L’envie est une chose méprisable
Par Su Can, ChineEn juin 2021, j’ai commencé une formation à l’abreuvement des nouveaux arrivants. Comme je savais que j’avais beaucoup de...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Je me souviens quand j’étais en CP, notre institutrice principale était aimable et accessible, et elle avait toujours un regard gentil. Elle ne s’énervait jamais contre nous ou ne nous critiquait jamais durement. Parfois, elle discutait avec nous comme si ce n’était pas notre institutrice. Nous aimions tous passer du temps avec elle et nos parents la louaient car elle était une bonne enseignante. Je la tenais en haute estime et l’admirais vraiment, et je voulais lui ressembler. Plus tard, en grandissant, peu importe avec qui j’interagissais, je n’argumentais jamais avec personne. Même si quelqu’un me faisait du mal et que j’étais en colère contre lui ou que je le haïssais, je choisissais quand même de serrer les dents et de le saluer avec le sourire, afin d’avoir des relations paisibles. Pour cette raison, mes camarades de classe aimaient passer du temps avec moi, et les membres de ma famille disaient tous que j’étais bien élevée et sensible. Après avoir cru en Dieu, mes relations avec mes frères et sœurs fonctionnaient toujours ainsi. Je parlais gentiment et je faisais de mon mieux pour ne blesser l’orgueil de personne. Même lorsque je pouvais voir que les autres avaient des problèmes, je minimisais toujours les choses. Résultat, les autres avaient un regard positif sur moi et cela me confortait donc dans mon idée qu’être ainsi était une bonne chose. Ce n’est que plus tard, après avoir traversé quelques petites choses et l’exposition de la parole de Dieu, que j’ai compris qu’être aimable n’était pas un principe selon lequel il fallait se conduire et je suis parvenue à comprendre comment me conduire avec la ressemblance d’une personne réelle.
En janvier 2022, je supervisais une partie du travail de purge de l’Église. Li Yuan et Lin Xi venaient juste de commencer ce travail, et elles n’avaient pas saisi les principes, alors je suivais leur travail d’un peu plus près. À cette époque-là, j’ai découvert qu’elles étaient assez négligentes dans leur devoir et certains problèmes évidents apparaissaient. Une fois, j’ai remarqué que dans les documents qu’elles avaient organisés, les comportements de certaines personnes avaient uniquement été résumés et qu’il manquait des détails, et certains dossiers manquaient de preuves et nécessitaient des exemples supplémentaires pour confirmer si ces personnes devaient être exclues ou non. Sans une enquête et une vérification claires, une personne pouvait facilement être exclue et expulsée à tort. C’était un problème très grave. J’ai vu à quel point elles étaient toutes les deux négligentes dans l’organisation des documents liés à l’exclusion des gens, et plus j’y pensais, plus j’étais en colère. J’ai alors dit à Sœur Liu Jing, ma partenaire : « Li Yuan et Lin Xi viennent juste de commencer à travailler là-dessus et elles ne demandent pas conseil sur les nombreuses choses qu’elles ne comprennent pas. Elles sont vraiment très négligentes dans leurs devoirs. Cette fois, je dois leur signaler l’attitude problématique qu’elles ont envers leur devoir. » Liu Jing était d’accord avec moi. Mais lorsque je leur ai écrit à toutes les deux, j’ai hésité : « Il y a quelques jours, alors que j’étais avec elles, leurs états semblaient un peu négatifs. Si je les émonde et que je dissèque la nature de leur négligence dans les devoirs, deviendront-elles négatives au point de démissionner ? Diront-elles que je ne comprends pas leurs difficultés et que je suis trop exigeante et trop dure ? Elles perdront peut-être la bonne impression qu’elles ont de moi. » Afin de protéger ma propre image, je leur ai uniquement signalé les écarts qu’elles avaient causés et je n’ai rien dit pour exposer leurs tempéraments corrompus. J’ai même formulé cela dans une flopée de consolations et d’exhortations, comme les encourager à considérer correctement leurs défauts et insuffisances et à ne pas vivre dans la négativité et l’incompréhension. Lorsque Liu Jing a lu ma lettre, elle a dit : « Ne devais-tu pas parler de la nature de la négligence dans leurs devoirs ? Pourquoi es-tu aussi indirecte ? Penses-tu qu’elles reconnaîtront leur problème si tu leur parles de cette façon ? » En entendant Liu Jing dire cela, je me suis rendu compte que tourner ainsi autour du pot ne donnerait aucun résultat, mais j’ai eu peur de leur laisser une mauvaise image de moi, alors j’ai trouvé une excuse pour contourner le problème.
