Se libérer des chaînes de la servitude
Par Zhou Yuan, Chine Dieu Tout-Puissant dit : « C’est maintenant le moment où Je détermine la fin de chaque personne, et non la phase à...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Lettre à ma femme
Chère Huijuan,
J’ai bien reçu ta lettre dans laquelle tu racontes que nos enfants ont été exclus de l’Église. Au début, je n’ai tout simplement pas pu l’accepter. Je me souviens qu’il y a quelques années, quand je rentrais à la maison, Xiaotao et Xiaomin assistaient encore aux réunions et accomplissaient leurs devoirs. Alors comment se fait-il qu’ils aient été exclus ? Bien qu’ils n’aient pas vraiment recherché la vérité, ils étaient tous les deux fidèles à la foi. Le dirigeant leur en demandait-il trop ? Leur exclusion était-elle une erreur ? Je t’en ai même voulu. Nos enfants suivaient les tendances du monde et se souciaient uniquement de courir après l’argent. Ils n’étaient pas disposés à faire un devoir ou à manger et boire les paroles de Dieu. Je me suis demandé pourquoi tu n’avais pas fait l’effort d’échanger avec eux. Si seulement j’avais été à la maison, j’aurais pu les aider et les soutenir davantage et je ne les aurais pas laissés en arriver au point d’être exclus. À cette période, c’était le genre de pensées qui emplissaient mon esprit. Je restais allongé dans mon lit la nuit, incapable de dormir, hanté par les souvenirs heureux de nous tous, ensemble, chantant les louanges de Dieu et mangeant et buvant Sa parole. Je me souviens t’avoir dit que j’espérais que toute notre famille pourrait poursuivre activement la vérité, être sauvée par Dieu et vivre dans Son royaume. Et comme ce serait merveilleux ! Je ne m’attendais pas à ce que, au moment où l’œuvre de Dieu était sur le point de s’achever, nos enfants soient révélés comme incrédules et exclus de l’Église. Cela ne signifiait-il pas qu’ils avaient perdu leur chance de salut ? Plus j’y pensais, plus j’étais contrarié. Quand j’ai vu les catastrophes se multiplier et la pandémie s’aggraver, ça m’a particulièrement inquiété pour l’avenir de nos enfants. Je voulais même écrire une lettre au dirigeant d’Église pour lui demander si nos enfants pouvaient rester au service de l’Église, afin qu’il y ait une lueur d’espoir pour leur salut. Ayant passé des années à faire un devoir à cause des poursuites du PCC, j’ai eu le sentiment de ne pas m’être soucié d’eux et de ne pas avoir rempli mes responsabilités de père j’ai eu le sentiment de leur être redevable. Huijuan, savais-tu que, pendant que je vivais dans cet état, mon cœur était rempli d’obscurité et d’abattement et je ne pouvais pas me concentrer sur mon devoir ? J’ai réalisé que mon état était mauvais, alors j’ai prié Dieu : « Ô Dieu ! Ça me fait de la peine de savoir que mes enfants ont été exclus de l’Église. Même si je sais que Tu l’as permis et que je dois me soumettre, je ne peux laisser tomber mes enfants et j’ai le sentiment de leur être vraiment redevable. Ô Dieu, s’il Te plaît, éclaire-moi pour que je comprenne la vérité à ce sujet et que je ne sois pas limité par mes affections. »
Après avoir prié, j’ai lu cette parole de Dieu : « Y avait-il des détails particuliers au sujet des pratiques de Job ? Tout d’abord, parlons de la façon donc il traitait ses enfants. Son but était de se soumettre aux arrangements et aux orchestrations de Dieu en toutes choses, il n’essayait pas de forcer les choses que Dieu ne faisait pas, il n’avait pas non plus de calculs ni de plans basés sur la volonté humaine. Il prêtait l’oreille et attendait les arrangements et les orchestrations de Dieu en toutes choses. C’était un principe général. […] Comment Job traitait-il ses enfants ? Il assumait simplement sa responsabilité de père, leur prêchant l’Évangile et échangeant avec eux sur la vérité. Cependant, qu’ils l’écoutent ou non, qu’ils obéissent ou non, Job ne les forçait pas à croire en Dieu : il ne les harcelait pas à grand renfort de coups de pied et de cris et ne s’immisçait pas dans leur vie. Leurs idées et leurs opinions étant différentes des siennes, il n’interférait pas avec ce qu’ils faisaient, ni avec le type de chemin qu’ils suivaient. Job parlait-il rarement à ses enfants de la croyance en Dieu ? Il aurait certainement eu matière à discuter avec eux à ce sujet, mais ils refusaient d’écouter et n’acceptaient pas ses paroles. Quelle était l’attitude de Job à cet égard ? “J’ai assumé ma responsabilité ; quant au type de chemin qu’ils suivent, cela dépend de ce qu’ils choisissent, et cela dépend des orchestrations et des arrangements de Dieu. Si Dieu n’œuvre pas sur