Comment j’ai été libérée de l’arrogance
Par Qichen, Myanmar En juin 2019, j’ai accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours. Un an plus tard, j’ai commencé mon...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Mon mari et moi avons accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours en mai 2012. Tout le temps, nous lisions les paroles de Dieu et chantions des hymnes à la louange de Dieu ensemble, et je me sentais vraiment heureuse et comblée. Peu de temps après, j’ai assumé un devoir dans l’Église et je suis fréquemment allée assister à des réunions et prêcher l’Évangile. Mon mari m’a vraiment soutenue. Cependant, par la suite, ma famille a commencé à essayer de m’empêcher de pratiquer ma foi à cause de l’oppression du Parti communiste, et à partir de ce moment, notre vie autrefois harmonieuse et paisible a été complètement brisée.
Un jour, mon frère aîné nous a appelés et a dit qu’il avait vu aux informations que le gouvernement sévissait sérieusement à l’encontre des croyants en Dieu Tout-Puissant, les arrêtant, puis les condamnant à des peines de prison. Il m’a dit : « Quand une personne est croyante, sa descendance est également touchée. Ses enfants ne peuvent pas aller à l’université, et leurs perspectives de travail ou d’avenir sont donc anéanties. Tu ne peux pas continuer à pratiquer cette religion. » Mon mari travaillait dans une école et, quand il a entendu ce que mon frère avait dit, il m’a déclaré avec inquiétude : « La foi est une bonne chose, mais le Parti communiste arrête les croyants avec frénésie. Même l’avenir de nos enfants en sera affecté. Je ne veux plus pratiquer cette religion et tu devrais arrêter d’assister à des réunions. Si tu veux suivre Dieu, fais-le simplement en secret à la maison. » Je lui ai répondu : « Est-ce qu’on peut seulement dire que je suis croyante si je ne vais pas aux réunions ? Est-ce que je peux apprendre la vérité de cette façon ? Croire en Dieu et poursuivre la vérité, c’est le juste chemin dans la vie. Je dois aller aux réunions. » Voyant que je n’allais pas changer d’avis, il a pris un tabouret et une lampe de poche et les a brisés de colère. Le lendemain, après être rentré de son école, il m’a dit : « Nous avons eu une réunion à l’école aujourd’hui. Le Comité central a publié un document officiel disant que les croyants en Dieu Tout-Puissant étaient considérés comme des criminels politiques et étaient la cible d’une répression nationale majeure. Les enseignants et leurs familles ne sont pas autorisés à avoir une religion, et toute personne dont on constatera qu’elle est religieuse sera expulsée et mise sur liste noire. Leurs enfants ne seront pas autorisés à entrer à l’université : aucun établissement ne les acceptera. Tu ne peux pas continuer à pratiquer ta religion. Si quelqu’un s’en aperçoit et te signale, je perdrai mon emploi et l’avenir de nos enfants en souffrira. Cela ruinera notre famille. » En l’entendant, je me suis dit que nous avions besoin du salaire de mon mari pour couvrir nos dépenses familiales. S’il était vraiment renvoyé à cause de ma foi, comment allions-nous nous en sortir ? Et nos enfants ne me détesteraient-ils pas, s’ils ne pouvaient pas entrer à l’université ni trouver un emploi ? Ces pensées me troublaient vraiment. J’ai alors appelé Dieu dans mon cœur, Lui demandant de me guider pour que je comprenne Son intention. Après ma prière, j’ai pensé à des paroles de Dieu : « Le destin de l’homme est entre les mains de Dieu. Tu es incapable de te contrôler : quoiqu’il soit toujours en train de courir et de s’occuper pour lui-même, l’homme reste incapable de se contrôler. Si tu pouvais connaître tes propres perspectives, si tu pouvais contrôler ton propre destin, serais-tu toujours un être créé ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Restaurer la vie normale de l’homme et l’emmener vers une merveilleuse destination). En y réfléchissant, j’ai pu me rendre compte que le destin des gens était entièrement entre les mains de Dieu. Quels que soient le travail que mon mari peut avoir et le genre d’avenir que nos enfants peuvent avoir, cela dépend de la règle et des arrangements de Dieu – ces choses ne dépendent pas d’une personne en particulier. Je ne pouvais pas abandonner ma foi pour protéger leurs emplois ou leur avenir. Je me sentais prête à laisser notre avenir entre les mains de Dieu et à me soumettre à Ses orchestrations. Je me suis sentie moins inquiète en y pensant de cette façon, et j’ai continué à assister aux réunions et à faire mon devoir, comme d’habitude.
