Mon devoir a exposé mon égoïsme

1 mars 2025

Par Roxana, Taïwan

Je supervise le travail vidéo depuis plus de deux ans. Il y a quelques temps, en raison des exigences du travail, notre groupe a été scindé en deux. Sœur Layla était chargée d’un groupe, et moi de l’autre. Même si Sœur Layla venait juste de commencer à superviser ce travail, elle avançait toujours des suggestions clés sur la production vidéo et elle amenait souvent les frères et sœurs à conjointement réviser le travail et apprendre des compétences techniques. Cela ne me plaisait pas trop et je pensais : « À ce rythme-là, ils vont certainement faire des progrès rapides et il ne faudra pas longtemps avant que mon groupe soit comparé au sien de façon défavorable. » Un sentiment de crise m’a envahi et je me suis dit que je devais faire du bon travail sur chacune des vidéos afin de ne pas prendre du retard par rapport à Layla et son groupe. À cette époque, nous faisions une vidéo qui était exigeante sur le plan technique et j’étudiais attentivement les compétences pertinentes avec les autres frères et sœurs. Lorsque nous rencontrions des difficultés, je priais Dieu et cherchais des solutions avec tout le monde. La vidéo a été achevée après beaucoup de travail acharné et les frères et sœurs qui l’ont vue ont dit qu’elle était très bien faite. C’était gratifiant car cela suggérait que j’étais une force avec laquelle il fallait compter et que j’étais plus compétente que Layla et son groupe. J’ai envoyé la vidéo aux frères et sœurs dans d’autres groupes et quelques jours plus tard, ils ont répondu en disant que la vidéo était très réaliste et ils m’ont demandé comment j’avais amélioré mes compétences techniques. J’étais très heureuse d’entendre cela et je me suis dit : « Maintenant que les frères et sœurs ont tous vu de quoi je suis capable, ils vont forcément me respecter et m’admirer. » Je me suis promis de traiter toutes les vidéos suivantes avec la plus grande application.

Après cela, Layla et son groupe ont eu des difficultés avec une vidéo et ils voulaient que je les aide à les résoudre. Je me suis dit : « Cette vidéo est votre responsabilité. Si je passe du temps à résoudre ces problèmes, je ne recevrais aucune reconnaissance pour cela et, en outre, cela retardera mon propre travail. Je ferais mieux de consacrer plus d’efforts à la vidéo dont je suis responsable, plutôt que de vous aider à résoudre vos problèmes. » J’ai donc décidé de ne pas les aider. Plus tard, comme elle n’arrivait toujours pas à trouver une solution, Layla est revenue me voir. Elle a dit qu’ils avaient essayé plusieurs approches sans succès et elle me demandait comment j’avais géré de telles difficultés dans le passé. Je me suis dit : « Si je consacre du temps aux problèmes de ton groupe et que tu finis par faire un meilleur travail que moi, tout le monde va penser que tu es une meilleure cheffe de groupe que moi, alors que tu viens tout juste de commencer, n’est-ce pas ? J’aurais l’air incompétente ! » Avec cela en tête, je lui ai dit de manière désinvolte que je ne pouvais rien faire pour les aider. Layla n’a pas eu d’autre choix que de repartir et de continuer à explorer les difficultés elle-même. Elle a ensuite envoyé un extrait de la vidéo dans le chat du groupe pour que nous vérifions s’il y avait des problèmes. Je n’avais pas l’intention de répondre, pensant que regarder la vidéo serait une perte de temps. Mais en même temps, je craignais que, si je ne la regardais pas, les frères et sœurs pourraient dire que j’étais négligente dans la supervision du travail et irresponsable en tant que cheffe de groupe. J’ai donc ouvert le fichier à contrecœur et j’ai regardé la vidéo. J’ai trouvé des problèmes à plusieurs endroits, mais je n’y ai pas réfléchi attentivement. Ensuite, Layla a envoyé la vidéo à la dirigeante qui a signalé un bon nombre de problèmes, de sorte que leur vidéo nécessitait d’être retravaillée et retouchée. Par conséquent, l’avancement du travail a été retardé. Plus tard, quand la dirigeante est venue pour passer en revue le travail avec moi, elle a souligné mes problèmes et elle a dit : « Quand nous faisons nos devoirs dans l’Église, nous répartissons le travail, mais cela ne veut pas dire que nous travaillons indépendamment les uns des autres. Tu es cheffe de groupe, tu dois donc porter un fardeau plus lourd. Layla vient tout juste de commencer à pratiquer en tant que cheffe de groupe, alors tu dois vérifier plus attentivement les vidéos qu’elle réalise avec son groupe afin que certains problèmes soient résolus en amont. » Je me suis rendu compte, alors, que je ne pouvais pas me décharger de la responsabilité de ce retard car il était entièrement dû à mon égoïsme, au fait que je ne m’étais occupée que de mon propre travail et que j’avais refusé de coopérer avec Layla. Cependant, je n’ai pas réfléchi trop profondément à la question. À chaque fois que je réalisais des vidéos après cela, mon esprit était embrumé et je me sentais engourdie et désorientée. Je ne trouvais pas les problèmes dans les devoirs des frères et sœurs et je ne savais même pas quoi dire quand je priais. Je me suis rendu compte que je n’étais pas dans le bon état et que Dieu me cachait Son visage. Je suis donc venue devant Dieu en cherchant et en priant et je Lui ai demandé de me guider vers une compréhension de moi-même.

