J’ai appris à traiter les gens convenablement
Par Siyuan, France Il y a quelques années, j’étais dirigeante d’Église. Dans l’Église, il y avait un frère nommé Chen qui était doué, mais...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
En avril 2021, je supervisais le travail textuel dans l’Église. Un jour, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs, dans laquelle ils me demandaient d’écrire une évaluation de Liu Li, une dirigeante au sein de l’Église. L’évaluation devait être terminée et remise dans les trois jours. Je n’ai pas pu m’empêcher de spéculer : « Pourquoi les dirigeants supérieurs m’ont-ils tout à coup demandé d’évaluer Liu Li ? Est-ce parce que ses capacités de travail sont médiocres et qu’ils rassemblent des évaluations pour envisager de la renvoyer ? Ou bien serait-ce parce qu’ils voient qu’elle a un sens du fardeau et fait du travail réel, et qu’ils veulent la promouvoir ? Si Liu Li est promue et que je souligne ses défauts, les dirigeants diront-ils que je suis injuste dans ma façon de traiter les gens ? Diront-ils que tout le monde a des défauts, et que décrire quelqu’un, qui a un potentiel à nourrir, d’une manière aussi négative témoigne d’un manque de discernement ? Mais si Liu Li doit être renvoyée et que je mets l’accent sur ses points forts, les dirigeants diront-ils que je manque vraiment de calibre ? Se demanderont-ils comment moi, une superviseuse de travail textuel qui échange souvent avec des frères et des sœurs sur les principes du discernement des gens, mais qui, lorsqu’elle évalue une personne, décrit une personne qui doit être renvoyée d’une manière aussi positive, montrant un manque de discernement, je pouvais faire un devoir aussi important avec un tel calibre ? Si cela devait arriver, les dirigeants auraient certainement une mauvaise impression de moi. » Avec cela à l’esprit, je me suis rappelée qu’il fallait agir avec prudence, et que l’évaluation de Liu Li devait être rédigée avec précision avant de la remettre. Sachant que Wang Ying, la partenaire de Liu Li, viendrait me voir le lendemain, j’ai eu une idée. Je me suis dit : « Pourquoi ne pas commencer par essayer d’obtenir quelques indices de Wang Ying et tâter un peu le terrain pour savoir si Liu Li est promue ou renvoyée. Si je comprends dans quelle direction va Liu Li, il sera plus facile de rédiger l’évaluation. Si elle est promue, je mettrai l’accent sur ses points forts, et si elle est renvoyée, je soulignerai ses défauts. J’écrirai l’évaluation en fonction des intentions des dirigeants supérieurs. De cette façon, les dirigeants diront certainement que j’ai un certain discernement en tant que superviseuse, et je ne me ridiculiserai pas. »
Le lendemain, une autre dirigeante d’Église, Wang Ying, est venue discuter avec moi de questions de travail, mais je n’étais pas concentrée sur le fait de lui faire un compte rendu du travail. Au lieu de cela, je me demandais sans cesse : « Que puis-je dire pour que Wang Ying me parle de ce qui va arriver à Liu Li, sans qu’elle s’en aperçoive ? » Dès que Wang Ying eut fini de parler, j’ai consciemment commencé à poser des questions pour la sonder : « Tu es la seule à être venue discuter du travail avec nous ces derniers temps. Pourquoi Liu Li n’est-elle pas venue ? Est-elle occupée ? » Wang Ying a répondu calmement : « Elle est occupée avec un autre travail. » J’ai supposé que Liu Li était peut-être en train d’être renvoyée, mais je ne pouvais pas en être sûre. Je n’ai pas osé demander directement, car je craignais que Wang Ying ne dise que je n’étais pas concentrée sur mon travail. J’ai donc continué à demander de façon détournée : « Vous êtes les deux seules dirigeantes ici. Comment gérez-vous donc la charge de travail ? » Après avoir posé la question, j’ai observé attentivement chaque regard et expression de Wang Ying lorsqu’elle parlait, et j’ai essayé de trouver le moindre indice qui me permettrait de déterminer ce qui arrivait à Liu Li. Mais à ma grande surprise, Wang Ying a simplement répondu : « Le travail a été très prenant ces derniers temps. » Sa réponse ne m’apportait toujours pas d’information claire, je me suis donc sentie très anxieuse. Que devais-je faire ? Je ne savais toujours pas si Liu Li était promue ou renvoyée. La date limite pour remettre l’évaluation approchait, mais je ne pouvais pas me résoudre à l’écrire, car je ne savais pas comment la faire correctement. Je me suis dit : « Et si j’écrivais simplement ce que je sais, expliquant ensuite aux dirigeants que je n’ai rencontré Liu Li que quelques fois et que je ne la connais pas bien, et que mon évaluation pouvait donc ne pas être précise ? » Mais ensuite, je me suis ravisée : « Les dirigeants supérieurs diront-ils qu’en tant que superviseuse, si j’étais encore incapable de discerner une personne après