Ce qui découle du manque d’efforts dans mon devoir

3 mars 2022

Par Yichen, Italie

En 2019, Sœur Zhang et moi avons été chargées de diriger l’équipe artistique. Quand j’ai commencé ce devoir, je ne saisissais que quelques principes. Sœur Zhang a donc patiemment échangé avec moi et s’est occupée de la majeure partie du travail. Plus tard, j’ai appris qu’elle assumait ce devoir depuis deux ans et qu’elle avait une certaine expérience. Dans tout ce qu’elle faisait – des échanges lors des réunions aux récapitulations de travail – elle réfléchissait de façon plus exhaustive que moi. Quand les frères et sœurs soulevaient des questions, elle trouvait toujours des solutions adaptées. En comparaison, j’avais l’impression d’être loin derrière elle. Je me suis dit : « Dans quelle mesure faut-il souffrir et payer un prix pour devenir comme Sœur Zhang ? Comme elle est plus expérimentée et que son fardeau est plus important que le mien, je vais la laisser faire davantage de travail. »

Quand elle récapitulait les tâches à accomplir, elle me demandait de réfléchir à la façon d’échanger pour résoudre les problèmes, et je me disais juste : « Ça représente beaucoup d’efforts. En plus de résumer les problèmes qui se posent dans notre devoir, il faut que je trouve des paroles de Dieu et des principes pertinents sur lesquels échanger. Concernant les problèmes professionnels, en particulier, je n’ai pas beaucoup d’expérience. Pour pouvoir proposer des solutions, il faudrait que je cherche des tas de renseignements et que je demande à échanger sur ce que je ne comprends pas. Ça nécessiterait beaucoup de temps et d’efforts. Sœur Zhang connaît bien ce domaine, elle peut donc faire les résumés. Je la laisse s’en charger. » Ensuite, je n’ai jamais repensé aux récapitulations de travail. Plus tard, quand Sœur Zhang m’a demandé mon avis, j’ai répondu : « Je connais mal ce domaine, il vaudrait mieux que tu fasses les résumés. » Parfois, quand elle organisait l’orientation de nos études, elle me demandait si je voulais participer, afin de lui donner des conseils et l’aider à éviter les problèmes potentiels. Je me disais : « Sœur Zhang a toujours été responsable de ce domaine et elle le comprend mieux que moi. Pour participer, il faudrait que j’y réfléchisse et que j’étudie les aspects que je ne connais pas. C’est bien trop d’efforts ! Je ne m’ennuierai pas à participer. » J’ai donc rejeté Sœur Zhang.

Plus tard, nous avons appris une nouvelle technique de dessin. Nous avons rencontré bien des difficultés et des problèmes, mais elle a discuté avec nous et les a résolus. Comme je connaissais mal ce domaine, même quand elle m’expliquait les choses deux fois, j’étais perdue, et je me suis dit : « Acquérir de nouvelles compétences dans ce domaine est épuisant. Je crois que je ne vais pas m’impliquer, cette fois. De toutes façons, Sœur Zhang est là, elle peut nous aider à apprendre. » Ensuite, quand j’étudiais, j’ai cessé d’écouter attentivement. Parfois, je ne disais pas un mot ; ou bien, je m’attelais à d’autres tâches. Quand Sœur Zhang me demandait si j’avais des idées, ou une opinion, je répondais toujours avec insouciance que je n’en avais aucune. Finalement, je me suis aperçue que j’assumais de moins en moins un fardeau dans mon devoir. Plus je me disais que je n’étais pas assez compétente, moins je repérais les problèmes. Durant cette période, j’ai eu chaque jour l’impression que mon cœur était vide et je suis devenue de plus en plus négative. Je me disais que j’étais de faible calibre, que je n’étais pas digne de ce devoir. Parfois, j’étais assez jalouse de Sœur Zhang. Je me disais qu’elle accomplissait bien son devoir parce qu’elle avait de l’expérience et un bon calibre, mais que j’étais différente. J’étais de faible calibre et sans expérience, faire mon devoir m’était donc difficile.

Un jour, alors qu’on venait de discuter de mon travail, Sœur Zhang m’a dit : « Tu assumes ce devoir depuis un moment, maintenant, pourtant tu dis que tu manques d’expérience ou que tu ne comprends rien. Le fait est que tu ne veux pas porter un fardeau ni faire d’efforts. Si j’ai de bonnes idées, c’est parce que je prie souvent, que je me fie à Dieu, et que je cherche les principes pour comprendre les choses. Quand on ne comprend pas certaines tâches professionnelles, on doit les étudier. Sinon, comment peut-on bien accomplir notre devoir ? » Puis elle m’a expliqué comment elle se fiait à Dieu et cherchait pour trouver des solutions quand elle rencontrait des difficultés. Malheureusement, à ce moment-là, je n’étais absolument pas consciente de mon problème. En fait, j’ai pensé que Sœur Zhang ne comprenait pas mes difficultés, donc je n’ai pas pris à cœur ses suggestions, et je n’ai pas non plus réfléchi sur moi-même, ensuite.

