Par la maladie, mon mobile pour recevoir des bénédictions a été révélé
Par Zhenxin, États-Unis Dieu Tout-Puissant dit : « Dans leur croyance en Dieu, ce que les gens cherchent, c’est obtenir des bénédictions...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En 1997, j’ai commencé à croire au Seigneur Jésus parce que je n’arrivais pas à soigner mon entérite chronique, et après avoir trouvé le Seigneur, ma santé s’est beaucoup améliorée. Deux ans plus tard, j’ai accepté l’œuvre des derniers jours de Dieu Tout-Puissant, et depuis, je fais mes devoirs dans l’Église. Sans même que je m’en aperçoive, mon entérite chronique a complètement guéri. Je me suis mise à faire mes devoirs avec encore plus d’enthousiasme et je ne me suis jamais dérobée et je n’ai jamais refusé les devoirs organisés par l’Église. Que mon mari me mette des bâtons dans les roues ou que le Parti communiste tente de m’arrêter et de me persécuter, je n’ai jamais cédé, et je n’ai jamais reporté mes devoirs à plus tard.
Un jour de mai 2020, j’ai ressenti une gêne au niveau du cou, comme si on m’étranglait, alors je suis allée à l’hôpital pour un contrôle. On m’a diagnostiqué un nodule thyroïdien. Après le test, le médecin a dit : « Ce n’est pas grave. Prenez des médicaments et venez vous faire examiner tous les six mois. Tant qu’il n’y a pas d’anomalie, il n’y a pas besoin de suivre un traitement. » En entendant le médecin dire ça, je me suis dit : « Ce n’est pas une maladie grave. Du moment que je me donne du mal dans mes devoirs, Dieu me protégera. » J’ai donc pris mes médicaments et j’ai continué à faire mes devoirs, et ma maladie a semblé s’atténuer un peu. En 2023, mon état de santé s’est aggravé. Je sentais une pression sur mon cou quand je dormais, et ma respiration était difficile. Il m’est devenu difficile de parler et je ne pouvais plus le faire sans effort. Après un examen, le médecin m’a dit que ma maladie évoluait vers un cancer et qu’il fallait m’opérer. Je me suis dit : « En ce moment, je fais des devoirs de dirigeante et je suis occupée du matin au soir tous les jours. Comme je me dépense et que je fais des efforts, Dieu me protégera et ça ne deviendra pas un cancer. » Alors, je n’avais pas très peur, et je me suis fait opérer. L’opération s’est bien passée et le deuxième jour après l’opération, j’ai pu sortir du lit avec l’aide de ma famille. J’ai senti que je recevais le soin et la protection de Dieu et je Lui ai rendu grâce du fond du cœur.
Deux semaines plus tard, je suis allée à l’hôpital pour récupérer mon dossier médical. J’ai vu que les documents indiquaient une tumeur maligne, un cancer, et j’ai commencé à me sentir angoissée. Je me suis dit : « Alors, j’ai vraiment un cancer ! Même si j’ai été opérée, il pourrait revenir ou former un jour des métastases. Est-ce que ça veut dire que je suis sur le point de mourir ? Pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas protégée ? J’ai beaucoup souffert en faisant mes devoirs pendant plus de vingt ans. J’ai persévéré dans mes devoirs malgré de nombreuses situations dangereuses et difficiles, alors comment ai-je pu attraper le cancer ? Si j’avais su que j’allais avoir un cancer, je n’aurais pas renoncé à ma famille et à mon travail pour faire mes devoirs. Je pensais pouvoir obtenir le salut de Dieu et une bonne destination dans le futur, mais maintenant que j’ai une maladie en phase terminale et que je risque de mourir, cette bonne destination est hors de portée ! » Plus j’y pensais, plus je ressentais du désespoir et de la détresse. Je me sentais si pitoyable, et