La seule manière de vivre comme une vraie personne
Par Xincheng, Chine Un jour, j’ai lu un roman d’un écrivain japonais à propos d’un vendeur qui réussit à vendre un sérum de pousse des...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Par Xinche, Corée du Sud
Depuis l’enfance, j’ai vu mes parents comme des modèles en matière de foi. Ils semblaient vraiment fervents et prêts à faire des sacrifices. Peu après avoir accepté Dieu Tout-Puissant, ma mère a quitté un très bon emploi pour faire un devoir à temps plein. Elle avait des compétences et des connaissances, et elle était prête à payer un prix, alors elle avait toujours des devoirs importants dans l’Église. Plus tard, parce que notre famille a été trahie par un Judas, mes parents et moi avons dû nous cacher pour ne pas être arrêtés par le PCC. Mes parents ont quand même continué à faire leurs devoirs. Comme ils avaient aussi un mode de vie très simple et un comportement qui semblait pieux et spirituel, j’entendais souvent des membres de l’Église dire qu’ils avaient une bonne humanité, qu’ils étaient de vrais croyants et qu’ils cherchaient la vérité. J’ai été séparée de mes parents à dix ans à cause de l’oppression du Parti. Même si je ne pouvais plus les voir, j’ai gardé une image très positive d’eux. Je les admirais vraiment. J’avais l’impression que leur foi en Dieu était immense, qu’ils devaient chercher la vérité et avoir une bonne humanité pour avoir fait tant de sacrifices et assumé des devoirs importants, et que Dieu devait les approuver. J’avais même l’impression qu’ils étaient des gens qui pouvaient être sauvés. J’étais très fière d’avoir de tels parents.
Plus tard, nous avons tous fui à l’étranger à cause de la persécution du Parti. Quand je suis entrée en contact avec eux, ensuite, j’ai vu qu’ils faisaient toujours des devoirs à l’étranger. Surtout, quand j’ai découvert que ma mère avait un certain nombre de responsabilités en tant que superviseuse, je l’ai admirée encore plus. Mes parents avaient été des croyants pendant toutes ces années, fait beaucoup de sacrifices, et ils avaient des devoirs importants. Je pensais qu’ils cherchaient la vérité, qu’ils avaient de la stature, et que je pourrais toujours leur demander de l’aide, à l’avenir, si je rencontrais des difficultés. C’était formidable. Parfois, on parlait de nos états.
Un jour, mon père a dit qu’il exécutait une tâche qui ne requérait aucune compétence technique particulière, à son avis, et qu’il avait toujours envie de changer de tâche. J’avais la même expérience, à cette époque, alors on a échangé et partagé des paroles de Dieu. Avec un peu de temps, en mangeant et buvant les paroles de Dieu et en cherchant la vérité, j’ai vu que je faisais la difficile avec mon devoir. Je voulais que mon devoir me mette en valeur et j’étais négligente si ce n’était pas le cas. C’était très égoïste et ça ne témoignait pas d’une vrai foi. J’en suis venue à me mépriser et j’ai réussi à sortir de cet état. Mais mon père était bloqué et n’arrivait pas à se motiver pour faire son devoir. J’en étais un peu troublée. Puisqu’il était croyant depuis plus de dix ans, il aurait dû avoir une certaine stature. Pourquoi ne pouvait-il pas résoudre le problème de vouloir choisir son devoir ? Je me suis aussi aperçue que quand je soumettais mes problèmes à mes parents, ils m’envoyaient des paroles de Dieu et me donnaient leur point de vue, mais que ça ne m’aidait pas réellement. J’ai commencé à avoir l’impression vague qu’ils ne comprenaient pas aussi bien la vérité que je l’avais imaginé. Plus tard, des frères et sœurs ont échangé à propos de l’écriture d’articles de témoignage. Comme mes parents étaient des croyants de longue date, j’ai pensé qu’ils avaient beaucoup d’expériences, surtout ma mère. Elle avait été opprimée par un antéchrist et expulsée de l’Église injustement, mais elle avait continué à prêcher l’Évangile. Après avoir été réintégrée, elle s’était entièrement consacrée à son devoir, quel qu’il ait été, et elle en avait changé plusieurs fois. Elle devait donc avoir beaucoup d’expérience. Je me suis dit qu’elle devait les mettre par écrit pour témoigner de Dieu. Je me suis mise à inciter de temps à autre ma mère à écrire un article, mais elle n’arrêtait pas de se dérober. Elle disait qu’elle voulait le faire, mais qu’elle était trop occupée par son devoir et qu’elle ne trouvait pas un moment de calme. J’ai insisté, mais elle n’a jamais rien écrit. Un jour, elle m’a dit qu’elle n’arrivait pas à organiser ses pensées quand elle voulait écrire et qu’elle ne savait pas par où commencer, alors elle voulait en discuter avec moi. J’ai été folle de joie. Je voulais vraiment qu’elle me raconte ses expériences. Mais j’ai été très surprise, quand elle a parlé de ce qu’il lui était arrivé et de la corruption qu’elle avait révélée, de découvrir qu’elle n’avait pas de vraie compréhension, qu’elle disait beaucoup de choses négatives et qu’elle se délimitait. Parler de ses expériences passées semblait très douloureux, comme si elle s’était juste soumise parce qu’elle n’avait pas le choix. Elle n’a pas parlé de ce qu’elle en avait tiré. Notre conversation m’a beaucoup déçue. Je me disais que si elle avait vraiment gagné quelque chose, même