre et prendre ce devoir en charge.

Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai gagné une certaine compréhension de mon état. Dieu dit : « À en juger par l’attitude des antéchrists envers Dieu, envers les environnements et les personnes, les événements et les choses organisées par Dieu, envers la révélation de Dieu et la discipline qu’Il leur prodigue, etc., ont-ils la moindre intention de poursuivre la vérité ? Ont-ils la moindre intention de se soumettre à Dieu ? Ont-ils la moindre foi que tout cela ne soit pas accidentel mais plutôt régi par la souveraineté de Dieu ? Comprennent-ils et ont-ils conscience de cela ? Non, de toute évidence. On peut dire que la racine de leur réserve provient de leurs doutes au sujet de Dieu. On peut également dire que la racine de leur suspicion envers Dieu provient de leurs doutes envers Dieu. Les résultats que produit leur examen de Dieu les rend plus suspicieux envers Dieu, et simultanément plus méfiants envers Dieu. À en juger par les différentes pensées et points de vues générés par la pensée des antéchrists, ainsi que par les différents comportements et approches produits sous la domination de ces pensées et points de vue, ces gens sont tout simplement déraisonnables ; ils ne peuvent pas comprendre la vérité, ne peuvent pas développer de foi véritable en Dieu, ne peuvent pas croire totalement et reconnaître l’existence de Dieu, et ils ne peuvent pas croire et reconnaitre que Dieu est souverain sur toute la création, qu’Il est souverain sur toute chose. Tout cela est dû à leur tempérament-essence malveillant » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 5 : Résumé du caractère des antéchrists et de leur tempérament-essence (Partie II)). À travers ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antéchrists ne croyaient pas en la justice de Dieu lorsqu’il arrivait des choses. Au lieu de chercher la vérité pour connaître le tempérament de Dieu, ils utilisent des notions et l’imagination humaines, et des philosophies sataniques pour analyser l’œuvre de Dieu et les situations qu’Il arrange. Par conséquent, ils sont sur leurs gardes à l’égard de Dieu et comprennent mal Dieu. Cela est dû à la nature malveillante des antéchrists. En m’examinant à la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu que mon état était le même que le leur. Voyant que les trois superviseurs précédents avaient été renvoyés et éliminés, je n’ai pas cherché la vérité, n’ai pas réfléchi à la raison de leur échec, ni gagné du discernement et tiré des leçons de leurs échecs. Au lieu de cela, j’étais devenue méfiante, et je vivais selon des philosophies sataniques telles que « Prudence est mère de sûreté » et « Plus on s’élève et plus dure sera la chute ». J’avais l’impression qu’être superviseuse était trop risqué, et que si cela entraînait de quelconques accusations et punitions injustifiées, ce serait une transgression majeure, et je n’aurais pas une bonne issue ni une bonne destination. Je pensais qu’il fallait que je me protège et que j’évite les risques, alors je ne cessais de trouver des excuses pour échapper à ce devoir. Plus tard, je me suis demandé : « Quelles sont les intentions de Dieu en me confiant ce devoir ? Superviser le travail de purge implique vraiment de lourdes responsabilités, mais cela me permettrait de reconnaître divers types de personnes malfaisantes, d’antéchrists, et d’incrédules, ce qui m’aiderait à faire de rapides progrès dans le discernement des gens. De plus, être superviseuse supposerait de gérer de nombreux problèmes, et cela m’inciterait à chercher les vérités-principes pertinents et à m’équiper de la vérité. Ce serait une parfaite occasion pour me former. Mais au lieu de chercher la vérité à ce sujet, j’ai toujours pensé qu’être superviseuse signifiait assumer une plus grande responsabilité et que je serais révélée et éliminée plus rapidement. J’étais donc pleine de méfiance et de prudence envers Dieu. J’ai vraiment blessé le cœur de Dieu ! »

