Ce que j’ai appris après avoir été renvoyée

22 mars 2025

Par Clara, États-Unis

En 2021, j’ai abreuvé les nouveaux venus dans l’Église. En raison de mon approche superficielle envers mon devoir, de nombreux nouveaux venus participaient aux réunions de manière irrégulière. De plus, mon tempérament arrogant rendait toujours les autres contraints lorsqu’ils coopéraient avec moi. En conséquence, les dirigeants m’ont renvoyée et m’ont confié la gestion des affaires générales. Quand j’ai appris cette décision, j’ai ressenti une grande détresse. Je me suis rappelé que cela faisait plus de dix ans que je croyais en Dieu, et qu’après avoir abandonné mes études, j’avais toujours fait mes devoirs au sein de l’église. En outre, parce que j’avais certaines connaissances dans une langue étrangère, j’avais toujours eu l’impression que j’étais plus compétente que les autres frères et sœurs. Je ne m’attendais pas à ce qu’à ce moment crucial de la diffusion de l’Évangile du royaume, je sois renvoyée et affectée à un devoir peu visible, celui de la gestion des affaires générales. Et si ce remplacement était une manière pour Dieu de me révéler et de m’éliminer ? En y réfléchissant, un mélange de déception, de douleur et d’inquiétude m’a submergée. Je me suis dit dans mon cœur : « À l’avenir, je dois être prudente et méticuleuse en faisant mes devoirs pour éviter de causer des problèmes qui pourraient à nouveau entraîner mon remplacement. Sinon, je pourrais vraiment perdre tout espoir d’être sauvée. »

Un peu plus tard, j’ai appris que quelques frères et sœurs avaient été remplacés en raison des mauvais résultats dans leurs devoirs. Je suis soudainement devenue anxieuse et je me suis dit : « Comment ai-je fait mes devoirs récemment ? Est-ce que je risque aussi d’être remplacée ? » J’ai rapidement commencé à me demander s’il existait encore des problèmes dans mes devoirs, à m’interroger sur l’attitude que la superviseuse avait à mon égard et à chercher des signes de mon renvoi. Lorsque j’ai vu qu’il y avait certains problèmes dans mes devoirs et que les résultats n’étaient pas très bons, je me suis sentie très mal à l’aise et je me suis demandé : « Ma superviseuse pourrait-elle me renvoyer un jour ? Si je suis renvoyée à nouveau, je pourrais être définitivement éliminée. » Durant cette période, je faisais mes devoirs avec une prudence extrême, de peur de commettre la moindre erreur. Parfois, lorsque ma superviseuse m’envoyait des messages, j’avais peur qu’elle ne soit en train de planifier mon renvoi. Je vivais dans un état de méfiance et de suspicion, je me sentais extrêmement oppressée, comme si une lourde pierre m’écrasait.

Un jour, lors d’une réunion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui m’a donné une certaine compréhension de mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Certaines personnes ne croient pas que la maison de Dieu puisse traiter les gens avec justice. Ils ne croient pas que Dieu règne dans Sa maison et que la vérité y règne. Ils croient que, quel que soit le devoir accompli par une personne, si un problème se produit à cause de cette personne, la maison de Dieu s’occupera immédiatement de cette personne en lui retirant le droit d’accomplir ce devoir, la renverra ou ira même jusqu’à l’exclure de l’Église. Est-ce vraiment comme cela que fonctionnent les choses ? Certainement pas. La maison de Dieu traite chaque personne selon les vérités-principes. Dieu est juste dans Sa façon de traiter chaque personne. Il ne regarde pas seulement comment une personne se comporte dans un seul cas. Il regarde sa nature-essence, ses intentions, son attitude et Il cherche surtout à savoir si elle peut réfléchir sur elle-même quand elle commet une erreur, si elle a des remords et si elle peut pénétrer l’essence du problème en se basant sur Ses paroles, parvenir à comprendre la vérité, à se détester et à se repentir sincèrement. […] Si tu n’acceptes pas du tout la vérité dans l’accomplissement de ton devoir et que tu as toujours peur d’être révélé et éliminé, alors ta peur est entachée d’intention humaine, d’un tempérament satanique corrompu et de suspicion, de circonspection et d’incompréhension. Aucune de ces attitudes n’en est une qu’une personne devrait avoir. Tu dois commencer par résoudre ta peur, ainsi que tes incompréhensions concernant Dieu. Comment les incompréhensions d’une personne au sujet de Dieu surgissent-elles ? Quand les choses vont bien pour une personne, elle ne se méprend certainement pas sur Lui. Elle est convaincue que Dieu est bon, que Dieu est honorable, que Dieu est juste, que Dieu est