eux, ou ne les touche pas, je ne chercherai pas à les forcer.” Par conséquent, Job n’a pas prié pour eux devant Dieu, ni versé des larmes d’angoisse sur eux, ni jeûné pour eux, ni souffert de quelque manière que ce soit. Il n’a pas fait ces choses. Pourquoi Job n’a-t-il fait aucune de ces choses ? Parce que rien de tout cela n’était une façon de se soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu : tout cela provenait d’idées humaines et permettait de forcer activement les choses. […] Sa méthode de pratique était correcte : dans toutes les manières qu’il pratiquait, dans le point de vue, l’attitude et l’état avec lesquels il traitait tout, il était toujours dans une attitude et un état de soumission, d’attente, de recherche, parvenant ainsi à la connaissance. Cette attitude est très importante. Si les gens n’ont jamais ce genre d’attitude dans tout ce qu’ils font et qu’ils ont des idées personnelles particulièrement fortes et placent les objectifs et les profits personnels avant tout, se soumettent-ils vraiment ? (Non.) Chez de telles personnes, une véritable soumission ne peut être observée : ils sont incapables de parvenir à une véritable soumission » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Les principes de la pratique de la soumission à Dieu). En lisant ce passage de la parole de Dieu, je me suis senti humilié et honteux. Job ne s’était pas fié à son affection pour gérer ses enfants et il était capable d’être rationnel. Même s’il espérait que ses enfants croient en Dieu et se gardent du mal afin de ne pas trop pécher et de ne pas marcher sur le chemin de la destruction, quand il a compris qu’ils n’adoraient pas Dieu et banquetaient tous les jours, il ne les a pas forcés à changer leurs habitudes ni à suivre un chemin en particulier. Il s’est simplement soumis aux orchestrations et arrangements de Dieu et s’est abstenu de pécher contre Dieu. Plus tard, quand ses enfants ont été écrasés à mort, Job n’a pas blâmé Dieu. J’ai compris que dans la gestion de ses enfants, Job craignait Dieu et se soumettait à Lui. Et pourtant, quand j’ai découvert que mon fils avait quitté l’Église pour des activités du monde et que ma fille avait été exclue, je me suis concentré sur mon affection charnelle pour la famille. J’ai réfléchi à un moyen pour eux de garder un espoir d’être bénis. Peu importe si leur foi était sincère ou non, ou s’ils poursuivaient la vérité, je voulais juste qu’ils puissent rester pour rendre service dans l’Église. Je voulais même que le dirigeant leur donne une autre chance, leur permettant de rester au service de l’Église de quelque manière que ce soit. Quand il s’agissait de mes enfants, je voulais juste utiliser des méthodes humaines pour sauver les choses. Je ne me soumettais pas à la souveraineté ou aux arrangements de Dieu. Quand j’ai découvert que mes enfants étaient définis comme incrédules, non seulement je n’ai pas cherché la vérité pour identifier leur essence, mais j’ai vécu dans un malentendu, émettant des doutes quant à l’impartialité du dirigeant et j’ai perdu ma motivation pour mon devoir. Mon cœur n’avait de place que pour mes enfants ; Dieu n’y avait pas de place. Je me suis souvenu d’une des exigences claires dans les décrets administratifs de Dieu qui dit : « Ceux de ta famille qui n’ont pas la foi (tes enfants, ton mari ou ton épouse, tes sœurs ou tes parents, etc.) ne doivent pas être forcés à se joindre à l’Église. La maison de Dieu ne manque pas de membres et il n’est pas nécessaire d’ajouter à son nombre des gens qui ne sont d’aucune utilité. Tous ceux qui ne croient pas volontiers ne doivent pas être conduits à l’Église. Ce décret s’adresse à tous. Vous devez vous observer les uns les autres, vous surveiller et vous rappeler ce décret ; personne ne peut le violer » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les dix décrets administratifs qui doivent être respectés par les élus de Dieu à l’ère du Règne). Je me souviens que tu disais dans ta lettre que les frères et sœurs les avaient beaucoup soutenus, et qu’eux-mêmes avaient choisi de ne pas se repentir, de ne jamais lire les paroles de Dieu et de ne plus assister aux réunions pendant longtemps. Cela montrait déjà qu’ils étaient incrédules, pourtant, j’ai ignoré les paroles de Dieu et j’ai voulu me fier à mon affection pour les garder dans l’Église. J’étais vraiment rebelle ! Je ne peux pas continuer à me fier à mes affections. Pour la gestion de nos enfants, je dois être comme Job : rechercher la vérité et me soumettre aux orchestrations et arrangements de Dieu. C’est lla raison que je devrais avoir.
