Libérée de ma lutte pour être en tête
Par Xinliang, Allemagne Quand j’ai commencé à servir à la tête de l’équipe d’abreuvement, les frères et sœurs chargés de ce devoir me...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
J’étais auparavant responsable du travail d’abreuvement dans notre Église. Un jour, notre dirigeant est venu me voir et m’a dit qu’il envisageait de me confier la responsabilité du travail de production de films. J’ai été stupéfaite : j’avais été responsable du travail de production de films un an auparavant, mais mon empressement à rechercher un succès rapide avait causé des obstacles, et j’avais finalement été relevée de mes fonctions. Si l’on me confiait maintenant ce travail, serais-je vraiment capable de le gérer ? Être responsable du travail de production de films demandait bien plus que d’être simplement capable d’accomplir ce travail : cela nécessitait une connaissance approfondie de nombreux aspects connexes. Mon expertise avait de trop nombreuses lacunes ; mes capacités et mon calibre étaient moyens. Si je me lançais dans ce travail et que je n’obtenais pas de résultats, que ferais-je ? Je savais que je ne pouvais pas accepter ce devoir. J’ai expliqué au dirigeant comment et pourquoi j’avais été relevée de cette fonction par le passé, et j’ai souligné que mon calibre et mes capacités de travail n’étaient pas très bons. J’ai laissé entendre que je ne voulais pas accepter ce devoir. Je pensais qu’en entendant cela, il choisirait quelqu’un d’autre pour ce poste. Mais le dirigeant a fait quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas : il a échangé avec moi, me demandant de passer en revue les leçons que j’avais tirées de mon précédent échec, et m’a dit de bien faire ce devoir en m’appuyant sur Dieu. J’étais tiraillée. Je savais que j’avais la permission de Dieu pour assumer ce devoir ; que je devais l’accepter et m’y soumettre. Mais j’avais peur, en l’acceptant et en ne faisant pas du bon travail, d’être révélée et relevée de mes fonctions. Après réflexion, j’ai décidé de me faire violence et d’accepter ce devoir. Mais l’idée d’être responsable du travail de production de films me faisait peur. La sœur qui avait été responsable avant moi n’était pas moins compétente ni d’un calibre inférieur au mien ; si elle n’avait pas pu bien le faire, comment le pourrais-je ? Je pensais au travail d’abreuvement que j’accomplissais à ce moment-là : il n’était pas trop difficile, et les résultats que j’obtenais n’étaient pas trop mauvais. Il aurait été bien moins risqué de continuer ce devoir. Faire le travail de production de films était très différent : c’était vraiment difficile pour moi, et j’avais déjà commis certaines transgressions lorsque je l’avais fait auparavant. Si je ne réussissais pas cette fois-ci et causais des interruptions ou des perturbations, je craignais d’être éliminée. J’étais prise entre deux feux. Plus j’y pensais, plus je me sentais oppressée. Bien que j’aie accepté, je continuais à retarder les choses sous prétexte que le travail d’abreuvement n’avait pas encore été confié à quelqu’un d’autre. Je savais que cet état n’était pas juste, alors j’ai prié Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me comprenne mieux, et de m’aider à corriger mon état.