Et puis, un jour de juillet 2013, j’ai été arrêtée avec quelques autres sœurs alors que nous étions en réunion. Ce soir-là, le capitaine Zhao du poste de police m’a interrogée : « Qui t’a convertie ? Qui est ton dirigeant d’Église ? » Je n’ai pas répondu. Il a poursuivi : « Ton mari était mon professeur. Dis-moi tout sur l’Église, et je pourrai te laisser rentrer chez toi, vu qu’il était mon professeur. » Je me suis rendu compte que c’était une des ruses de Satan pour essayer de me faire dénoncer les frères et sœurs et trahir Dieu. Je ne pouvais pas tomber dans le panneau. J’ai silencieusement prié Dieu encore et encore, Lui demandant de veiller sur moi et de m’aider rester ferme dans témoignage. Après cela, j’ai simplement ignoré le capitaine Zhao, quelles que soient ses questions. Il a fini par me ramener dans une salle de détention. Le lendemain matin, un policier du Bureau municipal de la sécurité publique est venu m’interroger. J’ai été surprise de voir que c’était mon cousin. Quand il m’a reconnue, il a écarquillé les yeux, furieux, et il m’a dit en me montrant du doigt : « Ça alors ! Tu es religieuse ? Depuis quand tu crois ? Qui t’a convertie ? » Je l’ai ignoré. Il a prononcé d’autres paroles qui blasphémaient Dieu, puis a poursuivi : « Le gouvernement national a publié depuis longtemps des documents officiels disant que si quelqu’un croyait en Dieu Tout-Puissant, trois générations de ses descendants étaient impliquées. Ton fils aîné vient d’obtenir son diplôme universitaire et cherche du travail, et ton fils cadet est sur le point d’aller à l’université. Il faut que tu penses à l’avenir de tes enfants. Le Parti communiste est très puissant. Vouloir encore croire malgré ça, c’est comme vouloir briser une pierre avec un œuf. Tu dois abandonner ça ! » En entendant tout cela, j’ai pensé que si je continuais à pratiquer ma foi, l’avenir de mes fils en souffrirait certainement. J’avais payé un prix assez élevé pour leur éducation : toutes ces années de sang, de sueur et de larmes ne seraient-elles pas vaines s’ils ne pouvaient vraiment pas trouver un emploi à la fin ? Cette pensée m’a rendue très malheureuse. J’ai prié Dieu, Lui demandant de veiller sur mon cœur et de me guider pour que je comprenne Son intention et que je sache ce que je devais faire. Ce passage des paroles de Dieu m’est alors venu à l’esprit : « Dès lors que tu viens au monde en poussant ton premier cri, tu commences à assumer tes responsabilités. Dans l’intérêt du plan de Dieu et de Son ordination, tu joues ton rôle et tu commences ton voyage dans la vie. Quels que puissent être tes antécédents et quel que puisse être le voyage qui t’attend, dans tous les cas, personne ne peut échapper aux orchestrations et aux arrangements du Ciel, et personne ne peut contrôler son propre destin, car seul Celui qui est souverain sur toutes choses est capable d’une telle œuvre. […] Le cœur et l’esprit de l’homme sont à la portée de Dieu, et tout dans sa vie est contemplée par les yeux de Dieu. Peu importe que tu croies ou non à tout cela, toutes les choses, qu’elles soient vivantes ou mortes, évolueront, changeront, se renouvelleront et disparaîtront conformément aux pensées de Dieu. Voilà comment Dieu détient la souveraineté sur toutes choses » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu est la source de la vie de l’homme). D’après les paroles de Dieu, je pouvais me rendre compte qu’absolument toute chose est entre Ses mains. Alors, cela