Le chemin pour se défaire des faux-semblants
Par Daisy, Corée du SudDébut 2021, j’ai été élue cheffe d’équipe, responsable des travaux d’abreuvement de plusieurs équipes. À l’époque,...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En août 2023, j’ai commencé à collaborer avec Lin Mu dans nos devoirs textuels. Lin Mu faisait ce devoir depuis longtemps, avait un bon calibre et connaissait bien les principes. Comme j’étais nouvelle dans ce rôle et peu familière avec les principes et les compétences professionnelles, je pensais qu’il fallait que j’apprenne davantage de Lin Mu pour saisir rapidement les principes et assumer ma part de responsabilités. Au début, je me suis efforcée d’apprendre les compétences professionnelles et les principes. Lorsque les documents que j’avais organisés étaient insuffisants, je demandais à Lin Mu de m’aider à les améliorer. Elle les finissait rapidement et ajoutait les éléments manquants sur des points qui me semblaient quelque peu complexes. Je me sentais un peu envieuse, mais aussi quelque peu soulagée, pensant que si je rencontrais des difficultés à l’avenir, elle pourrait m’aider à les résoudre. De cette manière, je n’aurais pas besoin de passer du temps à chercher des documents ou des principes ; cela ferait gagner du temps et de l’énergie, facilitant ainsi les choses pour moi. Peu à peu, lorsque je rencontrais des problèmes difficiles qui nécessitaient plus de temps et de réflexion, je me tournais vers Lin Mu pour les résoudre. Cela est devenu ma manière de résoudre les problèmes. Lin Mu me l’a signalé plusieurs fois, en disant qu’à chaque fois qu’elle examinait les documents que j’avais organisés, cela lui prenait beaucoup de temps, car certains points n’étaient pas clairement exprimés, et que je devrais réfléchir davantage à ce que j’écrivais. Je me suis sentie un peu coupable, mais ensuite, j’ai pensé : « Lin Mu a un meilleur calibre que moi et elle comprend mieux les principes. Elle peut rapidement résoudre ces questions. Il suffit de laisser les personnes compétentes faire plus de travail. » Ainsi, je n’ai pas réfléchi sur moi-même.
Un jour, Lin Mu était occupée et elle n’avait pas le temps de revoir la lettre de communication concernant le travail que j’avais rédigée. Elle m’a demandé de la vérifier moi-même avec soin. Je remarquais qu’il y avait deux parties où je n’avais pas expliqué les choses clairement. Je me suis souvenue que je m’en étais rendue compte en rédigeant, mais que je n’avais pas trouvé de meilleures idées après m’être interrogée un moment, j’avais donc laissé Lin Mu la modifier et l’améliorer plus tard. Maintenant, en y pensant, et si Lin Mu n’avait pas eu le temps de vérifier et avait directement envoyé une lettre problématique ? Cela n’aurait-il pas été contre-productif pour les frères et sœurs ? Dans les cas graves, cela pourrait même causer des interruptions et des perturbations. J’ai ressenti un peu de crainte et je me suis dit : « À l’avenir, si je rencontre quelque chose que je ne comprends pas bien, il me faudra en discuter avec Lin Mu et procéder seulement une fois que j’aurai compris. Je ne peux pas simplement opter pour la solution de facilité et laisser les problèmes aux autres. » Ensuite, j’ai commencé à réfléchir sur la raison pour laquelle j’avais toujours tendance à déléguer les problèmes aux autres. Puis, j’ai lu un passage des paroles de Dieu qui correspondait parfaitement à mon état. Dieu Tout-Puissant dit : « Quand les gens