Je ne suis plus liée par la transgression

21 février 2025

Par Ma Jie, Chine

Un jour de juillet 2006, j’ai été soudainement arrêtée alors que je me rendais à une réunion avec mes collègues. Cette nuit-là, j’ai été emmenée dans un endroit secret pour être interrogée. Les policiers ont trouvé des reçus de l’argent de l’Église sur moi, et ils se sont relayés pour m’interroger, me pressant de donner les noms des responsables de l’argent de l’Église et des dirigeants supérieurs. Je ne leur ai pas répondu, alors ils m’ont fouettée avec une ceinture en cuir, ils m’ont menotté les poignets et m’ont suspendue avec une chaîne en fer. Ils m’ont torturée ainsi pendant une semaine. J’avais soif et faim, et je n’avais plus aucune force. À un moment donné, j’ai perdu connaissance. Lorsque je me suis réveillée, je n’avais aucune idée de ce qu’ils m’avaient fait boire, mais il y avait un goût étrange dans ma bouche ; je m’étouffais, et des douleurs aiguës parcouraient tout mon corps. À ce stade, ma chair avait atteint les limites de ce qu’elle pouvait endurer, et je ne savais pas ce qu’ils allaient encore me faire. J’étais extrêmement terrifiée ; j’avais peur de ne pas pouvoir supporter la torture et de devenir un Judas, alors j’ai prié Dieu avec ferveur, Lui demandant de m’aider à rester ferme dans mon témoignage. Voyant que, malgré tout ce que j’avais enduré, je n’avais toujours pas trahi les dirigeants de l’Église ni sa trésorerie, les policiers ont changé de stratégie et ont tenté de me manipuler en évoquant l’affection familiale, en me disant : « Tu n’es pas rentrée chez toi depuis des années. Ta famille et tes enfants doivent vraiment te manquer. Où est l’argent de l’Église ? Si tu nous dis tout, nous te laisserons rentrer chez toi. » Ils ont également sorti de l’argent liquide et m’ont dit qu’ils avaient déjà trouvé les trésoriers de l’Église. En entendant cela, je me suis dit : « Puisqu’ils ont saisi l’argent, peu importe que je leur parle ou non. Si je leur dis quelque chose, peut-être que je ne serai plus torturée. » Je leur ai parlé d’une des familles qui gardait l’argent de l’Église, et la police m’a demandé de les y conduire pour prendre cet argent. C’est seulement à ce moment-là que j’ai pris conscience que j’étais tombée dans leur piège. À ce moment-là, j’avais enduré tout ce que je pouvais supporter. Je me suis dit : « J’ai déjà trahi la famille qui protégeait l’argent. Si je ne les conduis pas là-bas, ils vont sûrement continuer à me torturer. De plus, cela fait déjà une semaine que j’ai été arrêtée, et l’argent de l’Église a peut-être déjà été déplacé. » Dans ce moment de jugement erroné, j’ai conduit la police à la maison de la famille qui gardait l’argent. Lorsque l’Église avait appris mon arrestation, elle avait rapidement déplacé son argent. Le frère de la famille qui gardait l’argent a frôlé l’arrestation, mais grâce à la protection de Dieu, il a échappé à la rafle des policiers. Comme la police n’avait pas retrouvé l’argent de l’Église, elle m’a condamnée arbitrairement à un an et neuf mois de prison.

Chaque jour passé en prison était rempli de souffrance et de douleur, surtout lorsque je pensais aux paroles de Dieu qui disaient : « Je ne serai plus miséricordieux envers ceux qui ne M’ont montré aucune loyauté pendant les périodes de tribulation, car Ma miséricorde ne s’étend que jusque-là. En outre, Je n’aime pas ceux qui M’ont déjà trahi et J’aime encore moins fréquenter ceux qui trahissent les intérêts de leurs amis. Voilà Mon tempérament, quelle que soit la personne » (La Parole, vol. 1 : L’apparition et l’œuvre de Dieu, Prépare suffisamment de bonnes actions pour ta destination). Je savais très bien qu’en trahissant le frère, j’étais devenue un Judas. J’avais offensé le tempérament de Dieu ; j’avais commis un péché impardonnable. En y pensant, mon cœur était rempli de douleur. J’avais trahi Dieu ; Il ne me sauverait certainement pas. L’époque où je croyais en Dieu était sans doute complètement révolue. À partir de ce moment-là, j’étais très abattue et je passais chaque jour dans la douleur. Mon cœur était en train de souffrir et je pensais que je serais mieux morte. J’attendais juste le jour où je pourrais mourir et être libre. J’avais beau continuer à prier Dieu, à chaque fois que je pensais à ma transgression, je sentais que Dieu ne voudrait plus de moi, et je pensais que je n’étais pas digne de me présenter devant Lui. Deux ans après ma libération de prison, les frères et sœurs m’ont trouvée, et voyant que j’avais un peu de conscience de moi-même, ils m’ont permis de reprendre ma vie d’Église et m’ont attribué un devoir. J’ai été très touchée et j’ai pensé que Dieu me donnait une chance de me repentir, et je me suis sentie encore plus redevable envers Lui. Je versais des larmes amères en priant Dieu, « Dieu ! Je ne suis vraiment pas digne de me présenter devant Toi. Face aux circonstances, je n’ai pas du tout porté témoignage. J’ai trahi le frère, devenant un Judas et une marque de honte. Aujourd’hui, Tu m’as donné une chance de revenir à l’Église et de faire mon devoir ; je peux voir Ta miséricorde. » Dans mon cœur, j’ai pris la résolution secrète de faire mon devoir avec diligence, de réparer ma transgression et de rendre à Dieu Son amour. Plus tard, quel que soit le devoir que l’Église m’attribuait, je le faisais toujours avec ardeur. Peu importe les épreuves que je traversais, je ne permettais pas à ces difficultés de me décourager. Je voulais tout faire pour racheter ma transgression.

