Les paroles de Dieu ont mis fin à mes malentendus
Par Flavien, BéninEn septembre 2019, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours. Plus tard, on m’a choisi comme chef de...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Il y a quelque temps, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui disent : « Faire preuve de flagornerie, de flatterie et de belles paroles – à première vue, tout le monde devrait connaître la signification de ces termes, et ceux qui les incarnent sont courants. Le fait de se livrer à la flagornerie, la flatterie, et de prononcer de belles paroles constitue le plus souvent des manières de parler pour obtenir des faveurs, des louanges ou un quelconque avantage de la part des autres. C’est le mode d’expression le plus courant de ceux qui se livrent à la flatterie et à la flagornerie. On peut dire que tous les humains corrompus, dans une certaine mesure, affichent ce comportement, qui constitue une façon de parler qui relève de la philosophie satanique » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)). À ce moment-là, quand j’ai lu ces paroles de Dieu qui exposent de telles personnes, je ne les ai pas appliquées à moi-même. Ces gens me dégoûtaient, je ne les aimais pas et je ne voulais pas les fréquenter, alors je croyais valoir mieux qu’eux. À ma grande surprise, quand les faits m’ont révélée, j’ai vu que, pour mes propres intérêts, je faisais la même chose : j’essayais de plaire aux gens, de m’attirer des faveurs, de dire des choses agréables, et aussi d’agir de façon sournoise et fourbe.
Il y a quelques jours, j’ai assisté à une réunion de groupe. Après la réunion, mon dirigeant m’a écrit pour me demander ce que j’avais pensé de l’échange de Caleb. Ce message m’a rendu nerveuse. J’ai pensé : « Pourquoi le dirigeant me pose-t-il subitement cette question ? Comment dois-je y répondre ? Que pensera-t-il de moi si je réponds mal ? Pensera-t-il que je ne peux même pas discerner la qualité de l’échange des autres, que j’ai un calibre médiocre et que je n’ai pas d’expérience réelle ? Dans ce cas, me fera-t-il jamais confiance et m’utilisera-t-il jamais dans des rôles importants à l’avenir ? Je pourrais même vite perdre ma position de cheffe de groupe. » Pour préserver mon image et mon statut dans l’esprit du dirigeant et lui faire croire que j’étais capable de discerner les choses, j’ai commencé à essayer de deviner ce qu’il voulait dire. Puisqu’il m’interrogeait, il devait trouver qu’il y avait un problème dans l’échange de Caleb, alors que pouvais-je dire pour obtenir son approbation ? En fait, je pensais que même s’il y avait des formules et des doctrines dans l’échange de Caleb, il était aussi concret par moments. Mais j’avais peur de ne pas voir les choses correctement, alors je n’ai pas dit ce que je pensais vraiment au dirigeant. À la place, j’ai dit : « Caleb a échangé beaucoup de doctrines. » Mon dirigeant a répondu : « En effet, il a débité beaucoup de formules et de doctrines. Assure-toi de le lui rappeler et de l’aider davantage à l’avenir. » Quand j’ai lu la réponse du dirigeant, j’ai pensé : « Heureusement que je n’ai pas dit ce que je pensais vraiment. N’aurais-je pas donné une mauvaise image de moi, sinon ? Alors, mon dirigeant m’aurait percée à jour ! »
Juste après ça, j’ai participé à une autre réunion de groupe. Après la réunion, le dirigeant m’a écrit de nouveau et m’a demandé : « Qu’as-tu pensé de l’échange de Jemma ? » En lisant le message, j’ai été un peu abasourdie. J’avais eu la tête ailleurs pendant la réunion et n’avais pas du tout écouté attentivement son échange. Comment pouvais-je répondre ? Que penserait-il de moi si j’étais honnête ? Je me suis souvenue que le dirigeant avait dit précédemment que Jemma débitait souvent des formules et des doctrines. Me demandait-il de confirmer ce problème ? La dernière fois, il m’avait interrogée parce qu’il trouvait que Caleb débitait beaucoup de doctrines. Je me suis dit que c’était peut-être la même chose cette fois-ci. J’ai donc répondu : « Dans son échange, je n’ai pas entendu ce qu’elle connaissait d’elle-même ni lesquels de ses points de vue avaient changé. » Après avoir lu ma réponse, le dirigeant n’a rien dit. Ensuite, je ne pouvais pas me calmer et j’ai commencé à essayer de deviner : « Le dirigeant est-il mécontent de ma réponse ? Me suis-je trompée ? Dans ce cas, va-t-il penser que j’ai un calibre médiocre ? » Pendant cette période, ça a perturbé mes pensées de temps à autre.