miséricordieux et aimant, que Dieu a raison dans tout ce qu’Il fait. Cependant, lorsqu’elle est confrontée à quelque chose qui n’est pas conforme à ses notions, elle se dit : “Il semble que Dieu ne soit pas très juste, du moins pas dans cette affaire.” N’est-ce pas une incompréhension ? Comment se fait-il que Dieu ne soit pas juste ? Qu’est-ce qui a donné lieu à cette incompréhension ? Qu’est-ce qui t’a fait former cette opinion et cette compréhension selon lesquelles Dieu ne serait pas juste ? Peux-tu dire avec certitude ce que c’était ? Quelle phrase était-ce ? Quel sujet ? Quelle situation ? Dis-le, afin que tout le monde puisse déterminer et voir si tu as un argument valable. Et quand une personne comprend mal Dieu ou fait face à quelque chose qui n’est pas conforme à ses notions, quelle attitude doit-elle avoir ? (Celle qui consiste à rechercher la vérité et la soumission.) Elle doit d’abord se soumettre et se dire : “Je ne comprends pas, mais je me soumettrai parce que c’est ce que Dieu a fait et non quelque chose que l’homme devrait analyser. De plus, je ne peux pas douter des paroles de Dieu ni de Son œuvre, car la parole de Dieu est la vérité.” N’est-ce pas l’attitude qu’une personne doit avoir ? Avec cette attitude, ton incompréhension poserait-elle encore un problème ? (Non.) Cela n’affecterait ni ne perturberait l’exécution de ton devoir » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). J’étais exactement comme Dieu l’avait décrit : Lorsque je commettais des erreurs dans mon devoir, j’étais toujours effrayée à l’idée d’être renvoyée. Cela était dû à ma méfiance et à mon incompréhension envers Dieu : je ne comprenais pas les principes qui régissent le renvoi de personnes dans la maison de Dieu ou la reconnaissance du tempérament juste de Dieu. Je pensais que tant qu’il y avait des problèmes ou des erreurs en faisant un devoir, ou que si les résultats étaient mauvais pendant un certain temps, on serait renvoyé, tout comme dans le monde des non-croyants, où chaque erreur de travail entraînait des réprimandes ou un renvoi possible, ce qui oblige à une prudence extrême pour préserver son poste. Mais dans la maison de Dieu, Dieu donne aux gens autant d’opportunités de se repentir que possible, et le fait de renvoyer des gens est également fondé sur les principes. Ce n’est pas parce qu’une personne fait une petite erreur dans son devoir ou obtient de mauvais résultats pendant une courte période qu’elle est immédiatement renvoyée. Au contraire, cela repose sur une évaluation exhaustive de sa performance régulière et de sa nature-essence, en particulier sur sa capacité à réfléchir sur elle-même, à se connaître et à manifester un repentir sincère après avoir commis une erreur. Par exemple, lorsque je faisais mon devoir d’abreuvement des nouveaux venus, à cause de mon tempérament arrogant, je contraignais toujours les autres lorsque je collaborais avec eux. Mes frères et sœurs m’avaient fait remarquer ce problème. Cependant, je ne me sentais contrariée que pendant un moment et je ne prêtais ensuite aucune attention au fait de corriger mon tempérament arrogant. De plus, en abreuvant les nouveaux venus, j’étais négligente et me contentais de faire un travail superficiel. Lorsque les nouveaux venus avaient des difficultés et ne participaient pas régulièrement aux réunions, je ne leur apportais ni aide ni soutien. En résumant le travail et en constatant la participation irrégulière de tant de nouveaux venus, je me sentais contrariée pendant un moment seulement, mais par la suite, je ne faisais toujours pas d’efforts pour résoudre ces problèmes. L’Église m’a renvoyée en se basant sur ma performance constante, mais elle ne m’a pas retiré l’opportunité de faire mon devoir, et au lieu de cela, j’ai été réaffectée au devoir des affaires générales, me donnant ainsi une chance de me repentir ; cependant, je n’ai pas correctement réfléchi ni cherché à me comprendre, mais j’ai nourri une méfiance et une incompréhension envers Dieu. J’étais vraiment trop fourbe ! Désormais, même si je rencontrais certains problèmes et écarts dans mon devoir des affaires générales, ma superviseuse, après avoir pris connaissance de la situation, me donnait des conseils ou échangeait les principes avec moi. Lorsque je suivais ces suggestions, les problèmes rencontrés dans mon devoir étaient résolus, et l’Église ne m’a pas renvoyée à cause de cela. J’ai vu que le renvoi dans la maison de Dieu était en effet réalisé selon les principes, et que ma méfiance et mon incompréhension étaient en réalité une fourberie et une contrainte auto-imposées.

