Par Michael, Nouvelle-Zélande

Lorsque j’avais huit ans, ma famille a connu un incident imprévu. Dès lors, ma mère et moi étions dépendants l’un de l’autre pour survivre, et elle m’a ramené dans notre maison de campagne. À cette époque, nous étions complètement démunis. Alors que d’autres vivaient dans des maisons à plusieurs étages, nous n’avions qu’une cabane avec un toit en tuiles ; nous étions très mal lotis. J’enviais les autres et j’espérais que je pourrais gagner beaucoup d’argent quand je serais grand, pour que ma mère et moi ayons une sécurité financière. Pour gagner de l’argent, je n’ai pas poursuivi mes études après le baccalauréat. À l’époque, les frères et sœurs voulaient que je rejoigne l’Église et que je mène une vie religieuse. Cependant, je craignais que les réunions ne m’empêchent de gagner de l’argent. J’étais encore assez jeune, je devais me marier et gagner ma vie pour assurer mon futur. J’aurais besoin d’argent pour tout ce que je voudrais faire. J’ai donc rejeté les bonnes paroles et les conseils des frères et sœurs et je me suis résolument engagé sur le chemin de la poursuite de l’argent, de la gloire et du gain.

J’ai fait des travaux de construction et j’ai aussi travaillé comme bagagiste. Plus tard, j’ai étudié le marketing et j’ai fait affaire avec des membres de ma famille. Finalement, les affaires ont bien progressé, et la petite boutique avec laquelle nous avions commencé s’est transformée en quelques années en une petite entreprise d’une douzaine d’employés. À mon jeune âge, je suis devenu un patron et j’ai gagné de l’argent. La situation financière de ma famille s’est améliorée, j’ai acheté une maison, et j’ai pu faire face à toutes les dépenses de la vie quotidienne. Bien que je gagnais de plus en plus d’argent et que ma vie matérielle était satisfaite, je suis devenu de plus en plus malheureux. Pour gagner de l’argent, je devais prendre un air enjoué avec les clients, les flatter et leur faire des compliments, le mensonge et la tromperie étaient devenus mon quotidien. Je ne reculais devant rien pour servir mes propres intérêts et ne vivais pas du tout comme un humain. Dans le passé, j’avais vu que les paroles de Dieu nous disent d’être des gens honnêtes. Chaque fois que je pensais à cela, je me sentais extrêmement coupable. En plus de cela, chaque jour, je consacrais tout mon temps et mon énergie à l’entreprise, je gardais toujours un bon caractère et une bonne attitude avec les clients. Lorsqu’ils m’appelaient pour arranger quelque chose, je m’en occupais immédiatement, comme si je répondais à un décret impérial. Cependant, lorsque ma mère voulait que je l’aide à faire des tâches domestiques ou que je discute avec elle, je lui disais toujours que j’étais occupé et lui demandais de ne pas me déranger. Je ne participais pas aux réunions et je priais à peine. Mon état était celui d’un non-croyant sans foi. Peu à peu, je suis devenu dépravé malgré moi. Parce que les relations sont très importantes dans le monde des affaires, chaque jour, je réfléchissais à la manière d’entretenir des relations avec les clients. Peu importe avec qui je traitais, tant qu’ils pouvaient représenter un intérêt pour moi, je les complimentais et leur disais des mots peu sincères pour leur faire plaisir. Je devenais de plus en plus hypocrite et fourbe, et j’en étais vraiment arrivé à un point où j’avais deux visages. Ce comportement me dégoûtait. Je me détestais de plus en plus, et je détestais aussi ce moyen de survie.