Quelques jours plus tard, pendant une réunion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a donné l’impression que mon cœur avait été transpercé. Les paroles de Dieu disent : « Ces gens déloyaux qui agissent d’une manière devant les autres et d’une autre manière derrière leur dos ne veulent pas être perfectionnés. Ils sont tous des fils de la perdition et de la destruction ; ils n’appartiennent pas à Dieu, mais à Satan. Ils ne sont pas le genre de gens choisis par Dieu ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ceux qui obéissent à Dieu avec un cœur sincère seront sûrement gagnés par Dieu). Je n’ai pas pu m’empêcher de penser à ce qui s’était passé l’autre jour. Quand le dirigeant m’avait demandé ce que je pensais de l’échange du frère et de la sœur, je n’avais pas osé exprimer ma réelle opinion parce que j’avais craint qu’une réponse incorrecte nuise à mon image et mon statut dans le cœur du dirigeant, alors j’avais répondu de manière fourbe. J’avais essayé de deviner ce qu’il pensait, puis j’avais donné une réponse qui concordait avec son opinion. Je pensais que je ferais moins d’erreurs en faisant cela qu’il ne me percerait pas à jour et que ma position serait assurée. Je croyais être maligne en trompant mon dirigeant et en cachant mes pensées, mais Dieu est juste et scrute tout. Dieu avait clairement vu mes intentions fourbes et mes ruses, et Il les condamnait. Plus j’ai réfléchi ces paroles de Dieu, plus j’ai eu peur. Je me suis demandé comment mes pensées pouvaient être aussi malveillantes, méprisables et honteuses. Je me suis aussi rappelé comment Dieu exposait les manifestations des antéchrists « d’obtenir des faveurs, faire de la lèche, dire ce que vous pensez que les gens ont envie d’entendre », alors j’ai recherché des paroles de Dieu.
Dieu Tout-Puissant dit : « Les antéchrists sont aveugles à Dieu, Il n’a pas de place dans leurs cœurs. Lorsqu’ils rencontrent Christ, ils ne Le traitent pas différemment d’une personne ordinaire, ils s’inspirent constamment de Son expression et de Son ton de voix, changeant de ton selon la situation, ne disant jamais ce qui se passe réellement, ne disant jamais rien de sincère, ne disant que des mots vides et doctrine, essayant de tromper et de berner le Dieu concret qui Se tient devant leurs yeux. Ils n’ont absolument pas un cœur qui craint Dieu. Ils ne sont même pas capables de parler à Dieu avec le cœur, de dire quoi que ce soit de réel. Ils parlent comme un serpent rampe, de manière tortueuse et indirecte. La manière et la direction de leur discours sont comme un plant de melon grimpant sur un poteau. Par exemple, quand tu dis que quelqu’un est de bon calibre et peut être promu, ils parlent immédiatement de ses qualités et de ce qui se manifeste et se révèle en lui ; et si tu dis que quelqu’un est mauvais, ils se hâtent de dire combien il est mauvais et malfaisant et de parler des perturbations et des interruptions qu’il provoque dans l’Église. Quand tu te renseignes sur certaines situations réelles, ils n’ont rien à dire : ils tergiversent, attendant que tu conclues, attentifs au sens de tes paroles, afin d’aligner leurs paroles sur tes pensées. Tout ce qu’ils disent, ce sont des paroles agréables à l’oreille, des flatteries, et de l’obséquiosité : pas une seule parole sincère ne sort de leur bouche » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)).