l’avoir rencontrée plusieurs fois, j’avais un calibre médiocre et que je ne pouvais pas percevoir les choses ? Ce serait tellement embarrassant ! Oublions cela. Autant ne pas rédiger l’évaluation, ainsi les dirigeants supérieurs ne verront pas si je manque de discernement. » Je n’ai donc pas rédigé l’évaluation. Mais quand j’ai réfléchi à cette affaire plus tard, je me suis sentie très coupable. Je me suis rendu compte que la maison de Dieu exige que nous évaluions les gens de manière équitable et objective, principalement pour comprendre si une personne s’aligne sur les principes pour être cultivée et sélectionnée, ou pour superviser et vérifier si une personne accomplit du travail concret et si elle est qualifiée pour son poste. Sélectionner la bonne personne pour un poste est crucial, car cela affecte directement l’efficacité du travail et est lié à la protection du travail de la maison de Dieu. En outre, rédiger l’évaluation pourrait me permettre d’entrer dans la vérité du fait d’être personne honnête. Alors, pourquoi étais-je si réticente à prendre ma plume ? Pourquoi étais-je si perturbée ? J’ai prié Dieu : « Ô Dieu, Je me suis sentie très tiraillée par le fait d’écrire l’évaluation de Liu Li. J’ai hésité et ai été trop prudente à ce sujet, et je craignais que si mon discernement faisait défaut et que l’évaluation n’était pas précise, les dirigeants me méprisent, je n’ai donc pas été disposée à l’écrire. Ô Dieu, s’il Te plaît, guide-moi pour que je reconnaisse mon tempérament corrompu. »
Au cours de mes dévotions, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Les antéchrists sont aveugles à Dieu, Il n’a pas de place dans leurs cœurs. Lorsqu’ils rencontrent Christ, ils ne Le traitent pas différemment d’une personne ordinaire, ils s’inspirent constamment de Son expression et de Son ton de voix, changeant de ton selon la situation, ne disant jamais ce qui se passe réellement, ne disant jamais rien de sincère, ne disant que des mots vides et doctrine, essayant de tromper et de berner le Dieu concret qui Se tient devant leurs yeux. Ils n’ont absolument pas un cœur qui craint Dieu. Ils ne sont même pas capables de parler à Dieu avec le cœur, de dire quoi que ce soit de réel. Ils parlent comme un serpent rampe, de manière tortueuse et indirecte. La manière et la direction de leur discours sont comme un plant de melon grimpant sur un poteau. Par exemple, quand tu dis que quelqu’un est de bon calibre et peut être promu, ils parlent immédiatement de ses qualités et de ce qui se manifeste et se révèle en lui ; et si tu dis que quelqu’un est mauvais, ils se hâtent de dire combien il est mauvais et malfaisant et de parler des perturbations et des interruptions qu’il provoque dans l’Église. Quand tu te renseignes sur certaines situations réelles, ils n’ont rien à dire : ils tergiversent, attendant que tu conclues, attentifs au sens de tes paroles, afin d’aligner leurs paroles sur tes pensées. Tout ce qu’ils disent, ce sont des paroles agréables à l’oreille, des flatteries, et de l’obséquiosité : pas une seule parole sincère ne sort de leur bouche. C’est ainsi qu’ils interagissent avec les gens et qu’ils traitent Dieu : ils sont aussi fourbes que cela. Tel est le tempérament d’un antéchrist » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 10 : Ils méprisent la vérité, bafouent ouvertement les principes et ignorent les arrangements de la maison de Dieu (Partie II)). « Les mots de Satan ont une certaine caractéristique : ce que dit Satan te laisse ainsi te gratter la tête et incapable de percevoir la source de ses mots. Parfois, Satan a des motifs et parle délibérément, et parfois, gouvernés par sa propre nature, de tels mots émergent spontanément et sortent directement de la bouche de Satan. Satan ne passe pas un long moment à peser de tels mots ; ils sont plutôt exprimés sans réfléchir. Quand Dieu a demandé à Satan d’où il venait, Satan a répondu par quelques mots ambigus. Tu te sens très perplexe, ne sachant jamais exactement d’où vient Satan. Certains parmi vous parlent-ils comme cela ? Quelle façon de parler est-ce ? (C’est ambigu et ne donne pas une réponse certaine.) Quel genre de mots devrions-nous utiliser pour décrire cette façon de parler ? Cela distrait et égare. Supposons que quelqu’un ne veuille pas dire aux autres ce qu’il a fait hier. Tu lui demandes : “Je t’ai vu hier. Où allais-tu ?” Il ne te dit pas directement où il est allé. Il dit plutôt : “Ce fut tout un jour, hier. J’étais si fatigué !” A-t-il répondu à ta question ? Oui, mais ce n’est pas la réponse que tu voulais. Tel est le “génie” dans l’astuce du discours des hommes. Tu ne peux jamais découvrir ce qu’ils veulent dire ni percevoir la source ou l’intention de leurs mots. Tu ne sais pas ce qu’ils tentent d’éviter parce qu’ils ont leur propre