Qui a vraiment déchiré ma famille ?
Par Fang Xia, Chine J’étais enseignante, et mon mari était ingénieur. Notre relation avait toujours été excellente depuis notre mariage, et...
Nous accueillons tous les chercheurs qui désirent ardemment l'apparition de Dieu !
Par Caina, Chine
En avril 2017, comme je souffrais d’hypertension, la dirigeante a suspendu mon devoir pour que je puisse rentrer chez moi et me reposer. J’étais très contrariée et j’ai pensé : « Dieu est sur le point d’achever Son œuvre, alors c’est le moment crucial pour faire mon devoir et préparer de bonnes actions. Puis-je avoir une bonne destination et une bonne fin sans devoir à accomplir ? Toutes ces années que j’ai passées à travailler dur et à payer un prix auront-elles été vaines ? J’ai fermé ma clinique pour faire mon devoir à temps plein. Mon mari a essayé de m’empêcher de suivre Dieu, mais il n’a pas réussi. Maintenant, je suis divorcée et sans famille. Le PCC est à mes trousses et n’arrête pas de demander où je suis à mes parents. Je ne peux même pas aller chez eux. Je ne sais vraiment pas où aller. » Une sœur m’a hébergée. Elle a échangé avec moi sur la volonté de Dieu et dit que je devais me soumettre, mais je l’enviais beaucoup en la voyant toujours occupée par son devoir. Je ne pouvais pas accomplir de devoir parce que je n’allais pas bien. Dieu Se servait-Il de ma maladie pour me retirer mon devoir, m’exposer et m’éliminer ? Cette pensée m’engourdissait. J’étais malheureuse et désespérée. Il me venait aussi à l’esprit des mécompréhensions et des plaintes concernant Dieu : j’avais renoncé à tout et beaucoup souffert sans jamais me plaindre. Comment pouvais-je me retrouver à n’être même pas autorisée à faire mon devoir ? À partir de là, je n’ai plus vraiment réussi à assimiler les paroles de Dieu et je n’ai plus su quoi Lui dire quand je priais. J’ai perdu l’appétit et le sommeil. J’étais dans de telles ténèbres que j’ai même songé à chercher un emploi. Me voyant dans cet état, la sœur m’a traitée et m’a dit : « Tu ne lis pas vraiment les paroles de Dieu et tu envisages même de gagner de l’argent. Tu as beaucoup changé. Tu ne cherches pas la vérité. » Ҫa a été très dur pour moi d’entendre ça et j’ai prié Dieu dans ma recherche : « Ô Dieu, je ne sais pas comment vivre ça et je ne sais pas quel est mon futur chemin. Je vis dans les ténèbres et je suis malheureuse. S’il Te plaît, éclaire-moi et guide moi pour que je connaisse Ta volonté. »
Pendant les jours suivants, j’ai beaucoup prié et cherché. Un matin, des paroles de Dieu ont subitement jailli dans mon esprit : « As-tu le visage de quelqu’un qui pourrait gagner des bénédictions ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avoir un tempérament inchangé, c’est être en inimitié envers Dieu). Je me suis empressée d’allumer mon ordinateur pour trouver ces passages. Dieu Tout-Puissant dit : « Après plusieurs milliers d’années de corruption, l’homme est devenu insensible et lent d’esprit, un démon qui s’oppose à Dieu, au point que sa rébellion de l’homme envers Lui a été documentée dans les livres d’histoire et qu’il est même incapable de décrire complètement son propre comportement rebelle. Car l’homme a été profondément corrompu par Satan et si égaré par Satan qu’il ne sait pas vers où se tourner. Même aujourd’hui, l’homme trahit encore Dieu : quand il Le voit, il Le trahit et quand il ne peut pas Le voir, il Le trahit aussi. Il y a même ceux qui, ayant été témoins de Ses malédictions et de Sa colère, Le trahissent malgré tout. Et ainsi Je dis que la raison et la conscience de l’homme ont perdu leur fonction originelle respective. L’homme que Je considère est une bête en tenue humaine, il est un serpent venimeux. Qu’importe à quel point il essaie de paraître pitoyable à Mes yeux, Je ne serai jamais miséricordieux envers lui, car l’homme ne comprend pas la différence entre le noir et le blanc, la vérité et la non-vérité. La raison de