Ensuite, en méditant plus profondément, j’ai pris conscience que, en plus de surmonter ma méfiance et mon incompréhension, je devais également résoudre cette crainte d’être renvoyée chaque fois que je faisais une erreur dans mon devoir. Je me demandais : Pourquoi avais-je peur ? J’ai prié Dieu et cherché une réponse à cette question. Un jour, pendant ma dévotion, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Certaines personnes ont connu des échecs par le passé, comme être licenciées car elles ne réalisaient pas de travail réel en tant que dirigeantes, ou parce qu’elles convoitaient les avantages liés au statut. Après avoir été licenciées plusieurs fois, certaines subissent un véritable changement, donc est-ce que le licenciement est une bonne ou une mauvaise chose pour les gens ? (C’est une bonne chose.) Lorsqu’ils sont licenciés pour la première fois, les gens ont l’impression que tout s’effondre. C’est comme si on leur avait tout simplement brisé le cœur. Ils ne parviennent plus à s’en sortir et ne savent pas dans quelle direction aller. Mais une fois l’expérience passée, ils se disent : “Ce n’était finalement pas si grave. Pourquoi avais-je une si petite stature avant ? Comment ai-je pu être si immature ?” Cela prouve qu’ils ont fait des progrès dans leur vie et qu’ils ont compris certaines choses sur les intentions de Dieu, la vérité et l’objectif du salut de l’homme par Dieu. C’est le processus qui consiste à faire l’expérience de l’œuvre de Dieu. Tu dois admettre et accepter ces méthodes que Dieu utilise dans Son œuvre, à savoir t’élaguer constamment, émettre des verdicts à ton sujet, dire que tu es sans espoir, dire que tu ne seras pas sauvé et même te condamner et te maudire. Il se peut que tu aies des sentiments négatifs, mais en recherchant la vérité, en réfléchissant sur toi-même et en te connaissant toi-même, tu seras rapidement en mesure de remonter la pente, de suivre Dieu et d’accomplir normalement tes devoirs. Voilà ce que signifie grandir dans la vie. Donc, est-ce que subir plus de licenciements est bien ou mal ? Cette méthode utilisée par Dieu dans Son œuvre est-elle correcte ? (Oui.) Toutefois, il arrive que les gens ne la reconnaissent pas et ne puissent pas l’accepter. Surtout lorsqu’ils font une première expérience de licenciement, ils ont le sentiment d’être traités de manière injuste, et, incapables de surmonter cet obstacle, ils raisonnent toujours avec Dieu et se plaignent de Lui. Pourquoi ne parviennent-ils pas à le surmonter ? Est-ce parce qu’ils cherchent des ennuis avec Dieu et la vérité ? C’est parce que les gens ne comprennent pas la vérité, ne savent pas comment réfléchir sur eux-mêmes et ne cherchent pas les problèmes en eux. Ils refusent toujours d’obéir dans leurs cœurs, et lorsqu’ils sont licenciés, ils commencent à défier Dieu. Ils sont incapables d’accepter le fait de leur licenciement et sont pleins de ressentiment. À ce moment-là, leurs tempéraments corrompus sont extrêmement graves, mais lorsqu’ils reviennent sur le sujet plus tard, ils constatent qu’il était normal qu’ils soient licenciés : cela s’est avéré être une bonne chose, qui leur a permis de faire certains progrès dans la vie. Lorsqu’ils seront à nouveau confrontés au licenciement à l’avenir, le défieront-ils encore de cette manière ? (De moins en moins à chaque fois.) C’est normal que cela s’améliore progressivement. Si rien ne change, cela prouve qu’ils n’acceptent pas la vérité du tout, et que ce sont des incrédules. Alors, ils seront pleinement révélés et éliminés, et n’auront aucune possibilité d’atteindre le salut » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai été profondément touchée. Peu importe que l’on fasse l’expérience d’être renvoyé ou que l’on soit défini comme quelqu’un qui ne peut pas être sauvé, nous devons l’accepter de la part de Dieu. Si nous pouvons nous soumettre, chercher la vérité, réfléchir et nous connaître nous-mêmes, alors notre vie progressera, et cela est une bonne chose. Cependant, si nous continuons à raisonner et à nous plaindre sans réfléchir sur nous-mêmes, nous serons véritablement révélés et éliminés. En repensant à l’époque où j’avais été renvoyée de mon devoir d’abreuvement, même si cela avait été très douloureux, cela m’a profondément éveillée. Cela m’a poussée à réfléchir sur moi-même et à me comprendre, et j’ai commencé à comprendre ma manière superficielle de faire mes devoirs et mon tempérament arrogant. Autrefois, lorsque je voyais que les nouveaux venus n’assistaient pas aux réunions régulièrement, je pensais que comprendre leurs difficultés et trouver les paroles de Dieu pour les résoudre était trop compliqué, donc je n’avais pas envie de faire des sacrifices consciencieux pour résoudre ces problèmes, et je me contentais de faire des tâches simples qui me donnaient bonne apparence. Après avoir été renvoyée, j’ai pris conscience que j’étais particulièrement paresseuse et que je m’adonnais à un