Plusieurs années plus tard, lorsque la COVID s’est répandue dans tout le pays, j’ai été infecté et tout mon corps a souffert. Quelques heures avant l’apparition des symptômes, je débordais d’énergie et m’occupais de différentes affaires, quand soudain, je n’ai plus eu la force de me lever. Je suis resté couché, tous mes muscles me faisaient souffrir, et j’avais l’impression que ma tête allait exploser. Comme j’avais une forte fièvre qui ne voulait pas baisser, mes lèvres se sont gercées. Je vomissais et j’avais la diarrhée ; je me sentais très mal, comme si la mort n’était pas loin. C’est à ce moment-là que j’ai ressenti la fragilité et la petitesse de l’homme. À ce moment-là, j’ai commencé à réfléchir en me disant : « Pourquoi diable est-ce que je vis comme ça ? » Les événements passés sont apparus scène par scène dans mon esprit, comme des extraits d’un film, et je me suis dit : « Chaque jour, je me creusais la tête pour trouver des moyens de gagner plus d’argent. Est-ce que je vis vraiment pour gagner désespérément de l’argent et travailler de cette façon ? Est-ce que tout cela n’est que pour satisfaire ma vanité et mon amour-propre, pour que les gens aient une bonne opinion de moi ? Juste pour profiter de la nourriture, de la boisson et des plaisirs ? Est-ce là le but de ma vie ? Ma vie se résume-t-elle à cela ? Vais-je vraiment mourir ainsi ? » En pensant à cela, j’ai été pris de profonds remords. Je regrettais de ne pas avoir cru correctement en Dieu et de ne pas avoir mené une vie d’Église dès le début. J’avais beaucoup de regrets et je ne voulais pas mourir ainsi. J’ai pensé aux paroles de Dieu que j’avais lues dans le passé : « Toutes sortes de désastres surviendront, les uns après les autres ; toutes les nations et tous les lieux feront l’expérience de calamités : peste, famine, déluge, sécheresse et tremblements de terre sont partout. Ces désastres ne se produisent pas seulement dans un endroit ou deux, pas plus qu’ils ne seront terminés dans un jour ou deux : ils s’étendront plutôt sur une région de plus en plus grande, et les désastres deviendront de plus en plus graves. Pendant ce temps, toutes sortes de pestes d’insectes surgiront l’une après l’autre, et le phénomène du cannibalisme se produira partout. C’est Mon jugement sur toutes les nations et sur tous les peuples » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 65). « Les gens passent leur vie à courir après l’argent et la gloire ; ils se raccrochent au moindre espoir, pensant qu’ils sont leurs seuls moyens de soutien, comme si, en les ayant, ils pouvaient continuer à vivre et être dispensés de la mort. Mais ce n’est que lorsqu’ils sont sur le point de mourir qu’ils se rendent compte combien ces choses sont distantes d’eux, combien ils sont faibles face à la mort, combien ils volent facilement en éclats, combien ils sont seuls et impuissants, sans nulle part où se tourner. Ils se rendent compte que la vie ne peut pas être achetée avec de l’argent ou la renommée, que peu importe la richesse d’une personne, peu importe sa haute position, tous les hommes sont pareillement pauvres et insignifiants face à la mort. Ils se rendent compte que l’argent ne peut pas acheter la vie, que la renommée ne peut abolir la mort, que ni l’argent ni la renommée ne peuvent prolonger la vie d’une personne d’une seule minute, d’une seule seconde. Plus les gens éprouvent ce sentiment, plus ils aspirent à continuer à vivre ; plus les gens éprouvent ce sentiment, plus ils redoutent l’approche de la mort. Ce n’est qu’à ce stade qu’ils se rendent vraiment compte que leur vie ne leur appartient pas, qu’elle ne relève pas de leur contrôle et qu’ils n’ont pas leur mot à dire sur la vie ou la mort, que tout cela échappe à leur contrôle » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique III). En fait, j’avais déjà lu ces paroles plusieurs fois auparavant. Même si j’avais peur des catastrophes, tant qu’elles ne m’arrivaient pas, j’ai toujours pensé qu’elles étaient assez lointaines et j’ai continué à poursuivre la richesse et la vie que je voulais, comme je l’avais fait auparavant. À présent, j’étais allongé dans mon lit, tout le corps endolori, à bout de nerfs, et ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris que même si la richesse pouvait apporter aux gens des plaisirs matériels, elle était vraiment inutile face à la COVID. J’ai enfin pris conscience que j’étais vraiment ignorant et aveugle. J’étais tellement intransigeant ! En y regardant de plus près, même si je croyais en Dieu, j’avais complètement ignoré Ses paroles et je n’avais jamais cessé de poursuivre la richesse, la gloire et le gain ; telle avait été ma véritable attitude à l’égard de Dieu et de Ses paroles. Ce n’est que lorsque j’ai été infecté par la COVID que j’ai commencé à réfléchir sur moi-même. J’ai pensé à ce que le Seigneur Jésus avait dit : « Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perdait son âme ? ou, que donnerait un homme en échange de son âme ? » (Matthieu 16:26). J’ai enfin pu comprendre de première main ce que ces paroles signifiaient. On ne peut vraiment pas acheter la vie avec de l’argent ! J’ai réussi à me retourner dans mon lit et je me suis agenouillé pour prier : « Dieu Tout-Puissant, je suis tellement ignorant et aveugle. Je ne peux m’en prendre qu’à moi-même d’en être arrivé là. Tu m’as sauvé pendant tout ce temps, en utilisant les frères et sœurs pour m’inviter à plusieurs reprises à participer à la vie de l’Église, mais je n’ai jamais voulu l’accepter et j’ai rejeté Ton salut. Dieu, je regrette tellement. Maintenant, je comprends que l’argent ne peut pas acheter la santé ou la vie. J’ai toujours poursuivi l’argent, voulant l’utiliser pour améliorer ma vie, mais pour gagner de l’argent, j’ai vécu dans l’épuisement physique et émotionnel, et cela a failli me coûter la vie. Je ne veux pas continuer à vivre d’une manière aussi douloureuse. Je ne veux pas continuer à vivre comme un hypocrite dans cet environnement de tromperie mutuelle qui est rempli de tricheries et de mensonges. Dieu, s’il Te plaît, pardonne-moi et laisse-moi une seconde chance. S’il Te plaît, sauve-moi ! » C’est ainsi que j’ai prié et que je me suis repenti. Bien que ma douleur physique n’ait pas diminué d’un iota, à ce moment-là, mon cœur était aussi heureux que celui d’un enfant qui se blottit dans les bras de ses parents.

Le lendemain, ma mère a appris que j’avais été infecté et est venue s’occuper de moi. Elle m’a lu de nombreuses paroles de Dieu Tout-Puissant, et certaines d’entre elles m’ont profondément impressionné. Dieu Tout-Puissant dit : « Satan contrôle les pensées des hommes par la gloire et le gain, jusqu’à ce qu’ils ne pensent plus qu’à cela. Ils luttent pour la gloire et le gain, endurent des difficultés pour la gloire et le gain, supportent l’humiliation pour la gloire et le gain, sacrifient tout ce qu’ils ont pour la gloire et le gain, porteront des jugements et prendront des décisions pour la gloire et le gain. De cette façon, Satan attache les hommes avec des chaînes invisibles, dont ils n’ont ni la force ni le courage de se libérer. Alors, sans le savoir, ils portent ces chaînes et avancent avec beaucoup de difficulté. À cause de la gloire et du gain, l’humanité s’éloigne de Dieu, Le trahit et devient de plus en plus malveillante. Ainsi, les générations sont détruites les unes après les autres par la gloire et le gain avec lesquels Satan les a tentées » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique VI). « “L’argent fait tourner le monde” est la philosophie de Satan. Elle prévaut dans l’humanité tout entière, dans toutes les sociétés humaines : vous pourriez dire que c’est une tendance. En effet, elle a été instillée à tous les hommes, qui au début n’acceptaient pas ce dicton, mais lui ont ensuite donné leur accord tacite lorsqu’ils sont entrés en contact avec la vie réelle et ont commencé à sentir que ces mots, en fait, étaient vrais. Ce processus n’est-il pas celui de la corruption de l’homme par Satan ? Peut-être que les gens ne comprennent pas ce dicton de la même manière, mais chaque personne a une manière différente de l’interpréter et de le comprendre en se fondant sur des choses qui se sont passées autour d’elle et sur ses expériences personnelles. N’est-ce pas le cas ? Peu importe l’expérience que quelqu’un a de ce dicton, quel est l’effet négatif qu’il peut avoir sur le cœur de quelqu’un ? Quelque chose est révélé par le tempérament humain