font un devoir, ils choisissent toujours des travaux peu éprouvants, des travaux qui ne sont pas fatigants, et qui n’impliquent pas de braver les éléments à l’extérieur. C’est là choisir les tâches faciles et esquiver celles qui sont difficiles, et c’est une manifestation qui montre que l’on convoite le confort de la chair. Quoi d’autre ? (Se plaindre sans cesse quand son devoir est un peu difficile, un peu fatigant, quand il implique de payer un prix.) (Être préoccupé par la nourriture et les vêtements, et les plaisirs de la chair.) Tout cela relève de manifestations qui montrent que l’on convoite le confort de la chair. Quand un individu de ce genre voit qu’une tâche est trop laborieuse ou risquée, il l’impose à quelqu’un d’autre. Lui-même ne fait qu’un travail facile, et il se trouve des excuses, en disant qu’il est de calibre médiocre, qu’il manque de capacités de travail et ne peut pas assumer cette tâche, alors qu’en réalité, c’est parce qu’il convoite le confort de la chair. Il ne souhaite pas souffrir, peu importe le travail qu’il fait ou le devoir qu’il accomplit. […] Même si le travail de l’Église est abondant ou si leurs devoirs sont chargés, leur routine quotidienne et les conditions habituelles de leur vie ne sont jamais perturbées. Elles ne sont jamais négligentes face aux moindres détails de la vie de la chair et elles les contrôlent parfaitement, en se montrant très strictes et très sérieuses. Mais quand elles s’occupent du travail de la maison de Dieu, même quand la question est importante et même si celle-ci concerne la sécurité des frères et sœurs, elles s’en occupent négligemment. Elles ne se soucient même pas des choses qui concernent la commission de Dieu ou le devoir qu’elles devraient faire. Elles ne prennent aucune responsabilité. C’est là s’adonner au confort de la chair, n’est-ce pas ? Les gens qui s’adonnent au confort de la chair conviennent-ils pour faire un devoir ? Dès que quelqu’un parle de faire son devoir, ou de payer un prix et d’endurer des souffrances, ces gens ne cessent de secouer la tête. Ils ont de trop nombreux problèmes, ils sont pleins de récriminations et sont emplis de négativité. Les personnes de ce genre ne servent à rien, elles ne sont pas qualifiées pour faire leur devoir et elles devraient être éliminées » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (2)). Ce que les paroles de Dieu ont exposé correspondait exactement à mon état. Lorsque je faisais mes devoirs, je préférais accomplir les tâches les plus faciles et les plus pratiques, et je laissais toujours aux autres le soin de gérer les problèmes plus exigeants. Cela témoignait de mon désir de convoiter le confort de la chair. Lorsque j’ai écrit la lettre, j’ai préféré choisir les questions les plus simples auxquelles répondre, et si une question était plus complexe, je la considérais comme trop pénible et je ne voulais pas y répondre. Même si je répondais à une telle question, je ne faisais pas d’effort pour réfléchir à la manière d’échanger clairement sur le problème. Je laissais toujours Lin Mu traiter les questions difficiles, prétextant que je ne pouvais pas communiquer ces choses clairement, alors qu’en réalité, je ne voulais pas faire beaucoup d’efforts ni endurer trop de difficultés dans mon devoir, et je convoitais le confort de la chair. Après avoir acquis une certaine connaissance de mon état, j’ai prié Dieu, exprimant ma volonté de me rebeller contre moi-même et de me repentir devant Lui.
