Libérée du joug du statut

28 janvier 2022

Par Vladhia, France

L’an dernier, notre dirigeante d’Église, Sœur Laura, a été remplacée parce qu’elle ne faisait pas de travail concret. Au terme d’une discussion, j’ai été promue dirigeante d’Église à sa place. Dès que j’ai été choisie comme dirigeante, j’ai senti une pression immense. parce que c’était un nouvel ensemble de devoirs mais, en même temps, j’étais ravie parce que mon désir de statut était comblé. J’ai pensé que j’avais été nommée dirigeante d’Église grâce à mon calibre et ma capacité à travailler. Je me suis entièrement consacrée à l’accomplissement de mes devoirs. Quand je ne comprenais pas quelque chose, je demandais de l’aide et j’étudiais. Aussi, je prenais souvent des nouvelles de mes frères et sœurs et je trouvais des paroles de Dieu à échanger avec eux. J’allais souvent abreuver les frères et sœurs qui venaient de rejoindre l’Église. J’aimais qu’ils me sourient et me disent : « Merci, ma sœur. » À cette époque, je ne voulais pas faire la moindre pause et je voulais tout faire toute seule.

Finalement, comme je devais passer un examen à l’université, j’ai dû travailler moins. Quand je suis retournée aux réunions après mon examen, j’ai remarqué que les frères et sœurs avaient progressé. Dans notre groupe, il y avait deux sœurs capables de trouver des paroles de Dieu pour aider à résoudre certains des problèmes des frères et sœurs. C’était une bonne chose, mais ça m’a un peu frustrée. J’ai pensé que les frères et sœurs n’avaient plus besoin de moi et ne viendraient plus me trouver. Un jour, j’ai participé à une réunion de groupe. Les frères et sœurs de ce groupe n’échangeaient pas beaucoup, d’habitude mais, cette fois, Sœur Evelyn a très bien interagi avec tout le monde. Se montrant aimante et patiente, elle a encouragé les autres frères et sœurs à discuter de leur compréhension des paroles de Dieu. Grâce à ses encouragements, tout le monde a communiqué plus activement. Ils semblaient très proches d’elle. En voyant ça, j’ai été assez déçue et j’ai pensé que Sœur Evelyn risquait de prendre ma place un jour. Ҫa commençait à ressembler à une vraie crise. Peu après, j’ai vu qu’une sœur avait envoyé un message à notre groupe pour nous demander conseil. Elle demandait : « Comment calme-t-on son cœur devant Dieu ? » Alors que je m’apprêtais à répondre, Sœur Evelyn a envoyé des passages des paroles de Dieu avec ses propres compréhensions. J’ai pensé que les passages étaient bien choisis et ses compréhensions, très concrètes. Elle indiquait aussi clairement un chemin de pratique à suivre. Je n’ai rien eu à ajouter et je me suis sentie assez triste. Le groupe était sous ma responsabilité. Autrefois, c’était moi qui trouvais des paroles de Dieu pour aider les frères et sœurs à résoudre leurs problèmes. J’ai commencé à me demander ce qu’ils penseraient tous de moi si elle répondait aussi efficacement à leurs questions. Penseraient-ils que leur dirigeante ne pouvait pas répondre à leurs questions ? Que je n’étais pas aussi douée que Sœur Evelyn ? Si elle les aidait toujours avec autant d’enthousiasme, penseraient-ils que je ne servais à rien en tant que dirigeante ? J’y ai beaucoup pensé et j’ai commencé à l’envier. Je me suis même dit : « Ҫa ne va pas. Je dois travailler plus dur que toi. Je ne peux pas te laisser me battre. » Mais, après ça, je me suis mise à faire des erreurs tout le temps. Je me trompais même dans les tâches les plus simples. Un jour, j’ai écrit un message pour rappeler l’heure d’une réunion aux autres dirigeants et aux diacres. Par erreur, j’ai envoyé le message au groupe des nouveaux croyants. Je m’en suis seulement rendu compte quand une sœur m’a appelée pour me dire que je m’étais trompé. Comme c’était embarrassant, je me suis empressée d’effacer le message. Même si ce n’était pas très grave, je m’en suis beaucoup voulu. Sur le coup, je me suis demandé comment j’avais pu confondre le groupe des nouveaux croyants avec celui des dirigeants. À ce moment-là, je me suis sentie inutile, incapable de faire quoi que ce soit correctement. J’avais aussi des examens à l’université et je ne pouvais pas me consacrer pleinement à mes devoirs. J’ai pensé : « C’est terminé. Mon rôle devra être revu. Je serai remplacée par Sœur Evelyn. » J’ai été très déprimée après ça. J’ai commencé à faire mes devoirs de façon mécanique, sans aucune motivation. J’avais l’impression que les réunions s’éternisaient et il m’arrivait d’aller sur Facebook. J’ai même commencé à regarder des vidéos amusantes qui ne me servaient à rien dans la vie. Avant, je préparais toujours les réunions. Je portais un fardeau en méditant soigneusement les paroles de Dieu, je réfléchissais aux problèmes non résolus de mes frères et sœurs et je me demandais comment échanger à leur propos. Mais j’ai arrêté de porter ce fardeau et de méditer les paroles de Dieu. Une fois, avant une réunion de fin de journée, je suis même sortie m’acheter des vêtements. Je ne suis rentrée que quelques minutes avant le début de la réunion. Le matin, je ne lisais pas attentivement les paroles de Dieu et je ne les envoyais pas aux groupes pour que les frères et sœurs les méditent. À cette époque, je sentais que mon cœur était très loin de Dieu. Alors j’ai prié Dieu. Je Lui ai dit : « Dieu Tout-Puissant, je sais que je me suis éloignée de Toi. Je sais aussi que je n’ai pas une bonne attitude envers mes devoirs. Je veux me repentir, mais mon cœur est très faible. J’espère que Tu m’aideras. »