des gens dans ce monde, y compris chacun d’entre vous. De quoi s’agit-il ? C’est le culte de l’argent. Est-il difficile d’enlever cela du cœur de quelqu’un ? C’est très difficile ! Il semble que la corruption de l’homme par Satan soit profonde, en effet ! Satan utilise l’argent pour tenter les gens et les corrompt en leur faisant adorer l’argent et vénérer les choses matérielles. Et comment cette adoration de l’argent se manifeste-t-elle chez les gens ? Ne sentez-vous pas que vous ne pourriez pas survivre dans ce monde sans argent, que même un jour sans argent serait tout simplement impossible ? Le statut des gens est basé sur la quantité d’argent qu’ils possèdent, tout comme le respect qu’ils inspirent. Les pauvres courbent le dos de honte alors que les riches profitent de leur statut élevé. Ils gardent la tête haute, ils sont fiers, ils parlent fortement et vivent avec arrogance. Qu’est-ce que ce dicton et cette tendance apportent aux gens ? N’est-il pas vrai que beaucoup de gens feraient n’importe quel sacrifice dans leur quête d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas leur dignité et leur intégrité en quête de plus d’argent ? Beaucoup de gens ne perdent-ils pas la possibilité d’accomplir leur devoir et de suivre Dieu à cause de l’argent ? Perdre l’occasion de gagner la vérité et d’être sauvé, n’est-ce pas la plus grande des pertes pour les gens ? Satan n’est-il pas sinistre d’utiliser cette méthode et ce dicton pour corrompre l’homme à un tel degré ? Cela n’est-il pas une ruse malveillante ? » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique V). En lisant les paroles de Dieu Tout-Puissant, j’ai senti que chaque phrase était la vérité. Les paroles qu’Il a prononcées étaient si justes qu’elles m’ont touché au plus profond de mon cœur. J’étais identique à ce que Dieu avait exposé : toujours en train de vénérer l’argent, d’agir selon l’idée de « l’argent d’abord ». Je croyais que si j’avais de l’argent, j’aurais tout et je pourrais vivre une vie de classe supérieure, vivre comme je l’entends et être estimé par les autres, alors que si je n’avais pas d’argent, je ne pourrais rien faire. À travers ce que les paroles de Dieu ont exposé, j’ai vu les motifs méprisables et malintentionnés de Satan. Satan a utilisé l’argent, la gloire et le gain pour contrôler mon esprit, me poussant à me perdre au plus profond de ces choses et à faire de la recherche de l’argent le but et la direction que je poursuivais dans la vie, m’amenant ainsi à fuir et à trahir Dieu et à devenir de plus en plus fourbe, méchant et avide, me condamnant en fin de compte à être détruit avec Satan. Dans le passé, j’avais toujours vécu selon les idées que Satan m’avait inculquées, mon esprit n’étant fixé que sur l’argent, la gloire et le gain. Je croyais que les gens ne pouvaient rien faire sans argent, et que ceux qui avaient de l’argent pouvaient jouir d’une vie meilleure et faire en sorte que les autres aient une bonne opinion d’eux. Cette croyance en apparence simple me liait à des chaînes invisibles, me gardait fermement sous le contrôle de Satan, sans la moindre once de courage pour me libérer. C’est ainsi que j’ai été trompé et corrompu par Satan. Pour l’argent, la gloire et le gain, je suis devenu détaché et sans coeur, je faisais les choses coûte que coûte, plein de mensonges et de tricheries. Je ne vivais absolument pas comme un être humain. Après avoir gagné un peu d’argent, j’ai voyagé un peu partout, voulant soulager ma douleur. En réalité, ce n’était qu’un moyen temporaire de m’anesthésier. Même si j’ai mis toute mon énergie et tout mon temps dans le travail, pour enrichir ma vie, je n’ai jamais pu me débarrasser du vide que je ressentais à l’intérieur. Ce sont les paroles de Dieu qui ont réveillé mon cœur. J’ai commencé à examiner de près ce que je poursuivais, et je ne voulais plus continuer à poursuivre l’argent, la gloire et le gain. Ces choses n’étaient pas aussi toutes-puissantes que je l’avais imaginé. Lorsque j’étais malade dans mon lit, incapable de me lever, les plaisirs matériels et l’argent me semblaient si insignifiants. L’argent ne peut pas sauver la vie d’un homme et n’est pas la racine de son existence. Elle ne libère pas les gens de la douleur.

