Réflexions après avoir été expulsé

1 mars 2025

Par Zhengliang, Chine

Après avoir accepté l’œuvre de Dieu Tout-Puissant des derniers jours, j’ai toujours répandu l’Évangile dans l’Église. Plus tard, je suis devenu chef de groupe et j’étais responsable du travail évangélique de quatre ou cinq Églises. Grâce à un travail acharné pendant un certain temps, le travail évangélique a produit certains résultats, et j’étais plutôt content de moi. Quelques dirigeants d’Églises qui avaient rencontré des difficultés avec le travail évangélique cherchaient notamment à échanger avec moi, et les frères et sœurs me tenaient également en haute estime. J’étais donc très heureux, me disant : « On dirait que je comprends une grande partie de la vérité et que j’ai un peu de vérité-réalité. »

En 2013, je suis revenu à l’Église locale pour répandre l’Évangile. Je me suis dit : « Ayant passé à peu près toute l’année qui s’est écoulée à répandre l’Évangile, j’ai eu pas mal de pratique, et je suis parvenu à comprendre quelques vérités. Maintenant que je suis revenu à l’Église, ils se focaliseront certainement sur ma formation, et quand ils écouteront mon échange, ce sera assurément différent d’avant. Je serai peut-être même élu dirigeant d’Église lors des élections. » Quelques jours plus tard, Jia Xin, une dirigeante d’Église, est venue chez moi. Elle a dit que son devoir l’épuisait réellement, et que quelques collaborateurs disaient qu’elle ne pouvait pas résoudre les problèmes, qu’elle était toujours à moitié endormie lors des réunions, qu’elle n’avait pas l’œuvre du Saint-Esprit, qu’elle devrait se considérer responsable et démissionner. Elle a dit que les prédicateurs l’avaient incitée à faire la même chose. Elle s’est également assurée de souligner qu’elle avait autrefois renvoyé ces deux prédicateurs, mais qu’ils n’avaient jamais réfléchi sur eux-mêmes et avaient même dit qu’elle les réprimait. Jia Xin nous a demandé comment elle devrait faire l’expérience de telles circonstances. L’entendre dire tout cela m’a mis très en colère. Je me suis dit : « N’est-ce pas des représailles ? J’ai déjà fait équipe avec Jia Xin, et elle pouvait vraiment souffrir et payer un prix en répandant l’Évangile. Parfois, les nouveaux venus travaillaient tard dans la journée, mais elle se rebellait quand même toujours contre sa chair et allait se réunir avec eux. Elle est plutôt responsable, comment peuvent-ils dire qu’elle n’a pas l’œuvre du Saint-Esprit ? Ne la répriment-ils pas ? C’est ce que font les faux dirigeants et ouvriers. Non, je ne peux pas laisser passer ça. Maintenant que je suis revenu, je dois l’aider. » Peu de temps après, ma femme et moi sommes allés essayer de mieux comprendre cette affaire et enquêter. Pendant notre enquête, j’étais assez content de moi. Je me disais : « Je suis assez perspicace : juste après mon retour à l’Église, je vais déjà discerner de faux dirigeants. Si ces faux dirigeants et ouvriers peuvent être signalés et renvoyés, j’aurai fait une bonne action. Après leur renvoi, j’aurai peut-être la chance d’être élu dirigeant. Je ferai vraiment d’une pierre deux coups. » En pensant à ça, mon « sens de la justice » s’est encore renforcé. Au bout de quelques jours, j’ai appris que Jia Xin avait été démise de son poste par plusieurs collaborateurs. Les collaborateurs ont décortiqué le comportement de Jia Xin lors des réunions et ont aidé les frères et sœurs à la discerner. En apprenant cette nouvelle, j’étais rempli de colère, me disant : « Jia Xin peut renoncer et souffrir plus que n’importe lequel d’entre vous. Comment pourrait-elle être une fausse dirigeante qui n’a pas l’œuvre du Saint-Esprit ? Vous pouvez tous être démis, mais pas elle. » Je pensais que c’était un acte de représailles, alors j’ai répandu l’accusation sur les lieux de réunions que c’était de faux dirigeants et ouvriers, et que démettre Jia Xin n’était pas conforme aux arrangements du travail. À cause de ça, les frères et sœurs n’ont pas pu vivre des vies d’Église normales, et l’Église est devenue quelque peu chaotique.

