La soi-disant connaissance de soi
Par Joseph, Corée du SudAprès avoir accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours, je me rassemblais toujours avec les frères et sœurs qui...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Quand j’étais dirigeante, certains frères et sœurs ont signalé que Yang Li, la dirigeante d’une Église dont j’avais la responsabilité, ne faisait aucun travail concret. Grâce à une réelle investigation, j’ai découvert que Yang Li passait ses journées à s’occuper d’affaires générales, de sorte qu’elle n’avait pas du tout de temps pour faire le moindre travail d’une dirigeante d’Église. Chaque fois qu’elle se rendait à une réunion de groupe, elle disait toujours être très occupée et, quand elle avait fini de prendre les dispositions nécessaires, elle partait toujours précipitamment. Elle n’échangeait pratiquement jamais avec ses frères et sœurs dans les réunions, et elle ne comprenait ni ne résolvait les problèmes et les difficultés qu’ils rencontraient dans leurs devoirs. Plusieurs diacres ont également signalé que Yang Li ne les rencontrait que tous les quelques mois. Les problèmes et les difficultés de ses frères et sœurs n’étaient pas résolus dans les meilleurs délais, ils étaient devenus négatifs et passifs dans leurs devoirs et leur entrée dans la vie était entravée. En outre, certains frères et sœurs n’avaient aucun sens du fardeau et manquaient constamment de rigueur dans leurs devoirs. Yang Li n’échangeait pas avec eux, ne les aidait pas ou ne les renvoyait pas suffisamment tôt. Une personne malfaisante interrompait et perturbait la vie de l’Église, mais Yang Li ne la renvoyait pas de l’Église dans un délai raisonnable. Comme Yang Li ne faisait pas de travail concret, la vie de l’Église avait été perturbée et diverses tâches n’arrivaient pas à produire des résultats, ce qui réduisait les choses à un état de paralysie. Lorsque j’ai échangé avec Yang Li et lui ai exposé ses problèmes, non seulement elle a refusé d’accepter ce que je disais, mais elle a même répliqué, essayé de se justifier et tenté de rejeter le blâme du manque de résultats dans le travail de l’Église sur sa partenaire. Sur la base du comportement de Yang Li et en voyant qu’elle refusait absolument d’accepter la vérité ou de se repentir, je l’ai considérée comme une fausse dirigeante qui ne faisait aucun travail concret, une personne qui devait être renvoyée immédiatement. Mais j’ai hésité. Certains frères et sœurs ne discernaient pas Yang Li et avaient l’impression qu’elle avait un certain calibre et des dons. Ils disaient qu’elle avait un esprit vif et qu’elle échangeait bien dans les réunions. Elle travaillait beaucoup chaque jour pour faire son devoir, disaient-ils, et elle avait un réel sens du fardeau. Ils l’adoraient et la défendaient. Comme tout le monde semblait avoir une si haute opinion d’elle, je me suis dit qu’en la renvoyant dès mon arrivée, ils me trouveraient arrogante, n’est-ce pas ? Penseraient-ils que j’ai refusé de lui donner une chance de se repentir ? Ou, peut-être penseraient-ils que j’avais simplement envie de faire des changements audacieux pour affirmer ma nouvelle autorité sur tout le monde et asseoir mon prestige ? Je me suis dit : « Les frères et sœurs devraient peut-être d’abord écrire leur propre évaluation de Yang Li. Ensuite, je pourrais juger s’il faut ou non la renvoyer. » Mais les frères et sœurs n’avaient aucun discernement à son sujet et leurs évaluations n’auraient que peu de valeur en tant que références. La persécution du PCC était tellement grave à cette époque qu’il était impossible de se réunir avec les frères et sœurs pour échanger et la discerner. Si j’attendais de pouvoir échanger avec eux avant de la renvoyer, alors le travail de l’Église serait retardé pendant je ne sais combien de temps. Je me suis dit : « Il vaudrait mieux la renvoyer d’abord, puis échanger avec les frères et sœurs et discerner son comportement plus tard. » Mais j’étais toujours inquiète et me demandais : « Si les frères et sœurs n’avaient pas la possibilité d’écrire une évaluation avant son renvoi, serait-il tout de même possible de les convaincre ? Il y avait une autre option : je pouvais écrire une lettre au dirigeant pour signaler la situation avec Yang Li. Si le dirigeant était d’accord, alors je la renverrais. Ainsi, même si ce n’était pas acceptable pour les frères et sœurs, je n’aurais pas à assumer l’entière responsabilité de la décision. Tout le monde saurait que je n’étais pas seule à prendre cette décision et ils ne diraient donc pas trop de choses négatives à mon sujet. » Ces pensées tournaient sans cesse dans ma tête et j’ai finalement décidé d’écrire au dirigeant le lendemain.