J’ai alors commencé à chercher comment je devais poursuivre pour mener une vie qui ait de la valeur et du sens. À ce moment-là, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Comme des personnes normales qui poursuivent l’amour pour Dieu, l’entrée dans le royaume afin de faire partie du peuple de Dieu constitue votre véritable avenir et une vie qui est d’une extrême valeur et d’une grande signification ; personne n’est plus béni que vous. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que ceux qui ne croient pas en Dieu vivent pour la chair, et ils vivent pour Satan, mais aujourd’hui vous vivez pour Dieu et vivez pour suivre la volonté de Dieu. C’est pourquoi Je dis que vos vies sont de la plus haute signification. Seul ce groupe de personnes, celles qui ont été choisies par Dieu, sont en mesure de vivre une vie de la plus grande signification : personne d’autre sur terre n’est capable de vivre une vie d’une telle valeur et d’une telle signification » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Connaître la plus nouvelle œuvre de Dieu et suivre Ses pas). « Quel que soit le devoir que l’on accomplit, c’est la chose la plus appropriée que l’on puisse faire, la plus belle et la plus juste au sein de l’humanité. En tant qu’êtres créés, les gens doivent accomplir leur devoir, et ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils reçoivent l’approbation du Créateur. Les êtres créés vivent sous la domination du Créateur et acceptent tout ce qui est fourni par Dieu et tout ce qui vient de Dieu, ils doivent donc remplir leurs responsabilités et obligations. Ceci est parfaitement naturel et justifié, et a été ordonné par Dieu. Grâce à cela, on peut voir que, pour les gens, accomplir le devoir d’un être créé est plus juste, beau et noble que toute autre chose faite en vivant sur terre. Rien, au sein de l’humanité, n’est plus significatif ou plus digne, et rien n’apporte plus de sens et de valeur à la vie d’une personne créée que d’accomplir le devoir d’un être créé. Sur terre, seules les personnes qui accomplissent véritablement et sincèrement le devoir d’un être créé sont celles qui se soumettent au Créateur. Ce groupe de personnes ne suit pas les tendances mondaines : ces personnes se soumettent à la direction et à la guidance de Dieu, n’écoutent que les paroles du Créateur, acceptent les vérités exprimées par le Créateur, et vivent selon les paroles du Créateur. C’est le témoignage le plus vrai, le plus retentissant, et c’est le meilleur témoignage de croyance en Dieu. Pour un être créé, être capable de mener à bien le devoir d’un être créé, être capable de satisfaire le Créateur, est la chose la plus belle au sein de l’humanité, et c’est quelque chose qui devrait être répandu comme une histoire destinée à être louée par tout le monde. Tout ce que le Créateur confie aux êtres créés doit être accepté par eux sans condition. Pour l’humanité, c’est une question à la fois de bonheur et de privilège, et pour tous ceux qui mènent à bien le devoir d’un être créé, rien n’est plus beau ni digne de commémoration : c’est quelque chose de positif » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VII)). En lisant les paroles de Dieu, j’ai trouvé un sens à ma vie. J’ai compris qu’en tant qu’être créé, il fallait vivre pour poursuivre la vérité, pour satisfaire les intentions de Dieu et pour obtenir l’approbation du Créateur. En tant qu’être créé, on doit assumer son devoir et remplir ses responsabilités ; il n’y a rien de plus précieux ni de plus significatif que cela. En suivant Satan et en poursuivant l’argent, la gloire et le gain, non seulement on ne peut pas atteindre le vrai bonheur, mais on devient de plus en plus égoïste et gourmand. En fin de compte, on est totalement prisonnier de Satan et on tombe dans une douleur infinie. L’œuvre de Dieu des derniers jours était désormais presque terminée ; si je ne pouvais toujours pas saisir cette chance de croire en Dieu correctement, je serais vraiment trop stupide. Je ne voulais pas continuer à souffrir des idées que Satan m’avait inculquées, et j’ai décidé de rompre avec cette vie de souffrance. Au troisième jour de mon alitement, j’avais toujours de la fièvre, mais je ne souffrais plus autant. J’ai dit à ma mère : « Je veux assister aux réunions. » En peu de temps, j’ai commencé à mener la vie de l’Église, et j’ai rendu grâce à Dieu dans mon cœur. Dieu m’avait donné une nouvelle chance de retourner dans Sa maison, et je devais la chérir comme il se doit ; je ne pouvais pas ne pas être à la hauteur de Ses intentions. Cependant, j’avais encore un dilemme devant moi. J’avais des clients de longue date dans mon entreprise, et même si je ne cherchais plus désespérément à développer mon entreprise, j’y investissais toujours mon énergie. J’étais perturbé pendant les réunions, incapable de calmer mon cœur devant Dieu. À la fin des réunions, je sortais mon téléphone et je ne voyais que des appels manqués et des messages de clients. À chaque réunion, je subissais toutes sortes de perturbations. Je me souviens qu’une fois, je me rendais à une réunion, lorsque j’ai dû répondre à un appel impromptu d’un client qui avait un besoin urgent de marchandises. J’étais presque arrivé à l’endroit où nous nous réunissions, mais, cédant à la pression du client, je me suis rendu sur le lieu de la réunion et j’ai informé les frères et sœurs que j’avais un imprévu et je suis parti précipitamment. J’ai senti que cela interférait beaucoup trop avec les réunions et j’ai voulu laisser tomber mon commerce, mais j’étais très partagé. Dans le passé, je rencontrais des clients toute la journée et je voulais maintenir mes relations avec eux par tous les moyens. Si je m’arrêtais maintenant et que je ruinais tous mes efforts précédents, ce serait vraiment dommage. Je voulais participer à des réunions, mais je ne pouvais pas renoncer à l’argent. J’ai donc prié Dieu et Lui ai demandé de me montrer un moyen de m’en sortir.