Plus tard, je suis tombée sur un passage des paroles de Dieu qui a m’a profondément transpercé le cœur. Dieu Tout-Puissant dit : « Peu importe le travail ou le devoir que certains individus accomplissent, ils sont incompétents en la matière, ils ne peuvent pas l’assumer, et ils sont incapables de satisfaire aux obligations ou aux responsabilités qui incombent à une personne. Ne sont-ils pas des déchets ? Sont-ils encore dignes d’être qualifiés d’humains ? Mis à part les simples d’esprit, les incompétents mentaux, et ceux qui souffrent de déficiences physiques, existe-t-il quelqu’un qui ne doive pas faire ses devoirs et assumer ses responsabilités ? Ce genre de personne est toujours fuyant, se laisse aller, et ne veut pas assumer ses responsabilités ; cela implique qu’elle ne veut pas être un être humain correct. Dieu lui a donné l’opportunité d’être un être humain, et Il lui a donné du calibre et des dons, et pourtant elle ne s’en sert pas pour faire son devoir. Elle ne fait rien, mais désire profiter de chaque instant. Une telle personne est-elle apte à être qualifiée d’être humain ? Quel que soit le travail qu’on donne à ces gens-là – qu’il soit important ou ordinaire, difficile ou simple –, ils sont constamment négligents, fuyants et fainéants. Quand des problèmes surviennent, ils essaient de rejeter la responsabilité sur les autres ; ils n’assument pas de responsabilités, et ils souhaitent continuer à vivre leur vie de parasite. Ne sont-ils pas des déchets inutiles ? En société, qui ne doit pas compter sur lui-même pour gagner sa vie ? Une fois devenu adulte, on doit subvenir à ses propres besoins. Les parents ont assumé leurs responsabilités. Même s’ils désiraient apporter leur soutien à leur enfant, celui-ci en serait gêné. Il devrait être capable de réaliser que ses parents ont fini leur mission d’éducation, qu’il est un adulte normalement constitué et qu’il devrait être capable de vivre de façon autonome. N’est-ce pas le minimum de raison qu’un adulte devrait avoir ? Si quelqu’un est vraiment doté de raison, il ne peut en aucun cas continuer à vivre aux crochets de ses parents ; il craindrait les rires des gens, et de perdre la face. Donc, celui qui aime le confort et déteste le travail est-il doté de raison ? (Non.) Il veut toujours quelque chose en échange de rien, il veut ne jamais assumer la moindre responsabilité, et attend que tout lui tombe tout cuit dans la bouche ; il veut systématiquement ses trois repas par jour, que quelqu’un s’occupe d’eux, et déguster de délicieuses nourritures et boissons sans travailler le moins du monde. N’est-ce pas là l’état d’esprit d’un parasite ? Et les gens qui sont des parasites ont-ils une conscience et de la raison ? Possèdent-ils intégrité et dignité ? Absolument pas. Ils ne sont que des bons à rien profiteurs, des bêtes sans conscience ni raison. Aucun d’entre eux n’est apte à demeurer dans la maison de Dieu » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). Dieu expose le fait que ceux qui sont irresponsables, fuyants et qui se relâchent dans leurs devoirs n’ont ni intégrité ni dignité. De telles personnes sont des parasites et des bons à rien dans la maison de Dieu. Elles ne contribuent à rien et sont le genre de personnes que Dieu élimine. En m’interrogeant sur les paroles de Dieu, je me suis sentie quelque peu contrariée. Lorsque je rencontrais des difficultés, je ne voulais pas faire l’effort d’y réfléchir et je m’appuyais toujours sur Lin Mu, et lorsque je répondais à des questions, même si je savais que certaines de mes explications n’étaient pas claires, je ne prenais pas le temps d’y réfléchir et laissais simplement Lin Mu les améliorer à ma place. Même après qu’elle m’a fait remarquer ces problèmes, je n’ai pas réfléchi sur moi-même. Au contraire, j’ai continué à m’appuyer sur elle, le justifiant en pensant qu’elle avait un meilleur calibre et que ceux qui sont plus compétents devraient travailler davantage. Je me suis rendue compte que j’avais été fuyante et négligente dans mon devoir, voulant toujours quelque chose sans rien donner en retour. Je m’étais appuyée sur les autres pour accomplir mon travail, et j’avais échoué à assumer la moindre responsabilité. Après avoir joui de l’abreuvement et de la provision des paroles de Dieu pendant tant d’années, j’étais encore superficielle et je me relâchais dans mes devoirs, incapable d’assumer les responsabilités que j’aurais dû porter. N’étais-je pas complètement inutile et dépourvue d’intégrité et de dignité ? C’est comme ces parents qui travaillent dur pour élever un enfant jusqu’à l’âge adulte, mais lorsque l’enfant doit devenir indépendant, celui-ci invoque différentes difficultés comme excuses, refuse de travailler pour subvenir à ses besoins et continue de dépendre de ses parents. Comment cela affecte-t-il les parents ? Ayant été chargée des devoirs textuels, j’aurais dû chérir cette opportunité, fournir plus d’efforts pour apprendre les compétences professionnelles et les principes, et solliciter les conseils de Lin Mu sur ce que je ne comprenais pas afin de saisir plus rapidement les principes et assumer ma part de responsabilités. Mais j’ai toujours refusé de fournir un effort mental, préférant m’appuyer sur les autres. Cette attitude que j’avais envers mes devoirs était immonde et détestable pour Dieu, et si je ne changeais pas ma manière d’agir, je finirais par être complètement inutile.