histoire dans leur cœur. C’est insidieux. Y en a-t-il parmi vous qui parlent aussi de cette façon fréquemment ? (Oui.) Quel est votre objectif alors ? Est-ce parfois de protéger vos propres intérêts, de maintenir votre propre fierté, votre position et votre image, de protéger les secrets de votre vie privée ? Quel que soit le but, il est inséparable de vos intérêts, il est lié à vos intérêts. N’est-ce pas la nature de l’homme ? Tous ceux qui ont une nature de ce genre sont intimement liés à Satan ou, sinon, à sa famille. Nous pouvons le dire ainsi, n’est-ce pas ? D’une manière générale, cette façon de parler est détestable et odieuse » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique IV). Dieu expose que les antéchrists, quand ils traitent avec Dieu, agissent toujours de manière fourbe, en s’inspirant de Son expression avant de décider comment agir. Ils ne parlent pas honnêtement devant Christ, et ils utilisent l’étroitesse d’esprit humaine pour tromper Dieu. Leur tempérament est vraiment fourbe et malveillant, et il fait que Dieu les déteste. En y réfléchissant, je me suis rendu compte que je m’étais comportée de la même manière. Les dirigeants supérieurs m’avaient demandé d’écrire une évaluation de Liu Li, et, peu importe que Liu Li soit promue ou renvoyée, j’aurais dû rédiger mon évaluation en me basant sur la compréhension que j’avais d’elle, de manière objective et factuelle, car c’était dans le but de soutenir le travail de l’Église. Mais au lieu de réfléchir à la manière de parler honnêtement, et d’écrire ce que je savais de manière juste et objective, assumant ma responsabilité, j’ai d’abord spéculé sur ce que signifiait la demande d’évaluation et sur la manière de la rédiger à mon avantage. Je craignais que, si mon évaluation n’était pas précise, les dirigeants supérieurs verraient mes défauts et penseraient que je manquais de discernement, et qu’ils auraient une mauvaise impression de moi. Afin de protéger mon image et mon statut aux yeux des dirigeants, je voulais comprendre leur intention et m’en inspirer. Lorsque Wang Ying est venue examiner mon travail, je n’étais pas concentrée sur le fait de lui donner un compte rendu correct, mais au lieu de cela, je m’étais creusé les méninges, réfléchissant à la manière d’amener Wang Ying à me dire ce qui se passait avec Liu Li. Si Liu Li était promue, je m’en inspirerais et la flatterais, mettrais l’accent sur ses points forts et minimiserais ses défauts, mais si Liu Li était renvoyée, je soulignerais ses défauts. Je me disais qu’en remettant une telle évaluation, les dirigeants supérieurs penseraient que j’étais une superviseuse avec un bon calibre, que je voyais les gens de manière précise et que je n’avais pas trop de lacunes. Lorsque j’évaluais quelqu’un comme bon ou mauvais, ce n’était pas sur la base de faits et de vérités-principes, mais plutôt sur le fait que la personne allait être promue ou renvoyée. J’allais simplement dans le sens du vent, ce qui rendait l’évaluation ni objective ni sincère. Chaque personne a des points forts et des faiblesses, je devais donc rédiger les évaluations de manière juste, objective et sincère. Si la personne n’est pas bonne et que j’écris une évaluation positive, alors, je me livre à la tromperie, et si cela égare les autres, entraîne des conséquences négatives et interrompt et perturbe le travail de l’Église, alors, je commets le mal et m’oppose à Dieu. Mais si la personne poursuit la vérité et que j’écris une évaluation négative, alors, je suis injuste envers elle, je lui fais du tort et lui refuse la possibilité de s’entraîner. Les dirigeants m’ont demandé d’évaluer une personne parce qu’ils voulaient examiner cette personne et l’évaluer de manière exhaustive en fonction de l’évaluation de la majorité, car cela garantit la précision et l’objectivité. Par conséquent, chaque évaluation est importante. Mais c’est mon tempérament corrompu qui me poussait à agir ainsi, j’essayais d’exagérer ou de minimiser les points forts et les faiblesses d’une personne pour mon propre bénéfice, ce qui est de nature à induire les gens en erreur et rend difficile, pour les dirigeants, d’avoir une compréhension précise et objective d’une personne. Sans le vouloir, j’entravais et interrompais le travail de la maison de Dieu qui consiste à sélectionner et cultiver des gens. J’ai vu que mon tempérament est le même que celui d’un antéchrist, et que j’essayais de parler et d’écouter pour mon propre intérêt, que je tentais de lire entre les lignes et me donnais beaucoup de mal pour trouver des informations. J’étais tellement fourbe et je vivais sans aucune dignité ni intégrité. J’ai pensé à ces paroles de Dieu : « L’honnêteté signifie donner son cœur à Dieu, être sincère avec Dieu en toutes choses, être ouvert avec Lui en toutes choses, ne jamais