Un signalement erroné

14 octobre 2022

Par Xiaojie, Australie

Pendant plus d’un an, Dieu a échangé sur les vérités qui concernent le discernement des faux dirigeants. Dans les réunions, j’échangeais souvent sur ma compréhension et ma connaissance de cette question, mais dans la vraie vie, j’étais incapable de discerner les faux dirigeants. Quand des dirigeants manifestaient la moindre volonté de ne pas faire de travail concret, je les cataloguais aveuglément comme faux dirigeants et je les condamnais. De ce fait, je ne protégeais pas le travail de l’Église, et je risquais de perturber son déroulement. Grâce à ce que les faits ont révélé, j’ai tiré des leçons de mes échecs, ce qui m’a donné un certain discernement quant aux faux dirigeants.

Au sein de l’Église, j’étais chargé des tâches administratives. J’étais responsable de la gestion de certains objets de l’Église. En faisant mon devoir, je me suis aperçu que les frères et sœurs traitaient les objets de façon inappropriée, ce qui compliquait la gestion. Je suis donc allé voir la dirigeante, Sœur Li, pour lui signaler ce problème, et lui rappeler qu’elle pouvait l’évoquer devant les frères et sœurs, et échanger à ce sujet dans les réunions. Elle a compris la situation et a accepté. Ensuite, j’ai attendu que Sœur Li vienne aux réunions. J’ai attendu longtemps, mais elle n’est jamais venue, et n’a jamais assuré de suivi, alors j’ai commencé surveiller cette dirigeante. Je me suis dit : « Ça fait un bout de temps. Pourquoi n’assure-t-elle pas le suivi de cette tâche ? Je lui en ai parlé plus d’une fois, mais le problème n’est toujours pas résolu. Dieu échange sur les aspects de la vérité qui concernent le discernement des faux dirigeants. Si tu n’assures aucun suivi, si tu ne résous pas les problèmes, tu es une fausse dirigeante, et je dois le signaler à tes supérieurs. Ces dirigeants sauront alors que je possède un sens de la justice. Et ils se feront peut-être même une haute idée de moi ! » À ce moment-là, je n’ai fait qu’y songer. Un mois plus tard, le contrat de location de l’endroit où nous stockons les livres de la parole de Dieu est arrivé à expiration, de sorte qu’il a fallu déplacer tous ces livres. Il y en avait beaucoup, et chaque carton pesait lourd, me charger du déménagement moi-même aurait donc pris trop de temps. Un peu inquiet, j’ai demandé à la dirigeante si elle pouvait me trouver de l’aide. Elle disait sans cesse qu’elle cherchait des gens pour m’aider, mais personne ne venait. Finalement, deux frères sont arrivés. Ils m’ont aidé une seule fois, et ils sont vite repartis. Cette situation m’a vraiment énervé. Je me suis demandé : « Pourquoi la dirigeante n’a-t-elle pas pu trouver davantage de gens ? Pourquoi n’assure-t-elle pas le suivi de cette tâche ? Pourquoi ne vient-elle pas voir le travail que cela représente ? » Plus j’y pensais, plus j’étais en colère, et j’ai cessé de signaler les problèmes à ma dirigeante, parce que cela ne servait à rien. Durant cette période, j’ai refusé de voir cette dirigeante, et quand je la voyais, je refusais de lui adresser la parole. Je me suis dit : « Si tu ne veux pas me trouver de l’aide, tant pis, je vais m’en occuper seul. De toutes façons, je mémorise tout ce que tu fais. Le moment venu, je signalerai ce problème à tes supérieurs. » J’ai pensé à un passage de la parole de Dieu sur le discernement des faux dirigeants. « Les faux dirigeants ignorent également les problèmes qui surviennent dans le travail de l’Église. Ils ne vont jamais sur place pour en savoir plus, assurer un suivi, ou affronter ce qui se passe réellement afin d’identifier immédiatement les problèmes, de les résoudre, d’éliminer les dérives et les négligences survenues dans le travail. Face aux difficultés rencontrées dans le travail de l’Église, les faux dirigeants ne font que débiter un peu de doctrine ou répéter quelques phrases comme des perroquets » (La Parole, vol. 5, « Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers »). J’ai pensé : « Le comportement de ma dirigeante correspond à ce que la parole de Dieu décrit. Si elle n’investigue pas et ne résout pas les problèmes, n’est-elle pas une fausse dirigeante ? » J’y ai réfléchi, moi aussi. J’avais vu le problème, mais sans communiquer avec Sœur Li, je n’avais pas non plus demandé que ce problème soit vérifié, je ne pouvais donc pas la traiter aussi inconsidérément. Je me sui dit : « Et si je cherchais d’abord davantage de principes de vérité dans ce domaine, et que j’en parlais avec quelques frères et sœurs qui comprennent la vérité, avant de me décider ? » Mais son comportement était exactement comme celui que Dieu décrivait. Que pouvais-je faire d’autre ? Je n’étais pas certain que mon point de vue était exact, et je ne voulais pas l’accuser à tort, alors je me suis demandé ce que je devais faire. Je pensais sans cesse au fait que ma dirigeante ne résolvait pas mes problèmes. Et, d’un coup, j’ai cessé de chercher la vérité, je n’ai pas tenu compte du contexte de la parole de Dieu, et j’ai incorrectement compris cette parole. J’ai pris une seule ligne comme prétexte pour accuser Sœur Li, un seul comportement, et j’ai cru qu’elle était une fausse dirigeante.