si ce qu’elle avait vécu était douloureux à l’époque, elle aurait appris à se comprendre et à comprendre Dieu en lisant les paroles de Dieu, en cherchant la vérité et en découvrant Sa volonté, et que ça aurait fini par lui apporter une vraie joie. Mais la manière dont elle parlait de ses expériences passées semblait très douloureuse et sa compréhension d’elle-même n’était pas concrète. Cela signifiait-il qu’elle manquait d’expérience concrète ? J’ai pris conscience qu’il n’était pas étonnant qu’elle soit aussi réticente à écrire un témoignage. C’était pour cacher ça qu’elle disait qu’elle n’avait pas le temps. C’était parce qu’elle n’avait pas atteint la vérité ni vraiment gagné quoi que ce soit qu’elle ne pouvait pas écrire de témoignage. Il était disposé à essayer d’écrire quelque chose, mais son article était plein de futilités et ne contenait pas grand-chose sur sa connaissance de lui-même ni ce qu’il avait gagné. Il n’était pas à la hauteur de ses années de foi. Je me suis souvenue que Dieu disait : « Que tu puisses être sauvé ne dépend pas de ton ancienneté ou de tes années de travail, et encore moins des qualifications que tu as accumulées. Cela dépend plutôt de ta recherche, si elle a porté des fruits ou non. Tu dois savoir que ceux qui sont sauvés sont les “arbres” qui portent des fruits, pas les arbres au feuillage luxuriant et aux fleurs abondantes qui ne produisent pourtant aucun fruit. Même si tu as passé de nombreuses années à errer dans les rues, qu’est-ce que cela importe ? Où est ton témoignage ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Pratique (7)). Ҫa m’a ouvert les yeux. C’est vrai. Quelles que soient l’ancienneté de quelqu’un et la quantité de travail et d’expériences qu’il a accumulées, s’il n’a rien tiré de ce qu’il a traversé, s’il n’a pas gagné la vérité ni porté témoignage, c’est qu’il manque de vie. Les personnes de ce genre ne peuvent pas être sauvées. Je ne peux pas décrire ce que j’ai ressenti quand ça m’est apparu clairement. L’image que j’avais de mes parents comme de gens qui comprenaient la vérité et avaient une stature s’est brisée pour la première fois. Je ne comprenais pas. Pourquoi n’avaient-ils pas gagné la vérité après toutes ces années de foi et tant de sacrifices ? Je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer en secret. Je les ai moins admirés après ça, mais je pensais toujours que, quoi qu’il en soit, après avoir tant donné pendant toutes ces années, ils avaient au moins une humanité décente et ils étaient de vrais croyants. S’ils pouvaient bien accomplir un devoir et commencer à chercher la vérité, ils pouvaient toujours être sauvés. Mais alors des choses qui m’ont fait changer d’avis sur eux se sont passées.
Un jour, j’ai appris que mon père avait été démis de son devoir parce qu’il était toujours négligent et paresseux et qu’il ne faisait pas du bon travail. Peu après, j’ai appris que ma mère avait aussi été renvoyée parce qu’elle avait peu d’humanité, qu’elle ne défendait pas les intérêts de l’Église, qu’elle était trop arrogante et qu’elle était perturbatrice dans son devoir. J’étais abasourdie et j’avais du mal à y croire. Comment cela avait-il pu se produire ? Ne pas être capable de faire un devoir ne revenait-il pas à être éliminé ? Avaient-ils une mauvaise humanité ? Tous ceux qui avaient connu mes parents auparavant disaient qu’ils avaient une bonne humanité, sinon comment auraient-ils pu renoncer à tant de choses ? J’étais vraiment bouleversée et toutes sortes d’inquiétudes faisaient surface. Je me demandais comment ils allaient et s’ils souffraient. Je me sentais de plus en plus sombre et déprimée. Je savais que ça avait dû être fait sur la base des principes de la vérité, que c’était juste, mais j’avais du mal à l’accepter. Mes parents avaient tant souffert, toujours pourchassés par le Parti communiste, et on avait été séparés si longtemps… J’espérais profondément qu’on serait réunis dans le royaume quand Dieu aurait achevé Son œuvre. Néanmoins, comment pouvait-on les avoir renvoyés si facilement alors qu’ils avaient tant travaillé et connu tant de hauts et de bas ? Ҫa me perturbait de plus en plus et je ne pouvais pas m’empêcher de pleurer. Pendant quelques jours, j’ai soupiré en permanence et je n’ai eu aucune énergie pour mon devoir. À chaque fois que j’y pensais, j’étais si bouleversée que je me sentais toute molle. Tout à coup, j’ai perdu toute motivation pour la recherche. Je savais que je n’étais pas dans un bon état et je me répétais : « Papa et maman ont été renvoyés pour une bonne raison. Dieu est juste. » Mais je ne pouvais pas l’accepter dans mon cœur et j’essayais de débattre avec Dieu. Il y avait des frères et sœurs qui n’avaient pas fait de vraie contribution à l’Église ni accompli de devoir important et qui avaient conservé leur devoir, alors pourquoi ma mère et mon père avaient-ils perdu les leurs ? Quels que soient leurs problèmes, même s’ils n’avaient pas contribué pendant toutes ces années, ils avaient vraiment essayé, alors ne pouvait-on pas leur donner une autre chance, eu égard à leur souffrance et au travail qu’ils avaient fait ? Je savais que je n’étais pas dans un bon état, que je me montrais rigide et que je n’étais pas motivée pour chercher la vérité. Je me suis présentée devant Dieu et j’ai prié : « Ô Dieu, c’est très dur pour moi. S’il Te plaît, guide-moi et aide-moi à comprendre Ta volonté. »