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Il y a des gens qui ne veulent pas souffrir du tout dans leurs devoirs, se plaignent toujours chaque fois qu’ils rencontrent un problème et refusent d’en payer le prix. Quel genre d’attitude est-ce là ? C’est une attitude négligente. Si tu accomplis ton devoir de façon négligente et que tu l’abordes avec une attitude irrévérencieuse, quel sera le résultat ? Tu accompliras mal ton devoir, alors que tu as la capacité de l’accomplir correctement : le résultat ne sera pas à la hauteur, et Dieu sera très insatisfait de l’attitude que tu as vis-à-vis de ton devoir. Si tu avais pu prier Dieu, rechercher la vérité et y mettre tout ton cœur et ton esprit, si tu avais pu coopérer de cette manière, alors Dieu aurait tout préparé pour toi à l’avance, si bien que lorsque tu t’occuperais d’affaires, tout se mettrait en place et les résultats seraient bons. Tu n’aurais pas besoin d’employer une grande quantité d’énergie : quand tu aurais fait de ton mieux pour coopérer, Dieu aurait déjà tout arrangé pour toi. Si tu es fuyant et que tu te relâches, que tu ne t’occupes pas correctement de ton devoir et que tu suis toujours le mauvais chemin, Dieu n’agira pas sur toi : tu auras perdu cette chance et Dieu dira : “Tu n’es pas bon, Je ne peux pas t’utiliser. Écarte-toi. Tu aimes être rusé et te relâcher, n’est-ce pas ? Tu aimes être paresseux et être détendu, n’est-ce pas ? Eh bien sois détendu pour toujours !” Dieu donnera cette grâce et cette chance à quelqu’un d’autre. Qu’en pensez-vous : est-ce une perte ou un gain ? (Une perte.) C’est une perte énorme ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). En réfléchissant aux paroles de Dieu, je me suis rendue compte que, lorsque nous rencontrons des difficultés dans nos devoirs, si nous mettons tout notre cœur et notre esprit dans nos devoirs, que nous sommes disposés à payer le prix et à chercher la vérité, Dieu nous éclairera et nous guidera. Plus nous appliquons cette approche, plus le chemin à suivre devient clair, et nos pensées deviennent plus lucides. Cependant, si nous rencontrons des difficultés mais que nous ne faisons aucun effort pour chercher les vérités-principes, et qu’au contraire, nous nous relâchons constamment, au bout du compte, nous ne gagnerons rien et nous serons incapables de faire correctement nos devoirs, et finalement, nous serons révélés et éliminés pour notre laisser-aller, perdant ainsi l’opportunité de faire nos devoirs. Avec le recul, quand j’ai commencé ce devoir pour la première fois, j’y avais mis beaucoup de réflexion et d’effort, mais plus tard, en voyant que Lin Mu maîtrisait certains principes et que son travail était plus efficace, j’ai commencé à lui laisser les tâches difficiles, afin que je puisse me la couler douce. En réalité, bien que le fait d’arrondir les angles m’ait épargné des souffrances et de l’épuisement, je n’avais fait aucun progrès dans la compréhension des compétences professionnelles et des principes, et j’étais même devenue un fardeau pour les autres. Si je continuais ainsi, je finirais par être détestée et éliminée par Dieu. Cela m’a rappelée les paroles du Seigneur Jésus : « On donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a » (Matthieu 13:12). Dieu est juste. Tant qu’une personne est disposée à faire des efforts, à chercher la vérité et à payer le prix dans ses devoirs, elle recevra l’éclairage et la direction de Dieu. Plus elle agit ainsi, plus son chemin deviendra clair, et plus son esprit sera lucide. Mais moi, j’étais fuyante et négligeante dans mes devoirs, peu disposée à payer le prix, et je déléguais toujours le travail aux autres, croyant qu’en m’appuyant sur les autres, je gagnerais du temps et de l’effort, et je pourrais accomplir mes tâches sans beaucoup d’effort. Je pensais que j’étais maligne en agissant ainsi, mais au final, je n’ai gagné aucune vérité et je n’ai pu résoudre aucun problème. C’était se mentir à soi-même, et j’ai fini par subir de grandes pertes à cause de cela. Comme j’étais stupide ! En prenant conscience de tout cela, j’ai ressenti de la peur, et j’étais disposée à me repentir devant Dieu et à faire mon devoir avec un cœur sincère.