Une nuit, avant d’aller me coucher, j’ai réfléchi à mes récents accomplissements. J’ai pensé à la façon dont Dieu expose les antéchrists qui ne s’occupent que de leur propre travail dans l’accomplissement de leurs devoirs. J’ai trouvé ce passage des paroles de Dieu : « Les antéchrists n’ont ni conscience, ni raison ni humanité. Non seulement ils sont éhontés, mais ils ont aussi une autre caractéristique : ils sont exceptionnellement égoïstes et vils. Le sens littéral de leur “égoïsme et vilenie” n’est pas difficile à saisir : ils sont aveugles à tout, sauf à leurs propres intérêts. Tout ce qui concerne leurs propres intérêts capte entièrement leur attention : ils seront prêts à souffrir pour cela, à payer le prix, à s’y absorber et à s’y dédier. Ils ignoreront et ne remarqueront pas tout ce qui est sans lien avec leurs propres intérêts. Les autres pourront agir comme bon leur semble, peu importe aux antéchrists si quelqu’un provoque des interruptions ou des perturbations, et pour eux, cela ne les concerne pas. Pour le dire avec tact, ils s’occupent de leurs propres affaires. Mais il est plus juste de dire que ce genre de personne est vile, basse et sordide ; nous les définissons comme étant “égoïstes et vils”. Comment se manifestent l’égoïsme et la vilenie des antéchrists ? Pour tout ce qui est profitable à leur statut ou à leur réputation, ils fournissent des efforts pour faire et dire tout ce qui est nécessaire et ils endurent volontiers n’importe quelles souffrances. Mais lorsqu’il s’agit du travail organisé par la maison de Dieu, ou d’un travail qui profite à la croissance de la vie des élus de Dieu, ils l’ignorent complètement. Même lorsque des personnes malfaisantes perturbent, dérangent et commettent toutes sortes d’actes malfaisants, affectant profondément, de ce fait, le travail de l’Église, ils restent passifs et indifférents, comme s’ils n’étaient pas concernés. Et si quelqu’un découvre et signale les actes malfaisants d’une personne malfaisante, ils disent qu’ils n’ont rien vu et feignent l’ignorance. […] Quel que soit le travail qu’ils entreprennent, les antéchrists ne s’intéressent jamais aux intérêts de la maison de Dieu. Ils ne se préoccupent que de savoir si leurs propres intérêts seront affectés, ne pensent qu’au peu de travail qui est juste sous leur nez et qui leur profite. Pour eux, le principal travail de l’Église est juste quelque chose qu’ils font pendant leur temps libre. Ils ne le prennent pas du tout au sérieux. Ils n’agissent que si on les pousse à agir, ils ne font que ce qu’ils aiment faire et n’accomplissent que le travail qui leur permet de préserver leur propre statut et leur propre pouvoir. À leurs yeux, tout travail arrangé par la maison de Dieu, le travail de diffusion de l’Évangile et l’entrée des élus de Dieu dans la vie ne sont pas importants. Peu importent les difficultés rencontrées par les autres dans leur travail, les problèmes qu’ils ont identifiés et qu’ils leur ont signalés, la sincérité de leurs paroles, les antéchrists les ignorent, ils ne s’impliquent pas, comme si cela n’avait rien à voir avec eux. Quelle que soit l’importance des problèmes qui émergent dans le travail de l’Église, ils y sont complètement indifférents. Même si un problème est juste sous leur nez, ils se contentent de le traiter pour la forme. Ce n’est qu’au moment où le Supérieur les émonde directement et leur ordonne de résoudre un problème que, de mauvaise grâce, ils fournissent un peu de travail concret et donnent quelque chose à voir au Supérieur ; peu après, ils poursuivront leurs propres affaires. Quand il s’agit du travail de l’Église, de choses importantes d’une portée plus large, ils sont indifférents et ne les prennent pas en compte. Ils ignorent même les problèmes qu’ils découvrent, et donnent des réponses superficielles ou bafouillent lorsque vous les interrogez sur des problèmes, les traitant seulement avec une grande réticence. Il s’agit là de la manifestation de l’égoïsme et de la vilenie, n’est-ce pas ? De plus, quel que soit le devoir que les antéchrists font, tout ce à quoi ils pensent est de savoir si cela leur permettra d’accéder au devant de la scène. Tant que cela peut améliorer leur réputation, ils se creusent les méninges pour trouver un moyen d’apprendre à le faire, à le mener à bien. Tout ce qui les intéresse, c’est de savoir si cela les distinguera. Quoi qu’ils fassent ou qu’ils pensent, ils ne se préoccupent que de leur propre réputation, gain et statut. Quel que soit le devoir qu’ils font, ils ne font que rivaliser pour savoir qui est au-dessus ou au-dessous, qui gagne et qui perd, qui a la meilleure réputation. Ils ne se soucient que du nombre de personnes qui les vénèrent et les admirent, du nombre de personnes qui leur obéissent et du nombre de leurs partisans. Ils n’échangent jamais sur la vérité et ne résolvent jamais de réels problèmes. Ils ne réfléchissent jamais à la façon de faire les choses selon le