n’incluait-il pas l’avenir et le destin de mes fils ? Combien quelqu’un souffre dans la vie et quel genre de travail il fait, tout cela est prédéterminé par Dieu. Je ne pouvais pas m’inquiéter de ces choses. Et quelle que soit la qualité de l’éducation et du travail de quelqu’un dans le monde, cela ne signifie pas qu’il aura un bon avenir et un bon destin. Sans croire en Dieu, sans accepter le salut de Dieu, une personne mourra simplement dans les catastrophes quand elles se produiront, et elle n’aura pas d’avenir à proprement parler. Se présenter devant Dieu, accepter la vérité et être sauvé par Dieu sont le seul moyen d’avoir vraiment un avenir. J’ai donc répondu à mon cousin : « Quel que soit l’avenir de mes fils, c’est leur destin, cela ne dépend de personne. Ma croyance en Dieu et la poursuite de la vérité sont le juste chemin et je suis bien décidée à m’y tenir. Ne te donne pas la peine de me donner des conseils ! » Voyant à quel point j’étais résolue à garder ma foi, il n’a rien répondu. Ils m’ont gardée là-bas un jour et une nuit, puis m’ont renvoyée chez moi.
Dès que je suis rentrée à la maison, mon mari s’est emparé d’un tabouret. Il était sur le point de me frapper avec, mais notre fils aîné l’a retenu. Tout en m’injuriant, mon mari m’a déclaré : « À cause de ta foi, j’ai été complètement déshonoré et, tôt ou tard tu détruiras l’avenir de nos fils. Si tu gardes cette foi, je te battrai à mort ! » En le voyant dans cet état, je me suis dit qu’apparemment notre relation de couple était trop fragile pour résister à de réelles difficultés. Parce que j’avais été arrêtée pour ma foi et que cela avait une incidence sur ses intérêts et sur sa réputation, il menaçait de me frapper. En quoi cela était-il l’amour entre un mari et sa femme ? Ma sœur cadette, qui était chez nous à ce moment-là, est intervenue : « Est-ce que tu ne peux pas simplement abandonner ta foi ? Si tu continues comme ça, tu détruiras l’avenir de tes fils ! » Je leur ai répondu : « Tout ce que je fais, c’est assister à des réunions et lire les paroles de Dieu. C’est le juste chemin à suivre dans la vie. Je n’ai rien fait de mal. En quoi cela pourrait-il compromettre l’avenir de mes enfants ? C’est le Parti communiste qui opprime les croyants et n’épargne même pas leurs familles. Si nos enfants ne peuvent pas trouver d’emplois à l’avenir, c’est à cause du Parti communiste. Comment se fait-il que vous ne distinguiez pas le bien du mal ? » Puis mon jeune frère a appelé mon mari et lui a dit : « Si ma sœur continue à suivre cette religion, tu n’as qu’à lui briser les jambes. Tu verras si elle arrive encore à aller à ces réunions. » Et sa femme lui a dit méchamment : « Bats-la à mort si elle continue comme ça. Notre côté de la famille ne t’en tiendra pas rigueur. » Mon cœur s’est glacé. Je pensais que mes proches me comprendraient. Je n’aurais jamais imaginé qu’ils écouteraient le Parti communiste, qu’ils deviendraient si cruels, juste pour protéger leurs propres intérêts, et chercheraient à m’empêcher de pratiquer ma foi sans même se soucier que je vive ou que je meure. Où était leur humanité ? Le lendemain, mon frère aîné a appelé mon mari et lui a dit : « Si ma sœur garde sa religion, nous allons couper les ponts avec elle. Je te soutiendrai si tu veux divorcer. Ne lui laisse rien et jette-la dehors. On verra comment elle s’en sort après ça. » Vers midi, mon cousin est passé dans une voiture de police et a dit à mon mari de me