Après avoir prié, j’ai lu certaines des paroles de Dieu : « Quand Noé a fait ce que Dieu avait ordonné, il ne savait pas quelles étaient Ses intentions. Il ne savait pas ce qu’Il voulait accomplir. Dieu lui avait seulement donné un ordre et l’avait chargé de faire quelque chose, sans lui fournir beaucoup d’explications, mais Noé l’a simplement fait. Il n’a pas essayé de cerner les désirs de Dieu en secret, ne Lui a pas résisté et n’a pas fait preuve d’un manque de sincérité. Il l’a tout simplement fait avec un cœur pur et simple. Quel que soit ce que Dieu lui faisait faire, il le faisait. La conviction avec laquelle il agissait était fondée sur la soumission et l’écoute de la parole de Dieu. C’est ainsi qu’il s’est occupé de ce que Dieu lui avait confié, franchement et simplement. Son essence – l’essence de ses actions – était la soumission et non la remise en question, la résistance et encore moins la considération de ses intérêts personnels ou de ses pertes et profits. En outre, quand Dieu a dit qu’Il détruirait le monde par un déluge, Noé n’a pas demandé quand ni ce qu’il adviendrait des choses et il ne Lui a certainement pas demandé comment Il détruirait le monde. Il a tout simplement fait comme Dieu le lui avait indiqué. Noé faisait exactement ce que Dieu demandait, avec les matériaux qu’Il voulait et sans tarder. Il a agi conformément aux instructions de Dieu avec une attitude désirant satisfaire Dieu. […] Il s’est tout simplement soumis, a écouté et a agi en conséquence » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même I). J’ai été touchée par l’attitude de Noé face à la commission de Dieu. Lorsque Noé a reçu cette commission de la part de Dieu, il ne connaissait pas Ses intentions. Mais il n’a ni douté, ni rejeté, ni spéculé sur la demande de Dieu, et il n’a pas trouvé d’excuses pour ne pas l’accomplir. Il a simplement fait preuve d’obéissance et de soumission, et il a agi conformément aux instructions de Dieu. Il ne s’est pas arrêté pour réfléchir à ses gains ou pertes personnels, mais il a fait de son mieux pour satisfaire la demande de Dieu et a accompli Sa commission. Quand j’ai pensé à ma propre attitude face à mon devoir, j’ai ressenti une profonde honte. Lorsque le dirigeant m’avait parlé de ses plans pour me confier le travail de production de films, j’avais commencé à spéculer et à être méfiante dans mon cœur. Je m’étais dit que le travail de production de films était trop difficile, et que la moindre négligence pourrait entraîner ma révélation, alors j’avais voulu esquiver mon devoir. Lorsque j’avais accompli ce devoir par le passé, je ne l’avais pas bien fait – c’était d’autant plus une raison de l’accepter cette fois-ci avec un cœur reconnaissant, de me montrer attentive aux intentions de Dieu en l’accomplissant, et de compenser mes dettes passées. Mais je n’avais pensé qu’à mes propres intérêts. J’avais soupçonné Dieu et m’étais méfiée de Lui, ressentant que, par ce devoir, Dieu voulait m’enlever mes perspectives d’avenir et mon destin. Je voyais que je manquais totalement de conscience et de raison. Quand tout allait bien et que je n’avais pas de problèmes dans ma vie, je clamais ma volonté de me soumettre à Dieu et de Le satisfaire. Mais dès qu’Il me demandait d’assumer des responsabilités, je commençais à ne penser qu’à moi-même et je ne montrais pas la moindre soumission. Plus j’y réfléchissais, plus j’avais honte, et j’ai décidé de ne plus fuir mon devoir. Cependant, mon cœur restait encore chargé de préoccupations qui n’étaient pas totalement dissipées, alors j’ai continué à prier Dieu, cherchant des réponses qui pourraient m’aider à résoudre ce problème.