Un jour, j’ai appris que Chen Hua avait été arrêtée et qu’elle était devenue un Judas, trahissant de nombreux dirigeants, ouvriers et familles qui gardaient de l’argent, avant d’être exclue de l’Église. En apprenant cette nouvelle, j’ai immédiatement pensé à ma propre situation. Moi aussi, j’avais trahi des gens, ce qui avait presque conduit la police à saisir l’argent de l’Église, et à cause de cela, le frère qui gardait l’argent n’a pas pu retourner chez lui. J’ai pensé que la nature de ma trahison du frère était la même que celle de Chen Hua ; c’était une immense souillure, et Dieu ne pardonnerait pas ma transgression. À présent, Chen Hua avait été exclue de l’Église ; peut-être qu’un jour, moi aussi, je serais exclue et éliminée. En y pensant, je me sentais très abattue. À partir de ce moment-là, peu importe le devoir que l’Église me confiait, même si je le faisais, je n’avais plus l’ardeur que j’avais autrefois à me dépenser pour Dieu. Parfois, lorsque je devais payer un prix et chercher les vérités-principes, je ne les cherchais même plus. Je me contentais de faire le travail de manière mécanique, et de rendre quelques services. Je ne me préoccupais même pas de savoir si mon travail portait réellement des fruits, m’appuyant uniquement sur un minimum de conscience pour continuer mon devoir. Je me souviens qu’à l’époque, une sœur avait peur d’être arrêtée et n’osait pas faire son devoir. Je savais que je devais l’aider et la soutenir, mais étant donné que j’avais trahi Dieu, en quoi étais-je qualifiée pour échanger avec les autres ? Je n’avais pas la tête à méditer sur la manière d’échanger pour obtenir des résultats, et je me contentais d’agir machinalement et de parler un peu de connaissances doctrinales. Je savais qu’aborder mon devoir avec cette attitude n’était pas conforme à l’intention de Dieu, et je voulais m’efforcer de changer mon état, mais dès que je pensais à la façon dont j’avais commis cette énorme transgression, et dont je n’avais plus d’espoir d’être sauvée, mon cœur se sentait vidé, et je passais mes journées dans une sorte d’errance. Lorsque j’ai révélé mes tempéraments corrompus dans l’exécution de mon devoir, je savais que je devais chercher la vérité pour résoudre mon problème, et que faire cela m’apporterait des avantages dans mon travail et mon entrée dans la vie, mais dès que je pensais à ma transgression impardonnable et à la possibilité d’être exclue, je n’arrivais tout simplement pas à agir. Il me suffisait de terminer mon travail chaque jour, et je ne me concentrais pas sur la recherche de la vérité pour résoudre mon état. Plus tard, j’ai eu fréquemment des maux de tête et une maladie de l’estomac récurrente. Au début, j’essayais de traiter mon état correctement, mais au fil du temps, non seulement je ne guérissais pas de ma maladie, mais elle s’aggravait. Je me demandais si cette maladie était une forme de punition de la part de Dieu. J’avais trahi Dieu dans le passé, ce qui L’avait sûrement amené à me mépriser et à me détester, et maintenant j’étais malade. Dieu ne voulait certainement plus de moi. Parfois, je ne produisais aucun résultat dans mon devoir, et je pensais que Dieu ne travaillait pas sur moi. Il était inutile de continuer à poursuivre la vérité et à faire mon devoir. Chaque fois que ces pensées surgissaient, un sentiment indescriptible de bouleversement envahissait mon cœur. Je regrettais amèrement d’avoir trahi Dieu. Si j’avais fait preuve d’endurance un peu plus longtemps, n’aurais-je pas pu rester ferme dans mon témoignage ? Pourquoi avais-je trahi le frère ? Je me haïssais d’avoir trop privilégié ma chair et ne pas avoir eu un cœur qui voulait vraiment Dieu. Si j’étais restée ferme dans mon témoignage, n’aurais-je pas alors été épargnée de cette souffrance spirituelle ? Plus j’y réfléchissais, plus je me sentais bouleversée, et je vivais souvent dans un état de négativité.