Plus tard, j’ai lu des paroles de Dieu qui m’ont beaucoup aidée. Dieu dit : « Au fond d’eux, les gens nourrissent quelques mauvais états d’esprit – pessimisme, faiblesse, dépression ou fragilité – ou une intention ignoble qui persiste ; ou bien ils sont sous le joug du prestige, des désirs égoïstes et de leurs propres intérêts dont ils ne cessent de se préoccuper ; ou encore, ils s’estiment de calibre médiocre et possèdent certains états négatifs. Quand tu vis constamment dans ces états-là, il t’est très difficile de gagner l’œuvre du Saint-Esprit. Si tu as du mal à gagner l’œuvre du Saint-Esprit, tu auras très peu de choses positives à l’intérieur de toi et il sera dur pour toi de gagner la vérité » (« Offre à Dieu un cœur vrai, et tu pourras obtenir la vérité », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours). Quand j’ai lu ce passage, j’ai été très émue. Dieu avait parfaitement décrit mes problèmes. Je vivais dans la négativité, incapable d’accomplir mes devoirs, parce que je pensais que d’autres prendraient ma place. Je m’inquiétais pour mon statut menacé, ce qui me rendait faible et m’éloignait de Dieu et des frères et sœurs.

J’ai vu un autre passage des paroles de Dieu dans « La foi en Dieu n’est possible que si l’on se débarrasse de ses notions pour suivre le bon chemin (3) ». Dieu dit : « Les gens seront passés par bien des états avant que Dieu ne les juge et les châtie. Par exemple, il y a un état négatif que l’on retrouve souvent chez les gens : ils se montrent négatifs quand d’autres accomplissent leur devoir de façon plus productive qu’eux-mêmes ; ils se montrent négatifs quand la famille des autres est plus unie que la leur ; ils se montrent négatifs quand la situation des autres est meilleure que la leur, ou quand les autres ont davantage d’envergure qu’eux ; et ils se montrent négatifs quand on les oblige à se réveiller un peu tôt, quand leurs tâches sont fatigantes et même quand elles ne le sont pas. Quoi qu’il arrive, ils se montrent négatifs. […] La négativité signifie qu’il y a un problème chez les gens : ils ne parviennent pas à accepter la vérité et se montrent perpétuellement insatisfaits de ce que Dieu fait ; de plus, ils ne cherchent pas la vérité le moins du monde, ou ils ne la mettent pas en pratique. Pourquoi Dieu resterait-Il sensible à de telles personnes ? Ne font-elles pas la sourde oreille à la raison ? Quelle est l’attitude de Dieu envers ceux qui sont sourds à la raison ? Il les rejette et les ignore. Tu peux agir comme bon te semble et tu peux croire si tu souhaites le faire ; si tu crois et que tu cherches, tu peux obtenir. Dieu traite tout le monde équitablement. Si tu as une attitude de refus de la vérité et non une attitude de soumission, et si tu ne te conformes pas aux exigences de Dieu, alors crois ce que tu veux ; en outre, si tu préfères partir, tu peux le faire immédiatement. Si tu ne souhaites pas accomplir ton devoir, alors, quoi que tu fasses, ne fais pas de scène indigne et ne prends pas des grands airs, mais pars tout de suite, va où tu veux. Dieu n’incite pas les gens comme ça à rester. Voilà Son attitude. Si toi, qui es clairement un être créé, tu ne souhaites jamais agir comme tel, et qu’à la place tu veux sans cesse être un archange, alors est-ce que Dieu te prête attention ? Si toi, qui es clairement une personne ordinaire, tu souhaites constamment bénéficier d’un traitement particulier, préférentiel, et être une personne de prestige et de réputation qui surpasse les autres en toutes choses, alors tu te montres déraisonnable et tu manques de raison. Comment Dieu considère-t-Il ceux qui manquent de raison ? Comment les jauge-t-Il ? Les gens comme ça sont sourds à la raison ! » (« Récits des entretiens de Christ »). Dieu révélait clairement que la source de ma négativité et de ma faiblesse était le fait que je me soucie trop de mon rôle de dirigeante. J’avais peur de le perdre. J’aimais plus le statut que l’accomplissement de mon devoir. Tout ce que je faisais était motivé par mon désir de préserver mon statut de dirigeante. J’ai repensé à l’époque où je venais d’assumer mon rôle de dirigeante. Je travaillais dur pour accomplir mon devoir, au point que je ne prenais pas un moment de repos. J’avais peur de faire un travail médiocre et d’être remplacée. Quand j’avais vu les progrès que deux sœurs avaient faits, j’aurais dû m’en réjouir. Mais j’ai eu peur que les frères et sœurs n’aient plus besoin de moi, que mon rôle de dirigeante n’ait plus de sens et que plus personne ne m’admire. Surtout, quand j’ai vu à quel point Sœur Evelyn était efficace, qu’elle répondait aux questions des frères et sœurs et qu’ils étaient tous proches d’elle, j’ai eu encore plus peur de perdre mon statut et je me suis sentie négative et faible, au point que je me suis mise à accomplir mes devoirs de manière mécanique. Dieu dit que les gens de cette sorte sont sourds à la raison. Dieu ne leur accorde pas d’attention et il leur est difficile d’obtenir l’œuvre du Saint-Esprit. J’ai eu très peur quand j’ai compris que j’étais dans cet état dangereux. Dieu dit aussi qu’Il n’aime pas les gens qui sont souvent négatifs parce qu’ils ne peuvent pas accepter la vérité. Ils vivent avec de mauvaises intentions et ne peuvent pas les changer ni y renoncer. Ceux qui vivent dans de tels états négatifs finiront par être mis de côté et éliminés. C’est ce que j’ai compris, moi aussi, à ce moment-là. Alors je me suis présentée devant Dieu pour me confesser, prier et me repentir. J’ai dit à Dieu : « Ô Dieu, je sais que j’ai tort. J’espère que Tu peux m’aider à me comprendre et me sortir de ma négativité. »