En février, je suis allée dans leur groupe pour parler du travail. Afin d’éviter de me tenir à l’écart d’eux, je me suis dit que je devais être gentille avec eux et faire attention à la manière dont je formulais les choses, que je ne devais pas parler avec un air trop supérieur ou sévère. En les voyant plaisanter, je suis entrée dans leur jeu pour qu’ils me voient comme quelqu’un de décontracté, accessible, sans prétention, et capable de s’entendre avec tout le monde. Lorsque je les ai entendus dire qu’ils n’avaient fait aucun progrès et se sentaient un peu abattus, je leur ai dit que j’avais moi aussi eu énormément de lacunes dans le passé, et qu’il m’avait fallu beaucoup de temps pour parvenir à comprendre progressivement certains principes. J’ai dit cela pour les réconforter et les encourager. Au bout d’un certain temps, nous étions vraiment en bons termes et une sœur m’a dit que cela lui faisait du bien d’interagir ainsi, sans aucune pression. En l’entendant dire cela, je suis devenue encore plus convaincue que cette façon de me comporter était correcte. Une fois, Chen Xin, un membre de l’équipe, m’a dit que même si elle était impliquée dans ce travail depuis pas mal de temps, elle faisait encore des erreurs tout le temps, pensait n’avoir fait aucun progrès, et se sentait assez négative. Je savais que le manque de progrès de Chen Xin était dû au fait qu’elle était impatiente d’obtenir des résultats, qu’elle se comparait aux autres et qu’elle ne se concentrait pas sur les principes. Mais je craignais que si je lui signalais son problème directement, elle ne le prenne pas bien et développe une sorte de préjugé ou de vision négative à mon encontre. Je me suis donc contentée de l’encourager et j’ai dit : « Tu viens juste de commencer, c’est normal qu’il y ait quelques problèmes ou des écarts dans ton travail. Ce n’est qu’une question de pratique. Il faut que tu te considères correctement, que tu résumes les problèmes et les écarts qui surviennent, puis que tu apprennes les principes pertinents de manière ciblée. C’est ainsi que tu progresseras. » Vu que je ne lui ai pas signalé ses problèmes, Chen Xin n’a pas reconnu son tempérament corrompu et elle a continué à se comparer aux autres et à se sentir négative lorsqu’elle n’était pas à la hauteur. Lin Xi était elle aussi négligente dans ses devoirs, et de nombreux problèmes persistaient, ce qui affectait l’avancement du travail. Je savais que Lin Xi était très méprisable dans ses devoirs et que j’aurais dû l’émonder et l’exposer, mais j’avais peur qu’elle ait une mauvaise image de moi et qu’elle ne me soutienne plus ou qu’elle ne soit plus d’accord avec moi. Alors j’ai simplement survolé ses problèmes en passant, suggérant que son manque de progrès pouvait être dû à des intentions erronées dans son devoir. Puisque j’avais minimisé les choses, Lin Xi n’a rien pris de ce que j’ai dit à cœur, n’a pas corrigé son problème d’attitude négligente, et son travail devait souvent être refait. Comme je ne pensais qu’à la façon de protéger mes relations, je ne parlais que sommairement des problèmes que je voyais, ce qui ne produisait aucun résultat et retardait le travail. Mais je n’ai pas réfléchi sur moi-même et ne me suis pas reconnue.
Lors d’une réunion, nous avons échangé sur les paroles de Dieu qui exposent la façon dont les antéchrists rallient le cœur des gens. Il se trouve que j’ai lu un passage qui s’appliquait directement à mon état. J’ai finalement gagné une certaine connaissance de mon comportement. Dieu Tout-Puissant dit : « Lorsque certains dirigeants d’Église voient des frères ou des sœurs faire leur devoir superficiellement, ils ne les réprimandent pas, bien qu’il le devrait. Quand ils voient clairement que les intérêts de la maison de Dieu sont en train de souffrir, ils ne s’en soucient pas ou ne posent pas de questions, et ils ne provoquent pas la moindre offense aux autres. En fait, ils ne tiennent pas réellement compte des points faibles des autres. Au lieu de cela, leur intention et leur but est d’essayer de rallier le cœur des gens. Ils en sont pleinement conscients que : “Tant que je fais ça, et ne fais offense à personne, on pensera que je suis un bon dirigeant. On aura une bonne et haute opinion de moi. Je serai approuvé et apprécié.” Ils ne se soucient guère des torts causés aux intérêts de la maison de Dieu ou à quel point le peuple élu de Dieu subira de grandes pertes dans son entrée dans la vie, ou à quel point leur vie d’Église sera perturbée, ils persévèrent simplement dans leur philosophie satanique et s’abstiennent de faire offense à quiconque. Il n’y a jamais dans leur cœur de culpabilité. Quand ils voient quelqu’un provoquer des interruptions et des perturbations, tout au plus, ils parleront un peu de cela avec eux, minimisant le problème avant de tourner définitivement la page. Ils n’échangeront pas sur la vérité ou ne relèveront pas non plus l’essence du problème de cette personne-là, et encore moins disséqueront-ils son état, et ils n’échangeront jamais sur ce que sont les intentions