Pourquoi je suis devenue aussi arrogante et suffisante
Par Mu Tong, Japon En 2017, l’Église m’a chargée d’abreuver les nouveaux venus. Comme j’étais compétente en langues étrangères et que...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Lettre à Ai Xi
Chère Ai Xi,
Ça fait longtemps que nous ne nous sommes pas vues ! Comment ça va ? Ça fait plus d’un an que nous ne nous sommes pas vues, mais j’ai l’impression que ce qui s’est passé quand nous accomplissions notre devoir ensemble est encore frais dans mon esprit. Parce que je n’ai pas accepté la vérité, je t’ai blessée, et nous nous sommes éloignées l’une de l’autre. Chaque fois que j’y pense, j’éprouve des remords. J’ai vraiment envie de te dire « je suis désolée ». Je t’écris cette lettre pour te faire part de mes réflexions et de ma compréhension.
À l’époque, nous étions responsables du travail d’abreuvement. Comme je venais de commencer, je ne connaissais pas grand-chose à ce devoir et tu m’as souvent aidée. Quand tu voyais que je n’avais pas fait les choses correctement, tu me donnais des conseils et des rappels. Je savais que tu m’aidais en faisant ça. Mais au fur et à mesure que tu me faisais remarquer davantage de choses, je me suis sentie mal à l’aise. Une fois, les personnes chargées du devoir d’abreuvement ne travaillaient pas correctement ensemble et j’ai donc dû écrire une lettre pour résoudre la situation. Je ressentais un certain mépris à leur égard, et je les ai réprimandées sur un ton interrogatif. En voyant ça, tu m’as demandé quel avait été mon état d’esprit quand j’avais écrit la lettre, et tu as souligné mes problèmes avec franchise. Tu as dit que ce n’était pas juste d’écrire une lettre de cette façon, que j’agissais de manière supérieure et que ça pouvait facilement amener les gens à se sentir contraints. Tu m’as dit de réfléchir sur moi-même et de rectifier ma lettre. Même si je me suis rendu compte moi aussi que je révélais un tempérament arrogant, j’ai continué à raisonner contre ce fait dans mon cœur, en me disant : « Comment se fait-il qu’à chaque fois que j’écris une lettre, tu y trouves quelque chose à redire ? Tu me donnes une mauvaise image en parlant comme ça, comme si je n’étais pas capable de résoudre un problème aussi simple. Qu’est-ce que les autres vont penser de moi s’ils l’apprennent ? » J’étais incapable de l’accepter dans mon cœur et j’ai commencé à entretenir des préjugés à ton égard. Je me suis également dit qu’à l’avenir, quand je trouverais un problème te concernant, je le soulignerais également, afin que tu ne t’imagines pas que l’on puisse me malmener. Un jour, une personne chargée de la protection des livres des paroles de Dieu s’est montrée irresponsable et a adopté une attitude laxiste. Tu lui as écrit une lettre, dans laquelle tu as échangé sur la nature et les conséquences de ce genre d’actions et les a disséquées, en employant un langage plutôt sévère. Je me suis saisie de cette affaire et j’ai dit que la façon dont tu avais écrit n’était pas juste, que tu te comportais de manière supérieure et que tu réprimandais les gens, et qu’échanger de cette façon rendait les choses difficiles à accepter pour eux. Tu as échangé avec moi sur les circonstances dans lesquelles on pouvait émonder les autres, les circonstances dans lesquelles on pouvait échanger avec les autres et les aider, et tu as dit que cette personne comprenait tout, qu’elle était simplement irresponsable et que dans de telles circonstances, on pouvait l’émonder. Je savais que ce que tu disais était juste et bénéfique au travail, mais mon cœur ne l’acceptait pas. J’avais le sentiment que tout ce que tu disais était juste et que tout ce que je faisais était incorrect, et que tu étais toujours en train de me critiquer. Il m’a semblé que je devais me montrer plus attentive à l’avenir pour éviter de révéler la moindre corruption ou de dire quoi que ce soit de faux, afin que tu ne m’exposes et que tu ne me mettes pas dans l’embarras. À partir de ce moment-là, je suis devenue hésitante et réservée dans mon devoir et je n’ai pas ressenti la moindre once de soulagement. Je me sentais très lasse en moi-même. Normalement, quand tu me voyais faire mon devoir de manière superficielle, tu me le faisais remarquer. Et quand j’avais du travail en retard que je n’avais pas traité en temps voulu, tu disais que j’étais paresseuse et avide de confort, que je ne portais pas le fardeau de mon devoir. Je savais que tu parlais de mes problèmes, mais à chaque fois, mon cœur s’emballait et j’avais le sentiment que tu exposais toujours mes problèmes et que tu parlais de manière trop directe, sans faire preuve de tact et sans tenir compte de ma fierté et de mes sentiments, que tu me mettais au pied du mur. Je ne parvenais pas à l’accepter dans mon cœur. Tout ce que je pouvais faire, c’était me dépêcher de faire mon devoir avec un sentiment d‘impuissance et de résistance, pour éviter que tu me fasses encore remarquer mes problèmes. Comme je n’avais pas cherché la vérité ni réfléchi sur moi-même, les problèmes dans mon devoir n’étaient jamais résolus.