Plus tard, j’ai demandé à une sœur comment gérer mon état et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer en lui expliquant la situation. Elle m’a dit : « Tes parents ont perdu leurs devoirs, mais ils n’ont pas été expulsés. Pourquoi es-tu si bouleversée ? Tu devrais voir que c’est le fruit de l’amour de Dieu. C’est Dieu qui leur offre une chance de se repentir. » Qu’elle me dise ça m’a vraiment ouvert les yeux. C’était vrai. Dieu n’a jamais dit que quelqu’un était éliminé quand il perdait son devoir. Et certains frères et sœurs ne commencent à réfléchir sur eux-mêmes, à avoir des regrets, à changer et se repentir vraiment qu’après avoir été démis de leurs fonctions. Ensuite, ils reprennent un devoir. Par ailleurs, avoir un devoir ne signifie pas qu’on est pleinement sauvé. Si on ne cherche pas la vérité, on peut toujours être exposé et éliminé par Dieu. En réalité, en arrangeant leur renvoi, Dieu donnait une chance de se repentir à mes parents, mais je pensais que ça revenait à les éliminer. Ce n’est pas en accord avec la vérité. Je me suis sentie un peu mieux en y songeant de cette manière, mais ça a continué à me perturber à chaque fois que j’y pensais. J’avais toujours l’impression que l’Église avait été trop dure avec eux.
Ensuite, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « Plus tu manques de compréhension sur un certain sujet, plus tu dois avoir un cœur pieux et craignant Dieu, et te présenter souvent devant Dieu pour chercher Sa volonté et la vérité. Lorsque tu ne comprends pas les choses, tu as besoin de l’éclairage et des conseils de Dieu. Lorsque tu rencontres des choses que tu ne comprends pas, tu as davantage besoin que l’œuvre de Dieu soit sur toi, et c’est la bonne intention de Dieu. Plus tu te présentes devant Dieu, plus ton cœur est proche de Dieu. Et n’est-il pas vrai que plus ton cœur est proche de Dieu, plus Dieu y habite ? Plus Dieu est dans le cœur des gens, meilleurs sont leur quête, le chemin qu’ils suivent et l’état de leur cœur » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, Chérir les paroles de Dieu est le fondement de la croyance en Dieu). Je me suis sentie un peu plus calme après avoir lu les paroles de Dieu. Dieu dit que moins on comprend quelque chose, plus on doit chercher la vérité avec de la vénération pour Dieu afin d’améliorer son état. Concernant le renvoi de mes parents, je savais que c’était une décision convenable de l’Église et que je ne devais pas me plaindre. J’essayais de ne pas ressasser, mais ça ne résolvait pas vraiment mes incompréhensions ni ma distance vis-à-vis de Dieu. À chaque fois que j’y pensais, je me sentais toujours blessée. Alors j’ai compris que quand quelque chose nous perturbait, on devait chercher la vérité, pas se contenter de suivre les règles et de se contrôler, en restant dans le brouillard le temps que ça passe. Ce n’est pas comme ça qu’on résout les problèmes. En fait, je ne connaissais pas très bien mes parents. Je savais qu’ils semblaient avoir beaucoup sacrifié et qu’on disait du bien d’eux, mais c’était une vision unilatérale et étroite. J’ai voulu savoir ce que les frères et sœurs avec lesquels il étaient en contact avaient à dire sur eux, pour ne pas me baser que sur mes sentiments. J’ai commencé à examiner en détail le comportement de mes parents dans leurs devoirs. En lisant les évaluations qui avaient été rédigées sur eux, j’ai vu que mon père était négligent, qu’il se dérobait face aux difficultés et qu’il n’était pas prêt à s’investir s’il fallait payer un prix. Il avait des compétences, mais il avait toujours été passif dans son devoir et n’avait pas accompli grand-chose. On lui avait confié différents devoirs, mais il n’avait bien fait aucun d’eux. Dans son devoir d’évangélisation, il avait encore été négligent et fui les efforts. Il n’accomplissait rien s’il n’était pas surveillé par le superviseur. Quand des frères et sœurs lui avaient fait remarquer ses problèmes dans son devoir, il s’était cherché des excuses au lieu de réfléchir sur lui-même, disant qu’il se faisait vieux et qu’il avait des problèmes de santé, que ce devoir ne reposait pas sur ses points forts, qu’il était normal qu’il y ait des problèmes et qu’on en attendait trop de lui. Il avait été renvoyé parce qu’il n’avait jamais obtenu de bons résultats dans son devoir. Et ma mère semblait très dynamique et capable de payer un prix, mais c’était superficiel, elle faisait juste dans l’à-peu-près. Elle n’avait pas fait de travail concret, ce qui avait retardé les progrès du travail de l’Église. Elle travaillait beaucoup, mais il y avait de nombreux problèmes et oublis. L’Église en avait grandement pâti. Et elle couvrait toujours ses arrières, protégeant ses intérêts au lieu du travail de l’Église. Parfois, quand elle devait gérer des problèmes urgents, elle envoyait quelqu’un d’autre, de peur d’offenser quelqu’un. Ҫa avait retardé le travail de l’Église. Les frères et sœurs disaient aussi qu’elle était très arrogante et têtue, qu’elle se servait de son expérience comme d’une