de Dieu. Les faux dirigeants n’exposent ou ne dissèquent jamais le genre d’erreurs que les gens commettent fréquemment, ni les tempéraments corrompus que les gens révèlent souvent. Ils ne résolvent aucun problème réel, mais ils encouragent toujours les pratiques erronées et les révélations de corruption des gens, et quelles que soient la négativité et la faiblesse des gens, ils ne prennent pas cela sérieusement. Ils prêchent simplement quelques formules et doctrines, et disent quelques paroles d’exhortation pour traiter la situation de manière superficielle, essayant de maintenir l’harmonie. En conséquence, le peuple élu de Dieu ne sait pas comment réfléchir sur lui-même ni comment se connaître lui-même, il n’y a aucune résolution face à n’importe quels tempéraments corrompus qu’il révèle et il vit au milieu des paroles, et des doctrines, des notions et de l’imagination, sans aucune entrée dans la vie. Ils ont même au fond d’eux cette croyance : “Notre dirigeant a encore plus de compréhension pour nos faiblesses que Dieu. Notre stature est trop petite pour être à la hauteur des exigences de Dieu. Mais nous n’avons qu’à satisfaire aux exigences de notre dirigeant : en nous soumettant à notre dirigeant, nous nous soumettons à Dieu. Si un jour le Supérieur renvoie notre dirigeant, nous nous ferons entendre : pour garder notre dirigeant et empêcher qu’il soit renvoyé, nous négocierons avec le Supérieur et nous le forcerons à accepter nos demandes. C’est ainsi que nous ferons ce qu’il faut pour notre dirigeant.” Lorsque les gens ont de telles pensées dans leur cœur, lorsqu’ils ont établi une telle relation avec leur dirigeant et que ce genre de dépendance, d’envie et d’adoration s’est élevé dans leur cœur envers lui, ils en viennent à avoir une foi toujours plus grande dans ce dirigeant, et veulent tout le temps écouter les paroles du dirigeant, plutôt que de chercher la vérité dans les paroles de Dieu. Un tel dirigeant a presque pris la place de Dieu dans le cœur des gens. Si un dirigeant est disposé à entretenir une telle relation avec les élus de Dieu, s’il retire de cela un sentiment de plaisir dans son cœur et croit que les élus de Dieu doivent le traiter ainsi, alors il n’y a aucune différence entre ce dirigeant et Paul, il a déjà emprunté le chemin d’un antéchrist, et le peuple élu de Dieu a déjà été fourvoyé par cet antéchrist, et manque totalement de discernement » (La Parole, vol. 4 : Exposer les antéchrists, Point 1 : Ils essaient de rallier les gens à leur cause). Dieu expose que les antéchrists tiennent toujours compte de la chair des gens. Ils remarquent quand les frères et sœurs sont négligents dans leur devoir et retardent le travail de l’Église, mais jamais ils ne le leur signalent ni ne les émondent. Au lieu de ça, ils font plaisir aux gens et les accommodent pour pouvoir implanter une bonne image d’eux-mêmes dans le cœur des gens, les ralliant simplement. J’avais l’impression que Dieu exposait mon propre comportement. Dans mon devoir, j’essayais toujours de protéger mon image et mon statut dans le cœur des gens. Pour plaire aux membres de l’équipe, je me comportais généralement de manière aimable, j’accordais même une attention particulière au ton de ma voix et à mon attitude lorsque je parlais. J’avais peur que le moindre faux pas ne laisse aux gens une mauvaise impression de moi. J’avais vu le progrès stagnant et l’état médiocre de Chen Xin, et je savais que c’était parce qu’elle courait toujours après la réputation et le statut, qu’elle se comparait toujours aux autres, et qu’elle ne se concentrait pas sur ses compétences professionnelles. Pour moi, il était clair que, si elle continuait comme ça, non seulement cela affecterait sa propre entrée dans la vie, mais le travail serait également retardé. J’aurais dû échanger avec elle et lui signaler ces choses-là, mais j’avais peur de l’offenser, alors je l’ai seulement réconfortée, encouragée et exhortée. Chen Xin était incapable de reconnaître ses propres problèmes et vivait dans un état négatif, son entrée dans la vie était entravée et ses progrès professionnels étaient très limités. J’étais également bien consciente que Lin Xi était négligente dans ses devoirs et qu’il fallait clairement que je lui signale ses problèmes et que j’échange sur son essence pour l’aider à réfléchir et à comprendre les choses, or j’avais eu peur qu’en lui signalant directement ses problèmes, elle puisse avoir une vision négative de moi, alors je m’étais contentée de les survoler, ce qui n’avait rien fait pour les résoudre. En me rendant compte de cela, j’ai finalement compris que ma conduite avait été celle d’un antéchrist essayant de rallier le cœur des gens. Afin de gagner l’approbation et le soutien des membres du groupe, je les avais toujours accommodés, et j’avais évité de leur signaler les problèmes ou d’échanger pour les résoudre. Non seulement j’avais retardé l’entrée dans la vie de mes frères et sœurs, mais j’avais aussi retardé le travail de l’Église. J’avais été tellement égoïste et méprisable !