Un jour, j’ai parlé de mon état à une sœur, et elle m’a lu un passage des paroles de Dieu : « Il y a aussi une autre cause pour laquelle les gens sombrent dans l’émotion de la déprime, c’est que certaines choses particulières arrivent aux gens avant qu’ils n’atteignent la majorité ou quand ils sont devenus adultes, c’est-à-dire qu’ils commettent des transgressions ou font des bêtises, des choses stupides et des choses ignorantes. Ils sombrent dans la déprime à cause de ces transgressions, à cause de ces choses idiotes et ignorantes qu’ils ont faites. Ce type de déprime est une condamnation de soi-même, et c’est aussi une sorte de détermination du genre de personne qu’ils sont. […] Chaque fois qu’ils écoutent un sermon ou un échange sur la vérité, cette déprime s’insinue lentement dans leur esprit et au plus profond de leur cœur, et ils s’interrogent, se demandant : “Puis-je faire cela ? Suis-je capable de poursuivre la vérité ? Suis-je capable d’atteindre le salut ? Quel genre de personne suis-je ? J’ai fait cela avant, j’étais ce genre de personne. Suis-je au-delà de tout salut ? Dieu me sauvera-t-Il tout de même ?” Certains peuvent parfois se défaire de leur émotion de déprime et la laisser derrière eux. Ils utilisent leur sincérité et toute l’énergie qu’ils peuvent rassembler et les emploient à accomplir leur devoir, leurs obligations et leurs responsabilités, ils peuvent même mettre tout leur cœur et tout leur esprit à poursuivre la vérité et à contempler les paroles de Dieu et ils consacrent leurs efforts aux paroles de Dieu. Cependant, dès qu’une situation ou une circonstance particulière se présente, l’émotion de la déprime s’empare à nouveau d’eux et les fait se sentir à nouveau incriminés au plus profond de leur cœur. Ils se disent : “Tu as déjà fait cette chose auparavant et tu as été ce genre de personne. Peux-tu atteindre le salut ? Cela sert-il à quoi que ce soit de pratiquer la vérité ? Que pense Dieu de ce que tu as fait ? Dieu te pardonnera-t-Il ce que tu as fait ? Payer le prix de cette manière peut-il maintenant compenser cette transgression ?” Ils se font souvent des reproches et se sentent incriminés au plus profond d’eux-mêmes, et ils doutent tout le temps, se torturent tout le temps avec des questions. Ils ne peuvent jamais laisser cette émotion de déprime derrière eux ni s’en débarrasser et ils ressentent un sentiment perpétuel de malaise face à la chose honteuse qu’ils ont faite. Ainsi, même s’ils croient en Dieu depuis un grand nombre d’années, c’est comme s’ils n’avaient jamais écouté ni compris ce que Dieu a dit. C’est comme s’ils ne savaient pas si l’obtention du salut a quelque chose à voir avec eux, s’ils peuvent être absous et rachetés, ou s’ils sont qualifiés pour recevoir le jugement et le châtiment de Dieu, ainsi que Son salut. Ils n’ont aucune idée de toutes ces choses. Parce qu’ils ne reçoivent aucune réponse et parce qu’ils n’obtiennent pas de verdict précis, ils se sentent constamment déprimés au plus profond d’eux-mêmes. Au plus profond de leur cœur, ils se souviennent encore et encore de ce qu’ils ont fait, ils le rejouent encore et encore dans leur tête, se souvenant de la manière dont tout a commencé et dont cela s’est terminé, se souvenant de tout, du début à la fin. Quelle que soit la façon dont ils s’en souviennent, ils se sentent toujours coupables et se sont donc constamment déprimés à ce sujet au fil des années. Même lorsqu’ils accomplissent leur devoir, même lorsqu’ils sont en charge d’un certain travail, ils ont toujours l’impression qu’ils n’ont aucun espoir d’être sauvés. Par conséquent, ils n’abordent jamais directement la question de la poursuite de la vérité et la considèrent comme quelque chose d’éminemment correct et important. Ils croient que l’erreur qu’ils ont commise ou ce qu’ils ont fait dans le passé est mal vu par la plupart des gens, ou qu’ils peuvent être condamnés et méprisés par les gens, ou même condamnés par Dieu. Peu importe à quel stade se trouve l’œuvre de Dieu et le nombre de déclarations qu’Il a faites, ils n’affrontent jamais la question de la poursuite de la vérité de la manière correcte. Pourquoi cela ? Ils n’ont pas le courage de laisser leur déprime derrière eux. C’est la conclusion finale que ce type de personne tire d’avoir fait l’expérience de ce genre de choses, et comme elle ne tire pas la bonne conclusion, elle est incapable de laisser sa déprime derrière elle » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (2)). Ces paroles de Dieu étaient étroitement liées à mon état. Effectivement, ces dernières années, chaque fois que j’apprenais que quelqu’un avait été exclu pour avoir agi comme un Judas, je m’identifiais à lui, pensant