cacher les faits, ne pas essayer de tromper les supérieurs ni les inférieurs à soi et ne pas faire des choses simplement pour s’attirer la faveur de Dieu. Bref, être honnête, c’est être pur dans ses actions et ses paroles et ne tromper ni Dieu ni l’homme » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Trois admonitions). Les exigences de Dieu à notre égard ne sont pas élevées. Il souhaite simplement que nous parlions et agissions avec franchise, en appelant un chat un chat, que nous soyons une personne honnête qui est concrète et ouverte, et que nous évitions de mentir, de tromper et de dissimuler. Je ne connaissais pas bien Liu Li et je ne pouvais pas la discerner avec précision, j’aurais donc dû rédiger mon évaluation en fonction de ce que je savais et dire la vérité. Je devais simplement ne pas avoir d’arrière-pensées et ne pas me livrer à la fourberie, et être concrète et juste dans ma façon de traiter les autres. Mais mes intentions étaient déplacées, et j’ai cherché à utiliser cette évaluation pour gagner les faveurs des dirigeants supérieurs. J’ai donc essayé d’évaluer leurs préférences et leurs intentions avant de décider comment rédiger l’évaluation en fonction de leurs souhaits. Les dirigeants voulaient examiner une personne en demandant mon évaluation, mais ils n’ont pas obtenu un seul mot honnête de ma part. Une telle attitude était très éloignée de la pratique d’être une personne honnête ! En me rendant compte de cela, je me suis sentie dégoûtée par mon tempérament fourbe.
Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Et qu’est-ce que craindre Dieu et s’éloigner du mal ? Lorsque tu évalues quelqu’un, par exemple, ton évaluation est liée à la crainte de Dieu et à l’éloignement du mal. Comment procèdes-tu ? (Nous devons être honnêtes, justes et équitables, et nos paroles ne doivent pas se baser sur nos sentiments.) Lorsque tu dis exactement ce que tu penses et exactement ce que tu as vu, tu es honnête. Tout d’abord, la pratique de l’honnêteté s’aligne sur le fait de suivre le chemin de Dieu. C’est ce que Dieu enseigne aux gens : c’est le chemin de Dieu. Le chemin de Dieu, qu’est-ce que c’est ? Craindre Dieu et s’éloigner du mal. Être honnête ne fait-il pas partie du fait de craindre Dieu et de s’éloigner du mal ? Et ne consiste-t-il pas à suivre le chemin de Dieu ? (Si.) Si tu n’es pas honnête, alors ce que tu as vu et ce que tu penses, ce n’est pas la même chose que ce qui sort de ta bouche. Quelqu’un te demande : “Quelle est ton opinion sur cette personne ? Est-elle responsable dans le travail de l’Église ?” Et tu réponds : “Elle est formidable. Elle est plus responsable que moi, son calibre est meilleur que le mien et son humanité est également bonne. Elle est mature et stable.” Mais est-ce ce que tu penses au fond de toi ? Ce que tu vois réellement, c’est que, bien que cet individu ait du calibre, il n’est pas fiable et il est plutôt malhonnête, et très calculateur. Voilà ce que tu as vraiment à l’esprit, mais quand vient le moment de parler, tu te dis : “Je ne peux pas dire la vérité. Je ne dois offenser personne”, si bien que tu as vite fait de dire autre chose et tu choisis des choses gentilles à dire à son sujet, mais rien de ce que tu dis ne correspond à ce que tu penses réellement. Ce ne sont que des mensonges et tout est faux. Cela indique-t-il que tu suis le chemin de Dieu ? Non. Tu as emprunté le chemin de Satan, le chemin des démons. Quelle est le chemin de Dieu ? C’est la vérité, c’est la base selon laquelle les gens devraient se comporter et c’est le chemin qui consiste à craindre Dieu et à s’éloigner du mal. Bien que tu parles à une autre personne, Dieu écoute également. Il observe ton cœur et le scrute. Les gens écoutent ce que tu dis, mais Dieu scrute ton cœur. Les gens sont-ils capables de scruter le cœur de l’homme ? Dans le meilleur des cas, les gens peuvent se rendre compte que tu ne dis pas la vérité. Ils peuvent voir ce qu’il y a à la surface, mais seul Dieu peut voir au plus profond de ton cœur. Seul Dieu peut voir ce que tu penses, ce que tu prévois et quelles petites manigances, quelles manières perfides et quelles pensées actives tu as au fond de toi. Quand Dieu voit que tu ne dis pas la vérité, quelles sont Son opinion et Son évaluation à ton égard ? Que tu n’as pas suivi le chemin de Dieu dans cette affaire, parce que tu n’as pas dit la vérité » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). D’après ces paroles de Dieu, il est clair que Dieu apprécie les gens honnêtes. Ceux-ci ont un cœur qui craint Dieu et honorent Sa grandeur, peu importe ce à quoi ils sont confrontés. Je n’avais jamais pensé au fait qu’écrire des évaluations implique la vérité de la crainte de Dieu, je ne prenais donc pas l’évaluation au sérieux. Maintenant, en réfléchissant à la question