La raison pour laquelle j’ai toujours cherché à me démarquer dans mon devoir
Par Wu Yan, ChineEn 2021, à la fin du mois de juin, comme le Parti communiste chinois arrêtait des chrétiens à tout-va, la maison qui...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Après avoir cru en Dieu pendant plus d’un an, je suis devenue cheffe de groupe dans l’Église. Ye Ping était la dirigeante de notre Église. J’ai vu qu’elle avait un calibre élevé, qu’elle faisait son devoir avec enthousiasme et organisait le travail de façon claire et ordonnée. Quand quelqu’un avait un problème, elle trouvait toujours rapidement des paroles de Dieu appropriées pour échanger avec lui et lui offrir de l’aide. Tout le monde l’admirait et pensait qu’elle comprenait la vérité. Au cours des réunions, Ye Ping disait souvent : « L’Église a beaucoup de travail en ce moment, et je dois m’occuper à la fois du prêche de l’Évangile et de l’abreuvement. La plupart des gens dans l’Église sont des nouveaux croyants qui ne comprennent pas la vérité, et je dois donc faire attention à leur entrée dans la vie. » Les frères et sœurs pensaient tous qu’elle portait un fardeau, et quand ils rencontraient des difficultés, ils attendaient l’échange de Ye Ping. Moi aussi je l’admirais et je pensais qu’elle dirigeait bien notre Église. À l’époque, tout le monde dans l’Église estimait Ye Ping et disait souvent qu’elle savait échanger et que c’était une ouvrière compétente. En entendant cela, Ye Ping affichait une expression satisfaite et disait fièrement : « J’ai suffisamment veillé à toutes les tâches au sein de l’Église, et je connais la situation de chaque frère et sœur. » Je trouvais arrogant de sa part de dire une chose pareille. Mais je me disais que puisque ceux qui avaient un calibre élevé et des dons étaient tous relativement arrogants, il suffisait qu’elle fasse le travail de l’Église correctement, et je ne prenais donc pas la chose au sérieux.
Par la suite, j’ai découvert que Ye Ping était responsable du travail d’évangélisation, mais qu’elle n’avait jamais échangé sur les principes du prêche de l’Évangile ou sur l’intention de Dieu. Elle ne résolvait pas de problèmes réels, et se contentait de donner des ordres et de faire un travail superficiel. Un jour, Ye Ping m’a envoyée prêcher l’Évangile à un destinataire potentiel de l’Évangile. Pendant que nous parlions, l’homme en question m’a plusieurs fois harcelée physiquement. J’ai vu qu’il avait une nature vraiment malfaisante et qu’il n’investiguait pas sincèrement la vraie voie. J’ai immédiatement signalé la situation à Ye Ping. À ma grande surprise, elle m’a sermonnée avec mauvaise humeur : « Tu n’y es allée que deux ou trois fois et tu abandonnes déjà ? Quelles leçons en as-tu tirées ? » Et sur ces mots, elle est partie. À ce moment-là, je n’ai pas compris pourquoi elle m’avait soudain réprimandée et j’ai trouvé ça injuste : « J’ai été harcelée par quelqu’un et toi, au lieu de me réconforter et de résoudre le problème, tu me réprimandes. Où sont passés ta compassion et ton sens des responsabilités ? » Plus tard, j’ai continué à chercher et j’ai trouvé la confirmation que cet homme avait une nature malfaisante, qu’il n’aimait pas la vérité et qu’il n’était pas un digne destinataire de l’Évangile, et j’ai donc renoncé à lui. Mais après cela, Ye Ping n’a pas arrêté de me reprocher des choses sans raison. Elle faisait par exemple exprès de me poser certaines questions, et quand je ne savais pas répondre, elle disait que j’avais l’esprit confus. Ou encore, elle m’envoyait aider quelqu’un qui ne poursuivait pas du tout la vérité, et quand je ne parvenais pas à l’aider, elle en profitait pour me faire la morale. Je n’osais pas rapporter ce problème aux dirigeants supérieurs, car je me disais qu’après tout, elle était dirigeante et que beaucoup de frères et sœurs l’estimaient. Alors que je n’étais que cheffe de groupe et que je devais donc faire de mon mieux pour ne pas l’offenser. Par contre, je ne m’attendais pas à ce que Ye Ping interrompe déraisonnablement mon devoir de cheffe de groupe et s’arrange pour que je me réunisse avec deux individus qui ne recherchaient pas du tout la vérité. Pendant ces réunions, le premier s’assoupissait immanquablement et le second me harcelait pour qu’on se raconte des ragots. Au bout de deux mois, ces réunions n’avaient rien donné et j’étais dans un état de confusion. J’ai pensé aux réunions antérieures, à la façon dont chacun ouvrait son cœur et échangeait sur ses connaissances expérientielles, ce que j’appréciais beaucoup. Or désormais, je souffrais énormément et j’étais aussi très négative et faible. À mon avis, assister à ces réunions risquait d’infliger à ma vie une perte trop importante. Si je continuais