Délivrée des chaînes du foyer
Par Cheng Shi, ChineEn juin 2012, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours. En lisant les paroles de Dieu, j’ai...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En mai 2021, j’ai été élue dirigeante d’Église et j’étais principalement responsable du travail d’évangélisation et d’abreuvement. Chaque tâche exigeait un suivi et une supervision minutieux et parfois la direction supérieure prévoyait des arrangements détaillés pour chaque tâche et ceux-ci devaient être rapidement mis en oeuvre. Si le travail n’obtenait pas de bons résultats, je devais souvent analyser les problèmes et chercher les vérité-principes pour les résoudre. Au début, il y avait beaucoup de choses que je ne savais pas concernant ce devoir, alors j’ai dû passer beaucoup de temps à me familiariser avec elles. J’ai ressenti beaucoup de pression, mais je savais aussi que le fait que j’étais capable de faire ce devoir, c’était Dieu qui m’exaltait et m’honorait, alors je devais correctement coopérer. Environ deux mois plus tard, une sœur avec qui j’avais été partenaire a été transférée, me laissant seule avec Sœur Wang Jing pour gérer le travail de l’Église. La charge de travail qui était d’habitude répartie entre trois personnes retombait maintenant seulement sur nous deux, nous donnant encore plus de travail. Parfois, juste quand j’avais fini de gérer mes tâches et que je voulais me détendre, d’autres lettres arrivaient qui exigeaient une réponse. Il y avait toujours du travail qui devait être fait. Le temps passant, j’ai commencé à me sentir épuisée et j’ai commencé à espérer que la charge de travail diminue un peu pour que je puisse me détendre. Parfois, après avoir fini des courses, je n’avais plus envie de me dépêcher de rentrer et j’avais envie de rester dehors un petit peu plus longtemps pour m’éclaircir les idées. J’ai vu que tout ce que la sœur dans notre maison d’hôte avait à faire était de cuisiner trois repas par jour et qu’ensuite, elle pouvait se reposer et lire les paroles de Dieu pendant son temps libre. Je me suis sentie vraiment jalouse et je regrettais l’époque où j’avais un devoir consistant en une seule tâche et où j’avais encore le temps de me détendre. Maintenant, la charge de travail était tellement importante que j’avais l’impression que, dès que j’ouvrais les yeux chaque jour, je faisais face à du travail. Je sentais que vivre de cette façon était trop difficile ! Je semblais faire mon devoir mais, intérieurement, j’étais pleine de réticence. Quand je répondais aux questions de mes frères et sœurs, j’avais simplement l’impression d’achever des tâches comme si c’était des corvées et je ne me souciais pas de considérer la façon d’atteindre de meilleurs résultats. Je voulais juste faire les choses rapidement pour pouvoir me reposer et me détendre. Quand il y avait beaucoup de questions, je m’agaçais, je sentais que je pouvais perdre mon calme, et je me sentais vraiment opprimée.
Une fois, je suis rentrée à la maison m’occuper de certaines affaires et dès que je suis arrivée à la maison, j’ai eu l’impression que tous mes fardeaux s’étaient allégés. Il n’y avait aucun travail à faire et je pouvais faire tout ce que je voulais. C’était si confortable de vivre de cette façon ! J’aurai pu finir tout ce que j’avais à faire en une seule journée, mais j’ai fini par rester deux jours. Je me suis sentie coupable, sachant que j’aurais dû être rentrée juste après avoir fini mes tâches, mais alors j’ai pensé que puisque je ne rentrais que rarement à la maison, peut-être pouvais-je rester seulement un jour de plus pour me détendre un peu ! Plus tard, Sœur Wang Jing m’a pressée de rentrer vite pour gérer du travail, alors je n’ai eu d’autre choix que de rentrer. Comme j’avais toujours été passive et négative dans mon devoir de direction, mon état a simplement continué à empirer et je n’obtenais aucun résultat dans mon devoir. Même avec des échanges et de l’aide de mes dirigeants, je ne changeais pas et finalement, j’ai été renvoyée. Rétrospectivement, je n’ai alors pas réfléchi sur