surveiller et de m’empêcher de pratiquer ma foi, faute de quoi toute la famille serait impliquée. Mon mari m’a dit : « Aujourd’hui, pour le bien de nos enfants et de cette famille, tu dois regarder ton cousin dans les yeux et lui déclarer que tu renonces à ta foi. » Je lui ai répondu : « Suivre Dieu est juste et convenable. Je n’abandonnerai pas ma foi. » Voyant qu’il ne pouvait pas me faire fléchir, il m’a lancé avec colère : « Si tu persistes à croire en Dieu et à négliger l’avenir de nos enfants, je vais devoir divorcer. » Il s’est procuré une convention de divorce et m’a demandé de la signer. La convention stipulait que je partirais sans rien emporter avec moi. Nous avions tous les deux travaillé si dur pour fonder notre foyer… Comment vivrais-je, si je partais les mains vides ? Mais ensuite, j’ai repensé à la façon dont Dieu avait déjà déterminé combien une personne va souffrir dans sa vie, et quoi qu’il arrive, je ne pouvais pas arrêter de croire en Dieu, et je devais garder ma foi et continuer à poursuivre la vérité. J’étais sur le point de signer, mais mon mari, ayant remarqué que je n’avais pas l’intention de céder, m’a dit : « Bon, alors ne divorçons pas. Si tu veux être croyante, je ne peux pas t’en empêcher. Vas-y, crois. » C’est ce qu’il a dit, mais en réalité, il m’a contrôlée de plus en plus. À la maison, il ne me laissait pas prononcer le mot « Dieu » et il me frappait chaque fois que je disais quelque chose qu’il n’aimait pas. Il a cessé de partir en vacances et est resté à la maison afin de garder un œil sur moi. Quand il m’a vue lire les paroles de Dieu, il m’a pris le livre des paroles de Dieu, et a dit : « Si je revois ça une fois de plus, je brûle ce livre ! » Pendant un certain temps, je n’ai plus pu aller assister à des réunions, avoir le moindre contact avec les frères et sœurs ni lire les paroles de Dieu à la maison. Je n’avais absolument plus aucune liberté.
Un soir, je m’étais faufilée dans notre chambre pour lire les paroles de Dieu quand mon mari a soudainement fait irruption et m’a dit, sur un ton très agressif : « Tu oses encore lire ça ! Si tu es de nouveau arrêtée, mon travail et l’avenir de nos enfants sont fichus ! Le Parti communiste est capable d’absolument tout. » Je lui ai répondu : « Je ne fais que lire les paroles de Dieu. Comment cela pourrait-il avoir une incidence sur ton avenir et celui de nos fils ? » De manière choquante, il s’est précipité sur moi et a serré ses mains autour de mon cou en disant : « Je vais juste t’étrangler et ce sera réglé ! » Je n’avais pas assez de force pour me libérer et n’arrivais pas à prononcer le moindre mot. Il n’a pas lâché prise avant que j’arrête de respirer et que je ne bouge même plus. J’étais à bout de souffle et je ressentais une douleur émotionnelle intense. J’avais l’impression qu’être une croyante en Chine, suivre le juste chemin, était bien trop dur. J’avais été arrêtée par le Parti communiste, ma famille se dressait sur mon chemin, je ne pouvais plus accomplir un devoir, et voilà que je venais même d’être dépouillée de mon droit de lire les paroles de Dieu. Quel sens restait-il à ma vie ? J’avais l’impression que je ferais mieux de mourir. J’ai attrapé le rasoir de mon mari avec l’intention de me trancher les poignets, de me suicider. Et puis, ce passage des paroles de Dieu m’est soudain venu à l’esprit : « Aujourd’hui, la plupart des gens n’ont pas cette connaissance. Ils croient que la souffrance est sans