ainsi, pourrais-je gagner la vérité et atteindre le salut ? Je n’ai découvert que plus tard qu’en fait, Ye Ping me mettait à l’écart en m’envoyant me réunir avec deux personnes qui étaient sur le point d’être exclues. Quand j’ai appris la vérité, j’ai été contrariée et furieuse. Je ne pensais vraiment pas qu’elle était aussi insidieuse et malveillante. Me tourmenter de la sorte parce que je ne l’écoutais pas, n’était-ce pas le genre de choses que font les personnes malfaisantes ? À ce moment-là, j’ai vraiment voulu rendre compte de la situation de Ye Ping aux dirigeants et aux ouvriers et échanger avec mes frères et sœurs pour la discerner. Mais puisque Ye Ping avait toujours été dirigeante dans l’Église et que beaucoup de frères et sœurs l’estimaient, si j’échangeais avec mes frères et sœurs pour la discerner, me croiraient-ils tous ? Si Ye Ping l’apprenait, elle continuerait certainement à se venger et à me tourmenter. Si elle portait des accusations contre moi et m’excluait, mon chemin de croyance en Dieu n’arriverait-il pas à son terme ? À cette pensée, j’ai ravalé mes griefs. Peu de temps après, pour des raisons de sécurité, Ye Ping n’a pas pu diriger le travail de l’Église et une sœur a été désignée pour s’en charger à titre temporaire. Quand cette sœur s’est réunie avec nous, elle a vu que mon échange sur les paroles de Dieu contenait un certain éclairage et une certaine lumière et que j’étais prête à faire mon devoir. Après avoir compris ma situation, elle m’a donc laissée reprendre mon devoir.
Après cela, j’ai appris que deux autres sœurs étaient elles aussi sans arrêt mises à l’écart pour des raisons encore inconnues. Après avoir pris connaissance des détails, j’ai découvert que ces deux sœurs avaient été mises à l’écart par Ye Ping pour avoir pris la défense d’un frère. Parce que le frère en question avait retardé le travail d’évangélisation, Ye Ping n’arrêtait pas de l’émonder. Les deux sœurs avaient rappelé à Ye Ping : « Il sait déjà qu’il a eu tort. Tu ne devrais pas seulement l’émonder, tu devrais aussi échanger sur la vérité pour résoudre le problème. » En entendant cela, Ye Ping, très irritée, les avait immédiatement mises à l’écart. Si des frères et sœurs lui désobéissaient ou la provoquaient, elle se servait de leurs transgressions et de leurs défauts pour les tourmenter. C’était un acte mauvais ! Lors d’une réunion, j’ai échangé pour la discerner. Une sœur m’a interrompue en disant : « Est-ce que tu nous demandes de discerner Ye Ping parce que tu veux te venger d’elle pour t’avoir mise à l’écart il y a quelque temps ? Si c’est le cas, il faut vraiment que tu réfléchisses sur toi-même. » En entendant cela, j’ai compris que la plupart des frères et sœurs avaient été induits en erreur par Ye Ping et qu’ils l’estimaient beaucoup. Je n’étais que cheffe de groupe, alors comment auraient-ils pu croire ce que je disais et discerner une personne qui était dirigeante depuis de nombreuses années ? À ce moment-là, je me suis soudain sentie découragée. Je me suis dit : « Ma compréhension de la vérité est superficielle et je ne peux pas d’un seul coup disséquer en profondeur le problème de Ye Ping. Si je continue à parler, ils risquent de mal comprendre et de penser que je me venge pour défendre mes intérêts personnels. Si Ye Ping venait à l’apprendre, elle pourrait me déclarer coupable de m’être vengée d’une dirigeante et m’expulser. Ne perdrais-je pas alors jusqu’à la possibilité de croire en Dieu ? Oublions cela. Il vaut mieux que je fasse des concessions pour ne pas avoir d’ennuis et éviter qu’un désastre s’abatte sur moi. » Plus tard, l’Église a désigné de nouveaux dirigeants et ouvriers et j’ai été choisie comme diaconesse d’abreuvement. Xin Ya et Li Ru ont été nommées dirigeantes d’Église et Ye Ping a été chargée du travail textuel. Ye Ping avait du ressentiment dans le cœur parce qu’elle n’avait pas été choisie pour être dirigeante. Au bout d’un moment, elle a secrètement rallié sa sœur et Wang Jing à sa cause, elle a déformé le bien et le mal, et répandu des rumeurs devant les frères et sœurs. Elle a affirmé que les dirigeantes choisies cette fois-ci avaient été désignées à l’avance, induisant ainsi les frères et sœurs en erreur et les incitant à la soutenir pour renverser le résultat de l’élection. Heureusement, les dirigeants avaient échangé en amont avec tout le monde au sujet des principes de l’élection. Les frères et sœurs connaissaient donc les tenants et les aboutissants de cette affaire et ne sont pas tombés dans le piège. En apprenant cette histoire, j’ai été agacée et inquiète, et j’ai dit aux dirigeants : « C’était une chose que Ye Ping tourmente les gens, auparavant, mais voilà qu’elle induit en erreur les frères et sœurs, qu’elle