Dorénavant, j’ose faire face à mes problèmes
Par Yuxun, ChineUn jour de septembre 2023, j’ai reçu une lettre des dirigeants supérieurs, dans laquelle ils disaient que les résultats de...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je suis née dans une famille de paysans, où nous vivions de notre travail à la ferme. Dès mon jeune âge, mon père et mon grand-père m’ont dit que je devais étudier sérieusement, et que c’est seulement en entrant dans une bonne université que je pourrais trouver un bon emploi, me distinguer des autres et faire honneur à ma famille. Sous leur encadrement, à travers leurs paroles et leurs exemples, j’ai étudié avec assiduité, et mes notes étaient toujours remarquables. Mon père me répétait souvent : « Ta cousine a obtenu son doctorat et est devenue professeure. Elle a un bon salaire et c’est très prestigieux. Ton autre cousine a obtenu son diplôme dans une université de renom et travaille maintenant dans la recherche scientifique, avec d’excellents avantages… » Je pensais que je devais étudier sérieusement, entrer dans une bonne université et trouver un bon travail, de cette manière, j’honorerais à la fois mes parents et moi-même. À cette époque, je croyais déjà en Dieu, mais pour entrer dans une bonne université, puis trouver un bon travail par la suite et pour que tout le monde m’admire, je me concentrais entièrement sur mes études, et je ne participais pas aux réunions régulièrement. Plus tard, en raison de la forte pression académique et de la concurrence féroce, j’ai commencé peu à peu à souffrir de problèmes de santé. J’ai développé des maladies l’une après l’autre, une hypertrophie de la thyroïde, des problèmes d’estomac et une gastro-entérite aiguë. Je suis allée à l’hôpital pour un traitement, mais la douleur n’a pas beaucoup diminué, et j’ai commencé à perdre mes cheveux au point de voir ma chevelure s’éclaircir à vue d’œil. Les poussées de gastro-entérite étaient fréquentes et j’avais souvent la diarrhée. Ces maladies m’ont tourmentée, me plongeant dans une souffrance insupportable. En voyant mon visage hagard dans le miroir, je me sentais épuisée physiquement et mentalement, et je souffrais énormément ; les jours où je me réunissais avec les frères et sœurs pour lire les paroles de Dieu et chanter pour Le louer me manquaient terriblement, car c’était particulièrement relaxant et libérateur. Je rêvais d’une pause, mais la lourde charge de travail académique m’avait épuisée physiquement et mentalement. J’éprouvais souvent de la douleur et un vide, pensant que vivre ainsi était tout simplement trop épuisant. Par moments, je pensais même que ce serait génial de sauter d’un endroit élevé pour sombrer dans un sommeil éternel et sans fin. J’ai pris conscience que ces pensées provenaient de Satan et que je ne pouvais pas les suivre. Ensuite, je me suis dit : « J’ai travaillé si dur pendant tant d’années pour réaliser mon rêve de me distinguer des autres. Il ne reste plus qu’une dernière année à passer. Une fois que je serai à l’université, ça ira mieux. L’université n’aura pas le même niveau de pression scolaire que le lycée, et je pourrai assister aux réunions normalement. »
En 2019, j’ai été admise dans une bonne université polytechnique. Mes proches sont venus me féliciter et ont même dit à leurs enfants de suivre mon exemple. En un instant, j’étais devenue une célébrité dans ma famille. Des amis m’ont également envoyé des messages en apprenant cette nouvelle. En recevant tous ces éloges de la part de mes proches et amis, je me sentais très heureuse. J’avais pensé que la pression académique serait moindre à l’université qu’au lycée, et que j’aurai beaucoup de temps libre, ce qui me permettrait de participer aux réunions normalement. Cependant, les choses ne se sont pas passées comme je l’avais