Quelques temps après, une sœur est venue s’occuper du chaos à l’Église. Elle a dit que son enquête avait démontré que Jia Xin ne savait pas échanger sur la vérité et ne pouvait pas résoudre les véritables problèmes des frères et sœurs. Elle a dit que Jia Xin était vraiment une fausse dirigeante qui ne pouvait pas faire de travail réel, et qu’elle devrait être renvoyée conformément aux principes. Mais en entendant la sœur dire ça, j’étais quelque peu méfiant, me disant : « Avions-nous réellement tort à ce sujet ? Ce n’est pas possible ! J’ai moi aussi une base pour la façon de juger les gens. Vous tous ne m’induirez pas en erreur. Vous soutenez les dirigeants et ouvriers. » Après ça, je n’ai plus rien écouté de ce que la sœur disait, pensant seulement qu’elle avait géré les choses de façon injuste. Puis, j’ai écrit une lettre de rapport avec trois autres personnes, disant que ces dirigeants et ouvriers qui avaient démis Jia Xin n’avaient pas respecté les principes et qu’ils se vengeaient d’elle. Cependant, le processus de rédaction de cette lettre de rapport n’a pas du tout été facile. En l’écrivant, nous rencontrions toujours des divergences, chacun s’accrochant à ses propres points de vue. Nous l’avons réécrit, encore et encore, et chaque fois, il y avait de nouvelles erreurs. J’avais des doutes, pensant : « Le fait de les signaler n’est-il pas conforme à l’intention de Dieu ? Si ce n’est pas le cas, nous ne devrions pas le faire. » Mais je me disais aussi : « Si je renonce et que les autres signalent et renvoient réellement les faux dirigeants, l’acte méritoire sera le leur. Tout cela n’aura-t-il pas alors été fait pour rien ? Les frères et sœurs penseraient certainement que ce sont eux qui comprennent la vérité, qui ont du discernement et le sens de la justice. Personne ne me tiendrait en haute estime. » Alors une fois la lettre de rapport terminée, j’ai mis ma signature, et nous avons également signalé la sœur qui s’est occupée du chaos à l’Église. Après avoir remis la lettre, j’étais assez content de moi. Je me disais : « Cette fois, quand les faux dirigeants et ouvriers seront renvoyés et que les dirigeants supérieurs verront que je comprends la vérité et que je peux discerner les gens, ils pouraient même enfreindre le protocol pour me promouvoir. Les frères et sœurs loueront tous mon calibre. Comme ce sera magnifique ! » Plusieurs jours plus tard, j’ai reçu une lettre de la part des dirigeants supérieurs disant qu’à présent, les arrestations du Parti communiste étaient très graves, et qu’ils avaient besoin de temps avant de pouvoir étudier et s’occuper de cette lettre de rapport. Une sœur a dit : « Les arrestations ne peuvent qu’empirer dans le futur. Si nous attendons que les dirigeants supérieurs s’occupent de ça, ce sera trop tard. Même si nous ne sommes ni dirigeants, ni ouvriers, nous devons quand même aider les frères et sœurs à être plus perspicaces. » J’ai écouté, me disant : « C’est vrai. Le fait d’aider les frères et sœurs à être plus perspicaces n’est-il pas une façon de faire son devoir ? Lorsque ces faux dirigeants seront renvoyés, tout le monde me saluera pour cette réussite, et je pourrai peut-être être élu dirigeant. » Je me suis donc rendu sur les lieux des réunions et j’ai dit que le fait que les dirigeants et ouvriers aient démis Jia Xin n’était pas conforme aux principes. J’ai également dit que Jia Xin n’était pas une fausse dirigeante, qu’elle accomplissait son devoir du matin au soir, et qu’elle pouvait faire du vrai travail. Durant cette période, quand les frères et soeurs se réunissaient, ils n’échangeaient pas sur les paroles de Dieu et faisaient seulement des commentaires sur ces sujets. Nous avons induit en erreur certains frères et soeurs, et ils ont pris notre parti développant des préjugés contre les dirigeants et les ouvriers et les qualifiant de faux. Certains ne voulaient même pas les recevoir chez eux. Résultat, les dirigeants et ouvriers ne pouvaient pas faire leur devoirs normalement. Certaines personnes perspicases ont pris le parti des dirigeants et des ouvriers, disant que nous perturbions la vie de l’Église. De cette façon, deux factions se sont formées dans l’Église. Nous étions comme deux armées opposées l’une à l’autre. Lorsque nous nous réunissions, nous discutions de ces affaires, et les frères et sœurs ont perdu leurs vies d’Église normales. Le chaos dans l’Église a continué ainsi pendant plusieurs mois.