Peu après, Sœur Zhang a été chargée d’autres tâches. Cela m’a vraiment attristée quand elle est partie, d’autant que, face à tout ce travail, mon esprit restait vide. Je me suis demandé : « Je suis responsable de ce travail depuis un an, maintenant, alors pourquoi suis-je toujours incapable de l’assumer ? » C’est alors que je me suis souvenue de ce que Sœur Zhang m’avait dit. N’avais-je vraiment porté aucun fardeau dans mon devoir ? J’ai prié Dieu pour Lui demander Sa direction tandis que je réfléchissais sur moi-même. Ensuite, j’ai lu ce passage des paroles de Dieu : « La plupart du temps, vous êtes incapables de répondre quand on vous pose des questions sur des problèmes de travail. Le travail implique un grand nombre de personnes, mais vous n’avez jamais demandé si cela se passait bien, vous n’y avez même pensé. Compte tenu de votre calibre et de vos connaissances, vous ne devriez pas ne rien savoir, car vous avez tous participé à ce travail. Alors pourquoi la plupart des gens ne disent-ils rien ? Il est possible que vous ne sachiez vraiment pas quoi dire, que vous ne sachiez pas si les choses vont bien ou non. Il y a deux raisons à cela : la première est que vous êtes totalement indifférents, que vous ne vous êtes jamais souciés de ces choses et que vous ne les avez jamais traitées que comme une tâche à accomplir. L’autre raison est que vous n’êtes pas enclins à vous soucier de ces choses. Si tu t’en souciais vraiment et que tu étais vraiment engagé, tu aurais une idée et un point de vue sur tout. Ne pas avoir d’idée ni de point de vue vient souvent du fait qu’on est indifférent et apathique et qu’on n’assume aucune responsabilité. Tu n’es pas diligent par rapport au devoir que tu accomplis, tu n’assumes aucune responsabilité, tu n’es pas prêt à payer un prix ni à t’impliquer, tu ne supportes aucune peine et tu n’es pas prêt à dépenser plus d’énergie : tu souhaites simplement être un sous-fifre, ce qui n’est pas différent du cas de l’incroyant qui travaille pour son patron. Accomplir son devoir de cette manière n’est pas ce que Dieu chérit, ce n’est pas ce que Dieu approuve, Dieu méprise cela, et tôt ou tard cette personne sera éliminée » (« Seule l’honnêteté permet de vivre avec une véritable humanité », dans Sermons de Christ des derniers jours). Cette parole de Dieu a révélé avec précision mon état. Quand j’avais travaillé et discuté avec Sœur Zhang, je n’avais jamais eu mes propres opinions ou idées. Je m’étais toujours dit que c’était parce que je connaissais mal le domaine ou la tâche. Ce n’est qu’après avoir lu la parole de Dieu que j’ai compris que c’était dû à mon insouciance et à mon irresponsabilité. En repensant à mon partenariat avec Sœur Zhang, je me suis dit que chaque fois que j’avais eu un problème professionnel, je ne m’en étais pas souciée. J’avais pris comme excuse mon inexpérience et ma mauvaise compréhension des principes pour échapper à mon devoir. Quand on discutait du travail, je me contentais d’écouter, je n’y réfléchissais jamais sérieusement. Je disais souvent devant Sœur Zhang que je ne comprenais rien et qu’elle avait davantage d’expérience que moi, mais ce n’étaient que mensonges et excuses. Mon véritable but était de gagner son affection et sa compréhension, pour qu’elle se charge de plus de travail que moi et que je puisse continuer à profiter de mes loisirs. J’étais si rusée et sournoise ! J’avais assumé ce devoir pendant un an et j’avais des bases professionnelles, donc si j’avais été responsable et étudié avec assiduité, j’aurais eu mes propres opinions quand je discutais de travail. J’aurais peut-être même pu reprendre le flambeau quand Sœur Zhang a été transférée. Je n’avais rien fait d’autre que d’accomplir mon devoir dans l’à-peu-près et d’être irresponsable, comme si je travaillais juste pour un salaire qui me permette de m’en sortir, survivant au jour le jour, évitant le plus possible efforts et soucis. Je ne m’étais jamais demandé comment faire les choses correctement, comment faire de mon mieux et assumer mes responsabilités. Je m’étais contentée de faire dans l’à-peu-près, en ne songeant qu’à éviter la souffrance charnelle. Je n’avais pas tenu compte du tout de la volonté de Dieu. Comment pouvais-je dire qu’il y avait une place pour Lui dans mon cœur ? Comment Dieu aurait-Il pu ne pas me détester, du fait de mon attitude envers mon devoir ?