moi. Ce n’est que plus tard, quand je faisais un devoir d’abreuvement, que j’ai rencontré une sœur que j’avais connue avant et que je me suis sentie quelque peu touchée. Cette sœur s’était formée comme dirigeante pendant plus d’un an, elle avait progressé rapidement et son échange dans les réunions était très concret. J’ai vu que même si la direction impliquait de nombreux soucis, des épreuves et de l’épuisement, sa vie progressait rapidement. Mais de mon côté, je continuais à résister à mon devoir de direction et j’avais permis à ma chair de se détendre et de se sentir à l’aise. Mais qu’y vais-je gagné ? Si je ne changeais pas ce point de vue sur ma poursuite, ou si j’écoutais toujours ma chair et craignais toujours la souffrance et l’épuisement, alors peu importe le nombre d’années où je continuerai à croire en Dieu, ma vie ne progresserait jamais. En pensant à cela, j’ai continué à me demander : « Pourquoi exactement crois-je en Dieu ? Qu’est-ce que je veux réellement gagner de ma foi en Dieu ? Vais-je continuer à poursuivre la vérité de cette façon ? Si je peux me rebeller contre ma chair, endurer une épreuve, payer un prix et faire mon devoir de tout mon cœur, ne gagnerais-je pas plus de vérités ? »
Plus tard, j’ai lu que les paroles de Dieu disent : « Certains individus se montrent sans cesse négligents et trouvent toujours le moyen de tirer au flanc dans l’accomplissement de leurs devoirs. Parfois, le travail de l’Église nécessite de se presser, mais ils veulent simplement faire ce qu’ils veulent. S’ils ne se sentent pas très bien physiquement, ou s’ils sont de mauvaise humeur et déprimés pendant quelques jours, ils ne voudront pas endurer de difficultés ni payer un prix pour faire le travail d’Église. Ils sont particulièrement paresseux et avides de confort. Lorsqu’ils manquent de motivation, ils deviennent mous et n’ont pas envie de bouger, mais ils craignent d’être émondés par les dirigeants et d’être traités de paresseux par leurs frères et sœurs, alors ils ne peuvent rien faire d’autre qu’effectuer le travail à contrecœur avec tous les autres. Cependant, ils y sont alors très peu disposés, ils sont mécontents et réticents à ce sujet. Ils se sentent lésés, contrariés, énervés et épuisés. Ils veulent agir en se basant sur leur propre volonté, mais n’osent pas s’affranchir des exigences et stipulations de la maison de Dieu, ni s’y opposer. En conséquence, une émotion commence à émerger en eux au fil du temps : la répression. Une fois que cette émotion répressive prend racine en eux, ils semblent peu à peu devenir apathiques et faibles. Comme des machines, ils n’ont plus une compréhension claire de ce qu’ils font, mais ils font quand même ce qu’on leur dit de faire tous les jours, de la manière dont on leur dit de le faire. Même s’ils continuent d’accomplir leurs tâches, en apparence sans s’arrêter, sans faire de pause, sans s’éloigner de l’environnement au sein duquel ils accomplissent leurs devoirs, ils se sentent réprimés au fond d’eux-mêmes et pensent que leur vie est éreintante et emplie de doléances. Leur plus grand désir actuel est de ne plus être un jour contrôlés par les autres, de ne plus être limités par les stipulations de la maison de Dieu et d’être libérés des arrangements de la maison de Dieu. Ils veulent faire ce qu’ils veulent, quand ils le veulent, faire un peu de travail s’ils se sentent bien et ne pas le faire dans le cas contraire. Ils aspirent à être exempts de tout blâme, à ne jamais être émondés et à ce que personne ne les supervise, ne les surveille ou ne soit responsable d’eux. Ils pensent que lorsque ce jour viendra, ce sera un grand jour, et qu’ils se sentiront vraiment libres et libérés. Cependant, ils ne veulent tout de même pas partir ni abandonner. Ils redoutent ceci : s’ils n’accomplissaient pas leurs devoirs, s’ils faisaient vraiment ce qu’ils voulaient et étaient un jour libres et libérés, ils s’éloigneraient naturellement de Dieu, et si Dieu ne voulait plus d’eux, ils ne seraient plus en mesure de gagner les moindres bénédictions. Certains se retrouvent face à un dilemme : s’ils essaient de se plaindre à leurs frères et sœurs, ils auront du mal à dire ce qu’ils pensent. S’ils se tournent vers Dieu en prière, ils se sentiront incapables d’ouvrir la bouche. S’ils se plaignent, ils se sentiront eux-mêmes fautifs. S’ils ne se plaignent pas, ils se sentiront mal à l’aise. Ils se demandent pourquoi leur vie semble si remplie de griefs, si contraire à leur propre volonté, et si épuisante. Ils ne veulent pas vivre ainsi, ils ne veulent pas être à l’unisson avec tout le monde, ils veulent faire ce qu’ils veulent, comme ils le veulent, et ils se demandent pourquoi ils sont incapables d’y parvenir. Avant, ils avaient l’impression de n’être épuisés que physiquement, mais maintenant, leur cœur également est fatigué. Ils ne comprennent pas ce qui leur arrive. Dites-Moi, tout cela n’est-il pas dû à des émotions répressives ? (Si.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai finalement compris que la raison pour laquelle je me sentais tellement opprimée et affligée dans mon devoir de direction n’était pas que mon devoir m’occupait beaucoup ou était épuisant, mais parce que mon état d’esprit était erroné. Je poursuivais constamment le confort et les plaisirs charnels, alors quand le devoir était légèrement prenant ou fatigant et que ma chair n’était pas satisfaite, je me sentais opprimée et affligée. Particulièrement après que la sœur qui était ma partenaire a été transférée, la charge de travail a augmenté et il y avait toujours du travail à faire chaque jour, alors j’ai été agacée et j’ai voulu réprimander les autres et m’en prendre à eux. J’étais même jalouse de la sœur dans notre maison d’hôtes parce qu’elle avait un devoir si léger et facile. J’ai pris conscience que ce que je poursuivais n’était pas une réalisation appropriée de mon devoir mais plutôt mon confort physique. Je me complaisais constamment dans des émotions répressives, je traitais mon devoir de façon irrévérencieuse, je n’avais aucun sens des responsabilités et je n’étais pas du tout fiable. J’avais vraiment fait en sorte que Dieu me déteste !
J’ai lu un autre passages des paroles de Dieu qui m’a donné une certaine compréhension de la racine de ma poursuite du confort charnel. Dieu Tout-Puissant dit : « Tant que les gens n’ont pas fait l’expérience de l’œuvre de Dieu ni compris la vérité, c’est la nature de Satan en eux qui domine. Quelles sont les spécificités de cette nature ? Par exemple, pourquoi es-tu égoïste ? Pourquoi protèges-tu ton propre statut ? Pourquoi as-tu des sentiments aussi forts ? Pourquoi te réjouis-tu de ces choses injustes ? Pourquoi aimes-tu ces fléaux ? Sur quoi repose ton penchant pour de telles choses ? D’où viennent ces choses ? Pourquoi es-tu si heureux de les accepter ? Désormais, vous avez tous compris que la cause principale de toutes ces choses, c’est que le poison de Satan est en l’homme. Quel est donc le poison de Satan ? Comment peut-il être exprimé ? Par exemple, si tu leur demandes : “Comment les gens devraient-ils vivre ? Pour quoi les gens devraient-ils vivre ?” les gens répondront : “Chacun pour soi, Dieu pour tous.” Cette seule phrase exprime la racine du problème. La philosophie et la logique de Satan sont devenues la vie des gens. Quoi que les gens poursuivent, ils le font pour eux-mêmes : et donc, ils ne vivent que pour eux-mêmes. “Chacun pour soi, Dieu pour tous”, voilà la philosophie de vie de l’homme, et cela représente aussi la nature humaine. Ces paroles sont déjà devenues la nature de l’humanité corrompue et elles font le véritable portrait de la nature satanique de l’humanité corrompue. Cette nature satanique est déjà devenue la base de l’existence de l’humanité corrompue. Depuis plusieurs milliers d’années, l’humanité corrompue vit de ce venin de Satan, jusqu’à aujourd’hui » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comment suivre la voie de Pierre). Grâce à l’exposition des paroles de Dieu, j’ai compris que ma décadence et ma dégénérescence venaient de ce que je vivais de poisons sataniques comme « Chacun pour soi. Dieu pour tous, » « La vie