J’ai ensuite lu ces paroles de Dieu : « Supposons que l’Église organise un travail pour toi et que tu dises : “Que ce travail me permette d’attirer l’attention ou non, puisqu’il m’a été donné, je vais bien l’exécuter et j’assume cette responsabilité. Si on me demande d’héberger des gens, je ferai tout mon possible pour bien le faire. Je m’occuperai bien des frères et sœurs et je ferai de mon mieux pour assurer la sécurité de chacun. Si on me demande de prêcher l’Évangile, je m’équiperai de la vérité, je prêcherai correctement l’Évangile avec amour et je mènerai à bien mon devoir. Si l’on me demande d’apprendre une langue étrangère, je l’étudierai sans réserve, j’y travaillerai dur et j’essaierai de la maîtriser aussi vite que possible, en un an ou deux, afin de pouvoir témoigner de Dieu aux étrangers. Si l’on me demande d’écrire des articles de témoignage, je m’entraînerai consciencieusement à le faire, j’envisagerai les choses conformément aux vérités-principes, et j’apprendrai la langue. Bien que je ne sois pas capable d’écrire des articles dans une belle prose, je serai au moins capable de communiquer clairement mon témoignage d’expérience, d’échanger de manière compréhensible sur la vérité et de donner un vrai témoignage pour Dieu, de telle sorte que les gens soient édifiés et tirent avantage de la lecture de mes articles. Quelle que soit la tâche que l’Église m’assignera, je l’assumerai de tout mon cœur et de toute ma force. S’il y a quelque chose que je ne comprends pas ou qu’un problème surgit, je prierai Dieu, je chercherai la vérité, je résoudrai les problèmes selon les vérités-principes et je ferai le travail correctement. Quel que soit mon devoir, j’utiliserai tout ce que j’ai pour bien le faire et satisfaire Dieu. Concernant tout ce que je pourrai atteindre, je ferai de mon mieux pour assumer la responsabilité que je devrais porter et au moins, je n’irai pas contre ma conscience et ma raison ni ne serai superficiel, ni fuyant et je ne me relâcherai pas, ou je ne me laisserai pas tenter par les fruits du travail des autres. Rien de ce que je ferai ne sera en deçà de la norme de la conscience.” Il s’agit là de la norme minimale d’auto-conduite, et celui qui fait son devoir de cette manière peut être considéré comme une personne douée de conscience et raison. Tu dois au moins avoir bonne conscience dans l’exécution de ton devoir, et tu dois au moins mériter tes trois repas par jour et ne pas être un profiteur. C’est ce que l’on appelle avoir le sens des responsabilités. Que ton calibre soit élevé ou non et que tu comprennes ou non la vérité, dans tous les cas, tu dois avoir cette attitude : “Puisque ce travail m’a été donné à faire, je dois le traiter avec sérieux. Je dois en faire mon souci et je dois user de tout mon cœur et de toutes mes forces pour bien le faire. Quant à savoir si je peux le faire parfaitement bien, je ne peux pas présumer d’offrir une garantie, mais mon attitude consiste à faire de mon mieux pour que cela soit bien accompli, et je ne serai certainement pas superficiel à ce sujet. Si un problème survient dans le travail, je dois alors en assumer la responsabilité, m’assurer d’en tirer une leçon et de bien faire mon devoir.” Voilà ce qu’est la bonne attitude » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (8)). À partir des paroles de Dieu, j’ai fini par comprendre que peu importe les difficultés ou les problèmes que nous rencontrons dans