« Dieu aime les gens honnêtes, et déteste les gens fourbes et fuyants. Si tu es une personne perfide et que tu agis de manière fuyante, Dieu ne te détestera-t-Il pas ? La maison de Dieu te laissera-t-elle simplement te tirer d’affaire ? Tôt ou tard, tu devras en rendre compte. Dieu aime les gens honnêtes et Il n’aime pas les personnes perfides. Tout le monde devrait comprendre cela clairement et cesser d’être confus et de faire des bêtises. L’ignorance temporaire est excusable, mais si une personne refuse absolument d’accepter la vérité, elle est trop obstinée. Les gens honnêtes peuvent prendre leurs responsabilités. Ils ne considèrent pas leurs propres gains et pertes, ils se contentent de sauvegarder le travail et les intérêts de la maison de Dieu. Ils ont un cœur bon et honnête qui est comme un bol d’eau claire dont on peut voir le fond d’un coup d’œil. Il y a aussi de la transparence dans leurs actions. Une personne fourbe agit toujours de manière fuyante, est dans le faux-semblant, déguise et dissimule toujours les choses, et se camoufle incroyablement bien. Personne ne peut percer à jour ce type de personne. Les gens ne peuvent pas percer à jour tes pensées intérieures, mais Dieu peut scruter les choses au plus profond de ton cœur. Quand Dieu voit que tu n’es pas honnête, que tu es fuyant, que tu n’acceptes jamais la vérité, que tu trompes constamment Dieu et que tu ne Lui remets jamais ton cœur, alors Dieu ne t’aime pas, Il te déteste et t’abandonne. Quelle sorte de personnes sont tous ceux qui prospèrent parmi les non-croyants, et ceux qui sont beaux parleurs et vifs d’esprit ? Est-ce clair pour vous ? Quelle est leur essence ? On peut dire qu’ils sont tous extraordinairement insondables, qu’ils sont tous extrêmement fourbes et perfides, qu’ils sont de vrais démons et de vrais Satans. Dieu pourrait-Il sauver des gens comme ça ? Il n’y a rien que Dieu déteste plus que les démons, les gens qui sont fourbes et perfides. Il ne fait aucun doute que Dieu ne sauvera pas de telles personnes. Vous ne devez en aucun cas être ce genre de personnes. Ceux qui sont toujours attentifs et vifs d’esprit quand ils parlent, qui sont charmants et enjôleurs, et qui jouent un rôle en fonction de la situation quand ils gèrent des affaires, Je te le dis, ce sont ces gens que Dieu déteste le plus, des personnes comme celles-ci sont au-delà de tout salut. Concernant tous ceux qui relèvent de la catégorie des gens fourbes et perfides, même si leurs paroles peuvent bien sonner, elles n’en restent pas moins des paroles diaboliques qui trompent les gens. Plus leurs paroles semblent gentilles, plus ces personnes sont des démons et des Satans. C’est précisément le genre de personnes que Dieu déteste le plus. C’est tout à fait correct. Qu’en dites-vous, les gens qui sont fourbes, les gens qui mentent souvent et qui sont beaux parleurs peuvent-ils recevoir l’œuvre du Saint-Esprit ? Peuvent-ils recevoir l’illumination et l’éclairage du Saint-Esprit ? Absolument pas. Quelle est l’attitude de Dieu vis-à-vis des gens qui sont fourbes et perfides ? Il les déteste et les abandonne, Il les met de côté et ne leur prête aucune attention, Il les considère comme étant de la même classe que les animaux. Aux yeux de Dieu, ces personnes ne font que porter une peau humaine et dans leur essence, elles sont des démons et des Satans, ce sont des cadavres ambulants, et Dieu ne les sauvera absolument jamais » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)).
Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antéchrists ont un tempérament particulièrement malfaisant. Pour atteindre leurs buts, ils flattent Christ et regardent de quel côté le vent tourne, et ils croient même que Christ ne verra pas clair dans leurs ruses, qu’ils peuvent Le tromper. Par conséquent, ils osent tromper ouvertement Dieu et Le traiter comme un être humain. Cette attitude envers Dieu Lui est extrêmement répugnante et détestable. Même si je n’étais pas en contact direct avec Christ, le tempérament que je révélais était semblable à celui d’un antéchrist. Mon dirigeant m’avait demandé ce que je pensais de l’échange de mon frère et de ma sœur, ce qui est une question très normale et j’aurais pu simplement dire ce que je pensais réellement, mais j’avais des pensées compliquées et mon esprit avait pris de nombreux détours. J’avais même essayé de deviner si le dirigeant testait ma capacité de discernement et j’avais craint qu’il me dédaigne et cesse de m’estimer et de me cultiver si je faisais une erreur. Pour préserver mon image et ma place dans son cœur, j’avais caché mes véritables pensées et j’avais délibérément essayé de me conformer aux siennes. Mon comportement était exactement comme celui exposé par les paroles de Dieu, semblable à un serpent rampant qui grimpe dans un plant de melon, ondulant et tournant. En traitant les gens et en m’entendant avec eux de cette manière, je les trompais et les manipulais. J’étais particulièrement sournoise et retorse. Et je ne disais pas ces choses par inadvertance. Je parlais après avoir réfléchi et calculé. Je le faisais de manière délibérée. Je pensais même que Dieu n’était pas au courant de mes ruses, alors j’osais mentir et tromper ouvertement. Je n’avais pas du tout un cœur qui craint Dieu. J’osais mentir aux autres et les tromper quand j’interagissaia avec eux, alors, si je me retrouvais un jour en contact avec Christ, je tromperais certainement ouvertement Dieu et offenserais Son tempérament. C’est surtout quand j’ai lu ces paroles de Dieu : « Aux yeux de Dieu, ces personnes ne font que porter une peau humaine et dans leur essence, elles sont des démons et des Satans, ce sont des cadavres ambulants, et Dieu ne les sauvera absolument jamais, » que je me suis subitement sentie paralysée. Dieu exposait ma nature et décrivait mes actions. Je me suis souvenue qu’en général, quand j’interagissais avec les autres, j’avais mes propres motivations et j’étudiais leurs paroles et leurs expressions. En particulier avec les dirigeants et les ouvriers, j’essayais de deviner leurs pensées et de m’y conformer, et encore plus de dire des choses qui font plaisir à entendre. Je pensais que vivre ainsi était malin parce que personne ne me perçait à jour. Mais Dieu m’avait déjà percée à jour. À ce moment, j’ai enfin compris pourquoi Dieu disait qu’Il apprécie les gens honnêtes et exècre les gens fourbes. C’est parce que les gens honnêtes ont un cœur simple et pur comme de l’eau claire, qu’ils traitent les gens et Dieu honnêtement et qu’il ne leur arrive jamais de cacher intentionnellement leurs lacunes ni de se dissimuler. Ces gens n’ont pas des vies épuisantes, les autres s’entendent facilement avec eux et Dieu les apprécie. Mais les gens fourbes ont des esprits complexes, ils manigancent, ils ont des motivations pour tout, et les paroles et problèmes les plus simples deviennent très compliqués pour eux. Les paroles et les actions des gens fourbes ne visent qu’à induire les autres en erreur, les tromper et servir leurs buts. Ils révèlent une ressemblance démoniaque et Dieu ne sauve jamais de telles personnes. En y pensant, j’ai eu un peu peur. J’ai vu que ma nature était aussi fourbe et malfaisante que celle de Satan et si je ne me repentais pas, je serais éliminée et punie par Dieu. Dieu est saint et juste, et ceux qui vivront dans le royaume de Dieu sont tous des gens honnêtes qui sont disposés à pratiquer la vérité. Une personne fourbe n’entrera jamais dans le royaume de Dieu. En y pensant, j’ai éprouvé de profonds remords et j’ai voulu cesser de vivre selon mes tempéraments fourbes et malfaisants. J’ai prié Dieu et j’ai dit que je voulais pratiquer l’honnêteté en m’ouvrant aux autres et en parlant honnêtement à tout le monde. Après ça, au cours d’une réunion, je me suis ouverte sur mes intentions méprisables et la corruption que j’avais révélée en ces deux occasions. Ensuite, je me suis sentie bien plus soulagée et sereine.