Un jour, pendant les dévotions, je suis tombée sur un passage des paroles de Dieu qui m’a fait acquérir une compréhension de mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Certains ont peur de prendre leurs responsabilités dans l’accomplissement de leur devoir. Si l’Église leur donne un travail à faire, ils se demanderont d’abord si ce travail les oblige à prendre des responsabilités. Et si c’est le cas, ils n’accepteront pas ce travail. Leurs conditions pour accomplir un devoir sont, premièrement, qu’il s’agisse d’un travail peu exigeant, deuxièmement, qu’il ne soit ni prenant, ni fatigant et troisièmement, que quoi qu’ils fassent, ils ne prennent aucune responsabilité. Voilà le seul genre de devoir qu’ils assument. De quel genre de personne s’agit-il là ? Ne s’agit-il pas d’une personne fuyante et malhonnête, qui ne veut pas assumer la moindre responsabilité. Elle craint même que les feuilles lui fendent le crâne en tombant des arbres. Quel devoir une telle personne peut-elle accomplir ? À quoi pourrait-elle servir dans la maison de Dieu ? Le travail de la maison de Dieu a à voir avec un travail de lutte contre Satan, ainsi qu’avec la propagation de l’Évangile du Règne. Quel devoir n’implique pas de responsabilités ? Ne diriez-vous pas qu’être dirigeant implique des responsabilités ? Les responsabilités d’un dirigeant n’en sont-elles pas d’autant plus grandes et ne doit-il pas prendre d’autant plus la responsabilité du travail ? Peu importe que tu prêches l’Évangile, que tu témoignes, que tu réalises des vidéos, et autres, quel que soit le travail que tu fais, du moment qu’il se rapporte aux vérités-principes, il implique des responsabilités. Si l’accomplissement de ton devoir est sans principes, cela affectera le travail de la maison de Dieu, et si tu as peur d’en prendre la responsabilité, alors tu ne pourras accomplir aucun devoir. Quelqu’un qui a peur de prendre des responsabilités dans l’accomplissement de son devoir est-il lâche, ou a-t-il un problème de tempérament ? Vous devez être capables de faire la différence. Le fait est que ce n’est pas une question de lâcheté : si cette personne recherchait la richesse ou à faire des choses dans son propre intérêt, comment pourrait-elle être aussi courageuse ? Elle prendrait tous les risques. Mais quand elle fait des choses pour l’Église, pour la maison de Dieu, elle ne prend absolument aucun risque. De telles personnes sont égoïstes et ignobles, les plus traîtres qui existent. Quiconque ne prend pas ses responsabilités dans l’accomplissement d’un devoir n’est pas sincère envers Dieu le moins du monde, sans parler de loyauté. Quel genre de personne ose prendre ses responsabilités ? Quel genre de personne a le courage de porter une lourde charge ? Quelqu’un qui prend des initiatives et qui va courageusement de l’avant au moment le plus décisif dans le travail de la maison de Dieu, qui ne craint pas d’endosser de lourdes responsabilités et d’endurer de grandes épreuves quand il voit le travail qui est le plus important et crucial. Voilà une personne loyale envers Dieu, un bon soldat de Christ. Est-ce que les gens craignent de prendre leurs responsabilités dans leurs devoirs parce qu’ils ne comprennent pas la vérité ? Non. C’est parce que leur humanité pose problème. Ils n’ont pas le sens de la justice ou des responsabilités, ils sont égoïstes et ignobles, ce ne sont pas de vrais croyants en Dieu et ils n’acceptent pas la vérité le moins du monde. Pour cette raison, ils ne peuvent être sauvés » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 8 : Ils voudraient que les autres ne se soumettent qu’à eux, et non à la vérité ou à Dieu (Partie I)). Mon cœur a été profondément touché par les paroles de Dieu. Auparavant, je ne pensais pas que mon refus d’assumer des responsabilités était un problème grave. Mais à présent, grâce à l’exposition des paroles de Dieu, j’ai compris que les personnes qui ont peur d’assumer des responsabilités sont les plus égoïstes et les plus sournoises. Ces personnes n’ont aucune sincérité envers Dieu, et si elles vivent trop longtemps dans cet état sans changer, elles finiront par être méprisées par Dieu. En regardant ma propre attitude à la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu que j’étais exactement ce genre de personne : égoïste, méprisable, fuyante et fourbe. Je savais très bien que la personne responsable du travail de production de films venait d’être transférée, et qu’il y avait un besoin urgent qu’une autre personne intervienne et prenne le relais. Je connaissais ce travail et les membres de l’équipe, et j’étais la candidate la plus appropriée pour ce rôle à ce moment précis. Or, à cause de mon désir de me protéger, je ne voulais pas accepter ce devoir. J’avais suggéré que mon calibre était médiocre et que mes capacités de travail étaient insuffisantes, mais en réalité, je cherchais simplement à fuir mon devoir. Dans ce moment crucial, j’agissais comme une déserteuse et je ne protégeais pas du tout le travail de l’Église. J’étais égoïste et méprisable, je n’avais aucune humanité. Quand une personne dotée d’une humanité vraiment bonne voit la situation difficile elle se mobilise activement et se précipite pour contribuer à maintenir ce travail. Elle ne pense pas à ses propres gains et pertes personnels. Même si elle rencontre ses propres difficultés ou insuffisances, elle ne se dérobe pas à son devoir. Elle s’appuie sur Dieu pour apprendre ce qu’il faut faire, pratique à travers l’expérience et s’efforce de s’améliorer. Il n’y a que ce type de personne qui possède à la fois conscience et raison. Quand j’ai pensé à tout cela, j’ai ressenti de la tristesse et des remords. J’ai réfléchi et je me suis demandé : Qu’est-ce qui m’empêche d’accepter ce devoir ?
