Les paroles de Dieu résolvent tous les mensonges
Par Ye Qiu, ChineEn juin 2022, j’ai été élue diaconesse d’abreuvement et j’ai commencé à abreuver les nouveaux arrivants avec Sœur Cheng...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Depuis toute petite, je suis atteinte d’hépatite B. Pour me faire soigner, j’ai consulté toutes sortes de médecins, essayé différents traitements et dépensé beaucoup d’argent, mais ce n’était toujours pas guéri. Finalement, un médecin m’a dit, impuissant : « Cette maladie est un dilemme pour les médecins du monde entier. Nous ne pouvons rien faire. » J’étais totalement désespérée. À ma grande surprise, plus d’un an après avoir accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours, j’ai miraculeusement été guérie. À ce moment-là, le médecin a regardé mes résultats d’examens et m’a dit que tous les taux étaient redevenus normaux tout seuls, et qu’à l’avenir, je n’avais plus besoin de prendre de médicaments. Inutile de dire que lorsque j’ai entendu ça, j’étais très contente, et je savais dans mon cœur que Dieu m’avait débarrassé de ma maladie. J’étais pleine de gratitude envers Dieu, je Le louais, et je me suis dit : « Dieu m’a vraiment accordé Sa grâce et Sa bénédiction. Je dois me dépenser pour Lui avec assiduité et Lui rendre Son amour en faisant mon devoir. » J’ai également pensé : « Je commence juste à croire en Dieu et je n’ai encore rien fait pour Lui. Or, Il m’a déjà accordé tant de grâce et de faveurs. À l’avenir, si je me dépense davantage pour Lui, la grâce et les bénédictions qu’Il m’accorde ne seront-elles pas encore plus grandes ? Il se pourrait même que je puisse atteindre le salut et continuer à vivre quand l’œuvre de Dieu sera terminée ! » Sur ce, j’ai abandonné mon emploi bien rémunéré et fait mon devoir à l’Église à temps plein. Après ça, j’ai été élue dirigeante d’Église, et j’ai été encore plus motivée à renoncer et à me dépenser. Je m’affairais chaque jour à l’Église en travaillant du matin au soir. Je diffusais l’Évangile et abreuvais les nouveaux arrivants, et je n’avais même pas le temps de m’occuper de mon enfant. Même lorsque mon mari a été hospitalisé et que mon père a dû se faire opérer loin de chez lui à deux reprises, je n’ai pas pris le temps d’aller m’occuper d’eux. Les membres de ma famille ne me comprenaient pas et se plaignaient auprès de moi, mais ma détermination à faire mon devoir ne faiblissait pas. Je me disais que si j’endurais cette souffrance et que je payais ce prix, Dieu le remarquerait et ne me traiterait pas injustement.
Début 2015, j’avais souvent l’impression que mon corps tout entier manquait d’énergie. Même si j’allais au cinquième étage à pied sans rien porter, je devais faire une pause avant de monter. Quand je rentrais chez moi après les réunions, je voulais juste m’allonger et n’avais envie de rien faire. Je suis allée passer des examens à l’hôpital, et le médecin a dit que mon foie fonctionnait anormalement. Si je ne prenais pas de traitement immédiatement, cela pouvait se transformer en cirrhose du foie et en ascite, et si ça continuait à empirer, cela pouvait devenir cancéreux. En entendant les paroles du médecin, je me suis figée. J’ai pensé : « Comment est-ce possible ? Lors de mes examens précédents, le médecin n’a-t-il pas dit que ma maladie était guérie ? Pourquoi cela s’est-il de nouveau aggravé ? » Soudain, je me suis souvenue d’une personne atteinte d’un cancer du foie qui est morte. J’étais vraiment effrayée. J’avais peur de mourir moi aussi, vu que ma maladie était très grave. Je me suis dit : « Si je meurs maintenant, puis-je tout de même atteindre le salut ? » À ce moment-là, mon cœur souffrait énormément. Cependant, j’ai aussi pensé que vu qu’à présent, j’étais dirigeante d’Église, que je m’affairais à l’Église toute la journée du matin au soir, Dieu devait prendre soin de moi et me protéger pour m’empêcher de mourir. Durant ces quelques jours, j’ai revu par hasard une sœur âgée que je connaissais. Elle m’a dit qu’on lui avait diagnostiqué une leucémie il y a plusieurs années et que ses marqueurs tumoraux étaient encore assez élevés. Dans ses moments de plus grande faiblesse, elle chantait souvent des hymnes des paroles de Dieu, et gagnait une certaine compréhension de la souveraineté de Dieu grâce à Ses paroles, et la foi. Elle avait également réfléchi à ses motivations et ses impuretés dans son devoir, et une fois qu’elle a eu gagné une certaine connaissance d’elle-même, sa maladie a peu à peu commencé à s’améliorer; En entendant l’expérience de cette sœur, j’ai réalisé que ma maladie pouvait être une épreuve venant de Dieu et que cela pouvait être un test de Sa part. Je ne devais absolument pas Lui en vouloir. Je devais rester ferme dans mon témoignage pour Dieu. Dieu verrait peut-être que j’étais capable de persister dans mon devoir même quand ma maladie était aussi grave, alors Il me guérirait. J’ai donc choisi de ne pas rester à l’hôpital. J’ai simplement acheté quelques médicaments, puis j’ai continué à faire mon devoir dans l’Église.