Par la suite, je me suis également demandé pourquoi je me souciais toujours de ce que le dirigeant pensait de moi et pourquoi je mentais et étais fourbe afin qu’il ait une bonne opinion de moi. Un jour, dans les paroles de Dieu, j’ai lu : « Quel que soit le niveau d’un dirigeant ou d’un ouvrier, si vous les adorez parce qu’ils comprennent quelques vérités et qu’ils ont quelques dons, et que vous croyez qu’ils possèdent la vérité-réalité et peuvent vous aider, et si vous les admirez et dépendez d’eux en toutes choses et qu’à travers cela, vous essayez d’atteindre le salut, alors vous êtes insensés et ignorants. En fin de compte, tout cela n’aboutira à rien, parce que votre point de départ est intrinsèquement mauvais. Quel que soit le nombre de vérités que quelqu’un peut comprendre, on ne peut se tenir à la place de Christ et quels que soient les dons que quelqu’un possède, cela ne signifie pas qu’il possède la vérité : et donc, les personnes qui vénèrent, admirent et suivent les autres, quelles qu’elles soient, seront finalement toutes éliminées et condamnées. Les croyants en Dieu ne peuvent qu’admirer et suivre Dieu. Les dirigeants et les ouvriers, quel que soit leur rang, restent des gens ordinaires. Si tu les considères comme tes supérieurs immédiats, si tu as le sentiment qu’ils te sont supérieurs, qu’ils sont plus compétents que toi et qu’ils doivent te diriger, qu’ils sont à tous égards au-dessus de tous les autres, alors tu te trompes : c’est un fantasme. […] Si tu crois en Dieu et Le suis, tu dois être attentif à Sa parole, et si quelqu’un parle et agit correctement et que c’est conforme aux vérités-principes, tu dois seulement te soumettre à la vérité : est-ce aussi simple que cela ? Pourquoi es-tu si servile ? Pourquoi persistes-tu à trouver quelqu’un à vénérer et à suivre ? Pourquoi aimes-tu être l’esclave de Satan ? Pourquoi ne pas être plutôt un serviteur de la vérité ? En cela, on voit si une personne a de la raison et de la dignité. Tu devrais commencer par toi-même : t’équiper de vérités de toutes sortes, être capable d’identifier les diverses façons dont les différentes questions et les différentes personnes se manifestent, savoir quelle est la nature des comportements de diverses personnes et quel tempérament jaillit d’elles, apprendre à distinguer l’essence de différents types de personnes, savoir clairement quels types de personnes t’entourent, quel type de personne tu es et quel type de personne est ton dirigeant. Une fois que tu verras tout cela clairement, tu seras capable d’aborder les gens de la bonne manière, selon les vérités-principes : si ce sont des frères et sœurs, tu les traiteras avec amour ; si ce ne sont pas des frères et sœurs, mais que ce sont des personnes malfaisantes, des antéchrists ou des incrédules, tu garderas tes distances et tu renonceras à eux. Et si ce sont des gens qui possèdent la vérité-réalité, bien qu’il soit possible que tu les admires, tu ne les vénéreras pas. Personne ne peut prendre la place de Christ ; seul Christ est le Dieu concret. Seul Christ peut sauver les gens, et ce n’est qu’en suivant Christ que tu pourras obtenir la vérité et la vie. Si tu es capable de voir ces choses clairement, alors tu possèdes une stature, tu n’es pas susceptible d’être induit en erreur par les antéchrists et tu n’as pas à craindre non plus d’être induit en erreur par ces derniers » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 6). C’était mon état que les paroles de Dieu exposaient. Même si je croyais en Dieu depuis des années, il n’y avait pas de place pour Dieu dans mon cœur. C’était sur le pouvoir et le statut des gens que je me concentrais et j’adhérais à la philosophie de Satan que « les responsables locaux ont plus de contrôle que les fonctionnaires de l’État ». J’avais toujours eu le sentiment que la souveraineté de Dieu était éloignée de moi. À mes yeux, c’était le dirigeant qui décidait de tout pour moi et que le fait que je puisse être appréciée, cultivée et que je puisse faire mon devoir dépendait entièrement de ses paroles. N’est-ce pas le point de vue des non-croyants ? Pour être appréciés de leurs dirigeants et garder leurs positions et leurs emplois, les non-croyants flattent leurs dirigeants, leur font plaisir en toutes choses, comme des