consiste à manger et s’habiller » et « Prenez plaisir à la vie, car elle est de courte durée. » J’ai donné une importance excessive au plaisir physique, en pensant que la vie était courte et que je devais me faire plaisir et ne pas permettre à mon corps de subir quelle que souffrance que ce soit. J’ai repensé à mes examens d’entrée à l’université. Pendant que les autres étudiaient tard la nuit et travaillaient dur, je trouvais cela trop rapide et épuisant, alors je n’ai jamais veillé tard pour étudier, en pensant que tout irait bien tant que mes notes ne baissaient pas. Après être venue à l’Église pour faire mon devoir, j’ai continué à vivre dans cet état d’esprit. Quand mon devoir de direction impliquait de souffrir et de payer un prix et que je ne pouvais pas profiter du confort physique, je me sentais vraiment opprimée et abattue. Mon esprit s’emplissait de pensées sur la façon de ne pas me fatiguer et de faire passer en premier mes intérêts physiques et je méprisais complètement mes responsabilités et mes devoirs. Bien que j’endossais un travail très important, je ne pensais pas à la manière d’atteindre de bons résultats dans chaque tâche ou d’assumer mes responsabilités. Je considérais seulement mon propre confort et j’assouvissais mes désirs charnels, je me sentais malheureuse s’il y avait une souffrance supplémentaire et je cherchais à y échapper. J’ai vu que j’avais été incroyablement égoïste et méprisable et que je manquais complètement de conscience et de raison. En vérité, en y repensant, bien que mon corps ait trouvé un confort temporaire, je n’avais gagné aucune vérité, je n’avais pas fait mon devoir et je n’avais pas la moindre intégrité ni dignité. Vivre ainsi n’avait aucun sens ni aucune valeur. En réfléchissant à cela, je me suis vraiment haïe, je me suis sentie profondément redevable à Dieu et je ne voulais plus vivre ainsi.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu qui m’a réellement touché. Dieu Tout-Puissant dit : « À quoi ressemblent les gens qui s’occupent du travail qu’ils sont censés faire ? Ce sont des gens qui considèrent leurs besoins fondamentaux – comme se nourrir, se vêtir, se loger et se déplacer – de manière simple. Tant que ces choses sont au niveau d’une norme ordinaire, cela leur suffit. Ils se soucient davantage de leur chemin dans la vie, de leur mission en tant qu’êtres humains, de leur vision de la vie et de leurs valeurs. À quoi les gens peu prometteurs réfléchissent-ils toute la journée ? Ils se demandent toujours comment tirer au flanc, jouer des tours pour se soustraire à leurs responsabilités, bien manger et s’amuser, vivre dans l’aisance et le confort physiques, sans se soucier des vraies questions. Par conséquent, ils se sentent réprimés dans le cadre et l’environnement de l’exécution de leurs devoirs dans la maison de Dieu. La maison de Dieu exige que les gens acquièrent certaines connaissances courantes et professionnelles qui se rapportent à leurs devoirs, afin qu’ils puissent mieux les accomplir. La maison de Dieu exige que les gens mangent et boivent fréquemment les paroles de Dieu afin qu’ils puissent mieux comprendre la vérité, entrer dans la vérité-réalité et connaître quels sont les principes concernant le moindre acte. Toutes ces choses sur lesquelles la maison de Dieu échange et qu’elle mentionne se rapportent à des sujets, des questions concrètes, et ainsi de suite, qui s’inscrivent dans le champ de la vie des gens et de l’accomplissement de leurs devoirs, et qui sont destinés à aider les gens à s’occuper de leur vrai travail et à suivre le bon chemin. Ces individus qui ne s’occupent pas de leur vrai travail et qui font ce qui leur plaît ne souhaitent pas faire ces choses appropriées. Le but ultime qu’ils souhaitent atteindre en faisant tout ce qui leur plaît est le confort physique, le plaisir et la facilité, et leur but est de ne pas être limités ni lésés de quelque façon que ce soit. C’est pouvoir manger suffisamment de tout ce qu’ils veulent et faire ce qui leur plaît. C’est à cause de la qualité de leur humanité et de leurs poursuites