que j’avais trahi le frère, que j’avais été un Judas, et que j’avais transgressé devant Dieu ; Dieu voudrait-Il encore de moi après cela ? Avais-je encore un espoir de salut ? Dès que j’y pensais, je vivais dans la négativité. Même si, en apparence, je faisais mon devoir, je ne portais pas de véritable fardeau à l’intérieur, et je sentais même que la poursuite de la vérité n’était pas vraiment mon affaire. Je me tenais toujours à l’écart de ceux qui poursuivaient la vérité. Je n’osais pas accepter les paroles de Dieu relatives à Sa direction, Son encouragement ou Son exhortation, pensant que ces paroles ne s’adressaient pas à des personnes comme moi. Je me sentais même indigne de prononcer un serment devant Dieu, et encore plus indigne d’accepter le jugement et le châtiment de Ses paroles. Particulièrement quand j’ai appris que Chen Hua avait agi comme Judas et avait été exclue, j’ai pensé que Chen Hua et moi étions identiques. Voulant sauver ma peau, j’avais indiqué où se trouvait l’argent de l’Église et trahi le frère, ce qui avait conduit à ce que le frère soit pourchassé et ne puisse plus revenir chez lui. Pour ma propre protection, j’avais causé un tel malheur à ce frère. J’étais véritablement trop égoïste, trop dépourvue d’humanité ! La nature de mes actions était celle d’un Judas. D’après ce que j’avais fait, Dieu pouvait faire de moi ce qu’Il voulait. Même s’Il m’envoyait en enfer, cela ne serait pas excessif. Or Dieu ne m’a pas du tout traitée selon ma transgression, et Il m’a donné la chance de vivre la vie d’Église et de faire mon devoir. Le fait que je sois en vie et que je puisse faire mon devoir aujourd’hui était dû à la grâce et à l’élévation de Dieu. J’aurais dû poursuivre la vérité, résoudre ma corruption, me repentir et bien faire mon devoir. Cependant, j’étais encore obnubilée par ma transgression, ce qui me préoccupait quant à mon avenir et à mon destin. En vivant dans un état de découragement et de négativité, j’étais devenue de plus en plus passive dans l’exécution de mon devoir, ce qui avait non seulement entraîné des pertes dans mon travail, mais gênait aussi mon entrée dans la vie. J’avais perdu beaucoup d’occasions de gagner la vérité. Après avoir lu ce passage des paroles de Dieu, j’ai eu la sensation que Dieu me parlait en face à face. Il ne veut pas que les gens sombrent dans le découragement après avoir commis une transgression ; Il veut que les gens soient capables de réfléchir sur eux-mêmes et continuent à faire des efforts dans leur poursuite. Peu importe le moment, on ne doit jamais abandonner la poursuite de la vérité. En voyant à quel point l’amour de Dieu était réel, j’ai décidé de chercher la vérité et de me débarrasser des chaînes de mon état négatif.

Plus tard, j’ai lu certaines paroles de Dieu : « Les gens croient en Dieu pour être bénis, récompensés, couronnés. Ce désir n’existe-t-il pas dans le cœur de chacun ? C’est un fait. Bien que les gens n’en parlent pas souvent, et qu’ils dissimulent même leur motivation et leur désir d’obtenir des bénédictions, ce désir et cette motivation, au plus profond du cœur des gens, ont toujours été inébranlables. Quels que soient leur compréhension de la théorie spirituelle, leurs connaissances par l’expérience, le devoir qu’ils peuvent accomplir, les souffrances qu’ils endurent ou le prix qu’ils paient, ils n’abandonnent jamais cette motivation d’obtenir des bénédictions qui est cachée au plus profond de leur cœur et ils fournissent des efforts toujours silencieusement à son service. N’est-ce pas la chose la plus profondément enfouie dans le cœur des gens ? Sans cette motivation qui vise à recevoir des bénédictions, comment vous sentiriez-vous ? Quelle serait votre attitude en accomplissant votre devoir et en suivant Dieu ? Qu’adviendrait-il des gens si cette motivation visant à recevoir des bénédictions, qui est cachée dans leur cœur, se trouvait éliminée ? Il est possible que beaucoup de gens deviennent négatifs, tandis que d’autres se montreraient démotivés dans leurs devoirs. Ils se désintéresseraient de leur croyance en Dieu, comme si leur âme avait disparu. Ils donneraient l’impression que leur cœur a été arraché. C’est pourquoi Je dis que la motivation qui vise les bénédictions est quelque chose de profondément caché dans le cœur des gens » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Six indicateurs de croissance de vie). J’ai vu que Dieu expose comment les croyants en Dieu ont tous leurs propres intentions cachées. Tout cela dans le but de gagner des bénédictions, et dès que leurs perspectives et leur destin sont en jeu et qu’ils ne peuvent pas gagner de bénédictions, ils pensent que croire en Dieu n’a plus de sens, ils