nos devoirs, nous devons prier sincèrement, nous appuyer sur Dieu, et chercher les principes. Nous devons faire tout ce que nous pouvons et devons faire, en utilisant toute notre force pour accomplir les tâches efficacement. Nous ne devons pas être négligents, fuyants ou nous relâcher. Avoir cette attitude envers nos devoirs satisfera Dieu. En réfléchissant sur moi-même, je me suis rendue compte que lorsque je rencontrais des difficultés ou des problèmes dans mon devoir, au lieu de m’appuyer sur Dieu et de chercher les vérités-principes, je m’appuyais souvent sur Lin Mu, et profitais des fruits de son travail. Je n’avais même pas fait le minimum que je devais faire, voire je n’y avais pas mis tout mon cœur et toute ma force. Cela équivalait à être simplement un parasite dans la maison de Dieu. Alors, j’ai prié Dieu et je me suis repentie, exprimant ma volonté de chercher davantage les principes, et de faire plus d’efforts pour réfléchir aux difficultés ou aux choses que je ne comprenais pas, en décidant que je demanderais de l’aide à Lin Mu uniquement si je ne pouvais vraiment pas les résoudre. Dans le travail qui a suivi, j’ai fréquemment examiné mon attitude envers mon devoir. Lorsque je rencontrais des tâches difficiles et que je voulais y échapper, je me rebellais consciemment contre moi-même, apaisais mon cœur, priais Dieu et les questionnaient avec diligence. Je ne pensais plus à les déléguer uniquement aux autres. Une fois, Lin Mu et moi avons examiné un document qui contenait de nombreux problèmes. Nous devions rechercher les principes pertinents, tout considérer soigneusement, et souligner tous les problèmes. J’ai voulu que Lin Mu s’en occupe. Mais à ma grande surprise, elle m’a suggéré de le faire. Sans réfléchir, j’ai répondu : « Tu veux que je le fasse ? » Dès que j’ai dit cela, j’ai pris conscience que j’essayais encore de lever le pied. J’ai immédiatement prié Dieu pour me rebeller contre moi-même, exprimant ma volonté de coopérer de tout cœur et d’assumer ma responsabilité, plutôt que de déléguer cette tâche à quelqu’un d’autre. Ainsi, j’ai accepté de le faire. Pendant que je travaillais sur la tâche, j’ai prié et me suis appuyée sur Dieu, et je me suis concentrée à méditer sur les principes. Même si cela a pris plus de temps, j’ai trouvé un chemin à emprunter. Je me sentais à l’aise lorsque j’utilisais toute ma force et assumais ma responsabilité dans mon devoir.
À travers cette expérience, j’ai pris conscience qu’il y avait la bonne volonté de Dieu dans le fait qu’Il avait arrangé que je travaille avec Lin Mu. Notamment en ce qu’elle avait un meilleure calibre que moi et comprenait certains principes, et si je rencontrais quelque chose que je ne comprenais pas, je pouvais lui demander et apprendre d’elle, ce qui signifiait qu’elle pouvait m’aider à mieux saisir les principes, ce qui complétait mes faiblesses. Si je recherchais constamment le confort charnel et que je déléguais tous les problèmes à Lin Mu, je n’apprendrais rien et ne ferais aucun progrès. Maintenant, lorsque je rencontre des problèmes, je ne les délègue plus à Lin Mu immédiatement. Au lieu de cela, je les aborde avec mon cœur, en me concentrant sur la recherche des vérités-principes, et je ne discute avec elle que lorsque je ne peux vraiment pas résoudre quelque chose. Faire mon devoir de cette manière m’apporte bien plus de paix intérieure.
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