En septembre 2017, je me suis rendue à l’hôpital pour une autre visite de contrôle, et le médecin m’a dit : « À présent, vous êtes atteinte de cirrhose à un stade précoce, et il y a des nodules et des kystes dans votre foie. Il serait préférable de faire des examens supplémentaires. » En entendant les paroles du médecin, mon cerveau était en effervescence, et je me suis dit : « Il y a des antécédents de maladies du foie dans ma famille. Mon grand-père est mort d’un cancer du foie il y a longtemps, et mon père est également décédé récemment parce que les nodules dans son foie étaient devenus cancéreux. À présent, j’ai moi aussi des nodules dans le foie. Vais-je mourir bientôt moi aussi ? » À ce moment-là, j’étais vraiment terrorisée. Je me suis dit : « J’ai seulement la trentaine. Suis-je vraiment sur le point de mourir ? L’œuvre de Dieu n’est même pas terminée et je suis déjà à deux doigts de mourir. Cela ne signifie-t-il pas que je serai éliminée par Dieu et que je ne pourrai pas atteindre le salut ? » En pensant à cela, je n’ai pas pu retenir mes larmes plus longtemps. Alors que je rentrais chez moi à pied, je me suis souvenue de mes années de croyance en Dieu. J’avais abandonné un emploi bien rémunéré pour faire mon devoir et je m’étais affairée du matin au soir à l’Église. Je n’avais pas eu le temps de m’occuper de mon enfant, et je n’avais même pas voulu retarder mon devoir quand mon mari et mon père se sont faits opérer. Les membres de ma famille ne me comprenaient pas et s’étaient plaints auprès de moi, mais j’avais continué à persister dans mon devoir. Je m’étais tant dépensée durant toutes ces années : pourquoi Dieu ne prenait-Il pas soin de moi, ne me protégeait-Il pas et laissait-Il même ma maladie s’aggraver ? Était-ce parce que je n’avais pas bien fait mon devoir, alors Dieu ne faisait pas attention à moi et me laissait pour morte ? Je n’étais pas prête à mourir si jeune. Je voulais attendre que l’œuvre de Dieu soit terminée pour pouvoir survivre et entrer dans le royaume !
Cette nuit-là, je me suis tournée et retournée dans mon lit, incapable de dormir. J’ai vu mon enfant qui dormait à poings fermés à côté de moi, et cela m’a profondément attristée et contrariée. Je ne savais pas combien de temps encore je pourrais être là pour lui, et j’avais l’impression que la mort pouvait survenir à tout moment. Je me sentais immensément triste et impuissante. Durant ces quelques jours, ma partenaire a vu que mon état était médiocre et elle a échangé sur les paroles de Dieu avec moi. Mais cela entrait par une oreille et sortait par l’autre, et j’espérais juste que Dieu pourrait me débarrasser de ma maladie au motif que je n’avais pas abandonné mon devoir même lorsque j’étais gravement malade. Durant cette période, j’étais toujours très abattue, surtout quand je voyais que certains des frères et sœurs autour de moi n’avaient pas renoncé et ne s’étaient pas dépensés autant que moi, mais qu’ils étaient toujours en très bonne santé et pas gravement malades comme moi. Je pensais que Dieu avait peut-être utilisé cette maladie pour me révéler et m’éliminer. J’étais tellement abattue que je n’étais plus aussi assidue dans mon devoir qu’avant. En faisant mon devoir, s’il était tard ou si j’étais un peu fatiguée, j’avais peur que mon corps ne s’épuise, et parfois, je reportais le travail au lendemain alors que j’aurais pu le terminer en me dépêchant. Je me disais : « À quoi ça sert de fournir encore plus d’efforts ? Pendant toutes ces années, j’ai souffert et me suis dépensée, mais au bout du compte, ma maladie ne s’est pas améliorée, et je vais quand même devoir mourir quand le temps sera venu. » Je voulais même dire au dirigeant que j’allais laisser tomber mon devoir pour pouvoir me rétablir correctement. Et même si je ne l’ai finalement pas fait, mon cœur s’était éloigné de Dieu. Je n’avais rien à dire quand je priais, et je ne lisais plus aussi souvent les paroles de Dieu. Plus tard, j’ai été arrêtée par le Parti communiste. Après ma libération, la police me surveillait toujours, alors j’ai dû aller travailler dans une autre partie du pays. J’ai vu des non-croyants en très bonne santé faire leur travail avec vigueur, alors que moi, avec mon teint cireux, j’étais clairement infirme. Je ne pouvais pas m’empêcher de raisonner dans mon cœur. Je me disais : « Je me suis tant dépensée pour Dieu pendant toutes ces années. Même quand j’ai été arrêtée par le Parti Communiste, je n’ai pas renié le nom de Dieu et je suis restée ferme dans mon témoignage. Pourquoi Dieu ne prend-Il pas soin de moi, ne me protège-t-Il pas, et ne m’aide-t-Il pas à me remettre rapidement de ma maladie ? » J’étais consciente que je ne devais pas raisonner ainsi avec Dieu, mais je ne cherchais pas la vérité, et je suis longtemps restée sans résoudre mon état.