vivent dans un état de découragement et ne cherchent plus à progresser dans leur cœur. C’est une poursuite erronée de l’homme dans sa foi en Dieu. J’ai réfléchi sur moi-même à travers les paroles de Dieu : à l’époque, lorsque j’avais tout juste accepté cette étape de l’œuvre de Dieu, je me dépensais et faisais des efforts de toutes sortes pour gagner des bénédictions. Après mon arrestation, j’avais trahi le frère et cédé à la transgression, parce que j’avais eu peur d’endurer des épreuves et d’être torturée à mort. Je pensais que je n’aurais jamais d’autre chance d’être sauvée, je vivais dans un état de découragement et je me croyais condamnée. Après ma sortie de prison, ma disposition à accepter et à me soumettre à tout devoir que je faisais était uniquement motivée par le désir de réparer mes péchés et de gagner des bénédictions, et non par une véritable repentance. Dès lors que je pensais que je ne pouvais plus être sauvée et que je n’allais pas gagner de bénédictions, je devenais si négative que je n’étais pas d’humeur à faire mon devoir. J’ai vu que j’avais fait mon devoir dans le seul but de gagner des bénédictions, que j’avais fait une transaction avec Dieu. J’étais exactement comme Paul. À l’époque, Paul avait fait tout ce qu’il pouvait pour résister au Seigneur Jésus, capturant et persécutant les disciples du Seigneur, et finalement, il a été frappé par une lumière éclatante. Sur le moment, il n’avait fait que reconnaître ses péchés, et plus tard, lorsqu’il a prêché l’Évangile pour le Seigneur, c’était aussi dans le but de se racheter ; ni l’un ni l’autre n’étaient un repentir et un changement véritables. Il ne connaissait pas sa propre essence de résistance à Dieu, et lorsque son travail avait produit certains résultats, il a pensé qu’il avait un capital, au point de faire ouvertement une transaction avec Dieu, en disant : « Désormais la couronne de justice m’est réservée » (2 Timothée 4:8). Il avait offensé le tempérament de Dieu et avait été maudit et puni par Dieu. En méditant sur les paroles de Dieu, je me haïssais encore plus. J’avais commis un mal terrible et je continuais à faire une transaction avec Dieu ; je n’avais aucune raison ! Même si, à l’avenir, je n’avais pas une issue ou une destination qui soient bonnes, ce serait la justice de Dieu. Cela découlerait de ma propre malfaisance et de ma trahison envers Dieu. Les ampoules sur mes pieds venaient du chemin que j’avais emprunté ; il fallait que je récolte ce que j’avais semé. Peu importe ce que serait mon issue, je devais prendre ma place en tant qu’être créé et bien faire mon devoir ; c’était la raison et la pratique que je devais posséder. Je me suis rendue devant Dieu et Lui ai adressé cette prière : « Dieu ! J’ai cru en Toi pour gagner des bénédictions et des récompenses, et en renonçant et en me dépensant, j’ai fait une transaction avec Toi. Je n’ai aucun sens ! Si quelqu’un avait un chien, ce chien saurait être reconnaissant envers son maître et protéger sa maison. Mais qu’ai-je fait, moi ? Tu m’as abreuvée et nourrie de tant de vérités, Tu m’as montré Ta miséricorde et Ta tolérance, mais moi, j’ai fait une transaction avec Toi. Lorsque j’ai pensé que ma destination ne serait peut-être pas bonne, je n’avais plus envie de faire mon devoir avec diligence. Je suis même pire qu’un chien ! Dieu, je veux me repentir. Peu importe quelle sera mon issue à l’avenir, je ferai mon devoir avec loyauté et je ne croirai plus en Toi uniquement pour gagner des bénédictions. »

Après cela, j’ai lu davantage de paroles de Dieu qui m’ont permis d’acquérir une certaine connaissance de Son tempérament juste. Dieu Tout-Puissant dit : « La plupart des gens ont transgressé et se sont souillés à certains égards. Par exemple, certains ont résisté à Dieu et ont dit des choses blasphématoires. Certains ont rejeté la commission de Dieu, n’ont pas accompli leur devoir et ont été détestés et abandonnés par Dieu. Certains ont trahi Dieu lorsqu’ils étaient confrontés à des tentations. Certains ont trahi Dieu en signant les “trois affirmations” lorsqu’ils étaient en état d’arrestation. Certains ont volé des offrandes. Certains ont gaspillé des offrandes. Certains ont fréquemment perturbé la vie de l’Église et causé du tort au peuple élu de Dieu. Certains ont formé des cliques et traité rudement d’autres personnes, semant la pagaille dans l’Église. Certains ont souvent propagé des notions et la mort, faisant du mal aux frères et sœurs. Enfin, certains se sont livrés à la fornication et à la promiscuité et ont exercé une terrible influence. Qu’il suffise de dire que chacun a ses transgressions et ses souillures. Pourtant, certaines personnes sont capables d’accepter