Ensuite, j’ai entendu des sœurs, qui s’occupaient d’autres tâches administratives, dire que Sœur Li ne suivait guère leur travail, et que celui-ci s’en trouvait parfois retardé. Entendre ça m’a convaincu encore davantage : « Sœur Li ne fait pas de travail pratique, elle ne surveille pas et n’investigue pas les tâches, ne se trouve-t-elle pas ainsi révélée en tant que fausse dirigeante ? Récemment, dans les réunions, nous avons échangé sur le discernement des faux dirigeants. J’ai du mal à croire que j’en ai trouvé une. Je dois avoir un sens de la justice, défendre le travail de l’Église et exposer cette fausse dirigeante. » Mais quand j’ai voulu signaler ces problèmes aux supérieurs de Sœur Li, je me suis senti mal à l’aise. Je n’avais toujours pas discuté avec elle de cette question, je n’avais pas cherché, ni parlé de la situation avec ceux qui comprenaient la vérité, alors, n’étais-je pas en train de me montrer aveugle et arbitraire ? Mais, à ce moment-là, j’ai découvert que les supérieurs de Sœur Li étaient venus lui parler, et qu’ils avaient aussi demandé à tous les chefs d’équipe comment elle faisait son devoir. Quand j’ai appris ça, j’ai eu du mal à me calmer. Contre toute attente, les supérieurs de Sœur Li savaient déjà qu’elle posait un problème, il était donc pratiquement certain qu’elle était une fausse dirigeante. J’ai pensé : « Je dois signaler les problèmes de Sœur Li à ses supérieurs immédiatement. Je n’ai plus besoin de chercher. Sinon, quand les supérieurs de Sœur Li auront terminé leur investigation, ils la renverront, et quand ils discuteront de ceux qui l’avaient discernée, qui avaient découvert les problèmes qu’elle posait, et qui avaient eu un sens de la justice et l’avaient signalée, ils ne mentionneront pas mon nom. Comment pourrais-je alors montrer que j’avais eu du discernement ? Je ne dois plus attendre. » Je me suis empressé de prendre rendez-vous avec Frère Zhou, le supérieur de Sœur Li, et je lui ai signalé les problèmes de Sœur Li. J’ai dit : « Sœur Li, en tant que dirigeante, n’assure pas le suivi de mon travail, et elle ne s’informe pas des difficultés que je rencontre. Chaque fois que je lui parle d’un problème, elle ne le résout pas. » J’ai aussi montré à Frère Zhou une parole de Dieu sur le discernement des faux dirigeants. J’ai dit que les comportements révélés dans ce passage étaient les mêmes que ceux de Sœur Li, et que je pensais qu’elle était une fausse dirigeante. Quand j’ai terminé, il m’a dit : « Nous avons déjà étudié la situation, et Sœur Li a effectivement des problèmes, elle n’a pas surveillé correctement certaines tâches, et elle fait dans l’à-peu-près dans son devoir. Elle doit être émondée, traitée, et on doit l’aider à réfléchir sur elle-même, et à en tirer des leçons. Mais nous avons appris que, ces derniers mois, Sœur Li a surtout supervisé le travail d’abreuvement, parce que de nombreux nouveaux arrivants ont rejoint l’Église récemment. Certains pasteurs religieux ont provoqué des perturbations graves. Ces nouveaux venus doivent être abreuvés pour prendre racine dans le vrai chemin. C’est le travail le plus important et le plus urgent en ce moment. Sœur Li a consacré toute son énergie à ce travail. Les tâches administratives ne sont pas aussi urgentes. Ce n’est pas grave si elle est un peu lente à assurer un suivi, en ce moment, tant que cela n’entrave pas les choses. Comme le travail s’accumule, et que nous manquons aussi de personnel, elle doit faire des choix, et elle a décidé de suspendre les tâches administratives pour l’instant. C’est pour cette raison que Sœur Li n’a pas assuré le suivi de ton travail à temps, mais elle n’a décidé de pratiquer de cette façon qu’après en avoir discuté avec ses partenaires. En outre, Sœur Li était chargée d’une seule tâche auparavant. Elle est dirigeante depuis peu, et elle a du mal à gérer autant de travaux. Elle ne peut pas assurer le suivi de certaines activités, et elle a besoin de notre aide et de notre communication. » À ce stade, Frère Zhou m’a envoyé les principes liés à cette situation. Je n’ai compris qu’alors qu’il fallait parfois établir des priorités dans le travail. À ce moment-là, le travail d’abreuvement était prioritaire. Les dirigeants ne pouvaient se charger d’autres tâches que si l’abreuvement ne s’en trouvait pas affecté. Si l’abreuvement en pâtissait, cela reviendrait à sacrifier l’essentiel au profit de l’inessentiel, non ? Même si Sœur Li n’avait pas suivi certaines tâches correctement, elle n’avait pas renoncé à faire un travail pratique, elle avait juste établi des priorités. Mais je n’avais pas essayé