je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer. Au cours des jours qui ont suivi, un mot a résonné sans cesse dans mon esprit : cancer. Je me sentais si découragée. Je ne pouvais ni manger ni dormir, tous mes os me faisaient mal et mes bras étaient engourdis. Je me suis présentée devant Dieu pour prier, je Lui ai fait part de mon état, en espérant qu’Il m’aiderait à comprendre Son intention. Puis j’ai lu les paroles de Dieu qui parlent de comment faire face à la maladie. J’ai lu un passage des paroles de Dieu et j’ai un peu mieux compris Son intention. Dieu Tout-Puissant dit : « Lorsque Dieu fait en sorte que quelqu’un contracte une maladie, qu’elle soit grave ou mineure, Son but n’est pas de te faire ressentir les tenants et les aboutissants de la maladie, le mal que la maladie te fait, les souffrances et les difficultés que la maladie te cause et la profusion de sentiments qu’elle te fait ressentir. Son but n’est pas que tu ressentes la maladie en étant malade. Son but est plutôt que tu tires les leçons de la maladie, que tu apprennes à ressentir les intentions de Dieu, que tu connaisses les tempéraments corrompus que tu révèles et les mauvaises attitudes que tu adoptes envers Dieu lorsque tu es malade, et que tu apprennes comment te soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu, afin que tu puisses parvenir à une véritable soumission à Dieu et être capable de rester ferme dans ton témoignage : c’est absolument essentiel. Dieu souhaite te sauver et te purifier par la maladie. Que souhaite-t-Il purifier chez toi ? Il souhaite purifier tous tes désirs et exigences extravagants envers Lui, et même purifier les divers plans, jugements et projets que tu fais à tout prix pour survivre et vivre. Dieu ne te demande pas de faire des projets, Il ne te demande pas de juger, et Il ne te permet pas d’avoir des désirs extravagants à Son égard : Il exige seulement que tu te soumettes à Lui et que, dans ta pratique et l’expérience de soumission, tu connaisses ta propre attitude envers la maladie et que tu connaisses ton attitude vis-à-vis de ces conditions physiques qu’Il te donne, ainsi que tes propres souhaits personnels. Lorsque tu apprends à connaître ces choses, tu peux alors comprendre à quel point il est bénéfique pour toi que Dieu ait arrangé les circonstances de la maladie pour toi et qu’Il t’ait donné ces conditions physiques, et tu peux ressentir à quel point elles sont utiles pour changer ton tempérament, pour que tu atteignes le salut, et pour ton entrée dans la vie. C’est pourquoi, lorsque la maladie se présente, il ne faut pas toujours te demander comment y échapper, la fuir ou la rejeter » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (3)). Après avoir lu les paroles de Dieu, mon coeur s’est éclairé. En fait, Dieu n’était pas en train de me révéler et de m’éliminer à travers cette maladie, Il était plutôt en train de purifier mon tempérament corrompu et de me sauver. Or, je n’avais pas cherché l’intention de Dieu, et j’avais cru que cette maladie signifiait que Dieu me révélait et m’éliminait. J’avais vécu dans le désespoir, en me disputant avec Dieu et en me plaignant de Lui, jusqu’à regretter d’avoir fait des efforts et de m’être dépensée. J’ai vu que j’avais été vraiment déraisonnable ! Je comprenais alors que le fait que ma maladie revienne ou non, qu’elle se métastase ou non, et la mesure dans laquelle elle pourrait évoluer, tout cela contenait l’intention de Dieu. Je ne pouvais plus comprendre Dieu de travers. Il fallait que je cherche la vérité pour résoudre mes problèmes.