confort physique. J’ai compris que faire mes devoirs avec une nature aussi médiocre me rendait fondamentalement indigne de confiance. Désormais, en faisant mes devoirs aux affaires générales, j’ai commencé à réfléchir à la manière de les faire de façon plus terre-à-terre. Peu importe mes capacités de travail, je me concentrais simplement à les faire de tout cœur et avec toute ma force. Même si c’était parfois fatigant, je me sentais en paix intérieurement. De plus, par le passé, j’avais toujours méprisé les frères et sœurs dotés d’un faible calibre ou de compétences professionnelles limitées. Lorsque je discutais du travail, mon ton était souvent dur, ce qui leur apportait contrainte et préjudice. Après avoir été renvoyée, j’ai commencé à me calmer et à réfléchir sur moi-même. J’ai pris conscience que mon mépris pour les autres était dû à mon tempérament arrogant. Plus tard, en rencontrant les frères et sœurs que j’avais précédemment méprisés, j’ai découvert qu’ils possédaient de nombreuses forces et vertus. Désormais, lorsque les frères et sœurs soulignaient mes problèmes et mes lacunes, j’étais capable de les accepter, de réfléchir sur moi-même et de mieux me connaître. Les frères et sœurs n’étaient plus contraints par mon attitude. Cela m’a fait comprendre que la réaffectation et le renvoi n’étaient pas destinées à révéler ou éliminer qui que ce soit. J’étais profondément corrompue par Satan et porteuse de nombreux tempéraments corrompus, j’avais donc besoin de vivre de nombreux échecs et d’être révélée tout en faisant mon devoir. Si je pouvais chercher la vérité, réfléchir sur moi-même et me repentir sincèrement, ce serait une bonne chose pour moi et un tournant pour la transformation de mon tempérament. Mais je ne pouvais pas traiter correctement les échecs et le fait d’être révélée dans mon devoir. Je n’arrivais pas à me calmer pour chercher la vérité et réfléchir correctement sur moi-même. Au lieu de cela, je planifiais toujours et m’inquiétais de ma destination et de mon issue finales, ce qui a entraîné ma négativité et ma douleur. J’étais pleine de résistance envers les environnements arrangés par Dieu. Si je ne me repentais pas, je me ruinerais véritablement. Ce que je devais faire maintenant, c’était accepter et me soumettre aux environnements que Dieu avait arrangés, me concentrer sur la recherche de la vérité, réfléchir sur propre corruption et mes lacunes, les connaître, tirer des leçons et progresser dans mon entrée dans la vie. En comprenant cela, mon cœur s’est apaisé.

Quelques mois plus tard, l’Église m’a réaffectée à l’abreuvement des nouveaux venus. Je ne m’attendais pas à ce qu’on me donne une autre chance de faire ce devoir, j’ai ressenti une émotion indescriptible et j’ai offert mes remerciements à Dieu dans mon cœur. Après un certain temps, j’ai rencontré quelques difficultés dans l’abreuvement des nouveaux venus. Certains étaient trop occupés par le travail, d’autres étaient malades, et certains avaient des notions sur l’œuvre de Dieu, ils ont donc cessé de participer aux réunions. Après les avoir abreuvés et soutenus pendant un certain temps sans voir de résultats évidents, je suis devenue très anxieuse, « Si je ne peux pas vite résoudre ces problèmes, serai-je renvoyée ? Les désastres deviennent de plus en plus graves, et l’œuvre de Dieu touche à sa fin. Si je suis renvoyée à ce moment critique, pourrais-je encore être sauvée ? » Ces pensées m’ont causé beaucoup de détresse. Lorsque la superviseuse est venue vérifier mon travail, elle m’a rappelé d’être plus diligente et de résoudre ces problèmes le plus tôt possible. Je me suis sentie assez découragée : « J’ai fait des efforts récemment, mais pourquoi le résultat n’est-t-il pas meilleur ? Si je continue à être inefficace dans mon devoir, je pourrais être renvoyée. Si on me confie un autre devoir, je devrais tout réapprendre depuis le début. Et si je continue à être inefficace et que je suis renvoyée à nouveau ? Alors je serais complètement révélée et éliminée ! » Plus j’y pensais, plus j’étais abattue, et mon esprit se sentait embrouillé et lourd. Lorsque je voyais que les nouveaux venus n’assistaient pas régulièrement aux réunions, je n’avais plus envie de les suivre. J’avais même quelques plaintes dans mon cœur, « J’ai travaillé si dur ces derniers temps, pourquoi Dieu ne m’a-t-Il pas guidée ? Malgré tous mes efforts, cela ne semble pas faire de différence. Ces problèmes ne sont pas faciles à résoudre, et peut-être qu’après tous mes efforts, je serai quand même renvoyée. » Pendant cette période, j’étais très négative et je n’avais pas l’énergie nécessaire pour faire mon devoir. Plus tard, j’ai commencé à réfléchir sur moi-même, « Pourquoi est-ce que je m’inquiète toujours d’être renvoyée chaque fois que quelque chose se passe ? » J’ai pris conscience que j’étais motivée par l’intention de gagner des bénédictions, alors j’ai cherché les paroles pertinentes de Dieu à manger et à boire.

Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Quand un antéchrist a un statut et du pouvoir dans la maison de Dieu, quand il peut profiter et tirer parti à la moindre occasion, quand les gens l’admirent et le flattent, quand il pense que des bénédictions et des récompenses, et une merveilleuse destination sont à sa portée, alors, en apparence, il déborde de foi en Dieu, de foi dans les paroles de Dieu et Ses promesses à l’humanité, et dans le travail et les perspectives de la maison de Dieu. Cependant, dès qu’il est émondé, quand son désir de bénédictions se trouve menacé, il se met à avoir des soupçons et des incompréhensions à l’égard de Dieu. Sa foi, qui semblait abondante, disparaît en un clin d’œil et demeure introuvable. Il a du mal à trouver l’énergie suffisante ne serait-ce que pour marcher ou parler, il perd tout intérêt pour l’accomplissement de son devoir, et il perd tout enthousiasme, tout amour et toute foi. Il perd le peu de bonne volonté qu’il avait et ignore tous ceux qui lui parlent. En un instant, il se transforme en quelqu’un de complètement différent. Il est révélé, n’est-ce pas ? Quand une telle personne s’accroche à son espoir d’être bénie, elle semble avoir une énergie sans limites et être loyale à Dieu. Elle peut se lever tôt et travailler jusque tard le soir, et est capable de souffrir et de payer un prix. Mais quand elle a perdu l’espoir d’être bénie, elle ressemble à un ballon dégonflé. Elle veut modifier ses plans, trouver un autre chemin et renoncer à sa foi en Dieu. Elle se décourage et se montre déçue par Dieu, et elle est pleine de griefs. Est-ce là l’expression de quelqu’un qui poursuit et aime la vérité, de quelqu’un doué d’humanité et d’intégrité ? (Non.) Cette personne est en danger » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). « Les antéchrists n’obéissent jamais aux arrangements de la maison de Dieu et ils font toujours un lien étroit entre, d’une part, leur devoir, leur renommée, le gain et leur statut et, d’autre part, leur espoir de gagner des bénédictions et leur future destination, comme si, dans le cas où ils perdraient leur réputation et leur statut, ils n’avaient aucun espoir de gagner des bénédictions et des récompenses, et pour eux, ce serait comme s’ils perdaient la vie. Ils se disent : “Je dois faire attention, je ne dois pas être imprudent ! On ne peut pas se fier à la maison de dieu, aux frères et sœurs, aux dirigeants et aux ouvriers, ni même à dieu. Je ne peux faire confiance à aucun d’entre eux. La personne à laquelle tu peux le plus te fier et qui est la plus digne de confiance, c’est toi-même. Si tu ne fais pas de projets pour toi-même, alors qui va s’occuper de toi ? Qui va réfléchir à ton avenir ? Qui va se demander si, oui ou non, tu vas recevoir des bénédictions ? Par conséquent, je dois faire des projets et des calculs avec soin dans mon propre intérêt. Je ne peux pas faire d’erreurs ou même être le moins du monde imprudent, sinon, que ferais-je si quelqu’un essayait de profiter de moi ?” Et donc, ils se méfient des dirigeants et des ouvriers de la maison de Dieu, craignant que quelqu’un les discerne ou voie dans leur jeu, craignant d’être ensuite renvoyés et de voir leur rêve de bénédictions gâché. Ils se disent qu’ils doivent préserver leur réputation et leur statut, pour qu’ils aient l’espoir de gagner des bénédictions. Un antéchrist considère qu’être béni, c’est plus vaste que les cieux, plus vaste que la vie, plus important que la poursuite de la vérité, le changement de tempérament, ou le salut personnel, et plus important que de bien faire son devoir et d’être un être créé qui soit à la hauteur des normes. Il pense qu’être un être créé qui soit à la hauteur, bien faire son devoir et être sauvé sont autant de choses dérisoires qui valent à peine d’être mentionnées ni remarquées, tandis que gagner des bénédictions est la seule chose de toute la vie qui ne puisse jamais être oubliée. Face à ce qu’il rencontre, peu importe que ce soit grand ou petit, il relie tout au fait d’être béni, il est extrêmement prudent et attentif, et il se ménage toujours une issue. […] Le fait que quelqu’un obtienne ou non l’approbation de Dieu n’est pas basé sur le devoir qu’il fait, mais sur le fait qu’il possède la vérité, qu’il se soumette véritablement à Dieu et qu’il soit loyal. Ce sont les choses les plus importantes. Pendant la période du salut de Dieu pour les gens, ces gens doivent subir de nombreuses épreuves. Surtout dans l’accomplissement de leur devoir, ils doivent passer par de nombreux échecs et revers, mais à la fin, s’ils comprennent la vérité et montrent une véritable soumission à Dieu, ils seront quelqu’un qui a Son approbation. En ce qui concerne le fait d’être transféré