Un jour, les dirigeants supérieurs sont venus enquêter et comprendre le contenu de notre lettre de rapport. Je me suis dit : « Ces faux dirigeants et ouvriers seront certainement renvoyés. » Juste quand j’étais content de la tournure des choses, l’une des dirigeantes a utilisé les paroles de Dieu pour disséquer la nature de notre conduite. Elle a dit que nous formions des factions, divisions l’Église, et perturbions la vie de l’Église, et qu’à cause de ça, les dirigeants et ouvriers ne pouvaient pas travailler normalement et que le travail de l’Église était à l’arrêt. Elle a dit que nous faisions le mal. Elle a également dit qu’en tant que dirigeante, Jia Xin ne savait pas guider les frères et sœurs pour qu’ils fassent l’expérience de l’œuvre de Dieu. Au lieu de ça, elle essayait toujours de se faire aimer des gens et de répandre son insatisfaction auprès des collaborateurs. Comment pouvait-elle avoir l’œuvre du Saint-Esprit ? Elle a dit que Jia Xin ne pouvait pas faire de travail concret, ni résoudre les problèmes des frères et sœurs, et qu’elle avait beau renoncer et se dépenser en apparence, c’était une fausse dirigeante et elle devrait être renvoyée. C’est ce qui était conforme aux principes. En entendant cette sœur échanger et disséquer le fait que Jia Xin était une fausse dirigeante, mon cœur s’est emballé. Je me suis dit : « Ce qu’ils disent est logique. Jia Xin a été exposée et démise par ces collaborateurs, et elle aurait dû réfléchir sur elle-même et essayer de se comprendre. Au lieu de ça, elle est venue nous voir encore et encore, se sentant lésée, et évacuant ses griefs. Elle n’a vraiment pas accepté la vérité ni fait l’expérience de l’œuvre de Dieu. J’ai pris la défense de Jia Xin et j’ai même jugé d’autres dirigeants et ouvriers, perturbant la vie de l’Église. La nature de cela est grave ! » Cependant, vu que je n’avais aucune compréhension de ma conduite, à ce moment-là, j’ai simplement reconnu que j’avais fait une erreur. Finalement, les dirigeants supérieurs ont dit que nous avions sérieusement perturbé la vie d’Église et que la nature de cela était grave. Ils ont fait le nécessaire pour que nous nous isolions chez nous et que nous réfléchissions.

Un jour, je suis allé chez ma mère, et elle m’a donné trois avis d’expulsion. Je les ai regardés et j’ai vu qu’à part Jia Xin, à ma grande surprise, il y avait deux avis d’expulsion pour ma femme et moi. Les avis indiquaient que Jia Xin était insidieuse et rusée, semant la discorde et créant des factions dans l’Église, et qu’en définitive, elle était résolue à être un antéchrist et a été expulsée. Quant à moi, je suivais cet antéchrist en étant malfaisant, en perturbant et en dérangeant la vie d’Église. J’étais le complice de cet antéchrist, alors j’étais moi aussi expulsé. Quand j’ai eu fini de lire ces avis d’expulsion, je n’en croyais tout simplement pas mes yeux. C’était comme quand un prisonnier voit le verdict écrit de sa peine de mort. J’avais tellement peur que mes jambes se sont affaiblies, et je ne pouvais pas m’arrêter de trembler. Je me suis dit : « J’ai été expulsé ? N’étions-nous pas cencés de juste réfléchir chez nous ? Comment pouvions-nous être expulsés ? Cette fois, j’ai vraiment été très malfaisant. » À ce moment-là, mon esprit était vide. Je me suis empressé de rentrer chez moi pour dire à ma femme que nous étions expulsés. Après le lui avoir dit, je n’ai pas pu me retenir plus longtemps, je me suis assis par terre et j’ai pleuré. Je me suis dit : « Je suis fichu. Je suis vraiment fichu, maintenant. Mon voyage de croyance en Dieu est arrivé à sa fin, et je ne pourrai jamais retourner à l’Église. Cette fois, j’ai vraiment offensé le tempérament de Dieu, et peut-être que je devrai être puni un de ces jours. » En pensant à ça, c’était comme si j’avais été poignardé au cœur. J’étais dans un état de désespoir et de douleur extrêmes. Je m’en voulais d’avoir été capable de fare quelque chose comme ça. Comment pouvais-je croire aveuglément aux paroles de Jia Xin ? Il était impossible de me faire pardonner d’avoir grandement perturbé la vie d’Église. Et plus j’y pensais, plus j’avais mal au cœur. Chaque jour, je n’étais pas d’humeur à faire quoi que ce soit. Je ne pouvais pas manger, ni bien dormir, et au bout d’un moment, j’ai perdu plus de 5 kg. Chaque jour, c’était comme si j’attendais juste de mourir. Je pensais que je n’avais plus de chance d’être sauvé, que j’étais destiné à être puni et à aller en enfer. J’étais comme un patient atteint d’un cancer en phase terminale, aussi négatif et désespéré qu’on peut l’être. Je me disais que tôt ou tard, j’allais mourir, alors autant en finir. Alors que j’étais à l’apogée de ma douleur et de mon impuissance, j’ai pensé aux paroles d’une hymne des paroles de Dieu intitulée « Cherche à aimer Dieu, quelle que soit ta souffrance » : « Aujourd’hui, la plupart des