Comment j’ai résolu l’oppression

1 mars 2025

Par Gu Nian, Chine

Par le passé, je me consacrais à un seul travail au sein de l’Église, la charge de travail n’était pas lourde et c’était relativement facile, j’estimais donc que faire mon devoir de cette manière était plutôt une bonne chose. Plus tard, j’ai été élue superviseuse de l’Évangile. J’ai vu que la sœur avec laquelle je travaillais devait assurer chaque jour le suivi de nombreuses tâches. Elle devait donner des échanges en temps utile pour résoudre les problèmes ou les états et les difficultés des frères et sœurs lorsqu’ils étaient découverts, cultiver les ouvriers de l’Évangile, faire des synthèses régulières du travail, etc. Son emploi du temps quotidien était totalement saturé. Rien qu’en la regardant, je me sentais mentalement épuisée. « Est-ce que mon devoir ressemblera à ça à l’avenir ? Avec autant de tâches détaillées, mon esprit ne va-t-il pas être surchargé chaque jour ? De plus, quand des problèmes surviennent, il me faut chercher la vérité pour les résoudre rapidement. Mais mon entrée dans la vie est superficielle, et je manque de vérité en ce qui concerne la prédication de l’Évangile. Je ne sais pas combien de souffrances ma chair va devoir endurer pour assumer ce devoir ! » Je ressentais beaucoup de pression, et j’avais peu d’enthousiasme pour accomplir activement le travail à venir.

Un soir, après avoir terminé le travail, j’ai ressenti un vide intérieur et une irritation inexplicable. En songeant aux difficultés et aux problèmes auxquels j’allais être confrontée dans le travail à venir, je me suis sentie oppressée et j’ai eu le cœur lourd. Je me suis rendu compte que je n’étais pas dans mon état normal, alors j’ai prié Dieu : « Ô Dieu, mon cœur ne trouve pas le repos, je me sens oppressée et irritée, et mon état n’est pas normal. Ô Dieu, je prie pour que Tu m’aides à sortir de cet état. Amen ! » Après avoir prié, j’ai ouvert le livre des paroles de Dieu et j’ai lu ces paroles de Dieu : « Si les gens recherchent constamment le confort et le bonheur physiques, s’ils poursuivent constamment le bonheur et le confort physiques et ne souhaitent pas souffrir, alors même un peu de souffrance physique, même souffrir un peu plus que les autres ou être un peu plus surmené que d’habitude les ferait se sentir réprimés. Voilà l’une des causes de la répression. Si les gens ne considèrent pas qu’un peu de souffrance physique est un gros problème et s’ils ne poursuivent pas le confort physique, mais qu’ils poursuivent plutôt la vérité et cherchent à mener à bien leurs devoirs afin de satisfaire Dieu, alors, souvent, ils ne ressentiront pas de souffrance physique. Même s’ils se sentent parfois un peu occupés, fatigués ou épuisés, après avoir dormi, ils se sentiront mieux au réveil, puis ils continueront leur travail. Ils se concentreront sur leurs devoirs et sur leur travail. Ils ne considéreront pas qu’un peu de fatigue physique est un problème important. Cependant, lorsqu’un problème surgit dans la pensée des gens et qu’ils poursuivent constamment le confort physique, chaque fois que leur corps physique est légèrement lésé ou ne peut pas trouver satisfaction, certaines émotions négatives surgissent en eux. Alors, pourquoi ce genre de personne, qui veut toujours faire ce qu’elle veut, qui veut satisfaire sa chair et profiter de la vie, se retrouve-t-elle souvent prisonnière de cette émotion négative de répression chaque fois qu’elle est insatisfaite ? (Parce qu’elle poursuit le confort et le plaisir physique.) C’est vrai pour certaines personnes » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). « Dans la société, qui sont les gens qui ne s’occupent pas de leur vrai travail ? Ce sont les paresseux, les imbéciles, les fainéants, les casseurs, les voyous et les flemmards, des gens comme cela. Ils ne souhaitent pas acquérir de nouvelles compétences ou capacités, et ils ne veulent pas poursuivre des carrières sérieuses, ni trouver un emploi pour pouvoir s’en sortir. Ce sont les paresseux et les fainéants de la société. Ils s’infiltrent dans l’Église et, ensuite, ils veulent obtenir quelque chose sans rien faire, et obtenir leur