J’ai alors pensé à un passage des paroles de Dieu : « Dieu est juste et équitable envers tous. Dieu ne regarde pas comment tu étais avant ou ta stature actuelle, Il regarde si tu poursuis la vérité et si tu suis le chemin de la poursuite de la vérité. […] Dieu te permet de trébucher, d’échouer et de faire des erreurs. Dieu te donnera des occasions et du temps pour comprendre la vérité, pratiquer la vérité, comprendre progressivement Ses intentions, tout faire selon Ses intentions, te soumettre véritablement à Dieu, et atteindre la vérité-réalité que Dieu exige que les gens possèdent. Toutefois, quels sont ceux que Dieu déteste le plus ? Ce sont ceux qui, bien qu’ils connaissent la vérité dans leur cœur, refusent de l’accepter, sans parler de la mettre en pratique. Ceux qui, à l’inverse, continuent de vivre selon les philosophies de Satan, se considèrent encore comme étant plutôt bons et soumis à Dieu, tout en cherchant aussi à induire les autres en erreur et à obtenir une place dans la maison de Dieu. C’est ce genre de personne que Dieu déteste le plus, ce sont des antéchrists. Même si l’on a tous un tempérament corrompu, ces actes sont de nature différente. Il ne s’agit là ni d’un tempérament corrompu ordinaire ni d’une révélation de corruption normale ; au contraire, en cela tu résistes à Dieu jusqu’au bout, consciemment et obstinément. Tu sais que Dieu existe, tu crois en Dieu, et pourtant tu choisis délibérément de Lui résister. Ce n’est pas là avoir des notions sur Dieu et un problème de mauvaise compréhension. Au contraire, en cela, tu résistes à Dieu jusqu’au bout délibérément. Dieu peut-Il sauver ce genre de personne ? Dieu ne te sauve pas. Tu es un ennemi de Dieu, par conséquent, tu es un démon et un Satan. Dieu peut-Il encore sauver les démons et les Satans ? » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quand on croit en Dieu, le plus important est de pratiquer Ses paroles et d’en faire l’expérience). À travers ces paroles de Dieu, j’ai vu que Dieu était équitable envers les gens. Dieu n’élimine pas les gens pour des erreurs ou des échecs passagers, mais Il révèle et élimine les gens lorsqu’ils rejettent constamment la vérité et s’opposent obstinément à Lui. J’ai pensé au fait que mon manque de compréhension de la vérité m’avait conduite à faire des erreurs en matière de discernement des gens. Pourtant, personne n’avait cherché à me tenir pour responsable ou à m’empêcher de faire ce devoir à cause de ça. Dieu utilisait mes erreurs pour m’équiper de la vérité en lien avec le discernement des personnes malfaisantes pour compenser mes insuffisances. J’ai réfléchi davantage à la raison pour laquelle Lin Fang avait échoué. Récemment, je l’avais entendue parler de ses mauvaises intentions dans son devoir. Lorsqu’elle voyait de mauvais résultats dans le travail, elle passait le travail à la sœur avec qui elle faisait équipe, et n’en prenait pas elle-même la responsabilité. Lorsque les dirigeants supérieurs échangeaient avec elle et la corrigeaient, elle ne cessait de trouver des excuses, d’essayer de se défendre, et refusait de réfléchir sur elle-même et de se connaître à propos de ces problèmes. Lin Fang avait été renvoyée non pas à cause de ses erreurs, mais principalement à cause de son refus d’accepter la vérité et de son irresponsabilité. Il y avait aussi deux autres superviseurs. L’un avait un tempérament arrogant, était tyrannique et voulait toujours détenir toute l’autorité, et quand les autres ne l’écoutaient pas, il essayait de les réprimer et de les tourmenter. L’autre superviseur poursuivait constamment réputation et statut, réprimant et excluant ceux qui n’étaient pas d’accord avec lui. Ils empruntaient tous deux le chemin d’un antéchrist et ont été expulsés pour leurs nombreux actes malfaisants. J’ai vu que Dieu était juste et qu’Il ne renvoyait pas et n’excluait pas les gens simplement pour leurs erreurs dans leur