Le lendemain matin, j’ai raconté à ma sœur partenaire la situation de Yang Li. Elle aussi croyait que Yang Li était une fausse dirigeante qui devait être renvoyée le plus rapidement possible. Elle a suggéré de renvoyer Yang Li tout en écrivant une lettre au dirigeant pour le tenir informer. Je me suis dit que c’était également une ligne de conduite appropriée. Mais au moment de la mettre en œuvre, j’ai à nouveau hésité, me disant : « Tout cela est uniquement basé sur ce que j’ai constaté à propos du comportement de Yang Li. Sans évaluation des frères et sœurs, seraient-ils tous d’accord pour la renvoyer ? Le moment venu, protesteront-ils pour le compte de Yang Li ? Diront-ils que je suis arrogante ou que je ne peux pas traiter les gens équitablement ? Si les frères et sœurs ne sont pas convaincus par ma décision et me signalent à cause d’elle, alors, je perdrais vraiment la face. » Plus j’y pensais, plus j’étais perdue. Ma sœur a remarqué mon air embarrassé et m’a demandé : « Est-ce que tu t’inquiètes à propos des autres frères et sœurs ? Qu’ils n’accepteront pas que tu renvoies Yang Li sans leur évaluation ? Nous renvoyons les faux dirigeants conformément aux principes, afin de protéger le travail de l’Église. Pourquoi cela te préoccupe-t-il autant ? » En entendant ce qu’elle disait, j’ai commencé à réfléchir : « C’est vrai. La maison de Dieu exige clairement que nous renvoyions les dirigeants et les ouvriers qui font n’importe quoi et qui ne font aucun travail réel, cela pour éviter de retarder le travail de l’Église. J’ai déjà constaté que Yang Li est une fausse dirigeante, mais je continue à vouloir le consentement des frères et sœurs avant de la renvoyer. Pourquoi donc ? » Je me suis rendu compte que cet état n’était pas correct. Alors, avec ma sœur, j’ai cherché à résoudre ce problème. Et nous avons vu deux passages des paroles de Dieu qui disent : « Si, en tant que dirigeants et ouvriers, vous ignorez des problèmes qui surviennent dans l’accomplissement des devoirs, et vous cherchez même divers prétextes et excuses pour esquiver toute responsabilité et que vous ne résolvez pas des problèmes que vous êtes capables de résoudre et que vous ne signalez pas au Supérieur les problèmes que vous êtes incapables de résoudre, comme s’ils n’avaient rien à voir avec vous, n’est-ce pas un manquement à votre responsabilité ? Traiter ainsi le travail de l’Église, est-ce intelligent, ou est-ce insensé ? (C’est insensé.) Ces dirigeants et ouvriers ne sont-ils pas fuyants ? Ne sont-ils pas dénués de tout sens des responsabilités ? Lorsqu’ils rencontrent des problèmes, ils les ignorent ; ne sont-ils pas inconsidérés ? Ne sont-ils pas perfides ? Les personnes perfides sont les personnes les plus stupides de toutes. Tu dois être une personne honnête, tu dois avoir le sens des responsabilités lorsque tu rencontres des problèmes et tu dois essayer par tous les moyens possibles et chercher la vérité pour les résoudre. Tu ne dois te montrer perfide sous aucun prétexte. Si la seule chose qui t’intéresse est de fuir tes responsabilités et que, lorsque des problèmes surviennent, tu t’en laves les mains, même les non-croyants condamneraient ce comportement de ta part, sans parler de la maison de Dieu ! Ce comportement doit certainement être condamné et maudit par Dieu et il doit être détesté et refusé par les élus de Dieu. Dieu aime les gens honnêtes, et déteste les gens fourbes et fuyants. Si tu es une personne perfide et que tu agis de manière fuyante, Dieu ne te détestera-t-Il pas ? La maison de Dieu te laissera-t-elle simplement te tirer d’affaire ? Tôt ou