béquille, qu’elle faisait ce qu’elle voulait sans discuter avec les autres. Elle résistait aux suggestions des autres, elle était possessive vis-à-vis de son travail et elle manquait de transparence. Les frères et sœurs n’étaient pas sûrs des détails de certaines choses. Et quand quelqu’un faisait quelque chose qui lui déplaisait, elle s’énervait et elle le réprimandait durement. Les autres se sentaient étouffés. C’était devenu si difficile pour un frère qu’il lui avait dit : « Ma sœur, je manque de calibre. Travailler avec moi doit être un fardeau pour toi. Je suis désolé. » Et d’autres disaient que si ce n’avait pas été pour leur devoir, ils n’auraient jamais voulu interagir avec quelqu’un comme ça. Ses problèmes étaient aussi graves que ça, mais elle ne l’acceptait pas du tout quand les autres les lui faisaient remarquer. Elle avait beaucoup de préjugés contre la sœur qui supervisait son travail et elle lui résistait. Elle pensait que c’étaient toujours les autres qui étaient injustes et avec lesquels il était dur de s’entendre.
Ҫa a été un choc. Je ne voulais pas croire que mes parents étaient comme ça. Puis j’ai lu deux passages des paroles de Dieu. « La conscience et la raison doivent l’une et l’autre être des composantes de l’humanité d’une personne. Elles sont les plus fondamentales et les plus importantes. Quel genre de personne manque de conscience et n’a pas la raison d’une humanité normale ? D’une manière générale, c’est une personne qui manque d’humanité, dont l’humanité est extrêmement mauvaise. En allant plus en détail, quelles manifestations d’humanité perdue cette personne présente-t-elle ? Essayez d’analyser les caractéristiques que l’on retrouve chez de telles personnes et les manifestations spécifiques qu’elles présentent. (Elles sont égoïstes et méprisables.) Les personnes égoïstes et méprisables sont superficielles dans leurs actions et se tiennent à l’écart de tout ce qui ne les concerne pas personnellement. Elles ne tiennent pas compte des intérêts de la maison de Dieu ni de la volonté de Dieu. Elles n’assument aucun fardeau pour témoigner en faveur de Dieu ou pour accomplir leurs devoirs, et n’ont aucun sens des responsabilités » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, En offrant son cœur à Dieu, on peut obtenir la vérité). « Quand une personne a une bonne humanité, un cœur sincère, une conscience et de la raison, ce ne sont pas là des choses vagues ou creuses qu’on ne peut pas visualiser ou toucher, mais ce sont plutôt des choses que l’on peut découvrir partout dans la vie de tous les jours ; toutes ces choses appartiennent à la réalité. Disons qu’une personne est splendide et parfaite : est-ce quelque chose que tu peux voir ? Tu n’arrives pas à voir, à toucher ni même à imaginer ce que c’est que d’être parfait ou splendide. Mais si on dit qu’une personne est égoïste, arrives-tu à visualiser les actes de cette personne et correspond-elle à la description ? Si on dit de quelqu’un qu’il est honnête et qu’il a un cœur sincère, arrives-tu à visualiser ce comportement ? Si on dit de quelqu’un qu’il est menteur, malhonnête et ignoble, arrives-tu à visualiser ces choses ? Même les yeux fermés, tu arrives à sentir si l’humanité de cette personne est inférieure ou supérieure à travers ce qu’elle dit et comment elle agit. Par conséquent, “bonne ou mauvaise humanité” n’est pas une expression creuse. Par exemple, l’égoïsme et l’ignominie, la malhonnêteté et la tromperie, l’arrogance et la prétention sont toutes des choses qu’on arrive à saisir dans la vie quand on entre en relation avec quelqu’un ; ce sont les éléments négatifs de l’humanité. Ainsi, les éléments positifs de l’humanité que les gens devraient posséder – comme l’honnêteté et l’amour de la vérité – peuvent-ils être perçus dans la vie de tous les jours ? Quelles sont les conditions qu’une personne doit remplir pour obtenir l’éclairage du Saint-Esprit, recevoir la direction de Dieu et agir conformément aux principes de la vérité en toutes choses ? Elle doit avoir un cœur honnête, aimer la vérité, rechercher la vérité en toutes choses et être capable de pratiquer la vérité une fois qu’elle l’a comprise. Remplir ces conditions signifie avoir l’éclairage du Saint-Esprit, être capable de comprendre les paroles de Dieu et être capable de mettre facilement la vérité en pratique. Si quelqu’un n’est pas une personne honnête et n’aime pas la vérité dans son cœur, il aura du mal à gagner l’œuvre du Saint-Esprit, et même si tu échanges sur la vérité avec lui, rien n’en sortira. Comment savoir si quelqu’un est une personne honnête ? Tu ne dois pas seulement regarder s’il ment et triche, mais le plus important est de voir s’il est capable d’accepter la vérité et de la mettre en pratique. C’est ce qui est le plus important. La maison de Dieu a toujours chassé des gens, et à ce stade, beaucoup ont déjà été chassés. Ce n’étaient pas des gens honnêtes, c’étaient tous des gens trompeurs. Ils aimaient les choses injustes, ils n’aimaient pas du tout la vérité. Quel que soit le nombre d’années depuis lequel ils croyaient en Dieu, ils ne pouvaient pas comprendre la vérité ni entrer dans ses réalités. Ces personnes étaient encore moins capables d’un véritable