devoir, mais en fonction de leur attitude envers la vérité et envers Dieu, et du chemin qu’ils empruntent. À en juger par leur comportement constant, il était clair que leur nature-essence avait une aversion pour la vérité et qu’ils la haïssaient, qu’ils poursuivaient uniquement réputation et statut et qu’ils ne protégeaient pas du tout le travail de l’Église. Résultat, Dieu les a révélés et éliminés. Mais j’avais pensé que ceux qui avaient un statut ou de grandes responsabilités étaient plus susceptibles d’être révélés et éliminés, tandis qu’un frère ou une sœur ordinaire, ayant moins de tâches, commettrait moins de transgressions puisqu’il y avait moins de choses en jeu, et donc échapperait à la révélation et à l’élimination. Mais c’était là juste mes notions et mon imagination. Je me méfiais toujours de Dieu et j’échappais toujours à mon devoir. Même si je ne commettais aucune transgression, si je ne poursuivais pas la vérité, mon tempérament corrompu ne serait pas purifié ni changé, et je ne recevrais pas le salut. Et à terme, je n’aurais toujours pas de bonne issue. Avec cela à l’esprit, je suis devenue disposée à accepter ce devoir. Dieu permet les écarts et les problèmes dans le devoir d’une personne, et tant que cette personne peut chercher la vérité par la suite, réfléchir sur elle-même et corriger rapidement ces écarts, Dieu continuera à la guider. En y réfléchissant, j’ai vu que je faisais du travail de purge depuis pas mal de temps, et que j’étais parvenue à comprendre certains principes de discernement. Le travail de l’Église avait urgemment besoin de gens pour coopérer, alors je devais prendre les intentions de Dieu en considération et faire de mon mieux pour coopérer. C’était là la raison et la soumission que je devais avoir. Mais mon esprit n’était rempli que de pensées liées à mes propres intérêts, à ma propre issue et à ma propre destination. J’avais été tellement égoïste et méprisable !

Plus tard, j’ai lu davantage de paroles de Dieu : « En quoi le fait de considérer la recherche de bénédictions comme un objectif est-il erroné ? Cela va complètement à l’encontre de la vérité et n’est pas conforme à l’intention de Dieu de sauver les gens. Être béni n’étant pas un objectif approprié que les gens doivent poursuivre, qu’est-ce qu’un objectif approprié ? La poursuite de la vérité, la poursuite de changements dans le tempérament, et la capacité de se soumettre à toutes les orchestrations et à tous les arrangements de Dieu : tels sont les objectifs que les gens doivent poursuivre. Si, par exemple, être émondé fait naître en toi des notions et des incompréhensions, et que tu ne parviens plus à te soumettre, à quoi cela est-il dû ? C’est parce que tu estimes que ta destination ou ton désir d’être béni ont été mis au défi. Tu deviens négatif et contrarié, et tu tentes d’être déchargé de ton devoir. Quelle en est la raison ? C’est parce qu’il y a un problème avec ta poursuite. Alors comment résoudre cela ? Il est impératif que tu abandonnes immédiatement tes idées erronées, et que tu recherches immédiatement la vérité pour résoudre ton problème de tempérament corrompu. Tu dois te dire : “Je ne dois pas renoncer, je dois continuer à bien faire le devoir qu’il incombe à un être créé et mettre de côté mon désir d’être béni.” Quand tu renonces au désir d’être béni et que tu suis le chemin de la poursuite de la vérité, tu es déchargé d’un fardeau. Seras-tu encore capable de négativité ? Même si tu es encore parfois négatif, tu ne laisses pas cela te contraindre, et dans ton cœur, tu continues à prier et à lutter, tu changes l’objectif de ta poursuite, passant de la recherche de bénédictions et d’une destination à la recherche de la vérité, et tu te dis : “La poursuite de la vérité est le devoir d’un être créé. Il n’y a pas de plus merveilleuse moisson que de comprendre certaines vérités aujourd’hui : c’est la plus merveilleuse des bénédictions. Même si Dieu ne veut pas