les rallie à sa cause et perturbe le travail de l’Église. La nature de tout cela est trop mauvaise ! Il faut le signaler immédiatement aux dirigeants supérieurs ! » Les dirigeants, partageant mon avis, ont rendu compte de la situation à la dirigeante supérieure, Liu Ruo. Liu Ruo a exposé les actes mauvais de Ye Ping, de sa sœur et de Wang Jing, mais après le départ de Liu Ruo, Ye Ping n’a pas du tout fait preuve de retenue et a continué à répandre ses paroles dans l’Église : « Les dirigeants et les ouvriers ne font pas de travail réel et n’ont pas l’œuvre du Saint-Esprit. Ce sont tous de faux dirigeants. Les faux dirigeants ne savent pas faire de travail d’Église ni comment échanger sur la vérité pour résoudre les problèmes. Ils ne font que nuire aux gens. » Ye Ping et les autres ont aussi parlé à ceux qui avaient été mis à l’écart : « Vous faisiez votre devoir avec loyauté, et ce sont ces faux dirigeants qui vous ont réprimés et mis à l’écart. » Ils ont également dit à une sœur qui faisait un devoir d’hébergement : « Ce n’est pas la peine de faire ton devoir avec loyauté. Untel faisait exactement le même devoir d’hébergement que toi, et maintenant il a été mis à l’écart. Il t’arrivera la même chose. » Ye Ping et ses acolytes ont semé le trouble chez des gens dénués de discernement et les ont induits en erreur. Après quoi, ces derniers se sont mis à avoir des idées préconçues sur les dirigeants et ils ont arrêté d’échanger sur les paroles de Dieu pendant les réunions, portant sans arrêt des jugements sur les fautes des dirigeants, s’en prenant à eux et les jugeant incapables de faire un travail réel. Ils tenaient, eux aussi, Ye Ping en haute estime, disant qu’elle savait échanger, qu’elle savait faire un travail d’Église et qu’elle avait l’étoffe d’une dirigeante. Ils induisaient également en erreur certains frères et sœurs en les incitant à dénoncer les dirigeants actuels. Ye Ping a semé un désordre absolu dans la vie d’Église, qu’elle a plongée dans le chaos. Le travail ne pouvait plus avancer. En voyant ce qu’était devenue l’Église, j’ai éprouvé dans mon cœur un sentiment inexplicable. Ye Ping avait fait tellement de mal pour briguer le poste de dirigeante. C’était un véritable démon qui s’opposait à Dieu !
Après cela, j’ai signalé la situation de Ye Ping à la prédicatrice. Celle-ci s’est empressée d’aller échanger avec Ye Ping et les autres. Elle n’avait échangé que quelques mots quand Ye Ping et ses acolytes s’en sont pris à elle, en disant qu’elle prenait le parti des faux dirigeants et qu’elle ne défendait pas le travail de l’Église. Cette attaque verbale a arraché des larmes à la prédicatrice, et après cela, pour dissiper le chaos le plus rapidement possible, elle a renvoyé les deux dirigeantes d’Église et un diacre d’évangélisation sans aucune raison. J’ai eu un pincement au cœur en voyant un tel arrangement et je me suis dit : « C’est le monde à l’envers ! Au lieu de s’occuper de la personne qui a fait le mal, elle a renvoyé ceux qui étaient capables d’effectuer un travail réel. Quelle absence de principes ! N’a-t-elle pas suivi Ye Ping en faisant le mal ? » J’ai demandé à la prédicatrice : « Sur quels comportements et sur quels principes s’est fondée ta décision de renvoyer ces personnes ? » Elle a répondu que ces dirigeants et ce diacre d’évangélisation n’arrivaient pas à résoudre les problèmes des frères et sœurs, qu’ils ne parlaient pas de leur propre corruption aux réunions et n’avaient pas l’œuvre du Saint-Esprit, puis elle m’a confié la responsabilité du travail de l’Église à titre temporaire. En constatant que les raisons invoquées par la prédicatrice ressemblaient beaucoup aux attaques de Ye Ping et de ses acolytes à l’encontre des dirigeants, j’ai été très en colère. Sur le chemin du retour, j’ai simplement trouvé cela inacceptable. Voilà que même la prédicatrice prenait le parti de Ye Ping. Tous les dirigeants de l’Église avaient été renvoyés, et moi, je n’étais que diaconesse d’abreuvement. Il me manquait les principes du discernement et je ne pouvais pas échanger clairement sur la vérité. Si je ne faisais pas mon travail correctement, Ye Ping ne s’en servirait-elle pas pour me condamner et me dénoncer ? En plus, Ye Ping et les autres étaient tous de beaux parleurs qui avaient déjà induit les frères et sœurs en erreur, alors qui prendrait mon parti ? En pensant à cela, tout mon courage s’est envolé et je me suis sentie très faible dans mon cœur. J’étais quelque peu intimidée à l’idée d’être responsable du travail de l’Église. Ye Ping briguait le poste de dirigeante. Or, si j’étais responsable du travail de l’Église, elle penserait certainement que je lui volais sa place et me prendrait pour cible. Avec une humanité aussi malveillante, me