Plus tard, il y a eu une fois où j’ai écrit une lettre pour communiquer avec les personnes chargées de l’abreuvement à propos de certains écarts à corriger dans le travail. En écrivant, je me suis rendu compte que je n’exprimais pas les choses clairement, mais j’avais la flemme de rectifier ma lettre. Quand tu as vu ma lettre, tu m’as à nouveau fait remarquer mes problèmes, en disant que je n’avais pas expliqué les choses clairement, que tu ne parvenais pas à savoir quel problème je voulais résoudre. Tu m’as demandé d’y réfléchir attentivement et de ne pas me montrer superficielle, et tu as échangé avec moi en détail sur la façon de rédiger cette lettre. J’ai de nouveau ressenti de la résistance dans mon cœur et je me suis dit : « Pourquoi es-tu toujours en train de relever mes défauts et de me compliquer les choses ? Je n’ai jamais eu autant de problèmes quand j’écrivais des lettres auparavant, alors comment se fait-il que tu y trouves autant de défauts ? Si le dirigeant ou les frères et sœurs l’apprennent, que penseront-ils de moi ? Vont-ils penser que je ne peux même pas résoudre de si petits problèmes et que c’est une erreur de m’avoir choisie comme responsable du travail d’abreuvement ? Je ne sais plus comment collaborer à ce travail. Tu es toujours en train d’exposer mes lacunes et tu as une piètre opinion de moi. Alors vas-y, fais-le toi-même, et tu peux aussi écrire cette lettre toi-même. Je me sens tellement contrainte en travaillant avec toi ! ». Plus j’y pensais, plus je me sentais contrariée, et j’ai même songé à me venger de toi, « Si les choses ne fonctionnent pas, j’écrirai une lettre au dirigeant pour lui signaler tes problèmes et lui proposerai de démissionner. Comme ça, le dirigeant saura que ce n’est pas moi qui ne fais pas le travail, mais que c’est le fait que tu es trop arrogante qui me rend réticente à coopérer, et le dirigeant va assurément t’émonder. Si je pars et que le travail en est affecté, ce sera ta transgression, et tu ressentiras de la culpabilité et des remords. Voilà ce que tu gagneras à toujours souligner mes problèmes ! ». Je savais que je ne devais pas faire ça, car c’était manquer d’humanité, mais je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir des préjugés à ton égard. Lors de réunions, j’ai parlé de ce que j’avais révélé récemment, mais comme je ne me connaissais pas, il y avait des plaintes et des reproches derrière tout ce que je disais, de sorte que tu t’es sentie contrainte. J’ai senti que tu étais très prudente en m’adressant la parole après ça, que tu étais inquiète à l’idée de signaler mes problèmes au cas où je ne l’accepterais pas, tu as donc fait de ton mieux pour faire preuve de tact en échangeant avec moi. Toutefois, comme je ne me connaissais pas, quand tu as de nouveau évoqué mes problèmes, je me suis tout de suite refermée sur moi-même et je t’ai ignorée. Une fois, je ne t’ai pas parlé pendant plus d’une journée, ce qui a causé des retards dans le travail sur lequel on devait communiquer. Je me sentais très oppressée et en souffrance et je suis allée pleurer dans les toilettes. Je t’ai vu aller dans une autre pièce avec un ordinateur pour travailler et j’ai su que tu étais toi aussi dans un mauvais état. Les termes « violence psychologique » me sont venus à l’esprit à ce moment-là, et j’ai senti que c’était comme ça que je me comportais, en te faisant souffrir. Mais j’étais incapable de me débarrasser de l’état dans lequel je me trouvais, et j’ai pleuré en priant Dieu, désireuse de corriger cet état.