Plus tard, j’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Quand leurs devoirs sont ajustés, si la décision a été prise par l’Église, les gens devraient l’accepter et y obéir, ils doivent réfléchir sur eux-mêmes et comprendre l’essence du problème et leurs propres défauts. C’est très bénéfique aux gens, et c’est quelque chose qui devrait être mis en pratique. Les gens ordinaires peuvent comprendre quelque chose d’aussi simple et traiter cela correctement, sans rencontrer de trop nombreuses difficultés ou les moindres obstacles insurmontables. […] Lorsqu’un simple ajustement est apporté à leur devoir, les gens doivent réagir en adoptant une attitude d’obéissance, en faisant ce que la maison de Dieu leur dit de faire, en faisant ce dont ils sont capables, et, quoi qu’ils fassent, en le faisant aussi bien que possible, de tout leur cœur et de toutes leurs forces. Ce que Dieu a fait n’est pas une erreur. Une vérité aussi simple peut être pratiquée par ceux qui ont un peu de conscience et de raison, mais ceci dépasse les capacités des antéchrists. Quand il est question d’ajustements des devoirs, les antéchrists avanceront immédiatement des arguments, des sophismes, et ils auront une attitude de défi, mais au fond d’eux, ils refusent de l’accepter. Qu’y a-t-il au juste dans leur cœur ? Suspicion et doute. Ils sondent alors les autres, en se servant de toutes sortes de méthodes. Ils tâtent le terrain par leurs paroles et leurs actes, et ils contraignent et incitent les gens à dire la vérité et à parler honnêtement, par le biais de moyens peu scrupuleux. […] Pourquoi rendent-ils aussi compliqué quelque chose de simple ? Pour une seule raison : les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu et ils font toujours un lien étroit entre, d’une part, leur devoir, leur renommée, le gain et leur statut et, d’autre part, leur espoir de gagner des bénédictions et leur future destination, comme si, dans le cas où ils perdraient leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir de gagner des bénédictions et des récompenses, et pour eux, ce serait comme s’ils perdaient la vie. […] Et donc, ils se méfient des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, craignant que quelqu’un les discerne ou voie dans leur jeu, craignant d’être ensuite renvoyés et de voir leur rêve de bénédictions gâché. Ils se disent qu’ils doivent préserver leur réputation et leur statut, pour qu’ils aient l’espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus vaste que les cieux, plus vaste que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées ni remarquées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il relie tout au fait d’être béni, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). Les paroles de Dieu exposent que les antéchrists sont particulièrement malveillants et fourbes. Ils prennent une affaire simple et directe et la rendent inutilement compliquée. Un antéchrist traiterait une réaffectation de devoir comme une question liée à ses bénédictions et à sa destination. Les antéchrists accomplissent leur devoir uniquement dans le but d’obtenir des bénédictions, considérant celles-ci comme plus importantes que tout le reste. Ils passent leur temps à planifier leur issue et leur destination, ne montrant aucune considération pour les intentions de Dieu ni pour le travail de l’Église. Ce que j’avais révélé à travers mon propre comportement était un tempérament d’antéchrist. Face à un changement normal dans mon devoir, j’avais réfléchi encore et encore : pourquoi le travail d’abreuvement que je faisais actuellement rencontrait si peu de difficultés, pourquoi le travail se déroulait si bien, pourquoi je commettais si peu d’erreurs, et pourquoi il y avait si peu de chances que je sois exposée. Accomplir ce devoir était plus sûr, et il me garantissait des bénédictions. En revanche, le travail de production de films était bien plus exigeant et nécessitait une solide maîtrise de plusieurs compétences professionnelles et principes. Si je ne le faisais pas bien, je serais révélée et