changement. Par conséquent, leur expulsion était inévitable. Lorsque tu entres en contact avec quelqu’un, que regardes-tu en premier ? Regarde s’il est honnête en paroles et en actes, s’il aime la vérité et peut accepter la vérité. C’est crucial. Tu peux essentiellement voir l’essence d’une personne tant que tu peux déterminer si c’est une personne honnête, si elle est capable d’accepter la vérité et de la mettre en pratique. Si quelqu’un n’a que des paroles suaves à la bouche, mais qu’il ne fait rien de concret – si, quand vient l’heure de réaliser quelque chose de concret, il ne pense qu’à lui et jamais aux autres –, de quel genre d’humanité s’agit-il alors ? (Égoïsme et bassesse. Il n’a pas d’humanité.) Est-il facile pour quelqu’un qui n’a pas d’humanité de gagner la vérité ? Cela lui est difficile. […] N’accordez aucune attention à ce que dit une telle personne ; vous devez voir ce qu’elle vit, ce qu’elle révèle et quelle est son attitude quand elle accomplit ses devoirs, et aussi ce qu’est son état intérieur et ce qu’elle aime. Si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur sa fidélité envers Dieu, si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur les intérêts de la maison de Dieu, ou si son amour de sa propre gloire et de sa propre fortune l’emporte sur la considération qu’elle montre pour Dieu, alors une telle personne possède-t-elle une humanité ? Ce n’est pas là une personne avec de l’humanité. Sa conduite peut être vue par les autres et par Dieu. Il est très difficile pour une telle personne d’accéder à la vérité » (La Parole, vol. 3 : Sermons de Christ des derniers jours, En offrant son cœur à Dieu, on peut obtenir la vérité). Grâce aux paroles de Dieu, j’ai compris que pour évaluer l’humanité de quelqu’un, il faut examiner son attitude vis-à-vis du mandat de Dieu et de la vérité. Ceux qui ont une bonne humanité aiment la vérité et se soucient de la volonté de Dieu dans leur devoir. Ils traitent le mandat de Dieu de manière responsable, ils sont dignes de confiance et ils protègent les intérêts de l’Église. Ceux qui ont une mauvaise humanité sont égoïstes et ignobles, et ne pensent qu’à leurs propres intérêts. Ils bâclent leurs devoirs, ils sont sournois et ne font que parler sans accomplir de vrai travail. Ils peuvent même mépriser les intérêts de l’Église et les trahir pour leur profit. En examinant le comportement de mes parents à la lumière des paroles de Dieu, j’ai vu qu’ils n’étaient pas les gens bien pour lesquels je les prenais. Mon père, par exemple… Il faisait des sacrifices superficiels, mais il était négligent et esquivait les efforts au lieu de porter un fardeau dans son devoir. Quand il y avait un prix à payer, il trouvait des tas d’excuses pour se soucier de sa chair, sans prendre les besoins de l’Église en considération. Il fallait toujours qu’il soit surveillé et rappelé à l’ordre dans son devoir. Il était très passif. Quant à ma mère, elle était occupée en permanence, pouvait souffrir pour son devoir et semblait être efficace, mais elle n’obtenait pas de vrais résultats dans ses devoirs, ce n’était qu’une façade. Elle semblait incroyablement occupée, mais elle cherchait toujours des gains faciles et n’agissait que pour sa renommée et son statut. Quand elle travaillait, elle avait manqué de vénération pour Dieu, ce qui avait fait subir de grandes pertes au travail de l’Église. Dans les affaires qui impliquaient les intérêts de l’Église, elle savait qu’elle était la mieux placée pour s’en charger, mais elle les confiait à d’autres. Elle ne protégeait pas les intérêts de l’Église dans les domaines cruciaux et elle n’était pas d’un seul cœur avec Dieu. Je voyais qu’elle accomplissait beaucoup de tâches et payait un grand prix, mais je n’avais examiné ni ses intentions ni ses résultats, je ne m’étais pas demandé si elle contribuait vraiment ni si elle ne faisait pas plus de mal que de bien, en réalité. J’ai compris que pour évaluer l’humanité de quelqu’un, il ne faut pas regarder ses sacrifices et ses efforts superficiels, mais se demander si ses intentions sont correctes, s’il se soucie vraiment du travail de l’Église ou s’il agit pour sa renommée et son statut. Les gens qui ont une bonne humanité ne comprennent pas forcément la vérité, mais ils sont sincères et suivent leur conscience. Ils se soucient de la maison de Dieu et de ses intérêts, c’est pour ça qu’ils peuvent accomplir des choses. Mais ceux qui ont une mauvaise humanité, même s’ils souffrent et travaillent beaucoup, même s’ils parlent bien, sont superficiels dans tout ce qu’ils font, ne se souciant que de leurs intérêts, n’étant prévoyants que pour eux, sans vraiment songer au travail de l’Église. C’est pour ça qu’ils oublient beaucoup de choses dans leur travail et n’accomplissent vraiment rien. Ou bien ils peuvent accomplir certaines choses grâce à leurs dons ou leur expérience mais, sur le long terme, les pertes l’emportent sur les gains, parce que leur humanité et leur caractère sont insuffisants. Ils ne sont pas fiables et ne font pas de vrai travail. On ne peut jamais savoir quand ils vont faire du mal au travail de l’Église. Quand j’ai compris ça, j’ai acquis la certitude que mes parents n’avaient pas une bonne humanité.