Plus tard, une sœur a lu des paroles de Dieu dans une réunion. Ces paroles m’ont aidée à comprendre pourquoi on recherchait la gloire, le gain et le statut. Dans le quatrième paragraphe de « Dieu Lui-même, l’Unique VI », Dieu dit : « Qu’est-ce que Satan utilise pour garder l’homme solidement sous son contrôle ? (La gloire et le gain.) Donc, Satan contrôle les pensées des hommes par la gloire et le gain, jusqu’à ce qu’ils ne pensent plus qu’à cela. Ils luttent pour la gloire et le gain, endurent des difficultés pour la gloire et le gain, supportent l’humiliation pour la gloire et le gain, sacrifient tout ce qu’ils ont pour la gloire et le gain, porteront des jugements et prendront des décisions pour la gloire et le gain. De cette façon, Satan attache l’homme avec des chaînes invisibles, dont ils n’ont ni la force ni le courage de se libérer. Alors, sans le savoir, ils portent ces chaînes et avancent avec beaucoup de difficulté. À cause de la gloire et du gain, l’humanité s’éloigne de Dieu, Le trahit et devient de plus en plus méchante. Ainsi, les générations sont détruites les unes après les autres par la gloire et le gain avec lesquelles Satan les a tentées. Si l’on regarde maintenant les actions de Satan, ses sombres motivations ne sont-elles pas abominables ? Peut-être qu’aujourd’hui vous ne pouvez toujours pas les percer à jour parce que vous pensez qu’il n’y a pas de vie sans gloire ni gain. Vous pensez que si les gens y renoncent, alors ils ne verront plus la voie à suivre, perdront de vue leurs objectifs et leur avenir deviendra sombre, obscur et lugubre. Cela dit, vous comprendrez tous un jour que la gloire et le gain sont des chaînes monstrueuses que Satan utilise pour attacher l’homme. Ce jour-là, tu résisteras totalement au contrôle de Satan et aux liens qu’il utilise pour t’enchaîner. Quand tu voudras te débarrasser de tout ce qu’il t’a inculqué, tu te sépareras entièrement de Satan et détesteras tout ce qu’il t’a imposé. C’est seulement alors que tu auras un véritable amour et un véritable désir pour Dieu » (« La Parole apparaît dans la chair »). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que Satan se servait de la gloire, du gain et du statut pour tromper et corrompre l’homme. C’est le joug invisible que Satan utilise pour piéger les gens. J’étais piégée par le joug de la gloire, du gain et du statut depuis mon enfance. Quand j’étais à l’école, pour devenir première de ma classe et être admirée par les autres, j’étudiais très sérieusement parce que j’avais peur d’être surpassée par mes camarades. Quand j’ai commencé à croire en Dieu et suis devenue une dirigeante, j’ai travaillé dur pour accomplir mon devoir afin de conserver mon statut et de ne pas être remplacée. J’étais jalouse des frères et sœurs qui étaient meilleurs que moi. Je craignais qu’ils me surpassent et que ça me prive de mon statut dans le cœur des gens. Le plus triste, dans tout ça, c’est que quand j’ai compris que