Un jour, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Si Je déposais maintenant de l’argent devant vous et que Je vous laissais la liberté de choisir – sans vous condamner pour votre choix –, la plupart d’entre vous choisiraient l’argent et renonceraient à la vérité. Les meilleurs d’entre vous renonceraient à l’argent et choisiraient la vérité à contrecœur, tandis que ceux qui se trouvent entre les deux prendraient l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Votre vrai visage ne deviendrait-il pas alors évident ? Au moment de choisir entre la vérité et n’importe quelle chose à laquelle vous êtes fidèles, vous feriez tous ce choix et votre attitude resterait la même. N’est-ce pas le cas ? N’êtes-vous pas nombreux à avoir oscillé entre le bien et le mal ? Dans la lutte entre le positif et le négatif, le noir et le blanc, vous êtes certainement conscients de ce que vous avez choisi entre la famille et Dieu, les enfants et Dieu, la paix et la dislocation, la richesse et la pauvreté, le statut et la banalité, le soutien et le rejet par autrui, et ainsi de suite. Entre une famille paisible et une famille brisée, vous avez choisi la première, et ce, sans aucune hésitation ; entre la richesse et le devoir, vous avez là aussi choisi la première, sans même la volonté de regagner la terre ferme[a] ; entre le luxe et la pauvreté, vous avez choisi le premier ; au moment de choisir entre vos fils, filles, époux, et Moi, vous avez choisi les premiers ; et entre la notion et la vérité, vous avez, là encore, choisi la première. Devant vos méfaits de toutes sortes, J’ai simplement perdu foi en vous. Simplement cela Me sidère que vos cœurs soient si résistants à l’adoucissement. Toutes ces années de dévouement et d’efforts semblent ne M’avoir apporté qu’abandon et résignation de votre part, mais l’espoir que Je place en vous grandit chaque jour qui passe, car Mon jour a été entièrement révélé devant tout le monde. Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. Quelle sera alors votre fin ? Y avez-vous déjà prêté une attention particulière ? Si l’on vous demandait de choisir à nouveau, pour quoi opteriez-vous ? Le premier choix, encore ? M’apporteriez-vous encore déception et chagrin misérable ? Votre cœur contiendrait-il encore une once de chaleur ? Ne sauriez-vous toujours pas quoi faire pour réconforter Mon cœur ? En cet instant même, que choisissez-vous ? Vous soumettrez-vous à Mes paroles ou en éprouverez-vous de l’aversion ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, À qui es-tu fidèle ?). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai reconnu que, comme Dieu l’avait dit, j’étais quelqu’un qui tenait l’argent dans une main et la vérité dans l’autre. Bien que j’aie vu très clairement que l’argent ne pouvait pas sauver la vie de l’homme, qu’il n’était pas la racine de l’existence de l’homme, et qu’il ne pouvait pas libérer les gens de la douleur, je ne pouvais toujours pas résister à sa tentation. Lorsque j’avais des affaires à régler qui entraient en conflit avec les réunions, j’avais fait passer l’argent en premier et j’avais été incapable de faire le bon choix. N’avais-je pas été très têtu et insensé ? J’étais exactement comme les paroles de Dieu l’avaient exposé : « Pourtant, vous persistez à rechercher des choses sombres et mauvaises, et vous refusez de lâcher prise. » Mon cœur était tellement intransigeant et obstiné que je ne comprenais pas du tout la sollicitude de Dieu, et je n’avais pas bien compris comment Dieu S’obstine à attendre l’homme. Je voulais croire en Dieu comme il se doit, je ne pouvais plus ne pas être à la hauteur de Ses intentions. Mais je savais que j’étais de petite stature et que je ne pouvais pas m’en sortir tout seul. J’ai prié Dieu de toute urgence : « Dieu ! Je veux me libérer de cette vie. Je suis absorbé par le travail et l’argent toute la journée, et je suis incapable de lire calmement Tes paroles et d’aller aux réunions. Vivre ainsi a sérieusement affecté ma vie d’Église. Dieu, s’il Te plaît, montre-moi un moyen de m’en sortir. Je veux vraiment changer ; je T’en prie, donne-moi la foi et la force de me libérer de cette vie de souffrance ».