Plus tard, je me suis ouverte aux membres du groupe sur la façon dont j’avais essayé de rallier les gens. L’un d’entre eux a dit : « La dernière fois, quand il y a eu certains écarts dans notre travail, tu ne nous as pas émondés. Au lieu de ça, tu nous as juste envoyé une lettre d’encouragement et d’exhortation. Une sœur a même dit : “Regarde, elle essaie à nouveau de nous réconforter.” » Je me suis sentie encore plus coupable quand je l’ai entendu dire cela. Quand l’Église exclut une personne, elle doit être sérieusement évaluée conformément aux vérités-principes. Il n’y a absolument aucune place pour la négligence et la superficialité. Si nous ne le prenons pas au sérieux ou que nous n’évaluons pas les choses conformément aux principes, cela peut facilement déboucher sur de fausses accusations et nuire aux frères et sœurs. Pour moi, il était clair qu’elles étaient négligentes dans leurs devoirs, et qu’elles avaient failli perturber le travail de l’Église. Mais comme j’avais eu peur de les offenser, je ne leur avais apporté ni direction ni assistance, et je n’avais absolument pas tenu compte de l’impact sur le travail de l’Église. Mon comportement avait été réfractaire à Dieu ! Cette prise de conscience m’a effrayée, et j’ai voulu me racheter le plus vite possible.
Plus tard, j’ai lu un passage de la parole de Dieu : « Lorsque tu interagis avec les autres, il faut d’abord qu’ils perçoivent ton vrai cœur et ta sincérité. Si, en parlant, en travaillant et en prenant contact avec les autres, les propos de quelqu’un sont superficiels, grandiloquents, obséquieux, flatteurs, irresponsables et imaginaires, ou s’il parle simplement pour rechercher la faveur de l’autre, alors ses propos manquent de toute crédibilité et il n’est pas sincère du tout. C’est son mode d’interaction avec les autres, peu importe qui sont ces autres. Une telle personne n’a pas un cœur honnête. Ce n’est pas une personne honnête. Supposons que quelqu’un soit dans un état négatif et qu’il te dise sincèrement : “Dis-moi pourquoi, exactement, je suis si négatif. Je n’arrive tout simplement pas à le comprendre !” Et supposons qu’en fait, au fond de toi, tu comprennes quel est son problème, mais qu’au lieu de le lui dire, tu lui répondes : “Ce n’est rien. Ce n’est pas de la négativité que tu manifestes. Moi aussi, je suis comme ça.” Ces paroles sont une grande consolation pour cette personne, mais ton attitude n’est pas sincère. Tu es superficiel avec elle ; pour qu’elle se sente plus à l’aise et consolée, tu t’es abstenu de lui parler honnêtement. Tu ne l’aides pas sérieusement et ne rends pas son problème évident, de telle sorte qu’elle puisse laisser sa négativité derrière elle. Tu n’as pas fait ce qu’une personne honnête aurait dû faire. Tout cela, pour essayer de la consoler et t’assurer qu’il n’y aura pas de distance ni de conflit entre vous : tu t’es montré superficiel avec elle, et ce n’est pas ce qui s’appelle être une personne honnête. Alors, pour être une personne honnête, que dois-tu faire face à ce genre de situation ? Tu dois lui dire ce que tu as vu et identifié : “Je vais te dire ce que j’ai vu et ce que j’ai éprouvé. À toi de décider si ce que je dis est juste ou pas. Si je me trompe, tu n’as pas à l’accepter. Sinon, j’espère que tu l’accepteras. Si ce que je te dis est dur à entendre pour toi et te blesse, j’espère que tu pourras l’accepter de la part de Dieu. Mon intention, mon but, c’est de t’aider. Je vois bien où est le problème : parce que tu as le sentiment que tu as été humilié et qu’il n’y a personne pour nourrir ton égo et que tu as l’impression que tout le monde te regarde de haut, que tu es attaqué et que jamais tu n’as été traité aussi injustement, tu ne l’acceptes pas et tu sombres dans la négativité. Qu’en penses-tu ? Est-ce que cela correspond à la réalité ?” En entendant cela, la personne sent que tu as raison. C’est ce que tu penses au fond, mais si tu n’es pas quelqu’un de franc, tu ne le diras pas. Tu diras : “Moi aussi, il m’arrive souvent d’être négatif.” Quand l’autre entendra que tout le monde se laisse aller à la négativité, il se dira que c’est normal pour lui d’être négatif et, au bout du compte, il ne s’en défera pas. Si tu es quelqu’un de franc et d’honnête et que tu l’aides par une attitude honnête, tu peux l’aider à comprendre la vérité et à laisser sa négativité derrière lui » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Seul quelqu’un d’honnête peut vivre une véritable ressemblance humaine). Lire cette parole de Dieu m’a donné un chemin de pratique. Lorsque nous interagissons les uns avec les autres, nous devons être francs et sincères. Nous devons être capables de parler honnêtement quand nous voyons les problèmes des autres, pour qu’ils