laisserait-elle tranquille ? Emploierait-elle des moyens encore plus malveillants pour me tourmenter ? Plus j’y réfléchissais, plus j’étais inquiète et mal à l’aise, alors j’ai prévu de demander à Sœur Li Ru de gérer le travail de l’Église en mon nom. Comme ça, Ye Ping et ses acolytes ne dirigeraient pas leurs attaques contre moi. Par la suite, quand nous avons travaillé en petits groupes, j’ai demandé à Li Ru d’aller dans le groupe dont Ye Ping faisait partie. Résultat, Li Ru s’est fait attaquer par ce groupe. Le travail n’a pas pu aboutir et l’état de Li Ru en a aussi pâti. Je m’en suis voulu et j’ai haï l’égoïsme dont j’avais fait preuve. Mais si j’avais dû m’occuper moi-même de cette affaire, je n’aurais pas eu la foi nécessaire. J’ai prié Dieu : « Mon Dieu, des personnes malfaisantes perturbent l’Église, et je devrais intervenir et défendre le travail de l’Église, mais j’ai peur que Ye Ping et ses acolytes se servent de cela pour me réprimer et me tourmenter, ce qui me ferait perdre mon devoir. Je reste en retrait comme une lâche et je n’ai pas assumé mes responsabilités. Mon Dieu, je T’en supplie, donne-moi le courage et la foi. » Après avoir prié, j’ai vu un passage des paroles de Dieu qui m’a amenée à me sentir profondément humiliée. Ces paroles de Dieu disaient : « Si les gens ne peuvent pas exprimer ce qu’ils devraient exprimer pendant le service ou réaliser ce qui leur est intrinsèquement possible, et à la place n’agissent que pour l’apparence, ils ont perdu la fonction qu’un être créé devrait avoir. De telles gens sont considérés comme des “médiocrités” ; ils sont des déchets inutiles. Comment de telles gens peuvent-ils être appelés des êtres créés ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). Dieu disait que ceux qui ne font pas tout ce qu’ils sont capables de faire sont des « médiocrités » et des « déchets inutiles ». J’étais comme ça. J’avais bien vu que Ye Ping se souciait particulièrement de sa réputation et de son statut, qu’elle s’en prenait à ceux qui lui désobéissaient et qu’elle se vengeait d’eux, leur jouant de vilains tours pour les tourmenter. En vue d’obtenir le poste de dirigeante, elle avait même mis au point un stratagème pour induire les gens en erreur et les amener à l’aider à renverser le résultat de l’élection. Avec ses acolytes, elle avait semé la discorde parmi les frères et sœurs, et les dirigeants. Il ne faisait aucun doute que j’avais très clairement vu son comportement malveillant, mais quand j’avais échangé et discerné Ye Ping et que les frères et sœurs m’avaient soupçonnée de me venger d’elle, j’avais craint que si je continuais à la discerner, d’autres finissent par se lever pour s’opposer à moi. Pour me protéger, m’en sortir indemne et éviter d’être prise à partie par Ye Ping et ses acolytes, j’avais même perdu le peu de courage que j’avais eu pour la discerner. Quand on m’avait chargée de faire le travail de l’Église après le renvoi des deux dirigeants et du diacre, j’avais d’abord pensé à la manière dont Ye Ping et ses acolytes s’en étaient pris aux dirigeants, et j’avais craint que si j’étais en charge du travail de l’Église, Ye Ping croie que je prenais sa place et qu’elle se serve de cela pour se venger de moi. J’avais constamment cherché à me soustraire à cette responsabilité et je n’avais pas osé prendre en charge le travail de l’Église. Je savais très bien que Ye Ping et ses acolytes étaient extrêmement vicieux. Li Ru aussi avait été prise à partie par eux de nombreuses fois. Ne cherchant qu’à me protéger, quand j’avais réparti le travail, j’avais délibérément demandé à Li Ru d’aller les affronter. Je m’étais servi d’elle comme d’un bouclier. Comment avais-je pu être aussi égoïste et méprisable ? Face aux forces malfaisantes des antéchrists qui perturbaient l’Église, je n’avais pas adhéré aux principes et je n’avais pas pu me ranger du côté de la justice. Comment pouvais-je être considérée comme un être créé ? J’étais vraiment inutile. J’avais grandement déçu Dieu ! Plus j’essayais de réfléchir aux paroles de Dieu, plus je me faisais des reproches et éprouvais des remords. Je ne pouvais plus continuer à blesser le cœur de Dieu, à être aussi égoïste et lâche, et à ne penser qu’à moi. Je devais me soumettre aux circonstances que Dieu avait arrangées et faire de mon mieux pour accomplir le travail de l’Église, avant toute chose. Après cela, j’ai eu le courage d’affronter Ye Ping et ses acolytes. Même si Ye Ping et les autres s’en prenaient toujours à moi quand je menais à bien un travail, peu importe à quel point ils se montraient déraisonnables, je ne les éviterais plus. Je m’attacherais seulement à échanger sur les vérités-principes et à ne pas me laisser influencer par ces individus-là.