imaginé. En plus d’assister aux cours, je devais passer différents examens de certification et j’étais souvent occupée à suivre des cours de préparation pour ces examens. Je devais également participer aux différentes activités organisées par l’université pour gagner des crédits, par conséquent, mon emploi du temps était très chargé. De plus, dans les universités chinoises, il est interdit de croire en Dieu, ce qui m’obligeait à assister aux réunions en secret. Je me sentais quelque peu contrainte et j’avais toujours peur d’être démasquée. Plus tard, Sœur Chen Xin a dit qu’il y avait de nombreux nouveaux venus dans l’Église qui devaient être abreuvés en urgence, et elle souhaitait que je me forme pour le faire. Je me suis dit : « Je suis déjà occupée avec mes études et je dois passer les examens de certification. Si je fais également un devoir, cela retardera mes progrès scolaires. Et si je n’obtiens pas assez de crédits pour décrocher mon diplôme ? Comment vais-je trouver un bon emploi, alors ? » En pensant à cela, j’ai décliné la proposition et me suis entièrement investie dans l’obtention de mes crédits. Même si je participais encore aux réunions, je ne pouvais pas apaiser mon cœur. Je priais et lisais de moins en moins souvent les paroles de Dieu. Chaque jour, je suivais une routine entre les cours et l’obtention de crédits, et au fil du temps, un sentiment inexplicable de vide a commencé à m’envahir, me laissant l’impression que cette façon de vivre n’avait guère de sens. Ma colocataire me faisais sortir pour nous amuser et savourer des mets délicieux, mais ce vide dans mon coeur n’a pas du tout diminué.
Pendant les vacances, lorsque j’étais rentrée chez moi, j’ai rencontré une ancienne camarade de collège, He Xin, lors d’une réunion. He Xin m’a raconté que sa petite sœur avait fait une dépression il y a deux ans parce qu’elle avait échoué deux fois à entrer au lycée. Je suis restée sans voix : « Sa sœur était toujours si joyeuse et optimiste, et maintenant, elle est devenue malade mentalement ! » Cet événement m’a profondément marquée. Pendant cette période, je me disais souvent : « La sœur de He Xin avait tant étudié pour se distinguer des autres. Je n’aurais jamais imaginé que cela finirait ainsi. J’ai étudié d’arrache-pied pour entrer à l’université, et bien que j’aie été admise dans celle de mon choix et que mes proches et amis m’admirent, je n’éprouve aucune joie et je suis vraiment épuisée. Est-ce que cette poursuite en vaut vraiment la peine ? » Quelques jours plus tard, la COVID-19 éclata dans tout le pays, avec des villages et des routes fermés et des restrictions imposées sur les déplacements. Les universités ont suspendu les cours, des usines ont fermé en masse, et je ne pouvais plus aller à l’école. J’ai donc assisté aux réunions normalement à l’Église et j’ai commencé à faire mes devoirs. À mesure que je lisais de plus en plus les paroles de Dieu, j’ai progressivement compris certaines vérités. Un jour, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Concernant l’accomplissement de son devoir, il existe deux principales catégories de personnes : l’une se dépense sincèrement pour Dieu, tandis que l’autre tend à toujours se laisser une échappatoire. Quelle catégorie de personne pensez-vous que Dieu va approuver et sauver ? (Celles qui se dépensent sincèrement pour Dieu.) Dieu veut gagner ces gens qui se dépensent sincèrement pour Lui. […] À l’heure actuelle, vous mettez à profit vos loisirs et vos compétences quand vous faites votre devoir. De même, pendant cette période, vous faites votre devoir en tant qu’être créé, vous êtes capables de comprendre la vérité et d’emprunter la bonne route de la vie. Quel événement heureux, quelle chance ! Peu importe la manière de considérer cela, ce n’est pas une