l’homme est très engourdie, mais il désire quand même gagner des bénédictions. Son humanité est particulièrement ignoble, mais il désire quand même posséder la souveraineté d’un roi. De qui pourrait-il être le roi, avec une telle raison ? Comment pourrait-il s’asseoir sur un trône, avec une telle humanité ? L’homme n’a vraiment aucune honte ! Il est un misérable vaniteux ! Pour ceux d’entre vous qui souhaitent gagner des bénédictions, Je vous suggère de chercher d’abord un miroir et de regarder votre propre reflet hideux : as-tu ce qu’il faut pour être roi ? As-tu le visage de quelqu’un qui pourrait gagner des bénédictions ? Il n’y a pas eu le moindre changement dans ton tempérament et tu n’as mis en pratique aucune vérité, mais tu souhaites quand même un merveilleux lendemain. Tu te fais des illusions ! » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Avoir un tempérament inchangé, c’est être en inimitié envers Dieu). « On croit en Dieu afin de recevoir des bénédictions : n’est-ce pas quelque chose que chacun a dans le cœur ? […] Sans cette motivation de recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Avec quelle attitude accompliriez-vous votre devoir ? Si l’on se débarrassait de cette motivation, ou si les gens eux-mêmes arrêtaient d’avoir envie d’une chose pour y renoncer ensuite, alors nombre d’entre eux feraient leur devoir sans énergie et auraient le sentiment qu’il est inutile de croire en Dieu. Ce serait comme si leur âme avait été retirée. Cette chose se trouve au plus profond de leur cœur. Tandis qu’ils accomplissent leur devoir ou vivent la vie d’Église, peut-être ressentent-ils qu’ils ne sont plus motivés pour recevoir en eux des bénédictions. Mais Dieu n’est pas de cet avis. Les gens regardent leur propre apparence et s’estiment être bons, et ils croient avoir changé. Ils pensent qu’ils sont déjà passés de l’étape de la passion à celle de la poursuite de la vérité dans l’accomplissement de leur devoir, qu’ils ne s’appuient plus sur la passion ou sur une impulsion momentanée pour l’accomplir, mais sont capables de poursuivre la vérité et de faire tout leur possible pour accomplir leur devoir à la hauteur des exigences tout au long de son accomplissement, et qu’ils sont constamment en train de se purifier eux-mêmes, afin de parvenir à satisfaire la volonté de Dieu et d’être passables comme êtres créés et d’être aussi capables de se soumettre quelque peu. Mais quand quelque chose impliquant directement leur destination et leur fin survient, alors le vrai visage des gens se révèle complètement dans la manière dont ils se comportent » (« Six indicateurs de croissance de vie », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours). Les paroles de jugement de Dieu ne m’ont laissé aucun endroit où me cacher. Avant, je savais en théorie qu’on ne devait pas avoir la foi que pour les bénédictions, mais je ne me connaissais pas vraiment moi-même. Cette situation avait complètement mis à nu mon désir d’obtenir des bénédictions. J’avais renoncé à tout au fil des ans, j’avais fermé ma clinique et fait mon devoir dans l’Église, j’avais beaucoup souffert et j’étais prête à tout. Parce que je croyais que tous ces sacrifices dans ma foi me permettraient d’obtenir l’approbation et les bénédictions de Dieu et d’avoir une bonne destination, j’étais très motivée dans mon devoir. Maintenant que mon état de santé m’empêchait de faire mon devoir, je croyais avoir perdu ma destination et mes rêves de bénédictions étaient anéantis. J’étais trop déprimée pour faire quoi que ce soit. Non seulement je regrettais d’avoir tout abandonné, mais je blâmais Dieu, je discutais avec Lui et je m’opposais à Lui. Je considérais mes sacrifices comme un capital à échanger contre les bénédictions de Dieu, je pensais que Dieu me devait une bonne destination et une bonne fin en échange de ma souffrance et de mes contributions. M’en croyant privée, je me plaignais et je blâmais