Après cela, j’ai réfléchi sur moi-même en me disant : « Pourquoi ai-je aussi peur d’eux et pourquoi est-ce que je n’ose pas les affronter ? » Au milieu de cette recherche, j’ai vu deux passages des paroles de Dieu qui m’ont beaucoup émue. Dieu Tout-Puissant dit : « Quand la justice entre en collision avec la méchanceté, la colère de l’homme n’éclate pas pour défendre l’existence de la justice ou pour la maintenir ; au contraire, lorsque les forces de la justice sont menacées, persécutées et attaquées, l’attitude de l’homme est d’ignorer, de fuir ou de se dérober. Toutefois, face aux forces malveillantes, l’attitude de l’homme est celle du service, de la soumission et de l’accommodation » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). « Dieu a dit : “Sans la permission de Dieu, il est difficile pour Satan de toucher même une goutte d’eau ou un grain de sable sur la terre ; sans la permission de Dieu, Satan n’a même pas la liberté de déplacer les fourmis sur la terre, et encore moins l’humanité qui a été créée par Dieu.” Dans quelle mesure es-tu capable de croire à ces paroles ? La lutte contre les antéchrists et les personnes malfaisantes révèle l’ampleur de ta foi. Si ta croyance en Dieu est sincère, alors ta foi est véritable. Si tu ne crois qu’un petit peu en Dieu, et que cette croyance est vague et creuse, alors tu n’as pas une foi véritable. Si tu ne crois pas que Dieu peut être souverain sur tout cela et que Satan est sous la domination de Dieu ; si tu crains toujours les antéchrists et les personnes malfaisantes, que tu peux tolérer qu’ils commettent le mal dans l’Église, qu’ils perturbent et mettent à mal le travail de l’Église, que tu peux faire des compromis avec Satan ou implorer sa miséricorde afin de te protéger, sans oser te lever et les combattre, et que tu es devenu un déserteur, une personne complaisante et un simple spectateur, alors tu n’as pas de véritable croyance en Dieu. Ta croyance en Dieu devient un point d’interrogation, ce qui rend ta croyance terriblement pitoyable ! » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). C’était comme si ces paroles de Dieu me jugeaient directement, ce qui m’a profondément bouleversée et effrayée. J’ai vu que Dieu scrutait vraiment les profondeurs du cœur humain et qu’Il voyait clairement ce qu’il y avait dans mon cœur. En y réfléchissant attentivement, j’ai compris que les forces malfaisantes de Satan auraient beau être puissantes, elles ne pourraient pas dépasser les limites que Dieu leur avait fixées et elles ne pourraient absolument pas et n’oseraient pas faire les choses que Dieu ne permettait pas. La cause profonde de ma crainte envers Ye Ping et ses compagnons était la suivante : je ne croyais pas à la souveraineté de Dieu sur toutes choses. Je pensais que je n’avais pas de statut dans l’Église et que mes paroles n’avaient aucune stature. Alors que Ye Ping avait toujours été une dirigeante éloquente, qui avait également induit en erreur certains frères et sœurs. Elle avait même fait en sorte que la prédicatrice se range de son côté. J’étais faible et vulnérable, et mes paroles avaient peu de poids. Je n’étais pas à la hauteur face à elle. Alors, même quand elle m’avait mise à l’écart et tourmentée, et même quand je l’avais vue réprimer des frères et sœurs tout en faisant le mal et en perturbant le travail de l’Église, je n’avais