J’ai lu quelques paroles de Dieu à ce moment-là, et j’y ai trouvé un passage qui m’a émue. Dieu dit : « Certains disent : “Avant d’être émondé, j’avais l’impression d’avoir un chemin à suivre, mais après avoir été émondé, je ne sais pas quoi faire.” Pourquoi ne savent-ils pas quoi faire après avoir été émondés ? Quelle est la raison ? (Lorsqu’ils sont confrontés à l’émondage, ils n’acceptent pas la vérité et n’essayent pas de se connaître eux-mêmes. Ils nourrissent des notions et ne cherchent pas la vérité pour les résoudre. Cela les laisse sans chemin. Au lieu de trouver les causes en eux-mêmes, ils prétendent l’inverse : que c’est le fait d’être émondés qui leur a fait perdre leur chemin.) N’est-ce pas de la récrimination ? Cela revient à dire : “Ce que j’ai fait était en accord avec les principes, mais le fait que tu m’émondes montre clairement que tu ne me laisses pas gérer les choses selon les principes. Alors, comment suis-je supposé pratiquer à l’avenir ?” C’est ce que veulent dire les gens qui disent de telles choses. Acceptent-ils d’être émondés ? Acceptent-ils le fait qu’ils ont commis des erreurs ? (Non.) Cette affirmation ne veut-elle pas en fait dire qu’ils savent commettre des méfaits imprudemment, mais que lorsqu’ils sont émondés et qu’on leur demande d’agir conformément aux principes, ils ne savent que faire et deviennent confus ? (Si.) Alors, de quelle manière faisaient-ils les choses auparavant ? Lorsque quelqu’un est confronté au fait d’être émondé, n’est-ce pas parce qu’il n’agissait pas conformément aux principes ? (Si.) Ils commettent des méfaits imprudemment, ne cherchent pas la vérité et ne font pas les choses conformément aux principes ou aux règlements de la maison de Dieu, alors ils reçoivent l’émondage. L’objectif de l’émondage est de permettre aux gens de chercher la vérité et d’agir conformément aux principes, afin de les empêcher de commettre à nouveau des méfaits imprudemment. Toutefois, lorsqu’ils sont confrontés au fait d’être émondés, ces gens disent qu’ils ne savent plus comment agir ou pratiquer ; ces paroles contiennent-elles la moindre parcelle de connaissance de soi ? (Non.) Ils n’ont pas d’intention de se connaître eux-mêmes ou de chercher la vérité. Au lieu de cela, ils laissent entendre : “Je faisais très bien mes devoirs avant, mais depuis que tu m’as émondé, tu as jeté le trouble dans mes pensées et embrouillé ma façon d’aborder mes devoirs. À présent, je ne pense pas normalement, et je ne suis plus aussi résolu et audacieux qu’avant, je ne suis plus aussi courageux, et c’est entièrement dû au fait d’avoir été émondé. Depuis que j’ai été émondé, mon cœur a été profondément blessé. Il me faut donc dire aux autres d’être très prudents en faisant leurs devoirs. Ils ne doivent pas révéler leurs défauts ou trébucher ; s’ils trébuchent, ils seront émondés, puis ils deviendront craintifs et perdront le dynamisme qu’ils avaient auparavant. Leur esprit audacieux sera significativement affaibli, et leur courage plein de jeunesse ainsi que leur désir de se donner à fond disparaîtront, les laissant docilement timorés, effrayés par leur propre ombre, et avec l’impression que rien de ce qu’ils font n’est juste. Ils ne sentiront plus la présence de Dieu dans leur cœur et s’éloigneront de plus en plus de Lui. Même les prières et les cris adressés à Dieu sembleront rester sans réponse. Ils auront le sentiment de ne plus avoir la même vitalité, la même exubérance et la même amabilité, et commenceront même à se mépriser eux-mêmes.” Est-ce que ce sont là les paroles sincères prononcées par une personne qui a de l’expérience ? Sont-elles authentiques ? Est-ce qu’elles édifient les gens ou leur sont profitables ? N’est-ce pas simplement déformer les faits ? (Oui, ces paroles sont tout à fait absurdes.) » (La Parole, vol. 5 : Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers, Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers (17)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai soudain songé à mes propres comportement et révélations. J’avais toujours pensé que c’était moi qui étais contrainte. Je me suis dit que je n’avais jamais eu autant de problèmes pour écrire des lettres auparavant, mais que là, avec toi, il semblait y avoir beaucoup de problèmes, et je ne savais plus comment travailler en coopération concernant ce travail ; en fait, toutes ces pensées étaient déformées. Quand j’écrivais des lettres, je révélais un tempérament arrogant et je contraignais les gens. Je résolvais les problèmes de manière superficielle et j’étais généralement paresseuse et n’avais pas de fardeau dans mon devoir. En me signalant ces problèmes, tu prenais la responsabilité du travail et tu m’aidais, en me permettant de connaître mes propres problèmes et d’y réfléchir en temps voulu, de faire mon devoir conformément aux vérités-principes et de parvenir à des résultats dans la résolution des problèmes. Mais je ne l’acceptais pas et au lieu de ça, je me disais que le fait que tu soulignes mes problèmes pour me faire abandonner mes façons d’agir erronées me donnait la sensation d’être contrainte, et j’ai commencé à être hésitante dans mon devoir. Je ne pouvais plus écrire des lettres aussi bien qu’avant et je ne savais pas comment travailler avec toi dans mon devoir. Le sous-entendu était que la façon dont je faisais les choses était conforme à la vérité, mais que tes conseils étaient erronés et que si tu m’avais laissé faire mon devoir comme je l’entendais, alors je l’aurais très bien fait. Je voyais tes conseils appropriés comme des choses négatives et mes façons d’agir erronées comme étant correctes. Je n’acceptais vraiment pas la vérité, je ne pouvais pas distinguer le positif du négatif et je restais sourde à toute raison !