Dieu. C’était donc le désir d’être bénie qui se cachait derrière ta négativité. Ҫa m’a rappelé des paroles de Dieu : « Le but de votre foi en Dieu est de L’utiliser afin de réaliser vos propres objectifs. N’est-ce pas un fait supplémentaire de votre offense contre le tempérament de Dieu ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Comment connaître le Dieu sur terre). Le tempérament de Dieu brille à travers Ses paroles. En ayant la foi de cette manière, je faisais une transaction avec Dieu, je Le trompais et je me servais de Lui pour obtenir les bénédictions que je désirais. Ҫa offense Son tempérament. Paul n’a offert des contributions et fait des sacrifices que pour exiger une couronne de justice de Dieu. Ҫa a gravement offensé le tempérament de Dieu et il a été puni. Après avoir fait quelques sacrifices, j’exigeais des récompenses, des couronnes, de l’approbation et des bénédictions, tout comme lui. Quand je n’ai pas obtenu ce que j’espérais, j’ai mal compris et blâmé Dieu, et j’ai même songé à Le trahir. Où étaient ma raison et ma conscience ? Les gens de l’espèce de Satan tels que moi, qui rêvent de bénédictions, n’ont aucune honte ! Si mes problèmes de santé ne m’avaient pas empêchée de faire mon devoir, je n’aurais jamais vu que ma recherche dans ma foi était incorrecte, j’aurais continué à suivre le mauvais chemin et j’aurais fini exactement comme Paul. Ҫa m’a un peu effrayée et je me suis rendu compte que le fait que Dieu ait arrangé ça était Son amour et Son salut pour moi. Quand j’ai compris la volonté de Dieu, j’ai été remplie de regrets et de reproches envers moi-même. J’ai prié en pleurant : « Ô Dieu ! Je suis si reconnaissante pour Ton salut ! Si je n’avais pas été exposée ainsi, je me serais opposée à Toi et je serais allée en enfer sans savoir pourquoi. Ô Dieu, je veux me repentir devant Toi et arrêter de rechercher les bénédictions. Je ne veux plus que chercher la vérité, me délivrer de mon tempérament corrompu et vivre une ressemblance humaine. »
Après ma prière, j’ai lu d’autres paroles de Dieu : « Maintenant, Je vais m’attacher à décrire la manière dont Pierre Me connaissait et quelle a été sa fin. […] Je lui ai envoyé de si nombreuses épreuves, qui bien sûr l’ont laissé à demi-mort, mais même au milieu de ces centaines d’épreuves, il n’a jamais perdu la foi en Moi ni n’est devenu désillusionné à Mon égard. Même quand J’ai dit que Je l’avais abandonné, il ne s’est pas découragé, mais a continué à M’aimer de façon concrète et en accord avec les principes de pratique du passé. Je lui ai dit que Je ne le louangerais pas même s’il M’aimait, qu’au final, Je le jetterais dans les mains de Satan. Toutefois, au milieu de telles épreuves, des épreuves qui ne l’ont pas atteint dans la chair, mais étaient des épreuves par des mots, il a continué à Me prier : “Oh, Dieu ! Dans les cieux et sur la terre, et parmi les myriades de choses qui existent, est-il un homme, une créature ou toute autre chose qui ne soit pas dans Tes mains, Toi le Tout-Puissant ? Lorsque Tu me fais miséricorde, mon cœur se réjouit grandement grâce à Ta miséricorde. Lorsque Tu me juges, indigne que je sois, je sens d’autant plus le mystère profond de Tes actes, car Tu es empli d’autorité et de sagesse. Bien que ma chair puisse souffrir, mon esprit est réconforté. Comment ne pourrais-je exalter Ta sagesse et Tes actes ? Même si je mourais après T’avoir connu, comment pourrais-je mourir sans joie et bonheur ? […]” » « En raison de sa loyauté en Ma présence et de Mes bénédictions sur lui, il est devenu un exemple et un modèle pour l’humanité pendant des milliers d’années. N’est-ce pas précisément l’exemple que vous devriez suivre ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Les paroles de Dieu à l’univers entier, Chapitre 6). Les paroles de Dieu m’ont montré que Pierre n’avait pas été entravé par son sort et sa destination. Même quand Dieu a dit qu’Il n’approuverait pas