perte. Tandis que vous suivez Dieu, prenez de la distance par rapport aux lieux de péché, et prenez de la distance par rapport aux groupes de gens malveillants, à tout le moins vos pensées et votre cœur ne continueront pas à être corrompus et piétinés par Satan. Vous êtes arrivés sur un morceau de terre pure, vous êtes arrivés devant Dieu. N’est-ce pas là une chance formidable ? Les gens se réincarnent, génération après génération, et ce jusqu’à maintenant, et combien d’opportunités telles que celle-ci ont-ils eues ? N’y a-t-il pas que les gens qui sont nés dans les derniers jours qui ont cette opportunité ? Comme c’est formidable ! Ce n’est pas une question de perte, c’est la plus grande des chances. Tu devrais être si heureux ! En tant qu’êtres créés, parmi l’ensemble de la création, parmi les quelques milliards d’habitants sur terre, combien de gens ont l’opportunité de témoigner des actes du Créateur dans leur identité d’être créé, d’assumer leur devoir et leurs responsabilités au sein de l’œuvre de Dieu ? Qui dispose d’une telle opportunité ? Ces personnes sont-elles nombreuses ? Elles sont trop peu nombreuses. Quelle est la proportion ? Une sur dix mille ? Non, il y en a même moins que ça ! Vous, en particulier, qui pouvez utiliser vos compétences et le savoir que vous avez étudié pour faire votre devoir, n’êtes-vous pas extrêmement bénis ? Tu ne témoignes pas d’un homme, et ce que tu entreprends n’est pas une carrière : Celui que tu sers est le Créateur. C’est ce qui est le plus beau et le plus précieux ! Ne devriez-vous pas éprouver de la fierté ? (Si.) À mesure que vous faites votre devoir, vous êtes abreuvés et approvisionnés par Dieu. Si, avec un environnement aussi bon et une opportunité aussi belle, vous n’obtenez rien de substantiel, alors n’éprouverez-vous pas de regrets pour le reste de votre vie ? Vous devez donc saisir l’opportunité de faire votre devoir, et ne pas la laisser passer. Poursuivez la vérité sérieusement dans l’accomplissement de votre devoir, et obtenez-la. C’est la chose la plus précieuse que vous puissiez faire, c’est la vie la plus significative ! » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, En offrant son cœur à Dieu, on peut obtenir la vérité). À partir des paroles de Dieu, j’ai compris que seuls ceux qui se dépensent sincèrement pour Dieu peuvent être approuvés par Lui. En tant qu’être créé, faire son devoir et s’efforcer de gagner la vérité est la chose la plus bénie et précieuse à faire. J’ai pensé au fait que je ne suis qu’un minuscule être créé, et parmi les milliards de personnes dans le monde, j’avais le privilège d’accepter l’œuvre de Dieu des derniers jours, d’être abreuvée et nourrie par Ses paroles, de faire mes devoirs dans la maison de Dieu, et de contribuer de mes efforts à l’œuvre de diffusion de l’Évangile de Dieu ; c’était vraiment Dieu qui m’élevait ! Avant, je m’étais concentrée uniquement sur le fait de me distinguer des autres et d’être admirée, consacrant tout mon temps et toute mon énergie à mes études sans prendre ma foi au sérieux. Lorsque Sœur Chen Xin m’a demandé de me former à l’abreuvement des nouveaux venus, j’ai refusé. Mais Dieu ne m’en a pas tenu rigueur et m’a donné une nouvelle occasion de faire mes devoirs. Je devais la chérir correctement. Par la suite, j’ai pris mes devoirs au sérieux et j’ai réfléchi à la meilleure façon de les faire correctement. Pendant que je faisais mes devoirs, je révélais une bonne partie de ma corruption. Avec la direction et l’aide des sœurs, j’ai gagné une certaine compréhension de mes tempéraments corrompus. J’éprouvais un sentiment de stabilité, de paix, de soulagement et de liberté que je n’avais jamais connu auparavant. Chaque jour était épanouissant, et j’espérais faire mes devoirs dans la maison de Dieu pour toujours.