À cette époque, je n’avais que cette compréhension superficielle. Tu te rappelles ? Nous nous sommes par la suite ouvertes l’une à l’autre et avons parlé de nos états. Tu as dit que tu ne m’avais pas méprisée et que tu ne cherchais pas à me compliquer la vie, et tu as dit que tu ne savais pas comment communiquer avec moi quand je t’ignorais, que tu trouvais que c’était vraiment difficile de faire le devoir de cette façon et même que tu avais envie de cesser de faire ton devoir ici. Laisse-moi te dire que, quand je t’ai entendue dire ça, je me suis sentie complètement abattue intérieurement. Je ne m’étais jamais rendu compte que je t’avais fait te sentir aussi contrainte et blessée. J’ai toujours pensé que mon humanité était bonne, et que même si je révélais une certaine corruption, je ne contraindrais ni ne blesserais personne. Mais il en était ainsi, et il fallait que je m’y confronte et que je réfléchisse sur moi-même. J’ai été réaffectée à un autre devoir pendant ces deux jours et je suis partie avec un sentiment de culpabilité et de regret.
Plus tard, j’ai cherché et réfléchi pour comprendre mes propres problèmes. J’ai lu ces paroles de Dieu : « Avec les antéchrists, quand il s’agit pour eux d’être émondés, ils sont incapables de l’accepter. Il existe des raisons pour lesquelles ils ne peuvent pas l’accepter, la principale étant que, lorsqu’ils sont émondés, ils ont le sentiment d’avoir perdu la face, d’avoir perdu leur réputation, leur statut et leur dignité, de ne plus pouvoir relever la tête devant tout le monde. Ces choses ont un effet dans leurs cœurs : ils trouvent difficile d’accepter d’être émondés, et ils ont le sentiment que quiconque les émonde en a après eux et est leur ennemi. Telle est la mentalité des antéchrists lorsqu’ils sont émondés. De cela, vous pouvez être sûr. C’est avec l’émondage, en fait, que se révèlent le plus le fait que quelqu’un puisse ou non accepter la vérité et le fait qu’il puisse vraiment se soumettre ou non. Que les antéchrists soient si résistants à l’émondage suffit à montrer qu’ils éprouvent de l’aversion pour la vérité et qu’ils ne l’acceptent pas le moins du monde. Voilà donc le nœud du problème. Leur fierté n’est pas le nœud du problème : c’est la non-acceptation de la vérité qui est l’essence du problème. Lorsqu’ils sont émondés, les antéchrists exigent que cela soit fait avec un ton et une attitude qui soient agréables. Si celui qui l’émonde adopte un ton sérieux et une attitude sévère, un antéchrist résistera, se rebellera et sera furieux à cause de la honte. Il ne se souciera pas de savoir si ce qui est exposé en lui est juste, s’il s’agit ou non d’un fait, et il ne cherchera pas à savoir où il s’est trompé ni s’il doit accepter la vérité. Il ne se souciera que de savoir si sa vanité et son orgueil en ont pris un coup. Les antéchrists sont totalement incapables de reconnaître que l’émondage est utile aux gens, aimant et salvateur, et bénéfique. Ils ne peuvent même pas voir cela. N’est-ce pas être un peu aveugle et déraisonnable ? Alors, face à l’émondage, quel tempérament un antéchrist révèle-t-il ? Sans aucun doute, ce tempérament, c’est l’aversion pour la vérité, ainsi que l’arrogance et l’intransigeance. Cela révèle que la nature-essence des antéchrists est l’aversion pour la vérité ainsi que la haine de la vérité » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 9 (Partie VIII)). À partir de ce que les paroles de Dieu exposaient, j’ai vu que quand les antéchrists perdent la face du fait d’être guidés, aidés et émondés par quelqu’un d’autre, même s’ils savent que ce que l’autre personne expose est la vérité, ils ne réfléchissent jamais à leurs propres problèmes et croient que c’est l’autre qui leur complique la vie, et ils ressentent donc de la haine, de l’aversion, et ils veulent même se venger de cette personne. J’ai vu que la nature d’un antéchrist a de l’aversion et de la haine pour la vérité. En lisant les paroles de Dieu, je suis parvenue à une certaine compréhension du tempérament corrompu que je révélais. J’ai réfléchi à la façon dont j’étais superficielle et dont je n’avais pas de fardeau pour mon devoir, à mon manque d’attention dans la rédaction des lettres et à mon absence de clarté dans l’expression des choses. Le fait que tu me fasses remarquer les problèmes devait me permettre de les corriger rapidement, et ç’aurait été bénéfique pour le travail, mais je me disais simplement que tu me compliquais la vie et, pour sauver la face, j’ai refusé de l’accepter. Je te faisais porter le chapeau, en voulant te dénigrer auprès du dirigeant, et je t’ai même ignorée, en te