tard, tu devras en rendre compte. Dieu aime les gens honnêtes et Il n’aime pas les personnes perfides. Tout le monde devrait comprendre cela clairement et cesser d’être confus et de faire des bêtises. L’ignorance temporaire est excusable, mais si une personne refuse absolument d’accepter la vérité, elle est trop obstinée. Les gens honnêtes peuvent prendre leurs responsabilités. Ils ne considèrent pas leurs propres gains et pertes, ils se contentent de sauvegarder le travail et les intérêts de la maison de Dieu. Ils ont un cœur bon et honnête qui est comme un bol d’eau claire dont on peut voir le fond d’un coup d’œil. Il y a aussi de la transparence dans leurs actions. Une personne fourbe agit toujours de manière fuyante, est dans le faux-semblant, déguise et dissimule toujours les choses, et se camoufle incroyablement bien. Personne ne peut percer à jour ce type de personne. Les gens ne peuvent pas percer à jour tes pensées intérieures, mais Dieu peut scruter les choses au plus profond de ton cœur. Quand Dieu voit que tu n’es pas honnête, que tu es fuyant, que tu n’acceptes jamais la vérité, que tu trompes constamment Dieu et que tu ne Lui remets jamais ton cœur, alors Dieu ne t’aime pas, Il te déteste et t’abandonne » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). « Vous dites tous que vous êtes attentifs au fardeau de Dieu et que vous défendrez le témoignage de l’Église, mais qui parmi vous a vraiment été attentif au fardeau de Dieu ? Demande-toi : es-tu quelqu’un qui a démontré de la considération pour Son fardeau ? Peux-tu pratiquer la justice pour Lui ? Peux-tu te lever et parler en Ma faveur ? Peux-tu mettre la vérité en pratique fermement ? Es-tu assez audacieux pour te battre contre tous les actes de Satan ? Pourrais-tu mettre tes sentiments de côté et exposer Satan pour Ma vérité ? Peux-tu permettre que Mes intentions soient satisfaites en toi ? As-tu offert ton cœur au moment le plus crucial ? Es-tu quelqu’un qui suit Ma volonté ? Pose-toi ces questions et réfléchis souvent sur elles » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 13). Les paroles de Dieu ont exposé mes intentions méprisables en tapant dans le mille. J’ai alors réalisé que j’étais une traîtresse. J’avais clairement confirmé que Yang Li était une fausse dirigeante qui ne faisait aucun travail concret, que les frères et sœurs n’avaient aucun discernement à son égard et qu’en outre, ils l’adoraient et la défendaient. Mais au lieu de la renvoyer au plus vite, conformément aux principes, j’étais sournoise afin de protéger ma face et mon statut. Je savais très bien que les frères et sœurs ne la discernaient pas et qu’il n’y avait aucun but réel à leur faire écrire une évaluation, mais j’étais tout de même disposée à perdre du temps dans ce processus, par crainte d’être traitée d’arrogante après avoir renvoyée Yang Li, et que cela impacte mon statut et mon image. J’ai dissimulé mes intentions méprisables sous le prétexte de m’assurer de l’accord des frères et sœurs et je voulais même demander l’opinion du dirigeant avant de la renvoyer. Ainsi, même si les frères et sœurs s’opposaient à son renvoi, je pouvais simplement dire que le dirigeant avait donné son accord, de sorte que je n’aurais pas à porter seule cette responsabilité. Je pensais à tout ce que je pouvais faire pour essayer de me protéger, je jouais des tours et utilisais des ruses pour obtenir ce que je voulais. J’étais tellement sournoise ! Que je renvoie rapidement les faux dirigeant qui ne convenaient pas, c’était ma responsabilité et l’exigence de la maison de Dieu. Mais j’esquivais ma responsabilité en étant indécise et tout ce à quoi je pensais, c’était de savoir comment protéger ma face et mon statut. Je n’ai pas considéré que ne pas renvoyer cette fausse dirigeante dans les meilleurs délais serait une entrave et une perte, tant pour le travail de l’Église que pour l’entrée dans la vie des frères et sœurs. Je n’ai fait que regarder passivement alors que la fausse dirigeante nuisait à l’Église et, plutôt que de me dresser pour l’exposer, la renvoyer et protéger les intérêts de l’Église, j’ai continué à faire passer mes propres intérêts en premier. J’ai même trouvé un moyen de me dégager de la situation. J’étais tellement égoïste et méprisable ! Plus j’y pensais, plus je me sentais indigne de ce devoir, sans parler de faire face à mes frères et sœurs.