principe lorsqu’ils font leur devoir et ne se demandent jamais s’ils ont été loyaux, s’ils ont rempli leurs responsabilités, s’il y a eu des écarts ou des oublis dans leur travail, ou s’il existe des problèmes, ou ne prêtent pas non plus la moindre attention à ce que demande Dieu, ni aux intentions de Dieu. Ils n’accordent pas la moindre attention à toutes ces choses. Ils ne font que baisser la tête et faire des choses pour la réputation, le gain et le statut, pour satisfaire leurs propres ambitions et désirs. C’est la manifestation de l’égoïsme et de la vilenie, n’est-ce pas ? Cela expose pleinement la façon dont leur cœur déborde de leurs propres ambitions, désirs et exigences insensées. Tout ce qu’ils font est régi par leurs ambitions et leurs désirs. Quoi qu’ils fassent, la motivation et le point de départ sont leurs propres ambitions, désirs et exigences insensées. C’est la manifestation archétypale de l’égoïsme et de la vilenie » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Annexe 4 : Résumé du caractère des antéchrists et de leur tempérament-essence (Partie I)). Dieu expose les antéchrists comme étant extrêmement égoïstes. Dans les domaines qui concernent leurs propres intérêts, ou ceux qui leur permettent de se distinguer, ils travaillent avec application et plaisir, quel que soit le prix à payer ou les souffrances à endurer. Mais si quelque chose ne concerne pas leurs propres intérêts, ils l’ignorent, tout simplement. Dans de tels cas, ils ne seront pas disposés à y accorder leur attention, peu importe le nombre de difficultés auxquelles les autres sont confrontés ou l’importance de la perte pour le travail de l’Église. Tout ce qu’ils font est pour leurs propres réputation et statut personnels et ils ne tiennent pas du tout compte des intérêts de l’Église. Je me suis rendu compte que c’était ainsi que je m’étais comportée. Après que notre groupe a été scindé en deux, j’ai remarqué que Layla faisait des progrès rapides et qu’elle portait un fardeau dans son devoir. Je craignais qu’elle ne me surpasse, alors je n’étais pas disposée à la soutenir quand elle rencontrait des difficultés et me demandait de l’aide. J’estimais que cela ne faisait pas partie de mes responsabilités principales et que cela me prendrait du temps et de l’énergie. Et ce n’est pas tout. Je pensais aussi que, si la vidéo s’avérait bonne, mon dur labeur passerait inaperçu. Au contraire, les autres supposeraient que Layla était au même niveau que moi alors qu’elle venait tout juste de commencer à pratiquer en tant que cheffe de groupe. Dans ce cas-là, je n’aurais pas pu me mettre en avant. Alors, quand Layla m’a demandé de vérifier leur vidéo et de leur faire des suggestions, je ne voulais pas m’en occuper. Je ne voulais pas consacrer du temps et des efforts à la regarder. Au bout du compte, je l’ai regardée, mais uniquement à contrecœur, pour la forme, car je craignais que les autres ne me qualifient d’irresponsable. Pour cette raison, la vidéo, qui contenait de nombreux problèmes, a dû être retravaillée. Si je m’étais un peu plus impliquée, j’aurais pu découvrir et corriger ces problèmes plus tôt. Mais comme j’étais trop égoïste et que je ne pensais qu’à mes propres intérêts, le travail de l’Église a été retardé. À cette pensée, je me suis sentie très coupable. L’Église avait pris des dispositions pour que je sois cheffe de groupe, j’aurais donc dû assumer mes responsabilités et faire attention à résoudre les diverses difficultés et problèmes que les frères et sœurs rencontraient dans leurs devoirs. Mais je ne m’étais pas du tout souciée des intentions de Dieu. Tout ce qui m’avait intéressée, c’était que les vidéos dont j’étais responsable soient bien faites et que davantage de gens m’admirent. Quand Layla s’est heurtée à des difficultés, j’avais évidemment quelques idées sur la manière de les résoudre, mais je ne l’ai pas du tout aidée. J’ai même pensé avec rancune : « C’est bien qu’elle se heurte à quelques difficultés. Si ses résultats sont médiocres, j’aurai simplement l’air meilleure. Les frères et sœurs penseront que je suis le pilier de notre groupe et qu’ils ne peuvent pas se passer de moi. » Ma façon de penser et d’agir était vraiment méprisable ! En revoyant le travail plus tard, j’ai entendu quelques sœurs dire des choses comme : « Cette vidéo n’a pas été très bien faite et j’ai un sentiment quelque peu négatif à son sujet. Je pense que mon calibre n’est pas assez bon pour ce devoir. » C’était affligeant à entendre et cela a renforcé l’idée que j’avais été vraiment égoïste. Je ne m’étais préoccupée que de ma réputation et de mon statut. J’avais bien conscience qu’elles venaient tout juste de commencer à pratiquer et qu’elles avaient besoin d’aide et de coopération. Mais je n’avais rien fait et n’avais même pas eu une once d’amour. Plus j’y pensais, plus je sentais que je manquais d’humanité. Comment avais-je pu faire quelque chose d’aussi méprisable et pitoyable ?