valeur, ils sont rejetés par le monde, leur vie familiale est troublée, ils ne sont pas aimés de Dieu et leurs perspectives sont sombres. La souffrance de certaines personnes atteint un degré extrême, et leurs pensées se tournent vers la mort. Ce n’est pas le véritable amour pour Dieu ; ces gens sont des lâches, ils ne sont pas persévérants, ils sont faibles et impuissants ! Dieu désire ardemment que l’homme L’aime, mais plus l’homme L’aime, plus grande est la souffrance de l’homme ; plus l’homme L’aime, plus grandes sont les épreuves de l’homme. […] Ainsi, au cours de ces derniers jours, vous devez rendre témoignage à Dieu. Quelle que soit l’ampleur de votre souffrance, vous devez marcher jusqu’au bout, et même à votre dernier souffle, vous devez toujours être loyaux à Dieu et être à la merci de Dieu ; ce n’est que de cette façon qu’on aime vraiment Dieu et seulement là est le témoignage fort et retentissant » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en vivant des épreuves douloureuses que tu peux connaître la beauté de Dieu). Grâce aux paroles de Dieu, qui m’ont réveillée au bon moment, je n’ai pas pris cette décision insensée. Je voulais me suicider parce que j’étais malheureuse et tourmentée, et incapable de supporter cette maltraitance. Comme c’était lâche de ma part ! Je manquais vraiment de foi et je n’avais aucun témoignage. Dieu espère que les gens ne perdent pas leur foi en Lui lorsqu’ils traversent douleur et difficultés, afin qu’ils puissent témoigner pour Lui. Comment pourrais-je témoigner si je mourais ? Ne deviendrais-je pas la risée de Satan ? En ayant pris conscience, j’ai décidé que quelle que soit la manière dont mon mari et mes proches me persécuteraient et essayeraient de m’éloigner de ma foi à l’avenir, quelles que soient mes souffrances, tant qu’il me resterait un seul souffle, je vivrais bien ma vie et je suivrais Dieu jusqu’au bout. Mais parce que j’étais surveillée par la police et contrainte par ma famille depuis mon arrestation, je n’ai pas pu mener une vie d’Église convenable pendant trois ans. Je devais me faufiler jusqu’à la maison de mon père pour y lire secrètement les paroles de Dieu. Puis, à l’été 2016, j’ai enfin pris contact avec les frères et sœurs. J’ai pu reprendre une vie d’Église et assumer de nouveau un devoir.
Plus tard, mon mari a continué à me persécuter. Je me souviens qu’une fois, à mon retour d’une réunion, il m’a emmenée chez mon frère aîné, où j’ai vu, également présents, mes deux autres frères et leurs femmes, et ils me regardaient tous de travers. Je savais qu’ils allaient encore essayer de me forcer à abandonner ma foi, alors j’ai dit une prière silencieuse, demandant à Dieu de me guider afin que, quoi qu’ils me fassent, je ne sois pas retenue par eux. Mon frère aîné m’a lancé un regard noir et m’a dit : « Le Parti communiste est athée. Il réprime les croyances religieuses depuis des années et personne ne peut changer ça. En croyant en Dieu sous le règne du Parti, tu ne peux que te faire arrêter, et le reste de la famille sera également impliqué. Tu cherches les ennuis, ou quoi ? » Mon beau-frère a enchaîné : « Mon fils a réussi l’examen d’entrée à l’université, il a dû remplir la fiche de vérification des antécédents politiques et ils ont demandé s’il y avait d’éventuels membres religieux dans la famille. La police a trouvé ton registre concernant ta croyance en Dieu Tout-Puissant et elle n’a pas laissé entrer. J’ai dû utiliser mes relations