de comprendre pourquoi elle ne suivait pas mon travail, ou pourquoi elle ne résolvait pas les problèmes que j’avais. À la place, j’avais commencé à avoir des préjugés contre elle, je l’avais surveillée, j’avais pensé qu’elle ne faisait pas de travail pratique, et je l’avais tout de suite rangée parmi les fausses dirigeantes. N’avais-je pas été arbitraire ? C’est alors que Frère Zhou m’a demandé : « Si on renvoyait Sœur Li maintenant, est-ce que l’Église pourrait trouver quelqu’un pour la remplacer immédiatement ? Le travail pourrait-il se poursuivre ? » J’y ai réfléchi, et je me suis dit que Sœur Li convenait encore en tant que dirigeante. Après avoir parlé avec Frère Zhou, je me suis senti très triste. Au départ, j’avais cru avoir un sens de la justice, j’avais même trouvé des paroles de Dieu se rapportant à cette question. Je m’étais dit que j’avais signalé Sœur Li après avoir cherché la vérité. Mais il s’avérait que je ne comprenais pas la vérité, que j’avais discerné à tort. Quelle erreur avais-je commis, alors ?

En cherchant, j’ai lu ce passage de la parole de Dieu. « La caractérisation d’une personne comme faux dirigeant ou faux ouvrier doit reposer sur des faits suffisants. Elle ne doit pas être fondée sur un ou deux incidents ou transgressions, et encore moins sur une corruption temporaire. Les seuls critères précis permettant de caractériser quelqu’un consistent à savoir s’il est capable de faire un travail pratique et d’utiliser la vérité pour résoudre les problèmes, ainsi que s’il est une personne correcte, s’il est quelqu’un qui aime la vérité et peut obéir à Dieu et s’il possède l’œuvre et l’illumination du Saint-Esprit. On ne peut caractériser correctement quelqu’un comme un faux dirigeant ou un faux ouvrier qu’en fonction de ces facteurs. Ces facteurs sont les critères et les principes pour évaluer et déterminer si quelqu’un est un faux dirigeant ou un faux ouvrier » (La Parole, vol. 5, « Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers »). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que pour discerner un faux dirigeant, il faut surtout examiner si celui-ci est capable de faire un travail pratique et d’accepter la vérité. J’avais imaginé, à tort, que les dirigeants devaient résoudre le moindre de mes problèmes dans mon devoir, que s’ils le faisaient, il s’agissait de vrais dirigeants, mais que, dans le cas contraire, il s’agissait de faux dirigeants qui ne faisaient pas de travail pratique. Ce point de vue est erroné, et il n’est pas conforme à la vérité. Pour déterminer si un dirigeant est un faux dirigeant, l’essentiel est de savoir si cette personne peut superviser rapidement, comprendre, et cerner l’avancement et le statut de chaque tâche relevant de sa responsabilité, si elle peut rapidement découvrir et investiguer les problèmes, difficultés et déviations des frères et sœurs dans leurs devoirs, et si elle travaille avec ces derniers pour chercher les principes de la vérité, afin de résoudre ces questions. En se basant sur ces points, on peut juger si un dirigeant fait ou non un travail pratique. Il faut également savoir si un dirigeant peut accepter la vérité, et s’il s’agit de la bonne personne. Si un dirigeant se pose des questions, il peut chercher avec ses supérieurs. Quand on lui fait des suggestions, ou qu’on souligne ses défauts, il doit être capable d’obéir, de chercher la vérité et de réfléchir sur lui-même. Quand il est émondé, traité, ou qu’il subit des revers et des échecs, il doit être capable d’en tirer des leçons, puis de changer. Cela signifie qu’il accepte la vérité. En outre, quand un dirigeant est responsable de diverses tâches, il n’est pas obligé de tout faire lui-même. Il est principalement chargé de contrôler ces tâches, pour que le travail de l’Église se déroule normalement. Ceux qui procèdent ainsi sont des dirigeants qualifiés. En apparence, les faux dirigeants sont constamment occupés, mais ils ne font qu’un travail superficiel ou inessentiel. Ils ne font jamais à temps le travail important, ils courent partout, aveuglément, ils s’affairent, et ils sont inefficaces. Comme ils ne comprennent pas les principes de la vérité, ils ne sont pas capables de découvrir ou de voir clairement les problèmes dans leur travail, et ils ne savent pas planifier ou arranger les choses. Ils ne savent parler que de lettres et de doctrines, leurs paroles sont creuses, ce qui n’offre aucun chemin de pratique, et ne résout pas les problèmes que leurs frères et sœurs rencontrent dans leurs devoirs. En cas d’ennuis, ils ne cherchent pas la vérité, n’acceptent pas la direction et l’aide d’autrui, et, en fin de compte, de nombreuses tâches ne se passent pas bien, ou même stagnent. C’est manquer gravement à son devoir, et être un faux dirigeant. Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que pour discerner si quelqu’un était un faux dirigeant, il fallait examiner bien des choses, investiguer minutieusement. Si l’on n’examine que le comportement ou la corruption temporaires, en ignorant le contexte, les causes, sans savoir si ces gens se repentent et changent, et qu’on les définit arbitrairement, il n’est que trop facile de les accuser à tort. Nous sommes tous corrompus, nous avons tous des défauts, mais tant que l’on est capable de se connaître, de se repentir et de changer, l’Église nous donne l’occasion de pratiquer. Après avoir appliqué la parole et les principes de Dieu au comportement de Sœur Li, j’ai vu qu’elle avait assuré le suivi des tâches les plus importantes, et que, quand elle avait eu des problèmes, elle en avait parlé avec d’autres pour les résoudre. Dans l’ensemble, elle avait effectivement fait un travail pratique, et avait obtenu des résultats dans son devoir. Il y avait eu trop de tâches à faire en même temps, et Sœur Li n’avait pas encore trouvé son équilibre, des choses étaient donc passées à travers les mailles du filet. C’était un défaut dans son devoir, et elle avait besoin de rappels, et d’aide. Quand je me suis aperçu de tout ça, j’ai vu que je ne comprenais pas les principes de la vérité, que je ne pouvais pas traiter les gens équitablement. J’avais vu que ma dirigeante avait des problèmes, mais je n’avais pas communiqué, pas tenu compte de tous les aspects, et je l’avais définie aveuglément comme étant une fausse dirigeante. Je n’avais vraiment aucune crainte de Dieu dans mon cœur.

Ensuite, j’ai vu un passage de la parole de Dieu. « Quand quelqu’un est choisi par les frères et sœurs pour être dirigeant ou promu par la maison de Dieu pour faire un certain travail ou accomplir un certain devoir, cela ne signifie pas qu’il a un statut spécial ou une identité spéciale, ni que les vérités qu’il comprend sont plus profondes et plus nombreuses que celles que comprennent les autres, et cela signifie encore moins que cette personne est capable de se soumettre à Dieu et ne Le trahira pas. Cela ne signifie pas non plus que cette personne connaît Dieu ni qu’elle est quelqu’un qui craint Dieu. En fait, elle n’a accédé à rien de cela : la promotion et la formation ne sont que la promotion et la formation au sens le plus simple et ne sont pas équivalentes au fait d’avoir été prédestinée et validée par Dieu. Sa promotion et sa formation signifient simplement qu’elle a été promue et qu’elle attend d’être formée. Et le résultat final de cette formation dépend du fait que cette personne poursuive ou non la vérité et qu’elle soit capable ou non de choisir le chemin de la poursuite de la vérité. Ainsi donc, quand quelqu’un, dans l’Église, est promu et formé pour être un dirigeant, il est seulement promu et formé au sens le plus simple ; cela ne signifie pas qu’il est déjà un dirigeant qualifié, ou un dirigeant compétent, ni qu’il est déjà capable d’entreprendre le travail d’un dirigeant et qu’il peut effectuer un vrai travail : ce n’est pas le cas. La plupart des gens ne voient pas ces choses clairement, et ils admirent ceux qui sont promus, en se fiant à leur imagination, mais c’est une erreur. Quel que soit le nombre d’années qu’ils ont pu croire, ceux qui sont promus possèdent-ils vraiment la réalité de la vérité ? Pas nécessairement. Sont-ils capables de concrétiser les arrangements de travail de la maison de Dieu ? Pas nécessairement. Ont-ils le sens des responsabilités ? Sont-ils dévoués ? Sont-ils capables de se soumettre à Dieu ? Quand ils rencontrent un problème, sont-ils capables de rechercher la vérité ? On n’en sait rien. Ces gens-là ont-ils un cœur qui craint Dieu ? Et dans quelle mesure exactement craignent-ils Dieu ? Sont-ils susceptibles de faire les choses selon leur propre volonté ? Sont-ils capables de chercher Dieu ? Pendant qu’ils accomplissent le travail des dirigeants, se présentent-ils régulièrement et fréquemment devant Dieu pour chercher à savoir quelle est Sa volonté ? Sont-ils capables de guider les gens dans l’entrée dans la réalité de la vérité ? Ils sont certainement incapables de faire de telles choses tout de suite. Ils n’ont pas reçu de formation et ont trop peu d’expérience, ils sont donc incapables de faire ces choses-là. C’est pourquoi promouvoir et former quelqu’un ne signifie pas qu’il comprend déjà la vérité, et cela ne dit pas non plus qu’il est