Plus tard, j’ai regardé quelques vidéos de témoignages d’expérience et j’ai vu que certains frères et sœurs étaient capables de réfléchir sur eux-mêmes et de chercher la vérité tout en étant malades et même d’écrire sur leurs gains. Je les enviais vraiment, et j’étais très émue. J’avais moi aussi fait l’expérience de la maladie, mais je n’avais pas cherché la vérité, et à ce jour, je n’avais rien gagné. Je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié : « Ô mon Dieu, je veux moi aussi tirer des leçons tout en étant malade comme ces frères et sœurs. S’il Te plaît, guide-moi et aide-moi. » Un jour, j’ai regardé un film intitulé « Récolter la joie dans la souffrance » dans lequel une sœur, tout en étant malade, parvient à connaître l’amour de Dieu et comprend que Dieu utilise sa maladie pour la parfaire et la changer. Au bout du compte, cette expérience la conduit à se repentir et à se transformer. Sa jeune sœur lui dit : « Tu es tellement bénie ! Dieu doit vraiment beaucoup t’aimer pour te faire subir des épreuves et t’épurer ainsi afin de te changer et de te parfaire ! Je t’envie tellement ! Quand Dieu me bénira-t-Il ainsi ? » En écoutant cela, j’ai vraiment été émue, et j’ai eu honte, aussi. J’avais toujours pensé qu’avoir une maladie aussi grave signifiait que Dieu me détestait et me haïssait, qu’Il utilisait cette maladie pour me révéler et m’éliminer. En comparant cela à la compréhension de la sœur, mon point de vue sur les choses était totalement absurde ! Lors de mes dévotions, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « S’Il t’aime, Il l’exprime souvent en te châtiant, en te disciplinant et en t’émondant. Même si tes jours se passent dans l’inconfort, entre châtiment et discipline, une fois que tu auras vécu cela, tu découvriras que tu as beaucoup appris, que tu as du discernement, que tu fais preuve de sagesse dans tes échanges avec les autres et aussi que tu es parvenu à comprendre certaines vérités. Si l’amour de Dieu était pareil à celui d’une mère ou d’un père, tel que tu l’imagines, s’Il était aussi scrupuleux dans Ses soins et indulgent en toutes occasions, pourrais-tu acquérir ces qualités ? Non. Et donc, l’amour de Dieu que les gens peuvent comprendre est différent du véritable amour de Dieu dont ils peuvent faire l’expérience dans Son œuvre. Les gens doivent l’approcher selon les paroles de Dieu et chercher la vérité dans Ses paroles afin de savoir ce qu’est le véritable amour. Si une personne corrompue ne cherche pas la vérité, comment peut-elle avoir une compréhension, à partir de rien, de ce qu’est l’amour de Dieu, de l’objectif de Son œuvre en l’homme et de là où se trouvent Ses intentions méticuleuses. Les gens ne comprendraient jamais ces choses-là. C’est l’incompréhension la plus fréquente qu’ont les gens au sujet de l’œuvre de Dieu, et c’est l’aspect de l’essence de Dieu que les gens ont le plus de difficultés à comprendre. Les gens doivent en faire l’expérience profondément et personnellement, s’y engager de manière concrète et l’apprécier, afin d’être en mesure de comprendre cela. D’ordinaire, quand les gens disent “amour”, ils veulent dire donner à quelqu’un quelque chose qu’il aime, et non pas lui donner quelque chose d’amer tandis qu’il veut quelque chose de sucré, bien que parfois, si on lui donne quelque chose d’amer, c’est pour traiter une maladie. En bref, cela implique l’égoïsme, les sentiments et la chair de l’homme ; cela implique des objectifs et des motivations. Mais peu importe ce que Dieu fait en toi, peu importe comment Il te juge et te châtie, te corrige et te discipline, ou comment Il t’émonde, même si tu Le comprends mal, et même si tu te plains de Lui dans ton cœur, Dieu continuera à œuvrer en toi avec une patience inlassable. En faisant cela, quel est le but ultime de Dieu ? Il Se sert de ce moyen pour te réveiller, pour qu’un jour tu puisses comprendre les intentions de Dieu. Mais quand Dieu voit le résultat, qu’a-t-Il gagné ? En réalité, Il n’a rien gagné. Et pourquoi est-ce que Je dis cela ? Parce que tout chez toi vient de Dieu. Dieu n’a pas besoin de gagner quoi que ce soit. Tout ce dont Il a besoin, c’est que les gens suivent correctement et entrent en accord avec Ses exigences pendant qu’Il accomplit Son œuvre pour qu’ils puissent en fin de compte vivre la vérité-réalité, vivre avec la ressemblance humaine, et qu’ils ne soient plus induits en erreur, séduits et tentés par Satan, qu’ils soient capables de se rebeller contre Satan, de se soumettre à Dieu et de Le vénérer. Alors, Dieu sera très satisfait et Sa grande œuvre sera accomplie » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut s’engager sur le bon chemin de la croyance en Dieu que si l’on résout ses notions (1)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que l’amour de Dieu était différent de celui