de moi, que je n’ai pas une bonne destination, et que mes espoirs de bénédiction sont anéantis, je continuerai à faire mon devoir convenablement, j’y suis tenu. Quoi qu’il arrive, cela n’affectera pas l’accomplissement de mon devoir, ni ma réalisation du mandat de Dieu ; c’est mon principe de conduite.” De cette manière, n’as-tu pas transcendé les contraintes de la chair ? » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Il ne peut y avoir d’entrée dans la vie qu’en pratiquant la vérité). « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il reçoive des bénédictions ou souffre d’infortunes. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ce devoir ne devrait pas dépendre de récompenses, de conditions ou de raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Recevoir des bénédictions fait référence au fait d’être perfectionné et de jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Souffrir d’infortunes fait référence au fait de conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils reçoivent des bénédictions ou souffrent d’infortunes, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour recevoir des bénédictions, et tu ne devrais pas refuser d’agir par peur de souffrir d’infortunes. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : ce que l’homme doit faire, c’est accomplir son devoir, et s’il en est incapable, c’est sa rébellion. C’est par le processus de l’accomplissement de son devoir que l’homme change progressivement, et c’est par ce processus qu’il démontre sa fidélité. Ainsi, plus tu es capable de remplir ton devoir, plus tu recevras de vérités, et plus ton expression deviendra réelle. Ceux qui n’agissent que pour l’apparence quand ils accomplissent leur devoir et qui ne cherchent pas la vérité seront éliminés à la fin, car de tels hommes ne remplissent pas leur devoir dans la pratique de la vérité et ne pratiquent pas la vérité pendant qu’ils mènent à bien leur devoir. De tels hommes ne changent pas et ils souffriront d’infortunes. Non seulement leurs expressions sont impures, mais tout ce qu’ils expriment est malfaisant » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). Á travers ces paroles de Dieu, j’ai vu que, peu importe qu’une personne reçoive des bénédictions ou subisse des malheurs, il est parfaitement naturel et justifié pour un être créé de faire son devoir. Vu que les gens suivent Dieu, ils devraient assumer leurs responsabilités, et c’est ainsi que l’on vit une vie pleine de valeur et de sens. Les intentions de Dieu sont de faire entrer les gens dans la vérité-réalité à travers leur devoir. Au cours du devoir d’une personne, divers tempéraments corrompus seront révélés, et de nombreux défauts seront exposés. Grâce à cette opportunité, une personne peut chercher la vérité, réfléchir sur elle-même, et ainsi être purifiée et transformée. Désormais, même si j’étais confrontée à des difficultés dans ma formation en tant que superviseuse, je pouvais davantage me fier à Dieu, me concentrer sur la recherche de la vérité, faire mon devoir conformément aux principes, assumer mes reponsabilités, et montrer ma loyauté. Si après une période de formation, je finissais par être réaffectée à cause d’un calibre insuffisant, je n’aurais aucun regret.

Après cela, en faisant le devoir de superviseuse, que je sois confrontée à des difficultés ou que j’aie des écarts dans mon devoir, j’ai vu que c’était une bonne opportunité pour gagner la vérité, j’ai échangé sur ces choses-là et les ai résumées avec mes frères et sœurs, et j’ai cherché les vérités-principes pertinents. Petit à petit, les vérités que je ne comprenais pas avant sont devenues plus claires, et j’ai quelque peu progressé. Je ne me méfie plus de Dieu, et je veux seulement tirer des leçons pratiques de chaque situation que Dieu arrange. Dieu soit loué pour m’avoir permis de vraiment gagner et d’acquérir de réelles connaissances.

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