dans son devoir, on peut voir que les antéchrists ne comprennent pas la vérité et qu’ils n’ont pas du tout la capacité de compréhension » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 12 : Ils veulent se retirer lorsqu’ils n’ont aucun statut et aucun espoir de gagner des bénédictions). À travers l’exposition des paroles de Dieu, j’ai vu que la raison pour laquelle les antéchrists ne peuvent pas aborder correctement les réaffectations ou les renvois dans leurs devoirs est qu’ils font leurs devoirs uniquement pour gagner des bénédictions, en tentant de marchander avec Dieu, et non pour gagner la vérité ou se soumettre à Dieu. Ainsi, lorsque quelque chose ne va pas ou que leurs devoirs sont réaffectés ou qu’ils sont renvoyés, ils associent toujours cela à l’obtention de bénédictions. Lorsqu’ils voient qu’ils n’ont plus d’espoir de gagner des bénédictions, ils deviennent découragés, déçus et remplis de rancœur, ils perdent la motivation de faire leurs devoirs, et même le désir de croire en Dieu. Je possédais également ces manifestations des antéchrists. Lorsque mes devoirs se passaient bien et que je pensais avoir des chances de gagner des bénédictions, je pouvais renoncer à mes études, endurer la souffrance et payer un prix pour mes devoirs. En revanche, lorsque je n’ai pas obtenu de bons résultats dans mes devoirs et que j’ai même risqué d’être renvoyée, j’ai senti que mon espoir de gagner des bénédictions s’était effondré. En conséquence, je suis devenue découragée, déçue, négative et j’ai relâché mes efforts, et je faisais mes devoirs comme une personne complètement différente. En réalité, il est tout à fait normal d’être renvoyé, ou de recevoir des remarques ou un émondage lorsque des problèmes surviennent dans ses devoirs. Pourtant, je m’inquiétais constamment : « Vais-je être renvoyée ? Si je suis renvoyée à nouveau, ne serai-je pas complètement révélée et éliminée ? Alors je n’aurai plus beaucoup de chance d’être sauvée et d’entrer dans le royaume des cieux. » J’avais transformé le fait de faire mes devoirs en transaction, en essayant d’échanger mes sacrifices, mes dépenses et mes résultats professionnels contre la bénédiction du royaume des cieux. C’était exactement comme Paul. Il prêchait l’Évangile uniquement pour recevoir des récompenses et des bénédictions, pas pour gagner la vérité, au point qu’il pouvait dire : « J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. Désormais, la couronne de justice m’est réservée » (2 Timothée 4:7-8). Cela signifiait qu’il avait payé un prix considérable en faisant son devoir, et que Dieu devait lui accorder des récompenses et des bénédictions, sinon il se disputerait avec Lui et s’opposerait à Lui. Est-ce que je ne suivais pas le même chemin que Paul ? J’étais disposée à payer un prix pour gagner des bénédictions, mais lorsque je sentais que je ne pourrais pas les recevoir, je devenais négative, je relâchais mes efforts, et je me plaignais même que Dieu ne me guidait pas. N’était-ce pas silencieusement m’opposer à Dieu ? En y pensant, je me sentais très effrayée, et j’ai pris conscience que faire des devoirs uniquement pour gagner des bénédictions et essayer de marchander avec Dieu est extrêmement dangereux. C’est un chemin de résistance à Dieu !

Plus tard, j’ai lu deux passages des paroles de Dieu : « Être béni n’étant pas un objectif approprié que les gens doivent poursuivre, qu’est-ce qu’un objectif approprié ? La poursuite de la vérité, la poursuite de changements dans le tempérament, et la capacité de se soumettre à toutes les orchestrations et à tous les arrangements de Dieu : tels sont les objectifs que les gens doivent poursuivre. Si, par exemple, être émondé fait naître en toi des notions et des incompréhensions, et que tu ne parviens plus à te soumettre, à quoi cela est-il dû ? C’est parce que tu estimes que ta destination ou ton désir d’être béni ont été mis au défi. Tu deviens négatif et contrarié, et tu veux abandonner ton devoir. Quelle en est la raison ? C’est parce qu’il y a un problème avec ta poursuite. Alors comment résoudre cela ? Il est impératif que tu abandonnes immédiatement tes idées erronées, et que tu recherches immédiatement la vérité pour résoudre ton problème de tempérament corrompu. Tu dois te dire : “Je ne dois pas renoncer, je dois continuer à bien faire le devoir qu’il incombe à un être créé et mettre de côté mon désir d’être béni.” Quand tu renonces au désir d’être béni et que tu suis le chemin de la poursuite de la vérité, tu es déchargé d’un fardeau. Seras-tu encore capable de négativité ? Même si tu es encore parfois négatif, tu ne laisses pas cela te contraindre, et dans ton cœur, tu continues à prier et à lutter, tu changes l’objectif de ta poursuite, passant