part de bénédictions. Ce sont des opportunistes. Ces opportunistes ne sont jamais disposés à faire leurs devoirs. Si les choses ne vont pas dans leur sens, même légèrement, ils se sentent réprimés. Ils souhaitent toujours vivre librement, ils ne veulent effectuer aucun type de travail, mais ils veulent malgré tout manger de la bonne nourriture et porter de beaux vêtements, manger ce qu’ils désirent et dormir quand ils veulent. Ils pensent que lorsqu’un jour comme celui-ci viendra, ce sera certainement merveilleux. Ils ne veulent pas endurer ne serait-ce que quelques difficultés et ils souhaitent une vie de petits plaisirs. Ces gens trouvent même la vie épuisante : ils sont entravés par des émotions négatives. Ils se sentent souvent fatigués et perdus parce qu’ils ne peuvent pas faire ce qui leur plaît. Ils ne veulent pas s’occuper de leur vrai travail, ni gérer leurs véritables problèmes. Ils ne veulent pas s’en tenir à un travail et le faire avec constance, du début à la fin, en le traitant comme leur propre métier et leur propre devoir, comme leur obligation et leur responsabilité. Ils ne veulent pas le terminer ni obtenir de résultats, ni le faire selon les meilleures normes possibles. Ils n’ont jamais pensé de cette façon. Ils veulent juste agir de manière superficielle et utiliser leur devoir comme un moyen de gagner leur vie. Lorsqu’ils sont confrontés à un peu de pression ou à une forme de contrôle, ou lorsqu’ils sont tenus à une norme légèrement plus élevée ou qu’ils doivent assumer quelques responsabilités, ils se sentent mal à l’aise et réprimés. Ces émotions négatives surgissent en eux, vivre leur semble épuisant et ils sont malheureux » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). En réfléchissant aux paroles de Dieu, je me suis sentie profondément bouleversée et ébranlée. J’ai vu qu’aux yeux de Dieu, ceux qui cherchent toujours le confort dans leur devoir et tombent dans un état d’oppression lorsqu’ils souffrent un peu sont des gens qui ne s’occupent pas du travail qui leur incombe et sont des opportunistes qui se sont infiltrés dans la maison de Dieu. En réfléchissant à mon état et à ce que j’avais révélé pendant cette période, je me suis rendu compte que j’étais exactement le genre de personne que Dieu exposait. Je n’avais pas encore officiellement pris en charge une tâche ; je voyais simplement que la sœur avec laquelle je travaillais avait beaucoup de tâches à accomplir. Elle devait faire des efforts, réfléchir intensément et se creuser les méninges tous les jours, et elle devait aussi résoudre les problèmes des frères et sœurs en échangeant sur la vérité. Je me sentais troublée parce que tout cela me paraissait très prenant et épuisant. Quand je songeais à la façon dont je devrais moi-même assumer la responsabilité de ces tâches détaillées, je me sentais oppressée et j’avais le cœur lourd, et je ne voulais pas endosser ce fardeau. Pourtant, je savais que diffuser l’Évangile du royaume de Dieu est l’intention urgente de Dieu, et que les personnes dotées d’une conscience et d’une raison qui poursuivent la vérité considèrent toutes l’intention de Dieu, qu’elles endurent réellement la souffrance et paient de leur personne, et qu’elles y apportent leur contribution. Maintenant que j’avais accepté ce devoir, il me fallait réfléchir à la manière de m’acquitter de ce travail le plus rapidement possible, comme par exemple de cultiver les gens, résoudre leurs états et leurs difficultés, corriger les problèmes et les déviations dans le travail, etc. C’étaient là des tâches auxquelles je n’avais jamais fait face auparavant, il fallait donc que je les comprenne et que je me familiarise avec elles petit à petit. Mais je n’avais pas ces pratiques positives, et je craignais toute la journée que ma chair ne souffre davantage, ce qui me faisait tomber dans un état d’oppression. Je ne m’occupais vraiment pas du travail qui m’incombait ! Ces pensées m’ont causé un grand sentiment de culpabilité, je me suis donc présentée devant Dieu pour prier. J’ai demandé à Dieu de me donner le sens du fardeau et la détermination d’endurer la souffrance afin que je puisse assumer ce travail.