je n’étais pas aussi irremplaçable parmi les frères et sœurs que je le croyais, mon désir de statut a été frustré et j’ai commencé à faire mon devoir de manière mécanique parce que je n’obtenais pas ce que je voulais. Je me suis rendu compte que les exigences de Dieu, mon devoir, mes responsabilités, la vie de l’Église et toutes ces choses n’étaient pas importantes pour moi. Tout ce que je faisais visait à satisfaire mon désir de statut sans aucune vénération pour Dieu. En même temps, j’ai compris que Satan voulait qu’on cherche la gloire, le gain et le statut. Il veut qu’on s’affronte pour obtenir ces choses. Il veut qu’on abandonne les exigences de Dieu, qu’on trahisse Dieu et qu’on s’éloigne de Lui. C’est le stratagème de Satan. Quand j’en ai pris conscience, j’ai commencé à me haïr. J’ai voulu me délivrer de la recherche de la gloire, du gain et du statut pour pouvoir me présenter réellement devant Dieu. Plus tard, j’ai entendu un hymne qui s’appelle « Je ne suis qu’un petit être créé » et qui m’a beaucoup émue. « Oh Dieu ! Que j’aie un statut ou non, je me comprends maintenant. Si mon statut est élevé, c’est grâce à Ton exaltation, et s’il est bas, c’est à cause de Ton ordonnance. Tout est entre Tes mains. Je n’ai pas de choix ni de plaintes. Tu as ordonné que je naisse dans ce pays et parmi ce peuple et je devrais n’être que complètement obéissante sous Ta domination, car tout est selon ce que Tu as ordonné. Je ne pense pas au statut ; après tout, je ne suis qu’une créature. Si Tu me jettes dans le puits de l’abîme, dans l’étang ardent de feu et de soufre, je ne suis qu’une créature. Si Tu m’utilises, je suis une créature. Si Tu me perfectionnes, je suis encore une créature. Si Tu ne me perfectionnes pas, je T’aimerai quand même parce que je ne suis rien de plus qu’une créature. Je ne suis rien de plus qu’une créature minuscule créée par le Seigneur de la création, une seule parmi tous les humains créés. C’est Toi qui m’as créée, et maintenant, Tu m’as placée entre Tes mains encore une fois pour disposer de moi à Ta guise. Je suis prête à être Ton outil et Ton faire-valoir parce que tout est selon ce que Tu as ordonné. Personne ne peut le changer. Toutes les choses et tous les événements sont entre Tes mains » (« Suivre l’Agneau et chanter des cantiques nouveaux »). C’est alors que j’ai compris que, quel que soit le devoir que j’accomplis dans la maison de Dieu aujourd’hui, c’est par la prédestination et l’élévation de Dieu. Quel que soit mon statut, en tant qu’être créé, je dois faire mon devoir honnêtement. C’est une attitude raisonnable. En même temps, je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas de distinction entre des statuts bas et élevés dans la maison de Dieu. Tout ce qui importe, c’est que chacun accomplisse ses devoirs. Quand je l’ai compris, je me suis sentie libérée. Quel que soit mon statut à l’avenir, je ferai de mon mieux pour accomplir mon devoir et satisfaire Dieu.