Pierre, en dépit de son amour, et qu’Il finirait par le livrer à Satan, Pierre a continué à aimer Dieu et s’est soumis jusqu’à sa mort. L’amour de Pierre pour Dieu était sans mélange. Ce n’était pas une transaction, mais un véritable amour et une vraie obéissance. J’ai trouvé un chemin de pratique dans les paroles de Dieu. Ҫa m’a décidée à essayer d’aimer Dieu comme Pierre et à emprunter le chemin de la recherche du changement de tempérament. Quelles que soient la manière dont Dieu me traitait, ma fin et ma destination, je me soumettrais à Sa règle et à Ses arrangements et je me dépenserais vraiment pour Lui. Je n’étais plus capable de faire mon devoir dans l’Église comme avant, mais je m’étais nourrie des paroles de Dieu pendant les dernières années et j’avais fait quelques expériences. Je pouvais donc écrire ce que j’avais appris de l’œuvre de Dieu pour témoigner pour Lui. C’est aussi une manière d’accomplir le devoir d’un être créé. J’ai commencé à me calmer devant Dieu très souvent, à méditer Ses paroles et à écrire des témoignages d’expérience. Je me suis sentie bien plus proche de Dieu et j’ai arrêté de me tourmenter sur mon avenir et mes perspectives. Je me suis sentie profondément libérée. Après un peu de repos, ma tension est revenue à la normale et j’ai repris mon devoir dans l’Église.
Je croyais que cette expérience m’avait permis de mieux comprendre mon point de vue sur la foi en Dieu et que je ne serais plus entravée par mes espoirs de bénédictions. Mais, après quelque temps, ce désir a refait surface.
J’ai été élue dirigeante d’Église. Au cours d’une réunion, notre dirigeante nous a demandé de nous assurer que tous les dirigeants de groupes étaient capables de travail concret. Elle a dit qu’aucune personne sournoise ou qui n’acceptait pas la vérité ne pouvait occuper cette position. Je me suis dit que je devais m’en charger le plus vite possible, qu’utiliser de mauvaises personnes pouvait nuire au travail de l’Église, ainsi qu’aux frères et sœurs. Non seulement je risquais de perdre mon devoir de dirigeante, mais ce serait une transgression, un méfait. Un mois plus tard, les changements nécessaires avaient été effectués et j’étais très satisfaite. Mais, à ma grande surprise, notre dirigeante a découvert que l’une des personnes que j’avais choisies était sournoise. Ҫa m’a bouleversée. J’avais le sentiment d’avoir mal fait mon devoir et perturbé le travail de l’Église. Peu après, des frères et sœurs ont signalé qu’un autre de mes choix était très arrogant. Il rejetait les suggestions raisonnables des autres, les réprimandait et les étouffait. Ils voulaient qu’il soit démis de ses fonctions. Voir les problèmes s’amonceler m’a paralysée. J’étais malheureuse. J’avais l’impression que ma compréhension de la vérité était superficielle et que je ne possédais pas la réalité-vérité. Si quelque chose de plus nuisait au travail de l’Église, ce serait un grand mal. Alors mon avenir, mon sort, ma fin et ma destination ne seraient-ils pas anéantis ? J’avais l’impression que je devais changer de devoir immédiatement. Un matin, j’ai eu un vertige et j’ai vu que ma tension était bien plus élevée que d’habitude. J’en ai parlé à notre dirigeante, en espérant qu’elle me confierait un autre devoir, puisque mes problèmes de santé réapparaissaient. Alors je n’aurais plus autant de responsabilités. J’ai dit calmement à la sœur qui travaillait avec moi : « Je suis prête à renoncer à ce poste, si c’est nécessaire, pour faire n’importe quel devoir dont je suis capable. » Elle m’a traitée en disant que je faisais preuve de négativité et que je devais réfléchir sur moi-même. Je ne voulais pas l’accepter. Je pensais que j’étais disposée à obéir et à accomplir tout devoir que je pourrais faire. En quoi était-ce négatif ? Mais j’ai songé que Dieu lui avait permis de dire ça. J’ai donc prié Dieu pour qu’Il m’accorde Son orientation et me permette de connaître mon véritable état.