Cependant, les bons moments n’ont pas duré. Le conseiller pédagogique nous a informé que l’école reprendrait en septembre, et qu’en raison de la pandémie, l’établissement mettrait en place un système de gestion fermé après sa réouverture, interdisant à tout le monde de quitter le campus. En apprenant la nouvelle, j’ai été soudainement envahie par la douleur. « Maintenant que l’école met en place ce système de gestion fermé, je ne pourrai plus quitter le campus après la réouverture de l’école, et je ne pourrai donc plus assister aux réunions ni faire mes devoirs. Je vais aussi être endoctrinée par des idées athées. Le fondement de ma foi est superficiel et ma stature est petite. Est-ce que je pourrai rester ferme dans un tel environnement ? » Je n’avais donc pas envie de retourner à l’école. Mais ensuite, je me suis dit : « Si je ne vais pas à l’école, je décevrai beaucoup mon père et mon grand-père sans aucun doute. Mes proches et mes amis ne me porteront plus autant de considération, et ils risquent même de se moquer de moi. Mais si je vais à l’école, je ne pourrais plus assister aux réunions ni faire mes devoirs. Maintenant que la pandémie se propage partout et que les catastrophes s’intensifient, l’œuvre de Dieu touche à sa fin. Si l’œuvre de Dieu prend fin et que je n’ai toujours pas gagné la vérité, ne vais-je pas alors sombrer dans les catastrophes ? Mais si j’abandonne mes études, toutes mes années d’efforts n’auront-elles pas été vaines ? » En y pensant, j’étais profondément troublée et ne savais pas quel choix faire. À ce moment-là, la dirigeante m’a contactée et a dit : « Maintenant que l’Évangile se diffuse considérablement et que de plus en plus de personnes acceptent l’œuvre de Dieu, l’Église a un besoin urgent de personnes chargées de l’abreuvement, et nous voulons que tu abreuves les nouveaux venus. As-tu la volonté de le faire ? » À cet instant, je me sentie un peu perdue. Puis, j’ai regardé la pièce de théâtre « Au revoir, mon campus innocent », et j’ai vu un passage des paroles de Dieu cité dans la vidéo : « Satan contrôle les pensées des hommes par la gloire et le gain, jusqu’à ce qu’ils ne pensent plus qu’à cela. Ils luttent pour la gloire et le gain, endurent des difficultés pour la gloire et le gain, supportent l’humiliation pour la gloire et le gain, sacrifient tout ce qu’ils ont pour la gloire et le gain, porteront des jugements et prendront des décisions pour la gloire et le gain. De cette façon, Satan attache les hommes avec des chaînes invisibles, dont ils n’ont ni la force ni le courage de se libérer. Alors, sans le savoir, ils portent ces chaînes et avancent avec beaucoup de difficulté. À cause de la gloire et du gain, l’humanité s’éloigne de Dieu, Le trahit et devient de plus en plus malveillante. Ainsi, les générations sont détruites les unes après les autres par la gloire et le gain avec lesquels Satan les a tentées » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique VI). À partir des paroles de Dieu, j’ai compris que Satan utilise la réputation et le gain pour éloigner les gens de Dieu et les pousser à Le trahir. Je me suis souvenue que, durant mon enfance, mon père et mon grand-père m’avaient enseigné à « Se distinguer des autres et honorer ses ancêtres » et que « Il faut endurer la plus grande souffrance pour devenir le plus grand des hommes ». J’ai considéré la poursuite de la réputation, du gain et du statut comme mon objectif dans la vie, croyant que seules l’acquisition de la réputation et du gain, ainsi que l’admiration des autres, pouvaient rendre la vie significative et précieuse. Je n’avais aucun scrupule à mettre en péril ma santé pour entrer dans une bonne