de nos parents ou des membres de notre famille dans le sens où Dieu ne se contente pas prendre soin de nous méticuleusement sans aucun principe et de tout tolérer. Et Il ne protège pas non plus les gens et ne les préserve pas de la maladie et du désastre. Tout cela était ma compréhension erronée de l’amour de Dieu. Dieu ne se contente pas de montrer Son amour à travers la miséricorde, la gentillesse, et en accordant la grâce aux gens. Il utilise aussi le jugement et le châtiment, les épreuves et l’épurement, et les réprimandes et la discipline pour aider les gens à comprendre la vérité et à se débarrasser de leurs tempéraments corrompus, leur permettant à terme de vivre une ressemblance humaine et d’être sauvés par Lui. Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai été très contrariée et je m’en suis voulu. J’avais cru en Dieu pendant toutes ces années, et pourtant, je n’avais aucune compréhension de la manière dont Il aime et sauve les gens. Je voulais juste que Dieu me donne grâce et bénédictions et qu’Il me protège de la maladie et du désastre. Je n’acceptais pas Ses épreuves et Son épurement ni Sa purification et Son perfectionnement. Pendant deux années entières, j’avais vécu dans mon incompréhension de Dieu, mon cœur toujours fermé à Lui. Cependant, Dieu ne m’avait pas traitée en Se basant sur ma rébellion et ma corruption. Au lieu de ça, il avait supporté silencieusement mon incompréhension et ma rébellion, était resté à mes côtés sans faire de bruit, et avait attendu le jour où je me réveillerais. Il avait également utilisé les expériences des frères et sœurs pour m’aider et me soutenir, me poussant à sortir de mon état d’incompréhension et de découragement. En comprenant l’intention de Dieu, mon cœur a été ému par Son amour, et je n’ai plus été aussi insensible et intransigeante. J’ai eu beaucoup de remords et je me suis dit que j’étais énormément redevable à Dieu. Dieu avait arrangé ces circonstances afin de révéler ma corruption, me purifier et me sauver, mais j’avais considéré Ses bonnes actions comme mauvaises et avais continué à mal le comprendre et à me plaindre de Lui. J’étais vraiment tellement déraisonnable ! Je me suis présentée à Dieu et je L’ai prié, Lui demandant de me pardonner, et Lui disant que j’étais disposée à me repentir devant Lui. Je Lui ai également demandé de m’éclairer et de me guider pour que je réfléchisse sur moi-même, que je me connaisse, et que je tire les leçons que je devrais tirer de cette maladie.
Un jour, j’ai lu les paroles de Dieu : « D’abord, quand l’homme commence à croire en Dieu, lequel d’entre eux n’a pas ses buts, ses motivations et ses ambitions propres ? Même si une partie des hommes croient en l’existence de Dieu et l’ont vue, leur croyance en Lui comporte toujours ces motivations. Leur but ultime, par cette croyance, est de recevoir Ses bénédictions et les choses qu’ils veulent. Dans les expériences de vie des gens, ils se disent souvent : “J’ai abandonné ma famille et ma carrière pour Dieu, et que m’a-t-Il donné ? Je dois en faire l’addition pour le confirmer. Ai-je reçu des bénédictions récemment ? J’ai beaucoup donné pendant ce temps, j’ai couru et couru, et j’ai énormément souffert. Dieu m’a-t-Il fait des promesses en retour ? S’est-Il souvenu de mes bonnes actions ? Quelle sera ma fin ? Puis-je recevoir Ses bénédictions ?…” Chaque personne fait constamment de tels calculs intérieurement et Lui adresse des demandes, qui portent leurs motivations, leurs ambitions et leurs négociations. C’est-à-dire que, dans son cœur, l’homme met constamment Dieu à l’épreuve, concevant tout le temps des projets à Son sujet, plaidant sans cesse la cause de son issuedevant Lui et essayant de Lui extraire une déclaration, pour voir s’Il peut lui donner ce qu’il veut. Alors qu’il Le cherche, l’homme ne traite pas Dieu comme tel. Il a toujours essayé de transiger avec Dieu, Lui imposant sans cesse des exigences, et Le presse même à chaque instant, essayant de prendre le bras alors qu’on lui donne le petit doigt. En même temps qu’il essaie de faire des affaires avec Dieu, l’homme se dispute aussi avec Lui. Il y a même des gens qui, lorsque les épreuves leur arrivent ou qu’ils se trouvent dans certaines situations, deviennent souvent faibles, négatifs, peu sérieux au travail et n’ont que des doléances concernant Dieu. Dès qu’il a commencé à croire en Lui, l’homme L’a considéré comme une corne d’abondance, un couteau suisse, et il s’est vu comme Son plus grand créancier, comme si c’était son droit et son obligation inhérents d’essayer d’obtenir de Lui des bénédictions et des promesses, tandis que Sa responsabilité était de le protéger, d’en prendre soin et de subvenir à ses besoins. Telle est la compréhension de base de la “croyance en Dieu” qu’ont ceux qui croient en Lui et voilà leur compréhension