J’ai réfléchi à tout cela. Je croyais en Dieu, je mangeais et buvais Ses paroles tous les jours et je faisais mon devoir. Alors, pourquoi, quand j’étais confrontée à un problème, est-ce que je cessais de pratiquer la vérité ? Pourquoi ne pouvais-je pas sauvegarder les intérêts de l’Église ? Quelles en étaient les raisons exactes ? Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu et je suis parvenue à comprendre un peu mieux ce problème. Les paroles de Dieu disent : « Y a-t-il parmi vous des personnes qui ne croient dans leur cœur qu’au Dieu vague au ciel, mais qui ont sans cesse des notions au sujet du Dieu incarné ? S’il y a vraiment de tels individus, alors il s’agit de croyants en la religion. Ceux qui croient en la religion ne reconnaissent pas le Dieu incarné dans leur cœur, et même s’ils Le reconnaissent, ils ont sans cesse des notions à Son sujet et ils ne sont jamais capables de se soumettre à Lui. N’est-ce pas vrai ? À proprement parler, de tels individus ne sont pas des croyants en Dieu. Même s’ils affirment peut-être croire en Dieu, en réalité, ils ne sont guère différents de ceux qui croient en la religion. Dans leur cœur, tout ce en quoi ils croient est le Dieu vague. Ils ne font que respecter des notions et des règlements religieux. Donc, en ce qui concerne tous ceux qui ne poursuivent pas la vérité, qui se concentrent uniquement sur la bonne conduite et le respect des règlements, qui ne pratiquent pas la vérité, et dont le tempérament n’a pas subi le moindre changement, ce que ces gens font, c’est croire en la religion. Quelle caractéristique distingue ceux qui croient en la religion ? (Ils ne se concentrent que sur les pratiques apparentes et sur le fait d’avoir l’air de bien se conduire.) Quels sont les principes et la base de leurs actes ? (Des philosophies sataniques des relations mondaines.) Quelles sont les philosophies sataniques des relations mondaines et quels sont les tempéraments sataniques corrompus ? La malhonnêteté et la fourberie, n’obéir qu’à ses propres règles, l’arrogance et la prétention, vouloir avoir le dernier mot en toutes choses, ne jamais chercher la vérité ni échanger avec les frères et sœurs et, quand on agit, toujours penser à ses propres intérêts, à son orgueil et à son statut : tout cela, c’est agir en se basant sur un tempérament satanique. C’est suivre Satan. Si l’on croit en Dieu, mais qu’on n’écoute pas Ses paroles, qu’on n’accepte pas la vérité ou qu’on ne se soumet pas à Ses arrangements et à Ses orchestrations, si on ne fait qu’afficher certains bons comportements, mais que l’on est incapable de se rebeller contre la chair et que l’on ne renonce en rien à son orgueil ou à ses intérêts, et même si, selon les apparences, on accomplit son devoir, on vit encore selon ses tempéraments sataniques et on n’a pas le moins du monde abandonné ni changé ses philosophies et ses modes de vie sataniques. Alors, comment pourrait-on vraiment croire en Dieu ? C’est cela, la croyance en la religion. En apparence, les gens comme ça renoncent aux choses et se dépensent, mais si on examine le chemin qu’ils suivent, l’origine et le point de départ de tout ce qu’ils font, ils ne basent pas ces choses sur les paroles de Dieu ni sur la vérité. Au contraire, ils continuent à agir selon leurs propres notions et leur imagination, selon leurs suppositions subjectives et leurs ambitions et désirs. Les philosophies et les tempéraments de Satan font encore office de base pour leur existence et leurs actes. Pour les questions dont la vérité leur est incompréhensible, ils ne cherchent pas la vérité. Pour les questions dont la vérité leur est compréhensible, ils ne pratiquent pas la vérité, ils n’honorent pas la grandeur de Dieu et ils ne chérissent pas la vérité. Même si, nommément et verbalement, ils croient en Dieu et Le reconnaissent, et même s’ils semblent peut-être capables d’accomplir un devoir et de suivre Dieu, ils vivent selon