intérieures qu’ils se sentent souventréprimés. Quelle que soit la façon dont tu échanges avec eux sur la vérité, ils ne changeront pas et leur sentiment d’être réprimés ne sera pas résolu. Voilà précisément le genre de personnes qu’ils sont. Ce ne sont que des choses, qui ne s’occupent pas de leur vrai travail. Même si, en surface, ils ne semblent pas avoir commis de grand mal ni être de mauvaises personnes et bien qu’ils semblent seulement n’avoir pas défendu les principes et les règlements, en réalité, leur nature-essence est qu’ils ne s’occupent pas de leur vrai travail et qu’ils ne suivent pas le bon chemin. Les gens comme cela n’ont pas la conscience et la raison de l’humanité normale, et ils ne peuvent pas atteindre l’intelligence de l’humanité normale. […] Dans la société, qui sont les gens qui ne s’occupent pas de leur vrai travail ? Ce sont les paresseux, les imbéciles, les fainéants, les casseurs, les voyous et les flemmards, des gens comme cela. Ils ne souhaitent pas acquérir de nouvelles compétences ou capacités, et ils ne veulent pas poursuivre des carrières sérieuses, ni trouver un emploi pour pouvoir s’en sortir. Ce sont les paresseux et les fainéants de la société. Ils s’infiltrent dans l’Église et, ensuite, ils veulent obtenir quelque chose sans rien faire, et obtenir leur part de bénédictions. Ce sont des opportunistes. Ces opportunistes ne sont jamais disposés à faire leurs devoirs. Si les choses ne vont pas dans leur sens, même légèrement, ils se sentent réprimés. Ils souhaitent toujours vivre librement, ils ne veulent effectuer aucun type de travail, mais ils veulent malgré tout manger de la bonne nourriture et porter de beaux vêtements, manger ce qu’ils désirent et dormir quand ils veulent. Ils pensent que lorsqu’un jour comme celui-ci viendra, ce sera certainement merveilleux. Ils ne veulent pas endurer ne serait-ce que quelques difficultés et ils souhaitent une vie de petits plaisirs. Ces gens trouvent même la vie épuisante : ils sont entravés par des émotions négatives. Ils se sentent souvent fatigués et perdus parce qu’ils ne peuvent pas faire ce qui leur plaît. Ils ne veulent pas s’occuper de leur vrai travail, ni gérer leurs véritables problèmes. Ils ne veulent pas s’en tenir à un travail et le faire avec constance, du début à la fin, en le traitant comme leur propre métier et leur propre devoir, comme leur obligation et leur responsabilité. Ils ne veulent pas le terminer ni obtenir de résultats, ni le faire selon les meilleures normes possibles. Ils n’ont jamais pensé de cette façon. Ils veulent juste agir de manière superficielle et utiliser leur devoir comme un moyen de gagner leur vie. Lorsqu’ils sont confrontés à un peu de pression ou à une forme de contrôle, ou lorsqu’ils sont tenus à une norme légèrement plus élevée ou qu’ils doivent assumer quelques responsabilités, ils se sentent mal à l’aise et réprimés. Ces émotions négatives surgissent en eux, vivre leur semble épuisant et ils sont malheureux. L’une des raisons fondamentales pour lesquelles vivre leur semble épuisant est que ces gens-là manquent de raison. Leur raison est altérée, ils passent toute la journée à se livrer à des fantasmes, à vivre dans un rêve, dans les nuages, imaginant toujours les choses les plus folles. C’est pourquoi le sentiment qu’ils ont d’être réprimés est très difficile à résoudre. Ils ne sont pas intéressés par la vérité, ce sont des incrédules. La seule chose que nous pouvons faire est de leur demander de quitter la maison de Dieu, de retourner dans le monde pour y trouver leur propre lieu de bien-être et de confort » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). Quand j’ai lu les paroles de Dieu qui parlait de ceux qui « ne s’occupent pas de leur propre travail » ou qui sont « paresseux » et « fainéants », je me suis sentie véritablement piquée et profondément bouleversée. Les paresseux et les fainéants sont les gens les plus bas, les plus dégénérés, ils passent leur journée à manger, boire et s’amuser et n’ont aucune poursuite sérieuse. Ils ne sont fiables en rien de ce qu’ils