J’ai ensuite lu ce passage des paroles de Dieu : « Peu importe la façon dont ils sont éprouvés, l’allégeance de ceux qui ont Dieu dans leur cœur reste inchangée ; mais pour ceux qui n’ont pas Dieu dans leur cœur, une fois que l’œuvre de Dieu n’est pas avantageuse pour leur chair, ils changent leur point de vue sur Dieu et même s’éloignent de Dieu. Tels sont ceux qui ne tiendront pas ferme à la fin, qui ne cherchent que la bénédiction de Dieu et n’ont aucun désir de se dépenser pour Dieu et de se consacrer à Lui. Des gens aussi vils seront tous expulsés lorsque l’œuvre de Dieu sera achevée et ils sont indignes de toute sympathie. Ceux qui sont sans humanité sont incapables de vraiment aimer Dieu. Lorsque l’environnement est sûr et sans dangers, ou lorsqu’ils peuvent obtenir des profits, ils sont totalement obéissants à Dieu, mais une fois que ce qu’ils désirent est compromis ou définitivement réfuté, ils se révoltent immédiatement. Même dans l’espace d’une seule nuit, ils peuvent passer d’une personne souriante qui a un “bon cœur” à un tueur laid et féroce, traitant soudain leur bienfaiteur d’hier comme leur ennemi mortel, sans rime ni raison. Si ces démons ne sont pas chassés, ces démons qui tueraient en un clin d’œil ne deviendront-ils pas un danger caché ? » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’œuvre de Dieu et la pratique de l’homme). Les paroles de jugement de Dieu m’ont fait l’effet d’un coup de poing dans l’estomac. N’étais-je pas exactement le genre de personne qu’Il révélait ? J’étais enthousiaste et je travaillais dur quand je pensais que mon devoir m’apporterait des bénédictions. Sinon, je révélais une autre facette et je ne voulais plus faire ce devoir. Je ne songeais qu’à mon avenir et à ma destination. Quand je commettais des erreurs, au lieu de réfléchir et de chercher la vérité à la lumière de mes échecs, de compenser mes défauts et d’essayer de faire mieux, j’avais peur d’être tenue pour responsable et de mettre mon avenir en danger. Je voulais échanger ce devoir contre un autre qui entraînerait moins de responsabilités, en me servant de mon hypertension comme excuse. J’étais tout à fait raisonnable en apparence, mais ça cachait des mobiles méprisables. J’étais si sournoise !
J’ai commencé à me demander quelle était la vraie cause de ma recherche permanente de bénédictions dans ma foi. J’ai lu ceci dans les paroles de Dieu : « Tous les humains corrompus vivent pour eux-mêmes. Chacun pour soi, Dieu pour tous : tel est, en résumé, la nature humaine. Les gens croient en Dieu pour eux-mêmes ; ils abandonnent des choses, se dépensent pour Lui et Lui sont fidèles, mais toujours est-il qu’ils font toutes ces choses pour eux-mêmes. En somme, tout cela est fait dans le but d’obtenir des bénédictions pour eux-mêmes. Dans le monde, tout est destiné au profit personnel ; croire en Dieu ne sert qu’à obtenir des bénédictions. C’est pour gagner des bénédictions que les gens renoncent à tout et que peuvent supporter beaucoup de souffrances. Tout cela est une preuve empirique de la nature corrompue de l’homme » (« La différence entre les changements externes et les changements dans le tempérament », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours). Grâce à ces paroles, j’ai appris que je pensais toujours à moi-même parce que j’avais été profondément corrompue par Satan. « Chacun pour soi, Dieu pour tous » et « Aucun avantage, sans se lever tôt », ces lois de survie sataniques, étaient devenues ma nature et m’avaient rendue égoïste et méprisable. Je songeais à mon profit personnel dans tout ce que je faisais. En repensant à mon chemin de foi pendant toutes ces années, je me suis aperçue que j’avais fait mon devoir pour être bénie, récompensée et finir par entrer au royaume des cieux. Je n’avais pas travaillé dur et souffert pendant des années pour faire le devoir d’un être créé ni pour me dépenser réellement pour Dieu. C’était pour me servir de Dieu, Le tromper et négocier avec Lui. Ce n’était pas du tout pour aimer et satisfaire Dieu. En quoi étais-je une personne de foi ? J’étais une non-croyante. Dieu m’a élevée pour que je serve comme dirigeante d’Église afin que je m’entraîne à employer la vérité pour résoudre des problèmes, que j’acquière du discernement et de la perspicacité, mais je n’ai pas chéri cette chance. Au lieu d’entrer dans la vérité, je n’avais pensé qu’à mon avenir et mon destin. J’étais sur un chemin contraire à Dieu. Je savais que je devais me repentir et chercher la vérité, sinon je serais sûrement détruite.