la plus approfondie de ce concept. De la nature-essence de l’homme à sa quête subjective, rien ne concerne la crainte de Dieu. Pour l’homme, le but de la croyance en Lui ne pourrait absolument pas avoir le moindre rapport avec l’adoration de Dieu. C’est-à-dire que l’homme n’a jamais considéré ni compris que croire en Lui exige de Le craindre et de L’adorer. Compte tenu de ces conditions, l’essence de l’homme est évidente. Et quelle est-elle ? C’est que le cœur de cet homme est méchant, recèle trahison et de tromperie, n’aime pas l’équité, la droiture ni ce qui est positif et est méprisable et cupide. Le cœur de l’homme ne pourrait pas être plus fermé à Dieu. Il ne le Lui a pas donné du tout. Dieu n’a jamais vu le vrai cœur de l’homme et Il n’a jamais été adoré par lui non plus. Quel que soit le prix que Dieu paie, l’ampleur de Son œuvre ou l’importance de Son apport à l’homme, celui-ci reste aveugle et totalement indifférent. Il ne Lui a jamais donné son cœur, il veut seulement s’occuper lui-même de son cœur et prendre ses propres décisions. Cela sous-entend que l’homme ne veut pas suivre la voie de la crainte de Dieu et de l’éloignement du mal, ni se soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements, ni non plus L’adorer comme Dieu. Tel est l’état de l’homme aujourd’hui » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II). Ces paroles de Dieu exposaient les motivations méprisables cachées dans ma foi en Dieu au fil des années. Dès le départ, j’avais fait ça pour gagner bénédictions et grâce. J’avais pu renoncer à tout et me dépenser pour Dieu parce que j’avais vu Dieu guérir ma maladie du foie, et je m’étais réjouie à l’idée d’avoir trouvé quelqu’un sur qui je pouvais le plus compter. Je voyais Dieu comme un grand médecin, un lieu sûr, et j’avais essayé en vain d’utiliser le fait d’avoir en apparence renoncé et de m’être dépensée pour obtenir davantage de récompenses et de bénédictions de Dieu, telles que le fait de rester en bonne santé et d’avoir une bonne destination. Il n’y avait aucune sincérité ni soumission dans le fait de me dépenser, et c’était encore moins pour rendre à Dieu Son amour et Le satisfaire. J’avais utilisé Dieu et L’avais trompé, faisant des transactions avec Lui. J’avais vécu selon les lois sataniques telles que « Chacun pour soi, Dieu pour tous », « Ne lève jamais le petit doigt sans récompense » et « Une personne doit être récompensée pour s’être dépensée ». J’étais devenue incroyablement égoïste et avide, abordant chaque question du point de vue de mes propres intérêts et faisant des calculs avec Dieu dans tout ce que je faisais, comme compter tout ce à quoi j’avais renoncé et le prix que j’avais payé pour Lui, ainsi que le nombre de bénédictions qu’Il m’avait données. Quand j’avais vu que Dieu avait guéri ma maladie, j’étais devenue dynamique dans mon devoir et j’avais pensé que le fait de renoncer à tout pour Dieu en valait la peine. Et quand j’avais entendu le médecin dire que ma maladie s’était aggravée, j’avais voulu correctement faire mon devoir pour que Dieu fasse disparaître ma maladie. Mais lorsque j’avais vu qu’après m’être dépensée pendant toutes ces années, ma maladie ne s’était non seulement pas améliorée, mais qu’elle s’était progressivement aggravée, j’avais senti que mon désir de bénédictions s’était brisé, et j’avais immédiatement utilisé toutes les années où je m’étais dépensée comme capital pour raisonner avec Dieu et régler mes comptes avec Lui. J’en avais voulu à Dieu d’être injuste envers moi, et je n’avais plus été aussi dévouée à mon devoir qu’avant. J’avais procrastiné et ne m’étais pas donnée à 100 %. J’avais même voulu laisser tomber mon devoir et rentrer chez moi pour récupérer. Je n’avais vraiment aucune conscience ni raison ! J’ai pensé à la façon dont Dieu m’avait sauvée de ce monde malveillant et sombre et m’avait amenée devant Lui, utilisant Ses paroles pour m’abreuver, m’approvisionner et me soutenir. Il avait également utilisé ma maladie pour révéler ma corruption, me purifier et me changer. Dieu avait fait des efforts tellement considérables et payé un tel prix pour moi. Cependant, après avoir profité du plus grand salut de Dieu à titre gratuit pendant toutes ces années, non seulement je n’avais pas pensé à Le remercier, mais j’avais même considéré comme acquis tout ce que j’avais gagné grâce à Lui. Lorsque j’avais appris que j’étais en danger de mort à cause de ma maladie, je m’étais immédiatement tournée vers Dieu et j’avais commencé à raisonner avec Lui et à régler mes comptes avec Lui, Lui reprochant d’être injuste envers moi. J’avais cru en Dieu pendant des années sans Le traiter comme Dieu du tout. J’étais tout simplement quelqu’un d’égoïste, de méprisable, et de vil qui plaçait le profit avant le reste, et je n’avais absolument aucune humanité ni raison.