pas eu le courage de la dénoncer. J’avais pensé que je serais renvoyée et exclue, et que je perdrais ainsi ma chance d’atteindre le salut. J’avais préféré mener une existence insignifiante, ne pas intervenir alors qu’elle continuait à faire le mal et ne pas dénoncer ses méfaits. J’avais simplement été complice du mal qu’elle commettait et j’avais tacitement donné mon assentiment pour que Satan nuise au travail de l’Église. En repensant aux diverses expériences que j’avais vécues depuis que je croyais en Dieu, j’ai constaté que Dieu m’avait guidée et gouvernée à chaque étape de mon parcours. J’avais été confrontée à la répression et aux tourments que m’infligeait Ye Ping et j’avais pensé être mise à l’écart à jamais, mais ensuite, pour des raisons de sécurité, Ye Ping n’avait pas été en mesure de faire le travail de l’Église, et la nouvelle sœur responsable du travail m’avait fait reprendre mon devoir après avoir compris la situation. Tout ce dont je faisais l’expérience personnellement était régi par Dieu. N’avait-Il pas aussi le dernier mot quant à mes perspectives et mon destin ? J’avais fait l’expérience de tous ces environnements que Dieu avait arrangés et j’avais été nourrie par tant de vérités, mais pourquoi n’avais-je pas eu foi en Dieu jusqu’à présent ? Quand il m’arrivait des choses, je ne priais pas, je ne faisais pas appel à Dieu et je ne pratiquais pas la vérité. Au lieu de cela, j’avais peur du statut et du pouvoir de Satan. À mes yeux, les forces malfaisantes de Satan étaient plus élevées que Dieu Lui-même. N’étais-je pas en train de capituler devant Satan ? Quelle place avais-je laissée à Dieu dans mon cœur ? J’ai vu qu’en théorie, j’avais la conviction que Dieu détenait la souveraineté sur toutes choses et qu’Il était juste, mais que lorsque quelque chose m’arrivait, je faisais des compromis avec Satan et devenais une déserteuse. J’avais si peu de foi en Dieu ! À ce moment-là, j’ai finalement compris que même si les forces malfaisantes des antéchrists pouvaient se déchaîner pendant un certain temps, en réprimant des frères et sœurs et en induisant en erreur certaines personnes confuses et dénuées de discernement, Dieu Se servait d’eux à Son service pour aider les gens à apprendre à faire preuve de discernement. Tôt ou tard, les antéchrists seraient démasqués et éliminés. C’était exactement comme lorsqu’il y avait eu dans notre Église une antéchrist qui avait commis nombre de méfaits divers et variés tout en faisant son devoir. En fin de compte, tous ses méfaits avaient été révélés et elle avait été rejetée par les frères et sœurs et expulsée de l’Église. J’ai vu que l’Église était le lieu où régnait la justice de Dieu. Si l’on n’en fait pas sérieusement l’expérience par soi-même, comment peut-on connaître les actes de Dieu ? Je ne voyais que ce qui se trouvait à la surface, et quand il m’arrivait quelque chose, je cédais aux forces de Satan. Je n’avais aucune place pour Dieu dans mon cœur. J’étais une incrédule absolue ! Je ne comprenais pas la vérité, j’étais une créature pitoyable ! À cette pensée, j’ai eu honte de ma lâcheté et de mon égoïsme. Je me suis sentie prête à pratiquer selon les principes de la maison de Dieu et à m’appuyer sur Dieu pour exposer et rejeter les antéchrists. En toute hâte, je me suis réunie avec mes collaborateurs pour savoir comment traiter Ye Ping et ses acolytes.