université. J’ai étudié sans relâche comme un robot, ce qui a entraîné plusieurs maladies. J’éprouvais une grande détresse et fatigue à cause de la douleur physique et de l’angoisse intérieure. J’ai perdu toute volonté de vivre et j’espérais vraiment pouvoir dormir pour l’éternité. Pourtant, poussée par l’envie d’obtenir un diplôme, une réputation et un gain, j’ai persévéré en serrant les dents. Une fois admise dans l’université que je convoitais, afin d’obtenir un diplôme et de trouver un bon travail, j’ai plongé tête baissée dans l’obtention de crédits, m’éloignant de plus en plus de Dieu. J’agissais machinalement en assistant aux réunions et mes prières et lectures des paroles de Dieu ont diminué. La réputation et le gain étaient comme une chaîne invisible que Satan avait placée sur moi, me liant et me blessant contre ma volonté. En poursuivant la réputation et le gain, j’ai investi tout mon temps et toute mon énergie dans mes études pendant des années, négligeant ma foi en Dieu, et ma vie spirituelle en a beaucoup souffert. Continuer sur cette voie pourrait me permettre d’obtenir une licence, un bon emploi et l’admiration des autres, mais à quoi cela servirait-il si je perdais l’opportunité du salut ? Maintenant que la pandémie se répandait partout, le nombre de personnes infectées augmentait chaque jour, et beaucoup étaient décédées. Même certaines personnalités officielles avaient été infectées. Peu importe la richesse ou la célébrité d’une personne, si elle attrapait le virus, elle était destinée à mourir de la même manière. J’ai pris conscience que la poursuite de la réputation, du gain et du statut n’a aucune valeur réelle ni signification. Seule la poursuite de la vérité offre un espoir de salut.
J’ai vu un autre passage des paroles de Dieu dans la vidéo : « Christ des derniers jours apporte la vie et apporte le chemin durable et éternel de la vérité. Cette vérité est le chemin par lequel l’homme obtient la vie et elle est le seul chemin par lequel l’homme connaîtra Dieu et sera approuvé par Dieu. Si tu ne cherches pas le chemin de la vie fourni par Christ des derniers jours, alors tu n’obtiendras jamais l’approbation de Jésus et ne seras jamais qualifié pour franchir les portes du royaume des cieux, car tu es à la fois une marionnette et un prisonnier de l’histoire » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Seul Christ des derniers jours peut montrer à l’homme le chemin de la vie éternelle). La protagoniste a échangé sur le fait que « Le seul chemin pour entrer dans le royaume de Dieu est d’accepter le Christ des derniers jours. … Comprendre la vérité et être sauvé dans notre foi ne sont pas des choses simples. Ce n’est pas comme si nous étions sauvés dès que nous croyons. … Les catastrophes augmentent, et nous sommes encore en train d’étudier à l’école. Nous ne pourrons pas partager l’Évangile ni porter témoignage avant d’avoir obtenu notre diplôme. Alors, est-ce que cela équivaut à suivre Dieu ? » Après avoir entendu cela, j’ai été profondément émue. « Ce n’est qu’en acceptant l’œuvre de Dieu des derniers jours et en cherchant à gagner la vérité qu’on peut être sauvé et survivre. Si je fais à la fois des études et que je crois en Dieu, mais que je ne fais pas mes devoirs, puis-je être considérée comme une personne qui suit vraiment Dieu ? Si cela continue ainsi, ne vais-je pas finir par ne rien avoir ? » Puis, j’ai lu ces paroles de Dieu : « L’œuvre des derniers jours consiste à tout séparer selon son espèce et à conclure le plan de gestion de Dieu, car le temps est proche et le jour de Dieu est arrivé. Dieu amène tous ceux qui entrent dans Son royaume, tous ceux qui Lui sont loyaux jusqu’à la