Au cours d’une réunion, j’ai entendu un frère échanger sur une de ses expériences et j’ai trouvé que cela m’avait vraiment beaucoup apporté. Dans son échange, il y avait un passage des paroles de Dieu qui m’a laissé une impression vraiment profonde. Les paroles de Dieu disent : « Quelle est la norme selon laquelle les actes et le comportement d’une personne sont jugés bons ou mauvais ? Cela dépend si, oui ou non, dans ses pensées, ses révélations et actions, cette personne possède le témoignage de la mise en pratique de la vérité et de l’expérimentation de la vérité-réalité. Si tu n’as pas cette réalité ou si tu ne vis pas cela, alors sans aucun doute, tu es un malfaiteur. Comment Dieu considère-t-Il les malfaiteurs ? Pour Dieu, tes pensées et tes actes extérieurs ne Lui rendent pas témoignage, et ils n’humilient pas Satan et ne le vainquent pas. Au contraire, ils font honte à Dieu et ils portent les nombreuses marques du déshonneur que tu Lui as infligé. Tu ne témoignes pas de Dieu, tu ne te dépenses pas pour Dieu et tu n’assumes pas tes responsabilités ni tes obligations envers Dieu : tu agis pour ton propre compte. Que signifie réellement “pour ton propre compte” ? Pour être précis, cela signifie pour le compte de Satan. C’est pourquoi, à la fin, Dieu dira : “Retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité.” À Ses yeux, tes actes ne seront pas de bonnes actions, ils seront considérés comme de mauvaises actions. Non seulement ils ne gagneront pas l’approbation de Dieu, mais ils seront condamnés. Que cherche-t-on à gagner grâce à une telle croyance en Dieu ? Une telle croyance ne finirait-elle pas par aboutir à rien ? » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). Grâce à ces paroles de Dieu, je suis parvenue à comprendre que Dieu ne regarde pas le nombre de devoirs qu’une personne accomplit ni à quel point elle est louée par les autres. Ce qu’Il regarde, c’est plutôt si une personne, dans ses pensées, expressions et actions, possède le témoignage de la pratique de la vérité dans l’exécution de son devoir. C’est ainsi que Dieu juge si les choses que fait une personne sont bonnes ou malfaisantes. Dieu scrute le cœur des gens et si une personne fait son devoir sans avoir l’intention de porter un témoignage à Dieu et de Le satisfaire, mais qu’au contraire, elle nuit au travail de l’Église pour défendre ses propres intérêts, alors peu importe le prix que cette personne paie, elle fait tout de même le mal aux yeux de Dieu. J’ai toujours eu le sentiment d’avoir été consciencieuse et responsable dans mon devoir et de ne pas être trop mauvaise. Cependant, en réfléchissant à mon propre comportement à la lumière des paroles de Dieu, j’ai réalisé que, même si je faisais de mon mieux et que j’étais méticuleuse dans le travail dont j’étais responsable, derrière cela se cachait l’intention d’occuper une place dans le cœur de mes frères et sœurs et l’intention de faire croire aux gens que j’étais le pilier du groupe et qu’ils ne pouvaient pas se passer de moi. Même quand Layla s’était heurtée à des difficultés et qu’elle était incapable de progresser dans son travail, je n’étais pas troublée le moins du monde. Au contraire, j’étais contente qu’elle ait des difficultés car j’avais l’impression que cela m’aiderait à me distinguer. En faisant mon devoir avec des intentions aussi méprisables, je faisais le mal et j’étais condamnée par Dieu. Si je ne me repentais pas, je finirais par être éliminée par Dieu, même si je travaillais beaucoup et payais un grand prix. Cette pensée m’a effrayée et j’ai senti que j’étais en grand danger. J’ai prié Dieu et j’ai pris la résolution de ne plus vivre selon mon tempérament corrompu et que, si quelque chose de similaire se produisait à l’avenir, je devais considérer le travail de l’Église comme un tout et protéger les intérêts de l’Église.