déjà capable d’accomplir son devoir de façon satisfaisante. Quels sont donc le but et la signification de la promotion et de la formation d’une personne ? C’est que cette personne, en tant qu’individu, est promue pour être formée, pour être spécialement abreuvée et instruite, afin qu’elle soit capable de comprendre les principes de la vérité, les principes pour faire différentes choses et les principes, les moyens et les méthodes pour résoudre divers problèmes ainsi que, lorsqu’elle rencontre divers types d’environnements et de personnes, la manière de les gérer et de s’accorder avec eux conformément à la volonté de Dieu et d’une façon qui protège les intérêts de la maison de Dieu. Cela indique-t-il que le talent promu et cultivé par la maison de Dieu est suffisamment capable d’effectuer son travail et d’accomplir son devoir au cours de la période de promotion et de formation ou avant la promotion et la formation ? Bien sûr que non. Il est donc inévitable que ces personnes, durant leur période de formation, soient traitées, émondées, jugées et châtiées, exposées, et même remplacées : c’est normal, et c’est ce que veut dire être formé et cultivé » (La Parole, vol. 5, « Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers »). Grâce à cette parole de Dieu, j’ai compris que lorsqu’on choisit un dirigeant ou un ouvrier, cela ne signifie pas qu’ils comprennent la vérité et qu’ils sont pleinement qualifiés pour faire un travail. Cela ne veut pas dire non plus qu’elle comprend tout et qu’elle peut faire n’importe quelle tâche à la perfection. Ceux qui sont promus ont simplement un certain calibre et des capacités de travail, et ils sont capables d’accepter et de poursuivre la vérité, alors l’Église leur permet d’être cultivés et formés. En découvrant et en résolvant sans cesse des problèmes dans leur travail, ils gagnent une certaine vérité et apprennent à agir avec principe. Mais durant cette période, dirigeants et ouvriers en sont encore au stade de la pratique, et les déviations, insuffisances et défauts dans leur travail sont inévitables, et il faut traiter cette question correctement. Quand on rencontre des problèmes ou des difficultés, on doit chercher, échanger, et résoudre ces situations avec les dirigeants. Ce n’est qu’ainsi que le travail peut être efficace. Si on exige trop de choses des dirigeants et des ouvriers, si on leur demande de résoudre tous les problèmes qu’on découvre, ou si on les définit comme des faux dirigeants quand ils mettent du temps à résoudre les problèmes, nous traitons ces dirigeants sans principe, d’une façon qui n’est pas conforme à la volonté de Dieu. Grâce à la parole de Dieu, j’ai vu que je traitais les dirigeants sans me baser sur les principes de la vérité, mais sur mes propres notions et imaginations. Mes exigences vis-à-vis d’eux étaient trop élevées et contraignantes. Quand j’avais vu que ma dirigeante ne suivait pas mon devoir, qu’elle ne résolvait pas mes problèmes rapidement, je l’avais définie comme étant une fausse dirigeante. Je n’avais pas examiné le contexte ou l’avancement global de son travail, et je ne m’étais pas demandé si elle était capable d’accepter la vérité et de renverser la situation. Je l’avais condamnée aveuglément en tant que fausse dirigeante, en me basant sur ma vision à sens unique de la situation. Ce n’était pas avoir un sens de la justice, mais perturber les choses, et violer les principes de la vérité. J’ai vu que je ne comprenais pas la vérité, que je ne traitais pas dirigeants et ouvriers avec principe, et, chose plus grave, il n’y avait aucune crainte de Dieu dans mon cœur. J’avais fait une montagne des problèmes mineurs de ma dirigeante, que j’avais imprudemment condamnée, je m’étais jeté sur la moindre de ses difficultés. Je ne l’avais pas traitée en me basant sur sa nature et son essence, ou sur la situation réelle. Mon comportement était le même que celui des faux dirigeants et des antéchrists qui répriment le peuple élu de Dieu. En y réfléchissant, j’ai soudain été saisi par la peur. J’ai compris que la nature du problème était grave. Si Frère Zhou n’avait pas été au courant de la situation, s’il m’avait écouté et avait renvoyé Sœur Li, le travail de l’Église aurait été affecté, et j’aurais alors fait le mal, n’est-ce pas ? Cela aurait constitué une transgression considérable ! Si ce genre de choses m’arrivait de nouveau, je ne devais pas me fier à mon imagination pour évaluer les autres. Je devais davantage chercher les principes de la vérité, traiter les gens équitablement, conformément aux exigences de Dieu, et faire les choses avec principe.