petits chiens sans caractère ni dignité. Quelle était la différence entre eux et moi ? Pour conserver mon statut et être appréciée par mon dirigeant, je spéculais sur ses préférences et les satisfaisais. J’étais vraiment méchante et douée pour ajustée mes voiles par rapport au vent. Pour servir mes intérêts, j’avais totalement perdu ma dignité humaine et je n’avais aucune ressemblance humaine. En réalité, la maison de Dieu a des principes pour sélectionner et cultiver les gens, contrairement au monde des non-croyants. Les non-croyants pratiquent « on n’arrive à rien sans servilité ni flatterie ». Tant qu’ils sont capables de lécher les bottes de leurs supérieurs, ils peuvent gagner leur faveur, être promus et devenir riches, même sans réel talent ni savoir. Mais la vérité règne dans la maison de Dieu. Les gens sont choisis et cultivés sur la base des vérités-principes. Si nous avons une bonne humanité, que nous pouvons accepter la vérité, que notre cœur est tourné vers la maison de Dieu et que nous pouvons protéger le travail de la maison de Dieu, alors que notre calibre soit un peu médiocre n’est pas important. L’Église arrangera tout de même un devoir approprié pour nous. Si nous avons un mauvais caractère, que nous ne poursuivons pas la vérité, et que nous nous contentons de jouer des tours et de manigancer, même si nous flattons le dirigeant et nous attirons ses faveurs, nous n’aurons jamais un rôle important. Une fois que nos frères et sœurs nous auront discernés et percés à jour, nous serons méprisés et rejetés. Même si de faux dirigeants et des antéchrists vont à l’encontre des principes et accordent des promotions à ceux qui leur sont serviles et lèchent leurs bottes, ils seront révélés tôt ou tard, de sorte qu’ils ne peuvent jamais s’implanter dans la maison de Dieu. Quand j’ai compris cela, j’ai arrêté de m’inquiéter de la façon dont le dirigeant me voyait. Ce que les gens pensent de moi n’a pas d’importance. Que je puisse persévérer dans mon devoir dépend de ma capacité à poursuivre la vérité et à bien faire mon devoir. À présent, je devais me concentrer sur le fait de bien faire mon devoir et d’y chercher la vérité pour résoudre mes problèmes et mes difficultés. C’est cela m’occuper de mon propre travail.
Ensuite, j’ai cherché un chemin de pratique dans les paroles de Dieu et j’ai trouvé ces deux passages : « Être une personne honnête est une exigence que Dieu a de l’homme. C’est une vérité que l’homme doit pratiquer. Quels sont donc les principes que l’homme doit observer dans ses rapports avec Dieu ? Soyez sincères : c’est le principe qui doit être suivi quand on interagit avec Dieu. Ne vous engagez pas dans la pratique de la flagornerie ou de la flatterie des non-croyants : Dieu n’a nul besoin de la flagornerie ou de la flatterie des hommes. Il suffit d’être sincère. Et que signifie être sincère ? Comment cela doit-il être mis en pratique ? (S’ouvrir simplement à Dieu, sans présenter de façade, ni cacher quoi que ce soit, ni garder aucun secret, interagir avec Dieu avec un cœur honnête et être franc, sans mauvaises intentions ni ruse.) C’est juste. Pour être sincère, tu dois d’abord mettre de côté tes désirs personnels. Au lieu de t’inquiéter de la façon dont Dieu te traite, tu devrais te mettre à nu devant Dieu et dire tout ce que tu as dans le cœur. Ne réfléchis pas et ne tiens pas compte des conséquences de tes paroles. Dis tout ce que tu penses, laisse de côté tes motivations et ne dis rien pour uniquement atteindre un but. Tu as trop d’intentions personnelles et d’adultérations, ta façon de parler est toujours calculée, tu te dis : “Je dois parler de ceci, et pas de cela, je dois faire attention à ce que je dis. Je vais tourner cela d’une manière qui me profite, qui dissimule mes lacunes et laissera à dieu une bonne impression.” Cela ne consiste-t-il pas à nourrir des arrière-pensées ? Avant que tu ouvres la bouche, ton esprit est rempli de pensées retorses, tu corriges plusieurs fois ce que tu veux dire, de sorte que lorsque les mots sortent de ta bouche, ils ne sont plus aussi purs, ils ne sont plus du tout authentiques et ils véhiculent tes propres motivations et les plans de Satan. Ce n’est pas ce qu’on appelle être authentique : c’est ce qu’on appelle avoir des motivations