Une fois, j’ai lu un passage des paroles de Dieu dans une vidéo de témoignage d’expérience qui m’a vraiment transpercé le cœur. Dieu Tout-Puissant dit : « Quelle que soit la façon dont ils sont éprouvés, l’allégeance de ceux qui ont Dieu dans leur cœur reste inchangée ; mais pour ceux qui n’ont pas Dieu dans leur cœur, une fois que l’œuvre de Dieu n’est pas avantageuse pour leur chair, ils changent leur point de vue sur Dieu et même s’éloignent de Dieu. Tels sont ceux qui ne tiendront pas ferme à la fin, qui ne cherchent que la bénédiction de Dieu et n’ont aucun désir de se dépenser pour Dieu et de se consacrer à Lui. Des gens aussi vils seront tous expulsés lorsque l’œuvre de Dieu sera achevée et ils sont indignes de toute sympathie. Ceux qui sont sans humanité sont incapables de vraiment aimer Dieu. Lorsque l’environnement est sûr et sans dangers, ou lorsqu’ils peuvent obtenir des profits, ils sont totalement obéissants à Dieu, mais une fois que ce qu’ils désirent est compromis ou définitivement réfuté, ils se révoltent immédiatement. Même dans l’espace d’une seule nuit, ils peuvent passer d’une personne souriante qui a un “bon cœur” à un tueur laid et féroce, traitant soudain leur bienfaiteur d’hier comme leur ennemi mortel, sans rime ni raison. Si ces démons ne sont pas chassés, ces démons qui tueraient en un clin d’œil ne deviendront-ils pas un danger caché ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que lorsque les gens qui ont une bonne humanité, une conscience et une raison voyaient que tout ce dont ils profitaient leur était accordé par Dieu à titre gratuit, ils étaient disposés à faire leurs devoirs en tant qu’êtres créés afin de rendre à Dieu Son amour. En soi, c’est quelque chose de tout à fait naturel et justifié, tout comme lorsque les enfants ont de la piété filiale envers leurs parents, ils assument leurs responsabilités et leurs obligations et ne devraient pas attendre de compensation ni poser de conditions. En même temps, ceux qui n’ont pas d’humanité remercient et louent Dieu lorsqu’ils gagnent des intérêts et des bénéfices de Sa part. Mais quand leur désir de gagner des bénédictions est brisé, ils se retournent immédiatement contre Dieu, raisonnent avec Lui et règlent leurs comptes avec Lui, s’opposent même à Lui, Le traitent comme un ennemi, vocifèrent ouvertement contre Lui et Le contrarient. Grâce à ce que les paroles de Dieu ont exposé, j’ai vu que j’étais exactement ce genre de personne qui n’avait aucune humanité. Quand Dieu avait guéri ma maladie à l’époque, je L’avais remercié et j’avais été disposée à renoncer à tout et à tout abandonner. Mais lorsqu’on m’avait diagnostiqué une cirrhose et que j’avais été en danger de mort, je m’étais immédiatement retournée contre Dieu et j’avais utilisé les années pendant lesquelles j’avais renoncé et je m’étais dépensée comme capital pour demander avec audace : « Pourquoi Dieu ne prend-Il pas soin de moi et ne me protège-t-Il pas alors que j’ai renoncé à tant de choses et que je me suis tant dépensée ? Pourquoi fait-Il le contraire et aggrave-t-Il ma maladie ? Comment se fait-il que tous les gens qui n’ont pas renoncé à beaucoup de choses et qui ne se sont pas beaucoup dépensés sont en parfaite santé alors que moi, je suis coincée avec cette maladie grave ? Pourquoi les gens qui ne croient pas en Dieu sont-ils en bonne santé alors que moi, je suis là à me dépenser et à renoncer à tout ça tandis que Dieu ne m’aide pas à rapidement aller mieux ? De plus, quand j’ai été arrêtée par le Parti communiste, je n’ai pas renié Dieu et je suis restée ferme dans mon témoignage. Alors pourquoi Dieu ne me débarrasse-t-Il pas de ma maladie ? » N’étais-je pas en train de vociférer contre Dieu et de m’opposer à Lui ? Le sens implicite de mes paroles était celui-là : « J’ai renoncé à beaucoup de choses et je me suis beaucoup dépensée, alors Dieu devrait me donner des bénédictions. C’est uniquement à ce moment-là que je reconnaîtrai la justice de Dieu. Si je ne peux pas gagner de bénédictions, je ne reconnaîtrai pas que Dieu est juste. » Je forçais Dieu et exigeais qu’Il me donne des bénédictions, et c’était là un tempérament malveillant et méchant. En substance, c’était là défier et contrarier effrontément Dieu. En faisant cela, est-ce que je ne cherchais pas la mort ? Autrefois, Paul était allé partout diffuser l’Évangile, établir des Églises et faire beaucoup de travail. Mais en renonçant à lui-même et en se dépensant, sa motivation n’était pas de satisfaire Dieu, et encore moins de faire son devoir en tant qu’être créé. Il voulait plutôt utiliser le fait de se dépenser et de travailler pour exiger de Dieu une couronne de justice, pour échanger tout cela contre des bénédictions du royaume des cieux. Dieu avait détesté, abandonné et condamné son point de vue sur la poursuite et le chemin qu’il avait emprunté, et au bout du compte, non seulement il n’était pas entré dans le royaume des cieux, mais il avait été envoyé en enfer pour recevoir la punition qu’il méritait. L’essence de Dieu est sainte et juste, et Il ne détermine pas l’issue des gens en fonction de leur affairement et de leur dépense d’eux-mêmes. Au contraire, Il décide s’ils peuvent être sauvés selon que leur tempérament-vie peut changer ou pas. Pour quelqu’un comme moi, qui est rempli de tempéraments corrompus sataniques et qui, effrontément, raisonne avec Dieu, vocifère contre Lui et Le contrarie lorsqu’il ne gagne pas de bénédictions, s’il ne fait pas