la vérité et de se repentir, tandis que d’autres ne le peuvent pas et mourraient plutôt que de se repentir. Les gens doivent donc être traités selon leur nature-essence et la constance de leur comportement. Ceux qui peuvent se repentir sont ceux qui croient vraiment en Dieu ; quant aux vrais impénitents, ceux qui devraient être exclus et expulsés seront exclus et expulsés. […] La façon dont Dieu traite chaque personne est fonction de la situation réelle des circonstances et de l’environnement de cette personne à ce moment-là, ainsi que de ses actions, son comportement, sa nature-essence. Dieu ne fera jamais de tort à personne. C’est là un aspect de la justice de Dieu. […] La façon dont Dieu traite une personne n’est pas aussi simple que les gens l’imaginent. Lorsque Son attitude envers une personne est une attitude de dégoût ou de répulsion, ou lorsqu’il s’agit de ce que cette personne dit dans un contexte donné, Il a une bonne compréhension de ses états. C’est parce que Dieu scrute le cœur et l’essence de l’homme. Les gens pensent toujours : “Dieu n’a que Sa divinité. Il est juste et ne tolère aucune offense de la part de l’homme. Il ne considère pas les difficultés de l’homme et ne Se met pas à la place des gens. Si quelqu’un Lui résiste, Il le punira.” Ce n’est pas du tout ça. Si c’est ainsi que quelqu’un comprend Sa justice, Son œuvre et Sa façon de traiter les gens, il se trompe gravement. Dieu ne détermine pas la destinée de chaque personne en fonction des notions et de l’imagination de l’homme, mais de Son tempérament juste. Il rétribuera chacun selon ses actes. Dieu est juste, et tôt ou tard, Il veillera à ce que tout le monde soit convaincu, de bout en bout » (La Parole, vol. 3 : Discours de Christ des derniers jours, Troisième partie). Après avoir lu les paroles de Dieu, j’ai compris que Dieu a des principes dans Son traitement de l’homme. Il ne détermine pas l’issue des gens en fonction d’un moment de transgression, mais plutôt en tenant compte du contexte et de la nature de leurs actions, ainsi que de leur capacité à accepter la vérité et à se repentir sincèrement ; c’est cela la justice de Dieu. En méditant sur cela, j’ai soudainement vu la lumière. J’ai compris que le traitement de Dieu envers l’homme comporte non seulement un jugement juste, mais aussi de la miséricorde. Dieu ne traite pas les gens de manière uniforme. En repensant à l’époque où j’avais trahi Dieu à cause de la faiblesse de ma chair, je croyais que, puisque j’avais fait une chose pareille, je serais condamnée et éliminée, et que peu importe combien je me repentais, il n’y aurait aucune chance pour moi d’être sauvée. Aujourd’hui, il me semble que je n’avais pas compris le tempérament juste de Dieu. C’est comme pour Chen Hua et moi : nous avons toutes deux trahi les intérêts de la maison de Dieu. L’Église m’a donné une nouvelle chance de faire mon devoir, et cela s’est fait principalement en tenant compte du contexte et de la nature de ma trahison, en comparaison avec mon comportement habituel dans l’exécution de mon devoir. À l’époque, j’avais été torturée par la police pendant sept jours et sept nuits, et mon corps n’en pouvait plus. Je n’avais pas perçu le stratagème rusé de Satan, et dans un moment de faiblesse, j’avais trahi Dieu. Cela n’avait pas provoqué de pertes majeures, mais par la suite, j’avais ressenti du remords et je m’étais détestée. Cela avait été considéré comme une grave transgression, et la maison de Dieu m’avait accordé une chance de me repentir. En revanche, après l’arrestation de Chen Hua, les policiers ne lui avaient posé que quelques questions quand elle avait succombé à l’emprise abusive du grand dragon rouge et trahi de nombreux dirigeants, ouvriers et foyers qui gardaient des livres, ce qui avait entraîné l’arrestation de nombreux frères et sœurs et causé d’énormes pertes au travail de l’Église. La transgression de Chen Hua n’était pas un simple moment de faiblesse ; elle avait l’essence d’un Judas. L’Église l’avait exclue en fonction de la nature de ses actions et des pertes qu’elles avaient causées. C’était pleinement la justice de Dieu. En comprenant tout cela, j’ai acquis une certaine connaissance du tempérament juste de Dieu, et j’ai vu que Son tempérament était beau et bon. Cependant, j’avais toujours été méfiante et pleine de doutes envers Dieu, et maintenant, je sentais encore plus profondément que je Lui étais redevable. J’ai pris la décision de me repentir et de changer, et si je devais à nouveau être arrêtée et persécutée, peu importe la douleur que mon corps endurerait, et même si je devais mourir, je resterais ferme dans mon témoignage pour Dieu et j’humilierais Satan, sans jamais trahir Dieu.