fin, dans l’ère de Dieu Lui-même. Pourtant, avant l’arrivée de l’ère de Dieu Lui-même, l’œuvre de Dieu n’est pas d’observer les actions de l’homme ou de S’informer sur la vie de l’homme, mais de juger la rébellion de l’homme, car Dieu purifiera tous ceux qui viennent devant Son trône. Tous ceux qui ont suivi les pas de Dieu jusqu’à ce jour sont ceux qui viennent devant le trône de Dieu et, cela étant ainsi, toute personne qui accepte l’œuvre de Dieu dans sa phase finale fait l’objet de la purification de Dieu. En d’autres termes, quiconque accepte l’œuvre de Dieu dans sa phase finale fait l’objet du jugement de Dieu » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Christ réalise l’œuvre du jugement avec la vérité). J’ai compris que dans les derniers jours, Dieu est venu faire le travail du jugement afin de classer les gens selon leurs natures et mettre fin à Son œuvre de salut de l’humanité. Il amènera ceux qui écoutent Ses paroles, se soumettent à Lui et Lui sont loyaux dans la prochaine ère merveilleuse, tandis que ceux qui ne font pas leurs devoirs et qui n’ont aucune vérité-réalité tomberont dans les catastrophes et seront détruits par Dieu. Le fait de croire en Dieu, de faire ses devoirs, et de poursuivre la vérité pour entrer dans la vérité-réalité est la chose la plus importante et la plus significative. J’ai eu la chance d’avoir entendu la voix de Dieu et d’avoir accepté l’Évangile du royaume, ayant l’opportunité de poursuivre la vérité et d’obtenir le salut. C’est une grande grâce de la part de Dieu. Pourtant, je ne l’ai pas chérie, consacrant tout mon temps et toute mon énergie à poursuivre la réputation et le gain. J’avais été tellement aveugle et ignorante ! Auparavant, je me concentrais uniquement sur la réputation et le gain et je n’ai pas pris au sérieux la poursuite de la vérité. En conséquence, malgré mes années de foi en Dieu, je n’ai pas compris la vérité et j’avais peu de connaissance de mon propre tempérament corrompu. Du fait de la pandémie, j’ai passé les derniers mois à lire les paroles de Dieu et à faire mon devoir à la maison. J’ai compris certaines vérités et gagné une certaine connaissance de mes tempéraments corrompus. Les gains durant cette période m’ont donné un grand sentiment d’accomplissement, et je voulais abandonner mes études pour faire mes devoirs. J’ai parlé de ma décision d’abandonner l’école à ma grand-mère et à ma mère. Ma grand-mère m’a beaucoup soutenue. Mais lorsque ma mère l’a appris, elle n’a cessé de pleurer et a dit : « Il n’a pas été facile pour nous de financer tes études. Si tu arrêtes maintenant, que diront ton père et ton grand-père ? Que penseront nos proches et amis quand ils l’apprendront ? » Ma sœur a également essayé de me persuader après l’avoir appris, en disant : « Après plus de dix ans de travail acharné à l’école, es-tu sûre que tu ne vas pas regretter d’abandonner ainsi ? » En écoutant ce qu’ils disaient, je me suis sentie quelque peu contrariée. J’avais sacrifié tant de choses pour entrer à l’université. Si j’abandonne maintenant, mes quatorze années de travail acharné et les efforts inlassables de mes parents ne seraient-ils pas gâchés ? De plus, ce n’était pas facile pour mes parents de me soutenir financièrement à l’école. Ils espéraient que j’irai dans une bonne université, que je trouverai un bon travail, que je leur offrirai une vie meilleure et leur apporterai de l’honneur. Si j’abandonnais pour faire mes devoirs, ils auraient sûrement le coeur brisé et seraient déçus. À quel point cela serait ingrat ! Je ne voulais pas rendre mes parents tristes, mais cette vie n’était pas celle que je désirais. Je me sentais profondément tiraillée et peinée, alors je priais sans cesse Dieu : « Ô Dieu, je suis très troublée en ce moment. S’il Te plaît, guide-moi pour comprendre Ton intention et faire le bon choix. »