de la recherche de bénédictions et d’une destination à la recherche de la vérité, et tu te dis : “La poursuite de la vérité est le devoir d’un être créé. Il n’y a pas de plus merveilleuse moisson que de comprendre certaines vérités aujourd’hui : c’est la plus merveilleuse des bénédictions. Même si Dieu ne veut pas de moi, que je n’ai pas une bonne destination, et que mes espoirs de bénédiction sont anéantis, je continuerai à faire mon devoir convenablement, j’y suis tenu. Quoi qu’il arrive, cela n’affectera pas l’accomplissement de mon devoir, ni ma réalisation du mandat de Dieu ; c’est mon principe de conduite.” De cette manière, n’as-tu pas transcendé les contraintes de la chair ? Certains peuvent dire : “Eh bien, et si je suis toujours négatif ?” Ensuite, cherchez de nouveau la vérité pour résoudre le problème. Quel que soit le nombre de fois où tu tombes dans la négativité, si tu continues simplement à chercher la vérité pour résoudre cela et à t’efforcer d’atteindre la vérité, tu sortiras peu à peu de ta négativité. Et un jour, tu sentiras que tu n’as plus le désir d’obtenir des bénédictions, que tu n’es plus contraint par ta destination et ton résultat, et que tu as plus d’aisance et de liberté en vivant sans ces choses » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Il ne peut y avoir d’entrée dans la vie qu’en pratiquant la vérité). « Job n’a pas négocié avec Lui, ni n’a requis ou exigé de Lui. Il louait Son nom du fait de la grande puissance et de l’autorité de Dieu régnant sur toutes choses. Cela ne dépendait pas de bénédictions qu’il avait reçues ou non, ni du fait qu’un désastre l’avait frappé ou non. Il croyait que, que Dieu bénisse les gens ou fasse s’abattre un désastre sur eux, Sa puissance et Son autorité ne changeraient pas. Ainsi, peu importe dans quelles circonstances on se trouve, le nom de Dieu devrait être loué. Si l’homme est béni par Dieu, c’est grâce à Sa souveraineté. Quand le désastre frappe l’homme, c’est aussi du fait de Sa souveraineté. La puissance et l’autorité de Dieu dominent et arrangent tout ce qui concerne l’homme. Les impondérables du sort de l’homme sont la manifestation de Sa puissance et de Son autorité. Quel que soit notre point de vue, le nom de Dieu devrait être loué. C’est ce que Job a expérimenté et appris à connaître au cours de sa vie. Toutes ses pensées et ses actions sont parvenues aux oreilles de Dieu et sont arrivées devant Lui. Dieu les a considérées comme importantes. Il chérissait cette connaissance de Job et le chérissait lui, parce qu’il avait un cœur comme le sien. Ce cœur attendait toujours l’ordre de Dieu, où qu’il soit. Il accueillait tout ce qui lui arrivait, partout et à tout moment. Job n’exigeait rien de Dieu. Il exigeait de lui-même qu’il attende tous les arrangements qui venaient de Lui, les accepte, les affronte et s’y soumette. Job croyait que c’était son devoir et précisément ce que Dieu voulait. […] Car le cœur de Job était pur et non caché à Dieu. Son humanité était honnête et bienveillante. Il aimait la justice et ce qui était positif. Seul un homme comme lui, possédant un tel cœur et une telle humanité, pouvait suivre la voie de Dieu, Le craindre et s’éloigner du mal. Un tel homme pouvait voir la souveraineté de Dieu, Son autorité et Sa puissance et était capable de se soumettre à Sa souveraineté et à Ses arrangements. Seul un tel homme pouvait vraiment louer le nom de Dieu. C’est parce qu’il n’a pas cherché à savoir s’Il le bénirait ou ferait s’abattre un désastre sur lui, qu’il savait que tout est contrôlé par Sa main et que l’inquiétude de l’homme était un signe de sottise, d’ignorance et un manque de raison ainsi qu’un signe de doute de Sa souveraineté sur toutes choses et d’un manque de crainte de Lui. La connaissance de Job était précisément ce que Dieu voulait » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même II). Les paroles de Dieu sont très concrètes et elles m’ont montré un chemin de pratique. Lorsque je me retrouve dans une situation et que je sens que mon espoir d’obtenir des bénédictions a été brisé, je devrais prier Dieu, abandonner mon intention de gagner des bénédictions et mettre de côté mes exigences envers Lui. Même si au final je ne reçois pas de bénédictions et que je ne peux pas être sauvée, je dois tout de même m’en tenir à mon devoir, poursuivre la vérité, et faire l’expérience des environnements que Dieu a orchestrés avec une attitude de soumission. Ainsi, le désir de bénédictions ne pourra plus me contraindre. Comme Job, il n’a pas essayé de marchander avec Dieu ni d’exiger quoi que ce soit de Lui. Quand les épreuves l’ont frappé, il a perdu tous ses biens, ses enfants, et était même couvert de plaies. Pourtant, il ne s’est jamais