Au début, j’étais plutôt active, je me suis familiarisée avec divers principes et je me suis équipée de la vérité de la prédication de l’Évangile pour résoudre des problèmes. C’était difficile, mais, en priant Dieu et en me fiant à Lui, j’ai pu faire quelques progrès, et chaque jour me semblait tout à fait épanouissant. Mais au bout d’un certain temps, je me suis rendu compte que les tâches détaillées dépassaient ce que j’avais anticipé. Le moment venu de faire la synthèse du travail, j’ai vu qu’il y avait beaucoup de problèmes à résoudre et j’ai été submergée. Par exemple, les ouvriers d’évangélisation ne saisissaient pas les principes de leurs devoirs, ils ne savaient pas comment répondre aux questions posées par les destinataires potentiels de l’Évangile, certaines personnes avaient des états déplorables, etc. Résoudre tous ces problèmes un par un à travers l’échange aurait demandé un effort mental considérable. De plus, je n’avais quasiment aucune expérience, et trouver les principes pertinents pour résoudre ces problèmes et trouver comment répondre efficacement aux questions des destinataires potentiels de l’Évangile demandait énormément d’efforts mentaux ! Je ressentais une pression immense et, tandis que je regardais fixement l’ordinateur, je ne pouvais m’empêcher de me dire : « Chaque problème qui se présentera à l’avenir nécessitera un examen approfondi et un coût pour être résolu. Ce devoir est trop difficile pour moi. Je veux juste être une fidèle de petite envergure. Ne pourrais-je pas me concentrer sur la prédication de l’Évangile et assumer un devoir plus simple ? » Pendant cette période, chaque matin en ouvrant les yeux, je me sentais submergée par le travail à accomplir, et même dans mes rêves, j’échangeais pour résoudre des problèmes. Progressivement, je me suis sentie de plus en plus épuisée dans mon travail, mon cœur était particulièrement las et les émotions négatives d’oppression sont devenues plus graves. Chaque jour, j’espérais avoir moins de tâches et moins de problèmes afin de ne pas être aussi fatiguée. J’ai passé plusieurs jours entiers dans l’hébétude, à simplement me forcer de faire mon devoir. Mon cœur n’avait pas un grand sens du fardeau, et je remettais sans cesse à plus tard les problèmes à résoudre. Lorsque je vérifiais le travail, je ne parvenais à identifier aucun problème ; j’avais l’impression que mon cerveau était comme un bloc de bois, et mon travail était très peu efficace. Même la prière et le fait de manger et de boire les paroles de Dieu ne m’apportaient aucun éclairage et aucune lumière, et je broyais vraiment du noir. Les frères et sœurs ont également remarqué que quelque chose n’allait pas dans mon état et m’ont demandé : « Qu’est-ce qui se passe avec ton état ces jours-ci ? Tu es constamment somnolente et tu n’es pas très active lors de l’échange pendant les réunions. » En les entendant dire cela, je me suis sentie encore plus bouleversée, et je me suis demandé comment j’en étais arrivée là. Avais-je perdu l’œuvre du Saint-Esprit ? Dieu m’avait-Il mise de côté et ignorée ? Plus tard, à force de chercher, j’ai finalement commencé à acquérir quelque compréhension de mon état.

J’ai lu ces paroles de Dieu : « Avoir des émotions négatives prouve qu’il y a un problème, et quand il y a un problème, tu devrais le résoudre. Il y a toujours un moyen et un chemin pour résoudre les problèmes qui devraient être résolus : ils ne sont pas insolubles. Cela dépend simplement si tu peux faire face au problème et si tu veux le résoudre ou non. Si tu le veux, alors il n’y a pas de problème si difficile qui ne puisse être résolu. Tu viens devant Dieu et tu cherches la vérité dans Ses paroles, et tu peux résoudre toutes les difficultés. Cependant, non seulement ton abattement, ta déprime, ton découragement et ta répression ne peuvent pas t’aider à résoudre tes problèmes mais, au contraire, ils peuvent les aggraver et faire qu’ils deviennent de pire en pire. Croyez-vous cela ? (Oui.