J’avais toujours pensé à tout ce à quoi ils avaient renoncé, notamment à une vie très confortable, pour faire leur devoir pendant presque vingt ans de hauts et de bas. Alors, même s’ils ne cherchaient pas la vérité, je les prenais pour de vrais croyants, des gens bien. Sauf que beaucoup de gens peuvent afficher une capacité à endurer les difficultés, mais leurs intentions et leur essence peuvent varier. Je ne voyais pas ce qui les incitait à travailler si dur et je ne me demandais pas s’ils parvenaient à quelque chose. Je ne regardais que leurs efforts superficiels et je pensais qu’ils étaient de vrais croyants dotés d’une bonne humanité. C’était un point de vue vraiment superficiel et stupide. En tant que croyants, pendant toutes ces années, nous avons subi l’oppression du Parti communiste et la douleur de voir notre famille déchirée, mais nous avons beaucoup joui de la grâce de Dieu. Dieu nous donne de nombreuses vérités, ainsi qu’une nourriture abondante pour ce dont nous avons besoin dans la vie. Quelqu’un qui a une conscience et une raison doit faire de son mieux pour accomplir son devoir et rendre Son amour à Dieu. Mais après toutes ces années de foi et avoir appris beaucoup de doctrine, mes parents n’avaient toujours pas le sens des responsabilités le plus basique envers leurs devoirs. Ils n’étaient même pas capables de protéger les intérêts de l’Église. Si l’on considère leurs actions, le fait qu’ils aient perdu leurs devoir était le fruit de la justice de Dieu. Ce n’était pas seulement bon pour le travail de l’Église, c’était bon pour eux. Si cet échec pouvait les aider à réfléchir sur eux-mêmes et à se tourner vers Dieu, à changer d’attitude envers leurs devoirs, ce serait leur salut et un tournant dans leur chemin de foi. S’ils continuaient à agir de cette manière, sans réflexion, repentir ni changement, ils risquaient vraiment d’être exposés et éliminés. J’ai pensé à une chose que Dieu a dite : « La quantité de souffrance qu’un individu devait endurer et la distance qu’il devait parcourir sur son chemin étaient décrétées par Dieu et personne ne pouvait vraiment aider quiconque » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le chemin… (6)). Tout ce que je pouvais faire, c’était signaler les problèmes que je voyais et aider mes parents de mon mieux, mais je ne devais pas me soucier du chemin qu’ils choisissaient. Mon cœur s’est allégé quand je l’ai compris. Au lieu de m’inquiéter et de pleurer à cause d’eux, j’ai pu aborder le problème convenablement.