gens n’ont pas cette connaissance. Ils croient que la souffrance est sans valeur, ils sont rejetés par le monde, leur vie familiale est troublée, ils ne sont pas aimés de Dieu et leurs perspectives sont sombres. La souffrance de certaines personnes atteint un degré extrême, et leurs pensées se tournent vers la mort. Ce n’est pas le véritable amour pour Dieu ; ces gens sont des lâches, ils ne sont pas persévérants, ils sont faibles et impuissants ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Ce n’est qu’en vivant des épreuves douloureuses que tu peux connaître la beauté de Dieu). J’ai écouté cette hymne en boucle. On aurait dit que Dieu utilisait cette hymne pour me dire qu’Il ne voulait pas que je sois aussi faible et impuissant, qu’Il ne voulait pas que je perde ma foi en Lui. J’avais fait tellement de mal et j’étais déjà quelqu’un qui avait été expulsé et j’étais destiné à être puni à l’avenir. Mais Dieu m’a quand même éclairé et guidé pour que je pense à cette hymne, ne me laissant pas davantage sombrer dans la négativité. Cela me touchait énormément, et une lueur d’espoir est apparue dans mon cœur, avec un peu de force. Plus tard, j’ai lu davantage des paroles de Dieu, qui disaient : « Pour suivre le Dieu concret, nous devons avoir cette détermination : quelle que soit la grandeur des environnements que nous rencontrons, quel que soit le genre de difficultés que nous affrontons, quelle que soit notre faiblesse ou notre négativité, nous ne pouvons pas perdre la foi en notre changement de tempérament ni dans les paroles que Dieu a prononcées. Dieu a fait une promesse à l’humanité, et celle-ci requiert des gens qu’ils fassent preuve de détermination, de foi et de persévérance pour la tenir. Dieu n’aime pas les lâches ; Il aime les gens faisant preuve de détermination. Même si tu as révélé beaucoup de corruption, même si tu as pris le mauvais chemin à de nombreuses reprises, ou commis beaucoup de transgressions, que tu t’es plaint de Dieu, ou que tu as résisté à Dieu dans le cadre de la religion ou commis un blasphème contre Lui dans ton cœur, etc. Dieu ne regarde pas cela du tout. Dieu regarde seulement si quelqu’un poursuit la vérité et s’il peut changer un jour » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le chemin de pratique nécessaire au changement de tempérament). J’ai compris que Dieu n’aimait pas les lâches, mais qu’Il aimait les gens déterminés. Même si j’avais été expulsé pour avoir été extrêmement malfaisant, Dieu accordait de l’importance au fait de savoir si je pouvais changer ou non. Si je changeais, alors même si je mourais et que je finissais par être puni, ça en vaudrait la peine. Durant cette période, les paroles de l’hymne et les paroles de Dieu me venaient à l’esprit de temps en temps. J’étais très ému, et je me disais que Dieu ne m’avait pas abandonné. Dans mes moments les plus sombres où j’étais le plus démoralisé, Il avait utilisé Ses paroles pour me guider, m’encourager, et me réconforter. Je me disais que Dieu aimait énormément l’homme, et que je ne pouvais pas continuer à être négatif. À partir de ce moment-là, je me suis réveillé tôt chaque jour et me suis obstiné à manger et boire les paroles de Dieu, réfléchissant sur les façons dont j’avais offensé Dieu.

Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Dans l’Église, beaucoup de gens n’ont pas de discernement. Quand quelque chose qui induit en erreur se produit, contre toute attente, ils se tiennent du côté de Satan ; ils se sentent même lésés quand ils sont appelés les laquais de Satan. On pourrait dire qu’ils n’ont aucun discernement, mais ils se tiennent toujours du côté où ne se trouve pas la vérité, ils ne se tiennent jamais du côté de la vérité au moment critique, ils ne se dressent jamais pour défendre la vérité. Manquent-ils vraiment de discernement ? Pourquoi, contre toute attente, prennent-ils le parti de Satan ? Pourquoi ne disent-ils jamais un mot juste et raisonnable en faveur de la vérité ? Cette situation est-elle vraiment le résultat de leur confusion momentanée ? Moins les gens ont de discernement, moins ils sont capables de se tenir du côté de la vérité. Qu’est-ce que cela montre ? Cela ne montre-t-il pas que ceux qui n’ont pas de discernement aiment le péché ? Cela n’indique-t-il pas que ceux qui n’ont pas de discernement sont la progéniture fidèle de Satan ? Pourquoi est-ce qu’ils sont toujours capables de se tenir du côté de Satan et de parler le même langage que lui ? Chacune de leurs paroles, de leurs actions et des expressions de leur visage suffit amplement à prouver qu’ils ne sont en rien des amoureux de la vérité, mais plutôt des gens qui détestent la vérité. Qu’ils puissent se tenir du côté de Satan prouve largement que Satan aime vraiment ces diables minables qui se battent pour le bien de Satan toute leur vie. Tous ces faits ne sont-ils pas très