Par la suite, Sœur Li est venue me voir, et elle m’a parlé de son état récent et de ses problèmes dans le travail. Elle m’a dit qu’elle voulait changer, et elle s’est informée de mes problèmes et difficultés au travail. Nous avons réuni des documents ensemble, pour échanger avec les frères et sœurs de chaque équipe. J’ai compris qu’elle n’était pas quelqu’un qui n’accepte pas la vérité. Même s’il y avait eu des erreurs dans son travail, même si elle n’avait pas assuré de suivi dans certains domaines, quand elle apprenait qu’il y avait un problème, elle était capable de changer les choses rapidement. J’ai vu qu’elle n’était pas réellement une fausse dirigeante qui ne faisait pas de travail pratique.

Au début, je m’étais dit que j’avais une certaine compréhension de ce problème, mais que je ne comprenais pas la vérité et que je ne savais pas discerner les faux dirigeants, ce qui m’avait amené à commettre cette erreur. Puis, un jour, lors d’une réunion, j’avais entendu mes frères et sœurs dire que, parfois, les erreurs n’étaient pas simplement dues à un manque de discernement, ou à un manque de compréhension de la vérité. Nous devons aussi examiner si les erreurs sont causées par des adultérations dues à nos motivations ou tempéraments corrompus. J’ai alors lu un passage de la parole de Dieu, qui dit : « Ne considère pas tes transgressions comme les erreurs d’une personne immature ou stupide ; n’utilise pas l’excuse selon laquelle tu n’as pas pratiqué la vérité parce que ton calibre médiocre a rendu cela impossible. De plus, ne considère pas seulement les transgressions que tu as commises comme les actes de quelqu’un qui n’était pas bien avisé. Si tu te pardonnes facilement et te traites avec générosité, alors Je dis que tu es un lâche qui ne gagnera jamais la vérité et tes transgressions ne cesseront jamais de te hanter ; elles t’empêcheront toujours de répondre aux exigences de la vérité et feront de toi un fidèle compagnon de Satan à jamais » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les transgressions conduiront l’homme en enfer). Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris que, lorsque des environnements surviennent, nous ne pouvons pas laisser passer l’occasion. Nous devons chercher la vérité en eux, et en venir à connaître nos propres tempéraments corrompus. Ce n’est qu’alors qu’il peut y avoir un changement et une croissance véritables dans notre vie. Si vous traitez toujours vos transgressions comme des erreurs temporaires, si vous pensez qu’elles ne comptent pas, que vous ferez plus attention la fois suivante, et si vous pardonnez toujours vos propres transgressions, alors vous ne comprendrez jamais vos problèmes, vous ne gagnerez jamais la vérité, et finalement, vos transgressions s’accumuleront et vous n’arriverez à aucun changement, et Dieu vous détestera et vous bannira. Grâce à ce que cette parole de Dieu révélait, j’ai réfléchi à ce qu’avaient été précisément mes pensées quand cet environnement s’était abattu sur moi, et à quelle adultération due à mes motivations et tempéraments corrompus j’avais exposé. En réfléchissant, j’ai compris que lorsque j’avais vu les problèmes de ma dirigeante, je n’avais en fait pas été certain de voir les choses correctement, et j’avais voulu lire davantage la parole de Dieu. Mais quand j’avais appris que Sœur Li ne suivait pas le travail d’autres membres du personnel administratif, et que ses supérieurs examinaient ses performances, j’avais cru qu’elle était certainement une fausse dirigeante, et que je devais vite la signaler à ses supérieurs, pour que mes frères et sœurs voient que j’avais un sens de la justice, et du discernement. Donc, sans comprendre les principes de la vérité, ni continuer à chercher, et sans connaître le contexte ou les causes de cette situation, j’avais défini aveuglément Sœur Li comme étant une fausse dirigeante, en me basant sur le peu d’informations dont je disposais. J’avais même pensé que je voyais les choses clairement et qu’il n’y aurait aucun problème. Mais maintenant, je comprenais que j’avais été très imprudent, et que mes intentions avaient été erronées. J’ai pensé : « Pourquoi ai-je signalé ma dirigeante sans comprendre les principes de la vérité ? Quelle est l’origine du problème ? »

J’ai lu ceci dans la parole de Dieu : « Beaucoup de gens suivent leurs propres idées, quoi qu’ils fassent, considèrent les choses dans des termes très simplistes et ne recherchent pas la vérité. Il y a chez eux une absence totale de principe et, dans leur cœur, ils ne réfléchissent pas à la façon d’agir selon ce que Dieu demande ni d’une manière qui satisfasse Dieu, et ils ne savent que suivre obstinément leur propre volonté. Dieu n’a pas de place dans le cœur de ces gens. Certains disent : “Je ne prie Dieu que lorsque je rencontre des difficultés, mais cela ne semble toujours pas avoir d’effet, donc en général, maintenant, quand il m’arrive quelque chose, je ne prie pas Dieu car prier Dieu ne sert à rien.” Dieu est totalement absent du cœur de ces gens-là. Ils ne cherchent pas la vérité, quoi qu’ils fassent : ils ne suivent que leurs propres idées. Y a-t-il donc des principes dans leurs actions ? Absolument pas. Ils voient tout en termes simples. Même lorsqu’on leur communique les principes de la vérité, ils ne sont pas