Plus tard, j’ai lu ces deux passages : « Tu dois savoir quel genre de personnes Je désire ; ceux qui sont impurs ne sont pas autorisés à entrer dans le royaume, ceux qui sont impurs ne sont pas autorisés à souiller la terre sainte. Bien que tu aies peut-être beaucoup travaillé, et ce pendant de nombreuses années, à la fin, si tu es toujours déplorablement dégoûtant, alors il sera intolérable pour la loi du ciel que tu veuilles entrer dans Mon royaume ! Depuis la fondation du monde jusqu’à ce jour, Je n’ai jamais offert un accès facile à Mon royaume à ceux qui cherchent à s’attirer Mes faveurs. C’est une loi céleste, et personne ne peut la transgresser ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte). « Je décide de la destination de chaque homme, non en fonction de l’âge, de l’ancienneté, du degré de souffrance et encore moins du degré auquel il inspire la pitié, mais plutôt selon qu’il possède ou non la vérité. Il n’y a pas d’autre option que celle-ci. Vous devez vous rendre compte que tous ceux qui ne respectent pas la volonté de Dieu seront punis. C’est un fait immuable » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). Ces passages m’ont beaucoup émue. Pour déterminer si les gens peuvent être sauvés, Dieu ne regarde que s’ils possèdent la vérité et s’ils ont transformé leurs tempéraments. Dieu a œuvré pendant toutes ces années et exprimé de nombreuses vérités, nous livrant un échange précis et détaillé sur le chemin de l’entrée dans la vérité et de l’obtention du salut. Tant que quelqu’un aime la vérité et l’accepte, il a l’espoir de gagner le salut de Dieu. Mais, si quelqu’un ne peut faire que des sacrifices superficiels, même après des années de foi, sans pratiquer la vérité ni changer son tempérament, il n’accepte pas la vérité, il la hait. De telles personnes, quels que soient leurs sacrifices, leurs années de travail ou l’importance de leurs devoirs, si elles n’ont pas gagné la vérité ni changé de tempérament à la fin, si elles se rebellent encore contre Dieu et Lui résistent, perturbant le travail de l’Église, ne peuvent pas être sauvées. Ceux qui font beaucoup de mal seront punis par Dieu, et c’est déterminé par Sa justice. Comprenant ça, j’ai vu plus clairement comment mes parents en étaient arrivés là. Ils avaient renoncé à leur maison et leurs emplois, ils avaient travaillé dur, mais ils n’aimaient pas la vérité. Ils étaient négligents et obstinés dans leurs devoirs, et ils ne réfléchissaient pas sur eux-mêmes en se basant sur les paroles de Dieu. Quand des frères et sœurs mentionnaient leurs problèmes, ils se trouvaient des excuses, pensant toujours que c’était les autres qui avaient un problème et qu’on en attendait trop d’eux. Ҫa m’a montré qu’ils haïssaient la vérité et ne l’acceptaient pas, et que c’était pour ça que leurs tempéraments n’avaient pas changé, même après tant d’années de foi. À la place, plus ils avaient accumulé d’années de foi et de travail, plus ils étaient devenus arrogants. J’ai compris, d’après leur manière de gérer la vérité, qu’ils n’avaient pas fait tous leurs sacrifices pour gagner la vérité et la vie, mais qu’ils les avaient faits à contrecœur, pour des bénédictions. Exactement comme Paul a fait tout ce qu’il a fait pour marchander avec Dieu. Il n’était pas un vrai croyant qui se dépensait réellement pour Dieu. Il m’est apparu clairement que l’humanité de quelqu’un, sa capacité à chercher la vérité et à être sauvé, devaient être évalués en fonction de son attitude envers la vérité. Ses contributions superficielles, sa quantité de travail et la nature de ses devoirs sont sans importance. Certains frères et sœurs ne font peut-être pas de grandes contributions à l’Église et ont des devoirs qui peuvent paraître insignifiants, mais ils sont constants et ils s’y consacrent entièrement. Quelqu’un qui se concentre sur la recherche de la vérité dans son devoir, qui réfléchit sur sa corruption, qui est capable de regret, qui pratique la vérité et qui opère des changements dans son tempérament corrompu est quelqu’un qui peut tenir ferme dans la maison de Dieu. Plus j’y réfléchis, plus je vois la justice de Dieu. Le critère de Dieu pour évaluer les gens n’a jamais changé. C’est juste que je voyais le salut comme une affaire de chance. Je pensais que Dieu n’abandonnerait pas ceux qui avaient fait de grands sacrifices et travaillé dur, même s’ils n’avaient pas contribué. Mais j’ai vraiment vu la justice de Dieu dans le cas de mes parents. Dieu ne juge pas les gens en se basant sur les émotions ou les notions des hommes, mais Il examine et mesure chaque personne en se basant sur les critères de la vérité. Même les gens qui ont tenu des rôles importants dans l’Église n’y échappent pas.
Plus tard, j’ai lu deux autres passages qui m’ont beaucoup éclairée et soulagée. Dieu dit : « Un jour, quand tu comprendras une partie de la vérité, tu ne penseras plus que ta mère est la meilleure personne ni que tes parents sont les meilleures personnes. Tu te rendras compte qu’ils sont aussi des membres de l’humanité corrompue et que leurs tempéraments corrompus sont tous les mêmes. La seule chose qui les distingue est le lien de sang physique qu’ils ont avec toi. S’ils ne croient pas en Dieu, alors ils sont semblables aux incroyants. Tu ne les considéreras plus du point de vue de la parenté ou du point de vue de vos liens du sang, mais du point de vue de la vérité. Quels sont les principaux aspects que tu dois considérer ? Tu dois considérer leurs points de vue sur la croyance en Dieu, leurs points de vue sur le monde, leurs points de vue sur la gestion des affaires et, plus important encore, leurs attitudes envers Dieu. Si tu examines ces aspects avec précision, tu seras en mesure de voir clairement s’il s’agit de bonnes ou de mauvaises personnes. Si, un jour, tu peux voir clairement qu’ils sont