puissent reconnaître leurs problèmes. Traiter les gens de cette façon est bénéfique à leur entrée dans la vie. J’avais vu que Lin Xi était négligente dans son devoir, et pourtant, j’avais continué à lui offrir des paroles hypocrites de réconfort et d’exhortation pour gagner sa faveur. C’était là lui faire du mal et être fourbe. Même si lui faire remarquer directement son problème aurait pu la mettre mal à l’aise un instant, cela l’aurait aidée à réfléchir et aurait également protégé le travail de l’Église. Me rendant compte de cela, je suis allée voir Lin Xi et j’ai échangé avec elle en utilisant certaines paroles de Dieu qui exposent l’essence et les conséquences de la négligence des gens. Lin Xi a reconnu à quel point elle avait été méprisable, qu’elle avait été négligente et pas consciencieuse dans ses devoirs. Plus tard, j’ai vu Lin Xi essayer sciemment d’inverser les choses. Elle était plus consciencieuse et responsable dans ses devoirs qu’avant et faisait de nets progrès. En voyant ce résultat, je me suis sentie vraiment honteuse. J’avais toujours maintenu une image d’affabilité dans les yeux des gens, ne leur fournissant que des banalités peu superficielles, et n’avais rien fait pour leur être bénéfique. Si je lui avais signalé ses problèmes plus tôt, Lin Xi aurait pu inverser les choses plus tôt, et cela aurait été bénéfique à l’avancement du travail. Par la suite, j’ai découvert que l’état de Chen Xin était mauvais, qu’elle avait l’impression de manquer de calibre et de capacités de travail, et qu’elle était inférieure aux autres membres de son groupe. Elle avait aussi l’impression que je la regardais de haut, alors elle vivait dans la négativité et voulait démissionner. Je suis allée la voir et je me suis ouverte à elle en échange. Je lui ai dit qu’elle accordait trop d’importance à la réputation et au statut, et j’ai utilisé la parole de Dieu pour échanger avec elle sur l’essence et les conséquences de la poursuite de la réputation et du statut, et de l’abandon de son devoir. Après notre échange, Chen Xin a gagné une certaine compréhension d’elle-même, et son état s’est quelque peu amélioré. Je me suis sentie vraiment heureuse, et j’ai compris que si les gens agissaient et se conduisaient conformément à la parole de Dieu, leur cœur serait en paix, et qu’ils pourraient avoir des relations normales avec les autres.
Plus tard, j’ai lu davantage de la parole de Dieu et j’ai commencé à comprendre la véritable essence derrière les pratiques culturelles traditionnelles d’affabilité et d’accessibilité. Dieu Tout-Puissant dit : « L’essence qui est derrière un bon comportement, comme être accessible et aimable, peut être décrite en un mot : faux-semblant. Un tel bon comportement ne procède pas des paroles de Dieu, ni du fait de pratiquer la vérité ou d’agir selon des principes. De quoi procède-t-il ? Il vient des motivations des gens, de leurs stratagèmes, de leur façon de faire semblant, de jouer la comédie, de tromper » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (3)). « Considérés globalement, tous les énoncés sur le bon comportement ne sont qu’un moyen de mettre un beau ruban sur le comportement apparent et l’image de l’homme. “Mettre un beau ruban” est une belle manière de le formuler. Pour le dire plus précisément, il s’agit en fait d’une forme de déguisement, d’une façon d’utiliser une fausse façade pour piéger les autres, dans de bons sentiments envers soi-même, les piéger dans des évaluations positives de soi-même, les piéger dans le respect de soi-même, alors que le côté obscur de son cœur, ses tempéraments corrompus et son vrai visage sont tous cachés et joliment emballés. Nous pouvons aussi le dire ainsi : ce qui se cache derrière l’auréole de ces bons comportements, c’est le vrai visage corrompu de chaque membre de l’humanité corrompue. Ce qui est caché, c’est chaque membre de l’humanité malfaisante doté d’un tempérament arrogant, d’un tempérament malhonnête, d’un tempérament vicieux et d’un tempérament hostile à la vérité. Peu importe que le comportement apparent d’une personne soit instruit et sensé, ou doux et raffiné, et peu importe que cette personne soit aimable, accessible, respectueuse des personnes âgées et qu’elle prenne soin des jeunes, ou quoi que ce soit de ce genre : quoi qu’elle manifeste de tout cela, ce n’est rien de plus qu’un comportement apparent que les autres peuvent voir. Cela ne peut pas amener cette personne, par un bon comportement, à la connaissance de sa nature-essence. Bien que l’homme ait belle allure avec les comportements apparents consistant à être instruit et sensé, doux et raffiné, accessible et aimable, de sorte que le monde humain tout entier soit bien disposé à son égard, ce qui ne peut être nié, c’est