et envoyer des cadeaux aux gens : ça m’a coûté une tonne d’efforts, et puis il est entré tout juste. En Chine, si quelqu’un croit en Dieu Tout-Puissant, toute sa famille est impliquée. Il faut que tu abandonnes ta foi ! » Ensuite, mon jeune frère m’a demandé : « Est-ce que tu ne peux pas penser à notre famille, à l’avenir de tes fils ? Arrête de croire en Dieu ! Qu’est-ce qui se passera si tu renonces à ta foi ? Est-ce que ça te tuera ? » Alors je leur ai répondu : « Savez-vous ce qu’est un bon avenir ? Vous pensez qu’avoir un bon travail, bien manger et bien s’habiller, c’est avoir un bon avenir ? Il y sans cesse davantage de catastrophes, et quiconque n’est pas croyant y succombera. Seuls ceux qui croient en Dieu et qui seront sauvés par Lui survivront, et qu’Il aura sauvés, et eux seuls auront un bon avenir et un bon destin. » Mon mari m’a répondu : « Je ne sais pas ce qui se passera plus tard, je ne peux voir que ce qui est juste devant moi. C’est la politique actuelle du Parti communiste : si tu es croyante, ils t’arrêteront, te retireront ton travail, et cette famille sera également impliquée. Pendant toutes ces années, personne n’a été capable de changer leur politique, et ils sont tellement plus forts que nous ! Renonce simplement à ta foi ! Ici, devant tout le monde, dis que tu vas le faire. » Dès qu’il a eu fini, tout le monde a commencé à dire ceci et cela, m’exhortant à ne plus croire en Dieu. Nous étions une famille nombreuse et heureuse, mais l’oppression du Parti communiste avait tout chamboulé. Mon mari n’arrêtait pas de me frapper et de me crier dessus, et nous n’avions plus un seul jour de paix. Quand cela allait-il finir ? J’étais de plus en plus contrariée, alors j’ai fait une prière à Dieu, après quoi j’ai pensé à ce passage de Ses paroles : « Tu dois endurer des souffrances pour la vérité, tu dois te sacrifier pour la vérité, tu dois endurer l’humiliation pour la vérité et, pour gagner plus de vérité, tu dois subir plus de souffrance. C’est ce que tu devrais faire. Tu ne dois pas rejeter la vérité pour le plaisir d’une vie de famille harmonieuse, et tu ne dois pas perdre la dignité et l’intégrité d’une vie pour un plaisir momentané. Tu devrais poursuivre tout ce qui est beau et bon et tu devrais poursuivre un chemin plus significatif dans la vie. Si tu mènes une vie si vulgaire et ne poursuis pas d’objectifs, ne gâches-tu pas ta vie ? Qu’as-tu à gagner d’une vie pareille ? Tu devrais abandonner tous les plaisirs de la chair pour une seule vérité et ne pas rejeter toutes les vérités pour un peu de plaisir. Ce genre de personnes n’ont ni intégrité ni dignité ; il n’y a aucun sens à leur existence ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). Les paroles de Dieu m’ont aidée à comprendre Son intention. Je suivais Dieu avec constance et faisais mon devoir : j’étais sur le chemin de la poursuite de la vérité. Les membres de ma famille poursuivaient le gain et la réputation. Nous étions sur des chemins différents et il était inévitable que notre famille s’effondre. Je devais accepter cette souffrance pour gagner la vérité. Cela avait un sens. Je ne pouvais pas abandonner ma foi pour le bien de ma famille. Alors je leur ai dit : « J’ai la certitude que Dieu Tout-Puissant est le vrai Dieu, le Sauveur venu sauver l’humanité. Il n’est absolument pas question que j’abandonne ma foi ! » Ils sont tous partis quand ils ont vu qu’ils n’avaient aucun moyen de me faire changer d’avis.