Pendant l’une de mes dévotions, j’ai lu ces paroles de Dieu : « Ce n’est qu’en raison des besoins de l’homme corrompu que le Dieu incarné est venu dans la chair. C’est en raison des besoins de l’homme, non de Dieu, et tous Ses sacrifices et toutes Ses souffrances sont pour le bien de l’humanité, et non au bénéfice de Dieu Lui-même. Il n’y a pas de pour et contre ni de récompenses pour Dieu ; Il ne moissonnera pas une future récolte, mais ce qui Lui est dû depuis le début. Il ne vise que le bien de l’humanité en tout ce qu’Il fait et tout ce qu’Il sacrifie pour l’humanité, et non le gain de grandes récompenses » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, L’humanité corrompue a davantage besoin du salut du Dieu incarné). Quand j’ai médité ces paroles, j’ai été profondément émue par l’amour de Dieu. Dieu, qui est suprême, saint et honorable, est devenu chair deux fois, au prix d’une humiliation et d’une souffrance terribles, pour sauver l’humanité profondément corrompue. Le Seigneur Jésus a été crucifié pour racheter l’humanité au prix de Sa vie. Dieu Tout-Puissant, qui est devenu chair en Chine dans les derniers jours, qui a exprimé des vérités pour purifier et sauver l’homme, a été persécuté et blasphémé par le PCC et le monde religieux. Il a tout souffert pour œuvrer parmi nous, pour nous donner Ses paroles en échange de rien, juste pour nous sauver de l’influence de Satan. Dieu a payé de très grands prix pour sauver l’humanité sans se demander s’Il y gagnait ou s’Il y perdait quelque chose. Il ne nous demande rien en échange, Il n’exige aucune récompense. Son amour est altruiste et véritable. L’essence de Dieu est si belle et bonne ! Quant à moi, je disais que j’avais la foi et que je voulais faire plaisir à Dieu, mais je n’étais pas du tout sincère envers Lui. Je prétendais travailler pour Lui alors que je menais une transaction pour des bénédictions, que je me servais de Lui et Le trompais. J’ai compris à quel point j’étais égoïste, sournoise, avilie et éhontée. Je vivais une ressemblance de Satan. Une personne qui résiste à Dieu comme moi, qui est semblable à Satan, ne gagnera jamais l’approbation de Dieu, quels que soient ses sacrifices. J’ai aussi lu ceci dans les paroles de Dieu : « En tant que créature de Dieu, l’homme doit chercher à accomplir le devoir d’une créature de Dieu et chercher à aimer Dieu sans faire d’autres choix, car Dieu est digne de l’amour de l’homme. Ceux qui cherchent à aimer Dieu ne devraient pas chercher à obtenir un quelconque avantage personnel ou chercher à parvenir à leurs aspirations personnelles ; c’est la meilleure façon de chercher » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Le succès ou l’échec dépendent du chemin que l’homme emprunte). J’ai vu dans les paroles de Dieu que les êtres créés ne devaient pas avoir la foi pour des bénédictions. Chercher à aimer Dieu et à bien faire notre devoir est la seule vie qui ait du sens. J’ai fait cette prière à Dieu : « Ô Dieu, je veux quitter le chemin du mal, me repentir devant Toi et arrêter de chercher les bénédictions. Quelle que soit ma destination finale, je veux bien faire mon devoir pour Te rendre Ton amour. » Dès que j’ai corrigé mon état, ma tension est redevenue normale.