font, ils sont inconsistants et n’ont aucun sens des responsabilités. Ma poursuite n’était pas différente de celle de ces « fainéants ». En tant que dirigeante, mes pensées chaque jour n’étaient pas centrées sur la façon de faire correctement mes devoirs ou d’endosser mes responsabilités. Au contraire, je pensais toujours à la manière d’apporter à ma chair confort et bien-être et à la plus petite souffrance, je résistais et me sentais mécontente. J’ai vraiment traité mon devoir comme une charge et je ne tenais pas du tout compte de mes propres tâches. J’ai vu que je n’étais pas digne de confiance et que je n’avais pas du tout un cœur qui craint Dieu. Même les non-croyants croient en « pas de souffrance, pas de gain » et ils croient que, pour survivre, on doit endurer de la souffrance et payer un prix. Pourtant je ne supportais aucune souffrance et je criais en me plaignant au plus léger inconfort. N’étais-je pas véritablement inutile ? Si je ne changeais pas cet état d’esprit dégénéré et que je continuais à éviter tout le travail correct que j’étais censée faire, je serais finalement éliminée. Dieu sauve ceux qui croient sincèrement en Lui, poursuivent la vérité et font leurs devoirs de façon responsable. Ces gens se concentrent correctement sur leurs affaires et s’occupent correctement de leurs devoirs et même si leurs devoirs leur causent souffrance et fatigue, ils ne se plaignent pas et les font de tout leur cœur. En avançant, je voulais être quelqu’un qui s’occupait de ses propres devoirs.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai trouvé un chemin de pratique. Dieu Tout-Puissant dit : « Quelle est la valeur de la vie d’une personne ? Est-ce simplement pour s’adonner à des plaisirs charnels tels que manger, boire et se divertir ? (Non.) Alors qu’est-ce que c’est ? […] D’une part, il s’agit d’accomplir le devoir d’un être créé. D’autre part, il s’agit de faire du mieux que tu peux tout ce qui est en ton pouvoir et dans tes capacités, au moins pour atteindre un point où ta conscience ne t’accusera pas, où tu pourras être en paix avec ta propre conscience et être jugé acceptable aux yeux des autres. Pour aller un peu plus loin, tout au long de ta vie, quelles que soient la famille dans laquelle tu es né, ta formation et ton calibre, tu dois avoir une certaine compréhension des principes que les gens devraient comprendre dans la vie. Par exemple, quel genre de chemin les gens devraient emprunter, comment ils devraient vivre et comment vivre une vie pleine de sens : tu devrais au moins explorer un peu la vraie valeur de la vie. Cette vie ne peut pas être vécue en vain et l’on ne peut pas venir sur cette terre en vain. D’un autre côté, de ton vivant, tu dois remplir ta mission : c’est le plus important. Nous ne parlons pas d’accomplir une mission, un devoir ou une responsabilité formidable, mais tu dois au moins accomplir quelque chose. […] La valeur de la vie humaine et le bon chemin à suivre impliquent d’accomplir quelque chose de précieux et d’accomplir un ou plusieurs travaux de valeur. Cela ne s’appelle pas une carrière : cela s’appelle le bon chemin, cela s’appelle aussi la tâche appropriée. Dis-Moi, cela vaut-il la peine pour une personne de payer un prix pour accomplir un travail de valeur, vivre une vie de valeur et chargée de sens, et poursuivre et atteindre la vérité ? Si tu désires vraiment poursuivre et comprendre la vérité, t’engager sur le bon chemin dans la vie, bien accomplir ton devoir et vivre une vie de valeur et pleine de sens, alors tu ne dois pas hésiter à donner toute ton énergie, à payer le prix et à donner tout ton temps et toute l’étendue de tes journées. Si tu souffres un peu de maladie pendant cette période, cela n’aura pas d’importance, cela ne t’écrasera pas. N’est-ce pas bien mieux qu’une vie de facilité et d’oisiveté, que nourrir le corps physique au point qu’il soit bien nourri et en bonne santé, et finalement, mieux qu’atteindre la longévité ? (Si.) Laquelle de ces deux options est la plus propice à une vie de valeur ? Laquelle peut donner du réconfort et n’apporter