blessant et en retardant l’avancement du travail. Ton aide a toujours été une chose positive et conforme à la vérité et j’aurais dû l’accepter et apporter des corrections rapides. Au lieu de ça, j’ai considéré ton aide bienveillante comme un dénigrement, et ça a même fait naître en moi de l’aversion, de la haine et un désir de vengeance. En apparence, il semblait que je n’acceptais pas tes conseils, mais en substance, je n’acceptais pas les choses positives ou la vérité, je m’opposais à la vérité, et ça montrait que je n’étais fondamentalement pas quelqu’un qui se soumettait à la vérité. Je n’aimais pas que tu exposes ma véritable situation. J’aimais être estimée et louée. J’ai vu que dans ma nature, j’étais vaniteuse, malveillante, que je n’aimais pas la vérité, et que j’empruntais le chemin d’un antéchrist. J’étais dans une telle souffrance, en vivant dans mon tempérament corrompu, et je ne méritais rien de plus ! J’ai pensé aux paroles de Dieu : « Lorsqu’une personne a de l’aversion pour la vérité, cela rend sans aucun doute impossible pour elle d’atteindre le salut. Ce n’est pas quelque chose qui peut être pardonné ou non, ce n’est pas une forme de comportement, ou quelque chose qui se révèle brièvement en elle. C’est la nature-essence de la personne, et Dieu est profondément dégoûté par de telles personnes » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Comprendre la vérité est particulièrement essentiel pour accomplir convenablement son devoir). Je sentais que Dieu détestait et haïssait ceux qui avaient de l’aversion pour la vérité. Je savais bien que le fait que tu soulignes mes problèmes était conforme aux faits et aux vérités-principes, mais je ne l’acceptais pas, et au lieu de ça, je suranalysais les choses, exactement comme une incrédule. En faisant ça, ma corruption ne pouvait pas être résolue et je n’avais aucun moyen de faire mon devoir conformément aux principes. Tout ce que je faisais, c’était provoquer des pertes, créer des obstacles au travail de l’Église et amener Dieu à me détester.
J’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai acquis une certaine compréhension des poisons sataniques qui se cachent derrière le fait de ne pas accepter d’être émondé. Dieu dit : « Que dois-tu faire si quelqu’un ne cesse de critiquer tes défauts ? Tu pourrais lui dire : “Si tu me critiques, je te critiquerai, moi aussi !” Est-ce bien, de se prendre mutuellement pour cible de cette manière ? Est-ce ainsi que les gens devraient se comporter, agir et traiter les autres ? (Non.) Les gens savent peut-être qu’ils ne doivent pas faire cela pour des raisons de doctrine, mais beaucoup d’entre eux ne parviennent toujours pas à surmonter de telles tentations et de tels pièges. Il se peut que tu n’aies entendu personne critiquer tes défauts, te prendre pour cible ou te juger derrière ton dos, mais lorsque tu entendras effectivement quelqu’un dire de telles choses, tu ne pourras pas le supporter. Ton cœur battra plus vite et ton impétuosité se manifestera. Tu lui diras : “Comment oses-tu me critiquer ? Si tu n’es pas gentil avec moi, je te ferai du tort ! Si tu critiques mes défauts, ne pense pas que je ne critiquerai pas tes points faibles !” D’autres déclarent : “Il y a un dicton qui dit : ‘Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts’, donc je ne critiquerai pas tes défauts, mais je trouverai d’autres moyens de m’occuper de toi et de te remettre à ta place. On verra qui est le plus fort !” Ces méthodes sont-elles bonnes, ou non ? (Non.) La première réaction de pratiquement tous les gens, lorsqu’ils découvrent que quelqu’un les a critiqués, les a jugés ou a dit quelque chose de mal à leur sujet derrière leur dos, est la colère. Ils sont pleins de rage, incapables de manger ou de dormir, et s’ils parviennent à dormir, ils jureront même dans leurs rêves ! Leur impétuosité ne connaît aucune limite ! C’est une affaire vraiment insignifiante, pourtant ils ne peuvent pas passer à autre chose. Tel est l’impact que l’impétuosité a sur les gens, les résultats malfaisants produits par des tempéraments corrompus. Quand un tempérament corrompu devient la vie de quelqu’un, comment se manifeste-t-il principalement ? Il se manifeste ainsi : lorsque la personne rencontre quelque chose qu’elle trouve désagréable, cette chose affecte d’abord ses sentiments, puis l’impétuosité de cette personne éclate. Alors, la personne vivra dans son impétuosité et considérera l’affaire par le biais de son tempérament corrompu. Les vues philosophiques de Satan surgiront dans son cœur et cette personne commencera à réfléchir aux moyens qu’elle va utiliser