Après cela, j’ai trouvé un chemin de pratique dans les paroles de Dieu. Dieu dit : « Pour tous ceux qui accomplissent un devoir, quelles que soient la profondeur ou la superficialité de leur compréhension de la vérité, la manière la plus simple de pratiquer l’entrée dans la vérité-réalité est de penser aux intérêts de la maison de Dieu en tout, et d’abandonner ses désirs égoïstes, ses intentions personnelles, ses motivations, sa fierté et son statut. Fais passer les intérêts de la maison de Dieu en premier, c’est bien le moins que l’on doive faire. Si quelqu’un qui accomplit un devoir ne peut même pas en faire autant, alors comment peut-on dire de lui qu’il accomplit son devoir ? Ce n’est pas accomplir son devoir. Tu dois d’abord penser aux intérêts de la maison de Dieu, tenir compte des intentions de Dieu et prendre en considération le travail de l’Église. Donne la priorité à ces considérations avant toute chose ; c’est seulement après cela que tu peux penser à la stabilité de ton statut ou à la façon dont les autres te considèrent. Ne sentez-vous pas que cela devient un peu plus facile si vous procédez en deux étapes et que vous faites des compromis ? Si tu pratiques ainsi un moment, tu auras l’impression qu’il n’est pas si difficile de satisfaire Dieu. De plus, tu devrais être capable d’assumer tes responsabilités, de répondre à tes obligations et d’accomplir tes devoirs, et de mettre de côté tes désirs, intentions et motivations égoïstes. Tu dois montrer de la considération pour les intentions de Dieu, et faire passer en premier les intérêts de la maison de Dieu, le travail de l’Église, et le devoir que tu es censé accomplir. Après en avoir fait l’expérience quelque temps, tu sentiras que c’est une bonne manière de se comporter. C’est mener une vie franche et honnête, et ne pas être quelqu’un d’abject et de vil. C’est vivre de façon juste et honorable, plutôt que d’être méprisable, abject et bon à rien. Tu sentiras que c’est ainsi qu’une personne devrait agir et que c’est l’image que cette personne devrait vivre. Peu à peu, ton désir de satisfaire tes propres intérêts s’atténuera » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, On ne peut gagner la liberté et la libération qu’en se débarrassant de son tempérament corrompu). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai réalisé que, pour bien faire son devoir, une personne doit mettre de côté ses intentions, ses motivations, sa fierté et son statut personnels et elle doit toujours faire passer les intérêts de l’Église en premier. Après cela, j’ai sciemment fait mon devoir conformément aux exigences de Dieu et j’ai cessé d’être égoïste et méprisable et de ne tenir compte que de ma propre réputation et de mon propre statut. Une fois, Layla a rencontré une difficulté en faisant une vidéo et elle voulait que je regarde comment la résoudre. J’étais quelque peu réfractaire et je me suis dit : « Je n’ai pas encore fini la vidéo que j’ai sous la main. L’aider à résoudre son problème va-t-il affecter l’avancement de mon travail ? Si je ne parviens pas à finir à temps, les autres diront-ils que je suis inefficace, bien que je sois cheffe de groupe ? » Je me suis rendu compte que je vivais à nouveau selon mon tempérament corrompu. Je me suis souvenue de la résolution que j’avais prise envers Dieu : que je considèrerais le travail de l’Église comme un tout et que je ne m’occuperais pas uniquement de mon travail. Alors, j’ai prié Dieu, disposée à me rebeller contre la chair, à mettre mes intérêts de côté et à aider Layla avec application. J’ai regardé la vidéo attentivement et noté les problèmes, puis je suis allée voir Layla et son groupe pour leur offrir des conseils sur place. Layla a dit que mon échange lui avait ouvert un chemin et j’ai ressenti un grand sentiment de paix dans mon cœur. J’avais d’abord pensé que les aider ralentirait mon travail mais au bout du compte, il n’y a eu aucun retard. Pour nos deux groupes, le travail a continué plus efficacement que jamais et a été achevé en un mois avec succès. Après cela, lorsque des frères et sœurs me demandaient de l’aide avec leurs difficultés, je ne refusais plus. Au contraire, je les aidais au mieux de mes capacités. Même si je consacrais plus de temps et d’efforts à vérifier les choses et à faire part de suggestions, je me sentais en paix quand je pratiquais de cette manière.