aucun regret aux gens lorsqu’ils affrontent la mort à la toute fin ? (Vivre une vie pleine de sens.) Vivre une vie pleine de sens signifie ressentir des résultats et du réconfort dans ton cœur » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (6)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que les gens doivent avoir une poursuite pour avoir une vie pleine de sens et de valeur. La vie est tellement courte, donc nous devons faire des choses qui ont du sens dans ce temps limité. Poursuivre la vérité et accomplir nos devoirs sont les seules façons d’éviter de vivre en vain. Quand l’oeuvre de Dieu sera terminée, nous ne nous retrouverons pas avec des regrets ou des sentiments d’être redevable et nos cœurs se sentiront bien et en paix. J’ai réfléchi à la façon dont j’avais l’habitude de vivre pour ma chair. Même la plus petite souffrance ou le plus petit épuisement dans mes devoirs faisaient que je me sentais opprimée, réticente et mécontente. Je vivais sans ressemblance humaine et je ne faisais pas bien mes devoirs. Tout ce que je laissais dans mon sillage étaient des sentiments de culpabilité et de redevabilité et à la fin, je n’ai gagné aucune vérité du tout. Je perdais vraiment mon temps ! Je me disais : « Je ne peux pas continuer à vivre ainsi sans but. J’ai la chance d’avoir l’opportunité d’accepter l’œuvre de Dieu des derniers jours. C’est la grâce et l’exaltation de Dieu et je dois endosser mes responsabilités, apprendre à me rebeller contre ma chair et devenir une personne qui s’occupe correctement de ses devoirs. » Avec ces pensées à l’esprit, mon cœur s’est senti vraiment lumineux et j’ai su ce que je voulais poursuivre à partir de ce moment-là.
Plus tard, j’ai été réélue dirigeante d’Église et je me suis sentie réellement reconnaissante. J’ai aussi chéri cette opportunité et j’ai voulu faire mes devoirs correctement. Après être devenue dirigeante, il y a eu beaucoup de travail à faire tous les jours et quand il y avait trop à gérer dans mes devoirs, j’ai encore révélé des pensées où je m’inquiétais de ma chair et je ne voulais pas réfléchir en profondeur à ces choses, mais alors, je me suis rappelée des paroles de Dieu : « Cela vaut-il la peine pour une personne de payer un prix pour accomplir un travail de valeur, vivre une vie de valeur et chargée de sens, et poursuivre et atteindre la vérité ? Si tu désires vraiment poursuivre et comprendre la vérité, t’engager sur le bon chemin dans la vie, bien accomplir ton devoir et vivre une vie de valeur et pleine de sens, alors tu ne dois pas hésiter à donner toute ton énergie, à payer le prix et à donner tout ton temps et toute l’étendue de tes journées. Si tu souffres un peu de maladie pendant cette période, cela n’aura pas d’importance, cela ne t’écrasera pas » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (6)). Les paroles de Dieu m’ont donné foi et force et j’ai su que je ne pouvais plus être négligente dans mes devoirs simplement pour satisfaire ma chair et que ce confort physique étaient seulement temporaire, mais ne pas mettre tous mes efforts dans mes devoirs me laisserait avec des regrets et le sentiment d’être redevable et que cela étaient des choses qui ne pourraient jamais être effacées. Alors, j’ai prié Dieu pour me rebeller contre moi-même, permettant à mon cœur d’être plus en paix et de m’aider à coopérer de tout mon cœur. J’ai commencé à envisager la façon d’atteindre des résultats concrets dans mon travail et lorsque j’étais confrontée à quelque chose que je ne comprenais pas, je discutais avec les autres et cherchais les vérité-principes dans les paroles de Dieu. Même si faire mes devoirs de cette façon m’occupait plus, exigeait de moi plus d’implication et si j’avais moins de temps pour me détendre, je gagnais tellement plus et ma vie a continué à sembler de plus en plus accomplie. J’ai aussi cessé d’être négative et opprimée si facilement. Cette transformation en moi est le résultat des paroles de Dieu. Merci à Dieu !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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