Après ça, j’ai vu deux passages des paroles de Dieu qui m’ont profondément marquée. Dieu dit : « Coopérer entre frères et sœurs est en soi une méthode pour contrebalancer ses points faibles grâce aux points forts de l’autre. Tu utilises tes points forts pour compenser les défauts des autres, et les autres utilisent leurs points forts pour combler les tiens. Voilà ce que signifie contrebalancer ses points faibles grâce aux points forts de l’autre et coopérer en harmonie. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut être béni devant Dieu et plus on en fait l’expérience, plus on a de la pratique, le chemin devient toujours plus lumineux et l’on se sent toujours plus à l’aise » (« À propos d’une coordination harmonieuse », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours). « Les fonctions ne sont pas les mêmes. Il y a un seul corps. Chacun fait son devoir, chacun à sa place et faisant de son mieux – pour chaque étincelle, il y a un éclair de lumière – et cherchant la maturité dans la vie. Ainsi, Je serai satisfait » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Déclarations de Christ au commencement, Chapitre 21). Quand j’ai lu ces deux passages des paroles de Dieu, j’ai compris les intentions de Dieu. Dieu espère qu’en accomplissant notre devoir, on apprendra les uns des autres et on compensera mutuellement nos faiblesses. On doit faire de notre mieux, quelle que soit notre position, et travailler en harmonie pour accomplir notre devoir. Après avoir compris les intentions de Dieu, je L’ai prié. J’ai commencé à apprendre à renoncer à mon statut et à arrêter de me demander si je serais remplacée par quelqu’un d’autre. J’ai aussi appris à mettre mon cœur dans tout ce que je faisais et à chercher à bien accomplir mon devoir. Pendant les réunions, j’échangeais activement avec les autres. Quand les autres échangeaient, je méditais soigneusement leurs paroles et je m’empressais de noter tout ce qui était éclairant. Je me suis aperçue que les frères et sœurs pouvaient m’enseigner beaucoup de choses. Peu à peu, je suis devenue moins jalouse des frères et sœurs qui progressaient plus vite que moi ou qui avaient un meilleur calibre. J’ai aussi pu renoncer à moi-même pour simplement apprendre des autres. Après avoir pratiqué de cette manière pendant quelque temps, je me suis sentie particulièrement apaisée et à l’aise. Je me suis sentie plus proche de Dieu. Je remercie Dieu de S’être servi de Ses paroles pour me juger et m’exposer. Il m’a aidée à commencer à comprendre mon tempérament corrompu. Je remercie Dieu de m’avoir sauvée et pour Son amour !

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