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (1)). « Enfin, il y a quelque chose que Je voudrais vous dire : ne laisse pas un sentiment mineur ou une émotion simple et insignifiante t’embrouiller pour le reste de ta vie au point d’affecter ton obtention du salut et de détruire ton espoir de salut, compris ? (Oui.) Cette émotion n’est pas seulement négative, pour être plus précis, elle est en fait en opposition avec Dieu et la vérité. Tu pourrais penser qu’il s’agit d’une émotion au sein de l’humanité normale, mais aux yeux de Dieu, ce n’est pas seulement une simple question d’émotion, mais une méthode d’opposition à Dieu. C’est une méthode marquée par des émotions négatives que les gens utilisent pour résister à Dieu, aux paroles de Dieu et à la vérité. Par conséquent, J’espère que, en supposant que tu veuilles poursuivre la vérité, tu t’examineras soigneusement pour voir si tu t’accroches à ces émotions négatives, si tu résistes obstinément et bêtement à Dieu et si tu rivalises avec Lui. Si tu as découvert la réponse grâce à l’examen, si tu es parvenu à une prise de conscience claire, alors Je te demande de commencer par abandonner ces émotions. Ne les chéris pas et ne t’y accroche pas, car elles te détruiront, elles détruiront ta destination et elles détruiront l’opportunité et l’espoir que tu as de poursuivre la vérité et d’atteindre le salut » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (1)). Dieu parlait très clairement. Les émotions négatives peuvent passer pour un problème mineur, mais elles affectent grandement la poursuite de la vérité et l’accomplissement du devoir. Avant, je pensais que tout le monde éprouvait des émotions négatives, que ces dernières sont simplement les révélations de pensées et d’idées dans certains environnements, et que ce n’était pas un gros problème. Alors quand j’ai vu que les émotions négatives exposées par Dieu pouvaient conduire une personne à résister à la vérité et à Dieu, et pouvaient anéantir leur chance de salut, je n’avais pas beaucoup d’expérience authentique ou de compréhension dans mon cœur. En réfléchissant à ce que j’avais révélé pendant cette période, j’ai commencé à me sentir émue. Lorsque j’avais vu la grande quantité de travail et à quel point les projets étaient nombreux, je m’étais dit qu’accomplir ce devoir engendrerait de la souffrance et de l’épuisement dans ma chair, et je m’étais sentie oppressée et j’avais eu le cœur lourd, incapable de me sentir libérée. Quand j’avais effectivement assuré le suivi de ce devoir, j’avais découvert qu’il y avait de nombreuses tâches spécifiques à accomplir, et de nombreux problèmes qui nécessitaient d’être résolus à travers l’échange sur la vérité. Mais je n’avais pas d’expérience dans ce travail, et je m’étais dit que ma chair allait devoir souffrir afin de bien gérer chaque tâche. Cela m’avait causé une grande détresse, et des émotions négatives avaient constamment émergé. Chaque jour, je n’avais fait que me forcer à faire mon devoir, et je n’avais pas eu de véritable sens du fardeau dans mon cœur. Je m’étais préoccupée de ma chair, en me complaisant dans des émotions oppressives, et j’avais été faible et passive dans mon devoir. Cela revenait essentiellement à évacuer mon mécontentement et à désobéir à l’environnement mis en place par Dieu. C’était résister à la vérité et à Dieu, et m’opposer à Dieu. Dieu scrute les profondeurs du cœur des gens et mon attitude face à mon devoir avait amené Dieu à me détester. J’avais perdu l’œuvre du Saint-Esprit dans mon devoir. C’était le tempérament juste de Dieu qui s’abattait sur moi. Cette prise de conscience m’a terrifiée, et j’ai su qu’il me fallait résoudre mes émotions négatives le plus rapidement possible.

Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Quel est ton but, vraiment, si tu n’acceptes pas la vérité – sans parler de pratiquer la vérité – et que tu fais simplement dans l’à-peu-près dans la maison de Dieu ? Souhaites-tu faire de la maison de Dieu ta maison de retraite ou ton hospice ? Si oui, tu te trompes, la maison de Dieu ne prend pas soin des profiteurs, des bons à rien. Quiconque est d’une humanité médiocre, n’accomplit pas volontiers son devoir, ou est inapte à accomplir un devoir, doit être exclu : tous les incrédules qui n’acceptent pas du tout la vérité doivent être éliminés. Certains comprennent la vérité, mais ne parviennent pas à la mettre en pratique dans l’accomplissement de leurs devoirs. Quand ils voient un problème, ils ne le résolvent pas, et même s’ils savent qu’il relève de leur responsabilité, ils ne s’y consacrent pas pleinement. Si tu ne t’acquittes même pas des responsabilités dont tu es capable, alors quelle valeur et quel effet l’accomplissement de ton devoir pourrait-il avoir ? Cela a-t-il un sens, de croire en Dieu de cette manière ? Quelqu’un qui comprend la vérité mais ne peut pas la pratiquer, ne peut pas supporter les souffrances qu’il devrait subir, une telle personne est inapte à accomplir un devoir. Certaines personnes qui accomplissent un devoir ne le font, en réalité, que pour être nourries. Ce sont des mendiants. Ces gens pensent que s’ils accomplissent quelques tâches dans la maison de Dieu, ils auront le gîte et le couvert et il sera subvenu à leurs besoins sans qu’il leur soit nécessaire de trouver un emploi. Existe-t-il pareille chose que ce genre de marché ? La maison de Dieu ne subvient pas aux besoins des fainéants. Si quelqu’un qui ne pratique pas le moins du monde la vérité, et qui est constamment superficiel dans l’accomplissement de son devoir, dit qu’il croit en Dieu, Dieu le reconnaîtra-t-Il ? Tous ces gens sont des incrédules et, tels que Dieu les voit, des malfaiteurs » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Pour bien accomplir son devoir, on doit au moins posséder conscience et raison). « Aujourd’hui, tu ne crois pas les paroles que Je dis et tu n’y prêtes aucune attention ; quand le jour où cette œuvre se répandra viendra et que tu en verras la totalité, tu le regretteras et, à ce moment-là, tu seras sidéré. Il y a des bénédictions, mais tu ne sais pas en jouir, et il y a la vérité, mais tu ne la poursuis pas. N’attires-tu pas le mépris sur toi ? Aujourd’hui, même si la prochaine étape de l’œuvre de Dieu n’a pas encore commencé, il n’y a rien en plus au sujet des exigences qui te sont faites et de ce qu’on te demande de vivre. Il y a tant d’œuvres et tant de vérités ; ne méritent-elles pas que tu les connaisses ? Le châtiment et le jugement de Dieu sont-ils incapables d’éveiller ton esprit ? Le châtiment et le jugement de Dieu sont-ils incapables de t’amener à te haïr ? Es-tu satisfait de vivre sous l’influence de Satan, dans la paix et la joie et un peu de confort charnel ? N’es-tu pas le plus abject de tous ? Aucun n’est plus insensé que ceux qui ont vu le salut, mais ne cherchent pas à le gagner ; ceux-là sont des gens qui se perdent par la chair et jouissent de Satan. Tu espères que ta foi en Dieu n’entraînera aucun défi et aucune tribulation, ni la moindre difficulté. Tu poursuis toujours ces choses qui ne valent rien et tu n’attaches aucune valeur à la vie ; au lieu de cela, tu fais passer tes propres pensées extravagantes avant la vérité. Tu ne vaux absolument rien ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les expériences de Pierre : sa connaissance du châtiment et du jugement). En réfléchissant aux paroles de Dieu, je me suis sentie profondément jugée. Dieu déteste ceux qui recherchent constamment le confort et les plaisirs de la chair. De telles personnes n’endurent pas la souffrance et ne paient pas de leur personne dans leur devoir, et il leur est impossible d’assumer leurs responsabilités ou de se dépenser sincèrement pour Dieu. J’avais toujours poursuivi une vie de confort charnel, j’avais vécu selon les poisons sataniques de « La vie est courte, alors profites-en tant que tu le peux », « Bois aujourd’hui le vin d’aujourd’hui et soucie-toi demain de demain », et « Traite-toi bien, car la vie est courte ». Je croyais que la vie dans ce monde était pleine de problèmes et de chagrins, et qu’il ne fallait pas se compliquer les choses, mais qu’il fallait apprendre à profiter de la vie et à se faire du bien. Après avoir commencé à croire en Dieu, j’ai su que la poursuite de la vérité et l’accomplissement du devoir étaient le bon chemin dans la vie, et qu’il faut endurer la souffrance et payer de sa personne pour gagner la