Plus tard, j’ai réfléchi un peu sur moi-même et je me suis demandé pourquoi j’étais aussi assidue pour les questions qui touchaient à mes propres intérêts, mais peu coopérative quand mes intérêts n’étaient pas impliqués. Quelle était précisément l’essence de ce problème ? J’ai vu quelques paroles de Dieu : « Pour protéger leur propre vanité et leur fierté, et pour préserver leur renommée et leur statut, certains aident volontiers les autres et font volontiers des sacrifices pour leurs amis, quoi qu’il leur en coûte. Mais quand il leur faut protéger les intérêts de la maison de Dieu, la vérité et la justice, leurs bonnes intentions se sont évanouies, elles ont complètement disparu. Quand ils doivent mettre en pratique la vérité, ils ne le font absolument pas. Qu’est-ce qui se passe ? Pour préserver leur propre dignité et leur fierté, ils paient n’importe quel prix et endurent n’importe quelle souffrance. Mais quand ils doivent faire un réel travail et gérer des affaires concrètes, afin de préserver le travail de l’Église et les choses positives, et de protéger les élus de Dieu et pourvoir à leurs besoins, pourquoi n’ont-ils plus la force de payer n’importe quel prix et d’endurer n’importe quelle souffrance ? C’est inconcevable. En réalité, ils ont un type de tempérament d’aversion pour la vérité. Pourquoi est-ce que Je dis que c’est un tempérament d’aversion pour la vérité ? Parce qu’ils s’enfuient et se cachent, et ne s’occupent d’aucune affaire appropriée, dès que quelque chose implique de rendre témoignage à Dieu, de mettre en pratique la vérité, de protéger les élus de Dieu, de lutter contre les complots de Satan, ou de protéger le travail de l’Église. Où sont leur héroïsme et leur ténacité à endurer la souffrance ? Dans quoi les utilisent-ils ? C’est facile à voir. Même si quelqu’un les réprimande en disant qu’ils ne doivent pas être égoïstes et abjects, ni se protéger, et qu’ils devraient protéger le travail de l’Église, ils s’en moquent. Ils se disent : “Je ne fais pas ces choses-là, et je n’ai rien à voir avec elles. En quoi agir ainsi serait-il utile à ma recherche de gloire, de gain et de statut ?” Ils ne poursuivent pas la vérité. Ils aiment uniquement rechercher la gloire, le gain et le statut, et ils ne font simplement pas du tout le travail que Dieu leur a confié. Aussi, quand on a besoin d’eux pour faire le travail de l’Église, ils préfèrent simplement fuir. Cela signifie que, dans leur cœur, ils n’aiment pas les choses positives, et ils ne sont pas intéressés par la vérité. C’est la claire manifestation d’une aversion pour la vérité. Seuls ceux qui aiment la vérité et possèdent la vérité-réalité peuvent se présenter quand le travail de la maison de Dieu et des élus l’exige. Seuls ceux-là peuvent se lever, courageusement, et ils se sentent tenus de le faire, pour témoigner de Dieu et échanger sur la vérité, conduisant ainsi les élus de Dieu sur le bon chemin, leur permettant d’atteindre la soumission à l’œuvre de Dieu. Seul cela est une attitude responsable et la manifestation de la considération portée aux intentions de Dieu. Si vous n’avez pas cette attitude, et que vous êtes simplement négligents dans votre gestion des choses et que vous vous dites : “Je ferai les choses dans le cadre de mon devoir, mais je me moque de tout le reste. Si tu me demandes quelque chose, je te répondrai, à condition que je sois de bonne humeur ; autrement, non. C’est mon attitude”, n’est-ce pas un type de tempérament corrompu ? Protéger uniquement son propre statut, sa réputation et sa fierté, et seulement protéger les choses en rapport avec ses propres intérêts – est-ce cela défendre une cause juste ? Est-ce protéger les intérêts de la maison de Dieu ? Derrière ces motifs mesquins et égoïstes se cache un tempérament d’aversion pour la vérité » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). « Lorsque Dieu constate que les gens ont un calibre médiocre, qu’ils ont certaines lacunes et des tempéraments corrompus ou une essence qui s’oppose à Lui, Il n’est pas dégoûté d’eux et ne les tient pas éloignés de Lui. Ce n’est pas Son intention, et ce n’est pas Son attitude vis-à-vis de l’homme. Dieu ne déteste pas le calibre médiocre des gens, Il ne déteste pas leur stupidité et Il ne déteste pas le fait qu’ils aient des tempéraments corrompus. Qu’est-ce que Dieu déteste le plus chez les gens ? Il déteste quand ils ont de l’aversion pour la vérité. Si tu as de l’aversion pour la vérité, alors, rien que pour cette raison, Dieu ne trouvera jamais en toi de quoi se réjouir. C’est gravé dans la pierre. Si tu as de l’aversion pour la vérité, si tu n’aimes pas la vérité, que ton attitude vis-à-vis de la vérité est l’indifférence, le mépris et l’arrogance, ou même la répugnance, la résistance et le rejet, si tu as ces comportements, alors Dieu te méprise totalement, et tu es fini, au-delà de tout salut » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comprendre la vérité est particulièrement essentiel pour accomplir convenablement son devoir). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai réalisé que les gens qui n’aiment pas la vérité et ne défendent pas les intérêts de l’Église, qui protègent toujours leur réputation et leur statut personnels et qui font volontiers tout ce qui sert leurs intérêts et leur permet de se distinguer, tout en ignorant et en rejetant tout ce qui ne leur profite pas, sont des personnes au tempérament satanique et qui ont de l’aversion pour la vérité. Peu importe l’application que ces personnes mettent dans les questions qui touchent à leurs propres intérêts, le prix qu’elles payent ou à quel point les résultats de leur travail sont impressionnants, leur intention est toujours de satisfaire leur besoin de réputation et de statut. Quand il s’agit des intérêts de l’Église, ils connaissent clairement la vérité, mais ils ne la pratiquent pas, et ils ne soutiennent pas du tout le travail de l’Église. Après réflexion, je me suis rendu compte que j’avais fait mon devoir de cette manière. J’étais disposée à m’investir et à payer un prix tant que j’étais capable de me distinguer et que cela me mettait en valeur. Même face aux difficultés, je ne me décourageais pas et m’appliquais au maximum pour obtenir des résultats. Mais aussitôt que je voyais que bien faire le travail ne me permettrait pas de me distinguer ou ne m’avantagerait pas personnellement, je ne m’impliquais pas. Je n’étais même pas anxieuse quand je voyais le travail de l’Église subir des pertes. Je révélais le tempérament satanique d’avoir de l’aversion pour la vérité ! Grâce à toutes mes années de foi et toutes les paroles de Dieu que j’avais lues, je savais, en terme de doctrine, qu’en tant qu’être créé, je devais mener mon devoir à bien avec tout mon cœur, mon esprit et mes forces et que je devais toujours faire passer les intérêts de l’Église en premier. J’avais souvent prié Dieu et Lui avais dit que je ferais mon devoir au mieux de mes capacités pour Lui rendre Son amour. Mais lorsque j’avais été confrontée à une situation réelle, j’avais choisi de satisfaire mes désirs égoïstes au lieu de protéger les intérêts de l’Église. J’avais toujours fait passer ma réputation et mon statut avant les intérêts de l’Église. Quelle malfaisance de ma part ! Si je ne m’occupais pas de mon tempérament satanique d’avoir de l’aversion pour la vérité, alors je ne réaliserais jamais de changement dans mon tempérament-vie, sans parler d’obtenir le salut, et ce, quel que soit le nombre d’années pendant lesquelles je continuais à croire en Dieu. À cette pensée, j’ai réalisé à quel point mon tempérament était fatal. J’ai prié Dieu, et Lui ai demandé de me guider pour me débarrasser des chaînes de ce tempérament corrompu.

Un peu plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu : « Dans la maison de Dieu, tous ceux qui poursuivent la vérité sont unis devant Dieu, et non divisés. Ils s’efforcent tous d’atteindre un même objectif : ils veulent remplir leur devoir, faire le travail qui leur incombe, agir conformément aux vérités-principes, faire ce que Dieu leur demande de faire, et satisfaire Ses intentions. Si ton objectif ne sert pas cela, mais qu’il sert tes propres intérêts, la satisfaction de tes désirs égoïstes, alors il s’agit là de la révélation d’un tempérament satanique corrompu. Dans la maison de Dieu, les devoirs sont faits conformément aux vérités-principes, alors que les actes des non-croyants sont gouvernés par leurs tempéraments sataniques. Il s’agit là de deux chemins très différents. Les non-croyants fomentent leurs propres plans, ils ont chacun leurs propres buts et leurs propres projets, et tous vivent pour leurs propres intérêts. C’est la raison pour laquelle ils se démènent pour leur propre intérêt et qu’ils sont réticents à renoncer à la moindre parcelle de ce qu’ils gagnent. Ils sont divisés, et non unis, parce qu’ils ne poursuivent pas un objectif commun. L’intention et la nature derrière ce qu’ils font sont les mêmes. Ils ne pensent qu’à eux. Aucune vérité ne règne dans tout cela. Ce qui règne, et ce qui domine dans tout cela, c’est un tempérament satanique corrompu. Ils sont contrôlés par leur tempérament satanique corrompu et ne peuvent pas s’en empêcher, et ils s’enfoncent alors de plus en plus profondément dans le péché. Dans la maison de Dieu, si les principes, les méthodes, les motivations et les points de départ de vos actes n’étaient pas différents de ceux des non-croyants, si vous étiez également utilisés, contrôlés et manipulés par un tempérament satanique