Je me suis souvenue d’un passage des paroles de Dieu sur la façon de faire face à la mort correctement, alors je l’ai trouvé et je l’ai lu. Dieu Tout-Puissant dit : « La question de la mort est de même nature que les autres questions. Ce n’est pas aux gens de choisir eux-mêmes, et cela peut encore moins être changé par la volonté de l’homme. La mort est comme tout autre événement important de la vie : elle dépend entièrement de la prédestination et de la souveraineté du Créateur. Si quelqu’un suppliait de mourir, il ne mourrait pas nécessairement, et s’il suppliait de vivre, il ne vivrait pas nécessairement. Tout cela est sous la souveraineté et la prédestination de Dieu, tout cela est changé et décidé par l’autorité de Dieu, par le tempérament juste de Dieu, et par la souveraineté et les arrangements de Dieu. Par conséquent, supposons que tu contractes une maladie grave, une maladie grave et potentiellement mortelle. Tu ne mourras pas nécessairement. Qui décide si tu vas mourir ou non ? (Dieu.) C’est Dieu qui décide. Et puisque c’est Dieu qui décide et que les gens ne peuvent pas décider d’une telle chose, pourquoi les gens sont-ils angoissés et dans le désarroi ? […] Ce que les gens devraient faire lorsqu’ils sont confrontés à la question extrêmement importante de la mort, ce n’est pas être dans le désarroi, ou s’inquiéter au sujet de la mort, ni la craindre, mais faire quoi, alors ? Les gens devraient attendre, non ? (En effet.) N’est-ce pas ? Attendre, cela signifie-t-il attendre la mort ? Attendre de mourir quand on est face à la mort ? Est-ce correct ? (Non, les gens devraient y faire face de manière positive et se soumettre.) C’est juste, cela ne signifie pas attendre la mort. Ne sois pas tétanisé face à la mort et ne consacre pas toute ton énergie à penser à la mort. Ne pense pas toute la journée : “Vais-je mourir ? Quand vais-je mourir ? Que ferai-je quand je serai mort ?” N’y pense pas, tout simplement. Certains diront : “Pourquoi ne pas y penser ? Pourquoi ne pas y penser quand je suis sur le point de mourir ?” Parce qu’on ne sait pas si tu mourras ou non, et qu’on ne sait pas si Dieu permettra que tu meures. Ces choses ne sont pas connues. Plus précisément, on ne sait pas quand tu mourras, où tu mourras, à quelle heure tu mourras, ni comment ton corps se sentira quand tu mourras. Te creuser les méninges à méditer et réfléchir à des choses que tu ne connais pas et être angoissé et inquiet à leur sujet, cela ne fait-il pas toi quelqu’un de stupide ? Puisque cela fait de toi quelqu’un de stupide, tu ne devrais pas te creuser les méninges à propos de ces choses-là » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (4)). Après avoir lu les paroles de Dieu, mon cœur s’est éclairé encore plus. Chacun de nous connaîtra la mort, les maladies que nous contractons et le moment de notre mort, tout ça est prédestiné par Dieu. La vie et la mort d’une personne ne sont pas influencées par des facteurs externes, mais dépendent plutôt uniquement de la souveraineté et de la prédestination de Dieu. Dieu a prédéterminé la durée de vie de chaque personne, et cela n’a rien à voir avec la condition physique ou avec le fait d’avoir ou non une maladie grave. J’ai songé à ma mère, qui a toujours été en bonne santé mais a fini par être hémiplégique et elle est décédée après quelques années. À l’inverse, une de mes voisines, dont j’ai entendu dire qu’elle était en mauvaise santé depuis l’âge de quarante ans, qu’elle était souvent malade, incapable de travailler dans les champs, et qu’elle pouvait seulement cuisiner et faire le ménage, a aujourd’hui plus de quatre-vingt-dix ans. Cela montre que la santé et la durée de vie d’une personne sont prédestinées par Dieu, et que même avec une maladie grave, si son heure n’est pas venue selon la prédestination de Dieu, elle ne mourra pas. En songeant à ça, j’ai pu affronter calmement ma propre maladie.