Ensuite, j’ai pensé à toutes les personnes qui avaient été révélées et éliminées ces dernières années. Je n’avais aucune notion à ce sujet car je savais que Dieu est juste et que, dans Sa maison, la vérité règne en maître et personne n’est lésé. Mais quand j’ai vu que nos enfants avaient été exclus, pourquoi ne me suis-je pas soumis à Dieu ou n’ai-je pas loué Sa justice au lieu de me fier à mon affection et d’émettre des doutes quant à l’impartialité de l’Église ?
J’ai continué de lire la parole de Dieu : « Qu’est-ce qui caractérise les sentiments ? Certainement rien de positif. C’est une focalisation sur les relations physiques et sur la satisfaction des prédilections de la chair. Faire preuve de favoritisme, défendre les défauts des autres, dorloter, choyer et gâter, tout cela relève des sentiments. Certains accordent une grande importance aux sentiments, ils réagissent à tout ce qui leur arrive en fonction de leurs sentiments ; dans leur cœur, ils savent parfaitement qu’ils ont tort, et pourtant, ils sont toujours incapables d’être objectifs, et encore moins capables d’agir conformément aux principes. Quand on est en permanence dominé par ses sentiments, est-on capable de pratiquer la vérité ? C’est extrêmement difficile ! Ce sont les sentiments qui rendent beaucoup de gens incapables de pratiquer la vérité ; ils considèrent les sentiments comme étant particulièrement importants, ils les placent en première position. Aiment-ils la vérité ? En aucun cas. Que sont les sentiments, en substance ? Ils sont une sorte de tempérament corrompu. On peut caractériser les manifestations des sentiments en utilisant différents termes : favoritisme, protection des autres sans respect des principes, préservation des relations physiques et partialité. Voilà ce que sont les sentiments. Quelles sont les conséquences probables du fait que les gens ont des sentiments et vivent selon eux ? Pourquoi Dieu déteste-t-Il le plus les sentiments des gens ? Certaines personnes sont toujours gouvernées par leurs sentiments, elles ne peuvent pas mettre la vérité en pratique, et bien qu’elles souhaitent se soumettre à Dieu, elles ne le peuvent pas. Par conséquent, elles sont tourmentées par leurs sentiments. Beaucoup de gens comprennent la vérité mais ne peuvent pas la mettre en pratique. C’est, là encore, parce qu’ils sont gouvernés par leurs sentiments. Par exemple, certains quittent leur foyer pour accomplir leurs devoirs, mais ils pensent tout le temps à leur famille, nuit et jour et ils n’arrivent pas à bien accomplir leurs devoirs. N’est-ce pas un problème ? Certains ont un amour secret et il n’y a de place que pour cette personne dans leur cœur, ce qui affecte l’accomplissement de leurs devoirs. N’est-ce pas un problème ? Certains admirent et idolâtrent les autres. Ils n’écouteront personne sauf cette personne en particulier, jusqu’à ne même plus écouter Dieu. Même si quelqu’un d’autre échange sur la vérité avec eux, ils ne l’accepteront pas. Ils n’écoutent que les paroles de cette personne, les paroles de leur idole. Certains ont une idole dans leur cœur, et ils ne permettent à personne d’en parler ou d’y toucher. Si quelqu’un parle des problèmes de leur idole, ils se mettent en colère, se font un devoir de la défendre et de déformer les propos de cette personne. Ils ne permettront pas que leur idole subisse une injustice sans être défendue, et feront tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger sa réputation. Dans leur bouche, les torts de leur idole deviennent justes, et ils ne laissent pas les autres dire la vérité ou l’exposer. C’est une injustice ; on parle de sentiments » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Quelle est la vérité-réalité ?). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que l’affection appartient à un tempérament satanique corrompu, et qu’en se fiant à l’affection, non seulement on ne peut pas voir les choses ou les gens équitablement, mais on développe des préjugés et du favoritisme et on viole les principes pour protéger ses relations charnelles. De la même façon, quand j’ai appris que Xiaotao et Xiaomin avaient été exclus, je n’ai pas recherché l’intention de Dieu, ou réfléchi aux leçons que je devais en tirer ni la vérité dans laquelle je devrais entrer. À la place, j’ai évoqué l’idée que le dirigeant agissait sans principes. Je voulais donner suite en écrivant une lettre au dirigeant, lui demandant que mes enfants soient mis hors de cause et autorisés à continuer de faire un devoir dans l’Église. J’ai compris que laisser mes sentiments guider mes actions en ce qui concerne mes enfants était une forme de parti pris et de favoritisme, et était sans principe. Après toutes ces années de foi, je savais que l’Église avait des principes pour exclure les gens et que cela se basait sur le comportement durable d’une personne plutôt que sur une manifestation temporaire. Ce n’est que si une personne ne se repent pas après une aide et un échange considérables, et qu’elle est finalement définie comme une malfaitrice ou une incrédule, qu’elle sera traitée selon les principes. Et ce n’est qu’avec l’approbation d’au moins 80 % de l’Église qu’elle est exclue. C’est juste et conforme à la vérité. J’ai pensé à notre fils et au moment où je lui avais demandé pourquoi il était venu faire un devoir. Il m’avait dit : « Je suis venu faire un devoir parce que tu me manquais. » J’ai compris qu’il n’y avait pas de place pour Dieu dans son cœur, qu’il n’aimait pas du tout la vérité et qu’il ne faisait pas son devoir pour rechercher la vérité. Quand il a vu que la maison de Dieu échangeait continuellement sur la vérité et que cela ne pouvait pas satisfaire ses désirs, il a voulu abandonner son devoir. Les dirigeants avaient énormément échangé avec lui, mais il n’écoutait jamais. À la maison, quand il avait du temps libre, au lieu de lire la parole de Dieu, il jouait à des jeux. C’était un incrédule ! De même, notre fille a cru pendant plus d’une décennie mais mangeait ou buvait rarement les paroles de Dieu ; et ses points de vue étaient semblables à ceux des non-croyants. Même si elle faisait son devoir de temps en temps, chaque fois que cela ne correspondait pas à ses notions ou que cela affectait ses intérêts, elle ne le faisait pas. Elle n’avait pas une vraie foi en Dieu et était, par essence, également une incrédule.
Je me suis rappelé un passage des paroles de Dieu : « Quand quelqu’un est véritablement défini aux yeux de Dieu comme s’étant retiré, cela ne veut pas simplement dire que cette personne a quitté la maison de Dieu, qu’on ne la voit plus, ou qu’elle a été rayée des registres de l’Église. Le fait est que si une personne ne lit pas les paroles de Dieu, alors, quelle que soit l’ampleur de sa foi, et qu’elle reconnaisse ou non qu’elle est une croyante en Dieu, cela prouve qu’elle ne reconnaît pas dans son cœur que Dieu existe, ni que Ses paroles sont la vérité. Pour Dieu, cette personne s’est déjà retirée et n’est plus considérée comme un membre de Sa maison. Ceux qui ne lisent pas les paroles de Dieu sont un type de personnes qui se sont retirées. […] Il y en a d’autres : ceux qui refusent de faire des devoirs. Quelle que soit la demande que leur présente la maison de Dieu, quel que soit le genre de travail qu’elle voudrait qu’ils fassent, quel que soit le devoir qu’elle leur demanderait de faire, dans les grandes comme dans les petites choses, même s’il s’agit de quelque chose d’aussi simple que de faire passer un message occasionnel, ils ne veulent pas le faire. Ces croyants autoproclamés ne peuvent même pas faire des tâches que l’on pourrait confier à un non-croyant dans le but d’aider. C’est un refus d’accepter la vérité et un refus de faire un devoir. Peu importe combien les