Ensuite, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu : « Le Seigneur Jésus a dit un jour : “Car on donnera à celui qui a, et il sera dans l’abondance, mais à celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a” (Matthieu 13:12). Quel est le sens de ces paroles ? Ce qu’elles signifient, c’est que si tu n’accomplis même pas ton propre devoir ou travail ou que tu ne t’y consacres même pas, Dieu t’ôtera ce qui t’appartenait. Que veut dire “ôter” ? Qu’est-ce que cela fait ressentir aux gens ? Il se peut que tu n’aies pas atteint ce que ton calibre et tes dons auraient pu te permettre d’atteindre et que tu n’aies rien ressenti, et que tu sois revenu au même état que lorsque tu étais incroyant. Tout cela a été ôté par Dieu. Si, dans ton devoir, tu es négligent et ne payes pas de prix et que tu n’es pas sincère, Dieu t’ôtera ce qui t’appartenait, Il te reprendra le droit d’accomplir ton devoir, Il ne t’accordera pas ce droit. Parce que Dieu t’a donné des dons et du calibre, mais que tu n’as pas accompli ton devoir correctement, que tu ne t’es pas dépensé pour Dieu et n’as pas payé un prix, et que tu n’y as pas mis ton cœur, non seulement Dieu ne te bénit pas, mais Il t’ôte également ce que tu avais. Dieu octroie à l’homme des dons, Il lui donne des aptitudes spéciales ainsi que l’intelligence et la sagesse. Comment l’homme doit-il les utiliser ? (Il doit utiliser ces dons pour bien accomplir son devoir.) Tu dois consacrer tes aptitudes spéciales, tes dons, ton intelligence et ta sagesse à ton devoir. Tu dois utiliser ton cœur et te creuser les méninges pour appliquer à ton devoir tout ce que tu sais, tout ce que tu comprends, tout ce que tu peux réaliser et tout ce à quoi tu penses. En faisant ainsi, tu seras béni. Que signifie être béni par Dieu ? Qu’est-ce que cela fait ressentir aux gens ? (Qu’il y a un chemin quand ils accomplissent leur devoir, qu’ils ont été éclairés par le Saint-Esprit.) Qu’ils ont été éclairés et guidés par Dieu. Pour les gens, il peut sembler que dans le cadre de tes capacités, ton calibre et les choses que tu as apprises sont insuffisants pour te permettre de faire ce que tu souhaites, mais si Dieu œuvre et t’éclaire, tu es non seulement capable de comprendre, mais aussi de faire mieux. Tu te demandes : “Je n’étais pas si doué. J’ai l’impression qu’il y a maintenant beaucoup plus en moi. Comment se fait-il que je comprenne soudainement des choses que je n’ai jamais apprises et que je sois capable d’en faire autant ? Comment suis-je soudainement devenu si intelligent ?” Tu ne peux pas l’expliquer. Ce sont l’illumination et la bénédiction de Dieu : c’est ainsi que Dieu bénit les gens. Si vous ne le ressentez pas lorsque vous accomplissez votre devoir ou lorsque vous faites votre travail, alors vous n’avez pas été bénis par Dieu. Si faire ton devoir te semble toujours dénué de sens, si tu as l’impression qu’il n’y a rien à faire et que tu ne peux pas te résoudre à contribuer, si tu n’es jamais éclairé et que tu te sens dénué d’intelligence et de sagesse à mettre en œuvre, alors c’est un problème : cela montre que tu n’as pas les bonnes motivations pour accomplir ton devoir, que tu le fais de manière négligente et insouciante, que tu ne suis pas le bon chemin et que Dieu ne t’approuve pas et ne te bénit pas. Voilà le genre de circonstances dans lesquelles tu t’es retrouvé » (« Seule l’honnêteté permet de vivre avec une véritable humanité », dans Sermons de Christ des derniers jours). Après avoir médité la parole de Dieu, j’ai compris que Dieu bénissait les gens honnêtes et ceux qui se dépensent sincèrement pour Lui. Plus quelqu’un s’applique et essaie de s’améliorer dan son devoir, plus le Saint-Esprit guide cette personne et plus celle-ci est efficace dans son devoir. Mais si on accomplit son devoir avec fourberie, sans s’appliquer ni payer un prix, on ne progressera jamais et ne bénéficiera jamais de son devoir, et on perdra peut-être même ce que l’on aurait pu accomplir. Je me suis alors souvenue d’une expérience dont Sœur Zhang m’avait parlé. Au début, elle n’avait pas compris grand-chose à son travail, mais elle avait souvent présenté ses difficultés à Dieu, en priant, en cherchant et en contemplant. Elle avait aussi échangé sur ses difficultés avec les autres et, inconsciemment, elle avait été éclairée par le Saint-Esprit et de nouvelles idées lui étaient sans cesse venues. Elle avait constamment fait des progrès et était devenue plus efficace dans son devoir. Moi, par contre, j’avais essayé de maintenir le statu quo, je n’avais pas cherché à progresser, j’avais essayé de profiter de mes loisirs, et je n’avais jamais voulu souffrir ou payer un prix. Par conséquent, je n’avais jamais réalisé mon potentiel. Comme le disent les paroles de Dieu : « À celui qui n’a pas on ôtera même ce qu’il a » (Matthieu 13:12). Dieu détestait mon attitude négligente et irresponsable envers mon devoir. J’ai compris que si je ne me repentais pas, j’allais être rejetée et exécrée par Dieu, et je finirais par perdre mon devoir, purement et simplement. Penser à ça m’a fait peur, alors j’ai immédiatement prié Dieu pour qu’Il m’aide à trouver un chemin de pratique et pour Lui dire que je souhaitais me repentir.