Plus tard, j’ai lu un passage des paroles de Dieu : « Dieu a créé ce monde et y a amené l’homme, un être vivant à qui Il a donné la vie. Ensuite, l’homme a eu des parents et une famille, et n’a plus été seul. Depuis que l’homme a jeté son regard pour la première fois sur ce monde matériel, il a été destiné à exister dans ce que Dieu a prédestiné. Le souffle de vie de Dieu soutient chaque être vivant tout au long de sa croissance et jusqu’à l’âge adulte. Pendant ce processus, personne ne réalise que l’homme grandit sous les soins de Dieu, mais au contraire, les gens croient que l’homme le fait sous les soins bienveillants de ses parents, et que c’est son propre instinct de vie qui régit sa croissance. C’est parce que l’homme ne sait pas qui lui a donné la vie ni d’où elle est venue, et encore moins comment l’instinct de vie crée des miracles. Il sait seulement que la nourriture est la base sur laquelle sa vie continue, que la persévérance est la source de son existence et que les convictions de son esprit sont le capital dont dépend sa survie. L’homme est complètement inconscient de la grâce et de la provision qui viennent de Dieu, et c’est ainsi qu’il gaspille, en vain, la vie que Dieu lui a accordée… Pas un seul homme de cette humanité que Dieu entoure de soins jour et nuit ne prend l’initiative de L’adorer. Dieu continue seulement d’œuvrer en l’homme – duquel Il n’attend rien – comme Il l’a prévu. Il le fait dans l’espoir, qu’un jour, l’homme s’éveillera de son rêve et comprendra soudain la valeur et le sens de la vie, le prix que Dieu a payé pour tout ce qu’Il lui a donné et l’ardente sollicitude avec laquelle Dieu attend que l’homme retourne à Lui » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Dieu est la source de la vie de l’homme). À partir des paroles de Dieu, j’ai compris que chacun existe sous la souveraineté et la prédestination de Dieu. En apparence, il semble que mes parents m’ont élevée, mais en réalité, ma vie vient de Dieu. C’est Dieu qui pourvoit à mes besoins, qui s’est arrangé pour que je naisse dans cette famille avec ces parents, qui m’a fourni tout ce qui était nécessaire à ma survie, et qui m’a guidée pas à pas jusque là où je suis aujourd’hui. Les parents qui élèvent leurs enfants assument simplement leurs responsabilités et obligations ; et il n’y a pas de dette entre eux. J’avais toujours voulu aller à l’université et trouver un bon travail, de sorte que mes parents et moi puissions avoir une vie meilleure et gagner l’admiration des gens. Pour atteindre cet objectif, j’ai travaillé dur pendant plus de dix ans. Pourtant, lorsque j’ai poursuivi la réputation et le gain et que j’ai été blessée et tourmentée par Satan, ce n’étaient pas mes parents qui m’ont soutenue, mais Dieu qui est resté à mes côtés dans mes moments les plus douloureux. Dieu a veillé sur moi et m’a protégée, Il m’a réconfortée et m’a guidée avec Ses paroles. Il a attendu que je me tourne vers Lui. Si je persistais dans cette voie erronée, je serais trop redevable envers Dieu. Dieu m’a continuellement abreuvée et pourvue, me guidant pas à pas là où je suis aujourd’hui. Maintenant, avec les différentes tâches dans la maison de Dieu nécessitant la coopération des gens, je devrais assumer mes responsabilités en tant qu’être créé et mener à bien mes devoirs. Après avoir compris ces choses, j’ai dit à ma mère et à ma sœur : « J’ai une mission, et peu importe que vous soyez d’accord ou non, je quitte l’école. » En voyant ma détermination, elles n’ont rien ajouté.