pour se venger, mettant ainsi à nu son tempérament corrompu. Les idées et les points de vue des gens sur la façon de s’occuper de problèmes comme celui-ci, les moyens qu’ils trouvent, et même leurs sentiments et leur impétuosité, proviennent tous de tempéraments corrompus. Quels sont donc les tempéraments corrompus qui se présentent dans ce cas ? Le premier est certainement la méchanceté, suivi de l’arrogance, de la malhonnêteté, de la malfaisance, de l’intransigeance, de l’aversion pour la vérité et de la haine de la vérité. Parmi ces tempéraments corrompus, l’arrogance est peut-être le moins influent. Quels sont donc les tempéraments corrompus les plus à même de dominer les sentiments et les pensées d’une personne et de déterminer la manière dont celle-ci va finalement s’occuper de cette affaire ? Ce sont la malveillance, l’intransigeance, l’aversion pour la vérité et la haine de la vérité. Ces tempéraments corrompus maintiennent une personne sous leur emprise mortelle et il est évident que cette personne vit dans le filet de Satan. Comment le filet de Satan apparaît-il ? Est-ce que ce ne sont pas les tempéraments corrompus qui l’engendrent ? Tes tempéraments corrompus ont tressé toutes sortes de filets sataniques pour toi. Par exemple, lorsque tu apprends que quelqu’un fait quelque chose comme te juger, te maudire ou critiquer tes défauts derrière ton dos, tu laisses les philosophies sataniques et les tempéraments corrompus être ta vie et dominer tes pensées, tes opinions et tes sentiments, ce qui engendre une série d’actes. Ces actes corrompus sont principalement le résultat de ta nature et de ton tempérament sataniques. Quelle que soit la situation dans laquelle tu te trouves, tant que tu es lié, contrôlé et dominé par le tempérament corrompu de Satan, tout ce que tu vis, tout ce que tu révèles et tout ce que tu affiches – ou bien tes sentiments, tes pensées et tes opinions, ainsi que tes façons de faire les choses – tout cela est satanique. Toutes ces choses enfreignent la vérité et sont hostiles aux paroles de Dieu et à la vérité. Plus tu t’éloignes de la parole de Dieu et de la vérité, plus tu es contrôlé et piégé par le filet de Satan. Si, au lieu de cela, tu peux te libérer des entraves et du contrôle de tes tempéraments corrompus et te rebeller contre ces tempéraments corrompus, te présenter devant Dieu, agir et résoudre les problèmes avec les méthodes et les principes dont les paroles de Dieu te parlent, alors tu te libéreras progressivement du filet de Satan. Après t’être libéré, ce que tu vivras alors ne sera plus la même vieille ressemblance d’une personne satanique contrôlée par ses tempéraments corrompus, mais celle d’une personne nouvelle, qui fait des paroles de Dieu sa vie. Toute ta façon de vivre changera. Mais si tu cèdes aux sentiments, pensées, points de vue et pratiques que t’inspirent tes tempéraments sataniques, alors tu adhéreras à une litanie de philosophies et de techniques sataniques variées, telles que : “Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts”, “Pour un gentleman, il est toujours temps de prendre sa revanche”, “Mieux vaut être un vrai vaurien qu’un faux gentleman” et “Celui qui ne cherche pas à se venger n’est pas un homme”. Ces dernières seront dans ton cœur, dictant tes actes. Si tu prends ces philosophies sataniques comme base de tes actes, le caractère de tes actes changera, et tu feras le mal et résisteras à Dieu. Si tu prends ces pensées et points de vue négatifs comme base de tes actes, il est évident que tu t’es beaucoup éloigné des enseignements et des paroles de Dieu, que tu es tombé dans le filet de Satan et que tu ne peux pas t’en dégager » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité I, En quoi consiste la poursuite de la vérité (8)). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que Satan endoctrine les gens avec des philosophies sataniques telles que : « Si vous frappez les autres, ne les frappez pas au visage ; si vous critiquez les autres, ne critiquez pas leurs défauts », « Si tu n’es pas gentil, je ne serai pas équitable » et « Je vais te rendre la monnaie de ta pièce ». Ces doctrines incitent les gens à agir de façon impétueuse, elles disent que quiconque nuit à notre réputation et à nos intérêts doit recevoir des représailles équivalentes. Ça pousse les gens à se battre, à s’attaquer et à se faire du mal les uns aux autres. Les gens deviennent ainsi de plus en plus méchants et sinistres, et ils perdent leur humanité normale. J’ai vu que je vivais constamment selon ces poisons sataniques. Quand j’entendais quiconque exposer ma corruption et mes