Plus tard, j’ai lu un autre passage des paroles de Dieu et j’ai appris comment je devais traiter ma transgression. Dieu Tout-Puissant dit : « Et comment peux-tu être absous et pardonné par Dieu ? Cela dépend de ton cœur. Si tu te confesses vraiment, que tu reconnais vraiment ton erreur et ton problème et qu’il s’agisse d’une transgression que tu as commise ou d’un péché, tu adoptes une attitude de véritable confession, tu éprouves une véritable haine envers ce que tu as fait et tu fais vraiment volte-face pour ne plus jamais faire cette mauvaise chose, alors, un jour, tu recevras l’absolution et le pardon de Dieu, c’est-à-dire que Dieu ne déterminera plus ton issue en Se basant sur les choses ignorantes, stupides et sales que tu as faites auparavant. […] Certains demandent : “Combien dois-je prier avant de savoir que Dieu m’a pardonné ?” Lorsque tu ne te sentiras plus incriminé par cette affaire, lorsque tu ne glisseras plus dans la déprime à cause de cette affaire, c’est alors que tu auras obtenu des résultats et cela montrera que Dieu t’a absous. Lorsque personne, aucun pouvoir et aucune force extérieure ne pourront te déranger et que tu ne seras plus contraint par quiconque, d’aucun évènement et d’aucune chose, c’est à ce moment-là que tu auras obtenu des résultats. C’est la première étape que tu dois franchir. La deuxième étape est que, tout en implorant constamment Dieu pour l’absolution, tu devrais chercher activement les principes que tu devrais suivre quand tu accomplis ton devoir : ce n’est qu’en faisant cela que tu seras en mesure de bien accomplir ton devoir. Bien sûr, c’est aussi une action concrète, une expression et une attitude concrètes qui compensent ta transgression et qui prouvent que tu es repentant et que tu as fait volte-face. C’est quelque chose que tu devrais faire. Dans quelle mesure accomplis-tu bien ton devoir, la commission que Dieu te donne ? L’abordes-tu avec une attitude déprimée ou avec les principes que Dieu exige que tu suives ? Offres-tu ta loyauté ? Sur quelle base Dieu devrait-Il t’absoudre ? As-tu exprimé un quelconque repentir ? Que montres-tu à Dieu ? Si tu souhaites recevoir l’absolution de Dieu, alors tu dois d’abord être sincère : tu dois avoir une attitude de confession sérieuse d’une part, et tu dois également apporter ta sincérité et bien accomplir ton devoir, sinon il n’y a aucune raison de parler. Si tu peux faire ces deux choses, si tu peux émouvoir Dieu avec ta sincérité et ta bonne foi et faire que Dieu t’absolve de tes péchés, alors tu seras comme les autres gens. Dieu te considérera de la même manière qu’Il considère les autres gens, Il te traitera de la même manière qu’Il traite les autres gens et Il te jugera et te châtiera, t’éprouvera et t’épurera tout comme Il le fait avec les autres gens, tu ne seras pas traité différemment. De cette façon, tu auras non seulement la détermination et le désir de poursuivre la vérité, mais en outre, Dieu t’éclairera, te guidera et pourvoira à tes besoins de la même manière dans ta poursuite de la vérité. Bien sûr, parce que tu as maintenant un désir sincère et authentique et une attitude sérieuse, Dieu ne te traitera pas différemment des autres et, tout comme les autres, tu auras la possibilité d’atteindre le salut. Tu comprends cela, n’est-ce pas ? (Oui.) » (La Parole, vol. 6 : Sur la poursuite de la vérité, Comment poursuivre la vérité (2)). En méditant sur les paroles de Dieu, j’ai compris que peu importe les transgressions passées qu’une personne a commises, ce que Dieu veut, c’est une véritable repentance et un changement de sa part. Lorsqu’on commet une erreur, on doit venir devant Dieu et admettre sincèrement ses péchés. Ensuite, on doit s’attacher à son devoir et l’exécuter avec loyauté, en utilisant des actions concrètes pour réparer ses transgressions. C’est exactement ce qu’a fait David, à qui Dieu avait envoyé un prophète pour lui parler, car il avait commis l’adultère en couchant avec la femme d’Urie. David savait qu’il avait commis un péché, il l’a admis et l’a regretté devant Dieu. Il avait versé tant de larmes qu’il aurait pu faire flotter le lit dans sa chambre, et lorsqu’il était arrivé à un âge avancé, il ne voulait même pas toucher la jeune servante qui réchauffait ses couvertures. De plus, tout en regrettant profondément, il avait également utilisé des actions concrètes pour s’acquitter de son devoir, en construisant un temple sacré et en menant les Israélites à adorer l’Éternel Dieu. L’attitude de David face à sa transgression n’était pas du découragement, mais plutôt une attitude positive tournée vers l’avenir. Il avait eu une véritable repentance et un véritable changement en lui. Il y avait aussi Pierre, qui avait renié le Seigneur trois fois et qui avait perdu son témoignage. L’attitude de Pierre n’était pas non plus celle du découragement. Au contraire, il avait admis sincèrement sa transgression devant Dieu et avait fait preuve d’une véritable repentance. Il a finalement été crucifié la tête en bas pour le Seigneur, en témoignage de son amour pour Dieu. Je devais suivre l’exemple de David et de Pierre, affronter ma transgression avec une attitude positive et me libérer de mon état de découragement, en poursuivant une véritable repentance et un changement devant Dieu. C’est la pratique et l’attitude que je devais avoir.