l’expérience du jugement et du châtiment de Dieu et de Ses réprimandes et Sa discipline, alors comment est-il possible qu’il soit qualifié pour entrer dans le royaume de Dieu ? À terme, une personne comme celle-là serait sans aucun doute envoyée en enfer pour recevoir une punition comme Paul ! À ce moment-là, j’ai compris que Dieu avait utilisé ma maladie pour que je quitte ce chemin erroné de résistance à Dieu et pour m’aider à réfléchir sur moi-même, à me comprendre et à emprunter le chemin de la poursuite de la vérité afin qu’à terme, je ne résiste pas à Dieu et que je ne sois pas punie. En comprenant l’intention sincère de Dieu, j’ai profondément senti qu’à travers cette maladie, c’était Dieu qui me protégeait, que c’était une autre forme de bénédiction. J’ai lu davantage de paroles de Dieu : « Dieu a prédéterminé la durée de vie de chacun. D’un point de vue médical, une maladie peut sembler en phase terminale, tandis que du point de vue de Dieu, si ta vie doit se poursuivre et que ton heure n’est pas encore venue, tu ne pourras pas mourir même si tu le veux. Si Dieu t’a donné un mandat, et que ta mission n’est pas terminée, tu ne mourras même pas d’une maladie qui est censée être mortelle : Dieu ne t’emportera pas encore. Même si tu ne pries pas et ne cherches pas la vérité, ou que tu ne t’occupes pas de traiter ta maladie, ou même si tu diffères ton traitement, tu ne mourras pas. C’est particulièrement vrai pour ceux qui ont reçu un mandat de la part de Dieu : tant que leur mission n’est pas encore achevée, quelle que soit la maladie qui les frappe, ils ne doivent pas mourir tout de suite. Ils doivent vivre jusqu’à la finalisation de leur mission » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que la vie et la mort de l’homme étaient entre les mains de Dieu. Dieu a prédéterminé il y a longtemps le nombre d’années que j’allais vivre : c’était préétabli à la seconde près. Même si on m’avait diagnostiquée une maladie mortelle, ou si, aux yeux des gens, tout le monde dans ma famille était mort d’un cancer du foie et que je ne pouvais rien faire pour y échapper, si du point de vue de Dieu, mon heure n’était pas encore venue et ma mission n’était pas encore terminée, alors Il ne me laisserait pas mourir, et je ne pourrais pas mourir. Si ma mission était terminée et que mon heure était venue, alors je devais mourir, même si j’étais en très bonne santé et que je n’avais aucune maladie. Cela avait un rapport avec la prédétermination de Dieu et n’avait absolument aucun lien avec les antécédents médicaux de ma famille. En reconnaissant que Dieu exerce Sa souveraineté sur la vie ou la mort des gens, je n’étais plus aussi contrainte par la mort qu’avant. J’étais disposée à confier ma vie et ma mort à Dieu et à me soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements, et je sentais que mon cœur était bien plus apaisé et libéré.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Face à la maladie, tu peux chercher activement un traitement, mais tu dois également l’aborder avec une attitude positive. Quant à savoir dans quelle mesure ta maladie peut être traitée et si elle peut être guérie, et quoi qu’il puisse arriver en fin de compte, tu dois toujours te soumettre et ne pas te plaindre. C’est l’attitude que tu dois adopter, car tu es un être créé et tu n’as pas d’autre choix. Tu ne peux pas dire : “Si je suis guéri de cette maladie, alors je croirai que c’est le grand pouvoir de Dieu, mais si je ne suis pas guéri, alors je ne serai pas content de Dieu. Pourquoi Dieu m’a-t-Il donné cette maladie ? Pourquoi ne guérit-Il pas cette maladie ? Pourquoi est-ce moi qui ai contracté cette maladie et pas quelqu’un d’autre ? Je n’en veux pas ! Pourquoi dois-je mourir si tôt et si jeune ? Comment se fait-il que d’autres personnes puissent continuer à vivre ? Pourquoi ?” Ne demande pas pourquoi, c’est l’orchestration de Dieu. Il n’y a aucune raison et tu ne dois pas demander pourquoi. Demander pourquoi est un discours rebelle, et ce n’est pas une question qu’un être créé doit poser. Ne demande pas pourquoi, il n’y a pas d’explication. Dieu a arrangé et planifié les choses de cette façon. Si tu demandes pourquoi, alors on ne peut que dire que tu es trop rebelle, trop intransigeant. Lorsque quelque chose ne te satisfait pas, ou que Dieu ne fait pas ce que tu désires ou ne te laisse pas faire ce que tu veux, tu es malheureux, tu es mécontent et tu demandes toujours pourquoi. Alors, Dieu te demande : “En tant qu’être créé, pourquoi n’as-tu pas bien fait ton devoir ? Pourquoi n’as-tu pas fidèlement accompli ton devoir ?” Et comment vas-tu réagir ? Tu dis : “Il n’y a pas de pourquoi, je suis comme ça.” Est-ce acceptable ? (Non.) Il est acceptable que Dieu te parle de cette façon, mais il n’est pas acceptable que tu parles à Dieu de cette façon. Tu es mal placé et tu es trop insensé. Quelles que soient les difficultés rencontrées par un être créé, il est parfaitement naturel et justifié que tu doives te soumettre aux arrangements et aux orchestrations du Créateur. Par exemple, tes parents t’ont engendré, t’ont élevé et tu les appelles mère et père, c’est parfaitement naturel et justifié et c’est ainsi que cela doit être : il n’y a pas d’explication. Ainsi, Dieu orchestre toutes ces choses pour toi, et que tu jouisses de bénédictions ou que tu souffres de difficultés, c’est également parfaitement naturel et justifié, et tu n’as pas le choix en la matière. Si tu peux te soumettre jusqu’à la toute