J’ai aussi regardé deux lectures des paroles de Dieu. « Il n’y a pas de corrélation entre le devoir de l’homme et le fait qu’il soit béni ou maudit. Le devoir est ce que l’homme doit accomplir ; c’est sa vocation qui vient du ciel et ne devrait pas dépendre de la récompense, des conditions ou des raisons. C’est alors seulement qu’il fait son devoir. Être béni, c’est être perfectionné et jouir des bénédictions de Dieu après avoir fait l’expérience du jugement. Être maudit, c’est conserver son tempérament inchangé après avoir fait l’expérience du châtiment et du jugement, c’est ne pas faire l’expérience d’être perfectionné, mais être puni. Mais qu’ils soient bénis ou maudits, les êtres créés doivent accomplir leur devoir, faire ce qu’ils doivent faire et faire ce qu’ils sont capables de faire. C’est le moins que puisse faire une personne qui cherche Dieu. Tu ne devrais pas remplir ton devoir seulement pour être béni, et tu ne devrais pas refuser d’agir par peur d’être maudit. Laissez-Moi vous dire la chose suivante : l’homme doit accomplir son devoir, et s’il en est incapable, c’est sa rébellion. C’est par le processus de l’accomplissement de son devoir que l’homme change progressivement, et c’est par ce processus qu’il démontre sa fidélité. Ainsi, plus tu es capable de remplir ton devoir, plus tu recevras de vérités, et plus ton expression deviendra réelle » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, La différence entre le ministère de Dieu incarné et le devoir de l’homme). « Que les hommes puissent ou non atteindre le salut ne dépend pas du devoir qu’ils remplissent, mais du fait qu’ils aient compris et acquis la vérité et qu’ils puissent ou non se soumettre aux orchestrations de Dieu et être un être créé sincère. Dieu est juste et c’est par ce principe qu’Il prend la mesure de toute l’humanité. Ce principe est immuable et tu dois t’en souvenir. Ne songe pas à trouver un autre chemin ni à poursuivre quelque chose d’irréel. Les normes que Dieu exige de tous ceux qui atteignent le salut sont constantes à jamais ; elles restent les mêmes qui que tu sois » (« L’attitude que l’homme doit avoir envers Dieu », dans Récits des entretiens de Christ des derniers jours). Ҫa m’a aidée à comprendre que notre devoir n’a aucun rapport avec le fait qu’on soit béni ou maudit à la fin. L’essentiel, pour être pleinement sauvés, c’est de chercher et de gagner la vérité, et de changer nos tempéraments. Quel devoir je fais et quand je le fais est déterminé par Dieu, et ma fin et ma destination sont encore plus soumises à la règle et aux arrangements de Dieu. Ce que je dois faire, c’est accepter les orchestrations de Dieu et accomplir mon devoir avec dévouement. Je me suis aussi rendu compte que je n’avais pas la réalité-vérité et que je manquais de beaucoup de choses. C’était pour ça que ce devoir avait exposé mes défauts et mes insuffisances. Chercher la vérité et comprendre ces principes pouvait corriger mes défauts et m’aider à progresser dans la vie. Quand j’ai compris ça, j’ai arrêté de m’inquiéter pour mon avenir et mon destin, et je n’ai plus voulu changer de devoir. J’ai travaillé résolument, cherché la vérité pour affronter les problèmes qui se posaient, saisi progressivement quelques principes et, peu à peu, j’ai commis moins d’erreurs dans mon devoir. Suivre les paroles de Dieu au lieu de chercher des bénédictions dans mon devoir a été très libérateur pour moi. J’ai été bénie et conduite par Dieu, et mes résultats se sont améliorés.
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