que les tempéraments corrompus de l’homme existent réellement sous couvert de ces bons comportements. L’hostilité de l’homme vis-à-vis de la vérité, sa résistance et sa rébellion contre Dieu, sa nature-essence d’hostilité aux paroles prononcées par le Créateur et de résistance au Créateur, tout cela existe vraiment. Il n’y a rien de faux là-dedans. Quelle que soit la manière dont quelqu’un simule, aussi présentable et aussi convenable que soient ses comportements, aussi belle et attrayante que puisse être l’apparence qu’il se donne, aussi trompeur qu’il soit, ce qu’on ne peut nier, c’est que toute personne corrompue est remplie d’un tempérament satanique. Sous le masque de ces comportements apparents, ces personnes résistent et se rebellent tout de même contre Dieu, elles résistent et se rebellent contre le Créateur. Bien sûr, avec ces bons comportements pour se cacher et se protéger, l’humanité répand des tempéraments corrompus chaque jour, à chaque heure et à chaque instant, à chaque minute et à chaque seconde, dans toutes les affaires, au cours desquelles elle vit au milieu des tempéraments corrompus et du péché. C’est un fait incontesté. Malgré les comportements présentables de l’homme, ses paroles agréables et ses faux airs, son tempérament corrompu n’a pas diminué le moins du monde et n’a pas du tout changé non plus, en raison de ses comportements apparents. Au contraire, c’est parce qu’il a la couverture de ces bons comportements apparents que son tempérament corrompu se déverse constamment, et il n’arrête jamais ses pas vers la perpétration du mal et la résistance à Dieu. Et bien entendu, gouverné par ses tempéraments vicieux et malfaisants, ses ambitions, ses désirs et ses exigences extravagantes ne cessent de croître et de se développer » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (3)). Dans le passé, j’avais toujours pensé qu’être aimable et accessible était conforme à la morale humaine normale, que la plupart des gens aimaient et approuvaient ce comportement, et que c’était là des choses positives. Enfant, j’avais vu mon institutrice être louée pour son amabilité et j’avais toujours essayé d’être ce genre de personne. Lorsque j’avais gagné l’approbation et le soutien de mon entourage quand je me conduisais ainsi, cela n’avait fait que me conforter dans l’idée que je devais me comporter de manière aimable. Cela fonctionnait comme mon propre principe de conduite que non seulement Dieu approuvait, mais aussi que les autres aimaient. À présent, à travers l’exposition de la parole de Dieu, j’ai compris que l’essence derrière l’amabilité et l’accessibilité est en fait une sorte de déguisement, et qu’il s’agit en réalité d’une ruse pour gagner l’admiration et l’approbation des gens. C’est trompeur. Je repensais à mon enfance : je m’étais dit que les gens devaient être aimables et accessibles les uns envers les autres, alors, influencée par cette idée, je n’argumentais jamais avec les autres. Même s’ils me faisaient du mal, que j’étais en colère et que je les haïssais en mon for intérieur, je ne laissais jamais rien paraître et saluais toujours les gens avec le sourire. En réalité, je faisais ces compromis juste pour gagner l’approbation des gens. J’étais hypocrite et je vivais dans le mensonge. Après avoir cru en Dieu, j’interagissais encore avec les gens de cette façon. Dans tout ce que je disais et faisais, je pensais sans cesse aux sentiments des autres et je craignais toujours de les offenser. J’avais peur qu’ils n’aient pas une bonne impression de moi si je parlais honnêtement, alors, même si je voyais le problème de quelqu’un, je n’osais pas dire la vérité ou le lui signaler. L’Église avait arrangé que je supervise le travail de ce groupe, or je n’avais joué aucun rôle réel. J’avais toujours voulu protéger mon image et mon statut aux yeux des autres et je n’avais pas du tout tenu compte du travail de l’Église. Comment pouvais-je être considérée comme une bonne personne ? À ce stade-là, j’ai vu que même si en apparence, j’étais aimable, aimante et bienveillante, dans mon for intérieur, en fait, j’étais sournoise. J’avais voulu utiliser cette ruse pour gagner l’admiration des autres. J’étais vraiment une personne fuyante et fourbe. Avant, je croyais que les gens aimables étaient bons, qu’ils avaient de bonnes relations avec les autres, qu’ils étaient appréciés et que Dieu les approuvait. Or à présent, je voyais que les gens aimables étaient juste doués pour se déguiser et qu’être aimable n’était pas un principe de conduite. Vivre selon cette idée culturelle traditionnelle ne fait que rendre les gens plus égoïstes, méprisables, fuyants et fourbes, et agir ainsi va à l’encontre de la vérité, est un acte malfaisant, et résiste à Dieu !