J’ai lu ce passage de la parole de Dieu : « Comment les gens devraient-ils comprendre leurs devoirs ? Le devoir d’une personne émerge quand le Créateur, Dieu, lui donne une tâche à faire. Les tâches que Dieu te confie, les commissions que Dieu te donne : voilà tes devoirs. Quand tu les poursuivras comme tes objectifs et que tu auras véritablement un cœur qui aime Dieu, pourras-tu encore y opposer un refus ? (Non.) Ce n’est pas une question de savoir si tu peux ou non – tu ne dois pas les refuser. Tu dois les accepter. C’est le chemin de pratique. Qu’est-ce que le chemin de pratique ? (Être profondément dévoué en toute chose). Être dévoué en toute chose pour satisfaire la volonté de Dieu. Où réside le point central ici ? Il est “en toute chose”. “Toute chose” ne veut pas forcément dire des choses que tu aimes ou pour lesquelles tu es doué, encore moins des choses qui te sont familières. Parfois, tu ne seras pas bon dans quelque chose, parfois tu auras besoin d’apprendre, parfois, tu rencontreras des difficultés, et parfois tu devras souffrir. Cependant, peu importe la tâche, à partir du moment où elle est commissionnée par Dieu, tu dois l’accepter de Sa part, la considérer comme ton devoir, être dévoué à l’accomplir et satisfaire la volonté de Dieu : tel est le chemin de la pratique » (« Les gens ne peuvent véritablement être heureux qu’en étant honnêtes », dans Sermons de Christ des derniers jours). Et cet autre passage : « Quand les gens ont un tempérament corrompu, ils sont souvent superficiels et négligents lorsqu’ils accomplissent leur devoir. C’est un des problèmes les plus graves entre tous. Si les gens veulent s’acquitter correctement de leur devoir, ils doivent d’abord résoudre ce problème de négligence et d’insouciance. Tant qu’ils auront une attitude aussi superficielle et négligente, ils ne pourront pas s’acquitter correctement de leur devoir, ce qui veut dire qu’il est extrêmement important de résoudre le problème de la négligence et de l’insouciance. Alors, comment doivent-ils mettre cela en pratique ? Premièrement, ils doivent résoudre le problème de leur état d’esprit : ils doivent aborder leur devoir correctement et faire les choses avec sérieux et avec le sens des responsabilités, sans être malhonnêtes ni superficiels. Le devoir de quelqu’un est accompli pour Dieu, pas pour une seule personne ; si l’on est capable d’accepter l’examen minutieux de Dieu, on aura le bon état d’esprit. De plus, après avoir fait quelque chose, on doit l’examiner et y réfléchir, et si l’on a des doutes au fond de soi et qu’après une inspection détaillée, on découvre qu’il y a vraiment un problème, alors on doit procéder à des changements ; une fois ces changements effectués, on n’aura plus aucun doute au fond de soi. Quand on a des doutes, c’est la preuve qu’il y a un problème et l’on doit examiner avec diligence ce qu’on a fait, surtout aux étapes clés. C’est là une attitude responsable par rapport à l’accomplissement de son devoir. Quand on peut être sérieux, responsable, dévoué et travailleur, le travail sera fait correctement. Parfois, tu es dans un mauvais état d’esprit et tu ne peux pas trouver ni découvrir une erreur qui est claire comme de l’eau de roche. Si tu étais dans le bon état d’esprit, alors, avec l’illumination et la direction du Saint-Esprit, tu serais en mesure d’identifier le problème. Si le Saint-Esprit t’avait guidé et t’avait donné une telle conscience, te permettant de sentir que quelque chose ne va pas, mais que tu étais dans un mauvais état d’esprit, distrait et négligent, serais-tu capable de remarquer l’erreur ? (Non.) Tu ne le serais pas. Qu’est-ce que cela montre ? (Ce n’est que lorsque le cœur des gens est en paix devant Dieu, et qu’ils accomplissent leur devoir de tout leur cœur et de toute leur force, que leur esprit est ingénieux.) C’est vrai. Cela montre qu’il est très important que les gens coopèrent : leur cœur est très important, et ce vers quoi ils dirigent leurs pensées et leurs intentions est très important » (L’échange de Dieu). Après avoir réfléchi à ces paroles de Dieu, je me suis sentie profondément inspirée. Mon devoir était une commission de Dieu, la tâche de Dieu pour moi, et que je sois capable de faire ce devoir habilement ou non, qu’il soit simple ou complexe, il venait de Dieu, je devais donc me montrer responsable et aussi loyale que possible. Ce n’était qu’en faisant de mon mieux et en assumant mes responsabilités que je pourrais recevoir les bénédictions de Dieu. J’ai songé à toutes les fois où j’avais juré devant Dieu que j’allais accomplir loyalement mes devoirs pour Lui rendre Son amour. Maintenant que mon devoir s’avérait un peu compliqué et difficile, et que je devais souffrir et payer un prix, je faisais dans l’à-peu-près et j’essayais de l’éviter. Quand j’ai compris ça, je me suis sentie redevable envers Dieu et indigne de jouir de Son amour. Je ne pouvais pas continuer ainsi. Je devais pratiquer en accord avec la parole de Dieu, aborder mes devoirs sincèrement et assumer mes responsabilités, pour ne pas avoir de regrets à l’avenir.