vérité. Mais lorsque j’ai été choisie comme superviseuse et que j’ai dû assumer davantage de responsabilités, l’idée de devoir souffrir davantage pour faire le travail correctement et de ne pas pouvoir vivre une vie confortable et facile m’a donné un sentiment d’oppression et j’ai eu le cœur lourd. En voyant l’augmentation de la charge de travail, je me sentais mécontente, résistante et pleine de plaintes, et j’ai même retardé la résolution de problèmes qui relevaient de mes compétences. J’ai vu que j’étais exactement le genre de personne que Dieu exposait : quelqu’un qui ne veut pas faire ses devoirs, une profiteuse et une personne inutile qui aime la facilité et hait le travail. J’ai songé au nombre de frères et sœurs prêcheurs de l’Évangile qui ont enduré les insultes et les humiliations de la part de gens religieux, ainsi que la persécution et les arrestations par le grand dragon rouge, et qui ont même risqué de perdre leur vie. Certains d’entre eux se sont efforcés de s’équiper de la vérité pour résoudre les problèmes des destinataires potentiels de l’Évangile, en échangeant à maintes reprises pour faire face aux notions des personnes religieuses. Quelles que soient les difficultés rencontrées, ils n’ont pas reculé ni abandonné, ils étaient prêts à prendre en compte les intentions de Dieu et à prêcher l’Évangile à davantage de personnes. C’est ce que devraient faire les personnes qui ont vraiment de l’humanité. Puis, en m’examinant, j’ai vu que mon attitude envers mon devoir était particulièrement irrévérencieuse et négligente, comme si le fait d’avoir été nommée superviseuse revenait à tenter délibérément de me rendre les choses difficiles, et je voulais simplement être libérée de la souffrance ou du labeur, vivre aux crochets de la maison de Dieu et passer mes journées à faire le minimum. Une personne comme moi, avec une telle humanité, ne méritait pas de faire un devoir. J’étais vraiment égoïste et méprisable ! En fait, Dieu a donné à chacun un fardeau à la mesure de sa stature réelle, en utilisant leur devoir pour compenser leurs lacunes et les aider à gagner la vérité. Si je repense au moment où j’ai commencé à faire ce devoir, j’ai rencontré des difficultés et des problèmes dans le travail, et en priant et en m’appuyant sur Dieu pour rechercher les vérités-principes, j’ai fait quelques progrès. Plus tard, lorsque des ouvriers de l’Évangile ont eu des problèmes avec leurs états ou leur travail, j’ai également fait quelques progrès en échangeant avec eux pour résoudre ces problèmes, ce qui n’aurait pas été réalisable dans un environnement confortable. Mais sous l’influence des poisons de Satan, j’ai poursuivi des choses viles et sans valeur, en songeant toujours à me soustraire à mon devoir pour protéger mes intérêts charnels, en vivant dans des émotions négatives et en résistant à Dieu. J’étais vraiment rebelle et incapable de distinguer le bien du mal ! Si je continuais à vivre pour la chair, j’anéantirais assurément ma chance de gagner la vérité par l’exécution de mon devoir. En prenant conscience de cela, j’ai ressenti un profond sentiment de culpabilité et je m’en suis grandement voulu, et j’ai prié Dieu en pleurant : « Dieu, j’ai eu tort. Mon attitude envers mon devoir T’a dégoûté et déçu. J’ai failli à Ton intention. Dieu, je ne veux plus me rebeller contre Toi, et je suis prête à me rebeller contre ma chair et à assumer cette responsabilité ».

Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Ceux qui croient vraiment en Dieu sont tous des individus qui s’occupent de leur propre travail, ils sont tous disposés à accomplir leurs devoirs, ils sont capables d’assumer une tâche et de bien la faire en fonction de leur calibre et des règlements de la maison de Dieu. Bien entendu, il peut être difficile de s’adapter à cette vie, au début. Tu peux te sentir physiquement et mentalement épuisé. Cependant, si tu es vraiment déterminé à coopérer et que tu as la volonté de devenir une personne normale et bonne, et d’obtenir le salut, alors tu dois un peu payer un prix et laisser Dieu te discipliner. Lorsque tu as l’envie irrépressible de te montrer obstiné, tu dois te rebeller contre cette envie et l’abandonner, et atténuer peu à peu ton obstination et tes désirs égoïstes. Tu dois rechercher l’aide de Dieu dans les domaines cruciaux, aux moments cruciaux et en ce qui concerne les tâches cruciales. Si tu es effectivement déterminé, alors tu dois demander à Dieu de te châtier, de te discipliner et de t’éclairer, pour que tu puisses comprendre la vérité. Ainsi, tu obtiendras de meilleurs résultats. Si tu es véritablement déterminé, que tu pries Dieu en Sa présence et que tu L’implores, Dieu agira. Il changera ton