capables de les accepter, car il n’y a jamais eu de principes dans leurs actions, Dieu n’a pas de place dans leur cœur, et il n’y a personne d’autre qu’eux-mêmes dans leur cœur. Ils ont le sentiment que leurs intentions sont bonnes, qu’ils ne font rien de mal, qu’ils ne peuvent pas être considérés comme allant contre la vérité, ils pensent qu’agir selon leurs propres intentions, ce doit être pratiquer la vérité et qu’agir ainsi, c’est obéir à Dieu. En fait, ils ne cherchent pas et ne prient pas vraiment Dieu à ce sujet, mais agissant par impulsion, selon leurs propres intentions zélées, ils ne remplissent pas leur devoir comme Dieu le demande, ils n’ont pas un cœur d’obéissance à Dieu, ils sont absents de ce souhait. C’est là la plus grande erreur dans la pratique des gens. Si tu crois en Dieu mais qu’Il n’est pas dans ton cœur, n’essaies-tu pas de Le tromper ? Et quel effet une telle foi en Dieu peut-elle avoir ? Que peux-tu gagner ? Et à quoi bon une telle foi en Dieu ? » (La Parole, vol. 3, « Sermons de Christ des derniers jours », Troisième partie). Grâce à ce que cette parole de Dieu révélait, j’ai vu que, lorsque des évènements survenaient, il était rare que je cherche la vérité et que je pratique conformément à ses principes. Je préférais considérer mes propres pensées comme la vérité, et je suivais mes propres idées. Dans mon cœur, il n’y avait ni place pour Dieu ni crainte de Dieu. Ceux qui craignent Dieu cherchent d’abord les principes de la vérité, et ce que la parole de Dieu dit, quand des évènements surviennent, puis ils considèrent les gens et les choses en se basant sur la parole de Dieu et la vérité. Vu mon manque de discernement concernant les faux dirigeants, j’aurais dû chercher la vérité, comprendre clairement ce que sont les faux dirigeants, leurs manifestations, comment déterminer les faux dirigeants, et d’autres principes de la vérité de ce genre. Mais je ne l’avais pas fait. J’avais jugé arbitrairement, en me basant sur mes propres pensées et mon imagination. Ma dirigeante ne suivant pas mon travail, ne résolvant pas mes problèmes, j’avais pensé qu’elle était une fausse dirigeante. Même si j’avais lu la parole de Dieu durant cette période, je ne l’avais pas comprise. Quand j’avais vu une ligne de la parole de Dieu sur les faux dirigeants qui semblait convenir, je l’avais appliquée, j’en avais conclu que ma dirigeante était une fausse dirigeante, et j’avais cru que je voyais la situation correctement et avec précision. En fait, j’avais sorti les choses de leur contexte, et j’avais appliqué des règles aveuglément. Et, tout au long de ce processus, je m’étais senti mal à l’aise. J’avais voulu chercher davantage, et communiquer avec Sœur Li avant de la signaler, mais je m’étais dit que son comportement était déjà si évident, qu’il correspondait tant à ce que la parole de Dieu disait, qu’il était inutile de chercher davantage. Alors je n’avais pas prié, ni cherché davantage, j’avais juste suivi mes idées. J’ai vu que j’agissais sur la base de mon tempérament arrogant et que je me comportais imprudemment. J’agissais en me basant sur mes propres idées et pensées, en mettant de côté la vérité. Si je continuais ainsi, tôt ou tard, j’allais faire le mal. C’était trop dangereux ! Au même moment, j’ai vu que j’avais une mauvaise humanité. Je ne tenais pas compte de la volonté de Dieu et je ne protégeais pas vraiment les intérêts de l’Église. Quand on a humanité et raison, on doit offrir à temps son aide, et des rappels, quand on constate des erreurs dans le travail d’Église, ou chercher la vérité avec son dirigeant et voir comment résoudre le problème. Mais quand j’avais vu des problèmes dans le travail de ma dirigeante, je ne les avais pas soulevé pour chercher et échanger. Je les avais dissimulés à ma dirigeante, et je les avais signalés à son supérieur, pour que celui-ci pense que j’avais du discernement. Au lieu de parler ouvertement de ces problèmes avec Sœur Li, j’avais poignardé celle-ci dans le dos, et j’avais signalé ses problèmes afin de m’afficher. J’ai vu que, fondamentalement, j’étais méprisable. Comprendre ça m’a brisé le cœur. Je n’aurais jamais imaginé que j’étais ce genre de personne. Clairement, je ne comprenais pas la vérité, j’étais incapable de discerner les faux dirigeants, et j’étais si arrogant et déraisonnable. J’avais été content de moi quand j’avais signalé ma dirigeante, parce que je m’étais dit que j’avais été le seul à discerner que Sœur Li était une fausse dirigeante et que j’étais le meilleur pour ce qui était de comprendre les principes de la vérité. En y repensant, je me suis aperçu que je n’avais rien compris. Je ne comprenais que des lettres et des doctrines, pourtant j’appliquais aveuglément des règles. Je ne comprenais pas les principes de la vérité, pourtant j’avais signalé ma dirigeante sans tenir compte des conséquences. Je ne m’étais pas demandé si ce signalement erroné allait affecter le travail de l’Église ou nuire à Sœur Li. J’ai vu que je n’avais pas signalé ses problèmes pour tenir compte de la volonté de Dieu, ni pour protéger les intérêts de l’Église, je l’avais fait pour m’afficher. Je l’avais fait arbitrairement, sans principe. N’était-ce pas là perturber le travail normal de l’Église ? Je n’avais pas accumulé les bonnes actions, j’avais fait le mal !