de l’évaluation de Liu Li, j’ai compris que Liu Li avait des défauts et des lacunes dans son devoir, mais aussi des points forts, et si je ne pouvais pas la discerner avec précision, je devais rendre compte de ce que j’avais observé directement, accepter l’examen de Dieu, et être honnête et non fourbe. Voilà ce que signifiait dire la vérité et être une personne honnête. Mais pour protéger ma fierté et mon statut, j’avais peur que si mon évaluation n’était pas précise, les dirigeants supérieurs puissent me percer à jour, et je craignais de perdre la face et d’être méprisée, j’ai donc recouru à la ruse et n’ai pas dit la vérité. J’ai choisi de ne pas rédiger l’évaluation plutôt que de risquer de perdre la face. J’étais tellement fourbe et suspicieuse ! Je n’étais pas disposée à être honnête et à dire la vérité, ce qui montrait que je n’avais pas du tout un cœur qui craint Dieu ! Les gens qui ont un cœur qui craint Dieu sont circonspects et prudents lorsqu’ils évaluent les autres, et peuvent exprimer de manière pragmatique leur compréhension d’une personne et leurs opinions sur elle. Ils peuvent le faire sans motivations personnelles et dire tout ce qu’ils savent, sans exagérer ni dissimuler des choses. C’est là le comportement d’une personne honnête. Cependant, lorsque les gens qui n’ont pas un cœur qui craint Dieu évaluent les autres, ils ne se demandent pas si leurs paroles sont fondées sur des faits ou si elles offensent Dieu. Ils disent simplement tout ce qui les avantage, et pas une seule vérité ne sort de leur bouche. De telles personnes ont des tempéraments vraiment fourbes. Cette fois, par la rédaction de l’évaluation, j’ai été révélée, et j’ai vu que je ne pouvais pas accepter l’examen de Dieu dans mon devoir, que je n’avais pas un cœur qui craint Dieu, et que j’agissais en me basant sur ce qui était bénéfique pour moi-même, plaçant mes propres intérêts au-dessus de la pratique de la vérité. Cela signifiait que j’empruntais le chemin qui consiste à s’opposer à Dieu. Je ne m’attendais pas à ce qu’après avoir cru en Dieu pendant tant d’années, mon tempérament satanique soit resté inchangé, et que je puisse encore être fourbe quand il s’agissait de mes intérêts. Continuer ainsi serait tellement dangereux ! Dans mon cœur, j’ai prié Dieu pour me repentir, et Lui ai demandé de me guider vers une compréhension plus profonde de mon tempérament satanique.
Un jour, au cours de mes dévotions, j’ai lu ces paroles de Dieu : « La malveillance est la plus difficile à détecter parce qu’elle est devenue la nature de l’homme et celui-ci commence à la glorifier, et même davantage de malveillance ne lui semblerait pas un mal. Donc, un tempérament malveillant est encore plus difficile à déceler qu’un tempérament intransigeant. Certaines personnes disent : “Comment cela ne peut-il pas être facile à déceler ? Les gens ont tous des désirs malveillants. N’est-ce pas là de la malveillance ?” C’est superficiel. Qu’est-ce que la vraie malveillance ? Quels états sont pervers lorsqu’ils se manifestent ? Ne s’agit-il pas d’un tempérament malveillant lorsque les gens utilisent des déclarations retentissantes pour cacher les intentions malveillantes et honteuses qui se trouvent au plus profond de leur cœur, puis font croire aux autres que ces déclarations sont très bonnes, honnêtes et légitimes, et finissent par atteindre leurs inavouables motifs ? Pourquoi appelle-t-on cela être malveillant plutôt qu’être fourbe ? En termes de tempérament et d’essence, la fourberie n’est pas aussi mauvaise. Être malveillant est plus grave qu’être fourbe, c’est un comportement plus insidieux et vil que la fourberie et qu’une personne ordinaire peut difficilement percer à jour. Par exemple, quel genre de paroles le serpent a-t-il utilisé pour attirer Ève ? Des paroles spécieuses, qui sonnent juste et semblent être prononcées pour ton propre bien. Tu ne sais pas qu’il y a quelque chose de mal ou une intention malveillante dans ces paroles et en même temps, tu ne peux pas abandonner ces suggestions faites par Satan. C’est la tentation. Lorsque tu es tenté et que tu écoutes ce genre de paroles, tu ne peux qu’être attiré et il est probable que tu tombes dans un piège, le but de Satan étant ainsi atteint. C’est ce qu’on appelle la malveillance. Le serpent a utilisé cette méthode pour attirer Ève. N’est-ce pas un type de tempérament ? (Si.) D’où vient ce type de tempérament ? Cela vient du serpent de Satan. Ce type de tempérament pervers existe dans la nature de l’homme » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seule la connaissance de soi aide à poursuivre la vérité). Dieu expose que lorsque les gens interagissent les uns avec les autres, ils utilisent souvent des déclarations qui sonnent bien et semblent se livrer à une communication légitime, mais en