Plus tard, lors d’une réunion, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu qui ont profondément touché mon cœur. Dieu dit : « Des yeux qui sont pleins de fourberie et de discrimination envers les autres ne sont pas ce que les jeunes devraient avoir, et les jeunes gens ne devraient pas commettre des actes destructeurs et abominables. Ils ne devraient pas être sans aspirations, sans dynamisme ou sans le désir enthousiaste de s’améliorer ; ils ne devraient pas être découragés au sujet de leurs perspectives ni ne devraient perdre espoir en la vie ou confiance en l’avenir ; ils devraient avoir la persévérance de continuer sur le chemin de la vérité qu’ils ont maintenant choisi, afin de réaliser leur désir de dépenser leur vie entière pour Moi. Ils ne devraient pas être dépourvus de la vérité ni dissimuler l’hypocrisie et l’injustice, mais ils devraient rester fermes dans la bonne position. Ils ne devraient pas seulement se laisser aller, mais ils devraient avoir l’esprit d’oser faire des sacrifices et de lutter pour la justice et la vérité. Les jeunes devraient avoir la bravoure de ne pas succomber à l’oppression des forces des ténèbres et de transformer la signification de leur existence. Les jeunes ne devraient pas se résigner à l’adversité, mais ils devraient être ouverts et francs avec un esprit de pardon pour leurs frères et sœurs. […] les jeunes ne devraient pas manquer de détermination pour pratiquer leur discernement dans les problèmes et pour chercher la justice et la vérité. Vous devriez poursuivre toutes les choses belles et bonnes, et vous devriez obtenir la réalité de toutes les choses positives, ainsi qu’être responsables de votre vie ; vous ne devez pas la prendre à la légère » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Paroles pour les jeunes et les vieux). « Réveillez-vous, frères ! Réveillez-vous, sœurs ! Mon jour ne tardera pas. Le temps, c’est la vie, et ressaisir le temps, c’est sauver la vie ! Le temps est proche ! Si vous ratez l’examen d’entrée à l’université, vous pouvez étudier et le repasser autant de fois qu’il vous plaira. Cependant, Mon jour ne souffrira aucun retard supplémentaire. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Je vous exhorte par ces bonnes paroles. La fin du monde se déroule devant vos yeux et de grandes catastrophes approchent rapidement. Qu’est-ce qui est le plus important, votre vie, ou votre sommeil, ce que vous mangez et buvez et vos vêtements ? Le temps d’évaluer ces choses est venu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 30). En lisant ces paroles de Dieu, mon cœur a été touché et j’ai pensé : « J’ai déjà manqué plusieurs occasions et ce temps est perdu à jamais. De nos jours, la situation dans tous les pays est agitée, les tremblements de terre, les guerres, les pandémies et autres catastrophes naturelles ou causées par l’homme se succèdent sans interruption. Il ne nous restera plus beaucoup de temps pour poursuivre la vérité. Si je continue à les manquer, je risque de les rater pour toujours ; je n’aurai peut-être jamais d’autre chance. Vais-je vraiment attendre d’être confronté à la mort pour croire en Dieu ? Ne sera-t-il pas trop tard ? Qu’est-ce qui est le plus important, gagner de l’argent ou ma vie ? Il est temps pour moi de réfléchir à tout cela. » J’ai eu une idée des intentions et des exigences de Dieu à l’égard des jeunes en lisant Ses paroles : « Les jeunes devraient avoir la bravoure de ne pas succomber à l’oppression des forces des ténèbres et de transformer la signification de leur existence » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Paroles pour les jeunes et les vieux). Les paroles de Dieu m’ont donné foi et force. Je ne pouvais plus continuer à m’entêter et à être insensé comme cela. Je ne devrais pas vivre pour l’argent, la gloire et le gain ; ce que je devais faire, c’était suivre le chemin de la croyance en Dieu et de la poursuite de la vérité. Je devais mettre un terme à ma vie passée, et j’ai donc décidé de laisser tomber mon commerce.