Un soir, quand je suis rentrée d’une réunion, mon mari était penché sur une table, ivre et en pleurs. Il m’a dit : « Tu vas à des réunions tous les jours. Si tu es de nouveau arrêtée, qui sait quand notre foyer sera ruiné à cause de toi. » Ensuite, il a renversé la table avec colère, m’a attrapée par mes vêtements d’une main, puis m’a giflée de l’autre. Avant même que je puisse reprendre mon souffle, il m’a violemment projetée sur le sol de la salle de bains, m’a frappée durement à la tête et m’a dit férocement : « Abandonne ta foi ! Je suis prêt à tout risquer ce soir, je vais te battre à mort. De toute façon, ta propre famille se fiche que tu vives ou que tu meures ! » J’étais tout étourdie et ma vue était brouillée à cause des coups. Il m’a traînée jusqu’en haut de l’escalier, puis m’y a poussée en me disant : « Si tu meurs dans ta chute, j’irai brûler ton corps et je jetterai tes cendres dans la rivière ! » J’ai eu très peur en entendant cela : j’ai prié Dieu encore et encore. Grâce à la protection de Dieu, j’ai pu attraper une corde sur la balustrade à la dernière seconde, ce qui m’a évité de tomber dans les escaliers. Puis notre plus jeune fils est venu et a dit à mon mari : « L’alcool t’a fait perdre la tête ? Maman n’a rien fait de mal avec sa foi. Pourquoi tu la frappes ? » Mon mari a répondu : « Je ne veux pas la frapper, mais si elle est de nouveau arrêtée, ton frère et toi êtes fichus. Je n’ai pas d’autre choix. » Comme mon fils était à mes côtés, il n’a pas osé continuer à me frapper, mais il a pris une table en verre et l’a brisée contre le mur, laissant toute la pièce pleine de verre brisé.
Plus tard, j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Les croyants et les non-croyants ne sont pas compatibles, mais plutôt opposés les uns aux autres » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble). J’y ai réfléchi et j’ai su dans mon cœur que même si mon mari croyait en Dieu au début, c’était simplement parce qu’il voulait recevoir des bénédictions. Il n’était pas un vrai croyant. Quand il avait entendu dire qu’avoir la foi pouvait affecter ses perspectives d’avenir et celles de nos fils, alors il avait fait volte-face. Non seulement il avait abandonné sa foi, mais il avait essayé de m’empêcher de croire en Dieu. Comme il n’avait pas pu m’arrêter, il était devenu violent avec moi et avait commencé à me traiter comme une ennemie, parce que ma croyance avait une incidence sur ses intérêts personnels. J’ai compris qu’en substance, mon mari détestait la vérité et détestait Dieu. Il suivait le Parti communiste pour protéger son propre standing ; il poursuivait un avenir et des intérêts mondains. Je croyais en Dieu et poursuivais la vérité, suivant le juste chemin dans la vie : nous étions sur deux chemins différents. Mon mari et le reste de la famille, en me persécutant de cette façon à cause de ma foi, m’ont clairement montré qu’ils avaient une nature-essence malfaisante, qu’ils étaient contre Dieu. Mon mari était allé à des réunions et il savait que Dieu Tout-Puissant était le vrai Dieu. J’avais prêché l’Évangile à mes proches et je leur avais lu pas mal de paroles de Dieu. Aucun d’entre eux n’était devenu croyant et, au moment où ma foi avait compromis leurs intérêts, ils s’étaient rangés du côté du Parti communiste, me persécutant et parlant de couper les liens avec moi. Quel genre d’êtres chers étaient-ils ? Ils étaient entièrement les sbires de Satan, prenant le parti du Parti communiste, et s’opposant à Dieu. Dieu est maintenant devenu chair et Il exprime des vérités, exposant la nature-essence de chaque type de personne, et Il m’a aussi montré que je suivais un chemin différent de ma famille : croyants et non-croyants sont des types de personnes différents. Quand j’ai pris conscience de tout cela, je me suis sentie moins contrainte par eux et j’ai éprouvé un sentiment de libération.