réalité, c’est plein de ruse. Ils utilisent des déclarations qui semblent bonnes et correctes pour dissimuler leurs arrière-pensées et atteindre leurs objectifs. C’est là un tempérament malveillant, et Dieu déteste et hait ces personnes au plus haut point. À ce moment-là, j’ai pris conscience de la gravité de mon tempérament malveillant. Lorsque Wang Ying était venue examiner mon travail, sous prétexte de m’inquiéter pour Liu Li, je m’étais mise en quatre pour lui demander si Liu Li était occupée avec le travail, précisant que je ne l’avais pas vue depuis longtemps. Cette question semblait être une préoccupation légitime envers Liu Li, mais en fait, j’avais essayé de l’utiliser pour soutirer les informations que je voulais à Wang Ying et l’amener à révéler ce qu’il allait advenir de Liu Li. Mais quand Wang Ying n’avait pas donné suite à mes questions, j’avais changé de stratégie, et commencé à demander des informations sur Liu Li sous prétexte de m’intéresser au travail de l’Église. J’ai compris que j’étais constamment en train de comploter, dans mes paroles et mes actions, pour atteindre mes objectifs, que j’avais tendu un piège à Wang Ying à son insu, que je m’étais mise en quatre pour utiliser une conversation apparemment normale pour l’amener à dire ce que je voulais, afin d’obtenir les informations que je cherchais. J’avais gardé une apparence calme et rien n’avait semblé anormal, mais à l’intérieur, j’avais comploté et conspiré. Je n’avais aucune sincérité lorsque j’avais parlé ou interagi avec les autres, et au lieu de cela, je m’étais fiée à mon tempérament satanique, j’avais comploté contre les autres et les avais manipulés. J’ai compris que ma nature était vraiment malveillante ! Exactement comme le serpent qui tenta Ève pour qu’elle mange de l’arbre de la connaissance du bien et du mal : ses paroles semblaient correctes, mais elles égaraient subtilement et indirectement les gens, et cachaient ses véritables intentions. C’est là le tempérament malveillant de Satan. La nature de mes paroles et de mes actions n’était-elle pas semblable à celle du serpent ? C’était une façon de vivre si traître et si sournoise ! Il n’était question que de rédiger une évaluation et cela n’impliquait pas d’intérêts majeurs, mais j’avais utilisé des méthodes vraiment méprisables et viles pour être fourbe et sournoise. Si mon tempérament ne changeait pas, alors, lorsqu’il s’agirait de questions impliquant des intérêts majeurs, j’abuserais certainement les gens et tromperais Dieu avec mon tempérament malveillant et fourbe, et je commettrais des maux encore plus grands qui offenseraient le tempérament de Dieu. J’ai vu à quel point j’étais en danger si mon tempérament malveillant et fourbe restait inchangé.
Ensuite, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Mon royaume a besoin de ceux qui sont honnêtes, de ceux qui ne sont pas hypocrites ni trompeurs. Les gens sincères et honnêtes ne sont-ils pas impopulaires dans le monde ? Je suis tout le contraire. Il est acceptable que les gens honnêtes viennent à Moi ; Je me réjouis de ce genre de personne, et J’ai aussi besoin de ce genre de personne. C’est précisément Ma justice » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 33). « Pendant la période où l’on s’entraîne à être honnête, il s’avère inévitable de rencontrer de nombreux échecs et des moments où sa corruption est révélée. Il peut arriver que ses paroles et ses pensées ne coïncident pas ou qu’il y ait des instants où l’on fait semblant ou recourt à la fourberie. Cependant, indépendamment de ce qui t’arrive, si tu veux dire la vérité et être quelqu’un d’honnête, tu dois être capable d’abandonner ton orgueil et ta vanité. Quand tu ne comprends pas quelque chose, dis-le que tu ne comprends pas. Quand quelque chose n’est pas clair, dis-le que ce n’est pas clair. N’aie pas peur que les autres te méprisent ou déchantent à ton sujet. À force de parler constamment du fond du cœur et de dire ainsi la vérité, tu trouveras la joie, la paix et un sentiment de liberté et d’émancipation dans ton cœur : la vanité et l’orgueil ne te contraindront plus. Peu importe avec qui tu interagis, si tu parviens à exprimer ce que tu penses vraiment, à ouvrir ton cœur aux autres et à ne pas prétendre savoir des choses que tu ignores, il s’agit alors d’une attitude honnête. Il peut arriver que des gens te regardent de haut et te traitent d’idiot parce que tu dis toujours la vérité. Que faire dans une telle situation ? Tu devrais dire : “Même si tout le monde me traite d’idiot, je prends la résolution d’être quelqu’un d’honnête, et non quelqu’un de fourbe. Je parlerai vrai et conformément aux faits. Même si je suis immonde, corrompu et sans valeur devant Dieu, je persisterai à dire la vérité sans faux-semblant ni déguisement.” Si tu parles ainsi, ton