Alors j’ai commencé à examiner le travail qui m’avait rendue perplexe auparavant et à me familiariser avec lui, et je n’ai plus essayé d’éviter les problèmes compliqués. À la place, j’ai discuté de ces problèmes et échangé sur eux avec mes frères et sœurs, en leur demandant de m’apprendre quand je ne comprenais pas. Finalement, j’ai commencé à maîtriser les détails et j’ai pu proposer des solutions quand les autres rencontraient des difficultés. Au début, quand je récapitulais notre travail, je manquais d’idées et j’avais envie de me défiler, mais je me suis souvenue de ce que j’avais lu dans la parole de Dieu, et j’ai donc délibérément renoncé à ma chair, réfléchi aux problèmes qui se posaient dans notre devoir et travaillé pour chercher les principes et trouver des renseignements. Après avoir pratiqué ainsi pendant un moment, j’ai clairement éprouvé la bénédiction et la direction de Dieu. J’ai commencé à maîtriser ce que je ne comprenais pas ou ce qui me déconcertait auparavant, et mes résumés de travail ont produit des résultats. Mes frères et sœurs pratiquaient ce que j’avais récapitulé, et ils faisaient également des progrès.

J’ai pensé que mon attitude envers mon devoir avait un peu changé, mais quand Dieu a arrangé un nouvel environnement pour moi, j’ai repris mes vieilles habitudes.

En septembre 2021, pour les besoins du travail, j’ai fait équipe avec Sœur Li pour abreuver les nouveaux venus. Je pensais que ce devoir ne poserait pas de problèmes techniques, et qu’il serait donc moins difficile, mais quand j’ai commencé à le faire, j’ai découvert qu’il n’était pas aisé de bien abreuver les nouveaux venus. Je devais communiquer avec eux en anglais, mais aussi échanger sur la vérité pour résoudre rapidement leurs notions et dissiper leur confusion. J’ai vu que Sœur Li maîtrisait très bien toutes les facettes de ce travail. Elle trouvait rapidement les vérités pertinentes pour résoudre les problèmes des nouveaux venus, alors que je m’en sortais vraiment mal. Souvent, je ne parvenais pas à échanger clairement sur la vérité ou à résoudre leurs problèmes. Pour atteindre le niveau de Sœur Li, j’allais devoir étudier et m’équiper pendant longtemps, et payer un prix important. Je me suis dit : « À quoi bon ? Sœur Li est ma partenaire maintenant, je n’ai donc pas à me faire de souci. » Pensant de cette façon, je n’ai plus cherché la vérité avec autant d’empressement et, après les réunions, je ne posais pas de questions proactivement aux nouveaux venus sur leurs problèmes. Un jour, j’ai réalisé que je faisais ce devoir d’abreuvement depuis deux mois, pourtant je n’étais toujours pas capable d’abreuver un nouveau venu seule. Je me disais toujours que je ne comprenais rien, mais je ne m’efforçais pas de payer un prix. Je n’ai pu m’empêcher de me demander : « Comment se fait-il que, dès que je rencontre un devoir que je maîtrise mal, je prends pour excuse de ne pas savoir comment faire, je me contente d’un à-peu-près dans mon devoir et je refuse de payer un prix ? » J’ai présenté mon état et ma confusion à Dieu et j’ai prié.