clairs ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). « Enfin, un tel traitement est ce qu’ils méritent, parce qu’ils n’aiment pas la vérité, parce qu’ils sont incapables de se tenir du côté de la vérité, parce qu’ils suivent les personnes malfaisantes, se tiennent du côté des personnes malfaisantes, et parce qu’ils sont de connivence avec les personnes malfaisantes et défient Dieu. Ils savent parfaitement bien que ce que ces personnes malfaisantes irradient est le mal, mais ils endurcissent leur cœur et tournent le dos à la vérité pour les suivre. Ces gens qui ne pratiquent pas la vérité, mais qui font des choses destructrices et abominables, ne commettent-ils pas tous le mal ? Bien qu’il y en ait, parmi eux, qui se qualifient de rois et d’autres qui les suivent, leur nature défiant Dieu n’est-elle pas identique ? Quelle excuse peuvent-ils avoir pour dire que Dieu ne les sauve pas ? Quelle excuse peuvent-ils avoir pour dire que Dieu n’est pas juste ? N’est-ce pas leur propre malfaisance qui les détruira ? N’est-ce pas leur propre rébellion qui les entraînera en enfer ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). En lisant ces paroles de Dieu, je me suis senti humilié et bouleversé. Le fait que je puisse faire aussi malfaisant n’était pas simplement dû au fait que je manquais de discernement. C’était principalement dû au fait que je chérissais beaucoup trop la réputation et le statut. Jia Xin se faisait aimer de nous pour protéger son statut de dirigeante. Je ne discernais pas les intentions cachées derrière ses actions, et ne regardais pas non plus si ses paroles étaient conformes aux faits. Je prenais juste aveuglément sa défense, voulant être un « combattant pour la justice » et frimer. Je voulais également saisir ma chance d’atteindre le statut de dirigeant. Quand nous avons écrit la lettre de rapport, j’ai clairement senti que nous n’avions pas la direction de Dieu. Nous n’avons pas pu parvenir à un consensus sur nos opinions, et mon cœur ne s’est pas senti en paix. Malgré cela, j’ai été obstiné et j’ai continué la lettre, suivant cet antéchrist en étant malfaisant. La sœur supérieure qui est venue à l’Église a échangé pour m’aider et m’exposer, mais je n’ai pas fait marche arrière, craignnt que les autres ne me regardent de haut si je reconnaissais mes erreurs. Je me suis rendu sur les lieux des réunions et j’ai jugé gratuitement les gens, répandant l’information que les dirigeants et ouvriers étaient des faux. Mon but était d’inciter les frères et sœurs à rejeter les dirigeants et ouvriers et à me tenir en haute estime, pour que je puisse éventuellement être élu aux futures élections. À cause de mes perturbations, les frères et sœurs ne pouvaient pas se réunir et manger et boire les paroles de Dieu normalement. Nous avons induit en erreur la moitié des frères et sœurs dans l’Église, et ensemble, nous nous sommes opposés aux dirigeants et ouvriers. Dieu voulait que les frères et sœurs puissent se réunir et échanger sur Ses paroles normalement et faire leurs devoirs correctement ensemble. Quand Dieu a bâti l’Église, Satan a voulu démolir Son œuvre. Pendant ce temps je jouais le rôle du serviteur et du complice de satan, perturbant et dérangeant le travail de l’Église. En ayant ces manifestations, je ne faisais pas que choisir le mauvais camp à cause d’un manque de discernement momentané. Ma nature était la même que celle de Jia Xin : nous adorions tous deux énormément la réputation et le statut. Pour obtenir un statut, nous avons semé le désordre dans l’Église, et j’ai été expulsé parce que je poursuivais le statut au lieu de poursuivre la vérité. En pensant à ça, j’avais énormément de remords et je m’en voulais. Je me suis agenouillé par terre et me suis donné plus de 100 fortes gifles sur la joue. Je voulais me punir sévèrement pour garder cette leçon en mémoire. J’ai également prié Dieu : « Dieu, j’ai fait le mal. J’ai poursuivi le statut et perturbé le travail de l’Église. Je suis disposé à me repentir, à réfléchir sur moi-même comme il faut et à essayer de comprendre mes actes malfaisants. »

Après ça, j’ai continué à réfléchir sur moi-même, me disant : « Pourquoi est-ce que j’aime tant le statut et que je veux toujours le poursuivre et l’obtenir ? Pourquoi suis-je aussi arrogant et capable de faire ces choses malfaisantes ? » J’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Si, au fond de toi, tu comprends vraiment la vérité, alors tu sauras comment pratiquer la vérité et te soumettre à Dieu et tu t’engageras naturellement sur le chemin de la poursuite de la vérité. Si le chemin que tu empruntes est le bon et qu’il est conforme aux intentions de Dieu, alors l’œuvre du Saint-Esprit ne te quittera pas : auquel cas il y aura de moins en moins de risque que tu trahisses Dieu. Sans la vérité, il est facile de faire le mal, et tu le commettras