Après nous être vus, nous avons mangé et bu ce passage des paroles de Dieu. Dieu dit : « S’il n’y a personne dans une Église qui soit prêt à pratiquer la vérité, si personne ne peut tenir ferme dans son témoignage pour Dieu, alors cette Église devrait être totalement isolée et ses liens avec d’autres Églises doivent être coupés. On appelle cela “enterrer la mort” ; c’est ce que signifie rejeter Satan. S’il y a plusieurs brutes locales dans une Église, qu’elles sont suivies par des “petites mouches” qui n’ont absolument aucun discernement, et que les gens dans une telle Église sont toujours incapables de rejeter les liens et la manipulation de ces brutes après avoir vu la vérité, alors ces imbéciles seront éliminés à la fin. Ces petites mouches n’auront peut-être rien fait de terrible, mais elles sont encore plus rusées, encore plus astucieuses et évasives, et tous ceux qui sont comme cela seront éliminés. Aucun ne restera ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avertissement à ceux qui ne pratiquent pas la vérité). Après avoir lu ces paroles de Dieu, j’ai eu l’impression qu’Il déchaînait Sa colère sur moi. Les paroles « enterrer la mort » et « aucun ne restera » ont transpercé les profondeurs de mon cœur comme une épée. J’ai senti que le tempérament de Dieu était juste et ne tolérait aucune offense, et j’ai tremblé de peur. Ye Ping et les autres antéchrists et personnes malfaisantes avaient perturbé l’Église pendant près d’un an dans le but de rivaliser pour le pouvoir et le statut. Ils avaient fait beaucoup de mal. Il était clair que j’avais eu un certain discernement à leur égard et que j’avais déjà vu la nature-essence de ces personnes malfaisantes, mais j’avais tardé à les exposer et à les dénoncer, leur permettant de faire le mal. J’avais déjà offensé le tempérament de Dieu. Dieu dit que les personnes rusées et sournoises doivent toutes être éliminées, au bout du compte. En voyant cela, j’ai repensé à la façon dont, afin de défendre mes propres intérêts, j’avais constaté les méfaits de Ye Ping sans pour autant l’exposer ou la dénoncer, faisant subir une perte à l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs. J’ai éprouvé un profond sentiment de culpabilité. Au milieu de ma réflexion, j’ai reconnu que, sous l’emprise du poison satanique selon lequel « l’oiseau qui sort la tête se fait tirer dessus », j’avais agi de manière très sournoise et malhonnête. Quand Ye Ping m’avait tourmentée, il m’était arrivé plusieurs fois de vouloir dénoncer ses méfaits, mais à l’idée qu’elle puisse me réprimer et me tourmenter à nouveau, ce qui aurait compromis mes perspectives et ma destination, la peur m’avait fait reculer. Après avoir repris le travail de l’Église, j’avais simplement envoyé Li Ru servir de bouclier, pendant que je restais en retrait et n’offensais personne. J’ai vu que je vivais selon des poisons sataniques et que j’étais devenue égoïste et méprisable. Quand j’affrontais une crise, je me cachais dans ma coquille comme un escargot. Je n’avais pas une once de courage pour y faire face, et encore moins le sens de la justice ! En fait, plus j’avais fait de concessions pour éviter les ennuis, plus j’avais permis aux antéchrists et aux personnes malfaisantes de perturber l’Église et livré les frères et sœurs à la cruauté de Satan et des démons. J’étais désormais responsable du travail de l’Église, et l’intention de Dieu était que je respecte les principes, que je protège les frères et sœurs et que je ne laisse pas les antéchrists nuire au travail de l’Église. Je devais remplir mes obligations et assumer mes responsabilités. Auparavant, je m’étais protégée à tous égards et je n’avais pas été capable de pratiquer la vérité et de satisfaire Dieu, mais Dieu ne m’avait pas interdit de faire mon devoir. Au contraire, Il avait utilisé Ses paroles pour me juger et m’avertir. Voilà l’amour suprême de Dieu ! Cette fois, je devais dénoncer Ye Ping et lutter jusqu’au bout contre les forces malfaisantes des antéchrists. Je devais être une vraie personne, pour une fois ! Après cela, nous avons rapporté aux dirigeants supérieurs les méfaits de Ye Ping et de ses acolytes, ainsi que la manifestation de la prédicatrice qui les avait suivis en faisant le mal. Une fois que les dirigeants ont compris les manifestations de Ye Ping, ils nous ont demandé d’échanger d’abord avec les frères et sœurs, de la discerner et de fournir aussi vite que possible d’autres éléments factuels sur les méfaits de Ye Ping et de ses acolytes. En échangeant pendant un certain temps, les frères et sœurs ont commencé à discerner Ye Ping, et tous ont été prêts à apporter des preuves des méfaits de Ye Ping et de ses acolytes. Plus tard, après avoir vérifié les manifestations que nous avions présentées, les dirigeants ont vu que les preuves étaient concluantes, et Ye Ping et les autres ont été exclus de l’Église.