leur tempérament satanique dans tout ce qu’ils disent et font. Les choses qu’ils disent et font sont toutes des révélations d’un tempérament corrompu. Vous ne les verrez jamais pratiquer les paroles de Dieu ou en faire l’expérience, et vous verrez encore moins la manifestation de leur recherche de la vérité et de leur soumission à la vérité en toutes choses. Dans leurs actes, ils considèrent leurs propres intérêts avant tout le reste et ils satisfont leurs propres désirs et leurs intentions en premier. S’agit-il là de gens qui suivent Dieu ? (Non.) […] Ils ne prêtent jamais attention à ce que sont les intentions ou les exigences de Dieu, et ils ne se demandent pas comment les gens doivent pratiquer afin de satisfaire Dieu. Même s’il peut leur arriver de prier devant Dieu et d’échanger avec Lui, ils ne font que se parler à eux-mêmes, sans chercher sincèrement la vérité. Quand ils prient Dieu et lisent Ses paroles, ils ne relient pas ces paroles aux problèmes qu’ils rencontrent dans la vie réelle. Et donc, dans l’environnement arrangé par Dieu, comment traitent-ils Sa souveraineté, Ses arrangements et Ses orchestrations ? Confrontés à des choses qui ne satisfont pas leurs désirs, ils évitent ces choses et ils leur résistent dans leur cœur. Confrontés à des choses qui font subir des pertes à leurs intérêts ou qui empêchent que leurs intérêts soient satisfaits, ils essaient par tous les moyens de trouver une porte de sortie, en s’efforçant de maximiser leurs bénéfices et en luttant pour éviter la moindre perte. Ils ne cherchent pas à satisfaire les intentions de Dieu, mais seulement à satisfaire leurs propres désirs. S’agit-il là de foi en Dieu ? De tels individus ont-ils une relation avec Dieu ? Non, pas du tout. Ils vivent de façon vile, sordide, intransigeante et laide. Non seulement ils n’ont aucune relation avec Dieu, mais, à la moindre occasion, ils s’opposent aussi à la souveraineté et aux arrangements de Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut être sauvé par la croyance en la religion ou par la participation aux cérémonies religieuses). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, mon cœur s’est agité comme l’océan dans une tempête. En repensant à mon comportement, j’étais l’une de ces personnes exposées par Dieu : une croyante en la religion. Même si je semblais capable de renoncer à moi-même et de me dépenser, je ne cherchais pas les vérités-principes quand je rencontrais des problèmes. Je ne pensais jamais qu’à mes propres intérêts et je vivais selon des règles de survie sataniques telles que : « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et « Les gens sensés savent se protéger, ils cherchent seulement à éviter de commettre des erreurs ». Ces règles s’étaient profondément enracinées dans mon cœur. Je pensais que les gens devaient vivre pour eux-mêmes et que ceux qui ne pensaient pas à eux-mêmes étaient des imbéciles. J’avais pris ces règles comme des lignes directrices pour ma conduite personnelle et j’étais ainsi devenue de plus en plus égoïste, sournoise, fourbe et méprisable. Même si j’avais lu de nombreuses paroles de Dieu après avoir commencé à croire en Lui, je n’acceptais toujours pas la vérité. Je ne vivais pas selon les paroles de Dieu, mais selon des philosophies de Satan. En ce qui concerne la question du renvoi de Yang Li, je savais que je devais pratiquer la vérité et que ce serait bénéfique pour le travail de l’Église et les vies des frères et sœurs. Mais pour sauver ma face et mon statut et éviter que les frères et sœurs ne me traitent d’arrogante, j’ai choisi de mettre mes actions en attentes et de regarder passivement alors qu’une fausse dirigeante continuait de nuire au travail de l’Église et de le retarder. N’étais-je pas en train de protéger cette fausse dirigeante et de donner mon accord tacite à ses actes malfaisants ? Si une personne qui croit vraiment en Dieu et qui a un sens de la justice voyait que le travail de l’Église était entravé, elle agirait conformément aux paroles de Dieu et se dresserait pour sauvegarder les intérêts de l’Église. Mais quand j’ai rencontré une telle situation, je n’ai pas pratiqué la vérité. Au