problèmes, je ne l’acceptais pas avec humilité, mais je révélais au contraire de l’impétuosité et je traitais ces personnes avec froideur et hostilité. Tout comme à ces moments-là, j’ai considéré tes conseils et ton aide comme quelque chose de négatif, en croyant que tu exposais mes lacunes et que tu nuisais à ma réputation et à mes intérêts, alors j’ai fait volte-face et je me suis focalisée sur tes problèmes, et j’ai dit que ton émondage, qui était conforme aux principes, était un comportement supérieur de ta part ; j’ai même voulu que le dirigeant t’émonde, afin de te faire ressentir des remords et de la culpabilité en démissionnant de mon poste. Je me suis fait passer pour une victime et je t’ai intentionnellement ignorée et ostracisée. Mon but était de faire en sorte que tu cesses de parler de mes problèmes, et de protéger ainsi ma réputation et mes intérêts. J’étais vraiment comme un ours en colère que personne n’ose titiller, sans une once d’humanité ou de raison ! En soulignant mes problèmes, tu devais même regarder l’expression que j’avais et te sentir contrainte par moi, avec l’envie de fuir cette situation et de ne plus faire ton devoir, et en fin de compte, le travail a été retardé. En quoi mes agissements avaient-ils quoi que ce soit d’humain ? En agissant comme ça, je faisais le mal et je résistais à Dieu ! Je me suis sentie dégoûtée par mes propres comportements et mon cœur s’est rempli de haine de moi-même. Je vivais selon des poisons sataniques et j’étais devenue arrogante, méchante et égoïste. Non seulement je t’avais fait du mal, mais j’avais commis des transgressions et je m’étais causée des regrets ; je nuisais vraiment à moi-même et aux autres ! J’ai songé à la façon dont certains antéchrists réagissent lorsque des frères et sœurs qui poursuivent la vérité avec un sens de la justice leur font des suggestions et exposent les choses qu’ils font qui sont en contradiction avec les vérités-principes, ce qui affecte leur réputation et leur statut. Ils ressentent de l’aversion et de la résistance et sont poussés à la colère par la honte. Ils déforment les faits et rejettent la responsabilité sur les frères et sœurs, en réprimant et en tourmentant ceux qui ont un sens de la justice, afin de consolider leur position. Leurs actions nuisent aux frères et sœurs, interrompent, perturbent et détruisent le travail de l’Église, et offensent le tempérament de Dieu, ce qui entraîne leur expulsion de l’Église. La nature de mon comportement n’était-elle pas semblable ? J’ai vu en quoi ma conduite et mon comportement sataniques provoquaient vraiment la détestation de Dieu à mon égard, et que si je ne me repentais pas, je finirais tôt ou tard par faire des choses malfaisantes qui détruisent et perturbent le travail de l’Église, tout comme les antéchrists et les personnes malfaisantes, et que j’offenserais ainsi le tempérament de Dieu et serais éliminée par Lui ; j’étais vraiment en grand danger ! En me disant ça, j’ai eu peur, j’ai été envahie par le remords, et je me suis sentie prête à me présenter devant Dieu pour me repentir et me confesser.
J’ai alors commencé à chercher le chemin de la pratique et j’ai vu un passage des paroles de Dieu : « Que dois-tu faire si tu souhaites te tenir à bonne distance du chemin d’un antéchrist ? Tu dois prendre l’initiative de te rapprocher des gens qui aiment la vérité, des gens droits, te rapprocher des gens qui peuvent souligner tes problèmes, qui peuvent dire la vérité et te faire des reproches quand ils découvrent ton problème, et surtout des gens qui peuvent t’émonder quand ils découvrent un problème – ce sont les gens qui te sont les plus bénéfiques, et tu dois les chérir. Si tu exclus et mets à l’index ces bonnes personnes, tu perdras la protection de Dieu et le désastre s’abattra progressivement sur toi. En te rapprochant des bonnes personnes et des personnes qui comprennent la vérité, tu auras la paix et la joie, et tu pourras tenir le désastre à distance ; en te rapprochant des personnes viles, des personnes éhontées et des personnes qui te flattent, tu te mettras en danger. Non seulement tu te laisseras facilement duper et tromper, mais le malheur pourra te frapper à tout moment. Tu dois connaître le type de personne qui peut t’être le plus bénéfique, ce sont ces personnes capables de t’avertir lorsque tu fais quelque chose de mal, ou lorsque tu t’exaltes et que tu te rends témoignage à toi-même et que tu induis les autres en erreur. Ce sont ces personnes-là qui peuvent t’être les plus bénéfiques. Se rapprocher d’elles est le bon chemin à suivre » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 