Plus tard, j’ai lu deux autres passages de la parole de Dieu, je suis parvenue à comprendre ce qu’est la bonne humanité et j’ai appris les principes de conduite. Dieu Tout-Puissant dit : « Il doit y avoir une norme pour “avoir une bonne humanité”. Cela n’implique pas de prendre le chemin de la modération, de ne pas s’en tenir aux principes, de s’efforcer de n’offenser personne, de chercher à s’attirer des faveurs partout où l’on va, d’être doux et doucereux avec tous ceux qu’on rencontre, et d’amener tout le monde à dire du bien de soi-même. Ce n’est pas la norme. Alors, quelle est la norme ? C’est d’être capable de se soumettre à Dieu et à la vérité. C’est aborder son devoir et toutes sortes de gens, d’événements et de choses avec des principes et le sens des responsabilités. C’est évident pour tout un chacun, tout le monde le sait clairement dans son cœur » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, En offrant son cœur à Dieu, on peut obtenir la vérité). « Ce que les gens devraient s’efforcer de réussir le plus, c’est de faire des paroles de Dieu leur base et de la vérité leur critère : ainsi seulement ils pourront vivre dans la lumière et vivre à la ressemblance d’une personne normale. Si tu veux vivre dans la lumière, tu dois agir en accord avec la vérité ; tu dois être une personne honnête qui prononce des paroles honnêtes et fait des choses honnêtes. Ce qui est fondamental, c’est d’avoir les vérités-principes dans son comportement ; une fois que les gens perdent les vérités-principes et se concentrent uniquement sur un bon comportement, cela donne inévitablement lieu à des trucages et à des faux-semblants. S’il n’y a pas de principe dans le comportement des gens, alors quelle que soit la qualité de leur comportement, ce sont des hypocrites : ils peuvent être capables d’induire les autres en erreur pendant un certain temps, mais ils ne seront jamais dignes de confiance. Ce n’est que lorsque les gens agissent et se conduisent selon les paroles de Dieu qu’ils ont un véritable fondement. S’ils ne se comportent pas en accord avec les paroles de Dieu et font juste semblant de bien se conduire, peuvent-ils devenir de bonnes personnes ? Absolument pas. De bonnes doctrines et un bon comportement ne peuvent pas changer les tempéraments corrompus de l’homme, et ils ne peuvent pas changer son essence. Seules la vérité et les paroles de Dieu peuvent changer les tempéraments corrompus, les pensées et les opinions des gens et devenir leur vie. […] Alors, quelles sont les exigences et les normes de Dieu pour le discours et les actions des gens ? (Qu’ils soient constructifs pour les gens.) C’est vrai. Plus fondamentalement, tu dois dire la vérité, parler honnêtement et apporter aux autres. À tout le moins, ton discours doit édifier les gens, et non les tromper, les induire en erreur, les railler, les satiriser, les tourner en dérision, se moquer d’eux, les contraindre, exposer leurs faiblesses, ou les blesser. Telle est l’expression d’une humanité normale. C’est la vertu de l’humanité. Dieu t’a-t-Il dit si tu devais parler fort ? A-t-Il exigé que tu utilises un langage standard ? A-t-Il exigé que tu utilises une rhétorique fleurie ou un style linguistique noble et raffiné ? (Non.) Il n’y a aucune de ces choses superficielles, hypocrites, fausses et sans bénéfice tangible. Toutes les exigences de Dieu sont des choses que l’humanité normale devrait posséder, des normes et des principes pour le langage et le comportement de l’homme. Peu importe où une personne est née ou quelle langue elle parle. Dans tous les cas, les paroles que tu prononces (leur verbiage et leur contenu) doivent être édifiantes pour les autres. Qu’est-ce que cela signifie, qu’elles doivent être édifiantes ? Cela signifie que les gens, les ayant entendues, ont le sentiment qu’elles sont vraies, en tirent enrichissement et aide, qu’ils peuvent comprendre la vérité et ne sont plus confus, ni susceptibles d’être induits en erreur par les autres. Donc, Dieu exige que les gens disent la vérité, qu’ils disent ce qu’ils pensent au lieu de tromper, d’induire en erreur, de railler, de satiriser, de tourner en dérision les autres, de se moquer d’eux ou de les contraindre, d’exposer leurs faiblesses, ou de les blesser. Ne sont-ce pas là les principes de la parole ? Quand on dit qu’il ne faut pas exposer les faiblesses des gens, qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie qu’il ne faut pas salir les autres. Ne t’accroche pas à leurs erreurs ou à leurs lacunes passées pour les juger ou les condamner. C’est le moins que tu devrais faire. Du côté proactif, comment s’exprime le discours constructif ? Il s’agit principalement d’encourager, d’orienter, de guider, d’exhorter, de comprendre et de réconforter. De plus, dans certains cas particuliers, il devient nécessaire d’exposer directement les erreurs des autres et de les émonder, afin qu’ils acquièrent la connaissance de la vérité et le désir de se repentir. Ce n’est qu’alors que l’effet attendu est atteint. Cette façon de pratiquer leur est très profitable. C’est une aide réelle et c’est constructif pour eux, n’est-ce pas ? » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, En quoi consiste la poursuite de la vérité (3)). Cette parole de Dieu m’a fait comprendre le critère qui permet de mesurer si l’humanité d’une personne est bonne ou mauvaise. Avoir une humanité vraiment bonne n’est pas une question de suivre la voie du milieu, d’éviter d’offenser les gens, de maintenir des relations harmonieuses, ni de bien s’entendre avec tout le monde. Il ne s’agit pas non plus d’être aimable ou accessible avec les gens. Ce sont là juste des comportements apparents, et ils ont beau être bien joués, Dieu ne les approuve pas. Ce n’est qu’en interagissant avec les gens selon la parole de Dieu que l’on adhère aux principes. Ce n’est qu’en abordant les autres et son devoir avec sincérité, en étant responsable, en pratiquant la vérité, et en étant une personne honnête que l’on peut être considéré comme une personne dotée d’une véritable humanité. Avant, je pensais toujours que si je signalais aux gens leurs problèmes et les exposais, je les offenserais et mes frères et sœurs développeraient une vision négative de moi. Alors quand je parlais, je réfléchissais toujours à un moyen de rendre ce que je disais plus facile à accepter et à une façon de ne pas faire de la peine aux gens. Je ne me préoccupais pas du tout de savoir si cela serait efficace. En réalité, interagir avec les gens de façon aussi douce n’offense pas les gens et fait en sorte que votre bonne image soit préservée, mais ce n’est absolument pas bénéfique aux autres ou au travail de l’Église. Lorsque vous aidez quelqu’un, il faut au moins que ça lui soit bénéfique et être capable de lui signaler clairement ses problèmes lorsque vous les identifiez. Même si cela implique parfois un ton critique que l’autre personne peut avoir du mal à accepter au départ, cela peut la pousser à réfléchir sur elle-même et à se racheter. J’ai pensé au fait que l’œuvre du salut de Dieu n’est pas constituée d’une seule méthode. Non seulement Dieu offre le réconfort et l’exhortation aux gens, mais Il juge, châtie et émonde également les gens. C’est là une meilleure méthode pour sauver les gens. Si je vois quelqu’un qui vit dans un tempérament corrompu et que je me contente de le réconforter et de l’exhorter, cela ne lui est pas du tout bénéfique, et il lui sera difficile de reconnaître son tempérament corrompu. Je me suis rendu compte que le fait d’aider les gens exige aussi des principes, et doit être basé sur la stature de la personne, son passé et sa situation uniques. Si un frère ou une sœur vient juste de commencer à pratiquer et manque de compétences professionnelles, nous devrions davantage l’aider. Mais s’il se fie à son tempérament corrompu pour faire ses devoirs et a déjà affecté le travail de l’Église, alors il faut qu’il soit corrigé, exposé et émondé. C’est là assumer sa responsabilité et cela lui est bénéfique. En comprenant ces choses, je me suis dit que je ne pouvais plus continuer à interagir avec les autres conformément à la culture traditionnelle, et que je devais pratiquer conformément à la parole et aux exigences de Dieu.
Un jour, j’inspectais les documents que les deux autres sœurs avaient réunies et j’ai remarqué que les exemples manquaient de détail et devaient être complétés et améliorés. Ces deux sœurs faisaient ce travail depuis pas mal de temps, et si elles avaient été plus consciencieuses lors de l’inspection, ces écarts ne se seraient pas produits. Il était clair qu’il y avait un problème dans leur attitude envers leur devoir. J’ai pensé au fait que j’avais eu peur d’offenser les gens et que je voulais préserver mes relations avec les autres, n’osant pas faire remarquer les problèmes des gens. Non seulement cela n’était absolument pas bénéfique aux gens, mais cela nuisait aussi au travail de l’Église. Cette fois, je devais en tirer une leçon, pratiquer la vérité, et agir conformément aux principes, alors j’ai exposé leurs attitudes envers leurs devoirs et l’essence et les conséquences de l’exécution de leurs devoirs de cette façon. L’une des sœurs m’a dit par la suite que même si au départ, elle n’avait pas réussi à accepter d’être émondée et qu’elle avait eu l’impression que j’avais été trop dure, en réfléchissant sur elle-même conformément à la parole de Dieu, elle avait gagné une certaine compréhension de ses problèmes, et avait également compris l’importance de faire son devoir conformément aux principes. Elle a dit qu’elle avait gagné quelque chose de cette expérience de l’émondage. Ces faits m’ont montré que pour ceux qui poursuivent la vérité, être émondé peut les aider à reconnaître leurs problèmes, à faire leurs devoirs plus attentivement, et à réduire le nombre d’écarts dans leur travail. Je suis parvenue à me rendre compte que c’est uniquement en agissant et en se conduisant conformément à la parole de Dieu et à la vérité que les gens peuvent vivre une humanité normale, et que cela est bénéfique aux autres, à eux-mêmes, et au travail de l’Église. Seules les paroles de Dieu sont les principes selon lesquels les gens doivent agir et se conduire !
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