corrompu, et si le point de départ de vos actes était vos propres intérêts, votre réputation, votre fierté et votre statut, alors vous n’accompliriez pas votre devoir différemment de la façon dont les non-croyants agissent. Si vous poursuivez la vérité, vous devez changer votre façon de faire. Vous devez abandonner vos propres intérêts, ainsi que vos intentions et vos désirs personnels. Vous devez d’abord échanger avec les autres sur la vérité quand vous faites quelque chose, et comprendre les intentions et les exigences de Dieu avant de vous répartir le travail, en vous demandant qui est bon et qui est mauvais dans tel ou tel domaine. Vous devez prendre en charge ce que vous êtes capables de faire et rester fidèles à votre devoir. Ne luttez pas et n’essayez pas de vous emparer des choses. Vous devez apprendre à faire des compromis et à être tolérants. Si une personne vient tout juste de commencer à accomplir un devoir ou qu’elle vient seulement d’acquérir les compétences nécessaires dans un domaine, mais qu’elle n’est pas à la hauteur de certaines tâches, tu ne dois pas la forcer. Tu dois lui confier des tâches un peu plus faciles. Elle obtiendra ainsi plus facilement des résultats dans l’accomplissement de son devoir. C’est cela être tolérant, patient et avoir des principes. Cela fait partie de ce que l’humanité normale devrait posséder, c’est ce que Dieu demande aux gens et c’est ce que les gens devraient pratiquer » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Ces paroles de Dieu m’ont fait comprendre à quel point il est différent de faire un devoir dans l’Église comparé avec la manière dont les non-croyants font les choses. Dans le monde des non-croyants, les gens interagissent conformément aux philosophies sataniques des relations mondaines, comme : « Laissez les choses passer si elles ne vous affectent pas personnellement » et « Que chacun se mêle de ses affaires ». Ils ne tiennent compte que de leurs propres intérêts et de savoir s’ils peuvent obtenir une promotion ou s’enrichir. Personne ne montre un quelconque intérêt ou une quelconque inquiétude pour les difficultés des autres. En tenant compte de la façon dont je m’étais comportée dans mon devoir, je me suis rendu compte que j’agissais exactement comme une non-croyante. J’étais bien consciente du fait que Layla venait tout juste de commencer à pratiquer et qu’elle avait des difficultés dans son devoir, mais je craignais qu’elle me retarde et me surpasse, alors je n’étais pas disposée à l’aider. Par conséquent, non seulement le remaniement de la vidéo a retardé l’avancement, mais en outre, j’ai vécu avec un tempérament corrompu, exécrée par Dieu, et Sa direction dans mon devoir m’a fait défaut. Cela m’a permis de voir que le tempérament de Dieu est juste, que Dieu nous scrute au plus profond de notre cœur, que Dieu voit avec une clarté absolue nos intentions égoïstes dans la réalisation de nos devoirs et que nous sommes incapables d’obtenir l’œuvre du Saint-Esprit si nous nourrissons des intentions injustes dans nos devoirs. Grâce aux paroles de Dieu, je suis parvenue à comprendre que dans l’Église, nous faisons un devoir plutôt que de gérer nos propres affaires, et que nous ne pouvons pas réaliser notre entreprise personnelle en nous basant sur un tempérament corrompu. Quoi qu’il en coûte, nous devons pratiquer la vérité, défendre les intérêts de l’Église et, avec nos frères et sœurs, nous aider et nous soutenir mutuellement afin que le travail de l’Église progresse sans heurt. J’avais joui de l’abreuvement et de l’approvisionnement d’un grand nombre de paroles de Dieu et l’Église m’avait cultivée pendant une très longue période. Si je complotais encore pour moi-même, que je satisfaisais mes désirs égoïstes tout en étant incapable de bien faire mon devoir pour rendre à Dieu Son amour, alors j’étais vraiment dépourvue de conscience et indigne de tout ce que Dieu m’avait accordé et encore moins digne de vivre devant Lui. Cette prise de conscience m’a remplie de remords. Je n’aurais pas dû traiter mon devoir de cette façon et je devais me reprendre en main aussi rapidement que possible. Pour traiter les problèmes à l’avenir, tant qu’il s’agissait du travail de l’Église, je devais le soutenir et assumer mes responsabilités, peu importe si le travail était dans mes attributions ou s’il me permettait de me mettre en valeur. Après cela, je ne refusais plus jamais quand les frères et sœurs rencontraient des difficultés et avaient besoin de mon aide, et j’étais capable de leur parler de quelques bons chemins de pratique que j’avais résumés. De faire mon devoir de cette manière, je me sentais sereine et en paix.

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

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