lieu de cela, j’ai vécu selon les philosophies mondaines de Satan. Comment pouvais-je être une croyante en Dieu ? J’avais pensé que je croyais en Dieu, que je pouvais renoncer à moi-même et me dépenser, et que je pouvais souffrir et payer le prix pour ma croyance. Je pensais que je pouvais me soumettre à n’importe quel devoir que l’Église me confiait. Mais maintenant, je me suis rendu compte que tout cela n’était qu’une bonne conduite superficielle. Être confrontée à ce problème m’avait révélée. Je n’avais pas la réalité de la pratique de la vérité et quand je faisais mon devoir, j’étais liée par mon tempérament corrompu et des philosophies sataniques. Je ne croyais pas en Dieu, mais en la religion. Dieu n’approuvait pas ma croyance, Il la méprisait et l’avait en horreur. Si je ne me repentais pas, alors mon issue serait d’être punie et éliminée.
J’ai lu davantage de paroles de Dieu : « Dans la maison de Dieu, quel que soit le devoir que vous accomplissez, vous devez saisir les principes et être capables de pratiquer la vérité. Alors, vous aurez des principes. S’il y a quelque chose que vous ne pouvez pas percer à jour, si vous n’êtes pas sûrs de la manière appropriée d’agir, vous devez chercher et échanger pour arriver à un consensus. Une fois que vous avez déterminé ce qui est bénéfique pour le travail de l’Église et pour les frères et sœurs, faites-le. Ne soyez contraints par aucun règlement, ne différez pas, n’attendez pas et ne soyez pas des observateurs passifs. Si vous êtes toujours des observateurs passifs et n’avez jamais votre propre opinion, si vous attendez toujours que quelqu’un d’autre ait pris une décision avant de faire quoi que ce soit et si vous traînez les pieds et attendez lorsque personne n’a pris de décision, quelles en seront les conséquences ? Chaque élément de travail s’immobilisera et rien ne sera fait. Vous devez apprendre à chercher la vérité, ou au moins être capables d’agir en vous basant sur votre conscience et votre raison. Tant que tu peux percer à jour la manière appropriée de faire quelque chose et que la majorité des gens pense également que cette méthode est réalisable, alors c’est ainsi que tu dois pratiquer. N’aie pas peur de prendre des responsabilités, d’offenser les autres, ni d’assumer les conséquences. Si quelqu’un ne fait rien de réel, qu’il calcule toujours, qu’il a peur de prendre des responsabilités et n’ose pas s’en tenir aux principes dans ses actions, alors cela montre qu’il est trop fuyant et fourbe, et qu’il nourrit trop de manigances roublardes. Quel manque de vertu que de souhaiter jouir de la grâce et des bénédictions de Dieu tout en n’accomplissant rien de réel. Il n’y a personne que Dieu méprise davantage que ce genre de personnes rusées et fourbes. Indépendamment de ce que tu penses, si tu ne pratiques pas conformément à la vérité, que tu n’as pas de loyauté, que tu es toujours entaché par des adultérations personnels et que tu as toujours tes propres pensées et tes propres idées, Dieu scrute toutes ces choses et Il le sait. Penses-tu que Dieu ne le sait pas ? Dans ce cas, tu es trop stupide ! Et si tu ne te repens pas immédiatement, tu n’auras pas l’œuvre de Dieu. Pourquoi ? Parce que Dieu scrute les profondeurs du cœur des gens. Il voit, avec une clarté absolue, toutes les petites manigances roublardes qu’ils ont, et Il voit que leurs cœurs Lui sont fermés, qu’ils ne sont pas d’un seul cœur avec Lui. Quelles sont les principales choses qui séparent le cœur des gens de Dieu ? Leurs pensées, leurs intérêts et leur fierté, leur statut, et leurs propres petites manigances roublardes. Quand il y a, dans le cœur des gens, un mur de ces choses qui les sépare de Dieu, qu’ils cachent constamment des secrets et qu’ils ont toujours leurs propres motivations, c’est synonyme d’ennuis. Si tu es d’un calibre légèrement médiocre et que tu as une expérience légèrement superficielle, mais que tu es prêt à poursuivre la vérité, que tu es toujours d’un seul cœur avec Dieu et que tu peux te consacrer entièrement à ce que Dieu te confie sans jouer de tours, alors Dieu le verra. Si ton cœur est toujours fermé à Dieu et que tu nourris toujours