cœur sera serein et en paix. Pour être quelqu’un d’honnête, tu dois abandonner ta vanité et ton orgueil et, pour dire la vérité et exprimer tes véritables sentiments, tu ne devrais pas craindre les moqueries et le mépris des autres. Même si les autres te traitent comme un idiot, tu ne devrais pas répondre ou te défendre. Si tu arrives à pratiquer la vérité de cette manière, tu peux devenir quelqu’un d’honnête » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). Dieu indique clairement qui Il apprécie et qui Il hait. Seuls les gens honnêtes sont acceptés et bénis par Dieu. Dieu est saint et il n’y a aucune malhonnêteté ou fourberie en Lui. Les paroles de Dieu sont toujours directes et claires. Tout comme Dieu a donné des instructions claires à Adam et Ève dans le jardin d’Éden, leur disant qu’ils avaient le droit de manger tel fruit de tel arbre et que cet autre fruit les conduirait à la mort. Les instructions de Dieu étaient claires et sans aucune dissimulation. Dieu exige également que nous soyons des gens purs et honnêtes, car c’est là une véritable ressemblance humaine. Vivant dans le monde de Satan, les gens interagissent en utilisant des mensonges, des fourberies et des ruses, portent toujours des masques et vivent d’une manière épuisante. Finalement, ils finiront par être corrompus de plus en plus profondément par Satan, et ils subiront la juste punition de Dieu. J’ai vu que certains frères et sœurs autour de moi étaient capables de pratiquer le fait d’être des gens honnêtes, que lorsqu’ils voyaient que d’autres personnes avaient des problèmes, ils pouvaient directement les leur signaler pour les aider, et quand ils voyaient quelqu’un faire des choses qui n’étaient pas en accord avec la vérité, ils pouvaient l’émonder ouvertement, être sincères et s’offrir une aide et un soutien mutuels. Ces personnes étaient pures et se sentaient libérées et libres, elles poursuivaient le fait d’être des gens honnêtes et empruntaient le chemin du salut. Je suis parvenue à comprendre ce que signifiait être une personne honnête, et les paroles de Dieu m’ont fourni un chemin de pratique. Je ne pouvais plus comploter ou tromper pour la fierté ou le statut. Un tel comportement était vraiment méprisable ! Je devais répondre à la norme d’une personne honnête comme Dieu L’exige, et écrire sincèrement ce que je savais sur Liu Li. Même si cela signifiait perdre la face si ce n’était pas précis, tant que j’étais honnête et que je faisais plaisir à Dieu, cela suffirait.
Par ailleurs, j’avais un point de vue fallacieux sur la rédaction des évaluations, pensant qu’en tant que superviseuse de travail textuel, je devais être capable de discerner les gens et de rédiger des évaluations précises pour être considérée comme compétente. J’étais donc réticente à être honnête de peur de ne pas écrire un compte rendu convenable et de perdre la face. Plus tard, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Quand quelqu’un est élu par les frères et sœurs pour être dirigeant ou promu par la maison de Dieu pour faire un certain travail ou accomplir un certain devoir, cela ne signifie pas qu’il a un statut spécial ou une position spéciale, ni que les vérités qu’il comprend sont plus profondes et plus nombreuses que celles que comprennent les autres, et cela signifie encore moins que cette personne est capable de se soumettre à Dieu et ne Le trahira pas. Évidemment, cela ne signifie pas non plus que cette personne connaît Dieu ni qu’elle est quelqu’un qui craint Dieu. En fait, elle n’a accédé à rien de cela. La promotion et la formation ne sont que la promotion et la formation au sens simple et ne sont pas équivalentes au fait d’avoir été prédestinée et approuvée par Dieu. Sa promotion et sa formation signifient simplement qu’elle a été promue et qu’elle attend d’être cultivée. Et le résultat final de cette formation dépend du fait que cette personne poursuive ou non la vérité et qu’elle soit capable ou non de choisir le chemin de la poursuite de la vérité. Ainsi donc, quand quelqu’un, dans l’Église, est promu et formé pour être un dirigeant, il est seulement promu et formé au sens le plus simple ; cela ne signifie pas qu’il est déjà à la hauteur et compétent en tant que dirigeant, ni qu’il est déjà capable d’entreprendre un travail de direction et qu’il peut effectuer un travail concret : ce n’est pas le cas. La plupart des gens ne peuvent pas percer à jour ces choses clairement, et sur la base des produits de leur imagination, ils admirent ceux qui ont été promus. C’est une erreur. Quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croient en Dieu, ceux qui sont promus possèdent-ils vraiment la vérité-réalité ? Pas nécessairement. Sont-ils capables de mettre en œuvre les arrangements de travail de la maison de Dieu ? Pas nécessairement. Ont-ils