frères et les sœurs les exhortent, ils le refusent et ne l’acceptent pas. Quand l’Église arrange un certain devoir pour qu’ils le fassent, ils l’ignorent et abondent en excuses pour le refuser. Telles sont les personnes qui refusent de faire des devoirs. Pour Dieu, de telles personnes se sont déjà retirées. Leur retrait n’est pas lié au fait que la maison de Dieu les aurait exclues ou rayées de ses listes. C’est plutôt qu’elles n’ont plus elles-mêmes la vraie foi : elles ne se reconnaissent pas comme étant des croyantes en Dieu » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). « Qui est Satan, qui sont des démons et qui sont les ennemis de Dieu, sinon des résistants qui ne croient pas en Dieu ? Ne sont-ce pas ces gens qui se rebellent Dieu ? Ne sont-ce pas ces gens qui prétendent avoir la foi, mais n’ont pas la vérité ? Ne sont-ce pas ceux qui cherchent simplement à obtenir des bénédictions sans pouvoir témoigner pour Dieu ? Tu te mêles toujours à ces démons aujourd’hui et tu les traites avec conscience et amour, mais dans ce cas, n’es-tu pas en train d’avoir de bonnes intentions à l’égard de Satan ? N’es-tu pas de mèche avec les démons ? Si les gens sont parvenus jusque-là et ne sont toujours pas en mesure de faire la distinction entre le bien et le mal, et continuent aveuglément d’aimer et d’être miséricordieux sans aucun désir de chercher les intentions de Dieu ou d’être, d’aucune manière, capable de prendre les intentions de Dieu comme étant les leurs, alors leur fin sera d’autant plus misérable » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu et l’homme entreront dans le repos ensemble).
Huijuan, après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai réalisé à quel point j’avais été pitoyable et stupide. J’avais voulu utiliser des moyens humains pour garder nos enfants dans l’Église, pensant qu’ils survivraient peut-être à la fin s’ils rendaient un peu service à l’Église. Mais à la lumière de la parole de Dieu, je vois à quel point ma réflexion était absurde. De fait, tous ceux qui croient en Dieu mais ne lisent pas Sa parole ou ne font pas un devoir ne sont pas du tout reconnus comme des croyants par Dieu, même s’ils n’ont pas encore été exclus, car ils se sont déjà retirés aux yeux de Dieu. J’ai comparé ça avec le comportement de nos enfants. Après toutes ses années de foi, Xiaotao suivait toujours les tendances du monde. Il ne lisait pas les paroles de Dieu et ne faisait pas de devoir. J’ai vu qu’il n’aimait pas du tout la vérité, qu’il l’avait fondamentalement en aversion et qu’il était un incrédule. Xiaomin avait eu la foi pendant des années mais elle ne s’était jamais concentrée sur la lecture des paroles de Dieu, et elle aurait pu être exclue comme non-croyante sur ce seul critère. La maison de Dieu n’a pas besoin de gens comme ça pour faire ses effectifs, et encore moins du service de tels incrédules. Même si l’Église ne les avait pas exclus, Dieu ne les aurait pas reconnus comme croyants. Grâce à cette prise de conscience, j’ai pleinement compris que l’exclusion de Xiaotao et Xiaomin était parfaitement conforme aux paroles de Dieu et aux vérités-principes. Je devrais faire preuve de discernement, me tenir aux côtés de Dieu en considérant les choses conformément aux vérités-principes, et me soumettre à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Mais je me fiais à mon affection pour gérer nos enfants. Et, sans connaître les faits, j’avais soupçonné le dirigeant de les avoir exclus à tort et j’avais voulu que ces incrédules restent et augmentent les effectifs de l’Église. Je protégeais toujours mes relations charnelles. N’étais-je pas en train de me mêler aux démons, de tendre une main pleine de bonnes intentions et d’amour à Satan, exactement comme Dieu l’a exposé ? Je ne pouvais pas distinguer le bien du mal, fréquentais des démons et, au fond, résistais à Dieu.