Un jour, pendant mes dévotions, je suis tombée sur deux passages de la parole de Dieu : « Toujours opter pour les tâches faciles dans l’accomplissement de ses devoirs, les tâches qui ne sont pas fatigantes, celles qui n’impliquent pas de sortir sous un soleil brûlant ou sous une pluie battante, éviter les tâches risquées et exigeantes, les confier à quelqu’un d’autre et se trouver une tâche facile, chercher une excuse, dire qu’on est de piètre calibre, qu’on est incapable de faire ce travail, qu’on ne pourrait pas le faire, qu’on est stupide et qu’on ne sera pas en mesure de gérer les problèmes qui se présenteront : c’est là quelqu’un qui tire-au-flanc et qui est la manifestation de la convoitise des conforts de la chair. […] Il y a aussi ces gens qui se plaignent toujours quand ils accomplissent leur devoir, qui ne veulent pas faire d’efforts, qui, dès qu’ils ont un peu de temps libre, doivent se reposer et bavarder, et continuent à se plaindre dès qu’ils commencent à travailler, qui reculent à la vue de quelque chose de difficile et tentent d’y échapper, cherchant une raison ou un prétexte, en disant : “Je ne suis pas à la hauteur, mon calibre est trop mauvais ! Un tel a un meilleur calibre que moi, il est plus perspicace que moi, plus capable, il peut réussir ce travail”, et qui vont chercher des petits boulots afin d’avoir plus de temps pour se divertir. […] Une telle personne convoite les conforts de la chair, n’est-ce pas ? Ne s’agit-il pas des manifestations de la convoitise des conforts de la chair ? Ces personnes sont-elles aptes à accomplir un devoir ? Abordez le sujet de l’accomplissement de leur devoir, parlez de payer un prix et de subir des épreuves, et elles ne cessent de secouer la tête : elles auraient trop de problèmes, elles sont remplies de plaintes, elles sont négatives sur tout. De telles personnes sont inutiles, elles ne sont pas habilitées à accomplir leur devoir et doivent être chassées » (« Identifier les faux dirigeants (2) », dans Sermons de Christ des derniers jours). « Certains faux dirigeants ont un peu de calibre, mais ils ne font pas de travail concret et convoitent le confort charnel. Pour Moi, ceux qui convoitent le confort charnel ne sont pas différents des cochons. Les cochons passent chaque journée à manger et à dormir. Si tu leur donnes volontiers beaucoup de céréales à manger, c’est pour pouvoir, plus tard, consommer leur viande. Si les faux dirigeants sont eux aussi élevés comme des porcs, élevés pour être gros et gras, mais qu’ils sont un gaspillage d’espace et ne font aucun travail, alors à quoi bon les élever ? Ne devraient-ils pas être écartés ? Et donc, élever un faux dirigeant est moins bien qu’élever un porc. Bien que le cochon ne fasse rien, mangeant et buvant gratuitement trois fois par jour, quand tu manges de la viande à la fin de l’année, tu trouves que le cochon a apporté une contribution. Le nourrir toute l’année était fatiguant, c’était un dur labeur, mais tout cet effort n’était pas pour rien, ce n’était pas en vain : au fond de toi, tu sens que cela en valait la peine. Mais les faux dirigeants ? Ils peuvent avoir le titre de “dirigeant”, ils peuvent occuper cette position et bien manger trois fois par jour, et jouir de beaucoup de grâces de Dieu, mais finalement, à la fin de l’année, quand ils sont devenus bien gras et bien pâles, où en est le travail ? Regarde tout ce qui a été accompli dans ton travail cette année : quelles tâches ont été fructueuses, quel travail as-tu réellement effectué ? La maison de Dieu ne te demande pas de faire parfaitement chaque travail, mais tu dois bien faire le travail essentiel : le travail d’évangélisation, par exemple, ou le travail audiovisuel, le travail du témoignage écrit, et ainsi de suite. Tout cela doit être fructueux. Au bout d’un an, vois quel travail, dans ton domaine de responsabilité, a été le plus réussi, pour lequel tu as payé le prix le plus élevé et souffert le plus. Regarde tes réalisations : au fond de toi, tu dois savoir si, tout en profitant de la grâce de Dieu pendant un an, tu as fait des réalisations précieuses. Que faisais-tu exactement, tout en mangeant la nourriture de la maison de Dieu et en profitant de la grâce de Dieu pendant tout ce temps ? As-tu réussi quelque chose ? Si tu n’as rien réussi, alors tu n’es qu’un pique-assiette, tu es véritablement un faux dirigeant » (« Identifier les faux dirigeants (4) », dans Sermons de Christ des derniers jours). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai eu l’impression qu’elles m’avaient transpercé le cœur. C’est alors seulement que j’ai compris que je reculais toujours devant la difficulté dans mon devoir et que je me protégeais en disant ne pas comprendre ou ne pas savoir comment faire, parce que j’étais trop paresseuse et trop avide de confort charnel. Auparavant, quand j’avais été superviseuse avec Sœur Zhang, j’avais toujours retenu des tâches simples et faciles pour moi-même, en lui laissant tout ce que je maîtrisais mal ou qui nécessitait de réfléchir soigneusement. Quand j’ai abreuvé les nouveaux venus avec Sœur Li, j’ai encore refusé de me faire du souci, de souffrir ou de payer un prix. Je me suis demandé pourquoi je me comportais ainsi, et j’ai compris que c’était principalement parce que j’étais contrôlée par des philosophies sataniques. Des idées comme « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et « Profite du moment présent, car la vie est courte » s’étaient profondément enracinées dans mon cœur. Je m’étais toujours dit que les gens devaient vivre pour eux-mêmes, et qu’en disposant d’un confort charnel, en n’ayant aucun souci, on vivait comme on devait vivre. Quand je suis arrivée dans la maison de Dieu pour accomplir mon devoir, c’était encore mon opinion, et face aux difficultés ou à ce que je maîtrisais mal, quand je devais souffrir ou payer un prix, je reculais comme une lâche et privilégiais mon confort charnel. En vivant ainsi, je n’étais pas différente d’un porc. Les porcs ne réfléchissent pas et ne font rien. Ils ne savent que manger, boire et dormir. J’étais comme eux, je ne me souciais que de mon confort charnel. Ma vie était si vulgaire ! Auparavant, en tant que superviseuse, et maintenant, en abreuvant, j’avais été si exaltée par Dieu, mais je n’avais pas du tout essayé de progresser ni de réfléchir à mes responsabilités et devoirs. Je m’étais montrée irresponsable face au travail de l’Église et à la vie de mes frères et sœurs. Je n’avais pas la moindre conscience ! Clairement, je refusais de souffrir et de payer un prix, je prenais toujours comme excuse de ne pas comprendre ou savoir, pour gagner l’affection des autres, afin qu’ils pensent que j’étais capable d’admettre mes défauts, et qu’ils me voient comme quelqu’un de sensé et d’honnête. La vérité est que je me servais de ces mots pour masquer ma paresse et mon irresponsabilité. J’étais si rusée et sournoise que j’avais berné tous mes frères et sœurs. Mais si je pouvais les berner un moment, Dieu, Lui, voit tout, et Il est juste. J’essayais de berner et de tromper Dieu, alors comment Dieu ne m’aurait-Il pas détestée ? C’est pourquoi je n’ai jamais vu les bénédictions ni la direction de Dieu dans mes devoirs durant cette période. Quand les problèmes nous déconcertent sans cesse et qu’on ne fait aucun progrès, c’est un signal de danger !