des desseins mesquins, si tu vis toujours pour tes propres intérêts et ta propre fierté, que tu calcules toujours ces choses dans ton cœur et que tu en es possédé, alors Dieu ne sera pas satisfait de toi, Il ne t’éclairera pas ni ne t’illuminera, Il t’ignorera et ton cœur deviendra de plus en plus sombre. Cela signifie que lorsque tu accompliras ton devoir ou feras quoi que ce soit, tu rateras tout et rien ne sera valable. C’est parce que tu es vraiment égoïste et vil, que tu manigances toujours pour ton propre bien, sans être sincère envers Dieu, et que tu oses être fourbe et essayer de duper Dieu, et non seulement tu n’acceptes pas la vérité, mais tu es sournois dans l’accomplissement de ton devoir : ce qui n’est pas se dépenser sincèrement pour Dieu. Et comme tu n’accomplis pas ton devoir sincèrement, que tu trimes seulement un peu et que tu utilises cela comme une opportunité d’obtenir plus de bénéfices, et comme tu souhaites aussi conspirer pour obtenir la renommée, le gain et le statut pour toi-même, et que tu n’acceptes pas et n’obéis pas lorsque tu es émondé, il est probable que tu offenseras le tempérament de Dieu. Dieu scrute les profondeurs du cœur des gens. Si tu ne te repens pas, tu seras en danger et tu seras probablement éliminé par Dieu, auquel cas tu n’auras plus jamais la chance de recevoir l’approbation de Dieu » (L’échange de Dieu). Ces paroles de Dieu m’ont donné un chemin de pratique. Lorsque vous rencontrez des problèmes que vous ne pouvez pas voir clairement, vous pouvez chercher à échanger avec des frères et sœurs qui comprennent la vérité et parvenir à un consensus avant d’agir pour les résoudre. Si vous voyez clairement que le plan d’action s’aligne avec les vérités-principes et qu’il sera bénéfique au travail de l’Église, alors vous devriez le suivre dans les meilleurs délais. Mais si vous êtes indécis, si vous attendez toujours l’approbation d’un dirigeant avant de prendre votre décision, alors cela risque de retarder le travail de l’Église. En fait, quand il s’agit de renvoyer des dirigeants ou des ouvriers qui ne conviennent pas, il serait également conforme aux principes de comprendre les évaluations des frères et sœurs pour procéder à une évaluation globale avant de prendre une décision. Cela peut être un bon moyen d’éviter de commettre des erreurs lors de la réaffectation de dirigeants ou d’ouvriers. Mais les principes ne sont pas des règles. Ils doivent être utilisés avec souplesse, en fonction des circonstances. Dans le cas du renvoi de Yang Li, ma partenaire et moi-même avions déjà confirmé, conformément aux principes, que Yang Li était une fausse dirigeante et que si je ne la renvoyais pas immédiatement, cela ne ferait que retarder le travail de l’Église. Il n’était pas nécessaire d’attendre d’avoir recueilli les évaluations des frères et sœurs avant de la renvoyer. En outre, les frères et sœurs ne discernaient pas Yang Li : ils avaient été induits en erreur par elle. Même si je leur demandais d’écrire une évaluation, cela n’aurait pas de sens, ce serait une simple formalité et une perte de temps. J’aurais dû la renvoyer directement et exposer le fait qu’elle ne faisait aucun travail concret, donnant aux frères et sœurs un certain discernement à son encontre et les libérant de son fourvoiement. Cela aurait été la seule façon d’assumer ma responsabilité de dirigeante. Mais dans cette affaire, j’avais vécu selon des philosophies de Satan et j’avais utilisé la tromperie pour me protéger. Je n’avais pas pratiqué la vérité et je n’avais pas assumé une once de responsabilité. Si je continuais à faire mon devoir de cette manière, je serais détestée et abandonnée par Dieu. Je savais que Yang Li était une fausse dirigeante, mais je n’avais pas osé la renvoyer directement car je craignais que les gens me traite d’arrogante. Cela montrait que je ne comprenais pas ce qu’était l’arrogance ni ce que signifiait avoir un sens de la justice et adhérer aux principes. Grâce à la recherche et la contemplation, je suis parvenue à comprendre que l’arrogance d’une personne trahit son tempérament satanique. Lorsque les gens ne cherchent pas les vérité-principes, mais