fin, alors tu atteindras le salut comme Pierre l’a fait. Cependant, si tu blâmes Dieu, que tu abandonnes Dieu et que tu trahis Dieu à cause d’une maladie temporaire, alors tous les abandons, toutes les dépenses, l’accomplissement de ton devoir et le prix que tu as payé auparavant auront été pour rien. En effet, tous tes durs labeurs passés n’auront posé aucune base pour que tu puisses bien accomplir le devoir d’un être créé ou prendre la place qui te revient en tant qu’être créé, et cela n’aura rien changé chez toi. Cela t’amènera alors à trahir Dieu à cause de ta maladie et ta fin sera comme celle de Paul, tu seras finalement puni. La raison de cette détermination est que tout ce que tu as fait auparavant, c’était pour obtenir une couronne et pour recevoir des bénédictions. Si, lorsque tu fais finalement face à la maladie et à la mort, tu es toujours capable de te soumettre sans aucune plainte, cela prouve que tout ce que tu as fait auparavant, tu l’as fait sincèrement et volontairement pour Dieu. Tu te soumets à Dieu et, en fin de compte, ta soumission marquera la fin parfaite de ta vie de foi en Dieu et Dieu te félicitera. Par conséquent, une maladie peut t’amener à une bonne fin, ou bien à une mauvaise fin : le genre de fin qui t’attend dépend du chemin que tu suis et de ton attitude vis-à-vis de Dieu » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (3)). Dieu parle avec beaucoup de clarté sur la façon dont les gens devraient pratiquer et sur le genre de chemin qu’ils devraient choisir lorsqu’ils sont confrontés à la maladie. Si quelqu’un tombe malade, il peut recevoir un traitement, et Dieu ne souhaite pas voir les gens vivre dans la maladie tout en se sentant tristes, anxieux, et inquiets à cause de leur état de santé. Et Il veut encore moins voir les gens ne pas poursuivre la vérité du tout comme Paul, manquant de la raison qu’un être créé doit avoir et utilisant leurs années de renoncement et de dépense comme un capital pour faire des transactions avec Dieu lorsqu’ils faisaient face aux épreuves ou à l’adversité, exigeant de Lui une couronne de justice et Le contrariant et vociférant contre Lui tout ça pour qu’à terme, ils soient punis pour Lui avoir résisté. Ce que Dieu espère, c’est que nous soyons capables d’être comme Job lorsque nous sommes confrontés à la maladie, que nous restions à notre place en tant qu’êtres créés, que nous acceptions la souveraineté et les arrangements de Dieu et que nous nous y soumettions, sans nos propres choix et exigences. C’est uniquement comme ça que quelqu’un peut avoir une raison et une humanité. En réfléchissant sur moi-même, durant les épreuves de cette maladie, j’avais été négative, pleine d’incompréhensions et de plaintes, m’étais même opposée à Dieu et avais contrarié Sa souveraineté et Ses orchestrations. J’étais vraiment tellement intransigeante et rebelle, et je n’avais pas la moindre raison qu’un être créé devrait posséder. Je me suis présentée devant Dieu et je L’ai prié : « Ô mon Dieu, dans le passé, je n’ai pas poursuivi la vérité. J’ai toujours essayé de faire des transactions avec Toi pour gagner des bénédictions. À présent, je suis parvenue à comprendre Ton intention sincère. Tu as utilisé ma maladie pour me purifier et me changer, pour inverser mes points de vue erronés sur la poursuite. Je suis disposée à me soumettre à Ta souveraineté et à Tes arrangements. Même si je n’ai pas l’humanité de Job, je suis disposée à suivre son exemple et à rester ferme dans mon témoignage pour Toi. Si je continue à me plaindre auprès de Toi, je Te demande de me maudire. » Par la suite, j’ai réussi à considérer correctement ma maladie. Je prenais des médicaments quand j’étais censée le faire, et je n’étais pas aussi contrainte par mon état de santé et pouvais faire mon devoir normalement.
Plus tard, je suis allée à l’hôpital pour une autre visite de contrôle, et le médecin a dit que le diagnostic précédent de cirrhose avait été un peu prématuré et que les nodules dans mon foie ne s’étaient pas beaucoup développés. Le médecin m’a demandé de revenir pour des visites de contrôle régulières pour qu’ils puissent continuer à observer le développement des nodules. Cependant, vu que j’avais un casier judiciaire pour croyance en Dieu et que je ne pouvais pas montrer ma carte d’identité, je n’ai pas pu me rendre à l’hôpital pour mes examens pendant plus de trois ans. Au début de l’année, une sœur qui travaillait à l’hôpital m’a aidée à faire quelques analyses de laboratoire. Quand les résultats des analyses sont arrivés, le médecin a dit que ma fonction hépatique ainsi que les différents taux étaient normaux. En entendant cela, j’étais vraiment reconnaissante envers Dieu.
En faisant l’expérience des révélations de cette maladie, même si j’ai beaucoup souffert, j’ai gagné une certaine compréhension de mes motivations à gagner des bénédictions dans ma foi en Dieu ainsi que de mon tempérament satanique de méchanceté. À travers l’expérience du jugement et du châtiment des paroles de Dieu, mes point de vue erronés dans ma foi en Dieu se sont quelque peu transformés. À présent, même si ma maladie n’est pas complètement guérie, je suis capable de montrer une certaine raison et je suis disposée à me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Si j’ai été capable de changer de cette modeste manière, c’est entièrement grâce au jugement et au châtiment des paroles de Dieu. Dieu soit loué !
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