Je me suis également demandé pourquoi je m’en suis tant voulu et je me suis senti si honteux quand nos enfants ont été exclus. Et pourquoi j’avais le sentiment de ne pas avoir rempli mes responsabilités de père : je soupçonnais que, si seulement j’avais trouvé le temps de rentrer à la maison, d’échanger avec eux et de les aider davantage, ils n’en seraient jamais arrivés là. Huijuan, ton état est-il le même que le mien ? Plus tard, j’ai lu la parole de Dieu disséquant et exposant la pensée traditionnelle et j’ai compris que j’avais été influencé par la notion traditionnelle de « nourrir sans enseigner est une faute du père ». Les paroles de Dieu disent : « Quelle sorte d’expression est : “Nourrir sans enseigner est une faute du père” ? En quoi est-elle fausse ? Cette expression signifie que si les enfants sont désobéissants ou immatures, c’est la responsabilité du père, c’est-à-dire que les parents ne les ont pas bien éduqués. Mais est-ce vraiment le cas ? (Non.) Certains parents se comportent de manière adéquate et pourtant, leurs fils sont des voyous et leurs filles des prostituées. L’homme qui joue le rôle du père se met très en colère et dit : “Nourrir sans enseigner est une faute du père, je les ai trop gâtés !” Est-ce que c’est une bonne chose de dire cela ou non ? (Non, c’est faux.) En quoi est-ce faux ? Si tu peux comprendre ce qui est faux dans cette expression, cela prouve que tu comprends la vérité et que tu comprends ce qui est faux dans le problème qui se trouve dans cette expression. Si tu ne comprends pas la vérité dans cette affaire, alors tu ne peux pas l’expliquer clairement » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)). « La première chose à préciser est qu’il est faux de dire : “L’incapacité des enfants à suivre le bon chemin est due à leurs parents.” Qui que ce soit, si une personne est d’un certain type, elle suivra un certain chemin. N’est-ce pas certain ? (Si.) Le chemin qu’une personne emprunte détermine ce qu’elle est. Le chemin qu’elle emprunte et le type de personne qu’elle devient dépendent d’elle. Ce sont des choses prédestinées, innées, qui ont à voir avec la nature de la personne. Alors à quoi sert l’éducation parentale ? Peut-elle contrôler la nature d’une personne ? (Non.) L’éducation parentale ne peut pas contrôler la nature humaine et ne peut pas résoudre le problème du chemin que suivra quelqu’un. Quelle est la seule éducation que les parents peuvent donner ? Quelques comportements simples dans la vie quotidienne de leurs enfants, quelques pensées et règles de conduite assez superficielles – ce sont des choses qui ont quelque chose à voir avec les parents. Avant que leurs enfants n’atteignent l’âge adulte, les parents devraient s’acquitter de la responsabilité qui leur incombe, à savoir enseigner à leurs enfants à suivre la bonne voie, à étudier dur, s’efforcer d’être capable de s’élever au-dessus des autres quand ils grandiront, ne pas faire de mauvaises actions et ne pas devenir de mauvaises personnes. Les parents doivent également réguler le comportement de leurs enfants, leur apprendre à être polis et à saluer leurs aînés chaque fois qu’ils les voient, et leur enseigner d’autres choses en lien avec le comportement ; c’est la responsabilité que les parents doivent assumer. S’occuper de la vie de leur enfant et l’éduquer en lui inculquant quelques règles élémentaires de comportement, c’est à cela que se résume l’influence parentale. Quant à la personnalité de l’enfant, ce n’est pas quelque chose que les parents peuvent lui enseigner. Certains parents sont décontractés et font tout à un rythme tranquille, alors que leurs enfants sont très impatients et ne peuvent pas rester en place même pour un court instant. Ils partent seuls pour gagner leur vie à 14 ou 15 ans, ils prennent leurs propres décisions en toute chose, ils n’ont pas besoin de leurs parents et ils sont très indépendants. Cela leur a-t-il été enseigné par leurs parents ? Non. Par conséquent, la personnalité, le tempérament et même l’essence d’une personne, ainsi que le chemin qu’elle choisira à l’avenir, n’ont absolument rien à voir avec ses parents. […] Certains parents croient en Dieu et enseignent à leurs enfants à croire en Dieu, mais quoi qu’ils disent, leurs enfants ne