Par la suite, nous avons lu encore un autre passage des paroles de Dieu et échangé sur ces questions : pourquoi Dieu, dans les derniers jours, a-t-Il permis à des antéchrists et à des personnes malfaisantes de faire le mal et de causer des perturbations dans l’Église ? Quelle était l’intention de Dieu dans ce cas précis ? Et quelles leçons devrions-nous en tirer ? Dieu Tout-Puissant dit : « Des antéchrists et des personnes malfaisantes apparaissent dans certaines églises et créent des perturbations, et ce faisant, ils induisent certaines personnes en erreur. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? S’agit-il là de l’amour de Dieu, ou de Dieu qui joue avec les gens et les révèle ? Vous ne pouvez pas comprendre cela, n’est-ce pas ? Dieu intègre toutes choses dans Son service afin de perfectionner et sauver ceux qu’Il désire sauver, et ce que gagnent finalement ceux qui cherchent réellement la vérité et pratiquent la vérité, c’est la vérité. Toutefois, ceux qui ne cherchent pas la vérité se plaignent et disent : “Ce n’est pas juste que Dieu œuvre de cette façon. Cela me fait tellement souffrir ! J’ai presque rallié les antéchrists. Si cela est vraiment arrangé par Dieu, comment peut-Il permettre aux gens de rejoindre les antéchrists ?” Que se passe-t-il ici ? Le fait que tu ne suives pas les antéchrists prouve que tu as la protection de Dieu. Si tu rallies les antéchrists, alors tu trahis Dieu et Dieu ne veut plus de toi. Donc, est-ce une bonne ou une mauvaise chose que ces antéchrists et ces personnes malfaisantes créent des perturbations dans l’Église ? De l’extérieur, cela semble une mauvaise chose, mais quand ces antéchrists et ces personnes malfaisantes sont révélés, tu acquiers alors du discernement, ils sont purgés et tu grandis en stature. Quand tu rencontreras à nouveau des personnes de ce genre à l’avenir, tu les discerneras avant même qu’elles n’aient montré leur vrai visage, et tu les rejetteras. Cela te permettra d’apprendre des leçons et d’en tirer profit ; tu sauras comment discerner les antéchrists et tu ne seras plus induit en erreur par Satan. Donc, dites-Moi, n’est-ce pas une bonne chose qu’il y ait des antéchrists qui perturbent et induisent les gens en erreur ? Ce n’est que lorsque les gens ont expérimenté jusqu’à ce stade qu’ils peuvent voir que Dieu n’a pas agi conformément à leurs notions et à leur imagination, et que Dieu permet au grand dragon rouge d’occasionner frénétiquement des perturbations et qu’Il permet aux antéchrists d’induire en erreur le peuple élu de Dieu, afin qu’Il puisse utiliser Satan à Son service de sorte à perfectionner Son peuple élu, et ce n’est qu’alors que les gens comprennent les intentions minutieuses de Dieu. Certains disent : “Les antéchrists m’ont induit en erreur deux fois et je n’arrive toujours pas à les discerner. Si un antéchrist encore plus rusé arrive, je serai simplement à nouveau induit en erreur.” Alors, laisse cela se reproduire pour que tu puisses en faire l’expérience et apprendre la leçon ; Dieu doit faire les choses de cette manière afin de pouvoir sauver l’humanité de l’influence de Satan » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut s’engager sur le bon chemin de la croyance en Dieu que si l’on résout ses notions (1)). Ces paroles m’ont fait sentir que Dieu était vraiment tout-puissant et sage dans Son œuvre ! Les personnes malfaisantes et les antéchrists qui perturbaient l’Église n’étaient pas une bonne chose à première vue et ne correspondaient pas aux notions de l’homme ni à ce qu’il s’imaginait, mais tout cela s’était produit avec la permission de Dieu et contenait la sagesse de Dieu. Dieu avait utilisé le comportement de Satan et des démons au sein de l’Église pour les révéler et les éliminer, et aussi pour nous aider à apprendre à faire preuve de discernement. Sachant que nous étions de trop faible stature, et qu’il était facile aux antéchrists et aux personnes malfaisantes de nous induire en erreur, Dieu S’était servi du mal qu’ils avaient commis dans l’Église pour affûter notre discernement. En même temps, Il avait aussi révélé ceux qui étaient confus et dénués de discernement et qui suivaient aveuglément les autres. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu). J’ai vu plus clairement dans mon cœur que beaucoup de gens croyaient et suivaient Dieu, et qu’au début, le bon grain et l’ivraie étaient mélangés, qu’on ne pouvait pas différencier le bon du mauvais. Cependant, à mesure que l’œuvre de jugement de Dieu dans les derniers jours progresse, ceux qui peuvent accepter et poursuivre la vérité sont capables d’accepter le jugement de Dieu et de se débarrasser de la corruption, alors que les incrédules, les personnes malfaisantes et les antéchrists sont montrés tels qu’ils sont et complètement exclus, et l’Église se purifie de plus en plus. C’est le résultat inévitable de l’achèvement réussi de l’œuvre de jugement de Dieu !
Le 4 décembre 2018, l’avis d’expulsion de Ye Ping et des autres a été transmis à l’Église. Tous les frères et sœurs s’en sont réjouis et ont loué la justice de Dieu du fond de leur cœur. Dans l’Église, le chaos s’est enfin dissipé et la vie d’Église des frères et sœurs est revenue à la normale. Des profondeurs de mon cœur, je rends grâce à Dieu de m’avoir guidée !
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