remplacée. D’ailleurs, j’avais déjà échoué dans ce domaine auparavant. J’avais peur que si je causais des problèmes cette fois-ci et que j’étais éliminée, je n’aie plus aucun espoir de recevoir des bénédictions. J’ai vu que j’accomplissais mon devoir à condition de recevoir des bénédictions pour moi-même ; j’étais prête à le faire lorsque cela m’était bénéfique, mais je résistais et refusais de l’accepter lorsque ce n’était pas le cas. Je me ménageais une porte de sortie, me protégeant soigneusement, essayant d’utiliser mon devoir pour atteindre mon objectif de recevoir des bénédictions. J’agissais avec tant de fourberie et de malveillance ! J’ai réfléchi aux paroles de Dieu : « Pour un être créé, être capable de mener à bien le devoir d’un être créé, être capable de satisfaire le Créateur, est la chose la plus belle au sein de l’humanité, et c’est quelque chose qui devrait être répandu comme une histoire destinée à être louée par tout le monde. Tout ce que le Créateur confie aux êtres créés doit être accepté par eux sans condition. Pour l’humanité, c’est une question à la fois de bonheur et de privilège, et pour tous ceux qui mènent à bien le devoir d’un être créé, rien n’est plus beau ni digne de commémoration : c’est quelque chose de positif. […] Une chose aussi belle et aussi grande est déformée par l’engeance des antéchrists et transformée en une transaction, dans laquelle ils sollicitent des couronnes et des récompenses de la main de Dieu. Une telle transaction fait de quelque chose de très beau et juste quelque chose de très laid et malveillant. N’est-ce pas ce que font les antéchrists ? À en juger par cela, les antéchrists ne sont-ils pas malveillants ? En effet, ils sont très maléfiques ! » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VII)). Pour les êtres créés, il n’y a rien de plus beau ni de plus juste que d’accomplir ses devoirs. Mais les antéchrists transforment cette belle chose en marché : Ils croient en Dieu sans sincérité et accomplissent leurs devoirs pour obtenir des bénédictions. Leur essence est celle d’un incrédule. J’ai pensé à tout le temps où j’avais cru en Dieu, aux quantités des paroles de Dieu dont je m’étais nourrie et abreuvée et pourtant, ma vision de la poursuite n’avait pas du tout changé. Mon attitude envers mon devoir était celle d’un antéchrist. Si je ne changeais pas, je finirais par être méprisée par Dieu.
J’ai continué à réfléchir à cela pour mieux me comprendre, et j’ai trouvé un passage des paroles de Dieu : « Les antéchrists ne croient pas que les paroles de Dieu soient la vérité, et ils ne croient pas que Son tempérament soit juste et saint. Ils considèrent tout cela à travers des notions humaines et de l’imagination humaine, et ils abordent l’œuvre de Dieu avec des perspectives humaines, des pensées humaines et une ruse humaine, employant la logique et la pensée de Satan pour définir le tempérament, l’identité et l’essence de Dieu. De toute évidence, non seulement les antéchrists n’acceptent pas ni ne reconnaissent le tempérament, l’identité et l’essence de Dieu, mais ils sont au contraire pleins de notions, d’opposition et de rébellion à l’encontre de Dieu et n’ont pas de Lui la moindre connaissance véritable. La définition que donnent les antéchrists de l’œuvre de Dieu, du tempérament de Dieu et de l’amour de Dieu est un point d’interrogation : c’est du doute, et ils sont pleins de scepticisme, de déni et de calomnie à Son égard. Qu’en est-il alors de Son identité ? Le tempérament de Dieu représente Son identité. Avec une vision du tempérament de Dieu comme la leur, leur vision de l’identité de Dieu va de soi : le déni direct. Telle est l’essence des antéchrists » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie VI)). Dieu expose que les antéchrists ne croient pas en la justice de Dieu. Ils ne croient pas que la maison de Dieu est dirigée par la vérité, et ils refusent même d’admettre que la parole de Dieu est la vérité. Les antéchrists jugent toujours les actions de Dieu en fonction de leurs propres notions et de leur imagination. Ils sont remplis