croient pas et les parents ne peuvent rien y faire. Certains parents ne croient pas en Dieu, alors que leurs enfants croient en Dieu. Une fois que leurs enfants commencent à croire en Dieu, ils Le suivent, se dépensent pour Lui, sont capables d’accepter la vérité et de gagner l’approbation de Dieu, et leur destin change ainsi. Est-ce le résultat de l’éducation parentale ? Pas du tout, c’est lié à la prédestination et à la sélection de Dieu. Il y a un problème avec l’expression “nourrir sans enseigner est une faute du père”. Bien que les parents aient la responsabilité d’éduquer leurs enfants, le destin d’un enfant n’est pas déterminé par ses parents, mais par la nature de l’enfant. L’éducation peut-elle résoudre le problème de la nature d’un enfant ? Elle ne peut absolument pas le résoudre. Le chemin qu’une personne prend dans la vie n’est pas décidé par ses parents, mais est prédéterminé par Dieu. On dit que “le destin de l’homme est décidé par le Ciel”, et ce dicton est résumé par l’expérience humaine. Avant qu’une personne n’atteigne l’âge adulte, tu ne peux pas dire quel chemin elle prendra. Une fois qu’elle devient adulte, qu’elle a des pensées et qu’elle peut réfléchir aux problèmes, elle choisira ce qu’elle fera en dehors dans une plus large communauté. Certains disent qu’ils veulent être hauts fonctionnaires, d’autres qu’ils veulent être avocats, d’autres encore qu’ils veulent être écrivains. Chacun fait ses propres choix et a ses propres idées. Personne ne dit : “J’attendrai que mes parents m’éduquent, je deviendrai ce pour quoi mes parents m’éduqueront.” Personne n’est aussi stupide que cela. Après avoir atteint l’âge adulte, les idées des gens commencent à se bousculer et à mûrir progressivement, et ainsi le chemin et les objectifs qui les attendent deviennent de plus en plus clairs. À ce moment-là, peu à peu, le type de personne qu’ils sont devient évident et manifeste, ainsi que le groupe dont ils font partie. À partir de là, la personnalité de chacun s’affirme clairement peu à peu, ainsi que son tempérament, le chemin qu’ils poursuivent, leur direction dans la vie et le groupe auquel ils appartiennent. Sur quoi tout cela est-il basé ? En fin de compte, c’est ce que Dieu a prévu – cela n’a rien à voir avec les parents. Voyez-vous cela clairement maintenant ? » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie I)). Cette parole de Dieu a clairement décortiqué la notion traditionnelle de « nourrir sans enseigner est une faute du père ». L’avenir de nos enfants et les chemins qu’ils empruntent sont entièrement déterminés par leur nature. Cela n’a rien à voir avec notre rôle parental. La parentalité ne peut affecter que la vie quotidienne d’un enfant ou certains de ses comportements extérieurs, mais pas du tout sa nature. Une fois que les enfants ont mûri dans leur réflexion, ils choisissent des voies différentes en fonction de leur nature innée, trouvant leur chemin dans les catégories auxquelles ils appartiennent. Ceci est prédestiné par Dieu et ne peut être changé par personne. Mais je ne pouvais pas percevoir la nature-essence de nos enfants quand il s’agissait de la voie qu’ils prenaient dans leur foi. Je voulais même aider nos enfants à ma façon, pour qu’ils restent dans la foi et dans l’Église. J’espérais en vain me fier à mes propres méthodes pour sauver leurs destins. Je résistais obstinément à Dieu. Je ne suis qu’un être créé insignifiant et je n’ai même pas le contrôle de mon propre destin, alors comment pourrais-je espérer contrôler l’avenir de nos enfants ou changer leurs destinées ? J’étais vraiment arrogant et ignorant, et j’avais surestimé mes propres capacités. Je me suis alors demandé : « Pourquoi est-ce que je pense comme ça ? » Je me suis souvenu à quel point, quand ils étaient petits, nous croyions tous au Seigneur. Et quand nous avons accepté l’œuvre de Dieu des derniers jours, nous les avons amenés à l’Église et les avons encouragés à assumer un devoir. J’avais pensé que leur capacité à croire en Dieu était directement liée à notre rôle de parent. Alors quand j’ai appris qu’ils avaient été exclus, je me suis dit que je n’avais pas rempli mes responsabilités de père et que, si j’avais passé plus de temps avec eux pour les aider et pour échanger avec eux, ils