involontairement. Par exemple, si tu as un tempérament arrogant et vaniteux, alors le fait de te dire de ne pas t’opposer à Dieu ne fait aucune différence, tu ne peux pas t’en empêcher, c’est incontrôlable pour toi. Tu ne le ferais pas exprès ; tu le ferais sous la domination de ta nature arrogante et vaniteuse. Ton arrogance et ta vanité te feraient mépriser Dieu et te Le feraient voir comme n’ayant pas d’importance ; elles feraient que tu t’exaltes, que tu te mettes constamment en valeur ; elles te feraient mépriser les autres, elles ne laisseraient dans ton cœur que toi-même ; ton arrogance et ta vanité te priveraient de la place de Dieu dans ton cœur et elles finiraient par t’amener à prendre la place de Dieu et à exiger que les gens se soumettent à toi, et elles te feraient vénérer tes propres pensées, idées et notions comme la vérité. Tant de mal est perpétré par les hommes sous la domination de leur nature arrogante et vaniteuse ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en cherchant la vérité qu’on peut réaliser un changement de tempérament). À travers les paroles de Dieu, j’ai compris que le fait que je sois capable de faire ces choses malfaisantes provenait du fait que j’étais trop arrogant, que je croyais trop en moi-même, et que j’avais une opinion trop élevée de moi-même. Je pensais que parce que je pouvais répandre l’Évangile et résoudre certains problèmes, cela signifiait que je comprenais la vérité et que j’avais la réalité. Je pouvais donc croire aveuglément en moi-même et agir imprudemment. Résultat, je faisais tous ces actes malfaisants. Concernant le renvoi de Jia Xin, je n’avais jamais correctement cherché les vérités-principes. Je voyais que Jia Xin pouvait renoncer, se dépenser, souffrir, et payer un prix dans son devoir, alors je pensais qu’elle pratiquait la vérité et qu’elle avait l’œuvre du Saint-Esprit. Je me disais que, sans poursuivre la vérité, qui pourrait faire toutes ces choses à un tel niveau ? En réalité, quand on discerne si quelqu’un a l’œuvre du Saint-Esprit ou pas, on ne peut pas juger en se basant sur le fait qu’ils souffrent, paient un prix, renoncent et se dépensent en apparence. Ce sont des choses que toute personne enthousiaste peut faire. On doit principalement regarder si cette personne est capable de prier Dieu lorsqu’il lui arrive des choses, et si, même quand cela n’est pas conforme à ses propres notions, elle peut laisser tomber, chercher la vérité, et avoir un cœur qui craint et se soumet à Dieu. Par ailleurs, elle devrait être capable de guider le peuple élu de Dieu pour faire l’expérience des paroles de Dieu et se comprendre. Elle devrait aussi résoudre les problèmes des frères et sœurs dans leurs devoirs. C’est ce qu’un dirigeant et ouvrier devraient faire. Jia Xin n’était pas capable de faire un travail de dirigeante, et encore moins d’avoir l’œuvre du Saint-Esprit. Lorsque les gens ont exposé ses problèmes, elle ne l’a pas accepté et s’est même plaint d’injustices perçues et nous a induits en erreur. Elle a intentionnellement répandu l’information parmi nous que les rapports déposés contre elle étaient faux, nous embrigadant pour que nous prenions sa défense. Elle nous a induits en erreur et nous avons dit aux gens de l’Église que les dirigeants et ouvriers la réprimaient. Résultat, l’Église a été divisée en factions et a sombré dans le chaos. Jia Xin a un peu renoncé et s’est un peu dépensée, mais elle n’a pas du tout cherché la vérité lorsqu’il lui arrivait des choses, et n’a pas non plus réfléchi sur elle-même ni essayé de se comprendre. Afin de sauvegarder son statut, elle a causé des perturbations et des dérangements, et a dévasté le travail de l’Église. Si elle se dépensait et souffrait, c’était uniquement pour sauvegarder et satisfaire son désir personnel de statut. Dès que quelqu’un touchait à son statut, elle accomplissait des actes malfaisants tels que former des factions et semer la discorde. Elle était de nature à détester la vérité. C’était un antéchrist sournois, mahonnête, insidieux, et vicieux. Je n’avais absolument aucun discernement. Je suivais Jia Xin en étant malfaisant et jugeais les dirigeants et ouvriers lors des réunions. Résultat, les frères et sœurs ont été induits en erreur et ont pris mon parti, excluant les dirigeants et ouvriers. Cela a causé de graves perturbations dans la vie de l’Église. J’avais été tellement malfaisant, et pourtant, je pensais encore avoir le sens de la justice. J’étais vraiment si confus et si arrogant que j’avais perdu toute raison. Si j’avais juste compris une petite partie de la vérité et que j’avais un cœur qui craignait Dieu, je n’aurais pas été aussi malfaisant. J’ai compris que je manquais de tellement de choses, et que mon tempérament était vraiment arrogant. J’avais cruellement besoin du châtiment et de la discipline de Dieu pour m’épurer et me changer !