J’ai ensuite lu d’autres paroles de Dieu : « Dis-Moi, qui, parmi les milliards de gens à travers le monde, a cette chance d’entendre autant de paroles de Dieu, de comprendre autant de vérités de la vie et de comprendre autant de mystères ? Qui, parmi ces gens, peut recevoir personnellement la direction de Dieu, Sa provision, Ses soins et Sa protection ? Qui est béni à ce point ? Très peu de gens. Par conséquent, que le petit nombre que vous êtes puisse vivre dans la maison de Dieu aujourd’hui, recevoir Son salut et Sa provision, cela en vaut la peine, même si vous deviez mourir tout de suite. Vous êtes vraiment bénis, n’est-ce pas ? (Oui.) En examinant les choses sous cet angle, les gens ne devraient pas être terrorisés par la question de la mort, ni être contraints par elle. Même si vous n’avez pas profité de la gloire et de la richesse du monde, vous avez reçu la pitié du Créateur et entendu tant de paroles de Dieu, n’est-ce pas merveilleux ? (Si.) Quel que soit le nombre d’années que tu vis dans cette vie, cela en vaut la peine, et tu n’as aucun regret, car tu as constamment accompli ton devoir dans l’œuvre de Dieu, tu as compris la vérité, tu as compris les mystères de la vie et tu as compris le chemin et les objectifs que tu dois poursuivre dans la vie. Tu as tellement gagné ! Tu as vécu une vie qui en vaut la peine ! » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, Comment poursuivre la vérité (4)). Que quelqu’un d’aussi insignifiant que moi puisse accepter l’œuvre de Dieu dans les derniers jours relève de l’exaltation de Dieu. En croyant en Dieu pendant plus de vingt ans, j’avais énormément profité de l’abreuvement et des provisions des paroles de Dieu, de Son soin et de Sa protection, pourtant, quand j’étais tombée malade, je n’avais pas compris et je m’étais plainte, je m’étais disputée avec Dieu et je Lui avais résisté. Je manquais totalement de témoignage et j’étais devenue un objet de honte. Je souffrais beaucoup, en me disant que même après avoir cru en Dieu pendant toutes ces années, je n’étais toujours pas entrée dans une grande partie de la vérité-réalité, et que si je mourais, je ne laisserais que des regrets derrière moi. Comme j’étais encore en vie, j’ai senti que je devais poursuivre sincèrement la vérité, et quelle que soit la durée de ma vie, je devais chérir chaque jour que j’avais, et mener à bien le devoir d’un être créé, afin de n’avoir aucun regret.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai été profondément émue. Dieu Tout-Puissant dit : « Beaucoup de ceux qui suivent Dieu ne s’intéressent qu’à la façon d’obtenir des bénédictions ou d’éviter un désastre. […] De telles personnes n’ont qu’un but très simple en suivant Dieu, et ce but est d’obtenir des bénédictions. De telles personnes ne se donnent pas la peine de prêter attention à tout ce qui ne se rapporte pas directement à cet objectif. Pour eux, il n’y a pas de but plus légitime que de croire en Dieu pour recevoir des bénédictions ; c’est la valeur même de leur foi. Ils restent complètement indifférents à tout ce qui ne peut pas atteindre cet objectif. C’est le cas de la plupart des gens qui croient en Dieu aujourd’hui. Leur objectif et leur intention semblent légitimes, car en même temps qu’ils croient en Dieu, ils se dépensent aussi pour Dieu, se consacrent à Dieu et accomplissent leur devoir. Ils abandonnent leur jeunesse, abandonnent famille et carrière, et passent même des années à s’affairer loin de chez eux. Par souci de leur but ultime, ils changent leurs propres intérêts, leur vision de la vie et même la direction de leur poursuite ; pourtant ils ne peuvent pas changer le but de leur croyance en Dieu. […] Pour l’instant, ne parlons pas de combien ces gens ont donné. Leur comportement, cependant, est très digne de notre dissection. Outre les avantages qui leur sont si étroitement liés, pourrait-il y avoir toute autre raison pour ces gens qui n’ont jamais compris Dieu de donner autant pour Lui ? En cela, nous découvrons un problème qui n’a pas été identifié précédemment : relation de l’homme avec Dieu n’est qu’une relation non-déguisée