qu’ils ont toujours des avis arrêtés, qu’ils insistent sur leurs propres idées et points de vue et qu’ils obligent tout le monde à leur obéir, c’est de la prétention, de l’arrogance et de la suffisance. Avoir le sens de la justice signifie soutenir la vérité et sauvegarder l’œuvre de Dieu. Grâce à la recherche et la prière, on peut confirmer quelle ligne de conduite se conforme à la vérité et à la parole de Dieu, et on peut soutenir la vérité, sauvegarder le travail de l’Église et persister dans cette voie jusqu’au bout, indépendamment de ce que les autres pensent ou disent. C’est cela, manifester un sens de la justice. En fait, notre détermination que Yang Li était une fausse dirigeante était basée sur des principes. La renvoyer aurait été bénéfique au travail de l’Église. Faire cela aurait été conforme aux principes et aurait montré un sens de la justice. Mais j’avais craint que, sans l’accord des frères et sœurs, renvoyer Yang Li aurait fait dire aux gens que j’étais arrogante. Je ne pouvais pas faire la différence entre l’arrogance et avoir le sens de la justice. Je considérais une chose positive comme négative. Cela me rendait incapable de me libérer et m’empêchait de faire ce qui était juste. J’ai vu que ma compréhension était complètement déformée. Si les frères et sœurs ne pouvaient pas discerner une fausse dirigeante, alors je pouvais échanger avec eux. Je ne pouvais pas laisser ma peur du jugement m’empêcher de soutenir les principes. Je devais accepter l’examen de Dieu et protéger les intérêts de l’Église, peu importe ce qu’ils pensaient. Le lendemain, donc, nous avons renvoyé Yang Li.
Après cela, ma partenaire et moi avons échangé avec les frères et sœurs en nous basant sur les paroles de Dieu et nous avons disséqué les accomplissements de Yang Li : la façon dont elle avait constamment échoué à faire du travail concret et celle dont elle n’acceptait pas la vérité. Après l’échange, les frères et sœurs ont reconnu qu’ils avaient été trompés par le zèle ostensible de Yang Li et ils ont compris la manière de discerner si un dirigeant était qualifié. Ils sont parvenus à comprendre que, pour ce faire, il ne faut pas regarder leurs dons, s’ils parlent bien ou ont l’air occupés. Il faut plutôt regarder s’ils poursuivent la vérité, font du travail concret, résolvent des problèmes concrets et obtiennent des résultats réels dans leur travail. Voir les frères et sœurs gagner une telle connaissance m’a ravie et j’ai appris qu’en faisant son devoir conformément aux vérités-principes, on peut obtenir la direction de Dieu. Auparavant, j’avais craint que si je renvoyais directement Yang Li, les frères et sœurs seraient incapables de l’accepter, qu’ils diraient que j’étais arrogante. Mais à présent, je voyais que tout cela était dans mon imagination et que, quand j’agissais selon les vérités-principes, les frères et sœurs ne me jugeaient pas. Au contraire, grâce à cette situation, ils ont appris le discernement. Peu de temps après, l’Église a élu une dirigeante appropriée, les frères et sœurs ont commencé à vivre une vie d’Église normale et le travail a pu à nouveau fonctionner normalement. Voir tout cela m’a rendue très heureuse et j’ai appris qu’agir et faire son devoir en accord avec les vérités-principes est le seul moyen de gagner l’approbation de Dieu. Par la suite, j’ai sciemment laissé tomber mes intérêts personnels et j’ai commencé à faire les choses en me basant sur les vérités-principes, une pratique qui m’a apporté la paix dans mon cœur et m’a libérée.
Grâce à cette expérience, j’ai vu que j’étais égoïste et fourbe. Afin de protéger ma propre réputation et mon statut, j’avais mis les intérêts de l’Église de côté et, sans l’exposition des paroles de Dieu, je ne me serais pas comprise moi-même et je n’aurais pas changé. En même temps, je comprends maintenant l’importance de chercher les vérités-principes dans tout ce que je fais et que ce n’est qu’en cherchant la vérité et en agissant selon les principes que je peux faire mon devoir d’une manière conforme à la norme.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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