le sens des responsabilités ? Sont-ils loyaux ? Sont-ils capables de se soumettre ? Quand ils rencontrent un problème, sont-ils capables de chercher la vérité ? On n’en sait rien » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (5)). Grâce à ces paroles de Dieu, j’ai compris que dans la maison de Dieu, que l’on soit dirigeant ou superviseur, cela ne signifie pas que l’on comprend tous les aspects de la vérité, ou que l’on possède tous les aspects des vérités-réalités. Le fait que l’Église m’ait désignée comme superviseuse n’était qu’une occasion pour moi de m’entraîner, et cela ne signifiait pas que je comprenais plus la vérité que les autres ou que je pouvais discerner différents types de personnes. Il m’est apparu clairement qu’il y avait de nombreuses vérités que je ne comprenais pas, et que j’avais besoin de faire l’expérience de divers environnements pour les gagner. Je me suis rendu compte que si je chérissais cette opportunité et cherchais davantage par la prière, et que j’agissais conformément à la vérité lorsque je rencontrais des choses, ma vie grandirait rapidement. Cependant, au lieu de cela, je m’étais tenue en haute estime dans ma position de superviseuse, pensant qu’en tant que superviseuse, je devais avoir du discernement et rédiger des évaluations précises. Afin d’obtenir les louanges et l’admiration des dirigeants supérieurs, j’avais fini par me livrer à la fourberie et la tortuosité pour me dissimuler, au lieu de voir mon manque de discernement et de chercher davantage la vérité dans ce domaine. Si je continuais ainsi, cela ne m’empêcherait pas seulement de comprendre la vérité, mais cela rendrait aussi mon tempérament de plus en plus fourbe, et en fin de compte, je ne gagnerais rien. En prenant conscience de cela, je suis devenue capable de traiter mes défauts correctement.
Peu de temps après, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs, dans laquelle ils me demandaient d’écrire une évaluation de Sœur Sun Lan. Je me suis dit : « Je n’ai rencontré Sun Lan que pendant deux jours, ma compréhension d’elle est donc limitée. Si l’évaluation n’est pas précise, les dirigeants penseront-ils que je manque de discernement et me mépriseront-ils ? » Mais, ensuite, j’ai pensé : « J’ai entendu dire que Sun Lan vaut la peine d’être cultivée, alors je devrais peut-être mettre en avant ses points forts. Avec une telle évaluation, les dirigeants diront sûrement que, comme je suis capable d’évaluer une personne avec précision après seulement deux jours, j’ai du discernement. Cela donnera vraiment une bonne image de moi. » À ce moment-là, je me suis rendu compte que j’essayais de nouveau de me livrer à la fourberie. Dieu avait orchestré cet environnement pour tester si je pouvais être une personne honnête. Rédiger des évaluations implique de promouvoir ou de renvoyer une personne – ce n’est pas anodin. Je ne pouvais pas choisir la manière de rédiger une évaluation en me basant sur mes propres intérêts. Ensuite, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Quand tu parles, tu tournes en rond, tu dépenses beaucoup de pensées et tu vis d’une manière épuisante, et tout cela pour protéger ta propre réputation et ton propre orgueil ! Dieu est-il satisfait des gens qui agissent ainsi ? Dieu déteste par-dessus tout les gens fourbes. Si tu veux t’affranchir de l’influence de Satan et atteindre le salut, alors tu dois accepter la vérité. Tu dois d’abord commencer par devenir une personne honnête. Sois franc, dis la vérité, ne sois pas contraint par tes sentiments, débarrasse-toi de tes faux-semblants et de ta ruse, parle et traite les problèmes avec des principes. Voilà une façon simple et heureuse de vivre, et tu seras alors en mesure de vivre devant Dieu » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Ce n’est qu’en pratiquant la vérité que l’on peut se défaire des chaînes d’un tempérament corrompu). Je ne pouvais plus me cacher ou me déguiser au nom de ma vanité et de mon statut. Je devais être une personne honnête et être pragmatique. Je devais écrire ce que je savais, sans me soucier de la façon dont les autres pouvaient me percevoir. En me comportant ainsi, je me sentirais sereine. J’ai donc rédigé une évaluation objective et juste de Sun Lan et je l’ai remise. J’ai ressenti un grand sentiment de soulagement et de libération dans mon cœur. Je ne me sentais plus comme avant, quand je dépensais des efforts mentaux incalculables pour tromper. Après avoir fait l’expérience de la douceur de parler sincèrement et de pratiquer la vérité, je me suis dit qu’à l’avenir, lorsque je serais confrontée à des questions qui impliquaient ma fierté, peu importe à quel point les choses devenaient gênantes, je devais être ouverte et transparente. Dieu soit loué !
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