Ensuite, j’ai envoyé un message à mon conseiller pour l’informer de ma décision d’abandonner l’école. Le conseiller a essayé de me convaincre en disant : « Réfléchis bien. Une fois diplômée, tu auras une licence et tu trouveras un emploi beaucoup plus facilement. » En entendant cela, je me suis sentie un peu destabilisée, alors j’ai prié Dieu et je me suis souvenue de Ses paroles : « Réveillez-vous, frères ! Réveillez-vous, sœurs ! Mon jour ne tardera pas. Le temps, c’est la vie, et ressaisir le temps, c’est sauver la vie ! Le temps est proche ! Si vous ratez l’examen d’entrée à l’université, vous pouvez étudier et le repasser autant de fois qu’il vous plaira. Cependant, Mon jour ne souffrira aucun retard supplémentaire. Souvenez-vous ! Souvenez-vous ! Je vous exhorte par ces bonnes paroles. La fin du monde se déroule devant vos yeux et de grandes catastrophes approchent rapidement. Qu’est-ce qui est le plus important, votre vie, ou votre sommeil, ce que vous mangez et buvez et vos vêtements ? Le temps d’évaluer ces choses est venu. Ne doutez pas plus longtemps, et ne reculez pas devant la certitude ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 30). J’ai soudainement pris conscience, me rendant compte que peu importe le niveau de mon diplôme ou que j’aie un bon emploi, tout cela ne serait que temporaire et ne nourrirait ma vanité que pour un instant, sans apporter de véritable avantage à ma vie. Désormais, Dieu mène la dernière étape de Son œuvre de salut et de purge de l’humanité ; c’est une occasion unique dans une vie. Si je la laisse échapper, je le regretterais éternellement. Je devais saisir cette chance de faire mon devoir et de poursuivre la vérité avec sincérité. Sinon, peu importe le prestige de mon diplôme, que j’aie un bon emploi, ou l’admiration que je recevrais de la part de mes amis et de mes proches, je finirai quand même par tomber dans les catastrophes. Alors, j’ai prié Dieu, Lui demandant de me donner la foi afin que je puisse croire en Lui sans vaciller et faire mes devoirs. Après avoir prié, j’ai résolument envoyé un message à mon conseiller, lui disant : « J’ai pris la décision de quitter l’école ! » Voyant ma détermination, le conseiller n’a pas cherché à me convaincre davantage, et le processus de désinscription s’est déroulé sans encombre.
Au moment où je suis sortie de l’enceinte de l’école avec mes bagages, j’ai ressenti qu’un lourd fardeau avait quitté mon cœur. J’ai éprouvé une sensation de légèreté et de joie que je n’avais jamais connue auparavant. Par la suite, je me suis rendue à l’Église pour faire mes devoirs et j’ai eu davantage de temps pour lire les paroles de Dieu et me rapprocher de Lui. À travers l’expérience des différents environnements que Dieu avait arrangés, j’ai acquis une certaine compréhension de la vérité, j’ai appris la véritable signification de croire en Dieu, comment poursuivre l’entrée dans la vie, comment résoudre mon tempérament corrompu, et ainsi de suite. Mon cœur s’est particulièrement éclairé. J’ai senti que chaque jour était épanouissant, et mon cœur était particulièrement serein et joyeux. Même certaines des maladies dont je souffrais ont peu à peu disparu sans que je m’en aperçoive. Lorsque je suis rentrée chez moi pour le Nouvel An, j’ai vu mes anciens camarades de classe, occupés chaque jour à étudier, à passer différents examens de certification, et à participer à toutes sortes d’activités. Elles poursuivaient la réputation et le gain comme but ultime de leur vie, luttant sans relâche pour les atteindre, et pourtant, elles ne savaient même pas d’où elles venaient, où elles allaient finir, pourquoi les gens vivent, et ainsi de suite. Elles menaient des vies pitoyables. Si je n’avais pas abandonné mes études à ce moment-là, j’aurais été l’une d’elles. Je suis tellement heureuse d’avoir choisi de quitter l’école et de venir dans la maison de Dieu pour faire mes devoirs ; c’est la décision la plus juste que j’ai jamais prise, et je ne la regretterai jamais !
La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.
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