sinistres et de mauvaises intentions. De plus, lorsque tu parles, tu t’inspires toujours des expressions faciales des gens et de leur regard : s’ils arborent une expression positive sur leur visage, tu continues à parler, et sinon, tu te retiens et tu ne dis rien ; si leur regard est mauvais et qu’ils ne semblent pas aimer ce qu’ils entendent, tu y réfléchis et tu te dis : “Bon, je vais dire quelque chose qui va t’intéresser, qui va te rendre heureux, que tu vas aimer, et qui fera que tu seras bien disposé envers moi.” Est-ce là être sincère ? Non » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)). « Dieu n’aime pas les flagorneurs, les flatteurs, ni les beaux parleurs. Alors, quel type de personne Dieu aime-t-Il ? Comment Dieu aime-t-Il que les gens interagissent et échangent avec Lui ? Dieu aime les gens honnêtes, les gens qui sont sincères avec Lui. Tu n’as pas besoin de tenir compte de la tonalité de Sa voix et de Son expression ou de t’attirer Ses bonnes grâces ; tu as juste besoin d’être sincère, d’avoir un cœur sincère, un cœur qui ne cache rien, qui ne dissimule rien et qui ne se déguise pas, et de faire en sorte que ton apparence extérieure corresponde à ton cœur » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)). Ces paroles de Dieu rendent le chemin de pratique très clair. Quand on interagit avec Dieu et les gens, il faut être franc et honnête, ne pas avoir de motivations personnelles, accepter l’examen de Dieu et être une personne honnête. Ces paroles de Dieu m’ont fait penser au Seigneur Jésus qui interrogeait Pierre : « Simon Barjona ! M’as-tu jamais aimé ? » Pierre a répondu honnêtement : « Seigneur, j’ai jadis aimé le Père qui est aux cieux, mais je reconnais que je ne T’ai jamais aimé. » Pierre était pur et honnête. Il ne s’est pas demandé comment flatter le Seigneur Jésus, il a simplement dit exactement ce qu’il pensait. Le cœur de Pierre était pur et transparent et il pouvait être honnête avec le Seigneur Jésus. Il a donc gagné l’approbation de Dieu. Une fois que j’ai compris ces choses, j’ai vu plus clairement le chemin de pratique et j’ai commencé à pratiquer consciemment le fait d’être honnête dans ma vie.
Un jour, après une réunion, mon dirigeant a demandé à deux chefs de groupes et à moi d’évaluer une sœur. Entendre cela m’a rendue un peu nerveuse et j’ai recommencé à spéculé : « Mon dirigeant veut une évaluation de cette sœur. Pense-t-il donc qu’elle a un problème ? S’adresse-t-il à nous parce qu’il veut tester notre capacité à discerner ? La dernière fois, le dirigeant a dit que ces deux chefs de groupes avaient un bon calibre et qu’il voulait les cultiver, alors m’estimera-t-il et me cultivera-t-il encore à l’avenir si je ne vois pas les gens et les choses aussi bien qu’eux ? » C’est alors que j’ai pris conscience que j’étais encore sur le point de me livrer à la fourberie et de spéculer sur ses pensées. J’ai pensé aux paroles de Dieu : « Dieu n’aime pas les flagorneurs, les flatteurs, ni les beaux parleurs. Alors, quel type de personne Dieu aime-t-Il ? Comment Dieu aime-t-Il que les gens interagissent et échangent avec Lui ? Dieu aime les gens honnêtes, les gens qui sont sincères avec Lui. Tu n’as pas besoin de tenir compte de la tonalité de Sa voix et de Son expression ou de t’attirer Ses bonnes grâces ; tu as juste besoin d’être sincère, d’avoir un cœur sincère, un cœur qui ne cache rien, qui ne dissimule rien et qui ne se déguise pas, et de faire en sorte que ton apparence extérieure corresponde à ton cœur » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)). Dieu observe ce que je pense et ce que je prévois de faire. Dieu espère que je serai honnête et dirai ce que je pense vraiment, sans fard, sans dissimulation ni incohérence avec mes pensées. Je devais pratiquer en accord avec ces paroles de Dieu et être honnête avec les autres. Alors j’ai donné mon point de vue au dirigeant. Quand j’ai terminé, je me suis sentie très détendue et j’ai eu le sentiment que pratiquer le fait d’être une personne honnête me mettait à l’aise et me rendait également très calme et assurée. Je n’avais jamais éprouvé ça. Voilà la façon dont les gens devraient se comporter. Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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