exactement comme toi, que ce sont des personnes avec des tempéraments corrompus et plus important encore, que ce ne sont pas, comme tu l’imagines, des personnes au bon cœur ayant un véritable amour pour toi, et qu’ils sont absolument incapables de te conduire à la vérité ni sur le droit chemin dans la vie, si tu peux voir clairement que ce qu’ils ont fait pour toi ne t’est pas très profitable et que cela ne t’est d’aucune utilité pour prendre le bon chemin dans la vie, et si tu trouves également que nombre de leurs pratiques et opinions sont contraires à la vérité, qu’ils sont charnels et que cela t’amène à les mépriser et à ressentir de l’aversion et de la haine à leur égard, alors, à la lumière de ces facteurs, tu seras en mesure de les traiter correctement dans ton cœur et ils ne te manqueront plus, tu ne te soucieras plus d’eux et tu ne seras plus incapable de te séparer d’eux. Ils auront rempli leur mission en tant que parents, tu ne les considéreras plus comme les personnes les plus proches de toi et tu ne les idolâtreras plus. Au lieu de cela, tu les traiteras comme des gens ordinaires et à ce moment-là, tu échapperas complètement à la servitude des émotions et tu t’affranchiras vraiment de tes émotions et de ton attachement familial » (La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). « Nombreux sont les gens qui endurent beaucoup de souffrances émotionnelles insensées. Tout cela, c’est de la souffrance superflue et inutile. Pourquoi dis-Je cela ? Parce que les gens sont toujours contraints par leurs émotions, si bien qu’ils ne peuvent pas pratiquer la vérité ni obéir à Dieu. Être contraint par ses émotions est très préjudiciable à l’accomplissement de ses devoirs et à la fidélité à Dieu, et c’est aussi un grand obstacle à l’entrée dans la vie. Par conséquent, la souffrance due aux contraintes émotionnelles n’a pas de sens, et Dieu ne la commémore pas. Alors, comment peux-tu te débarrasser de cette souffrance dénuée de sens ? Il faut que tu comprennes la vérité. Une fois que tu verras et que tu comprendras l’essence de ces relations charnelles, tu échapperas facilement aux contraintes de la chair. […] Satan se sert de l’attachement familiale pour contraindre et asservir les gens. Si les gens ne comprennent pas la vérité, ils seront facilement trompés. Les gens en paient souvent le prix et souffrent, pleurent et endurent des souffrances pour le bien de leurs parents et de leurs proches. C’est de l’ignorance et de la stupidité. Vous êtes prêts à souffrir de cette manière, et vous vous l’infligez à vous-mêmes, c’est vain et c’est futile à endurer : ce n’est pas du tout commémoré par Dieu, et l’on peut dire que ce n’est rien d’autre qu’une pure souffrance ! Le jour où tu comprendras la vérité, tu seras libéré et tu auras le sentiment que tu étais ignorant et stupide en endurant ces souffrances, que ce n’était la faute de personne d’autre et que c’était seulement dû à ton aveuglement, à ton ignorance, à ton manque de compréhension de la vérité et à ton manque de clarté dans ta façon de voir les choses » (La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours »). Lire ça m’a profondément émue. Dieu nous comprend si bien ! Toutes mes larmes et ma souffrance inutile venaient du fait que j’étais trop émotive et que je ne comprenais pas les choses. Avant, je ne comprenais pas la vérité et n’avais aucun discernement concernant mes parents. Je pensais qu’ils étaient merveilleux, vraiment admirables, qu’ils étaient mes modèles et que je devais essayer d’être comme eux. Je croyais même qu’ils pouvaient être sauvés. Mais, quand je les ai examinés à la lumière de la vérité et des paroles de Dieu, j’ai compris à quel point je m’étais trompée et j’ai enfin gagné du discernement sur le genre de personnes qu’ils étaient vraiment. J’ai vu beaucoup de choses en eux que non seulement je n’admirais pas, mais que je méprisais. J’ai arrêté de les idolâtrer, de les admirer, et je n’ai plus souffert ni pleuré à cause d’eux. Je suis devenue capable de les voir objectivement et précisément.
Grâce à cette situation, j’ai vu que j’accordais trop d’importance à mes sentiments. Parce que je me laissais gouverner par mes émotions, je ne pensais qu’à la souffrance que mes parents devaient endurer et je n’acceptais pas la manière dont l’Église avait géré les choses. J’étais résistante, et j’avais même l’impression que Dieu n’était pas juste. Et puis j’ai compris pourquoi Dieu haïssait l’affection humaine. C’est parce que vivre selon elle nous fait confondre le vrai et le faux, le bien et le mal, et qu’elle nous éloigne de Dieu. Je ne me connaissais pas moi-même, avant. Quand des frères et sœurs voyaient des parents à eux être renvoyés ou expulsés, et que ça les faisait pleurer pendant des jours, je les regardais de haut. Je pensais que je ne serais pas aussi faible si ça m’arrivait. Mais, quand j’ai réellement vécu la même chose, j’ai été plus faible que n’importe qui et je me suis effondrée. Je n’ai pas juste pleuré quelques fois, j’ai déprimé et ça a affecté mon devoir. J’ai vu que j’étais naïve, stupide et tout à fait déraisonnable. Grâce à cette expérience, j’ai gagné une certaine compréhension de ces frères et sœurs qui luttaient pour échapper à leurs affections terrestres, et j’ai eu honte de mon ignorance et de mes vantardises passées. J’ai aussi appris qu’il y avait une vérité à chercher dans tout ce qui se produisait. Il y a toujours une chance de tirer une leçon et de gagner en discernement. Nous devons traiter tout le monde autour de nous, y compris nos parents, en accord avec les paroles de Dieu et la vérité. Alors nous ne les verrons plus à travers le prisme de notre affection et de notre imagination, ce qui nous incite à faire des choses opposées à Dieu. Dieu soit loué !
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