Ensuite, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Dieu Tout-Puissant dit : « À partir de l’instant où Dieu a confié la construction de l’arche à Noé, à aucun moment Noé ne s’est dit : “Quand Dieu va-t-Il détruire le monde ? Quand va-t-Il me donner le signal qu’Il le fera ?” Au lieu de réfléchir à de telles questions, Noé s’est efforcé de garder en mémoire chaque chose que Dieu lui avait dite, puis de réaliser chacune d’entre elles. Après avoir accepté la mission que Dieu lui avait confiée, Noé s’est mis à la mener à bien, à accomplir la construction de l’arche comme si c’était la chose la plus importante dans sa vie, sans jamais songer à la remettre à plus tard. Des jours passèrent, des années s’écoulèrent, le temps fila, année après année. Dieu ne fit jamais pression sur Noé, mais pendant tout ce temps, Noé persévéra dans la tâche importante que Dieu lui avait confiée. Tous les mots et expressions que Dieu avait utilisés étaient inscrits dans le cœur de Noé, comme des paroles gravées sur une tablette en pierre. Sans se soucier des changements dans le monde extérieur, des railleries de ceux qui l’entouraient, de l’épreuve que cela représentait ou des difficultés qu’il rencontrait, il persévéra, tout du long, dans ce que Dieu lui avait confié, sans jamais désespérer ni songer à abandonner. Les paroles de Dieu étaient inscrites dans le cœur de Noé et elles étaient devenues sa réalité de tous les jours. Noé trouva et stocka chacun des matériaux nécessaires pour construire l’arche. La forme et les caractéristiques de l’arche ordonnée par Dieu se précisèrent peu à peu, à chaque coup prudent du marteau et du burin de Noé. Dans le vent et la pluie, même quand les gens se moquaient de lui et le calomniaient, la vie de Noé continua de cette manière, année après année. En secret, Dieu observait tous les actes de Noé, sans jamais lui adresser de nouveau la parole, et Son cœur a été touché par Noé. Noé, cependant, ne le savait pas et ne le ressentait pas non plus ; de bout en bout, il construisit simplement l’arche et rassembla toutes les espèces de créatures vivantes, avec une fidélité indéfectible aux paroles de Dieu. Dans le cœur de Noé, il n’y avait pas d’instructions plus élevées à suivre et à exécuter : les paroles de Dieu étaient sa direction et son but pour toute sa vie. Donc, peu importait ce que Dieu lui avait dit, peu importait ce que Dieu lui avait demandé de faire, lui avait ordonné de faire, non seulement Noé ne l’avait pas oublié, non seulement il l’avait gravé dans son esprit, mais il en avait également fait la réalité de sa vie, et il utilisait sa vie pour accepter et accomplir la commission de Dieu. Ainsi, planche après planche, l’arche fut construite. Chaque acte de Noé, chacune de ses journées, étaient voués aux paroles et aux commandements de Dieu. Il ne semblait peut-être pas que Noé réalisait un projet capital, mais aux yeux de Dieu, tout ce qu’il faisait, jusqu’à la moindre démarche qu’il entamait pour accomplir quelque chose, chaque tâche qu’il exécutait de sa main, étaient tous précieux, méritaient d’être commémorés et étaient dignes d’être imités par cette humanité. Noé se tenait à ce que Dieu lui avait confié. Il croyait fermement que chaque parole que Dieu avait prononcée était la vérité ; de cela, il ne doutait pas. Et par conséquent, l’arche fut achevée, et toutes les sortes de créatures vivantes purent y vivre » (« Comment Noé et Abraham ont écouté les paroles de Dieu et Lui ont obéi (Partie I) », dans Exposer les antéchrists). En réfléchissant à ces paroles de Dieu, j’ai été très émue. Noé s’est montré obéissant et prévenant envers Dieu. Quand Dieu a dit à Noé de construire l’arche, Noé a chéri Sa commission et respecté Ses exigences. Au début, il n’a pas su comment bâtir l’arche, sa construction était trop difficile. À toutes les étapes, il a dû souffrir et payer un prix, mais Noé est resté fidèle à la commission de Dieu. Pour achever la commission de Dieu, il a souffert, payé le prix, et bâti l’arche clou après clou. Noé a persisté pendant 120 ans et a finalement achevé la commission de Dieu. Bien que Noé ait beaucoup souffert pour construire l’arche et qu’il n’ait pas bénéficié de confort charnel, il a mené à bien la commission de Dieu, il a satisfait Dieu et gagné Son approbation. La vie de Noé était une vie pleine de sens ! Comparée à Noé, je n’avais aucune humanité. Je n’avais pas chéri la commission de Dieu, je n’étais pas loyale. J’étais paresseuse et fourbe. Je ne désirais que le confort charnel et n’étais pas du tout prête à souffrir. J’étais indigne de la commission de Dieu. J’étais vraiment méprisable ! Si je continuais ainsi et si je ne changeais pas, Dieu finirait par me faire perdre mon devoir, ce que je regretterais toute ma vie.