Plus tard, j’ai lu davantage des paroles de Dieu : « Avant que Dieu ne manifeste Sa rage, Il a déjà perçu très clairement et complètement l’essence de chaque chose, et Il a déjà formulé des définitions et des conclusions précises et claires. Ainsi, l’objectif de Dieu dans chaque chose qu’Il fait est clair, comme l’est Son attitude. Il n’est pas confus, aveugle, impulsif ou négligent, et Il n’est certainement pas sans principes. C’est l’aspect concret de la colère de Dieu, et c’est à cause de cet aspect concret de la colère de Dieu que l’humanité a atteint son existence normale. Sans la colère de Dieu, l’humanité tomberait dans des conditions de vie anormales et toutes choses justes, belles et bonnes seraient détruites et cesseraient d’exister. Sans la colère de Dieu, les lois et les règles d’existence des êtres créés seraient brisées ou même complètement renversées. Depuis la création de l’homme, Dieu a continuellement utilisé Son tempérament juste pour sauvegarder et maintenir l’existence normale de l’humanité. Parce que Son tempérament juste contient la colère et la majesté, tout ce qui est malveillant, hommes, choses et objets, et toutes les choses qui perturbent et endommagent l’existence normale de l’humanité sont punis, contrôlés et détruits à cause de Sa colère » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). « Dieu possède ce genre de tempérament juste parce qu’Il déteste la malveillance, les ténèbres, la rébellion et les actes malfaisants de Satan corrompant et dévorant l’humanité, parce qu’Il déteste tous les actes de péché contre Lui et à cause de Son essence sainte et pure. C’est à cause de cela qu’Il ne souffrira qu’aucun des êtres créés ou non créés s’oppose ouvertement à Lui ou Le conteste. Même un individu auquel Il a déjà fait miséricorde ou qu’Il a choisi a seulement besoin de provoquer Son tempérament et de transgresser Ses principes de patience et de tolérance, et Dieu manifestera et révélera Son tempérament juste qui ne tolère aucune offense sans la moindre pitié ou hésitation » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). À travers les paroles de Dieu, j’ai compris que le tempérament juste de Dieu n’était pas d’être offensé par l’homme. Dieu a des principes pour condamner et éliminer quelqu’un. Il ne s’agit pas d’une impulsion momentanée ou de quelque chose qui est fait par hasard. Au contraire, c’est fait quand Il dévoile l’essence de quelqu’un. Durant la période où j’ai fait le mal, les frères et sœurs m’ont conseillé et demandé de réfléchir sur moi-même, et de ne pas causer de perturbations et de dérangement. Cependant, je ne l’ai pas accepté. Et quand l’échange de quelqu’un n’était pas conforme à mes points de vue, je m’opposais à lui. Résultat, ma malfaisance est devenue de plus en plus grave. De ma désobéissance initiale à la perturbation que j’ai causée plus tard, et enfin la division de l’Église, chacun de ces actes malfaisants était la preuve de mon arrogance et de ma vanité, de mon aversion et de ma haine envers la vérité. J’étais tellement arrogant et intransigeant, n’acceptant pas la vérité jusqu’à ce que je sois maintenant expulsé. Dieu m’avait déjà donné plusieurs chances de me repentir, mais je les avais toutes rejetées. Si l’Église ne m’avait pas expulsé, ni la fureur de Dieu, ni le chaos de l’Église se seraient calmés. Je pensais à Dieu qui, avant de détruire Sodome, a averti les gens de la ville plusieurs fois qu’ils devaient se repentir. Mais ils L’ont obstinément contrarié et n’ont pas montré une once de repentance. À la fin, Dieu a déchaîné sa colère divine sur Sodome et a détruit la ville. À présent, j’avais personnellement fait l’expérience du tempérament juste de Dieu, et bien que mon coeur était grandement tourmenté et en souffrance, cela m’avait empêché d’être malfaisant et m’avait permis de voir que le tempérament de Dieu ne doit pas être offensé, et que la vérité et la justice sont ce qui détient le pouvoir dans l’Église. Maintenant, le fait que Dieu m’ait laissé respirer et ne m’ait pas pris la vie était déjà un signe de Sa miséricorde. Si je continuais à ne pas réfléchir sur moi-même ni essayer de me connaitre, à terme, je serai détruit par Dieu. Je me suis présenté devant Dieu et je L’ai prié : « Ô mon Dieu, j’ai été malfaisant et j’ai offensé Ton tempérament. Le fait que j’ai été expulsé est Ta justice. Je ne peux pas rattraper mes transgressions passées, et désormais, je vis pour me comprendre et me repentir auprès de Toi. » J’ai pris ma décision : peu importe mon issue dans le futur, je poursuivrais la vérité, me débarrasserais de mon tempérament corrompu, et ne poursuivrais plus réputation et statut. Si Dieu me détruit vraiment un jour, ce sera encore Sa justice. Je n’avais pas grand espoir d’entrer dans le royaume. Je voulais seulement recommencer à zéro, pour être un véritable être créé. Je priais Dieu dans mon cœur, disant que s’Il me donnait une autre chance, j’étais disposé à être l’un des fidèles les plus petits dans l’Église. J’étais disposé à accomplir tout devoir qui m’était confié : c’était suffisant pour moi de juste faire quelque chose pour la maison de Dieu. Plus tard, l’Église m’a trouvé, et ils m’ont demandé d’aider les frères et sœurs à acheter des marchandises. J’étais très honoré.