4 : Ils font leur propre éloge et témoignent à leur propre sujet). En lisant les paroles de Dieu, j’ai trouvé le chemin de la pratique. Il fallait que je me rapproche de ceux qui me guidaient et m’aidaient, et pas que je les évite. J’ai songé au fait que tu n’avais pas d’intentions malfaisantes lorsque tu soulignais mes problèmes. Même si tu parlais parfois avec franchise, ce que tu disais était factuel et conforme aux principes, je n’aurais donc pas dû réagir de manière impétueuse. Même si j’étais incapable de l’accepter ou de le comprendre à l’époque, j’aurais dû avoir un cœur qui cherche la vérité, réfléchir à ce qui serait bénéfique pour le travail de la maison de Dieu et le faire, réduire le plus possible les problèmes et les écarts. J’ai réfléchi au fait que je n’avais pas de sens du fardeau dans mon devoir, à ma tendance à paraître supérieure lorsque j’écrivais des lettres, à ma façon de ne pas tenir compte des difficultés réelles et des sentiments de l’autre personne, et à combien j’étais superficielle et inattentive. En soulignant mes problèmes et en exposant mes tempéraments corrompus, c’est toi qui m’a aidée à réfléchir sur moi-même, et il m’aurait été utile de faire mon devoir de manière sérieuse et attentive et d’obtenir des résultats. J’aurais dû te remercier et accepter davantage ta supervision et ton aide. Le fait que tu soulignes mes problèmes était positif et ça m’a restreint, sans ça, j’aurais vécu dans mes tempéraments corrompus sans le savoir, j’aurais continué à faire mon devoir de manière superficielle et sans sens du fardeau, en causant des pertes pour le travail, et je serais devenue une personne indigne de confiance et détestée de Dieu. En prenant conscience de ça, j’ai consciemment changé de cap et j’ai commencé à avoir un plus grand sens du fardeau qu’auparavant dans mon devoir. Quand des problèmes survenaient, je m’efforçais de les aborder sans m’appuyer sur mon impétuosité ni sur mon tempérament arrogant, et je réfléchissais à la manière d’échanger avec les autres pour parvenir à des résultats. Je me sentais bien plus stable dans mon cœur en pratiquant de cette façon. J’ai aussi réellement senti qu’en étant capable de renoncer à la réputation, d’accepter la vérité et de s’y soumettre, on peut réellement avoir de l’intégrité, de la dignité, de l’humanité et de la raison. Si l’on a de l’aversion pour la vérité, non seulement on n’a aucune compréhension de la vérité, mais on ne peut pas non plus faire son devoir correctement et on est détesté par Dieu. Se conduire de la sorte, c’est se rendre inférieur et sans valeur.
Plus tard, quand je travaillais de concert avec d’autres frères et sœurs dans le cadre de mon devoir, je révélais encore ces tempéraments corrompus, et alors je priais consciemment Dieu, en m’abandonnant, j’acceptais les conseils et l’aide des autres et je pratiquais l’entrée à travers cela. Peu à peu, ces tempéraments sont devenus moins graves qu’ils ne l’avaient été auparavant. J’ai senti que le fait d’adopter les suggestions d’autres personnes était en effet d’une grande aide et que c’était bénéfique pour le travail. J’avais le sentiment d’être stable et libre dans mon cœur, et que c’était une excellente façon de pratiquer. En repensant à toutes ces choses, je me sens tellement reconnaissante envers Dieu. Si Dieu ne m’avait pas révélée de cette manière, sans le jugement et la révélation de Ses paroles, je n’aurais tout simplement eu aucune connaissance de moi-même et j’aurais été incapable de voir que j’avais été à ce point corrompue par Satan que mon tempérament était devenu méchant et avec une aversion pour la vérité. Quand mes intérêts étaient atteints, j’évacuais ma colère dans mon devoir, en ne faisant preuve d’aucune soumission à Dieu et en vivant sans aucune ressemblance humaine. J’étais vraiment immonde et corrompue avec une mauvaise humanité, pourtant Dieu ne m’a pas éliminée pour ça, mais au lieu de ça, Il m’a donné une chance de réfléchir et de me repentir afin que je sache comment me conduire. Il m’a amené petit à petit à comprendre et à accepter la vérité, et je rends grâce à Dieu du fond du cœur. Même si je suis encore très corrompue et que j’ai de nombreuses lacunes, je suis prête à poursuivre la vérité et à résoudre ma corruption. Je rends grâce à Dieu pour Sa direction et Son salut !
En tout cas, c’est tout ce que je voulais dire pour le moment. Si tu penses qu’il y a quelque chose que je n’ai pas compris, n’hésite pas à me le faire savoir, car ça me serait d’une grande aide.
Sincèrement,
Shi Jing
Le 19 septembre 2023
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