J’ai ensuite parlé de cette idée à mes proches. Ils ont tout fait pour m’en dissuader, en me disant qu’ils augmenteraient ma prime de fin d’année et mon salaire fixe. Ainsi, je gagnerais plus de 10 000 yuans par mois, et si l’on ajoutait la prime de fin d’année, je gagnerais presque 200 000 yuans par an. C’était déjà beaucoup pour un résident d’une petite ville. J’étais très tenté, mais même si l’offre était alléchante, j’avais déjà pris ma décision. Je ne voulais plus vivre cette vie où je tenais l’argent d’une main et la vérité de l’autre. Plus tard, j’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Si tu as une haute position, une réputation honorable, possédant de grandes connaissances, détenteur d’actifs abondants et soutenu par beaucoup de gens, ces choses ne t’empêchent pas pour autant de venir devant Dieu pour accepter Son appel et Sa commission, ni de faire ce qu’Il te demande, alors tout ce que tu feras relèvera de la cause la plus significative sur terre et de l’entreprise la plus juste de toute l’humanité. Si tu rejettes l’appel de Dieu pour ton statut et tes propres objectifs, tout ce que tu fais sera maudit et même méprisé par Lui » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Addendum 2 : Dieu préside au destin de toute l’humanité). Dans le passé, je vivais pour ma chair et pour Satan, ne fixant mes objectifs que sur l’argent, la gloire et le gain. Par conséquent, j’étais devenu de plus en plus méchant et corrompu, m’éloignant de plus en plus de Dieu et passant chaque jour comme un cadavre ambulant. Maintenant, je voulais changer mon mode de vie et suivre Dieu de tout cœur. Plus tard, mes proches m’ont à nouveau incité à rester, et sachant que c’était Satan qui se servait d’eux pour m’empêcher de me présenter devant Dieu, j’ai prié Dieu et Lui ai demandé de me montrer un moyen de m’en sortir : « Dieu, je ne veux pas continuer à poursuivre l’argent, la gloire et le gain et à marcher sur le mauvais chemin. Je veux vivre une vie qui a du sens et de la valeur. S’il Te plaît, guide-moi et donne-moi la foi pour surmonter cette tentation de Satan ! » J’ai compris que c’était la manière de Satan de me séduire et de me conquérir, alors, en riant, j’ai dit à mes proches : « Je sais que vos intentions sont bonnes, mais je veux m’aventurer dans le monde pendant que je suis encore jeune et ne pas toujours compter sur ma famille et mes amis. J’ai déjà pris ma décision, je vais me lancer seul. » Mes proches ont compris que j’avais pris ma décision et ont respecté mon choix. J’ai compris que c’était Dieu qui me montrait une porte de sortie et j’ai profité de cette occasion pour lâcher mon travail. Après cela, j’ai pu croire en Dieu et assister aux réunions en toute sérénité, et j’ai commencé à faire mon devoir. Lors des échanges avec les frères et sœurs, je n’avais plus besoin de faire semblant et d’agir de manière hypocrite comme lorsque je faisais des affaires. À l’Église, je pouvais me débarrasser de tous les fardeaux et de tous les faux-semblants. Si j’avais des problèmes, je pouvais prier Dieu, ouvrir mon cœur aux frères et sœurs et communiquer avec eux, et ils m’aideraient sincèrement et de tout cœur. J’ai senti à quel point les frères et sœurs étaient sincères et bons, et j’ai ressenti de la solidarité. Ce sont des choses que je n’avais jamais ressenties auparavant. J’étais très heureux de vivre ainsi, et une telle paix et une telle joie étaient des choses qu’aucune somme d’argent ne pouvait acheter !

Aujourd’hui, j’ai trouvé un travail simple et ordinaire, et le seul fait d’avoir des vêtements et de la nourriture me suffit. Je consacre mon temps et mon énergie à ce qui a le plus de sens et de valeur : la poursuite de la vérité et l’accomplissement de mon devoir. Je rends grâce à Dieu de m’avoir permis d’attraper la COVID et d’avoir réveillé mon cœur engourdi, et de m’avoir aidé à voir clairement le chemin et la direction de ma vie et à faire le choix le plus juste.