Par la suite, j’ai lu ce passage dans les paroles de Dieu : « Pendant des milliers d’années, ce pays a été une terre d’ordures. Il est insupportablement sale, la misère abonde, les fantômes pullulent partout, trichant et trompant, portant des accusations sans fondement, étant impitoyables et vicieux, piétinant cette ville fantôme et la laissant jonchée de cadavres. L’odeur de la pourriture imprègne l’air et couvre le pays qui est fortement gardé. Qui peut voir le monde au-delà des cieux ? Le diable ligote fortement tout le corps de l’homme, il lui voile les yeux et lui scelle les lèvres fermement. Le roi des démons a tout saccagé pendant plusieurs milliers d’années jusqu’à nos jours alors qu’il surveille toujours la ville fantôme de près, comme si elle était un palais impénétrable de démons ; ces chiens de garde en meute, pendant ce temps, surveillent de leurs yeux vifs, craignant profondément que Dieu les prenne au dépourvu et les anéantisse tous, ne leur laissant aucun lieu de paix et de bonheur. Comment les gens d’une ville fantôme de ce genre pourraient-ils avoir déjà vu Dieu ? Ont-ils déjà joui du charme et de la beauté de Dieu ? Quelle idée ont-ils des choses du monde humain ? Lequel d’entre eux peut comprendre les intentions ferventes de Dieu ? Peu étonnant donc que Dieu incarné reste complètement caché : dans une société de ténèbres comme celle-là, où les démons sont impitoyables et inhumains, comment le roi des démons, qui tue les gens sans sourciller, pourrait-il tolérer l’existence d’un Dieu qui est beau, bon et saint ? Comment pourrait-il applaudir et acclamer l’arrivée de Dieu ? Ces laquais ! Ils rendent la gentillesse avec la haine, il y a longtemps qu’ils se sont mis à traiter Dieu en ennemi, ils abusent Dieu, ils sont sauvages à l’extrême, ils n’ont pas la moindre considération pour Dieu, ils saccagent et pillent, ils ont perdu toute conscience, ils vont à l’encontre de toute conscience et ils tentent l’innocent jusqu’à l’insanité. Ancêtres des anciens ? Leaders bien-aimés ? Ils s’opposent tous à Dieu ! Leur ingérence a tout laissé sous le ciel dans un état de ténèbres et de chaos ! Liberté de religion ? Les droits et intérêts légitimes des citoyens ? Tout cela n’est qu’une ruse pour camoufler le péché ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre et l’entrée (8)). Les paroles de Dieu sont très concrètes. Le Parti communiste étant au pouvoir, c’est Satan, le diable au pouvoir. Il déteste Dieu et ne peut pas tolérer que les gens aient la foi et suivent Dieu. Il veut être la seule chose que les gens suivent et adorent. Le Parti communiste fait semblant d’agiter le drapeau de la liberté de religion, mais opprime sauvagement et arrête les croyants en secret, et implique leurs familles. Il invente même des rumeurs et des mensonges pour fourvoyer les gens qui ne connaissent pas la vérité, pour amener le peuple chinois à se soulever et à s’opposer aux croyants. Beaucoup de gens ont été manipulés et exploités par le Parti communiste, et ils se joignent au Parti pour nier Dieu, s’opposer à Lui et opprimer les croyants. Ils connaîtront tous le même sort que le Parti communiste : ils seront punis et anéantis par Dieu. Nous avions une famille heureuse, mais à cause de l’oppression et des arrestations par le Parti communiste, mes proches ont eu peur d’avoir des ennuis et ont commencé à m’opprimer aussi, devenant les outils de Satan. J’ai clairement vu l’essence malfaisante du Parti communiste, qui est celle de la haine de la vérité et de la haine de Dieu, et j’ai aussi constaté que seul Dieu a un véritable amour pour les êtres humains. Ce sont les paroles de Dieu qui m’ont guidée à maintes reprises, me donnant la foi et me permettant de comprendre la vérité, de voir à travers les ruses de Satan. Mon mari essaie toujours d’entraver ma foi, mais je ne suis plus retenue par lui. Je continue à aller aux réunions et à faire mon devoir, et je suis encore plus ferme dans ma détermination à suivre Dieu. Je remercie Dieu de tout mon cœur !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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