Plus tard, j’ai réfléchi sur les raisons de ma trahison envers Dieu à l’époque de mon arrestation. C’était parce que j’étais trop préoccupée par ma chair et que je chérissais trop ma propre vie. J’ai pensé à ce que le Seigneur Jésus avait dit : « Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la sauvera » (Luc 9:24). En vérité, que je vive ou que je meure, tout cela est orchestré et régi par Dieu. Même si j’avais été persécutée par la police jusqu’à la mort, tant que je pouvais rester ferme dans mon témoignage pour Dieu, ma mort aurait eu de la valeur et du sens. Maintenant, j’avais trahi Dieu, et même si ma chair ne souffrait pas, ce que je portais, c’était la souffrance dans mon cœur. Chaque fois que je pensais à la façon dont j’avais trahi le frère et l’argent de l’Église, c’était aussi douloureux que si mon cœur avait été transpercé par un couteau. Cela était devenu ma tache indélébile ; ma douleur sans fin. En réalité, la souffrance de la chair est temporaire, et elle passera si l’on réussit à la supporter, mais la souffrance du cœur est éternelle. J’avais préservé ma chair, mais j’avais perdu toute paix et toute joie ; je vivais comme un cadavre vivant. J’ai pensé à ces frères et sœurs en prison qui étaient restés fermes dans leur témoignage. Même si leur chair avait enduré de grandes souffrances, et si certains avaient même été battus à mort par la police, ils étaient morts pour la justice. Une telle mort a un sens et une valeur, et elle est approuvée et commémorée par Dieu. J’ai reconnu qu’il y avait un autre aspect qui expliquait ma trahison de l’Église, c’est que je n’avais pas discerné le stratagème rusé de la police. En apprenant qu’ils avaient trouvé l’argent de l’Église, j’avais pensé que, puisque de toute façon ils l’avaient déjà saisi, que je dise quelque chose ou non n’avait pas d’importance. Si je parlais, je cesserais d’être torturée. En conséquence, j’avais perdu mon témoignage. En réalité, peu importe que l’argent de l’Église ait été trouvé, j’aurais dû garder le silence. Ce que Dieu attendait de moi, c’était ma loyauté et mon témoignage. Ayant compris la raison de mon échec, j’ai pris une résolution : si j’étais de nouveau arrêtée à l’avenir, je ne trahirais pas les intérêts de l’Église, même si cela signifiait la mort. En repensant aux dernières années, j’avais toujours évité ce problème. Je n’étais pas disposée à affronter la réalité et à résoudre mon propre problème. J’avais beau me haïr, je ne m’étais jamais vraiment connue. Je n’étais pas sortie de mon état de découragement. Sous la direction des paroles de Dieu, j’ai enfin éliminé l’éloignement et les malentendus entre Dieu et moi. Désormais, Dieu m’avait confié le devoir d’abreuver les nouveaux venus, et je devais accomplir ce travail d’abreuvement selon les principes, guider mes frères et sœurs à comprendre la vérité, s’ancrer sur la vraie voie et préparer de bonnes actions. Je pouvais désormais traiter ma transgression correctement, et je n’avais plus de malentendus ni de méfiance envers Dieu. J’ai aussi ouvert mon cœur et échangé sur cette expérience d’échec avec les frères et sœurs, témoignant du tempérament juste de Dieu. Lors de nos réunions en petits groupes, j’échangeais activement, et lorsque je rencontrais des problèmes et des difficultés dans mon devoir, je pouvais sciemment chercher la vérité et réfléchir sur moi-même. En pratiquant pendant un certain temps, j’ai clairement changé d’état, et Dieu me guidait dans l’exécution de mon devoir. Voyant que Dieu ne m’avait pas abandonnée à cause de ma transgression et qu’Il continuait à me conduire et à me guider, j’ai pris conscience que le plus effrayant n’était pas d’avoir commis des transgressions. Tant qu’on se repent sincèrement et qu’on peut pratiquer la vérité selon les principes, on peut obtenir la miséricorde et la direction de Dieu. Comme Dieu le dit : « La miséricorde et la tolérance de Dieu ne sont pas rares – la vraie repentance de l’homme l’est » (La Parole, vol. 2 : Sur la connaissance de Dieu, Dieu Lui-même, l’Unique II). Le fait que je sois capable d’avoir cette connaissance et ces expériences personnelles est uniquement dû à la direction de Dieu ! Gloire à Dieu !

La douleur cessera et les larmes s'arrêteront. Faites confiance à Dieu, Il a entendu nos appels dans notre souffrance, et Il nous sauvera de notre douleur. Contactez-nous pour connaître la bonne nouvelle de Dieu de nous sauver.

Contenu connexe

Contactez-nous par WhatsApp
Réduire la taille de police
Augmenter la taille de police
Passer en mode plein écran
Sortir du mode plein écran