de doutes et de dénis envers la justice de Dieu, et ils ne croient pas que Dieu est juste et équitable ; cela constitue une calomnie et un blasphème contre Dieu. Lorsque j’ai fini de lire ces paroles de Dieu, j’ai ressenti de la crainte. Je me suis rappelé combien mon comportement ressemblait à celui d’un antéchrist : je ne basais pas ma vision des choses sur la parole de Dieu, et je ne croyais pas en Sa justice. À la place, je croyais à tort que plus les responsabilités que j’assumais étaient grandes, et le travail difficile, plus vite je serais révélée. Je pensais que dès que je ne ferais pas bien mon travail ou que des écarts surviendraient, je serais relevée de mes fonctions et éliminée. Ainsi, je cherchais toujours à fuir ces responsabilités. Je ne voulais pas que mon travail soit difficile ou important, pensant que, de cette façon, je ne serais pas révélée si rapidement. Désormais, grâce aux paroles de Dieu, je comprenais que Dieu est juste, et que l’Église réaffecte les devoirs des gens selon des principes. L’Église ne se contente pas de relever volontairement quelqu’un de ses fonctions à cause d’erreurs ou de transgressions temporaires ; elle examine la performance constante des gens et prend une décision globale. Si une personne a une bonne humanité et poursuit la vérité, alors, même si des écarts apparaissent dans son travail ou qu’elle échoue temporairement à obtenir de bons résultats, l’Église l’aidera et la soutiendra. De même, si quelqu’un ne peut pas faire un travail concret parce qu’il manque de calibre, l’Église évaluera sa situation et lui attribuera un devoir approprié. Et si une personne échoue constamment à accomplir un travail concret, ou perturbe et interrompt le travail de l’Église, et qu’elle persiste à ne pas se repentir malgré une aide et des échanges répétés, alors, au bout du compte, elle sera relevée de ses fonctions. Je me suis rappelé la dernière fois que j’avais été responsable du travail de production de films, et comment mon désir de succès rapide avait causé des obstacles. À l’époque, d’autres avaient échangé avec moi et essayé de m’aider, mais je n’avais pas changé ma façon de faire, et, au final, j’avais été relevée de mes fonctions. Cependant, l’Église m’avait tout de même donné une autre chance de me repentir, en me permettant de continuer à accomplir un devoir. J’ai également vu comment certains frères et sœurs autour de moi rencontraient souvent des problèmes et des difficultés dans leur travail, tout en étant simples, honnêtes et en poursuivant la vérité. Même s’ils rencontraient des problèmes et faisaient des erreurs, ils parvenaient progressivement à saisir les principes et à mieux accomplir leurs devoirs, grâce à une réflexion un examen constants. Grâce à cela, j’ai pu voir que Dieu est juste, et que la maison de Dieu est dirigée par la vérité. Ceux qui poursuivent la vérité et fournissent des efforts sincères peuvent parfois commettre des transgressions. Mais tant qu’ils sont prêts à se repentir, la maison de Dieu leur donnera autant de chances que possible. Et, s’ils sont capables de changer, alors la maison de Dieu continuera à les promouvoir et à les former. Mais ceux qui n’acceptent pas la vérité, détestent la vérité et commettent toutes sortes de méchancetés sans se repentir – ces personnes seront exclues de la maison de Dieu. L’Église m’a confié le travail de production de films, et ce faisant, elle m’a donné l’occasion de pratiquer et de corriger mes lacunes. Non seulement je n’en avais pas été pas reconnaissante, mais en plus j’avais mal compris cette décision et je m’en étais méfiée, pensant que la maison de Dieu était tout aussi injuste et inéquitable que la société. N’était-ce pas une forme de blasphème contre Dieu ? Quand j’ai pris conscience de cela, j’ai commencé à pleurer. Je me détestais pour ma rébellion, et pour mon manque de conscience et de raison ! J’ai ressenti des remords et de la culpabilité, et je suis venue devant Dieu pour prier et me repentir. À l’avenir, je ne voudrai plus jamais mal comprendre Dieu ni me méfier de Lui.