état et tes pensées. Si le Saint-Esprit œuvre un peu, s’Il t’émeut un peu et t’éclaire un peu, ton cœur changera et ton état sera transformé. […] Si tu peux subir une telle transformation, la maison de Dieu t’invitera à rester pour mener à bien ton devoir, pour accomplir ta mission et pour terminer complètement le travail que tu as sous la main. Bien sûr, les personnes qui ont ces émotions négatives ne peuvent être aidées qu’avec un cœur aimant. Si une personne refuse systématiquement d’accepter la vérité et reste impénitente malgré des remontrances répétées, nous devons lui dire adieu. Mais quand les gens sont vraiment prêts à changer, à faire demi-tour, à inverser leur trajectoire, nous les encourageons chaleureusement à rester. Tant qu’ils sont véritablement disposés à rester et à changer leurs approches et modes de vie antérieurs, qu’ils sont capables de subir progressivement une transformation tout en accomplissant leur devoir et qu’ils deviennent meilleurs dans leur devoir au fur et à mesure qu’ils l’accomplissent, alors nous les invitons à rester et espérons qu’ils continueront à s’améliorer. Nous formons également un souhait important les concernant : nous souhaitons qu’ils puissent se libérer de leurs émotions négatives, qu’ils puissent ne plus être empêtrés dans ces émotions ni enveloppés par leur ombre, qu’ils puissent au contraire s’occuper de leur propre travail et suivre le bon chemin, agir et vivre comme devraient le faire les gens normaux selon les exigences de Dieu, et mener à bien leurs devoirs avec assurance dans la maison de Dieu conformément à Ses exigences, en ne se laissant plus porter par la vie. Nous leur souhaitons un avenir prometteur, et de ne plus agir à leur guise, de ne plus se préoccuper uniquement de la recherche du plaisir et de la jouissance physique, mais, au contraire, de penser aux questions liées à l’accomplissement de leurs devoirs, au chemin qu’ils suivent dans la vie, et de penser à vivre une humanité normale. Nous leur souhaitons de tout cœur de pouvoir vivre heureux, libres et libérés dans la maison de Dieu, d’y éprouver quotidiennement la paix et la joie, et de ressentir chaleur et plaisir dans leur vie. N’est-ce pas le souhait le plus formidable ? (Si.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (5)). En voyant les efforts de Dieu pour retenir ceux qui étaient piégés dans un état d’oppression et Son souhait pour eux, je me suis sentie réconfortée, profondément touchée et encouragée. Dieu espère que je pourrai me comporter conformément à Ses exigences, vivre une humanité normale, m’occuper du travail qui m’incombe et accomplir mon devoir conformément aux vérités-principes. J’ai également compris que pour être une personne dotée d’humanité et suivre le bon chemin dans la vie, il faut avoir la détermination de poursuivre les choses positives, se rebeller consciemment contre sa chair lorsqu’on est confronté à des difficultés et à des problèmes en faisant son devoir, et réellement payer de sa personne pour résoudre les problèmes, et assumer ainsi les responsabilités d’un adulte. De plus, avant d’accomplir son devoir chaque jour, il faut prier Dieu avec un cœur sincère et accepter Son examen. Lorsque je me surprends à vouloir faire preuve de considération envers ma chair et négliger mon devoir, il faut que je demande à Dieu de me corriger et de me discipliner, et que je m’efforce de faire mon devoir de tout mon cœur et de toutes mes forces. Ce n’est qu’en vivant de cette manière que je posséderai une ressemblance humaine. Après avoir compris ces choses-là, j’ai voulu pratiquer conformément aux paroles de Dieu et entrer en elles. À partir de ce moment-là, pour chaque tâche qui m’incombait, je m’en remettais à Dieu et me fiais à Lui, et j’ai réellement payé de ma personne en recherchant des ressources, en priant et en cherchant, en réfléchissant à la manière dont je devais échanger pour obtenir de bons résultats. Lorsque je rencontrais des choses que je ne comprenais pas ou que je ne pouvais pas gérer, je communiquais avec mes frères et sœurs. Les problèmes qui émergeaient dans mon travail se résolvaient progressivement. Bien que la charge de travail dans mon devoir soit la même qu’auparavant, je ne me sentais plus oppressée, au contraire, je trouvais qu’il valait la peine de fournir des efforts et de payer de ma personne pour faire correctement mon devoir. J’ai également ressenti un sentiment de joie et d’accomplissement dans mon cœur, et j’ai accumulé de réelles compétences dans mon travail. J’ai le sentiment que vivre conformément aux paroles de Dieu est vraiment formidable, et que je vis une vie précieuse et digne !

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