d’intérêt personnel. C’est une relation entre un bénéficiaire et un donneur de bénédictions. Pour le dire simplement, c’est la relation entre un employé et un employeur. L’employé travaille dur seulement pour recevoir les récompenses accordées par l’employeur. Dans une telle relation intéressée, il n’y a pas d’affection, seulement une transaction ; il n’y est pas question d’aimer ni d’être aimé, seulement de charité et de miséricorde. Il n’y a pas de compréhension, il n’y a que de l’indignation et de la tromperie impuissantes. Il n’y a pas d’intimité, seulement un gouffre infranchissable » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 3 : L’homme ne peut être sauvé que dans le cadre de la gestion de Dieu). Les paroles de Dieu exposaient précisément mon état. Après avoir cru en Dieu et vu qu’Il avait guéri ma maladie, j’avais renoncé à ma famille et à ma carrière pour faire mon devoir, et même quand ma famille m’avait persécutée et que je risquais d’être arrêtée, ça ne m’avait pas affectée. Mais quand j’avais appris que j’avais un cancer et que mes espoirs de bénédiction avaient été anéantis, je m’étais disputée avec Dieu, je m’étais plainte qu’Il ne m’avait pas protégée et j’avais regretté de m’être dépensée et d’avoir fait des efforts, et je ne voulais plus prier Dieu ni lire Ses paroles. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris que ma relation avec Dieu était strictement transactionnelle. Je voulais échanger mes sacrifices et mes efforts contre une bonne destination. Je tentais de tromper et d’utiliser Dieu. J’étais vraiment égoïste et méprisable ! Une personne dotée d’humanité n’aurait pas d’incompréhensions à propos de Dieu et ne se plaindrait pas de Lui lorsqu’elle est confrontée à des épreuves, elle chercherait plutôt l’intention de Dieu, et même dans la douleur, elle resterait à sa juste place en tant qu’être créé et laisserait Dieu l’orchestrer comme Il l’entend. Or, en m’examinant, j’ai vu que je tenais pour acquises toutes les grâces et les bénédictions que Dieu m’accordait, et quand quelque chose ne satisfaisait pas mes exigences, je tenais Dieu pour responsable. Je manquais vraiment d’humanité et je ne méritais pas de vivre. Même si Dieu me détruisait, ça relèverait de Sa justice ! Mais Dieu m’a quand même donné une chance de me repentir, en utilisant Ses paroles pour m’éclairer et me guider vers l’introspection. Je ne pouvais plus comprendre Dieu de travers ou me plaindre de Lui. Il fallait que je poursuive la vérité et que je fasse mes devoirs correctement.
Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai trouvé quelques chemins de pratique. Dieu Tout-Puissant dit : « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit béni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ce devoir ne devrait pas dépendre de récompenses, de conditions ou de raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être béni, c’est être perfectionné et jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils soient bénis ou maudits, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne, en tant qu’humain, et qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour être béni, et tu ne devrais pas refuser d’agir par peur d’être maudit. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : ce que l’homme doit faire, c’est accomplir son devoir, et s’il en est incapable, c’est sa rébellion. C’est par le processus de l’accomplissement de son devoir que l’homme change progressivement, et c’est par ce processus qu’il démontre sa fidélité. Ainsi, plus tu es capable de remplir ton devoir, plus tu recevras de vérités, et plus ton expression deviendra réelle. Ceux qui n’agissent que pour l’apparence quand ils accomplissent leur devoir et qui ne cherchent pas la vérité seront éliminés à la fin, car de tels hommes ne remplissent pas leur devoir dans la pratique de la vérité et ne pratiquent pas la vérité pendant qu’ils mènent à bien leur devoir. De tels hommes ne changent pas et ils seront maudits. Non seulement leurs expressions sont impures, mais tout ce qu’ils expriment est malfaisant » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que l’accomplissement du devoir n’a rien à voir avec le fait de recevoir des bénédictions ou de subir des désastres, et qu’il est parfaitement naturel et justifié que les êtres créés accomplissent leurs devoirs ; qu’ils aient ou non une bonne issue ou une bonne destination, ou qu’ils puissent être bénis ou non, ils doivent faire leurs devoirs. Par ailleurs, les bénédictions sont ce dont les gens bénéficient du fait qu’ils poursuivent la vérité et parviennent à changer de tempérament dans l’accomplissement de leur devoir et quand ils sont finalement sauvés par Dieu. Si le tempérament corrompu d’une personne ne change pas, elle sera punie au bout du compte. À la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu à quel point mes idées étaient absurdes. J’avais toujours cru, que du moment que je souffrais davantage, me sacrifiais et me dépensais pour Dieu, je serais sauvée et recevrais la bonne destination que Dieu accorde aux gens. Ce n’étaient que des vœux pieux de ma part. Si je me contentais de faire mon devoir sans examiner les impuretés contenues dans celui-ci, si je ne me concentrais pas sur la poursuite de la vérité et si mon tempérament corrompu ne changeait jamais et que, quand je ne recevais pas de bénédictions, j’allais jusqu’à tenir Dieu pour responsable, au bout du compte, je serais punie pour avoir résisté à Dieu. En voyant cela, j’ai réalisé à quel point j’étais en danger. Si je continuais sur ce chemin, je serais éliminée sans même savoir pourquoi ! J’ai sincèrement rendu grâce à Dieu d’avoir permis que cette maladie m’aide à voir le chemin erroné sur lequel j’étais engagée dans ma foi et à changer de cap à temps. J’ai également compris que croire en Dieu ne devrait pas être une poursuite de bénédictions, mais qu’il s’agissait de poursuivre la vérité et un changement de tempérament et de se soumettre à tous les arrangements de Dieu. En prenant conscience de ces choses, j’ai instantanément senti mon cœur s’alléger et se libérer, et ne plus être contraint par la maladie ou la mort. Si ma maladie réapparaissait ou se métastasait, j’étais prête à me soumettre aux orchestrations de Dieu. Peu importe que ma maladie puisse être guérie ou que je puisse ou non recevoir des bénédictions à l’avenir, je ferais de mon mieux pour faire correctement mes devoirs. Après cela, j’ai commencé à travailler avec des frères et sœurs pour résoudre les difficultés et les problèmes liés à la diffusion de l’Évangile, et nous avons obtenu quelques résultats. Plus de dix jours plus tard, je me suis rendu à un autre examen de santé, et, contre toute attente, tous les indicateurs étaient normaux.
Cette maladie m’a beaucoup apporté. J’ai vu ma vraie stature ; j’ai vu que j’avais renoncé à ma famille et à ma carrière pendant toutes ces années pour obtenir des bénédictions, et uniquement dans le but d’en tirer des bénéfices. Mon cœur était vraiment intransigeant ! Dieu m’avait donné tant de grâces et de bénédictions et avait œuvré constamment pour me sauver, mais à cause de cette unique chose qui ne satisfaisait pas mes exigences, je m’étais disputée avec Dieu et je L’avais tenu pour responsable. Dieu avait payé si cher pour moi, et pourtant, Il ne pouvait pas recevoir mon vrai cœur en retour ! En songeant à ça, je me suis sentie profondément redevable envers Dieu. Mais en même temps, j’étais très reconnaissante à Dieu, car sans cette maladie, je ne me serais jamais connue et je n’aurais jamais réfléchi sur moi-même, j’aurais continué à tenter de Le tromper, de L’extorquer et de faire des transactions avec Lui. Sans la révélation de Dieu, j’aurais continué à croire que je pouvais être sauvée. Mais maintenant, je vois que ma stature est pitoyablement faible et que je suis loin d’être sauvée ! Il faut que je reparte à zéro, mais cette fois-ci, avec de la raison. Quelle que soit la façon dont Dieu m’éprouve à l’avenir, je dois me soumettre à Ses orchestrations, poursuivre la vérité et chercher à évoluer dans mon tempérament.
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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