Un jour, en avril 2016, un dirigeant est venu chez moi et m’a dit : « Tu as de nouveau été accepté dans l’Église, et la majorité des frères et sœurs étaient d’accord avec cette décision. » À ce moment-là, j’étais tellement ému que je n’ai pas su quoi dire. Après le départ du dirigeant, je n’ai pas pu retenir mes larmes. Dans mon cœur, je remerciais et louais sans cesse Dieu ! J’ai prié Dieu : « Ô mon Dieu ! Je ne m’attendais pas à ce que Tu me donnes une chance de retourner à l’Église. Je Te remercie de me soutenir, de m’éclairer et de me guider pour me comprendre. Dieu ! Je suis disposé à chérir cette opportunité, et je garantis que je ne ferais plus de mal et que je ne causerai plus de perturbations. Si je reprends mes anciens tempéraments et que je perturbe l’Église, je suis disposé à recevoir Ta punition. »

Après être retourné à l’Église, j’ai rapidement commencé à accomplir mon devoir. Une fois, le dirigeant d’Église est venu me voir et a fait le nécessaire pour que j’accomplisse un devoir d’hôte. Je me suis dit : « Comment pourraient-ils me faire faire ce devoir ? N’est-ce pas un devoir pour les gens qui prennent de l’âge ? Si les frères et sœurs l’apprennent, que penseront-ils de moi ? » J’avais quelques pensées concernant le dirigeant, et j’avais l’impression qu’ils gaspillaient mes talents pour un emploi insignifiant. Cependant, plus tard, j’ai lu les paroles de Dieu qui disaient : « Lorsque Dieu requiert que les hommes remplissent bien leur devoir, Il ne leur demande pas de mener à bien un certain nombre de tâches ni d’accomplir de grands projets, ni de se lancer dans une grande entreprise. Ce que Dieu veut, c’est que les hommes soient capables de faire tout ce qu’ils peuvent de manière pragmatique et vivent conformément à Ses paroles. Dieu n’a pas besoin que tu sois éminent ou noble, ni que tu fasses le moindre miracle, et Il ne veut pas non plus voir en toi des surprises agréables. Il n’a pas besoin de choses pareilles. Tout ce dont Dieu a besoin, c’est que tu pratiques résolument selon Ses paroles. Quand tu écoutes les paroles de Dieu, fais ce que tu as compris, mets en pratique ce que tu as compris, souviens-toi bien de ce que tu as entendu, puis, quand arrive le moment de pratiquer, fais-le selon les paroles de Dieu. Laisse ces paroles devenir ta vie, tes réalités et ce que tu vis. Ainsi, Dieu sera satisfait » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopération harmonieuse). À travers ces paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu n’avait pas besoin que je fasse un travail de grande importance. Ce qu’Il voulait, c’est que je fasse mon devoir de façon pragmatique. Même s’il s’agissait d’un devoir ordinaire, tant que j’écoutais les paroles de Dieu et que je le faisais selon Ses exigences, ce serait suffisant. Je ne pouvais pas faire mon devoir selon mes préférences. Je devais me baser sur les besoins du travail de l’Église. Je devrais me soumettre aux arrangements de l’Église et travailler en silence pour faire mon devoir correctement. C’est ce qu’une personne dotée de conscience et de raison ferait. À présent, le fait d’être confronté à ce devoir m’avait révélé et testé. Sans de telles circonstances, j’aurais pensé que j’étais assez soumis à Dieu et que mon tempérament arrogant et mon désir de poursuivre réputation et statut avaient déjà changés. En réalité, j’étais toujours assez arrogant et vaniteux. J’avais des ambitions et des désirs fous, et n’étais pas disposé à être le plus petit dans la foule. C’était ma véritable stature. Pour être purifié et changé, je devais faire l’expérience du jugement et du châtiment des paroles de Dieu, ainsi que des épreuves et de l’épurement. En reconnaissant cela, j’ai accepté ce devoir. Même si je ne savais pas cuisiner, je pouvais apprendre assidûment tout en faisant mon devoir, et recevoir les frères et sœurs conformément aux principes. Mon cœur s’est senti en paix en faisant cela. Dieu soit loué pour m’avoir sauvé !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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