n’auraient peut-être pas abandonné leur foi et n’auraient pas poursuivi le monde. Grâce à la parole de Dieu, je vois maintenant à quel point mes vues étaient complètement absurdes et à quel point elles ne correspondaient pas du tout à la vérité. Ils avaient cru en Dieu pendant plus d’une décennie, lu Sa parole, écouté des sermons et savaient qu’une vraie vie devait être vécue en poursuivant la vérité et en faisant le devoir d’un être créé. Mais ils n’avaient aucun intérêt pour la vérité et, voyant qu’ils n’étaient pas bénis après leurs années de foi, ils ont commencé à poursuivre les choses du monde et à céder à la chair. Ils ont trahi Dieu et ont suivi les tendances du monde malgré leur connaissance du vrai chemin. Et même si d’autres ont souvent échangé avec eux et les ont aidés, ils étaient têtus et impénitents. Cela montre que par nature, ils ont vraiment de l’aversion pour la vérité et qu’ils soutiennent le mal. Ils ne sont pas parmi ceux qui seront sauvés par Dieu, mais ils appartiennent au monde et aux démons Quand ils seront détruits dans les désastres à venir, ce sera parce qu’ils ont trahi Dieu, et ce sera uniquement de leur faute. J’ai aussi pensé au nombre de personnes dans l’Église qui n’ont pas été converties par leurs parents, mais plutôt par hasard, par des collègues, des amis ou même des étrangers qui ont partagé l’Évangile avec eux ; et la persécution de leurs parents ne pouvait les empêcher de croire ou de faire un devoir. Certains parents se fient à leurs affections pour continuer de prêcher leurs enfants, mais les enfants ne croient pas et même en veulent à leurs parents et leur résistent. Certains parents sont expulsés en raison de leur poursuite impénitente du statut et de nombreux maux. Cependant, leurs enfants ne sont pas affectés et peuvent même voir dans l’essence de leurs parents, conformément à la parole de Dieu, et les rejeter. De même, de nombreux enfants sont exclus et expulsés et leurs parents sont capables d’identifier leur essence à la lumière de la parole de Dieu. Grâce à ça, on peut voir que le fait qu’une personne suive le bon ou le mauvais chemin, qu’elle soit bonne ou mauvaise, qu’elle aime ou déteste la vérité, et même son résultat final sont entièrement déterminés par sa nature-essence et non le résultat de la parentalité. La responsabilité que les parents peuvent assumer est d’élever leurs enfants jusqu’à l’âge adulte et les amener devant Dieu. Mais le chemin qu’ils empruntent et leur destin échappent totalement au contrôle des parents. Nos enfants ont choisi d’eux-mêmes de prendre le mauvais chemin et même le fait que je remplisse mes responsabilités de père ne les ramènera pas. La question n’est pas de savoir si j’ai rempli ces responsabilités, ça n’a rien à voir. Leur nature a la vérité en aversion. Même si je restais avec eux et passais toutes mes journées à échanger avec eux, ce serait en vain. Lorsque j’ai considéré nos enfants conformément à la parole de Dieu, je me suis senti beaucoup plus libéré et je n’ai plus été dérangé dans mon devoir.
Huijuan, voilà ce que j’ai retiré de la situation ces jours-ci. Je sais que ton affection pour nos enfants est forte et que tout ça a dû être très dur pour toi. Je ne sais pas comment tu t’en es sorti. Bien que l’exclusion de nos enfants ne soit pas conforme à nos notions, il doit y avoir des leçons à tirer de la situation que Dieu a arrangée. J’espère que tu seras en mesure de rechercher la vérité là-dedans et d’approcher le sujet comme il faut. Tu peux m’écrire si, toi aussi, tu as retiré quelque chose de cette situation. J’attends ta réponse avec impatience.
Bien à toi,
Zhou Ming
Le 20 août 2022
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
Par Zhou Yuan, Chine Dieu Tout-Puissant dit : « C’est maintenant le moment où Je détermine la fin de chaque personne, et non la phase à...
Par Zheng Xin, Chine Un jour de juillet 2023, j’ai appris que Wang Hao, un frère de notre Église, avait eu un accident et qu’il était...
Par Ding Xin, ChineJe suis née dans une famille ordinaire de fermiers. Comme j’étais introvertie et que je n’aimais pas parler, depuis...
Par Zhengliang, ChineAprès avoir accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours, j’ai toujours répandu l’Évangile dans l’Église....