Ensuite, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il reçoive des bénédictions ou souffre d’infortunes. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ce devoir ne devrait pas dépendre de récompenses, de conditions ou de raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Recevoir des bénédictions fait référence au fait d’être perfectionné et de jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Souffrir d’infortunes fait référence au fait de conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils reçoivent des bénédictions ou souffrent d’infortunes, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour recevoir des bénédictions, et tu ne devrais pas refuser d’agir par peur de souffrir d’infortunes. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : ce que l’homme doit faire, c’est accomplir son devoir, et s’il en est incapable, c’est sa rébellion » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). « Quelles sont les manifestations d’une personne honnête ? Premièrement, c’est de ne pas douter des paroles de Dieu. C’est l’une des manifestations d’une personne honnête. En dehors de cela, la manifestation la plus importante, c’est de chercher et de pratiquer la vérité en toutes choses ; c’est ce qu’il y a de plus crucial. Tu prétends être honnête, mais tu relègues tout le temps les paroles de Dieu dans un coin de ton esprit et tu fais tout ce que tu veux. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Tu dis : “Bien que mon calibre soit faible, j’ai un cœur honnête.” Et cependant, lorsqu’un devoir t’incombe, tu as peur de souffrir et de devoir en assumer la responsabilité si tu ne l’accomplis pas bien, donc tu présentes des excuses pour t’exonérer de ton devoir et tu suggères que quelqu’un d’autre le fasse. Est-ce la manifestation d’une personne honnête ? Clairement, non. Alors, comment doit se comporter une personne honnête ? Elle doit se soumettre aux arrangements de Dieu, être loyale envers le devoir qu’elle est censée accomplir et s’efforcer de satisfaire les intentions de Dieu. Cela se manifeste de plusieurs manières. D’une part, tu dois accepter ton devoir avec un cœur honnête, ne pas considérer tes intérêts charnels, ne pas être hésitant et ne pas manigancer pour ton propre profit. Ce sont les manifestations de l’honnêteté. Une autre manifestation consiste à accomplir ton devoir correctement, de tout ton cœur et de toutes tes forces, de bien faire les choses, de mettre ton cœur et ton amour dans l’accomplissement de ton devoir afin de satisfaire Dieu. Telles sont les manifestations qu’une personne honnête doit présenter en accomplissant son devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Les paroles de Dieu m’ont donné un chemin de pratique. Un devoir est une vocation confiée par le ciel, une responsabilité que chacun doit accomplir. Cela n’a rien à voir avec le fait de recevoir des bénédictions ou de rencontrer des déboires. Que ce devoir soit avantageux ou non pour moi personnellement, je devais l’accepter avec un cœur honnête et m’y consacrer du mieux possible, sans planifier ni manigancer pour mon propre intérêt. Peu importe les difficultés que je pouvais rencontrer dans mon devoir, tant que je m’appuyais sincèrement sur Dieu, Il me guiderait. J’étais prête à m’efforcer de le faire avec un cœur ouvert. Si mon calibre était vraime,t trop faible, ou si mes capacités ne suffisaient pas et que je n’étais pas à la hauteur, j’étais prête à accepter une réaffectation par l’Église.
Après cela, j’ai commencé à prendre en charge le travail de production de films. Au cours de ce travail, j’ai parfois rencontré des difficultés ou des échecs, mais je n’en étais plus pleine d’appréhension comme avant. Grâce à une collaboration de cœur et d’esprit avec mes frères et sœurs, et en recherchant ensemble les vérités-principes, nous avons pu progressivement surmonter ces difficultés. J’ai appris de mes échecs, et en peu de temps, le travail s’est amélioré. En voyant tout cela, j’ai été émue. Le fait d’avoir pu vivre un tel changement était entièrement le résultat des paroles de Dieu. Dieu soit loué !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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