Les jours suivants, j’ai organisé mon temps, et je me suis équipée chaque jour de vérités concernant l’abreuvement des nouveaux venus. Un jour, dans une réunion, les frères et sœurs ont soulevé un problème dans le travail d’abreuvement, et quand j’ai entendu quelque chose que je ne comprenais pas, j’ai eu envie de me défiler. J’ai songé à les laisser résoudre ce problème seuls. Mais cette fois, j’ai eu conscience de vouloir faire dans l’à-peu-près et de ne pas prendre mes responsabilités. J’ai pensé à l’attitude sérieuse et responsable de Noé vis-à-vis de sa commission, et j’ai alors délibérément corrigé mon état incorrect. J’ai écouté attentivement comment ils échangeaient sur la vérité pour résoudre le problème et, quand ils ont récapitulé la situation, je leur ai donné des conseils. J’ai été surprise de les entendre dire que j’étais de bon conseil. Quand j’ai abreuvé les nouveaux venus avec Sœur Li, j’ai pratiqué la résolution des difficultés concrètes des nouveaux venus et, s’il y avait des problèmes que je ne savais pas résoudre, je demandais tout de suite de l’aide à Sœur Li. Au bout d’un moment, j’ai été capable d’abreuver les nouveaux venus seule, moi aussi. Même si j’ai encore bon nombre de lacunes et de défauts, je sens que je grandis et que je progresse, et je me sens plus à l’aise. La compréhension et les bienfaits que j’ai reçus sont entièrement l’effet de l’œuvre de Dieu. Dieu soit loué !

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