Plus tard, j’ai lu cette parole de Dieu et appris les principes pour traiter dirigeants et ouvriers. Dieu Tout-Puissant dit : « Les gens ne doivent pas avoir des attentes élevées ni des exigences irréalistes vis-à-vis de ceux qui sont promus et formés : ce serait déraisonnable et injuste vis-à-vis d’eux. Vous pouvez surveiller leur travail et, si vous découvrez des problèmes ou des choses qui violent les principes dans le cadre de leur travail, vous pouvez soulever la question et rechercher la vérité pour résoudre ces problèmes. Ce que vous ne devez pas faire, c’est les juger, les condamner, les attaquer ou les exclure parce qu’ils sont en période de formation et ne doivent pas être considérés comme des gens qui ont été rendus parfaits, et encore moins comme des gens qui sont parfaits ou qui possèdent la réalité de la vérité. Ils sont comme vous : c’est le moment pendant lequel on les forme. […] Quelle est donc la manière la plus rationnelle d’agir à leur égard ? Les considérer comme des gens ordinaires et, face à un problème à résoudre, échanger avec eux, apprendre chacun des points forts des autres et se compléter mutuellement. En outre, il est de la responsabilité de chacun de surveiller de près si les dirigeants et les ouvriers effectuent un travail réel et s’ils utilisent la vérité pour résoudre les problèmes ; ce sont les standards et les principes pour mesurer si les dirigeants ou les ouvriers sont à la hauteur. S’ils sont capables de traiter et de résoudre les problèmes d’ordre général, alors ils sont compétents. Mais s’ils ne peuvent même pas gérer et régler les problèmes ordinaires, ils ne sont pas aptes à être dirigeants ou ouvriers, et ils doivent être renvoyés rapidement. Choisissez d’autres personnes, et ne retardez pas le travail de la maison de Dieu. Retarder le travail de la maison de Dieu, c’est nuire à toi-même et aux autres et ce n’est bon pour personne » (La Parole, vol. 5, « Les responsabilités des dirigeants et des ouvriers »). Après avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris comment traiter dirigeants et ouvriers. Les dirigeants ne comprennent pas entièrement la vérité, ils ne sont pas parfaitement qualifiés, ils ne comprennent pas la totalité du travail et ne savent pas comment bien le faire. Ils sont aussi dans une période de pratique, et peuvent faire preuve de corruption et montrer des déviations. Nous devons traiter les gens équitablement et ne pas trop exiger d’eux, ne pas leur demander déraisonnablement de tout faire à la perfection, de ne pas montrer la moindre déviation, de ne pas commettre d’erreurs. En fait, nous devons comprendre, être tolérants, et coopérer pour faire le travail de l’Église. C’est là tenir compte de la volonté de Dieu, et traiter ainsi dirigeants et ouvriers est conforme aux principes. De plus, il est de notre responsabilité de surveiller le travail des dirigeants. Nous devons accepter et obéir quand nos dirigeants agissent selon la vérité, mais quand leurs actes ne suivent pas les principes de la vérité, nous devons soulever le problème, échanger, et les aider dans les meilleurs délais, pour qu’ils puissent comprendre leurs déviations dans leurs devoirs, et les corriger rapidement. C’est bénéfique à leur entrée dans la vie et au travail de l’Église. Si quelqu’un est déterminé à devenir un faux dirigeant, qui ne fait aucun travail pratique selon les principes de la vérité, alors cette personne doit être exposée et signalée. Quand j’ai compris ça, j’ai senti que mon cœur s’éclairait, et j’ai su comment j’allais traiter dirigeants et ouvriers à l’avenir.

Même si j’ai eu tort, cette fois, de signaler ma dirigeante, j’en suis venu à comprendre certains principes de la vérité sur le discernement des faux dirigeants, j’ai appris comment je devais traiter dirigeants et ouvriers, j’ai gagné une certaine compréhension de mon propre tempérament corrompu, et j’en ai tiré des leçons. Rendons grâce à Dieu !

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