plaint de Dieu. Il comprenait que nos vies sont entre les mains de Dieu, et que les environnements qu’une personne traverse à chaque étape sont prédestinés et arrangés par Lui. C’est pourquoi Job a toujours été capable d’affronter avec honnêteté et soumission ce que Dieu avait arrangé. Comparé à Job, j’étais loin d’être à la hauteur ! Je tentais toujours de marchander avec Dieu, préoccupée en permanence par l’idée que si j’étais renvoyée, je ne serais pas sauvée ni ne recevrais de bénédictions. Je demandais constamment à Dieu de faire ceci ou cela, et je n’étais pas à l’aise avec l’idée de me confier à Lui. En réalité, le moment où j’irai à tel endroit, ferai tel devoir, ou traverserai telle épreuve a déjà été arrangé par Dieu. Ce n’est pas l’environnement qu’on traverse qui compte, mais le chemin qu’on choisit de suivre. Que l’on soit sauvé ou éliminé ne dépend pas des environnements que l’on traverse. Si je tentais toujours de marchander avec Dieu et cherchais des bénédictions, mais qu’à la fin mon tempérament ne changeait pas du tout, alors même si je n’étais pas renvoyée, je serais quand même éliminée. Si j’empruntais le chemin de la poursuite de la vérité, et que, face aux échecs et au fait d’être révélée, je pouvais chercher la vérité, réfléchir sur moi-même, et voir des changements dans mon tempérament-vie, je serais finalement sauvée par Dieu. En comprenant ces choses, j’ai eu l’impression de m’être débarrassée d’un lourd fardeau, et j’ai ressenti une paix et une légèreté. J’ai prié Dieu : « Dieu, j’ai toujours eu peur d’être renvoyée en faisant mon devoir, ce qui m’a conduite à un état négatif et à être passive dans mon devoir. Dieu, j’ai eu tort. Je dois imiter Job, sans me soucier des bénédictions ou des malheurs, mais simplement chercher la vérité, me soumettre à Toi en toute situation, et faire mon devoir. »

Au bout d’un moment, certains nouveaux venus continuaient à assister aux réunions de façon irrégulière. Je me suis sentie anxieuse, inquiète d’être renvoyée, alors je me suis vite présentée devant Dieu dans la prière, Lui demandant de me guider pour me soumettre à cette situation. Peu importe si j’allais être renvoyée ou non, ce que j’étais censée faire était réfléchir sur moi-même et chercher les vérités-principes. Après ma prière, je me suis sentie plus calme. J’ai commencé à réfléchir à l’origine des résultats insuffisants dans l’abreuvement des nouveaux venus. En discutant avec d’autres frères et sœurs, j’ai découvert mes écarts. S’agissant des nouveaux venus dont la fréquentation était irrégulière, je m’étais contentée d’échanger avec eux rapidement sur l’importance des réunions, de les exhorter, et de prier pour leurs difficultés. En conséquence, certains nouveaux venus participaient à une ou deux réunions, puis retombaient dans une fréquentation irrégulière. Le problème principal était que je n’avais pas saisi la racine et le cœur du problème. Pour résoudre cette question, je devais apprendre à faire mes devoirs selon les principes. D’un côté, je devais améliorer la qualité de vie de l’Église. Lorsque les frères et sœurs appréciaient et recevaient une véritable nourriture spirituelle à travers la vie de l’Église, ils étaient naturellement motivés à assister aux réunions. D’un autre côté, je devais apprendre à discerner les différents types de personnes. Concernant les nouveaux venus qui poursuivaient la vérité, je devais me concentrer sur leur abreuvement, les aider à comprendre les paroles de Dieu et Ses intentions. Cela était nécessaire pour qu’ils surmontent diverses difficultés, assistent régulièrement aux réunions et fassent leurs devoirs normalement. Concernant ceux qui ne poursuivaient pas la vérité et ne s’intéressaient pas aux réunions, s’il était confirmé qu’ils étaient des incrédules, je devais les abandonner, plutôt que de continuer à faire un travail futile. Après avoir compris ces choses, j’ai eu une direction pour faire mes devoirs. Plus tard, j’ai fait en sorte que les personnes chargées de l’abreuvement étudient les principes ensemble. Nous avons échangé sur la façon d’améliorer la qualité de vie de l’Église, et ils ont également partagé des méthodes efficaces les uns avec les autres. Au bout d’un certain temps, la vie de l’Église s’est améliorée. Aujourd’hui, même si je n’obtiens pas toujours de bons résultats dans mes devoirs, je ne m’inquiète plus de savoir si je serai renvoyée. Au lieu de cela, j’affronte les circonstances avec une attitude soumise, je cherche les vérités-principes et je m’efforce de bien faire mes devoirs. Cela me procure une grande paix intérieure. Dieu soit loué pour Sa direction !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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